01/02/2013 – 15h00
OSLO (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - La Norvège vient de trouver un moyen efficace et plein de sagesse pour lutter contre la délinquance allogène : les expulsions des étrangers en infraction avec la loi. Ainsi environ 5200 immigrés ont pris le chemin du retour vers leur pays d’origine en 2013 soit une augmentation de 31% par rapport à 2012. Il s’agit d’un record historique selon le chef du département de l’Immigration pour lequel « nous croyons que l’une des raisons de cette augmentation est la prise de conscience par la police de l’utilisation de l’expulsion comme un outil de lutte contre le crime ». Parmi les populations concernées par ces mesures on trouve surtout des Nigérians, des Afghans, des Irakiens, des Marocains…
Un exemple pour Manuel Valls ?
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Michel Samissoff
ancien compère de Jean Roucasse :Des erreurs, on en fait tous. Moi, ma dernière, c'est d'écrire cet article.Avant se fut de mettre une vidéo sur les massacres des chrétiens partout dans le monde sur Facebook (vidéo prise d'ailleurs sur un autre « mur »). Cette vidéo suscite plusieurs commentaires, mais aucun ne passe. Censure !Alors, comme toute cette hypocrisie ambiante me semble de plus en plus insupportable, je vais vous faire part de mes réflexions.
Je vais vous parler des Arabes et des noirs... Deux erreurs fatales !Dans notre monde "politiquement correct " (c'est-à-dire complètement faux cul), il ne faut pas dire "Arabe", ou "noir": ce sont des gros mots, des mots interdits qui sont pourtant dans le dictionnaire . Mais on préfère "black", ou "beur", ou "maghrébin". Attention à " reubeu", Florent Pagny s'en souvient... Bref : on ne doit pas appeler un chat un chat, c'est tabou, même si on ne sait pas trop pourquoi.
Il n'y a pas que dans ce sujet que l'imbécillité brille. Vous savez bien, Coluche nous a fait rire en disant les choses... On ne dit pas une "caissière", mais une hôtesse de caisse ! On ne dit pas un infirme, mais un handicapé (ensuite on est passé à "personne à mobilité réduite") et il ajoutait: " On ne va plus dire un con, on va dire un non-comprenant".
La société civile s'est complètement embourbée dans son pseudo humanisme à deux balles. Je reviens une seconde à Florent Pagny. Je le connais assez bien, on se croise de temps en temps, on a fait plusieurs émissions et déplacements ensemble. Je ne crois pas qu'il soit raciste, il a juste exprimé un ressentiment ambiant. Il a dit en gros : "Mes enfants vont étudier à Miami, je n'ai pas envie qu'ils viennent en France pour parler "reubeu"". Après tout, c'est un avis et il devrait avoir le droit de l'exprimer. Mais non ! Aussitôt, plainte de "SOS racisme", plainte de la Licra , menaces physiques téléphoniques, boycott de Pagny sur plusieurs radios, etc... C'est curieux, non ?Dans le même temps, des humoristes font passer le Pape pour un demeuré, pour un légume ou même, quand ils ne sont pas trop bien renseignés sur sa biographie, pour un nazi.Taper sur le Pape, sur l’Église, sur les Juifs (un peu plus prudemment quand même), Tout cela est de bon ton. Mais oser émettre une critique sur un Arabe ou un noir, c'est tabou. Celui qui ose se fait massacrer immédiatement.
A l'époque, Bernard Tapie avait dit de son goal Joseph-Antoine Bell que c'était un con. Bell avait répondu : "Tapie dit cela parce qu'il est raciste et que je suis noir"... Tapie avait conclu: " je ne dis pas qu'il est con parce qu'il est noir, je dis qu'il est con parce qu'il est con."Je vais tenter de vous démontrer aussi comment on "truque" les statistiques .Actuellement, dans les prisons françaises, huit détenus sur dix sont des Ara...Pardon des maghrébins. Tout le monde le sait, enfin, si vous ne le saviez pas, c'est fait. Et le Ministère de l'Intérieur le sait encore mieux que les autres. Pourtant (suivez-moi bien), les statistiques officielles d'état parlent de moins de 2 % d'étrangers détenus. Pourquoi ? Et bien pour une raison toute simple (et vraie en plus) : ces arabes qui remplissent les prisons ont tous une carte d'identité Française, donc ils sont français comme les autres, donc ils n'apparaissent pas dans les statistiques, et voilà ! Alors après cela, si je dis que dans nos prisons c'est comme au bled, qu'ils exigent leur nourriture "hallal", etc.. Que les détenus (rares) français doivent raser les murs et sont en réel danger physique, je suppose que je suis un horrible facho...Tenez : un autre scoop pendant que j'y suis, dont personne n'a été informé : le 11 novembre, sur le plateau du Larzac, des militaires qui gardaient un dépôt de munitions ont été attaqués à balles réelles par des... Oui, vous avez deviné. Il y a eu un blessé parmi ces gens, un soldat a pris un impact sur son gilet pare-balles. Vous n'en saurez rien. Pourquoi ? Parce que tout le monde sait, nos politiques en tête, que la marmite va péter, mais il faut que ce soit le plus tard possible. Alors on repousse l'échéance en espérant que ça tombera sur la gueule de nos enfants.
Il y a quelques années, un économiste avait avancé la drôle d'idée : supprimer le RMI, devenu RSA : les experts ont répondu très vite : en cas de suppression du RMI, les banlieues descendent dans la rue, c'est la guerre civile. On a rangé cette idée. Je parle des banlieues: ce sont maintenant des zones de non-droits. La police n'y pénètre plus : il est plus facile de verbaliser avec des radars au bord des routes.
Une anecdote : tous les ascenseurs d'une cité étaient détruits ; les vieilles maghrébines montaient 5 ou 6 étages à pied avec leur panier. Les ascenseurs détruits par leurs propres enfants ou petits enfants. La compagnie d'ascenseurs a changé tous leurs appareils, flambants neufs. Quatre heures après leur livraison, ils étaient détruits et les mères et grand-mères de ces "djeun's" baissent la tête et prennent comme d'hab les escaliers avec leur panier plein...
J'en vois déjà qui vont me répondre: "Oui, mais ces pauvres petits jeunes gens sympathiques, il faudrait leur trouver un travail, ce serait formidable pour eux !" Jusqu'où peut-on être aussi aveugle ! L'intégration !! Je vois à la télé des émissions d'une impudeur incroyable. Pour parler d'intégration, on invite en général, comme je l'ai vu dernièrement, un brillant chirurgien d'origine algérienne, un sénégalais polytechnicien et une française femme de ménage (je vous jure que c'est vrai !) et on vous dit: L'intégration est complètement réussie.
Mais enfin, qui va dire que pour un brillant chirurgien ou un excellent ingénieur il y a des millions d'autres inadaptables, inadaptés à notre système social. Pourquoi cette malhonnêteté intellectuelle ? Pourquoi ? Parce que, rappelez-vous: la marmite... Il ne faut pas soulever le couvercle sinon elle va péter.Cela dit, il y a des musulmans intégrés, c'est vrai, et je les respecte. Mais ils ne sont pas nombreux car la plupart ne le veulent pas. J'ai vécu dans beaucoup d'endroits. J'ai recompté : j'ai fait 43 déménagements dans des villes de France et dans quelques autres pays. Je suis né au Maroc, j'ai grandi un peu en Afrique, j'étais en Algérie pendant la "guerre" (enfant), à Djibouti, à La Réunion, à Miami, bref... j'ai pas mal bougé et je crois avoir quelques notions de géopolitique. Pour rester dans la France "intra-muros", j'ai habité le nord (Lens, Hénin-Liétard devenu Hénin-Beaumont) où j'ai vu l'immigration polonaise, russe, slave en général. Ces populations se sont parfaitement intégrées en une demi-génération. Au sud, j'ai habité Saint- Raphaël et Marseille, j'y ai vécu l'immigration des espagnols, des portugais, des italiens... Parfaitement intégrés, fiers d'être français et reconnaissants envers leur pays d'accueil.Les "Noirs" s'intègrent, mais plus difficilement.Mais où veux-je en venir? A la phrase qui tue : les musulmans ne s'intègrent pas.On peut hurler, vitupérer, critiquer, me traiter de ce que vous voudrez mais voilà : les musulmans, donc grosso modo les arabes ne s'intègrent pas. Comme je l'ai dit plus haut, ils ne le veulent pas (Charles de Foucault et Mohamed V en leurs temps nous en ont expliqué la raison) ils veulent apporter leur civilisation moyenâgeuse ici.Oh ! Je sais bien la réponse de certains. "Cet amalgame n'est pas supportable"C'est si facile de ne pas se mouiller. Pour ceux qui s'intéressent à l'histoire, rappelez- vous du retour de Chamberlain de son entrevue avec Hitler, agitant son traité de paix avec l'Allemagne. Pathétique, il n'avait rien vu venir. Ou le retour au Bourget de Daladier, lui avait compris qui disait : "Ah les cons !" alors qu'il se faisait ovationner par une foule de français qui, eux, n'avaient rien compris à ce qui allait leur tomber sur la tête... L'histoire se répète invariablement avec les mêmes niaiseries.On pourra aussi me dire que la civilisation arabe a été une grande civilisation. Ce n'est pas tout à fait exact : ils ont amené au monde une part (modeste) des mathématiques, une certaine poésie et un peu de médecine. Mais il y a un sacré bémol : cette civilisation n'a plus évolué depuis le 12e siècle et nous sommes au 21e. Le compteur est resté bloqué depuis. Qu'on me montre une voiture de marque Arabe !
Autre chose : on peut me dire que ces gens sont venus surtout à la fin des années 60 et que ce sont aussi eux qui ont reconstruits la France d'après-guerre, qu'ils ont aussi contribué à construire nos maisons, nos rues, nos immeubles... C'est exact. Mais quand un pays a besoin de main d'oeuvre, il la prend, quand il n'en n'a plus besoin, il la renvoie. Ne bondissez pas, cela a un nom: ça s'appelle la raison d'état.
La raison d'état, ce n'est pas une personne avec un cSur, c'est un protocole. On ne fait pas un pays avec des assistantes sociales, on le fait par la raison d'état, c'est d'ailleurs étudié dans toutes les facultés.
Je vais vous parler quelques instants du système de protection sociale et de santé. Bien entendu, je vais commencer par dire ce qu'il ne faut pas dire : 80 % des consultations hospitalières sont le fait de maghrébins.Un plaisantin pourrait me dire que c'est parce qu'ils n'ont pas les moyens d'aller dans des cliniques privées. Pourquoi pas ? N'empêche que si vous allez par curiosité dans les urgences vous serez effarés. Pourquoi ? Parce que c'est gratuit.Elles sont ainsi devenues, non pas un endroit d'urgence mais un banal lieu de consultation. Alors si le petit Mohamed tousse, aux urgences.Vous savez, je parle des choses quand je connais. Quand je ne connais pas, je me tais. Il se trouve que je suis (entre autre) kiné et que j'ai fait quelques années en hosto. Ce que je vous décris, je l'ai vu et revu et tous les mois, ça s'amplifie.Pour aller vite, je vous passe bien sûr les médecins qui se font tabasser parce qu'ils "touchent" une femme musulmane, que ces gens font des scandales à répétition quand ils doivent attendre trop longtemps, etc... Les autres attendent stoïquement, eux ils foutent le bordel partout, c'est comme ça... Alors me direz- vous, où ça va tout ça? Il faut se risquer à faire de la prospective. Au point où j'en suis! Je pense que cela va aller très mal (la marmite !).Je suis pessimiste, mais lucide : ça compensera avec ceux qui se cachent les yeux. On a vu les Balkans, la Serbie chrétienne asservie par l'islam. C'est le chaudron central de l'Europe, vous verrez qu'on va encore en entendre parler.La Grande-Bretagne envahie par les intégristes musulmans, la Belgique submergée.La France compte 10 millions de musulmans (et non pas 4,5).Savez- vous quel est le prénom le plus donné dans les maternités ? C'est Kévin, Mohamed n'est que le deuxième.
