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    mardi 28 février 2012

    Le retour à nos valeurs et à notre culture n'est pas un renfermement sur soi-même - par DENVER98

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,
    - POINT DE VUE -
    À la lecture de tous ces articles et des propos tenus par nos dirigeants, une question majeure vient à l'esprit de chacun : mais pourquoi font-ils cela ??
    Comment est-il possible que ces chers dirigeants, de droite comme de gauche, censés être des gens instruits, intelligents, bien conseillés par des spécialistes dans tous les domaines, ne soient pas en mesure de constater cette invasion lente et insidieuse qui menace nos propres cultures, nos valeurs de liberté et de laïcité, nos tradition et même notre religion? A tel point donc que, selon ces articles qui relatent la réalité de ce qui se passe en France et en Europe, cette invasion non guerrière serait favorisée par tout un tas de lois, textes et mesures officielles !


    Alors pourquoi ? Quels sont les buts recherchés ?

    - Avons-nous un taux de natalité trop faible en Europe qui permette le renouvellement normal de nos générations?
    - Sommes-nous en manque de main d'œuvre dans tout un tas d'emplois peu ou non qualifiés?
    - Les pays bénéficiant de ces mesures visant à favoriser cette émigration de leurs ressortissants apportent-ils à la France et à l'Europe des contreparties dont nous ignorons la teneur?
    - L'Algérie, pays à l'économie exsangue mais étant un des états majoritairement bénéficiaires de nos lois facilitant l'immigration, nous vendrait-elle son gaz et son pétrole à des tarifs plus bas?

    Toutes les réponses à ces questions se résument en un petit mot : "NON"!

    Alors quels intérêts ont nos dirigeants à favoriser à ce point la destruction lente mais inexorable de nos valeurs et de notre culture ? Est-ce, surtout en cette période, dans le but d'obtenir des voix pour le prochain scrutin présidentiel ? Cela voudrait donc dire, si c'était le cas (mais je n'ose y croire), qu'ils font passer leur propre intérêt particulier devant celui de la nation qu'ils espèrent gouverner ! Devant celui de millions de Français qui travaillent dur pour vivre, qui paient leurs impôts, qui participent activement à ce qu'ils croient être les valeurs de notre pays, mais qui, pour la plupart d'entre eux, dont je fais partie, ne se reconnaissent plus dans cette France dite "multiculturelle" (comme si l'islam intégriste et la Charia pouvaient être considérés comme une culture !...). Que sont devenues ces images tant vues et tant aimées du  Marseille de Pagnol à la "belle époque" ? Il suffit d'aller sur le marché du port pour se rendre compte du changement radical qui s'est opéré en quelques décennies !

    Toutes ces lois et décisions politiques sont surtout une insulte pour toutes celles et ceux qui se sont battus et qui sont morts pour la défense de notre patrie, de notre culture et de nos valeurs ! Durant des siècles, les invasions se faisant de façon guerrière et violente, et étaient repoussées de la même manière, Charles Martel pourrait en témoigner. Nous faisons face maintenant à une invasion lente et insidieuse, perfusion au goûte à goûte dans le sang de notre patrie, et donc d'autant plus dangereuse qu'elle anesthésie nos consciences et notre jugement face au danger qui nous menace.

    Un fossé existe donc entre ceux qui nous gouvernent  et semblent, pour le moment, incapables de prendre conscience de la réalité des choses, et le peuple Français qui vit journalièrement les difficultés et les problèmes liés à cette immigration sauvage de gens qui ne cherchent nullement à s'intégrer et à respecter nos valeurs et notre culture. Que faut-il faire pour que la France et l'Europe se réveillent ? Bien entendu, montrer que nous, contrairement à bien d'autres,  avons des valeurs démocratiques, et que nous les respectons. Les urnes sont donc, pour le moment, la meilleure façon d'exprimer nos sentiments. Chacun est donc face à sa conscience lors du choix de ce petit bulletin, ne vous trompez pas ! Il y va de l'avenir de notre pays et de celui de nos enfants ! Le monde de demain se construit en ce moment, et si vous ne voulez pas voir les clochers de nos villages remplacés par des minarets, optez pour le choix qui vous paraîtra le plus judicieux lors du prochain vote.

    Rappelez-vous que le retour à nos valeurs et à notre culture n'est pas un renfermement sur soi-même, contrairement à ce que nombre de bien-pensants peuvent dire, mais bien une ouverture sur tous ceux qui sont en mesure des les comprendre et de les respecter, sans chercher à imposer celles qu'ils défendent, qu'elles soient bonnes ou mauvaises.

    Vive la France, vive le Peuple Français

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  • Ordre de la Francisque

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
    Pavillon particulier du maréchal Pétain orné de la francisque.

    L’ordre de la Francisque gallique est une décoration qui fut attribuée par le Régime de Vichy en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain.

    Elle devait être « le symbole du sacrifice et du courage et rappeler une France malheureuse renaissant de ses cendres ».

    Elle est créée, approuvée et régie par les dispositions des arrêtés du 26 mai 1941 de la loi du 16 octobre 1941 et les décrets des 14 mars 1942 et 31 juillet 1942. La Francisque est déclarée « insigne du Maréchal de France Chef de l'État Français ».

    Bien qu'étant l'insigne de Pétain à titre personnel, la francisque est progressivement utilisée sur les documents officiels comme symbole de l’État français en tant que personne morale[1].

    Sommaire

    [masquer]

    Conditions et serment[modifier]

    Le candidat devait avoir 2 parrains, « présenter des garanties morales incontestées et remplir deux des conditions ci-après : avant la guerre, avoir pratiqué une action politique nationale et sociale, et conforme aux principes de la Révolution nationale : manifester depuis la guerre un attachement actif à l'œuvre et à la personne du maréchal : avoir de brillants états de services militaires ou civiques ». Il devait prêter ce serment : « Je fais don de ma personne au Maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m'engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre. »

    Attribution et Révocation[modifier]

    La distinction est attribuée soit directement par le chef de l'État, soit par le « Conseil de la Francisque » composé de douze membres, nommé par le chef de l'État et présidé par le grand chancelier de la Légion d'honneur. Elle peut être révoquée dans les mêmes conditions car dépendant d'une carte d'autorisation spéciale.

    Médaille[modifier]

    Insigne : 26,5 mm de haut sur 19,4 mm de large, cet insigne prétend rappeler la forme de la hache de guerre des Francs et des Germains (la francisque était en réalité une arme de jet à un seul fer, la hache à double tranchant est appelée labrys). Le bâton de maréchal émaillé de bleu, à 10 étoiles et extrémités dorées, est le manche où s'attachent 2 fers émaillés de tricolore. Accroché à gauche au-dessus du rabat d'une poche de poitrine de veste civile ou militaire. Toutes les pièces en or et or et diamants furent créées par les Ateliers Ehret à Paris. Les ateliers A. AUGIS 28 Mtée St BARTHELEMY LYON ont fabriqué des modèles en bronze et émail.

    Titulaires célèbres[modifier]

    Une liste de 2 626 titulaires, dont 3 femmes, a été reconstituée par la Haute Cour en 1945 (les archives du Conseil de la francisque ayant été détruites). L'ouvrage de l'Archiviste Jérôme (pseudonyme d'Henry Coston), L'ordre de la Francisque (Paris, Publications H.C, 1995, 64 pages), donne environ deux mille noms, dont notamment :

    Pulvar prise à partie par des gens d’extrême-droite ? La journaliste et le PS pointent du doigt le FN

    D’après le Parisien, les protagonistes de cette altercation seraient des supporters du PSG, le FN est donc hors de cause contrairement à ce que tentent de faire croire Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg.

    Plus tôt, à 20 heures, un rassemblement avait lieu près du Parc des Princes pour rendre hommage à Yann Lorence, ancien habitué de la tribune Boulogne tué il y a deux ans avant une rencontre entre le PSG et l’OM. Selon certaines sources, les individus qui ont invectivé le couple sortaient de cette manifestation.  Pour les personnalités du < politiquement correct > au moindre évènement: c'est toujours le FN ; Il serait temps que ces gens là soient poursuivis pour diffamation.


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    Je confirme que la mendicité fait partie de la stratégie musulmane

    D’abord  merci à Daniel, notre lecteur, d’avoir pris la peine de donner son avis  sur l’article publié par Riposte Laïque : « Mendicité musulmane : acte II, station Châtelet ».

    http://ripostelaique.com/mendicite-musulmane-acte-ii-station-chatelet.html

    Certes notre première réaction devant une personne qui mendie c’est un sentiment humaniste bien justifié. Daniel s’arrête à cette réaction.

    Quant à nous, nous précisons d’abord que nous avons adressé la parole à cette jeune mendiante, en français et en arabe pour l’inviter à se mettre à l’écart pour sa propre sécurité et pour celle des usagers. Elle n’a ni répondu ni réagi à notre marque d’attention.

    L’article en question n’était pas sur la mendicité mais sur la mendicité musulmane. Ce cas précis d’une mendiante, voilée, jeune, de très bonne apparence, faisant la manche à genoux, au centre d’un carrefour de plusieurs couloirs de métro, dans la grande station située au cœur de notre capitale, incite à une seconde lecture de ce phénomène. Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi une femme ? Pourquoi voilée ?

    Pour moi qui connais la stratégie de l’islam dans les pays arabo-musulmans parce que je l’ai éprouvée et vécue, pour moi qui la vois s’étendre en Europe, je sais que, pour l’islam, toute apparition dans l’espace public est une absolue nécessité. La prière musulmane dans les rues, les appels à la prière par haut-parleurs, la généralisation du voile et de la burqa, le phénomène halal, la construction de mosquées avec leurs minarets, les carrés musulmans et les nouveaux cimetières musulmans publics, le battage médiatique du ramadan … tout cela vise (et réussit, hélas) à imposer l’islam dans notre société laïque. La mendicité exercée par les femmes voilées sur les Champs-Élysées (1), dans les couloirs du métro parisien et ailleurs, fait partie de cette stratégie de visibilité constante de l’islam. C’est une stratégie de conquête de pouvoir.

    Daniel n’a pas lu ou oublié que notre article se termine par une double question : « … s’agit-il d’une mission commandée ou d’une humiliation imposée ? ». Ceux qui manquent de respect et d’humanisme à l’égard de cette femme sont ceux qui la dirigent vers la mendicité. Le problème est une exploitation des femmes par l’islam, qu’elles soient mendiantes, d’ailleurs, ou pas. Pourquoi ce ne sont que des femmes musulmanes, jamais des hommes ? Pourquoi en ce moment ? Pourquoi ici à Paris ? C’est pour montrer que l’islam s’installe en France et en Europe.

    Être humain à l’échelle individuelle est noble mais l’échelle politique impose une plus ample réflexion. Comptez-vous, par humanisme, ouvrir nos frontières, régulariser tous les clandestins sur notre sol, aider tous les malheureux  du tiers-monde ? Comptez-vous accepter, par humanisme, tout ce que l’islam nous impose ?  Être humain, Daniel, n’est pas faire le bien à quelqu’un en faisant le mal à d’autres. J’ai été gynécologue-obstétricien : autant dire que j’ai soigné avec humanité et pendant des  années des femmes française et étrangères, que j’ai cherché à  comprendre, que j’ai soutenues dans leur condition de femme. On ne saurait me reprocher de « manquer d’humanité ».