Quand la fameuse marmite va sauter, ce sera une guerre civile, entre «français». Les banlieues qui descendent dans les villes, les gardes mobiles qui chargent, l'armée, les morts par milliers...Je vois encore bondir quelques-uns d'entre vous : quel défaitiste ! La France, terre d'accueil, des droits de l'homme . Je connais : ça fait 25 ans que vous vous gargarisez d'utopie.Pourtant, comme vous, je préférerais décrire un monde fraternel, d'égalité, où tout le monde s'aime et patati et patata. Vous avez su vous en contenter depuis trente ans, il n'y a pas de raison de ne pas continuer, pas vrai ? Et puis on peut me dire aussi : « Eh bien puisque tu es si fort, dis-nous comment il faut faire, malin ?... Et oui, c'est embêtant : je n'ai pas de réponse.Je suppose qu'il aurait fallu stopper net cette immigration dès les années 60/70 Un peu tard maintenant, hein ?Pour tout vous dire, je pense que nous allons vers la fin de notre civilisation. L'histoire du monde est un balancier : à toi, à moi.Comme les Romains à Capoue, nous nous vautrons dans notre confort et nous n'entendons pas les Barbares à nos portes ou pis encore, à l'intérieur même de notre pays.
Si vous saviez comme j'aimerais me tromper ! Nos enfants nous jugeront:"Ils n'ont rien vu venir, ces cons !".Pour conclure, je vous dirai bien sûr comme tous les bons fachos que j'ai de bons copains arabes, juifs, noirs, athées, homos et tout ce que vous voudrez. Soyez gentils d'avoir l'intelligence de penser que je ne veux tuer personne.Je ne suis pas nazi, ni SS, ni ultra ce que vous voudrez.Mon métier c'est de soigner tous mes frères humains. A mon avis, cet article ne va pas rester bien longtemps sur mon mur. Voilà : à vous de juger... Suis-je un horrible raciste? C'est vous qui voyez.
En 2017 si vous ne savez pour qui voter ?... moi je sais!
Mon candidat devra s'engager sur : Immigration zéro
Retour aux 39 heures, voire 40 comme dans la majorité des états de l'UE.
Suppression de l'aide médicale d'état "1 milliard par an pour les réfugiés"
Réduction du nombre de Sénateurs ,de députés et élus des collectivités territoriales Conseillers régionaux conseillers généraux.
Réduction des parlementaires et fonctionnaires européens
Réduction du nombre de ministres
Suppression de la C M U à certaines catégories
Désendettement massif de la France par la réduction du train de vie de toutes les "élites"
Suppression des aides aux associations, véritable pompe pour assistés
Islamisations zéro plus de construction de nouvelles mosquées
Si vous voulez que cela continue reconduisez ceux qui depuis 30 ans votent des budgets en déficit pour acheter des électeurs...
Comment expliquer qu'un salarié qui se lève chaque matin a du mal à finir le mois, ne part presque jamais en vacances et ne peut se soigner correctement alors qu'une personne inactive est logée gratuitement avec "APL", peut faire des grasses matinées, partir en vacances chaque année avec les bons vacances de la "CAF " et se faire soigner avec la "CMU " bien mieux qu'un salarié qui n'a droit a rien de tout ça !!!!!!
Alors aidons plus les salariés pour une France qui avance et foutez les cas sociaux au boulot !!!!
j'aimerais savoir qui osera copier ce mail et le transférer!!!
1 commentaire -
LISEZ BIEN CA A plus de 20 ans
L’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard.
"Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. "Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ? La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes. La France est à l’abandon, et en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État."
"Si la vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable, mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur."
Faites suivre, c'est criant de vérité !
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Pour combattre le crime, la Norvège expulse… des immigrés
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Quand un sanglier dévaste des cultures, on s'empresse de faire une Battue.
Quand des Islamistes ne respectent pas notre Culture; Déclarons : la chasse ouverte
Sonnons l' hallali
Les assassins de la rue Nicolas-Appert ont appliqué aux journalistes de Charlie hebdo les lois d’un pays qui n’était pas le leur et leur ont fait payer le crime de blasphème qui n’existe pas plus dans notre Code qu’il n’existait dans leur esprit. Comment un athée pourrait-il blasphémer ce qui, selon lui, n’existe pas ?
La République n’interdit aucune religion, mais n’en cautionne aucune. Elle les tolère et les ignore toutes, du fait qu’elle les a exclues de la sphère publique et réservées à la sphère privée. Tel est le contrat social sur lequel nous vivons depuis plus de cent ans et qui a fait régner la paix sur ce qui fut si longtemps le champ des pires batailles. Remettre en cause ce contrat, c’est s’attaquer à la liberté et à la laïcité, piliers porteurs de notre démocratie et de notre République, c’est s’attaquer à la France. Est-ce cela, que vous vouliez ?
Il faut bien admettre qu’il n’y a plus de dialogue possible dès l’instant qu’à cette occasion la réponse est « oui ».
L'émotion se dilue, les manifestations se dispersent. Chacun y va de son analyse, de son diagnostic et de ses remèdes. Dans la précipitation, le gouvernement fait monter ce qui lui reste d’armée en première ligne pour protéger l’espace public et les cibles privilégiées du terrorisme islamiste que sont les synagogues et les écoles de confession juive. Certains politiciens proposent sans la moindre réflexion un « Patriot Act » à la française. D’autres s’empressent de répondre aux provocations de Dieudonné, par ailleurs poursuivi par le parquet pour apologie du terrorisme. L’avocat de Charlie affirme que le journal continuera à se moquer des religions. Il faut pourtant éviter qu’après la semaine tragique, la France ne retourne à la confusion mentale qu’elle subit depuis des années.
Le grand mouvement d’union nationale vécu dimanche ne doit pas seulement être un hommage aux victimes, ni une célébration platonique de la liberté d’expression. La France ne doit pas laisser retomber la vague. Elle ne doit surtout pas accepter de la voir se réduire à un clapotis favorable à un gouvernement, à une oligarchie lourdement responsables de la situation du pays.
Les Français doivent prendre conscience que leur pays est en guerre, comme les Américains l’avaient compris au lendemain du 11 septembre. La priorité consiste à désigner clairement l’ennemi. Lors des attentats de Madrid, le 11 mars 2004, le gouvernement de droite espagnol avait d’abord accusé l’ETA, afin de masquer le lien entre la présence militaire en Afghanistan et en Irak et les 200 victimes de l’action terroriste. Cette manœuvre lui avait perdre les élections, et le gouvernement socialiste, avec une grande lâcheté, s’était empressé de retirer ses troupes d’Irak, encourageant ainsi le terrorisme. L’attaque américaine contre l’Irak était, d’ailleurs aussi, une erreur de cible, un amalgame volontaire entre l’islamisme responsable de l’attentat de New York et le nationalisme arabe des baasistes de Bagdad. De la même façon, les gouvernements socialistes français ont entretenu sciemment la confusion. Lors des attentats des années 1980, rue Copernic puis rue Marbeuf, le présumé coupable était, selon lui, l’extrême droite. Il s’agissait en fait de groupes liés au nationalisme arabe, soutenus par l’URSS, et farouchement antisionistes. Aujourd’hui, il est clair que l’ennemi n’est pas l’extrémisme ou le fondamentalisme en général. C’est l’islamisme radical et les réseaux qui le répandent : Al-Qaïda, l’État islamique, Boko Haram, etc. La guerre civile déclenchée et soutenue contre Bachar el-Assad en Syrie, et le régime baasiste de Damas, se trompe de cible avec 20 ans de retard.
Dans une guerre, il faut aussi savoir choisir ses alliés. La Turquie et certains pays du Golfe, le Qatar en particulier, concourent de manière au moins indirecte à la propagation du djihadisme. Les États-Unis ont une politique confuse et timorée qui cache un machiavélisme égoïste sous le manteau de l’humanisme. Il est temps de le dire. Quant aux Européens, leur présence et leur détermination dans cette lutte sont pour le moins insuffisantes. On préférerait, aux embrassades de Mme Merkel, une action de la puissante Allemagne à nos côtés.
Dans une guerre, il faut encore définir et rassembler des moyens. Plus nombreux, plus disséminés, plus imprévisibles, ces nouveaux terroristes posent deux énormes problèmes à nos démocraties : d’abord, celui, quantitatif, des moyens, en hommes, notamment pour protéger le territoire et la population ; ensuite, celui, qualitatif, de l’équilibre entre la sécurité et la liberté, pour la circulation des personnes, pour leurs communications et pour l’expression de leurs idées. On voit dans la profusion des propositions récentes combien ce chantier est considérable et entièrement miné. Le rassemblement du 11 janvier après les opérations réussies de la gendarmerie et de la police était une mobilisation au sens fort du terme pour une guerre qui ne fait que commencer.
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Les réactions ayant suivi les assassinats de la semaine dernière ont bien illustré le culot et le cynisme absolus du Système politico-médiatique.Instrumentalisant sans scrupule l’émotion populaire, l’oligarchie en place a tout tenté pour détourner l’attention des citoyens des véritables enjeux et problèmes.Elle n’a pas oublié non plus de promouvoir l’idéologie cosmopolite et mondialiste dont certains effets pervers commencent pourtant à se faire douloureusement sentir.- l’invocation d’une « liberté d’expression » inviolable relève de l’hypocrisie la plus pure, tant de la part des gouvernants (songeons à la récente affaire « Dieudonné ») que de celle des partisans d’un journal qui, par exemple, soutenait la loi liberticide Fabius-Gayssot ou qui avait réclamé l’interdiction du Front national.- ces effusions de sang (comme d’autres, moins spectaculaires, mais qui touchent chaque semaine des Français sans que les médias ne le soulignent) sont liées à l’invasion migratoire que subit la France.- le système politico-médiatique et son multiculturalisme ont une responsabilité écrasante dans les tragédies que connaît notre pays et qui se multiplieront, toujours plus graves, leurs causes n’étant pas traitées mais au contraire favorisées. L’immigration de masse et la prolifération de foyers de guerre intérieure, avec leurs caches d’armes et leurs voyous déshumanisés, sont imputables à ceux qui se succèdent au pouvoir depuis des décennies.- profitant de l’émotion et de la peur, le Système va sans scrupules renforcer ses moyens de flicage et de censure de la population (notamment des patriotes), comme il le fait en pareil cas et à l’instar du gouvernement américain après les attentats du 11 Septembre. Le totalitarisme actuel va se renforcer, sous prétexte de sécurité et par la manipulation de la mémoire des morts.- les Français doivent sortir de la fausse alternative qu’on leur présente entre d’un côté la barbarie islamiste, et de l’autre la décadence libertaire et antispirituelle. Dans une société civilisée, un torchon comme l’était Charlie Hebdo n’aurait pas la capacité de répandre ses ignominies agressives, comme il l’a fait encore récemment avec des affiches blasphématoires antichrétiennes affichées partout au moment de Noël.Notons aussi que les grands « républicains », qui se présentent abusivement comme l’opposition à l’islamisme violent, ne se privent pas de tuer ou de laisser tuer abondamment que ce soit en France (criminalité étrangère tolérée voire encouragée, infanticides promus et remboursés par la Sécurité sociale, etc.) ou à l’étranger, où les mêmes islamistes ont été soutenus plus ou moins directement (Syrie, Lybie, Irak, etc.)Nous refusons ce faux choix qui n’offre finalement que la mort du corps ou pire, celle de l’âme.Nous voulons que la France soit libérée de ceux qui occupent indûment son sol ou son Etat, qu’elle soit libérée des idéologies funestes d’où qu’elles viennent.Nous voulons et nous aurons un Etat qui se soucie véritablement des intérêts des Français, qui garantisse les libertés essentielles, qui respecte le véritable sacré, qui préserve l’identité nationale et la sécurité des Français. Pour ce renouveau français, il faut une véritable révolution.
Thibaut de Chassey
Directeur du RF
www.renouveaufrancais.com
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http://rutube.ru/video/75277308e5519abdc4e505c407f64212/
TEXTE IMPORTANT A LIRE JUSQU’A LA FIN SURTOUT LA FINLe silence des pantoufles est plus dangereux que le bruit des bottes.
Texte de Martin NIEMÖLLER (1892-1984)
Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés. Quand on lui demandait combien d'allemands étaient de véritables nazis, il faisait une réponse qui peut guider notre attitude au regard du fanatisme.
Peu de gens sont de vrais nazis, disait-il, mais nombreux sont ceux qui se réjouissent du retour de la fierté allemande, et encore plus nombreux ceux qui sont trop occupés pour y faire attention. J'étais l'un de ceux qui pensaient simplement que les nazis étaient une bande de cinglés. Aussi la majorité se contenta-t-elle de regarder et de laisser faire. Soudain, avant que nous ayons pu réaliser, ils nous possédaient, nous avions perdu toute liberté de manSuvre et la fin du monde était arrivée. Ma famille perdit tout, je terminai dans un camp de concentration et les alliés détruisirent mes usines.
La Russie communiste était composée de russes qui voulaient tout simplement vivre en paix, bien que les communistes russes aient été responsables du meurtre d'environ vingt millions de personnes. La majorité pacifique n'était pas concernée.
L'immense population chinoise était, elle aussi, pacifique, mais les communistes chinois réussirent à tuer le nombre stupéfiant de soixante-dix millions de personnes.
Le japonais moyen, avant la deuxième guerre mondiale, n'était pas un belliciste sadique. Le Japon, cependant, jalonna sa route, à travers l'Asie du sud-est, de meurtres et de carnages dans une orgie de tueries incluant l'abattage systématique de douze millions de civils chinois, tués, pour la plupart, à coups d'épée, de pelle ou de baïonnette.
Et qui peut oublier le Rwanda qui s'effondra dans une boucherie. N'aurait-on pu dire que la majorité des Rwandais était pour la Paix et l'Amour ?
Les leçons de l'Histoire sont souvent incroyablement simples et brutales, cependant, malgré toutes nos facultés de raisonnement, nous passons souvent à côté des choses les plus élémentaires et les moins compliquées : les musulmans pacifiques sont devenus inconséquents par leur silence.
Aujourd'hui, des experts et des têtes bien pensantes, ne cessent de nous répéter que l'Islam est la religion de la paix, et que la vaste majorité des musulmans ne désire que vivre en paix. Bien que cette affirmation gratuite puisse être vraie, elle est totalement infondée. C'est une baudruche dénuée de sens, destinée à nous réconforter, et, en quelque sorte, à diminuer le spectre du fanatisme qui envahit la Terre au nom de l'Islam.
Le fait est que les fanatiques gouvernent l'Islam, actuellement.
Ce sont les fanatiques qui paradent. Ce sont les fanatiques qui financent chacun des cinquante conflits armés de par le monde.
Ce sont des fanatiques qui assassinent systématiquement les chrétiens ou des groupes tribaux à travers toute l'Afrique et mettent peu à peu la main sur le continent entier, à travers une vague islamique.
Ce sont les fanatiques qui posent des bombes, décapitent, massacrent ou commettent les crimes d'honneur. Ce sont les fanatiques qui prennent le contrôle des mosquées, l'une après l'autre. Ce sont les fanatiques qui prêchent avec zèle la lapidation et la pendaison des victimes de viol et des homosexuels.
La réalité, brutale et quantifiable, est que la majorité pacifique, la majorité silencieuse y est étrangère et se terre.
Les musulmans pacifiques deviendront nos ennemis s'ils ne réagissent pas, parce que, comme mon ami allemand, ils s'éveilleront un jour pour constater qu'ils sont la proie des fanatiques et que la fin de leur monde aura commencé.
Les Allemands, les Japonais, les Chinois, les Russes, les Rwandais, les Serbes, les Albanais, les Afghans, les Irakiens, les Palestiniens, les Nigériens, les Algériens, tous amoureux de la Paix , et beaucoup d'autres peuples, sont morts parce que la majorité pacifique n'a pas réagi avant qu'il ne soit trop tard.
Quant à nous, qui contemplons tout cela, nous devons observer le seul groupe important pour notre mode de vie : les fanatiques.
Enfin, au risque de choquer ceux qui doutent que le sujet soit sérieux et détruiront simplement ce message, sans le faire suivre, qu'ils sachent qu'ils contribueront à la passivité qui permettra l'expansion du problème.
Aussi, détendez-vous un peu et propagez largement ce message.
Espérons que des milliers de personnes, de par le monde, le liront, y réfléchiront et le feront suivre...
Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester
Texte de Martin NIEMOLLER (1892-1984), pasteur protestant arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen.
Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau . Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945.
On ne peut s'empêcher de repenser à cette phrase de l'un de nos congénères les plus éclairés, lui aussi allemand d'origine :
Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
Albert Einstein
Certes le temps est au deuil et au recueillement en souvenir des assassinés et au soutien pour les familles....
Mais je pousse un coup de gueule !!!!!!!
JE NE COMPRENDS PAS et NE SUPPORTE PAS QUE L'ON ME DEMANDE DE NE PAS FAIRE L'AMALGAME...
Oui "JE SUIS CHARLIE"Oui JE SUIS POUR UNE "MIXITÉ"
Nos politiques dans leur ensemble demandent aux Français de ne pas faire l'amalgame entre les attaques Parisiennes et les Musulmans de France.Désolé mais :
Lorsque lentement, insidieusement, les arbres de Noël disparaissent de nos écoles, je fais l'amalgame.
Lorsque lentement, insidieusement, les crèches disparaissent de nos hôtels de ville, je fais l'amalgame.
Lorsque lentement, insidieusement la viande de porc est supprimée dans les cantines scolaires, je fais l'amalgame.
Lorsque des "petites merdeuses" nées en France se promènent voilées dans les rues de nos villes en nous narguant, je fais l'amalgame.
Lorsque je fais mes courses en super marché ou les femmes voilées sont légion, je fais l'amalgame.
Cet amalgame est encouragé par la lâche complicité des hommes politique qui, pour récupérer des électeurs acceptent de baisser leur froc.
Jusqu'à quand ? ? ? ?
Faut-il attendre un autre "Charlie Hebdo" ? ? ? ?
Merci à ceux qui se sentent concernés de faire suivre...
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Al-Qaïda : les trois prochaines cibles de l'organisation terroriste en France
Une puissante organisation terroriste s'est implantée sur le sol français : un réseau qui se tient prêt à passer à l'action et qui est dirigé par un "émir" d'Al-Qaïda. Ces "labyrinthe de la terreur" sont dissimulés au cœur de notre quotidien. Extrait de "Al-Qaïda en France", de Samuel Laurent, aux éditions du Seuil (1/2).
– La séduction ?
>> Lire également le deuxième extrait du même ouvrage Al-Qaïda : ce qu'il aurait fallu faire pour éviter l'implantation massive du réseau terroriste en France
– Oui. Les musulmans de France s’en chargent déjà. Les salafistes recrutent de nouveaux adeptes chaque jour, et convertissent les jeunes Français pour les amener sur le chemin de l’islam. Pour des raisons de sécurité, nous n’entretenons aucun contact avec ces organisations. Notre mission se cantonne à l’action violente : identifier des cibles, préparer des plans pour les futures opérations, mais aussi coordonner l’acheminement des armes et du matériel jusqu’à nos planques.
– Ici ?
– Non. Mais dans plusieurs endroits, à travers la France.
– Reprenons les choses dans l’ordre : vous parlez de « cibles ». De quoi s’agit-il ?
– Il existe trois types de cibles. Tout d’abord, nous possédons une liste de personnalités que nous pouvons frapper à n’importe quel moment. Pour l’instant, elle ne regroupe que quelques dizaines de noms, avec des informations sur leur lieu de travail, leur domicile, leurs habitudes et leurs éventuelles protections. Cette liste, nous la compléterons et la réactualiserons avec le temps. N’oubliez pas que tous mes agents se trouvent encore en phase de sommeil : ils creusent leur trou dans la société, en apparaissant comme des citoyens modèles. Nous ne pouvons pas agir pour l’instant.
– De quel genre de « personnalités » s’agit-il ?
– Des hommes politiques, des journalistes ou des personnes publiques. Ces meurtres « ciblés » doivent frapper l’opinion et obtenir une couverture médiatique maximale.
– Les membres du gouvernement en font partie ?
– Sans aucun doute ! Il s’agit même de nos premières cibles ! Quoi de mieux pour frapper l’inconscient collectif et mettre l’opinion publique en face de ses responsabilités que de s’en prendre à l’autorité suprême !
– Vous voulez dire le président ?
– Exactement. Vous le croyez à l’abri ? Sans parler de ses escapades en scooter, il faut admettre que la protection de l’Élysée laisse souvent à désirer. Bien sûr, au sein même du palais, et dans ses déplacements les plus surveillés, la garde rapprochée fait plutôt bien son travail. Mais qui peut le protéger d’un sniper posté à plusieurs kilomètres, lors d’une tournée en province ? Certains de nos hommes ont tiré contre des convois syriens sur des distances inimaginables, à l’aide de vieux Dragunov [un fusil de précision russe de médiocre qualité]. Avec des armes sophistiquées, infiniment plus précises, ils peuvent s’installer à bonne distance, munis d’un cache-feu et d’un silencieux, pour cueillir leur cible à sa sortie de voiture ou devant la porte d’un immeuble, sans qu’il soit possible d’identifier la provenance du coup de feu. Ceux que l’on chargera de ces missions connaissent bien leur travail. Il s’agit de vrais snipers : calmes, méthodiques, entraînés, patients… Ils peuvent se terrer des heures et même des jours dans leur planque, avec un bon angle de tir, en attendant le moment opportun. Sans jamais signaler leur présence. Ils démontent ensuite leur fusil et quittent facilement les lieux, à plusieurs kilomètres du point d’impact. Là encore, difficile d’imaginer qu’on puisse empêcher une telle opération.
– Mais on retrouvera le tireur. À terme, vous ne pouvez pas garantir que l’immeuble en question ne sera pas localisé, qu’on ne retrouvera aucune empreinte ni aucune trace susceptible de remonter la piste de votre agent. – Et alors ? Tu penses qu’après un tir sur le président de la République nous renverrons cet homme dans le circuit ? Tu penses qu’il va tranquillement reprendre le cours de sa vie ? Il faut que tu comprennes : tous ces opérateurs clandestins sont à usage unique. Une fois sortis de leur couverture, leur mission se termine.