    Le but de cet article n’était pas de solliciter la compassion à l’égard d’une mendiante, mais de susciter un questionnement plus large chez le lecteur et le citoyen.

    Laïquement vôtre et au plaisir de continuer à vous compter parmi les fidèles lecteurs de Riposte Laïque qui donne ici, comme toujours, l’exemple d’une libre expression.

    Bernard Dick


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      Il y a vraiment les uns et les autres :

    PARIS - Le Conseil constitutionnel a censuré mardi la loi française pénalisant la contestation du génocide arménien en 1915, à l'origine d'une brouille entre Paris et Ankara, jugeant qu'elle était contraire à la liberté d'expression.

    Le Conseil a estimé, dans un communiqué (www.conseil-constitutionnel.fr), "qu'en réprimant la contestation de l'existence et de la qualification juridique de crimes qu'il aurait lui-même reconnus et qualifiés comme tels, le législateur a porté une atteinte inconstitutionnelle à l'exercice de la liberté d'expression et de communication".

    La loi, définitivement adoptée par le Parlement le 23 janvier, était soutenue par le président Nicolas Sarkozy, candidat à un second mandat à l'Elysée, qui avait promis le 1er février un nouveau texte en cas de censure constitutionnelle.

    Portée à l'Assemblée en décembre par Valérie Boyer, députée UMP de Marseille, où vit une forte communauté arménienne, elle avait déclenché la colère des Turcs, leur Premier ministre Recep Tayyip Erdogan y voyant "une montée de l'islamophobie et du racisme en Europe". En France, elle était qualifiée d'"électoraliste" par de nombreuses voix à gauche.

    Au terme de la loi, toute négation publique d'un génocide reconnu par la loi française était érigé en délit punissable d'un an de prison et de 45.000 euros d'amende. La France reconnaît deux génocides, celui des Juifs pendant la Seconde guerre mondiale et celui des Arméniens, mais ne punit jusqu'à présent que la négation du premier.

    Les membres du Conseil constitutionnel, saisis par des députés et sénateurs de tous bords contestant le texte, ont estimé en substance qu'une loi peut réprimer les abus de l'exercice de la liberté d'expression --c'est le principe de la loi Gayssot de 1990 contre l'antisémitisme et la négation de la Shoah--, mais pas l'exercice de cette liberté lui-même.

    "Il est loisible au législateur d'instituer des incriminations réprimant les abus de l'exercice de la liberté d'expression et de communication qui portent atteinte à l'ordre public et aux droits des tiers", explique le Conseil.

    "Toutefois, les atteintes portées à l'exercice de cette liberté, qui est une condition de la démocratie et l'une des garanties du respect des autres droits et libertés, doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées à l'objectif poursuivi", ajoute-t-il.

    Les Sages se sont appuyés notamment sur l'article XI de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 qui stipule que "la liberté de communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme".

    Ils précisent qu'ils ne se sont "pas prononcés dans cette décision sur la loi du 29 janvier 2001 relative à la reconnaissance du génocide arménien" car "cette loi ne (leur) était pas soumise". Le Conseil n'a donc "formulé aucune appréciation sur les faits en cause".

    De même, indique encore le communiqué, "le Conseil n'avait pas à connaître de la loi du 13 juillet 1990 (la loi Gayssot, ndlr)".

    La Turquie réfute le terme de génocide, même si elle reconnaît des massacres. Quelque 1,5 million d'Arméniens, hommes, femmes et enfants, ont été massacrés, selon les historiens, en Anatolie entre 1915 et 1917.< drôle de constitution et drôle de conseil > il est grand temps de changer tout çà .


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  • Ordre de mobilisation de tous les Français

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,,7 Réactions
    - RAPATRIÉS -
    Suite au colloque organisé par la fédération de France du FLN, pour apologie de crime, d'assassinats, de terrorisme, en Algérie, durant la période de 1954 à 1962, il est maintenant nécessaire d'arrêter toutes ces manifestations qui portent atteinte notre mémoire.
    La mobilisation aura lieu le
    Samedi 10 mars 2012 à neuf heures
    devant le Conseil Général, rue Guillemette à Nîmes.
    En mémoire des
    40000 soldats français mutilés et assassinés,
    150 000 harkis atrocement mutilés et exécutés,
    plusieurs milliers de pieds noirs enlevés ou assassinés
    Tous les citoyens français qui veulent venir témoigner de leur soutien à toutes ces familles frappées par ces horreurs et faire entendre leur voix pour rétablir la vérité historique et ne plus cautionner ces analyses à sens unique d'historiens étrangers parfois condamnés à mort qui sont une véritable provocation en 2012, année qui marque le cinquantenaire de l'exode des Français d'Algérie.
    Non au colloque de la désinformation .  
    PARIS- Le Parlement français a adopté définitivement lundi un texte pénalisant les injures et les diffamations publiques envers l'ensemble des anciens membres des formations supplétives de l'armée française, notamment les "harkis".
    Le Sénat a adopté en nouvelle lecture cette proposition de loi UMP telle que l'avait modifiée l'Assemblée le 20 février. Elle est donc définitivement adoptée par le Parlement. Tous les groupes, à l'Assemblée comme au Sénat, ont voté ce texte du sénateur UMP Raymond Couderc, à l'exception des élus du Front de gauche qui n'ont pas participé au scrutin.


    Ce texte, qui complète la loi du 29 juillet 1981 sur la liberté de la presse, prévoit que la diffamation contre les formations supplétives sera punissable de 45.000 euros d'amende et que l'injure sera punie de 12.000 euros d'amende.
    Le texte prévoit également la possibilité pour les associations de défense des intérêts et de l'honneur des supplétifs de se constituer partie civile.
    Cette proposition de loi fait suite aux propos tenus le 11 avril 2006 par le président de la région Languedoc-Roussillon Georges Frêche (divers gauche), aujourd'hui décédé, qui avait insulté un groupe de "harkis" et n'avait subi aucune sanction pénale faute de dispositions précises.
    Le terme "harki" désigne les membres des forces supplétives qui, en Algérie, servaient dans des unités appelées "harkas".
    D'une manière plus générale, il fait référence à ceux qui appartenaient à des groupes d'autodéfense, aux éléments de police chargés de la protection des sections administratives ("moghazni") ainsi qu'aux membres des groupes mobiles de sécurité et les groupes mobiles de protection rurale.
    L'appellation concerne de 150.000 à 160.000 hommes, selon un rapport de la commission des Lois de l'Assemblée. Beaucoup de ces supplétifs ont été torturés et assassinés au moment de l'indépendance de l'Algérie en juillet 1962.
                                                                                                                                                                     MOBILISONS NOUS AUSSI POUR LE DROIT AU REFERENDUM                                                                                                                             

    SARKOZY : l’Europe contre les Peuples

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,
    - COMMUNIQUÉ -
    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Candidate à l’élection présidentielle.
    En excluant ce matin un référendum sur le Traité européen de discipline budgétaire, Nicolas Sarkozy a rappelé aux Français qu’il était l’ennemi du référendum, malgré toutes les récentes promesses électoralistes. 
    Il fait preuve de surcroît d’un grand mépris pour le peuple français, jugé incapable de s’exprimer sur un sujet trop « compliqué ». Rappelons-lui qu’en 2005, les Français s’étaient exprimés avec une très grande clarté contre un Traité de 448 articles.
    Nicolas Sarkozy a confirmé que sur les grands choix qui engagent le destin du pays, il fait partie de cette caste de gauche et de droite qui avance en catimini dans le dos des Français et sans aucun débat.Pour SARKOZY les seuls référendum autorisés sont ceux qui ne servent à rien ex:
    < êtes vous pour ou contre le port du pyjama pour dormir ? >
    Ce Traité européen mérite pourtant bien sûr un référendum, parce qu’il cadenassera pendant des années l’avenir de la France et des Français s’il est adopté.
    Si ce Traité passe, il retirera à la France sa souveraineté budgétaire et condamnera nos nations à l’austérité permanente.
    Marine Le Pen utilisera systématiquement le référendum pour trancher les grandes questionsqui engagent notre avenir. Les référendums seront obligatoires en matière européenne


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  • PARIS - François Hollande, candidat PS à l'Elysée, a détaillé lundi soir sur TF1 son projet - ses "60 engagements", en l'assortissant de plusieurs annonces, comme un taux d'imposition à "75%" pour les revenus "au-dessus d'un million d'euros par an", et une cotisation dépendance.                                Incroyable,ces gens sont complètement déconnecté de la Réalité, ne voilà t il pas qu'ils se proposent de taxer les salaires au dessus de ( retenez moi ! ) 100.000 €/mois ; c'est de l'indécence vu les petits salaires payés au dessous du smig . et pour parfaire sa déclaration, comme ci ce n'était pas suffisemment énorme, il voudrait que tout ces petits salaires de survie paient une cotisation sociale dépendance. < voilà un Monsieur qui ne connait pas la honte > Comment un travailleur gagnant péniblement sa vie peut il votez pour çà ...

    Troisième candidat à la présidentielle à participer à "Parole de candidat", après François Bayrou (MoDem) et Eva Joly (EELV) la semaine dernière, M. Hollande a répondu à un panel de téléspectateurs ainsi qu'à des journalistes.

    Il a détaillé son programme et annoncé de nouvelles mesures.

    Il s'est prononcé ainsi en faveur d'un taux d'imposition de 75% pour les revenus "au-dessus d'un million d'euros par an, donc à peu près 100.00 euros par mois".

    "J'ai appris les progressions considérables des rémunérations des patrons du CAC 40, deux millions d'euros par (an) en moyenne. Comment l'accepter?", a-t-il dit. Son programme prévoyait la création d'une tranche d'imposition de 45% pour les revenus de 150.000 euros par an.

    Le candidat PS a préconisé en outre la création d'une "cotisation" pour financer la dépendance, en plaidant pour la solidarité nationale.

    "Il s'agira d'un pacte...c'est une contribution, oui, mais que toutes les personnes auront à payer", a-t-il dit comme on lui demandait s'il s'agissait d'un impôt supplémentaire. "Si l'on commence très tôt, c'est un coût très faible", a-t-il affirmé . ( a savoir que la majorité des Français qui ont une mutuelle santé cotise déjà a une allocation dépendance ) ceux là seront doublement assuré et doublement taxé pour le même avantage social . Ces gros salaires prennent vraiment leurs électeurs pour des idiots; ( et sans doute ont ils raison ! )                 Et pour la vidéo qui suit : ces messieurs ont ils prévu de nouvelles mesures ?


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    http://www.marinelepen2012.fr/2012/02/24/nouveau-site-internet-de-marine-le-pen/

                                                                                                                                                  En parlant des champs et des paysans français subventionnés par Bruxelles' c'est encore nous qui allons payer les amendes .