– Vous les exfiltrez ?
– Nous ne sommes pas le KGB ni la CIA. S’ils quittent le territoire, ils ne vont pas rejoindre leur ambassade ou un pays tiers. Ils quittent ce monde en martyre, et rejoignent le paradis d’Allah…
– Alors pourquoi s’enfuir ?
– Comme je le disais, nous pouvons envisager des opérations en chaîne. Une journée ponctuée de plusieurs assauts, qui plongerait le pays dans l’effroi, avec une population terrorisée par l’ampleur et la férocité de nos attaques, et des services de sécurité complètement débordés. Si nous retenons ce cas de figure, un sniper visant le président peut quitter les lieux, trouver une autre cible, ou faire exploser une mallette d’explosifs dans un bâtiment public. Dans tous les cas de figure, nous ne réinsérons jamais nos agents dans la vie civile, au terme de leur mission. Tous les hommes qui « dorment » actuellement en France, ainsi que tous ceux qui arriveront bientôt de Somalie, se destinent exclusivement au martyre.
– Qu’espérez-vous faire passer comme message en assassinant un haut dirigeant ?
– Toujours le même : ne vous mettez pas sur le chemin de l’islam. L’islam progresse à travers le monde. De façon inexorable. Plus personne ne peut stopper cette dynamique. Et elle s’accélère. Ceux qui tenteront d’y mettre un terme au nom de leur prétendue république, de la laïcité, du droit des homosexuels, des prostituées ou des drogués, sont considérés comme des ennemis. (Il marque un temps avant de reprendre.) Croyez-moi, quand on s’est attaqué à des responsables syriens, encerclés par une garde rapprochée de plusieurs dizaines d’hommes, circulant dans des convois blindés qui changent constamment d’itinéraire et de direction, détruire la clé de voûte de l’État français équivaut à enfoncer un couteau dans une motte de beurre ! Nos agents y parviendront sans la moindre difficulté. En s’attaquant à eux, nous pouvons faire vaciller toute la structure qui contrôle la sécurité de ce pays. Il s’agit d’une arme de destruction massive, même si l’on ne tire que quelques coups de feu ! Tant que l’on choisit ses objectifs avec soin.
– Mais ces hommes, on les remplacera…
– Vous dites ça à chaque fois ! Mais au final, en Irak, en Afghanistan, vous remplacez tous ces morts et vous finissez quand même par vider les lieux…
– Difficile de comparer la France à l’Irak, vous ne croyez pas ?
– En effet. Mais nous disposons d’un soutien solide à l’intérieur de ce pays. N’oubliez pas les centaines de milliers de musulmans qui appuieront cette dynamique après les premières opérations.– V Vous ne pensez pas qu’au contraire vous risquez de les effrayer ? Comme en Irak ?
– La majorité des Irakiens sont chiites, corrige Abou Hassan. Comment voudriez-vous qu’ils nous aiment ? Mais, en France, les musulmans vous détestent. Vous êtes trop embourbés dans votre politiquement correct pour le voir et oser l’admettre. Ils détestent la façon dont vous avez traité leurs ancêtres, dans les colonies. Ils détestent les banlieues où vous les parquez. Ils détestent cette discrimination qu’on ne montre plus jamais nulle part, mais qu’ils ressentent tous les jours : lorsqu’ils cherchent un travail, lorsqu’ils se font contrôler par la police… Et puis surtout, ils détestent votre monde de soi-disant « tolérance » qui les dégoûte. La pornographie, la drogue, les sodomites, l’alcool, et la célébration de tout cela sur vos centaines de chaînes de télé… Croyez-moi, même les musulmans de France qui se taisent haïssent votre système jusqu’au bout de leurs ongles ! conclut-il avec une hargne difficilement contenue.
Ce que vient de décrire Abou Hassan correspond certainement à ce qu’il ressent face à notre monde. Fort heureusement, je doute que son analyse et ses conclusions remportent une telle unanimité auprès de nos compatriotes arabes…
– Vous me disiez qu’il existait plusieurs types de cibles ?
Il marque une courte pause pour vérifier l’heure, puis reprend son explication.
– Le deuxième type de cibles porte sur des bâtiments ou du personnel à forte valeur symbolique. Tout ce qui magnifie la puissance de nos adversaires. Mais il s’agit également des « trophées » les plus difficiles à atteindre. À la différence des attentats ciblés, nous ne possédons pas encore suffisamment de moyens et de renseignements pour les considérer comme acquises, ou même vulnérables. Il nous faut du temps. Je préfère ne pas en parler.
– Si je comprends bien le sens du mot « symbole », je pense que vous projetez de vous attaquer à des ambassades ou à des consulats. Je me trompe ?
– Je ne veux pas en parler.
Je n’en apprendrai pas davantage sur ces « trophées symboliques ». Selon moi, il s’agit effectivement d’ambassades considérées comme « ennemies », entendez celles allant de l’Iran aux États-Unis, en passant par Israël ou l’Angleterre. Mais le choix des objectifs pourrait aller bien au-delà. Après nos entretiens sur Mohamed Merah, je crains que le « symbole » juif représente à nouveau une cible de choix. Une cible que l’on attaquerait de façon aussi ignoble que le tueur de Toulouse, avec cette fois plus de préparation, de méthode et de moyens. L’idée de s’en prendre à une école ne représente ni un crime ni un acte condamnable pour Abou Hassan et les autres cadres d’Al-Qaïda. Ce deuxième type d’actions, sur lequel mon interlocuteur restera muet, me laisse présager le pire pour les années à venir…
Cette enquête commence à éprouver mes nerfs et ma conscience. Les écrivains ou les journalistes français qui parlent d’Al-Qaïda ne plongent jamais dans les entrailles de l’organisation. Ils se contentent d’écrire ou de rapporter ce qu’on en raconte, en agrémentant leurs histoires de quelques « confidences » de nos services de renseignement, guère mieux informés. Mais au fil de cette enquête qui dure depuis des mois et m’a conduit en Libye, puis en Syrie, au Liban, en Somalie et à Dubaï, sans parler de la Turquie, de la Grande-Bretagne ou des Pays-Bas, j’éprouve un véritable sentiment de nausée face à ces révélations. À cet instant, je prends conscience que j’aurais préféré ne rien découvrir…
– Et le troisième groupe de cibles ?
– Il s’agit des frappes massives. Celles qui doivent provoquer le plus grand nombre de victimes possibles. À la différence des deux autres types d’opérations, nous ne choisissons pas ces objectifs pour leur valeur symbolique ou stratégique, mais plutôt en fonction de leur… « contenance » et des dégâts occasionnés.
Extrait de "Al-Qaïda en France", de Samuel Laurent
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Etat islamique: l'attentat de Paris serait le signal d'une série d'attaques visant d'autres villes européennes
Les attaques en France serait un possible prélude à une vague d'attentats en Europe, selon le journal allemand Bild, citant des sources des services de renseignement américains.
Les attaques perpétrées en France pourraient être le début d'une vague d'attentats à l'échelle européenne, selon des communications de dirigeants de l'organisation Etat islamique interceptées par les services de renseignement américains, affirme le journal allemand Bild dans son édition de dimanche.
Des communications interceptées par la NSA
Selon le quotidien populaire, qui cite des sources anonymes au sein des services de renseignement américains, l'un de ces services, la NSA, aurait intercepté peu après les attaques perpétrées à Paris des communications dans lesquelles des dirigeants de l'organisation Etat islamique (EI) annonçaient une prochaine vague d'attentats.
L'Italie ou les Pays-Bas prochaines victimes?
Dans ces communications, Paris serait évoqué comme étant le signal pour une série d'attentats visant d'autres villes européennes, parmi lesquelles Rome, écrit le journal, selon lequel aucun plan concret d'attaque n'est en revanche connu. Les services américains disposeraient d'informations selon lesquelles les frères Chérif et Saïd Kouachi, auteurs de la tuerie perpétrée à l'hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo (12 morts), auraient eu des contacts aux Pays-Bas, affirme par ailleurs Bild
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l'histoire se repète
Surligner et aller a l'adresse
http://www.dreuz.info/2015/01/vous-netes-pas-charlie-vous-etes-chamberlain/
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https://www.youtube.com/watch?v=di0spz-lNNg
A la fin du journal de TV-Libertés, notre fondateur, interrogé par Martial Bild, met les pendules à l’heure, et met à mal le discours du gouvernement et des médias.
Pierre n’hésite pas à attaquer durement les bobos compassionnels qu’il accuse d’être des pleureuses qui n’ont qu’une seule obsession : « Touche pas à mon islam ».
Il répond, sans se laisser démonter, aux questions, parfois provocatrices, du rédacteur-en-chef de TV-Libertés.
Il fait d’abord les mises au point sur le rassemblement du 18 janvier, et revient sur la scandaleuse interdiction du 8 janvier.
Ensuite, il justifie le maintien du rassemblement, se démarquant sans ambiguïté de ceux qu’il appelle, à la grande surprise de son interviewer, les « bobos compassionnels », qu’il accuse de n’avoir qu’un mot d’ordre : « Pas touche à mon islam ! »
Il conteste le fait que de très nombreux intellectuels fassent le même travail que Riposte Laïque dans la dénonciation de l’islam, tout en le déplorant.
Il ne laisse passer l’argument classique qui lui est opposé, selon lequel dénoncer trop fortement l’islam ferait le jeu des islamistes, en jetant dans leurs bras les musulmans modérés.
Il conteste tomber dans la globalisation de l’islam, et réaffirme qu’il n’y a qu’une seule finalité, quelle que soit les variantes de l’islam : le Grand Califat.
Il explique pourquoi on ne peut pas être un vrai musulman et respectueux des lois de la République.
Sa démonstration sur l’incompatibilité entre l’islam et nos valeurs est le moment fort de l’interview.
Il révèle enfin un double information : le prochain voyage d’animateurs de RL en Allemagne, à l’invitation de Pegida, et l’invitation, le 18 janvier, d’une animatrice du mouvement allemand.
Pendant 20 minutes, notre fondateur, de manière très claire, déconstruit le discours des enfumeurs musulmans et des islamo-collabos. Une interview à écouter impérativement, à quelques heures de la manifestation de la honte des collabos et de l’UOIF…
Martine Chapouton
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CHARLIE HEBDO EST ORPHELIN !Ils ont vendu leur âme au Diable,Ils l'avaient pris pour Mahomet.Ils ont vendu leur âme au Diable,Et le Diable s'est fait rouler!Petits cerveaux n'avaient pas d'âme!Le sang versé fait des Martyrs!Ce deuil fustige les infâmesQui pâtiront de leur délire.Ils ont visé, ils ont tué.Des plumes tombent sous les balles,Des dessins gisent, inachevés;Sur les visages, un rictus pâle.Perdant la vie dans la seconde,Les Martyrs ont l’ÉternitéPour la gloire bien méritéeDe leur insolence féconde.Et ce Journal ensanglanté,Orphelin de rares talents,Voit son nom porté par un ventClamant le Droit de se moquer!Le Monde entier soudain s'émeut!Le danger resserre les rangs;CHARLIE HEBDO devient précieux;« Je suis CHARLIE », symbole ardent!Croissant de Lune.
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Attentat de Charlie Hebdo: les trois prochaines cibles de l’organisation terroriste Al Qaïda en France. Près de 150 000 islamistes sympathisants
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La France qui se déshonore
A la lueur des événements récents en France, des fanatiques islamistes qui nous sont présentés comme fous et dérangés se sont lancés dans des attaques suicides qui tuent des Français depuis les fêtes de fin d’année. Les réflexions les plus dures, les plus grégaires et primaires, les plus puériles voire scandaleuses s’étalent dans nos médias et dans les commentaires des Français partout sur les réseaux sociaux. Il faut toutefois dire une vérité que personne ne veut entendre, une vérité que je vais tenter de vous dire et qui ne fera plaisir à personne, pas même à moi.
Il fut un temps où la France était respectée dans le Monde musulman. Elle possédait au-delà de la Méditerranée trois départements, de ce qui a pu être qualifié de colonie mais qui fut un territoire unifié et assemblé pendant de nombreuses décennies par des Français et de nombreux Européens de tous les horizons. C’était une terre musulmane. Il n’en avait pas toujours été ainsi, l’Islam l’épée à la main avait déferlé sur ces contrées, détruisant des civilisations, boutant le feu, contraignant des Peuples à la soumission et à la conversion. Les Berbères si souvent courtisés par les socialistes furent de ceux-là. La France avait composé au Maghreb et en Afrique avec un Islam que Bonaparte lui-même avait rencontré en Egypte. La France républicaine connue même le besoin d’appeler à son aide des musulmans qui vivaient dans le giron de son empire. Ils se firent tuer dans les tranchées de la Grande Guerre ou sur les pentes du Belvédère en Italie en 1944. Contrairement à l’ignominieux film Indigènes nous montrant des hommes persécutés, ils étaient souvent confiants dans leurs officiers français, ceux qui ont fait l’effort de lire les récits des guerres de toutes ces époques peuvent en témoigner, il y eut plus de bienveillants que de sinistres racistes. Ces hommes moururent en criant « Vive la France ! ».
A force de nous faire croire autre chose, la France a perdu la foi dans la force de son idéal républicain. Depuis lors, depuis les honteux abandons en Algérie, en Egypte ou ailleurs, la France n’a montré au Monde musulman qu’un pitoyable exemple, d’un pays cédant aux moindres pressions, retirant ses soldats, abandonnant des chrétiens aux mains de tortionnaires, comme ce fut le cas en maints endroits, en Syrie dernièrement. Cette France-là, qui eut encore le réflexe inouï de dire non à l’invasion de l’Irak n’en finit pas d’agoniser. Pendant ce temps, des milliers de chrétiens de l’Orient sont morts ou en errance dans le monde entier. Cette France a payé des rançons pour la vie de pauvres hères qui aussi médiatisés qu’ils fussent ne méritaient pas qu’un Etat démocratique et républicain s’agenouille pour verser les 30 écus de Judas. En sauvant quelques vies, les démocrates de façade de l’Elysée, d’un parti ou d’un autre, ne montraient que la faiblesse de la France. Si vous interrogiez les survivants des opérations en Algérie, vous sauriez Français qu’il y avait bien plus de musulmans qui respectaient la France, pour sa force et son héritage, que de musulmans qui la combattaient. Ce sont des témoins, des acteurs, des combattants qui le disent, ils ont entendu siffler des balles, ont souffert dans leur chair. Et ils sont morts, ainsi que beaucoup plus de musulmans pour que nous laissions un pays en proie à l’anarchie, faible et tiraillé, déversant plus tard son trop plein dans nos villes.
Cette faiblesse fut coupable, elle fut même criminelle. Nous avons montré comment nous étions capables de retracer des frontières à la manière des traités honteux de Saint-Germain ou de Trianon de 1919 et 1920. Nous avons abandonnés des Peuples, nous en avons livré d’autres pieds et poings liés. Ailleurs notamment en Syrie nous nous sommes attaqués à des régimes laïques qui maintenaient bon an mal an l’harmonie entre différentes confessions. Nous avons financé des islamistes, nous avons donné des armes et du matériel. Pendant deux années, une presse arrogante et acharnée a déversé sa propagande sur la tête des Français. Nous en avions fait de même en Iran, en accueillant un fanatique fou furieux, l’Ayatollah Khomeini que nous avons sauvegardé et protégé pour le renvoyer faire de ce grand pays ce qu’il est actuellement. Ailleurs nous n’avons combattu des hommes qui parlaient de nous égorger et de conquérir l’Europe. Plus loin nous les avons soutenus et armés. Pour des raisons basses de grande politique internationale, pour le bon plaisir de lobbyings anglo-saxons ou le contrôle ou la mainmise sur des ressources stratégiques, la France a bu du sang.
Cette France-là, n’est plus respectée. Des musulmans qui ne lui étaient pas hostiles le sont devenus. D’autres se sont radicalisés, d’autres encore devant les vides de la République, le non-droit, les capitulations, les reculades, l’esprit de repentance sans fin et injustifié, d’autres se sont enhardis. D’une supposée libération, ces hommes sont passés à des rêves de revanche et de conquêtes. Le nombre de musulmans sur notre territoire n’a fait que croître. Pour la première fois j’ai entendu l’un de mes proches parler d’une conversion, d’un chrétien à l’Islam. Ceci se passe dans une petite ville de France et non à Paris ou Marseille. J’ai entendu moi-même les imprécations d’un fanatique, alors que je travaillais dans une entreprise privé. Cet homme qui possédait la nationalité française depuis la fin des années 80 et qui venait d’une région reculée de Turquie, nous prédisait dans une réunion professionnelle la fin de notre civilisation, moquait notre faiblesse, insultait également notre Peuple. Dans un salmigondis à peine français malgré la longueur de son séjour sur nos terres, il termina sa diatribe sans avoir été interrompu d’un « Tous les matins je me lève et je c… sur la France ». Cet homme était un responsable d’une mosquée dans une ville de Bourgogne. C’était il y a dix ans.
Durant cette période, tous ceux qui parlaient de racisme antifrançais se sont vus traités de fous et de fascistes. Les médias nous ont assenés articles après articles qu’il n’y avait pas de racisme antifrançais et que nous n’étions que des racistes, des intolérants et des colonialistes. Après plus de 50 ans de renoncements, d’abandons, en muselant les vérités, en contraignant ceux des musulmans qui n’étaient pas fanatiques ou racistes à se taire ou à passer pour des traîtres, la France qui se déshonore a creusé la tombe des Français qui meurent aujourd’hui victimes du fanatisme. En 2012 la France soutenait des salafistes et des islamistes en Syrie. En 2015 les amis de Laurent Fabius sont venus frapper nos compatriotes dans plusieurs villes de France. Alors, loin de stigmatiser les musulmans, qui sont les coupables ? Socialistes et libéraux n’ont-ils pas montré assez longtemps comment ils entendaient brocarder la France et nos intérêts pour quelques places au soleil ? Ce sont eux qui hier tenaient les Kalachnikovs n’en doutez pas.
Laurent Brayard
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Dimanche, je ne serai pas à la marche aux côtés des complices des assassins de Charlie Hebdo
On ne peut en croire ses oreilles. Non seulement Valls et Hollande se muent en organisateurs de manifestation, décidant de qui pourra ou ne pourra pas participer à la marche de dimanche prochain, non seulement les politiques et les journalistes passent leur temps à faire des pronostics sur les présents et les absents, oubliant la gravité de la situation, transformant la marche en hommage aux tués en pauvre ballet politicien, mais les présents marcheront aux côtés de l’UOIF… L’UOIF, émanation des Frères musulmans, organisation terroriste interdite dans nombre de pays, même musulmans… L’UOIF dont la figure de proue, en France, est Tarek Oubrou.Joachim Véliocas, dans Ces Maires qui courtisent l’islamisme, rappelle que Tarek Oubrou a donné force conférences, très laudatives, sur le fondateur des Frères musulmans, Hassan Al-Banna. Il y explique qu’il est « dans la nature de l’islam de dominer, d’imposer sa loi à toutes les nations et d’étendre son pouvoir dans le monde entier« . Il répète volontiers qu’il faut restaurer le califat, que la frontière entre deux pays est une hérésie méprisable pour l’islam et que « les Frères musulmans ne reconnaissent pas les frontières entre les musulmans ». Tarek Oubrou, encore, cite volontiers ceux qu’il appelle « rénovateurs de l’islam », par exemple Rachid Rida, adepte de la polygamie, réticent à l’éducation des filles, qui voulait chasser du monde musulman les innovations occidentales ou Ibn Taymiyya, théologien de référence pour les islamistes, qui explique pourquoi le délit de blasphème mérite la peine de mort et pourquoi il faut faire le dhijad contre les mécréants et les tuer…
D’ailleurs Qaradawi, interdit de territoire français depuis les assassinats commis par Merah, était régulièrement invité au Bourget pour le salon annuel de l’UOIF et il fait partie du conseil scientifique de l’école d’imam du CFCM (qui appelle également à manifester dimanche) à Saint-Léger-du Fougeres. Qaradawi, celui qui invite les musulmans à finir le travail d’Hitler sur les juifs, à tuer les homosexuels et les apostats…
Alors, dire que les inspirateurs des Frères musulmans sont les amis des assassins musulmans de jeudi et vendredi dernier est cohérent.
Alors dire que les Frères musulmans sont les amis des assassins musulmans de jeudi et vendredi dernier est cohérent.
Alors dire que l’UOIF est le complice des assassins musulmans de jeudi et vendredi dernier est cohérent.
Alors, manifester aux côtés de ces gens-là, c’est manifester aux côtés des complices des assassins musulmans de jeudi et vendredi dernier.
Comment tous les dhimmis qui nous gouvernent, tous les bobos à l’abri dans leur tour dorée osent-ils faire à Charb et les autres l’insulte suprême de manifester aux côtés de ceux qui refusent le droit au blasphème et la liberté d’expression en bons musulmans ?
Comment osent-ils s’aplatir ainsi devant l’islam alors que les corps des victimes de l’islam sont encore chauds ?
Nous allons assister dimanche à la pire insulte faite aux morts. La connivence des intérêts politiciens et le mépris du peuple.
Nous n’y serons pas. Et vous ?
Christine Tasin
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Les multiples menaces djihadistes, que nous dénonçons depuis tant d'années, se sont malheureusement transformées en actes. L’attaque menée par des fanatiques islamistes au siège de Charlie Hebdo s'inscrit dans une terrible série ; on pense évidemment aux récentes attaques de Joué-lès-Tours et Dijon, mais on ne peut aussi s'empêcher de faire résonner le nom des frères Kaouchi avec ceux de Mehdi Nemmouche ou Mohamed Merah...
L'heure est aujourd'hui bien sûr à la compassion derrière les familles des victimes mais aussi derrière nos forces de l'ordre, engagées en première ligne dans ce terrible combat. N'oublions pas que ce sont aussi trois policiers qui ont été assassinés. Face à une telle adversité, l’unité nationale a un sens, à condition qu’elle ne soit pas dévoyée et récupérée par la caste politicienne qui a fait la démonstration de sa lâcheté et de son laxisme en encourageant l’immigration massive, en cédant aux revendications politico-religieuses et en privant la France des moyens législatifs, judiciaires et policiers nécessaires pour éviter de tels drames.
Mais demain, il faudra bien analyser la situation dans laquelle nous nous trouvons, et apporter des solutions politiques fortes pour préserver non seulement les valeurs fondant notre identité et notre pacte républicain, mais aussi la sécurité des Français. Le djihadisme n'est plus désormais une question de politique extérieure, mais une menace intérieure. Ceux qui, à droite comme à gauche, ont favorisé l'immigration puis le communautarisme, terreau sur lequel s'est développé l'islam radical dans notre pays, portent une immense responsabilité.