    Quand le Paysans pollue, quand le Pêcheur dévaste les fonds marins , tous deux sont en infraction et c'est nous qui payons.  J'ADORE L'EUROPE.                                                                                          

    La plage de Hillion, en partie recouverte d'algues vertes dues à la pollution des eaux par les nitrates, en novembre 2002 Fred Tanneau afp.com

    BRUXELLES - La Commission européenne a décidé de poursuivre la France en justice pour ne pas avoir pris des mesures suffisantes afin de lutter contre la pollution des eaux par les nitrates, a annoncé lundi l'exécutif européen dans un communiqué.

    "La Commission européenne traduit la France devant la Cour de justice de l'UE pour n'avoir pas pris les mesures efficaces contre la pollution des eaux par les nitrates", affirme ce communiqué.

    Depuis 1991, une législation européenne impose aux Etats membres de surveiller leurs eaux et de définir les eaux atteintes, ou susceptibles de l'être, par la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles mais, selon la Commission, la France ne s'y conforme toujours pas.

    La France n'a pas désigné comme vulnérables à la pollution par les nitrates des zones qui le sont au vu des données scientifiques et n'a pas adopté les mesures permettant de lutter efficacement contre cette pollution dans ces zones, estime la Commission.

    "La Commission demande donc instamment à la France de prendre des mesures en désignant davantage de zones et en élaborant des plans appropriés pour faire face au problème", précise le communiqué.

    A Paris, au ministère de l'Ecologie, on estime pourtant que de nouvelles dispositions adoptées à l'automne ont permis de durcir la réglementation "pour aller dans le sens des demandes de la commission".

    "On va se défendre à la Cour de justice sur la base de ce qu'on a produit", a-t-on indiqué à la direction de l'eau et de la biodiversité, soulignant que d'autres arrêtés sont attendus pour 2012 pour "compléter le dispositif" et permettre de rendre opérationnels tous les programmes d'action d'ici mi-2013.

    La désignation de nouvelles zones vulnérables doit elle avoir lieu d'ici fin 2012 avec la prise en compte de nouveaux critères, selon le ministère.

    Pour la Commission européenne, la législation française et les programmes d'action adoptés "manquent de précision et présentent de nombreuses lacunes: les périodes d'interdiction sont inappropriées et les restrictions concernant l'épandage des effluents d'élevage et des fertilisants sont insuffisantes."

    La directive de 1991 a pour but de protéger les réserves d'eau en surface et en sous-sol en limitant l'usage des nitrates, présents dans les engrais agricoles, et en imposant des périodes d'interdiction de répandre ces engrais qui doivent alors être dûment stockés.

    Bruxelles avait adressé une mise en garde à la France le 26 octobre 2011, à la suite de quoi Paris avait modifié sa réglementation.

    "Mais la lenteur des progrès et l'insuffisance des changements proposés ont conduit la Commission à transférer le dossier" à la Cour de justice, a souligné la Commission.

    La France, qui a maille à partir avec Bruxelles depuis des années au sujet des nitrates, notamment en Bretagne, risque des amendes importantes.

    Pour l'association Eau et Rivières de Bretagne, cette nouvelle décision est d'ailleurs "tout sauf une surprise".

    Le problème récurrent de la pollution aux nitrates dans les rivières bretonnes s'explique par la nature intensive de l'élevage et des cultures dans cette région. '< voilà, là aussi un vrai sujet de campagne dont on ne parlera même pas au salon de l'Agriculture >

    La Bretagne représente 7% de la surface agricole française mais rassemble 50% des élevages de porcs, 50% des élevages de volailles et 30% des bovins., ( après l'encouragement de Bruxelles à l'élevage intensif , l'argent donné aux paysans pour transformer le lisier et bien souvent dilapidé à des fins personnel )tous les Français sont mis à l'amende;  Merci, l'EUROPE .< Et sachez que les nappes phréatiques

    sont polluées depuis 50 ans .                      


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    FrancePhi
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    « Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature

     contestable,

     mais qui est en même temps une religion par nature

     intouchable…

     Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un

     “printemps

     arabe” à l’envers. La “fille aînée de l’Église”

     sera devenue

     “la fille cadette de l’islam”

    (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

    (www.francephi.com)

    Ce livre semble répondre à l’actualité, notamment

     sur la consommation cachée de viande Hallal

    dans notre pays…

    Voyez le programme de tous les candidats à l’élection

     présidentielle : combien prenne en compte le danger

     islamiste lié à l’immigration musulmane ?

     Or cela me paraît être le problème majeur, bien

    plus grave

    que la dette, de notre époque et des années à venir.

    Il n’y a jamais de vrai débat sur le sujet car il est

     impossible

    de se livrer à une analyse critique des fondements

    idéologiques de l’islam sans être accusé

     « d’islamophobie »,

     de « racisme », de « fascisme »… et cela clôt

     aussitôt le débat.

     Quand un massacre de chrétiens se commet

     quelque part

     dans le monde, c’est, nous disent les bien

    -pensants,

     « stigmatiser » l’islam dans sa globalité que de

    dénoncer les criminels qui agissent ainsi au nom

    de la charia et du djihad. Alors voici un livre pour dire

     les choses comme elles sont et non comme on

     voudrait

     qu’elles soient. Un livre qui a été refusé par tous les

     éditeurs

     auxquels j’en ai soumis l’idée… à l’exception de

     Philippe Randa,

    directeur des éditions de L’Æncre.

    Ne faîtes-vous pas un amalgame sommaire entre

    l’immigration qui est un problème politique et social…

    et l’islam qui une religion ?

    Les deux ne font qu’un. L’immigration arabe en France

     est un problème crucial parce qu’elle est d’abord

     un problème

    religieux. Un habitant de la planète sur quatre est

     musulman.

     L’objectif de l’islam, sa vocation historique comme

    sa mission

     divine, est de convertir les trois autres. Le monde

    non-musulman ne semble pas s’apercevoir que l’islam,

     conscient de sa force, réactive son projet multi-séculaire

    de domination de l’univers : imposer partout le

    « règne d’Allah »

     et la loi coranique. En France, l’immigration à flot

     continu aboutit,

     non au « choc des civilisations » – tout se passe

    sans heurt

     violent –, mais à l’évincement progressif de l’une

     (la chrétienne) par l’autre (la musulmane).

     Et cela dans l’indifférence des élites, quand ce n’est pas

     avec la complicité des « activistes du métissage »

    comme les appelle Péroncel-Hugoz qui a préfacé

    L’islam chez lui chez nous. L’intelligentsia française,

    en particulier, ne semble pas saisir le sens de l’ampleur

     de ce qui se passe sous ses yeux. Elle voit ce qu’elle

     veut croire,

    mais ne veut pas croire ce qu’elle voit.

    Cet essai « colérique » n’est-il pas un peu court

     pour analyser objectivement un sujet comme celui-ci ?

    Je sais bien qu’on me reprochera d’être simpliste et

     manichéen, parce que l’islam « c’est plus compliqué

     que ça »…

     Je ne fais pas œuvre d’historien ni de philosophe.

     Je vais à l’essentiel. Je prends les choses au point

    où elles en sont. Ici, maintenant. Voici ce qu’est

    l’islam : une force croyante, conquérante, féconde.

     Voici ce qu’est l’Occident : une civilisation honteuse

    d’être

    ce qu’elle est, qui n’affirme plus rien, qui ne se défend

     plus…

    Pensez-vous la situation irréversible ?

    Il faut en finir avec l’illusion d’un islam modéré avec

     lequel

    nous pourrions cohabiter sans y perdre notre âme.

    Il faut prendre conscience de l’islamisation rampante

     des esprits, des mœurs, et même des lois de la

    République. Il faut dénoncer le piège d’une idéologie,

    par nature contestable, mais qui est en même temps

    une religion par nature intouchable… Sinon, dans

     cinquante ans,

     la France connaîtra un « printemps arabe » à l’envers.

    La « fille aînée de l’Église » sera devenue « la fille cadette

    de l’islam. »


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  • Comment rétablir la sécurité ? par Xavier RAUFER, criminologue

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,,,
    - POINT DE VUE -
    Pour la première fois depuis longtemps, l’homicide régresse en Occident, des États-Unis à l’Europe de l’Ouest. Mais en France comme ailleurs, émerge un phénomène redoutable : la prise de contrôle des zones périurbaines par des bandes criminelles. Leur démantèlement est une priorité politique.
    Si la politique a un sens, toute grande campagne électorale est l’occasion d’un dialogue national sur les sujets clés, dans la perspective du quinquennat à venir. Or jusqu’à présent, les principaux candidats sont peu loquaces sur la sécurité. Certes, crise oblige, l’emploi est devenu, tous les sondages l’attestent, le souci quotidien des Français. Mais comment oublier que 15 millions de Français vivent dans des espaces périurbains où la violence fait désormais partie du paysage ?