Nicolas Bay
Secrétaire Général du Front NationaMassacre à “Charlie Hebdo” : une mise au point de L’AGRIF
L’AGRIF vient de diffuser ce communiqué au sujet du massacre commis par des islamistes contre Charlie Hebdo.
L’abomination perpétrée contre les collaborateurs de Charlie Hebdo et les policiers chargés de veiller sur eux soulève une indignation que nous partageons. Mais ce drame appelle d’ores et déjà les premières observations que voici :
- Sur la réaction des responsables des organisations islamiques en France.
On comprend leurs solennels appels à ce que l’on ne confonde pas tous les musulmans avec l’islamisme jihâdiste et terroriste et il serait en effet odieux de le faire. Cela dit, l’islam mettant par-dessus tout en avant « l’oumma », sa réalité communautaire universelle, comment se fait-il qu’ils n’aient jamais essayé de la faire évoluer ? Car, pour ne considérer que ces pays phares de l’islam que sont l’Arabie Saoudite, l’Iran, le Qatar, la Turquie, le Pakistan, comment admettre sans réagir que la conversion d’un musulman à une autre religion y soit frappée de la peine de mort ? Pourquoi n’ont-ils jamais rien dit pour que soit libérée Asia Bibi au Pakistan, et comme elle tous ceux qui dans ces pays et bien d’autres sont devenus ou ont été atrocement fouettés puis pendus pour avoir été simplement suspectés d’une parole pas suffisamment respectueuse pour la personne du « prophète » Mahomet ? Vont-ils enfin solennellement énoncer que toutes les occurrences de violence cruelle de ce prophète tels que rapportés dans le Coran et les Hâdiths ne doivent plus être modélisés, reçus comme de parfaits exemples à suivre, comme le font les jihâdistes, mais comme des anecdotes qu’il est absurde et anachronique de pérenniser ? Vont-ils enfin parler et agir pour que partout dans l’oumma puisse désormais être établie et garantie la liberté et l’égalité religieuses, condition fondamentale de la liberté et de l’égalité civique ?
- Sur la liberté de pensée et d’expression.
L’AGRIF est très attachée à cette liberté fondamentale de notre civilisation. Comme toute liberté, les lois doivent la garantir et la border. Elle ne peut être la liberté de l’injure, de la diffamation, de l’incitation à la haine ou de déni de la dignité humaine. Elle implique le droit de désaccord, le droit de réplique, le droit de réfutation et surtout le droit de réponse et sinon, celui des procédures judiciaires prévues par la loi. Étrangement, beaucoup trop de ceux qui se targuent de défendre cette liberté d’expression sans limites la refusent en pratique à ceux dont ils ne partagent pas les idées. On vient encore de le vérifier avec les vociférations de toute une intelligentsia de gauche contre un Éric Zemmour. Plus stupéfiante et même abjecte est la position de ceux qui réclament pour leurs productions comme un droit absolu d’intouchabilité, l’interdiction de l’expression de tout désaccord, de toute réplique par voie de presse, de manifestation, et le droit aussi à faire appel à la loi par les procédures prévues. Qu’en est-il réellement de cette liberté d’expression, si, en parfaite contradiction avec l’exaltation de son principe elle excluait le droit de protester et réagir contre les provocations de Charlie Hebdo, ses expressions de dérision, de mépris et trop souvent de haine, le droit enfin de trouver dégueulasses certaines de ses productions scatologiques et pornographiques. Devrait-on aujourd’hui, nous qui ne sommes pas Charlie, dans l’émotion du drame et des deuils oublier les encouragements de ce périodique aux chanteurs de rap appelant au viol et… au meurtre, notamment de policiers ? Devrait-on oublier la jovialité sarcastique avec laquelle jadis le dessinateur Siné, alors dans ce journal, commenta la mort de Jean-Pierre Stirbois ? Devrait-on oublier la violence des écrits antichrétiens avec la non douteuse plaisanterie de considérer joyeusement l’idée de les « redonner à bouffer aux lions » ? Les dessinateurs et employés de Charlie Hebdo sont hélas morts, assassinés par ceux qui ont pris au pied de la lettre les plus abominables éructations des rappeux ! Et sont hélas tombés aussi les policiers contre lesquels ces éructations appelaient au traitement par la « kalach ». L’AGRIF tient tous ces textes à disposition. Elle a aussi en archive les déclarations de Me Malka, l’avocat de Charlie Hebdo, rappelant à des musulmans indignés que « contre les chrétiens, Charlie Hebdo en avait fait « cent fois plus » ! Les chrétiens indignés, eux, avec l’AGRIF, ont quelquefois, face aux outrances les plus criardes, réagi devant la justice.
La réaction par le procès, c’est le propre de la civilisation ! Les islamistes, eux, ont répondu hier à Charlie Hebdo par le massacre. C’est le fait de la barbarie la plus sauvage ! Ceux qui osent mettre sur le même plan les deux attitudes sont des misérables ! Pour l’honneur de ses morts, instituer désormais pour ce journal satirique une sorte de privilège de liberté illimitée d’expression, d’inconditionnalité, d’infaillibilité, d’intouchabilité, serait les instrumentaliser dans une abomination liberticide. À rebours, du respect qu’on leur doit.
Bernard Antony, président de l’AGRIF
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LES NOUVEAUX MAÎTRES DU MONDE
« Les nouveaux maîtres du monde sont riches et ne voient rien d’autre que leur richesse »(Sébastien Lapaque)
Depuis 1962, la France est devenue un paradis fiscal pour les dirigeants algériens –anciens apparatchiks du FLN qui investissent à coups de millions d’euros dans l’immobilier parisien, notamment le 16ème arrondissement, le boulevard Haussmann, le parc Monceau, les résidences à Neuilly et sur la Côte d’Azur… tout en négligeant de régler leurs frais médicaux et d’hospitalisation dont la note –pour l’ensemble des Algériens soignés en France- s’élève à 600 millions d’euros dont 34 destinés à la sécurité sociale. L’Algérie doit donc à la France 10% du déficit annuel de l’assurance maladie qui s’élève à 6 milliards d’euros.
Selon Marisol Touraine, la ministre française de la Santé, 15 des 34 millions au titre de ses arriérés médicaux auraient été remboursés par l’Algérie… Quant au reste ( ?)…
Dans les pays du Golfe, l'émergence des pétrodollars alimentant les bulles financières les plus variées, on construit sur le sable du désert des tours de 800 mètres de haut pour atteindre le paradiset des pistes de ski sous cloche réfrigérée.
Au Qatar, devenu en 2010 le pays le plus riche au monde en termes de PIB par habitant, des esclaves asiatiques construisent des stades climatisés pour préparer -à la surprise totale et la suspicion générale- la coupe du monde de football de 2022… que Sarkozy, Platini et Zidane ont honteusement cautionnée. Selon de nombreux reportages et témoignages, le Qatar a obtenu ce suprême honneur en versant de généreux pots-de-vin à des officiels corrompus…
Dans une interview à « France Football », Mme Phaedra Almajid, ancienne chargée de la communication du comité de candidature Qatar 2022, raconte avoir vu des responsables qataris proposer de l'argent à des dirigeants du football africain lors d’une réunion qui s'est tenue dans une suite d'un hôtel de Luanda, la capitale de l'Angola, où était organisé en janvier 2010 le congrès de la confédération africaine. La « transaction » argent contre soutien se serait élevée à un million et demi de dollars… mais qu’importe la morale ! Cet Etat confetti de 2 millions d’habitants et ses dirigeants ont de l’argent ; seul, cela compte !...
Et cette morale fait fi des souffrances humaines que génère cet évènement mondial… C’est ainsi qu’en septembre 2014, Hillel Neuer, directeur exécutif de UN Watch, une ONG observatrice au sein du Conseil des droits de l’homme (CDH) de l’ONU, a cité le chiffre dramatique des « 1,4 millions de travailleurs migrants qui sont en train de mourir au rythme d’un par jour et qui travaillent dans des conditions inhumaines, et, qu’au rythme actuel, plus de 4000 travailleurs migrants vont encore mourir pour construire l’infrastructure pour la coupe du monde 2022 au Qatar »…
Ces esclaves des temps modernes travaillent, en effet, sous 45°, 18 heures par jour, 7 jours sur 7, dorment à même le sol et se nourrissent de subsides… dans l’indifférence d’une FIFA corrompue aux ordres de Joseph « Sepp » Blatter.
Mais là ne s’arrête pas la « folie des grandeurs » de cet Etat « soudoyeur » aux ambitions illimitées qui a offert asile du 3 au 7 décembre 2014 aux 12èmeschampionnats du monde de natation en petit bassin, qui organisera en 2015 (on en parle moins) le Championnat du Monde de Handball et qui concourt actuellement pour l’obtention des Mondiaux d'Athlétisme (2019) et des Jeux Olympiques d'été (2024)…
Pour rappel, le Qatar est propriétaire, en France, des droits de diffusion de la ligue 1 de football et des clubs Paris Saint-Germain Handball et Football…
A quand l’acquisition du Tour de France cycliste ? On est en phase avec une époque où tout s’achète et tout se vend : Les hommes comme l’immobilier ; les sportifs comme les œuvres d’art…
Cependant, le scrupule et la morale sont ressentis différemment au sein de l’élite sportive mondiale… C’est ainsi que dans son édition du 22 décembre 2014, le quotidien catalan « Mundo Deportivo » titrait à propos du FC Barcelone :
Le FC Barcelona renonce aux 170 millions d’€ du Qatar
« No renovarian el contrato a Qatar y no les gusta la camiseta con rayas horizontales ». (Ils ne renouvelleront pas leur contrat avec le Qatar et, d’ailleurs, ils n’aiment pas le maillot à rayures horizontales).
Selon le porte parole du club, le Barça avait un contrat de 170 millions d’euros par an pendant 6 ans avec la « Fondation du Qatar » depuis décembre 2010. Le contrat expire en 2016 mais le FC Barcelone a décidé de ne pas le renouveler en raison des « conditions inhumaines dénoncées comme de l’esclavage que font subir les richissimes Qataris aux travailleurs étrangers qui construisent le stade et les infrastructures de la Coupe du Monde 2022, ainsi que les problèmes récurrents de corruption qui entourent la Coupe du Monde ».
Belle leçon de morale à l’attention de ceux qui ont cautionné –par intérêt- une si méprisable attribution…
Dans l’hexagone, le Qatar n’est pas en reste… Spécialiste de la corruption des politiciens français, il rachète la France par appartements, châteaux et hôtels. C’est ainsi qu’il a fait main basse sur la plupart des bâtiments de grand standing et des palaces, tant de la capitale que de la Côte d’Azur…
Par ailleurs, l’Emir, Cheikh Tamim bin Hamid al-Thani, de par la puissance « persuasive » de ses moyens financiers, fait en ce moment pression pour la nomination de son ancien Premier Ministre, Hamad Bin Jassim, au poste de Secrétaire Général de l’ONU, actuellement occupé par Ban Ki-Moon dont le mandat s’achève en 2016.