    Voyez le sondage (Ifop-Paris Match-Europe 1), publié dans la Croix le 5 décembre dernier. Au printemps 2006, 40 % des sondés estimaient qu’“on ne se sent en sécurité nulle part” ; en 2010, 50 % des personnes interrogées étaient de cet avis ; ils sont aujourd’hui 56 %. L’Europe maintenant. En novembre 2011, la Direction générale de la justice et des affaires intérieures de l’Union européenne publiait un sondage sur la sécurité du continent : le crime organisé est-il un défi croissant pour l’Europe ? 48 % des Français le pensent. Dans ce domaine, la France en fait-elle assez ? Non : 48 %; oui : 39 %.
    Pour la campagne présidentielle la sécurité reste donc un enjeu fort. Peut-il être relevé ? Bien sûr, si l’on pratique le réalisme criminel, comme les États-Unis le font depuis vingt ans, au grand dédain des Diafoirus-sociologues, les nôtres et les leurs. Or, ce qui résulte de ce réalisme criminologique est énorme – on peut même parler ici du glas définitif de la “culture de l’excuse”.
    L’Amérique, le Far West plus Chicago ? C’est désormais une image d’Épinal. Alors que la crise s’installe outre-Atlantique et que ses conséquences sociales deviennent si tragiques que, selon le réputé Pew Research Center de Washington, 66 % des Américains – dont 55 % des sympathisants républicains – croient désormais qu’une “lutte des classes” oppose les riches au peuple, la criminalité s’effondre, notamment dans sa forme fatale, l’homicide. Donc, la misère ne provoque pas le crime, mais l’affaiblit, et ce, de manière significative : les très officiels Centers for Disease Control and Prevention révèlent ainsi en janvier que, pour la première fois depuis quarante-cinq ans, l’homicide n’est plus l’une des quinze causes majeures de mortalité aux États-Unis. En 2010, l’homicide était quinzième et dernier de la liste – le voici remplacé en 2011 par… la pneumonie des vieillards !
    Crime : la dialectique du local et du mondial
    À l’ère de la mondialisation, la question n’est plus seulement de maintenir classiquement l’ordre public dans les quartiers, c’est de frapper à la tête le crime organisé international et les banditismes locaux qui fonctionnent en réseau avec les grands trafics transcontinentaux (êtres humains, stupéfiants, etc.). Selon l’Onu, le marché mondial des stupéfiants, quelque 235 milliards de dollars par an pour la vente en gros (celle qui enrichit les cartels et mafias), est devenu, en effet, le troisième marché au monde, après ceux (licites) du pétrole et des armes de guerre. En 2009 (dernières données disponibles), le “chiffre d’affaires” du crime mondial (organisé ou non) s’est élevé à environ 1 570 milliards d’euros, soit 3,6 % du produit brut mondial (PBM). Là-dessus, l’argent criminel blanchi (donc réinjecté dans l’économie licite) est de 1 200 milliards d’euros, 2,7 % du PBM. Or seulement 1 % environ de cet argent a été mondialement confisqué par les services concernés.
    C’est sur ce sujet d’abord et surtout que les candidats devront répondre par des constats réalistes et des propositions pertinentes. Et ce, d’autant qu’en cette période de rigueur obligatoire, le crime coûte cher. Une étude récente de l’Institut pour la justice (“Que coûte l’insécurité ? ”, avril 2010) a décompté, de juillet 2008 à juin 2009, les coûts directs et indirects de tous les crimes et délits, sauf infractions au code de la route : préjudices financiers et moraux pour les victimes, dépenses publiques et privées de sécurité, etc.). Total pour la France : 115 milliards d’euros (5,6 % du PIB). Pour ce qui relève du crime organisé, la facture annuelle approche les 70 milliards d’euros.
    France : un problème criminel inquiétant, les bandes
    Depuis des années, la France connaît un problème massif de “criminalité de rues” provoquée par des bandes : règlements de comptes, racket, braquages, agressions violentes, cambriolages, incendies volontaires, etc. Or l’entrée dans ces bandes a lieu très jeune : 12 ans, 10 parfois. Chaque année, environ 150 000 mineurs sont poursuivis par le parquet, dont 50 000 d’entre eux seulement sont présentés à un juge des enfants.
    Les violences urbaines et suburbaines affectent surtout 26 départements métropolitains. Au milieu d’une nuée de mineurs “à problème”, les acteurs essentiels de cette criminalité sont des individus jeunes (16-25 ans), agressifs et dangereux, agrégés en “noyaux durs”. Les données disponibles montrent qu’ils sont assez peu nombreux, quelques milliers d’individus pour toute la France.
    Pas plus ? Non, car la criminologie contemporaine a révélé un type criminel hyperactif, le “prédateur violent”, qui, le plus souvent en “meute”, commet une énorme masse d’infractions.
    Des statistiques d’Île-de-France montrent ainsi que 5 % des malfaiteurs commettent la moitié des méfaits ; avant 18 ans, ces criminels en série – qu’une loi pénale naïve et surannée tient encore pour des “enfants” – sont déjà connus pour 50 infractions et plus ! S’agit-il pour autant de “paumés” ? de malheureuses victimes de l’exclusion ? Non : ces “criminels d’habitude” usent d’innombrables pseudos, vivent sous de fausses identités et n’habitent évidemment jamais à l’adresse indiquée sur leurs papiers.
    Or la plupart de ces hyperactifs du crime ont déjà été condamnés – et devraient donc être incarcérés – mais sont en liberté. Environ 80 000 peines de prison exécutoires, dont quelque 7 000 de plus d’un an, sont, de fait, non exécutées par la justice ! Un fait vivement regretté par la préfecture de police de Paris qui arrête parfois des braqueurs condamnés à cinq ans de prison. Libres comme l’air, ils poursuivent paisiblement leur business illicite après avoir déménagé !
    Ces quelques milliers de bandits aguerris sont-ils des inconnus ? Évoluent-ils dans la clandestinité ? Nullement. À domicile, ils sont célèbres, passant leur vie entre le commissariat et le bureau du juge. À force de rédiger des procès-verbaux à leur propos, les brigades anticrimes de banlieue en savent localement la liste par cœur.
    Bandes, prédateurs violents, hyperactifs du crime…
    Justice, travail social, “politique de la ville” : en amont même du travail éducatif, préventif ou répressif, les dysfonctionnements sont graves et les chantiers immenses.
    D’abord, que faut-il réformer ? Un aveu affligeant du ministère de la Justice donne, en creux, la marche à suivre : 80 000 peines de prison, on l’a vu, ne sont pas exécutées, celles prononcées étant pudiquement dites “en attente d’exécution”. Traduisons : par milliers, des bandits sont dans les rues, prêts à voler, voire à tuer. Où cette situation est-elle le pire ? Dans les ressorts de justice les plus populaires que sont Bobigny, Évry, Pontoise, Marseille, Lille, etc.
    D’où la question de la validité de la “politique de la ville” menée à coups de milliards depuis plus de vingt ans. À la fois pharaonique et ruineuse, cette politique, qui a pour seul objet de resocialiser les habitants des “quartiers sensibles” en améliorant leur habitat, leur accès à l’emploi et aux prestations sociales, est parfaitement inopérante en matière criminelle. Elle doit donc être totalement refondée. Sur l’un de ses territoires favoris, la Seine-Saint- Denis, on compte un vol à main armée par jour, week-end inclus. De sorte que plus on s’acharne à gaspiller des milliards, plus on aboutit à créer un paradigme de l’agriculture soviétique : pas moins de chômage ni de misère, et toujours plus de crime.
    Quelles solutions pour demain ?
    D’abord, il faudra élaborer en surplomb une stratégie anticrime proactive, du type de celles adoptées aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, et même désormais aux Pays-Bas, c’est-à-dire inspirée d’une conception criminologique réaliste selon laquelle la seule origine réelle et palpable du crime, c’est le criminel lui-même. Partant, quels outils efficaces utiliser ? Le renseignement criminel et l’injonction civile.
    Le renseignement criminel. Ayant pour cibles les gangsters et pour double objectif l’aide à la décision et la procédure judiciaire, il repose sur deux piliers : l’anticipation et l’articulation stratégique entre recherche et analyse.
    On sait ainsi que les criminels hyperactifs, imperméables à tout travail social, récidivent le plus souvent, dès qu’ils sont sortis de réinsertion. Ici, un renseignement criminel ciblé les neutralise efficacement, comme le prouve une expérience menée en 2001 : avant le passage à l’euro et ses multiples convois de billets de banque, la police a précisément ciblé les gangs de braqueurs de fourgons ; elle a anticipé leurs actions, ne les a pas lâchés. Résultat : un braquage de fourgon dans l’année, contre, d’ordinaire, deux par mois ! Faute de renseignement criminel pointu et précoce, la criminalité ne pourra qu’empirer : au plus tôt, l’État doit en savoir le plus possible sur l’activité, les effectifs, les projets et préparatifs des gangs commettant l’essentiel des crimes. Objectif : les surprendre en flagrant délit afin de les mettre pour de bon hors d’état de nuire.
    Une politique qui fait office de dissolvant antibandes
    L’injonction civile. Sous cette anodine appellation technique, voici une arme de destruction massive pour les gangs. Inventée aux États-Unis, désormais pratiquée en Grande-Bretagne, cette injonction prononcée par un juge interdit à des voyous organisés de fréquenter, à partir d’un jour J, certains quartiers et d’y rencontrer leurs comparses. En termes clairs, plus moyen pour le gang de se réunir une fois l’injonction prononcée – et surtout plus dans son fief. Utilisée en conjonction avec le renseignement criminel, cette politique d’injonction est le plus puissant dissolvant antibande jamais mis en œuvre. Encore faut-il le vouloir et s’en donner les moyens.
    Tout programme électoral sérieux devra donc considérer ces indéniables réalités criminologiques, en gardant à l’esprit ce qui peut advenir si on ne se décide pas à réagir : la prise de contrôle total d’un territoire par des armées criminelles organisées, comme le feraient celles d’un État au sens traditionnel.
    Exagération ? Ce qui se passe aujourd’hui à la frontière américano-mexicaine devrait nous convaincre de prendre le phénomène au sérieux. Pour la première fois dans l’histoire contemporaine, à notre connaissance, l’“armée” purement criminelle des Zetas, mégagang encadré et dirigé par des déserteurs de l’armée et de la police mexicaine, a “libéré” un territoire au nord du Mexique, à la frontière même des États-Unis. Les Zetas y règnent seuls depuis la fin 2010 : tout militaire ou fonctionnaire mexicain y est assassiné, sitôt repéré. Une base criminelle géante, grande comme le Koweït, s’est implantée à quelque deux cents kilomètres de l’agglomération de San Antonio au Texas (2 millions d’habitants). Nous n’en sommes heureusement pas là en France. Mais n’est-ce pas la raison d’être des politiques que d’anticiper les évolutions à partir des ingrédients qui, chez nous, donnent déjà à réfléchir ?
    Merci à Pieter Kertens

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  • LES VIKINGS SONT ILS PLUS INTELLIGENTS QUE LES GAULOIS ?

    Aussi incroyable que cela puisse paraître, une véritable révolution démocratique et    anticapitaliste a lieu en Islande en ce moment même, et personne n’en parle, aucun média ne relaie l’information, vous n’en trouverez presque pas trace sur « Google » : bref, le black-out total. Pourtant, la nature des évènements    en cours en Islande est sidérante : Un Peuple qui chasse la droite au pouvoir en assiégeant pacifiquement le palais présidentiel, une « gauche » libérale de remplacement elle aussi    évincée des « responsabilités »  parce qu’elle entendait mener la même politique que la droite, un référendum imposé par le Peuple pour déterminer s’il fallait rembourser ou pas    les banques capitalistes qui ont plongé par leur irresponsabilité le pays dans la crise, une victoire à 93% imposant le non-remboursement des banques, une nationalisation des banques, et, point    d’orgue de ce processus par bien des aspects « révolutionnaire » : l’élection d’une assemblée constituante le 27 novembre 2010, chargée d’écrire les nouvelles lois fondamentales qui    traduiront dorénavant la colère populaire contre le capitalisme, et les aspirations du Peuple à une autre société.


    Alors que gronde dans l’Europe entière la colère des Peuples pris à la gorge par le    rouleau-compresseur capitaliste, l’actualité nous dévoile un autre possible, une histoire en marche susceptible de briser bien des certitudes, et surtout de donner aux luttes qui enflamment    l’Europe une perspective : la reconquête démocratique et populaire du pouvoir, au service de la population.

     

    Musique: L'Islande nous souhaite "Bon courage"

     

    http://player.vimeo.com/video/12236680?title=0&byline=0&portrait=0

    Quand l’Islande réinvente la démocratie

    Le 16 décembre 2010 par Jean Tosti

    Depuis le samedi 27 novembre, l’Islande dispose d’une Assemblée constituante composée de 25    simples citoyens élus par leurs pairs. Son but : réécrire entièrement la constitution de 1944 en tirant notamment les leçons de la crise financière qui, en 2008, a frappé le pays de plein    fouet.

    Depuis cette crise dont elle est loin d’être remise, l’Islande a connu un certain nombre de    changements assez spectaculaires, à commencer par la nationalisation des trois principales banques, suivie de la démission du gouvernement de droite sous la pression populaire. Les élections    législatives de 2009 ont amené au pouvoir une coalition de gauche formée de l’Alliance (groupement de partis composé des sociaux-démocrates, de féministes et d’ex-communistes) et du Mouvement des    Verts de gauche. C’était une première pour l’Islande, tout comme la nomination d’une femme, Johanna Sigurdardottir, au poste de Premier ministre.