A noter aussi l’implication de ce même Qatar dans le financement des groupes terroristes islamistes, particulièrement celui des Frères Musulmans en Egypte, des milices islamistes libyennes, duHamas en Palestine et de l’Etat Islamique (information confirmée par le gouvernement égyptien) que Gerd Mueller, Ministre allemand de l’aide au développement, a dénoncé en ces termes : « Le financier du Califat Islamique est le Qatar ! » (cité par Hillel Neuer).
Alors que le Qatar affirme hypocritement combattre l'extrémisme et a rejoint la coalition contre l'Etat islamique, différents rapports sur le terrorisme du département d'Etat américain montrent que des Qataris financent, avec l'aval de l'émirat, le mouvement djihadiste en Irak et en Syrie.
C’est ainsi que dans une correspondance signée par Saad Mohamed Saad Al-Tamimi, directeur des Affaires administratives et financières au Ministère des Affaires Etrangères du Qatar, il est officialisé l’envoi par ce dernier d’un montant de 2,5 millions de dollars US au leader islamiste sunnite irakien Harith Al-Dhari, afin qu’il finance l’Etat Islamique… Dans une autre correspondance, il est question d’une « aide » portant sur un montant de 1,375 millions de dollars US pour l’acquisition d’équipements médiatiques (caméras, matériels de diffusion, etc…) afin de filmer les atrocités des barbares de l’EI et les diffuser aussitôt sur les réseaux sociaux, ainsi que d’une somme supplémentaire de 612 000 dollars US à répartir dans des enveloppes destinées à financer « le réseau de recrutement des volontaires ».
Les milliards de dollars engrangés par la manne pétrolière ont fait des pays du Golfe les créanciers de la planète… et les financiers du terrorisme international. Sur ce point, Gérard Chaliand, expert belge, enseignant à l’École supérieure de guerre, déclarait le 25 septembre 2014 sur France Inter : « Les États du Golfe ont joué un rôle-clé : des fonds privés sont allés alimenter l’État islamique ».
Et c’est ainsi que la bêtise arrogante, l’avilissement, la lâcheté, les manquements et les compromissions des gouvernements français (successifs) et occidentaux, ont crédibilisé la honteuse dictature de ces pays « amis », révélant, de fait, leur nature corruptrice. Les complaisances et les manigances dans leurs misérables intrigues, l’oubli généralisé du bien commun et de l’intérêt des peuples ne fait que les rendre plus voyants et plus intolérables.
« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »…
José CASTANO
Commentaire
Les évennements de ces derniers jours ne sont que le début d'une guerre de conquètes islamiques en Europe soutenue financièrement par certains pays du moyen orient.
Le but est d'installer la peur qui engendre la soumission à l'islam, telle est la actique employée par Daesh bras armé de ces riches etats islamiques .
Ce n'est que le début d'une vague de petits attentats plus nécessairement commis par des kamikazes. Leurs auteurs trouvant refuge dans les banlieues < zones de non droit >
Cette tactique de guerre déjà employée par le FLN en Algérie nous rappelle que le monde musulman et ses Imams n'est pas un monde de Bisounours,
ceux sont des hypocrites qui avancent leurs pions l' un après l'autre avec ruse et fourberie .
Ne faisont pas d'amalgame entre musulmans modérés et Islamistes disent ils.
Preuve en est que ceux sont les musulmans qui créent l'islamiste qui lui même engendre le terrorisme .
Terrorisme nécessaire à l'Islam pour son épanouissement mondial.
Depuis toujours les différentes factions islamiques se battent entre elles pour la conquète du pouvoir, avoir importé un trop grand nombre de musulmans sur notre sol n'a fait que déplacer le problème.
Des jours plus sombres encore nous attendent, certains l'ont vécu déjà en Algérie et savent ce qu(il en retourne: devrons nous aussi choisir un jour entre la valise ou le cercueil .
Les techniques de guerrilla employées sont les mêmes et ils ont déjà trouvé dans le peuple de France des islamo-collabos porteurs de valises.
C'est bien la confirmation que l'histoire se répète .
Communiqué du mercredi 7 janvier 2015 Charlie Hebdo : personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l'immigration massive et l'islamisation
Il y avait peu de doutes dès l'origine, il n'y en a désormais plus aucun : la rédaction de Charlie Hebdo a été victime d'une attaque islamiste. Nos premières pensées vont vers toutes les victimes (et notamment les policiers, trop vite oubliés dans les commentaires médiatiques et politiques) et leurs familles.
Le défilé de dirigeants politiques appelant les uns après les autres à "l'union nationale" a quelque chose d'odieux. D'odieux car ce sont précisément eux qui sont responsables de la situation terrible dans laquelle est désormais plongée notre pays ! Responsables de l'immigration massive et donc de l'islamisation en découlant, responsables de la passivité et même parfois de la complicité avec les associations islamistes (au plan local comme national), responsables enfin de la faiblesse de la réponse face à la menace djihadiste. Personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l'immigration massive et l'islamisation de notre pays. Pour cela, ce n'est pas d'union nationale derrière ces dirigeants qui ont failli mille fois dont nous avons besoin mais d'un sursaut national les chassant du pouvoir !
Dans un récent entretien avec la revue littéraire américaine "Paris Review", Michel Houellebecq - auquel nous avons adressé une lettre ouverte hier pour son dernier ouvrage - s'interrogeait : « En fait, on ne sait pas bien de quoi on a peur, si c'est des identitaires ou des musulmans. » Il semble bien que les dramatiques événements de ce jour lui aient apporté une réponse.
Le Bureau politique du Bloc Identitaire
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Attaque de Charlie Hebdo : au moins 12 morts. « Les assaillants ont crié Allahou Akbar – Le Prophète a été vengé ». Morts de Cabu, Charb et Wolinski.
Attentat islamique contre Charlie Hebdo : Tous à Paris jeudi 8, 18 heures
COMMUNIQUE DE PRESSE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET RIPOSTE LAIQUE
Attentat islamique contre Charlie Hebdo : rassemblement, place de la Bourse, Paris, Jeudi 8 janvier, à 18 heures
Le gouvernement voulait cacher aux Français qu’une guerre était déclarée à notre peuple, sur notre territoire, au nom de l’islam. Faisant preuve d’un rare déni de réalité, le ministre de l’Intérieur et tous les services de l’Etat, relayés par de trop nombreux journalistes, essayaient de convaincre les Français que ces attaques de fanatiques criant « Allah akbar » n’étaient que le fait de déséquilibrés.
Le drame qui vient de frapper la rédaction de Charlie Hebdo, des policiers et des passants apporte un cinglant démenti à ce discours officiel. C’est un acte de guerre qui, par son ampleur, montre que les islamistes ont décidé à passer à la vitesse supérieure, respectant par ailleurs les consignes du porte-parole de l’Etat islamique, qui appelait les musulmans de France à s’en prendre à nos compatriotes avec des fusils, des pierres et des voitures.
Devant la multiplication des agressions quotidiennes, parfois mortelles, subies par nos compatriotes, et l’inaction de ce gouvernement, nos associations avaient décidé d’organiser, ce samedi 18 janvier, un rassemblement, place de la Bourse, avec l’intervention d’animateurs associatifs et politiques français, mais aussi allemand, italien et suisse, sur le mot d’ordre : égorgeurs, déséquilibrés, chauffards, ISLAMISTES HORS DE FRANCE.
Tout en maintenant ce rassemblement, les organisateurs appellent les Parisiens à se rassembler également, le jeudi 8 janvier, à 18 heures, place de la Bourse, d’abord pour rendre hommage aux victimes, mais aussi pour protester contre l’incompétence de ce gouvernement et de son ministre de l’Intérieur. Non seulement ce ministre ne mène aucune action efficace contre l’islamisation de notre pays, mais il insulte quotidiennement les patriotes qui luttent contre le fascisme islamique.
Nous l’accusons, par sa complaisance envers les soldats d’Allah qui agissent en toute liberté sur le territoire français, de mettre délibérément la vie de nos compatriotes en danger.
Nous invitons également les non franciliens à se rassembler , eux aussi, dans le même but sur la place de la Mairie du chef-lieu de leur département à partir de 18h demain soir jeudi 8 janvier.
Christine Tasin
Pierre Cassen
http://youtu.be/NWvP06CulXE
https://fr.news.yahoo.com/video/en-direct-sur-france-24-150000499.html
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Monsieur le Président de la République,
Il n’est pas fréquent qu’un général s’adresse au président pour exprimer son inquiétude et sa crainte pour l’avenir de la nation française. Mais au lendemain de l’inauguration du musée de l’immigration, je souhaiterais vous faire part de mon désaccord – probablement commun à beaucoup de Français – sur l’esprit d’une partie de votre discours prononcé à cette occasion.
Vous y fustigez en effet, ceux qui agitent la peur d’une « dislocation » de la France. Vous y dénoncez un « sentiment de dépossession, entretenu avec malice sinon avec malignité » soulignant – à juste titre – qu’un Français sur quatre est issu de l’immigration et insistant – toujours à juste titre – sur la nécessité de rappeler aux Français d’où ils viennent et quelles sont les valeurs qu’ils portent. Vous vous déclarez, à nouveau, favorable au droit de vote des étrangers en affirmant que « rien ne peut se faire sans une révision de la Constitution, ce qui suppose une majorité des 3/5 au Parlement » et appelez, pour y parvenir, les forces républicaines à prendre leurs responsabilités.
Vous permettrez qu’après avoir servi l’État et la Nation sous l’uniforme pendant une quarantaine d’années, le citoyen engagé que je suis, attentif aux évolutions du monde et soucieux des intérêts de la France et de son peuple, ne militant dans aucun parti politique car attaché à sa liberté de pensée et d’expression, vous porte respectueusement la contradiction.
Tout d’abord, il n’est pas exact de dire que rien ne peut se faire sans une révision de la Constitution. En effet, cette dernière prévoit en son article 89 une seconde possibilité, à savoir le référendum. Encore faudrait-il que nos gouvernants successifs cessent de considérer le référendum comme un plébiscite ou pire, que subodorant le résultat contraire à leurs vœux ils ne l’utilisent pas estimant que le peuple n’a pas son mot à dire sur des sujets qui concernent pourtant son avenir. Et sur le droit de vote des étrangers extracommunautaires, pour des raisons évidentes mais que vous ne souhaitez pas évoquer, le peuple a son mot à dire. Il est même souverain en dernier ressort. Ne pas le consulter dans un cas aussi essentiel, c’est simplement le mépriser, ce qui n’est pas de nature à privilégier la sérénité. Les conséquences d’un tel mépris, dont le peuple est habitué depuis longtemps, sont désastreuses et funestes sur le fonctionnement de notre démocratie. Car, frustrés et impuissants mais furieux, les citoyens ont de plus en plus tendance, devant ce qu’ils considèrent comme du laxisme, un manque de courage, un déni de réalité et donc un renoncement de la part de leurs responsables politiques, à vouloir se venger soit en boycottant l’isoloir, soit en donnant leur voix à ceux qui ont affiché clairement une stratégie qui vise à violer intentionnellement et sans ambiguïté le politiquement correct. Et au bout du compte, lorsque la réalité est ignorée et occultée de façon si peu responsable et pendant si longtemps, les conséquences d’une telle dérive sont incalculables et imprévisibles. Car on fait savoir depuis trop longtemps aux citoyens que leur avis n’a aucune importance. Mais il arrive un moment où un peuple éduqué dans l’idée démocratique, cependant las d’être ignoré par ses élites, pourrait exiger d’être écouté.