    Très vite, le nouveau gouvernement se trouve face à un problème épineux : le règlement aux    Pays-Bas et au Royaume-Uni d’une dette de 3,5 milliards d’euros suite à la faillite d’Icesave, banque en ligne dont les opérations étaient tournées principalement vers ces deux pays. Sous la    pression de l’Union européenne, à laquelle les sociaux-démocrates souhaiteraient adhérer, le gouvernement fait voter en janvier 2010 une loi autorisant ce remboursement, ce qui reviendrait, pour    chaque Islandais, à débourser pendant huit ans une somme d’environ 100 euros par mois. Mais le président de la République refuse de ratifier la loi, dont le texte est alors soumis à un    référendum. À plus de 93%, les Islandais votent contre le remboursement de la dette (6 mars), et depuis le problème reste en suspens.

    C’est dans ce contexte que l’Islande décide de modifier sa constitution, qui en fait n’a    jamais été vraiment rédigée : lorsqu’en 1944 la république avait été proclamée, on s’était contenté de recopier dans les grandes lignes la constitution du Danemark, pays dont l’Islande dépendait    depuis plusieurs décennies, en remplaçant simplement le terme de “roi” par celui de “président de la République”. C’est donc une nouvelle constitution qu’il s’agit d’écrire entièrement, et pour    cela on a décidé de faire confiance au peuple souverain. Il y a eu d’abord un appel à candidatures (tout le monde pouvait se présenter à l’exception des élus nationaux, à condition d’avoir    dix-huit ans révolus et d’être soutenu par au moins trente personnes) auquel ont répondu 522 citoyennes et citoyens. C’est parmi eux qu’ont été élus les 25 constituants.

    Ces derniers commenceront à se réunir à la mi-février et rendront leur copie avant l’été.    Parmi les propositions qui reviennent le plus souvent, on peut noter la séparation de l’Église et de l’État, la nationalisation de l’ensemble des ressources naturelles et une séparation claire    des pouvoirs exécutif et législatif.

    Certes, l’Islande n’est qu’un petit pays d’environ 320 000 habitants. Elle donne cependant    là une belle leçon de démocratie aux grands États dont la France : songeons que, dans notre pays, la réforme constitutionnelle de 2008 a été entièrement rédigée à l’Élysée, et que les    parlementaires ne l’ont adoptée qu’à deux voix près après avoir été soumis pendant des semaines à des pressions intolérables de la part du chef de l’État.

    (source: cadtm.org)


    Quand l’Islande réinvente la démocratie

    l’Assemblée constituante a été élue en novembre

    Un jour, il y a quelques mois, un anglais passant par Paris, rencontré à la librairie Lady    Long Solo, nous alertait sur la révolution en Islande. Quelle révolution ? On n’en entend parler nulle part. Une rapide recherche google ne donne rien du tout, aujourd’hui, ni en associant le mot    « révolution », ni même « crise », où l’on ne trouve que des détails sur la crise financière, effectivement à l’origine de cette révolution, qui a eu lieu en 2008, dans ce pays d’à peine plus de    300 000 habitants, classé au deuxième rang mondial sur l’indice du développement humain, l’IDH, derrière la Norvège, à la veille de cette crise, en 2006.

    Confronté alors à la faillite brutale du système bancaire, le peuple était descendu dans la    rue. Du jamais vu au pays des jeysers d’eau chaude. La droite avait aussitôt dû céder la place à la gauche. Et, pour commencer, les banques avaient été nationalisées. Notre informateur anglais en    avait entendu parler pour les projets législatifs de liberté totale pour internet, tels que des sites anglais pensaient à s’héberger là. Plus encore, il insistait pour parler d’une véritable    révolution, sans pouvoir la décrire plus, mais s’étonnant qu’on n’en ait jamais entendu parler.

    Cherchant alors avec obstination, on a fini par voir des images du palais présidentiel    assiégé par une foule qu’on qualifierait ici sans hésiter d’anarcho-autonome. En plus des drapeaux noirs, on pouvait deviner dans la foule une forte composante de citoyenneté de type écologiste.    Et on comprenait que le pauvre malheureux flic, tout seul devant le palais présidentiel, ait rapidement dû se rendre sous la pression de la foule. Celle-ci, néanmoins pacifique, n’usait que de    casseroles et autres objets bruyants, selon la méthode argentine du cacerolazo, qui a su s’avérer très payante aussi là-bas.

    Le président avait plié bagage. Un nouveau gouvernement s’était institué. Mais, quelques    temps plus tard, celui-ci avait la mauvaise idée de proposer le remboursement de la dette des banques vis-à-vis du Danemark ou de la Grande Bretagne. Le peuple est de nouveau descendu dans la    rue. Un référendum sur la question était imposé par volonté populaire, et une petite majorité de 93% rejetait l’accord prévu par les gentils gouvernants.
        Parmi les informations glanées, cette image saisissante de l’agora dans les bains publics chauds, où le peuple s’assemble tous les matins pour débattre de comment refaire le monde.

    Consécration de cette révolution, l’élection d’une Assemblée constituante, le 27 novembre    2010, événement peut-être plus considérable que la nuit du 4 août 1789 où était votée l’abolition des privilèges, dont on ne se serait pas aperçu sans la vigilance de Truks en vrac, de notre ami    B.Bec, du Gers, relayant le CADTM, ou de Jean-Luc Mélenchon, qui trouve là une similitude avec ses propres thèses constitutionnalistes, mais ne semble pas voir plus loin que le bout de son nez    anti-capitaliste.

    Merveille de la désinformation. Un événement aussi considérable qu’une véritable révolution    démocratique, telle qu’on n’en a jamais vue en Europe, peut se produire sans que la presse, ni google, ne permettent d’en savoir quoi que ce soit. C’est sûr qu’à l’heure de la consolidation    anti-démocratique que vivent la plupart des pays européens, l’exemple islandais ne fait pas vraiment l’affaire de nos régimes policiers, qui montrent là encore leur aptitude à verrouiller    rigoureusement la conscience collective.

    On aimerait assurément en savoir plus sur cette révolution islandaise. Voilà des mois que    Paris s’éveille rêve de téléporter sa rédaction pour un reportage approfondi au pays des chasseurs de baleines et d’utopie. S’immerger dans les bains chauds de la révolution démocratique fait    certes envie, surtout vu du cœur de notre hiver sécuritaire.

    Il faut s’imaginer les 25 « simples citoyens » qui vont plancher sur la constitution    idéale. Le souffle de l’humanité devrait se retenir. Où l’on verra probablement qu’il n’est pas difficile de faire mieux que toutes les figures de pseudo-démocraties qui se sont déclinées    jusqu’ici sur les cinq continents.

    Cet article se voudrait un appel à qui aurait plus d’informations sur cette extraordinaire    histoire islandaise. On peut m’écrire à: michelsitbon@gmail.com, et je relayerai avec plaisir. Un dossier sur la révolution islandaise tente de rassembler les articles qu’on peut trouver sur le    sujet.

    (source: parisseveille.info) et les moutons enragés                                                                                                                                                     POURQUOI CE SILENCE-RADIO DE LA PART DES MEDIAS ?  : c'est bien qu'ils sont aux ordres du gouvernement . DES FOIS QUE LES FRANCAIS VOUDRAIENT FAIRE PAREILS   ( c'est bien la preuve qu'une solution est possible en réponse a la crise et a la dette .  


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  •  

     

    Peut-être   avez-vous regardé l'émission "Envoyé spécial" du   jeudi 16 février, sur France 2,  consacré aux abattoirs français. Il y   avait des images choquantes d'une hygiène assez relative dans le seul abattoir   qui avait accepté de recevoir les journalistes. Tous les autres responsables   avaient refusé, contraignant ces journalistes à opérer en caméra cachée. Cela   a permis de découvrir que de plus en plus des abattages se pratiquaient par   égorgement, comme l'exige la religion musulmane, et non après   "étourdissement" comme l'impose la loi française. Certes, une dérogation est   prévue, mais pour les seuls musulmans, comme pour les juifs avec la nourriture   Casher.  

    Or,   l'égorgement se généralise parce qu'elle évite l'étape de l'étourdissement et,   surtout, parce que toute la viande étant désormais halal, musulmans et   français peuvent la consommer. Il est entendu que les non musulmans, n'ayant   aucune contrainte alimentaire, ils n'ont aucune raison de la refuser ("Voyons,   elle est aussi bonne !". Oubliant de dire que, si elle est réellement halal,   elle suppose un rituel avec financement de l'iman qui intervient au moment de   l'égorgement. Sinon, c'est un faux halal, mais les musulmans n'en savent rien.     

    Reste   la mise à mort: image terrible d'une vache qu'on égorge et dont la tête   s'agite tandis que jaillit un flot de sang. Et la tristesse d'un éleveur de   province qui savait ce qui attendait les deux belles vaches qu'il amenait dans   un abattoir refusant l'étourdissement. Sans parler d'un Professeur de l'Ecole   Vétérinaire de Maisons-Alfort démontrant, schémas à l'appui, le risque   d'une contamination de la viande de l'animal sacrifié par E. coli   du fait d'une régurgitation du contenu de l'oesophage dans les poumons   par la trachée, tous deux sectionnés. Il a été rappelé des cas d'intoxication   grave suite à la consommation de viande hachée… dont on ignore l'origine   puisque l'étiquetage Halal n'est pas imposé, sinon   refusé. 

    Samedi,   coup de tonnerre, Marine Le Pen s'empare du sujet. Alors qu'aucune réaction à   ce document ne s'était manifestée, ce fut aussitôt l'occasion d'une explosion   de polémiques. On l'a accusée de mentir sur les pourcentages de viande Halal   consommée en Ile de France, à Gauche comme à Droite (réactions deNKM et   Sarkozy !). Et pourtant, les seuls quatre abattoirs publics   situés en Ile de France ne pratiquent que l'égorgement (cf l'émission de   France 2). Alors, évidemment, les apports de la province diminuent le   pourcentage.  

    Avant-hier   soir, le 21 février, je m'étais allongé pour une petite sieste après dîner et   me suis en mesure d'écouter Europe I, dans l'émission intitulée "Des clics et   des claques". Le sujet traité était justement celui de l'origine de la viande   que consommaient les parisiens et, plus généralement les français, suite à   l'intervention de Marine Le Pen.   

    Consolation   sur le site d'Europe I d'aujourd'hui: "Halal : étiquetage obligatoire   demandé"… y compris par les bouchers parisiens ! 

    Réponse:   "L'information au consommateur et les mentions obligatoires qui doivent lui   être fournies relèvent de la réglementation européenne et non pas nationale,   souligne-t-on au ministère de l'Agriculture. L'objectif est d'éviter que   chaque pays décide de son propre mode d'étiquetage, rendant ainsi son marché   inaccessible aux autres Etats membres.".   

    Commentaires   des Internautes: il doit être possible de modifier cette réglementation.     

    Personnel:   la réglementation européenne permet la culture du maîs OGM, la France s'y   oppose et les produits qui en renferment sont étiquetés. Pourquoi est-ce   impossible pour le Halal ?                                                                         LES MARQUES QUI FONT DU HALLAL :                                   Charal , Dominos,Doux,Duc, Fleury-Michon, Herta, Nestlé, Isla-Délice, Kellogs, Knorr, Labeyrie, Liebig, Pierre-Martinet, Wassila, Zakia ,                                                                                                  LES GRANDES SURFACES QUI VENDENT DU HALLAL:     Auchan, Cora, Carrefour, Leclerc, Hal'Shop,Intermarché,Lidl,Groupe Baker,Supermarché U,             Consommer du Hallal, c'est admettre l'égorgement des animaux sans étourdissement préalable.                  C'est financer l'Islam par le biais d'un impôt prélevé sur chaque kilos de viande.                          POUR ÊTRE SUR DE NE PAS MANGER HALLAL:  MANGER DU PORC


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  • "RTL Opinions" : "La gifle qui ne passe pas !" par rtl-fr  Plus on connait maintenant la conduite anterieure de ce delinquant ( le jeune ) , moins on comprend la décision du Juge < la Justice est tombée sur la tête ; peut être une justice halal ? >


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  • http://www.opinews.com/Emission/Sujet.aspx?room=73dcdd1fe16b4cfab5d9bf7d574295d3#.T0hAwgU-jSc.gmail                                                                                      Pour vous incrire et participer:  http://www.opinews.com/Emission/Sujet.aspx?room=73dcdd1fe16b4cfab5d9bf7d574295d3#.T0hAwgU-jSc.gmail


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  • INFO LE FIGARO - Plus jeunes et plus violents, leurs membres sont à l'origine d'affrontements qui ont fait six morts et 252 blessés en 2011.

    http://carte.franceserv.com/index.php?year=2011&month=6

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    Composées de jeunes de plus en plus violents n'hésitant plus à attaquer frontalement les forces de l'ordre, pas moins de 313 bandes écument le pays. À l'origine d'une bataille rangée presque chaque jour en métropole, leur activisme croissant s'est soldé en 2011 par un bilan de six morts et 252 blessés. Cet édifiant constat émane d'une note de la sous-direction de l'information ­générale (Sdig, ex-renseignements généraux) de la Direction centrale de la sécurité publique.

    Le document confidentiel, daté du 19 janvier dernier et que Le Figaro a pu consulter, brosse la radioscopie d'un phénomène qui gangrène la vie des quartiers et inquiète le ministère de l'Intérieur. Pour la première fois, les analystes ont procédé à un inédit «toilettage dans l'identification et le nombre des bandes». «Un bilan précédent, faisant état de 600 bandes n'était plus à jour, concède un fonctionnaire de haut rang. Nous avons éliminé les structures inertes pour ne retenir que les gangs vraiment actifs, articulés autour d'un noyau stable de “caïds” capables de passer à l'action pour contrôler leur quartier, se battre contre des rivaux ou les forces de sécurité intérieure…»

    «Rixes communautaires»

    D'emblée, le rapport révèle que l'activité des 313 bandes varie selon des «fluctuations saisonnière». Le nombre des affrontements, estimés à 27 en juin et 24 en septembre, reflue à une dizaine en juillet et août. «Les départs estivaux hors du territoire national de certains jeunes et les vacances scolaires expliquent cette baisse, décrypte le rapport. Ceux qui restent dans leur quartier ne sont plus influencés par l'effet de groupe…».

    Si une part des rixes a pour origine la «recherche du monopole sur des trafics de stupéfiants» ou «l'affirmation d'une supériorité sur un territoire donné», les experts s'attardent sur quelques «rixes communautaires».

    Ainsi, précise la note «le quartier sensible de Bourtzwiller à Mulhouse (Haut-Rhin) a été le théâtre d'affrontements violents le 10 septembre 2011 entre une quarantaine de Tchétchènes et une centaine de Maghrébins fortement armés (Flash-Ball, fusils de chasse…)». Des Mahorais ont été quant à eux « stigmatisés pour leur manque d'intégration» à Lons-le-Saunier (Jura). Et ils ont subi des attaques à l'arme blanche dans un quartier sensible de Limoges (Haute-Vienne) car ils étaient accusés «de ne pas respecter les codes de la cité».

    Soulignant que «246 des 331affrontements recensés étaient armés en 2011, soit 74,32% des cas (contre 63,84% en 2010)», le document déplore une spectaculaire «montée de la violence lors des rixes» qui «accentue le sentiment d'insécurité parmi la population». À 61 reprises, les armes à feu ont parlé en 2011, contre 43 fois l'année précédente, «pour se protéger d'autres bandes ou pour se livrer à des vols qualifiés, des intimidations, des extorsions de fonds ou encore des ventes de stupéfiants».

    Tournevis et marteaux deviennent des armes

    «Face aux risques d'interpellation pour port d'arme prohibée, les membres des ­bandes utilisent des objets quotidiens ­passe-partout (tournevis, marteaux, béquilles), observe la Sdig. Pour échapper à la nouvelle législation condamnant la participation à une bande violente, les délinquants utilisent des nouvelles armes par destination, dont les armes électriques de défense de type “choqueur”.» En vente libre sur Internet, elles envoient une intense décharge au contact de la cible. Associées à l'usage de lacrymogène, leur emploi peut avoir des conséquences tragiques.

    Comme ce 26 novembre dernier, lorsqu'une «dizaine d'individus encapuchonnés» ont aspergé de gaz un voyageur de 18 ans près de Canteleu (Seine-Maritime) avant de lui faire subir une décharge. « Immédiatement, le visage du jeune homme s'embrasait, détaille la note. Les flammes s'étendaient à plus de 50 centimètres autour de la tête de la victime. Celle-ci, qui ne faisait partie d'aucune bande, a été grièvement brûlée.» Les auteurs, interpellés dans la foulée, et qui n'avaient jamais croisé leur proie auparavant, étaient âgés de 17 ans à peine.

    «Culte de l'argent facile»

    «La part des mineurs impliqués est en forte hausse», relève le rapport. Désormais, ils représentent 56% des 992 aficionados de gangs interpellés, contre seulement 40% en 2010. «Depuis plus d'un an, les constitutions de bandes juvéniles (moins de 13 ans) sont détectées dans plusieurs cités d'Ile-de-France, préviennent les experts. Imitant le comportement des “grands” qui leur servent de référence en l'absence d'autorité parentale, ces jeunes s'approprient leurs “valeurs”.

    En quête d'affirmation et de reconnaissance, ils utilisent intensivement les réseaux sociaux (Facebook, Skyblog, Twitter…) pour cultiver une image résolument ancrée dans le culte de l'argent facile et de la violence armée…»


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  • Le changement c'est pour quand par lalelulelo


    Le changement c'est pour quandpar lalelulelo

    La patrie c’est ce
    qu’il reste à ceux qui n’ont plus rien.

    Jean Jaurès.

     
    L’ultralibéralisme mondialisé revendiqué comme l'alpha
    et l'oméga du bonheur du monde n'a de libéral que le nom. Il est en réalité un
    système totalitaire marchand. Une mécanique qui asservit l’homme au lieu de le
    servir. Un capitalisme mondial qui périclite et se mue en crise systémique
    institutionnalisée. La Terre, la faune, la flore et l’humanité n’existent plus
    désormais que pour le profit/ mises en coupes réglées d’une infime minorité de
    possédants.

    Voilà le
    bilan rapide que l’on peut faire de notre monde. Cette triste réalité n’est pas
    une fatalité mais la volonté d’une poignée d'oligarques de spolier les
    travailleurs, l’humanité et la nature toute entière de leurs richesses dans
    l'unique but d'augmenter leurs taux de profit.

     
    Nous refusons un tel monde.

     
    L’homme ne doit pas être au service de l’économie mais
    c’est l’économie qui au service de l’homme.

    Le profit n’est pas le but de l’humanité. Le profit se
    fait toujours sur le dos de quelqu’un et ce quelqu’un, c’est le peuple, c’est
    nous !

    L’économie
    totalitaire marchande appelée « libre-échange » n’est en rien libérale mais
    sauvage : elle s’assoit sur la misère du producteur et l’abrutissement du
    consommateur.

    L’interdépendance économique croissante des états n’est
    pas une liberté mais l’obligation d’enchaîner les pays au même destin
    capitaliste.

    L’homme
    voit son identité, sa famille, ses traditions, ses religions bafouées,
    malmenées, détruites, atomisées et reconstruites suivant les caprices des
    marchés, donnant le plus souvent un être amnésique, déplacé, déporté,
    délocalisé, flexible et mobilisable, à nouveau taillable et corvéable à merci,
    et ce bientôt sans distinction de continents, de climats, de races ou de pays.
    Le travailleur est devenu une bête de somme mondiale.

     
    Nous refusons que le travailleur soit un sous-homme du
    capitalisme mondial, alors qu'il est le moteur de l’économie par son génie, son
    travail, sa production, sa consommation.

    Non seulement cette idéologie ultralibérale, même teinté
    d’humanisme abstrait, n’apporte aucun bénéfice concret pour les classes
    dominées, mais elle aboutit au contraire à la paupérisation des travailleurs par
    l’effritement des classes intermédiaires, les nantis se taillant une part de
    plus en plus grande.

    Marx n’avait, malheureusement pas tort en parlant de
    luttes des classes, il y a une ‘’hyperclasse’’ ultra minoritaire et omnipotente
    opposée à une classe d’opprimés qui se divisera bientôt en deux catégories :
    ceux qui marchent avec leurs chaussures et ceux qui n’en ont même pas.

    Non, ce système
    totalitaire marchand mondialisé ne sera pas le genre humain.

    Non, un autre avenir
    n’est pas seulement possible, il est indispensable !

    Oui un autre monde
    existe !

    Nous voulons
    une économie de production contre l’économie vampire de la finance.

    Nous sommes
    nationalistes, car la Nation est l’arme la plus efficace pour lutter contre le
    mondialisme et ses agents, pour se défendre des comportements prédateurs des
    banques et des multinationales. La Nation est l’outil le plus naturel pour
    organiser la vie en société du peuple dont elle sait assurer la cohérence et la
    prospérité légitime.Les travailleurs de chaque pays ont des buts et luttes
    spécifiques : les problèmes sont mondiaux, mais les réponses ne peuvent être que
    nationales. La réussite d'une nation pouvant influencer l’autre.

    Nous savons que les
    peuples de cette Terre ont des aspirations et des cultures spécifiques :
    l’humanité a pour devoir de les sauvegarder, car sans cette diversité elle n’est
    qu’un mot creux que ses vrais ennemis emploient contre elle.

     
    Nous défendons la liberté d’entreprendre comme un droit
    fondamental. Cette liberté est bien davantage menacée par la concentration
    croissante des marchés que par la juste intervention ponctuelle d’un état
    souverain.

    Le marché
    doit obéir à des lois comme tout et tous sur cette terre.

    Ces lois régulent une
    économie au service du peuple.

    Nous voulons que la Loi règle l’économie, et non que nos
    lois lui soient soumises, car seul l’intérêt suprême du peuple et de la Nation
    qui en émane doit gouverner la politique économique.

    L’avenir d’un peuple
    ne se scelle pas sur du court terme et pour le profit particulier mais sur du
    long terme et en vue de l’intérêt général.