Cela dit, j’approuve totalement votre propos lorsque vous insistez sur la nécessité de rappeler aux Français d’où ils viennent et les valeurs qu’ils portent, mais à condition de ne pas considérer que l’histoire de France commence avec la Révolution française et de ne pas accepter le délire de certains, arrivés récemment dans notre pays, qui estiment que l’histoire commence avec eux. La France est un vieux pays qui a une histoire de deux mille ans et qui est depuis quinze siècles un pays catholique même si la sécularisation est passée par là. Elle possède donc un héritage historique, spirituel et culturel qui a fait ce qu’elle est et que nous avons à défendre, à faire fructifier et à transmettre.
En vous écoutant, certains de vos propos provoquent une incompréhension qui interpelle naturellement les citoyens. En effet, qui contesterait que la richesse de l’héritage légué par les migrants au fil du temps fasse partie de l’identité française ? La réponse est claire : personne. Personne, pour une simple et bonne raison, c’est que ces migrants, dont nombre d’entre nous sont les descendants, n’ont pas été intégrés mais se sont intégrés et ont été assimilés dès la deuxième génération.
Mais alors, où est le problème ? Pourquoi est-il si difficile aujourd’hui de parler de l’immigration, sujet devenu tabou ? Pourquoi certains de nos concitoyens ne se sentent-ils plus chez eux ? Pourquoi est-on dorénavant abreuvé sans cesse de termes comme laïcité ou vivre-ensemble qui n’avaient jusqu’à récemment pas besoin d’être évoqués tant ces principes étaient vécus par les citoyens presque sans le savoir, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir ? Leur usage répétitif et intempestif ne constitue-t-il pas, en fait, un aveu de reconnaissance d’un véritable problème qui se pose aujourd’hui pour l’unité de la nation ?
La réponse est simple mais, comme d’autres, vous ne voulez pas l’évoquer : l’immigration que la France a connue jusqu’au milieu des années 1970 était d’origine européenne, donc de culture commune nourrie par l’héritage chrétien qui est le trésor non seulement des chrétiens mais de toute l’Europe, ce qui a facilité l’assimilation dès la deuxième génération. En revanche, l’immigration que notre pays subit depuis l’adoption de mesures comme le regroupement familial, puis les régularisations massives de clandestins de 1981 et 1997, mais également celles effectuées régulièrement (au moins 30 000 par an) – sachant que qui dit régularisation, dit regroupement familial dans la foulée – est de nature totalement différente par sa culture modelée par l’islam. Cet islam qui ne connaît que les droits de Dieu et ne reconnaît pas, de fait, la séparation du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel ni, par voie de conséquence, les droits de l’Homme. Cela conduit inévitablement à des situations non seulement insupportables et mal vécues par nos concitoyens mais qui deviennent dangereuses pour l’avenir. Et alors que déjà en 1981, M. Georges Marchais (personnage plutôt positionné à gauche sur l’échiquier politique, vous en conviendrez) tirait la sonnette d’alarme avec sa lettre – plus que jamais d’actualité – adressée au recteur de la Mosquée de Paris et publiée le 16 janvier dans le journal L’Humanité (*), nos gouvernants n’ont, depuis, toujours rien changé, fermant les yeux sur un sujet pourtant capital pour l’avenir de la nation. Il n’est tout de même pas difficile de comprendre (l’actualité quotidienne nous le démontre) que sous les coups de boutoir d’une radicalisation des esprits d’une partie de cette immigration nous courrons au-devant de lendemains douloureux car sa culture n’est pas celle de notre conception chrétienne de la liberté, de la dignité et du respect de la personne humaine et de la distinction des pouvoirs. Des valeurs universelles léguées par notre civilisation gréco-romaine et chrétienne, celles de nos racines : Athènes, Rome et Jérusalem. Vous avez donc raison, il faut rappeler aux Français d’où ils viennent. Cela permet ainsi de mettre en évidence le fossé qui existe entre les valeurs que porte et promeut la France et celles revendiquées par une partie de plus en plus importante de ceux qui se réclament de l’islam et de mieux comprendre les réactions de nos concitoyens que vous considérez à tort comme un repli sur soi, un rejet de l’autre qui serait marqué par « un sentiment de dépossession, entretenu avec malice sinon avec malignité ». Nos concitoyens sont simplement lucides et consternés devant un tel manque de clairvoyance.
Car il faut également écouter certains responsables religieux musulmans, sur notre propre sol, qui ne sont d’ailleurs nullement inquiétés par les pouvoirs publics : « Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » – « L’assimilation suppose que les populations islamiques se fondent à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle. »
Leur message est clair et appliqué par leurs fidèles. Le nier ou vouloir l’occulter est faire preuve de déni de réalité et compromettre ainsi l’avenir. D’ailleurs, pourquoi nos parlementaires ont-ils été conduits à voter une loi sur l’interdiction du port du voile à l’école ? Pourquoi une loi sur l’interdiction de la burqa ? Pourquoi une charte sur la laïcité dans les écoles ? C’est bien la preuve que l’islam pose problème à nos sociétés européennes et que ces différences de comportement ne sont pas, comme certains voudraient nous le faire croire, le produit de contextes sociaux made in France mais bien importés par une culture incompatible avec nos traditions et notre mode de vie.
Le cardinal De Richelieu affirmait que « la politique consiste à rendre possible ce qui est nécessaire ». Et ce qui est nécessaire aujourd’hui c’est la refondation urgente de notre politique sur l’immigration et l’application ferme de nos lois. Au lieu de cela, vous affirmez à nouveau la nécessité d’accorder le droit de vote (et d’éligibilité) aux étrangers extracommunautaires, en vous gardant bien de demander son avis au peuple. Il faut bien que vous compreniez que l’instauration d’un tel droit mènerait indubitablement à l’émergence d’une société biculturelle qui ne pourra que se déchirer car conduisant vers la libanisation de notre pays et donc, à terme, vers la guerre civile.
Car en adoptant une telle mesure, à un moment où l’intégration ne fonctionne plus sous l’effet du nombre, il n’est pas difficile de comprendre que des groupes de pression se mettront inévitablement en place pour chercher à imposer encore plus leurs revendications. Comment ne pas comprendre que nos valeurs, nos principes de vie, nos relations seront profondément affectées si des millions d’étrangers originaires d’Afrique et du Maghreb ont leur mot à dire sur la vie quotidienne de la cité ? Comment ne pas comprendre que c’est ouvrir un boulevard aux partisans du communautarisme, qui plus est un communautarisme dorénavant agressif et vindicatif ? Il semble que le bon sens ne soit pas une qualité répandue chez nos responsables politiques. Pourtant, l’une des tâches nobles du politique est de maintenir et entretenir l’unité de la Nation laquelle ne peut exister qu’à la condition que la société possède un minimum de cohérence interne. Il serait donc temps non seulement de cesser d’accepter mais de revenir sur cette multitude d’accommodements sans fin imposés en fait à la société française alors que c’est à celui qui est accueilli de s’adapter à sa nouvelle vie et non pas à celui qui le reçoit. Car en acceptant ces dérives, nos responsables politiques encouragent la surenchère avec des revendications inacceptables et insupportables qui ont conduit, entre autres – c’est tout de même ahurissant – à introduire des méthodes barbares dans l’abattage des animaux contraires à nos traditions et aux principes d’une société civilisée, ou à ce que nos lois ne soient pas appliquées partout car non acceptées par certains.
C’est ainsi qu’une crise identitaire est imposée à notre nation, car c’est bien de cela dont il s’agit. Elle n’aurait jamais dû se produire si nos responsables politiques avaient œuvré, et ce, depuis une quarantaine d’années, pour le bien commun et dans l’intérêt de la Nation.Et le bon sens voudrait que l’on rappelle ou que l’on apprenne à cette immigration extra-européenne que la misère dans laquelle elle vivait avant de rejoindre notre pays est en grande partie la conséquence de sa culture fermée à la connaissance et au progrès. La suite logique est qu’elle doit en prendre conscience et décider de s’intégrer à la société qui l’a accueillie et qui lui offre des conditions de vie enfin décentes. Elle doit se fondre dans la masse, comme d’autres l’ont fait, pour réussir sa nouvelle vie et donner à ses enfants des perspectives de réussite dans une nouvelle culture qu’elle doit progressivement adopter pour y inscrire sa descendance. Et celui qui refuse ce pacte, n’a pas sa place chez nous. Encore faudrait-il que l’école abandonne un système insensé et suicidaire qu’elle applique et maintient depuis une quarantaine d’années et qui constitue un frein puissant à l’intégration des jeunes immigrés malgré les avis successifs émis par le Haut Conseil à l’Intégration et curieusement ignorés. C’est ainsi que notre école prépare des lendemains qui seront difficiles avec la violence comme seul outil d’expression. Mais, on l’a bien compris, le problème que pose cette immigration n’est pas tant le pays d’origine que la culture qui la réunit. Cette dernière est modelée par l’islam qui est, il faut bien l’admettre, incompatible avec nos sociétés européennes démocratiques. D’ailleurs, ces immigrants et même leurs enfants nés dans notre pays et appelés à devenir français à 18 ans par le droit du sol (90.000 chaque année), restent viscéralement très attachés à la nationalité du pays d’origine et à leur religion à laquelle ils font allégeance pour la plupart. Et les premiers résultats d’une telle politique suicidaire menée par l’Éducation nationale se sont concrétisés avec les émeutes que le pays a connues en fin d’année 2005. Elles se reproduiront. Une dizaine d’années plus tard, les choses se sont aggravées avec les bombes à retardement que représentent les Merah, Nemmouche, Kelkhal, et autres djihadistes dans nos cités dont les rangs ne cessent de croître pour atteindre aujourd’hui, il faut être lucide, plusieurs milliers d’individus potentiellement dangereux. Comment interpréter le sondage d’ICM Research qui révèle que 27% des 18 à 24 ans et 22% des 25 à 34 ans dans notre pays ont une opinion favorable à l’État islamique ? Cela ne doit-il pas interpeller nos responsables politiques et les amener à en tirer les conséquences en révisant leur vision idyllique et angélique de cette « France rêvée de 2025 » qui risque de tourner au cauchemar ? Gouverner, n’est-ce pas prévoir ?
Alors une question lancinante taraude les citoyens fidèles à leurs racines et attachés aux valeurs qui ont fait la France : combien d’immigrés de culture différente une société peut-elle accueillir sans rompre son équilibre identitaire, sans mettre en péril son identité et donc son unité ? Pouvez-vous admettre que les citoyens ne comprennent pas l’intérêt qu’il y a à favoriser une mutation de notre identité à marche forcée en accueillant toujours plus d’immigrés de culture différente, voire hostile à la nôtre, qui plus est alors que d’un simple point de vue financier notre pays ne peut plus se le permettre ? C’est une simple question de bon sens et non pas une réaction xénophobe qui serait « entretenue avec malice et malignité ».
Il est vrai que dans notre pays, depuis plusieurs années, la bienpensance et le politiquement correct règnent dans la tête de la plupart de nos responsables politiques ainsi qu’au sein d’une grande partie de nos médias incapables de traiter les faits avec objectivité mais en revanche prompts à se comporter en procureurs et en juges à l’égard de ceux qui tentent d’alerter sur les dangers qui guettent notre pays en sonnant le tocsin. Le cas de l’éviction du journaliste/écrivain Éric Zemmour par une chaîne de télévision est symptomatique de cette attitude qui s’apparente à du terrorisme intellectuel. Mais Chamfort n’avait-il pas affirmé : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin » ?
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération.
Général (2s) Antoine Martinez
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