    Pour être garante de bien servir son peuple la politique
    économique doit être prioritairement nationale et orientée par l’Etat suivant
    les exigences du pays.

    La politique économique du pays sera définie selon les
    objectifs stratégiques des secteurs vitaux de l’économie nationale.

    L’orientation
    économique du pays sera définie par ses plans.

    Une politique de grands travaux sera mise en œuvre pour
    moderniser et rendre compétitif notre pays.

    Elle permettra de réindustrialiser la France en créant
    de l’emploi, et de rendre notre pays moins interdépendant c'est-à-dire plus
    indépendant.

    Cette
    indépendance nous rendra moins fragile face aux crises généralisées du
    capitalisme mondialisé en banqueroute.

    Notre politique économique sera orientée sans dirigisme
    contreproductif, puisque les plans nationaux favoriseront également l’initiative
    privée.

    La politique
    économique sera essentiellement gouvernée par un pragmatisme hérité d’une vision
    colbertiste du gouvernement.

     
    La République n’a qu’un seul sens : le bonheur pour le
    peuple et la puissance pour la nation. Lorsqu’elle l'asservit ou le dénature,
    elle trahit son sens et doit être refondée.

    Certes chaque pays trouve sa place dans le concert des
    nations.

    Oui des
    traités internationaux d’états à états régissent ces rapports, à la condition
    qu’ils n’omettent jamais que l’homme est au centre du monde et que le
    travailleur en est la principale richesse. La monnaie, miroir de cette richesse,
    ne sera plus indexée sur la spéculation des taux de changes des autres monnaies
    ni sur l’or mais sur sa vraie valeur : le travail productif du pays.

     
    Le progrès a pour unique but l’amélioration de la vie de
    l’homme et l’accroissement de ses potentialités.

    Le progrès est le but
    de l'humanité et le moyen de son bonheur.

    Oui le progrès ne peut se concevoir que dans une
    dynamique privilégiant la création, la recherche et l’étude à tous les niveaux
    de la société : de l’université jusqu’aux entreprises.

    Contre les dogmes
    austères, nous affirmons que la justice sociale sert l’économie et que le seul
    but de notre économie, c’est la justice sociale.

    Oui la défense du
    travailleur, de tous les travailleurs sera notre grand combat. Ce combat se fera
    au quotidien point par point, sur tous les fronts de défenses des acquis sociaux
    et cela en pénétrant les syndicats en masse pour en prendre à terme le contrôle.

    Oui par travailleurs
    nous entendons le peuple : du prolétaire à l'entrepreneur qui participent l’un
    comme l’autre à la réussite économique du pays.

    La lutte des classes
    existent : celle des travailleurs contre l’hyperclasse mondialiste.

    A terme, par
    l’application d’un programme de participation, le travailleur se réappropriera
    ses moyens de productions et le salariat s’abolira peu à peu.

     
    La France a traditionnellement vocation universelle de
    libérer les peuples de l’oppression pour cela elle annulera l’inique et perverse
    dette du tiers-monde pour lui substituer des accords économiques durables. Ces
    accords économiques permettront de développer équitablement nos pays respectifs.
    De plus, la France reprendra son rôle majeur auprès des nations. Une autre voie,
    un autre bloc économique et politique en naîtront.

    Nos législations
    sociales et environnementales ont un coût que nous répercuterons sur les
    marchandises en provenance des pays qui pratiquent un dumping déloyal par
    l’exploitation de leurs populations.

    Nous taxerons les flux des marchés boursiers.

    La France a sa place
    dans l’Europe, mais dans une autre Europe, celle des nations. Une Europe
    nouvelle, une Europe culturelle et une Europe puissance seront à bâtir sur les
    ruines de la sinistre Union Européenne.

     
    Nous vaincrons cette tyrannie mondialiste car son
    pouvoir politique est aussi virtuel que ses fondements économiques. Par notre
    production, notre travail et notre existence même nous sommes la réalité de ce
    monde, et le principe de réalité s’impose toujours.

    Nous devons détruire
    cet ancien monde, ce monde mesquin, ce monde de marchands, et construire un
    avenir d’hommes libres.

    Cet autre monde est devant vous, un monde solidaire, un
    monde qui réconcilie l’homme avec la nature et avec sa nature.

    Oui, entre l'angélisme
    rêveur du gauchiste et le cynisme cauchemardesque de la droite, une autre voie
    politique existe.

    Nous
    sommes la seule alternative à cette arnaque bipolaire de la droite et la gauche
    qui ne sont que les deux faces d’une même pièce, l’un comme l’autre se passant
    les plats pour conserver leurs privilèges.

    Oui, hors de ces impasses la voix du peuple s’élève vers
    un espace ténu, un espace de liberté, une voie tournée vers une société pérenne,
    vers le sens, vers l'homme : ce chemin c'est le nôtre, c'est la Troisième Voie !

     



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    http://www.marinelepen2012.fr/

    Marine Le Pen : "Si j'étais présidente ..."

    Publié parlegaulois.infoLibellés :
    Interview 
    Référendum sur la peine de mort, suppression du droit du sol, moratoire sur l’immigration, Marine Le Pen, en pleine ascension dans les sondages, nous a détaillé ses projets si elle devenait chef de l’État. Tout un programme !

    Paris-Match : Chef de l’État, quelles mesures prendriez-vous immédiatement ?
     
    Marine Le Pen : Je fermerais les frontières. Je ferais un moratoire sur l’immigration. Puisque nous avons 5 millions de chômeurs, il n’y a aucune raison d’importer des chômeurs supplémentaires. Je mettrais en place une politique dissuasive d’immigration, c’est-à-dire que je lancerais un signal très clair aux étrangers. Nous n’avons plus les moyens de prendre en charge pour eux l’éducation, les soins, les allocations familiales… Je changerais le code de la nationalité pour supprimer le droit du sol. La nationalité française s’hérite ou se mérite. J’appliquerais aussi les lois en matière de déchéance de la nationalité. Ceux à qui nous avons eu la générosité d’accorder la nationalité française doivent pouvoir la perdre s’ils ne respectent aucune des règles de notre pays. Je rétablirais ce que Nicolas Sarkozy a appelé fallacieusement« la double peine ». Un étranger qui a commis un crime ou un délit pourrait être renvoyé dans son pays.
    PM : François Fillon a récemment inauguré une mosquée à Argenteuil. Que feriez-vous ?
    MLP :Il faut une laïcité ferme, saine et juste. Les mosquées ne doivent pas être financées avec des fonds publics. J’interdirais aussi les financements étrangers. Les lieux de culte doivent être financés par les fidèles. Je chasserai de l’école toute revendication communautariste ou religieuse, et je bannirais ces revendications en inscrivant, dans la Constitution, que la République ne reconnaît aucune communauté.
    PM : Vous prôneriez un retour au protectionnisme…
    MLP : J’appelle cela le patriotisme économique. Je suis pour une taxe aux frontières, qui financerait en partie les retraites et permettrait de lutter contre la concurrence déloyale que représente l’importation de produits issus de pays qui n’ont pas les mêmes charges ni les mêmes règles que nous. Mais surtout, je ferais des économies. Il faut lutter contre la fraude sociale. Et puis, il y a le coût de l’immigration qui se chiffre en dizaines de milliards d’euros par an.
    PM : Que feriez-vous pour relancer la croissance ?
    MLP :Il faut retrouver la maîtrise de notre monnaie. L’euro est condamné. Il faut mettre en place une « déprivatisation » de l’argent public et rétablir la Banque de France dans sa capacité de financer l’État. Une des choses qui nous ruine, c’est le recours aux emprunts auprès des marchés financiers internationaux.
    PM : Parmi les sympathisants frontistes, les ouvriers et employés vous plébiscitent. Que feriez-vous pour eux ?
    MLP :Ils bénéficieront du rétablissement des frontières, puisque 64 % des emplois industriels ont disparu en dix ans à cause de la concurrence internationale.
    PM : Face à ceux que vous appelez les « banksters », quelles mesures mettriez-vous en place ?
    MLP :Il faut taxer la spéculation, revenir à la finance à la française. L’entreprise doit pouvoir s’appuyer sur un capital qui ne soit pas spéculatif. Lorsque vous achèterez des actions, si vous les revendez le lendemain, vous paierez tellement d’impôts que ça n’aura plus d’intérêt. Plus vous conserverez longtemps vos actions, moins vous paierez d’impôts.
    PM : Que proposeriez-vous contre les violences dans les banlieues ?
    MLP :Il faut revoir de fond en comble la politique contre l’insécurité. Premièrement, on manque de places de prison, ce qui fait que notre système carcéral est une véritable honte. En attendant la construction de nouvelles prisons, je transformerais les hôpitaux et les casernes, que l’État est en train de vendre, en centres carcéraux, éventuellement ouverts. Deuxièmement, je donnerais des instructions pour que les peines prononcées soient à la hauteur des méfaits commis. Il y a un effondrement de l’échelle des peines qui fait que la sanction n’est plus crainte. J’imposerais la perpétuité réelle et définitive, et organiserais un référendum sur la peine de mort. Enfin, je protégerais la police et je lui donnerais des moyens pour remettre de l’ordre dans notre pays. Il faut aller dans les banlieues mettre les caïds hors de nuire. Je ferais voter la présomption de légitime défense pour les forces de police. Parce qu’un État dans lequel les policiers ne peuvent plus se défendre est un État qui n’a plus qu’à tirer l’échelle. Un État qui a peur est un État qui est mort...
    Source : Paris Match                                                                                                                                                                                             EH, les Vieux !  vous avez lu :                                          Marine Le Pen a pensé au Financement des retraites , elle !                                        Nicolas Sarkozy , lui a dit que dans moins de 10 ans, il ne pourra plus vous la payer !                                                                                                            Interview de Marine Le Pen au quotidien suisse « le Matin ».
    Votre arrière-grand-mère était de nationalité suisse. Quels rapports entretenez-vous avec notre pays?
    J’y ai souvent rejoint mon père au bord du lac ou pour faire du ski dans des stations comme Crans-Montana, et j’en garde d’excellents souvenirs. Mais si j’aime la Suisse, cela n’a rien à voir avec mon arrière-grand-mère: je trouve simplement que c’est un pays splendide. Et bien sûr, c’est son système référendaire qui m’attire.
    Voulez-vous copier le modèle suisse?
    Le Front national (FN) défend la votation populaire depuis trente ans, avec une belle persévérance. Et nous faisons même des émules, puisqu’elle est devenue un vrai thème de campagne… Le FN réclame un système d’initiative populaire qui, compte tenu de la population, devrait être demandé par 500 000 personnes. Je crois que c’est à peu près ce qui se fait en Italie et cela me semble correct. Entre la Suisse qui a une tradition systématique du recours au référendum et la France qui n’en a pas, il y a un juste milieu à trouver – encore faut-il respecter l’avis de ceux à qui on demande leur opinion.
    En Suisse, certaines votations sont difficiles à appliquer car elles sont contraires au droit international. Ce pourrait aussi être le cas de la peine de mort, que vous voulez proposer aux Français. N’est-ce pas un problème?
    Rien n’est supérieur au peuple. Dans ce cas, il n’y a qu’à sortir de la convention qui nous contraint. Les traités internationaux n’ont aucune légitimité par rapport au peuple.
    Est-ce une position défendable auprès des autres pays?
    Bien sûr. Ou alors, on décide que les peuples ne sont plus souverains chez eux et on entre dans une sorte de phase post-démocratique, oligarchique, où quelques-uns décident à la place des autres. Ce n’est pas ma vision. La démocratie est pleine de défauts, mais c’est encore le système le plus performant que je connaisse.
    Expulsion des étrangers criminels, retrait de Schengen… Beaucoup de vos propositions sont communes à l’UDC. La Suisse vous inspire-t-elle?
    Le Front national a fait beaucoup de propositions depuis trente ans, à l’époque où l’UDC n’existait pas. C’est à se demander si le FN n’a pas été la source de toute une série d’idées qui sont appliquées aujourd’hui en Suisse… Cela dit, il n’y a pas de honte à regarder ce qui fonctionne dans d’autres pays et à s’en inspirer.
    Votre sympathie à l’égard de l’UDC embarrasse pourtant certains membres du parti, dont Yvan Perrin, qui a déclaré ne pas partager votre«antisémitisme»…
    Il se trompe. En se faisant le relais d’accusations diffamatoires et calomnieuses à notre égard, il ne fait pas avancer la cause des nations et celle de la souveraineté. Aujourd’hui, beaucoup de gens luttent contre la dérive totalitaire de l’Union européenne et se réunissent, comme on le fait au sein de l’Alliance européenne des libertés avec le UKIP anglais, avec le FPÖ autrichien, avec le Vlaams Belang belge. Dans ce contexte, je regrette qu’un certain nombre de dirigeants de l’UDC continuent à jouer le jeu des adversaires de notre civilisation, en perdurant dans une diabolisation absurde et en répétant comme des perroquets ce que raconte l’extrême gauche.
    Vous avez déclaré votre admiration pour l’action d’Oskar Freysinger. Allez-vous le rencontrer?
    Je l’espère, mais d’après ce que l’on m’a rapporté, Oskar Freysinger trouve que je ne suis pas assez radicale contre l’islam.
    Êtes-vous opposée à son combat contre les minarets?
    Pas du tout. Mais ce que je veux surtout, c’est que les fondamentalistes islamistes soient bloqués dans leurs revendications permanentes, eux qui cherchent à imposer leurs lois, leurs codes, leurs mœurs. Il faut donc leur expliquer qu’à Rome, on fait comme les Romains. Je pense qu’il peut y avoir des mosquées, mais sous certaines conditions. Elles ne doivent pas être obligatoirement ostentatoires – et on sait que le minaret est manifestement une volonté de visibilité politique plus que religieuse.
    Vous pensez donc proposer un référendum sur les minarets en France?
    Pourquoi pas ? Si c’est la volonté du peuple, il faut la suivre.
    Le référendum est une idée commune avec Nicolas Sarkozy, qui a annoncé sa candidature mercredi dernier…
    Enfin ! J’attends qu’il réitère, dans le cadre d’une récidive politique, les promesses qu’il a faites en 2007, pour que les Français puissent juger des résultats qui ont été les siens en matière d’immigration, d’insécurité, de pouvoir d’achat, de République irréprochable. Par exemple, il a été élu pour réguler l’immigration, alors qu’il n’y en a jamais eu autant dans notre pays. On en est à 203 000 entrées par an!
    Mais 100 000 immigrés quittent la France chaque année.
    Il en reste encore beaucoup. Or, on a 5 millions de chômeurs, 1,2 million de foyers qui attendent un logement social. Continuer à faire entrer une immigration massive, c’est une folie économique et politique.
    Mais concrètement, comment feriez-vous?
    En maîtrisant les frontières.
    C’est coûteux, non?
    Il faut couper les pompes aspirantes de l’immigration, pour que les immigrés n’aient plus intérêt à venir en France. Aujourd’hui, la France est le pays le plus attractif d’Europe à cause des aides sociales, médicales, de la scolarité gratuite pour les enfants – y compris ceux des clandestins, du fait de l’acquisition automatique de la nationalité. Cela ne sert à rien de vider la mer avec une petite cuillère.
    En quoi consiste la «priorité nationale», que vous défendez?
    À compétences égales et à diplôme égal, l’employeur doit montrer qu’il n’a pas pu trouver un salarié français pour avoir l’autorisation d’embaucher un salarié étranger.
    Les hôpitaux de Genève veulent d’ailleurs appliquer le même principe, mais pour les Suisses. Qu’en pensez-vous?
    Ils ont tout à fait le droit de le faire. Après tout, les Suisses n’ont qu’un pays et il est normal que, chez eux, ils aient une priorité d’accès à l’emploi et aux aides sociales. Même chose pour les Français en France ou pour les Béninois au Bénin. C’est d’ailleurs déjà appliqué en France, dans la principauté de Monaco, et cela ne suscite pas de critiques de la part de la classe politique française. Cela s’appelle le patriotisme économique et social.
    En Suisse, une initiative de l’UDC propose de ne plus rembourser les avortements. Vous tenez le même discours en France. Pourquoi?
    Si demain je suis obligée de faire un choix budgétaire, je préfère dérembourser quelque chose d’évitable plutôt que de dérembourser les médicaments pour des personnes âgées qui ne peuvent plus se soigner. Les femmes doivent avoir le choix de ne pas avorter, c’est pourquoi je propose aussi l’adoption prénatale. Une femme enceinte pourra confier son bébé à l’adoption plutôt que de le laisser traîner dans des orphelinats.
    Avec votre idée de rémunérer les femmes au foyer, voulez-vous les inciter à rester à la maison?
    Pas du tout, j’ai moi-même toujours travaillé en élevant mes enfants. Mais j’estime qu’elles ont le droit de choisir, de rester chez elles en gagnant leur vie. Je trouve ça légitime qu’elles puissent toucher 85% du SMIC pendant un certain nombre d’années à compter du deuxième enfant, encore une fois, si c’est leur choix.
    Combien coûte cette mesure?
    20 milliards, je crois.
    Des milliers de personnes ont la double nationalité franco-suisse. Allez-vous les obliger à choisir?
    Je suis contre la binationalité, mais je peux parfaitement accepter une exception à la règle, c’est-à-dire une double nationalité de pays européens: franco portugaise, franco-suisse, ou encore franco-polonaise.
    D’autres Français vivent en France, mais ont des comptes en Suisse. Pensez-vous que la France doit accepter l’accord Rubik, qui prévoit de compenser les pertes fiscales ?
    Nous n’avons pas la capacité de lutter comme il le faudrait contre la fraude fiscale, donc cette possibilité n’est pas complètement absurde car elle permettrait au peuple français de récupérer une partie de l’argent dont ils sont privés.
    Beaucoup de Français sont au titre du forfait fiscal, comme Johnny Hallyday. Cela vous choque-t-il?
    Évidemment que cela me choque. Ils ont fait fortune grâce aux Français et il est regrettable qu’ils quittent le pays pour des raisons financières. On devrait aussi les obliger à un peu plus de modestie et à ne pas intervenir à tort et à travers dans la politique française.
    Et quel est votre avis sur les banques françaises installées en Suisse, dont les noms apparaissent régulièrement dans des affaires politico-financières?
    C’est inadmissible. Je suis pour la séparation des banques de dépôt et des banques d’affaires. Je pense ainsi que nous serons amenés à nationaliser, à titre temporaire et partiel, les banques de dépôt.
    Vous voulez donc leur interdire d’ouvrir des filiales en Suisse?
    Je veux leur interdire de violer la loi. Après, je ne vais pas empêcher les Français de travailler en Suisse. Chacun a le droit de faire ce qu’il veut. La Suisse, par exemple, a choisi de maîtriser sa monnaie, et pas la France. C’est ce que je veux, moi, c’est retrouver la maîtrise de ma monnaie.
    Mais la sortie de l’Europe ne serait-elle pas coûteuse à la France?
    Et l’euro, il n’est pas coûteux pour notre pays? La zone euro a eu la croissance la plus faible depuis dix ans et la balance commerciale de la France affiche 70 milliards de déficit. Pour retrouver notre compétitivité, on peut dévaluer notre monnaie. L’autre possibilité est de baisser les salaires et le système de protection sociale. C’est un choix. Moi je ne fais pas ce choix-là. D’ailleurs je ne suis pas inquiète, car tous les peuples vont se rendre compte qu’on leur demande des milliards, à perte, pour sauver cette monnaie.
    Vous parlez de la Grèce?
    Je prends les paris: ils vont jeter la Grèce hors de l’euro et ce sera catastrophique. Je défends une sortie progressive de l’euro. Pour la France, cela pourrait prendre six à huit mois, en concertation avec nos partenaires.
    Comment pouvez-vous convaincre l’Allemagne de mettre fin à l’UE?
    Je n’ai pas à les convaincre, puisque le peuple allemand est pour la sortie de l’Union selon les sondages.
    Et Angela Merkel?
    Elle a un peuple derrière elle, qui sait qu’au fur et à mesure que les pays font faillite, le seul qui va rester pour payer est celui qui se porte le mieux –l’Allemagne. D’ailleurs un certain nombre de pays sont prévoyants et réimpriment déjà leur monnaie nationale, l’Allemagne y compris, qui est en train d’en fabriquer en Angleterre.
    Des Deutsche Mark, vraiment?
    Oui, regardez sur Internet.
    N’est-ce pas paradoxal d’appeler à sortir de l’UE alors que vous en vivez depuis 2004?
    Pas du tout, car je lutte contre l’UE tous les jours au sein du Parlement. Si on n’est pas là pour prévenir les Français de ce qu’on leur déclare dans le dos, comment le sauront-ils? Je n’attends qu’une seule chose de ce système, c’est qu’il implose.
    Source(Merci à Catherine Ségurane)

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  • Afghanistan: poursuite des violentes émeutes anti-américaines     

                Par RFI

    C’est la troisième journée de manifestations en Afghanistan, après l'incinération de documents islamiques, dont des Corans, dans une base militaire américaine à Bagram. Des manifestations qui ont encore tourné à l'émeute dans certaines provinces, faisant 3 morts et plusieurs dizaines de blessés. Dans la province de Nangarhar, à l'est de Kaboul, un soldat afghan a retourné son arme contre ses frères d'armes étrangers. Deux soldats de la coalition ont été tués.

    Avec notre correspondante à Kaboul, Marie Normand

    C'est au cours d'une manifestation devant une base militaire américaine, proche de la frontière pakistanaise, que le soldat afghan a ouvert le feu. D'après plusieurs sources locales, cet homme en uniforme a rejoint les protestataires avant de retourner son arme contre les militaires étrangers, tuant deux soldats de la coalition.

    Le tireur serait blessé mais il aurait réussi à s'enfuir. Ceci intervient alors que sur l'un de leurs sites internet officiels, les talibans ont appelé à ce type de mutineries. Ils incitent les soldats afghans à « inscrire leur nom en lettres d'or dans les livres d'histoire ».

    Au cours de la journée de jeudi, la situation s'est considérablement dégradée, dans le centre et surtout dans l'est du pays. Plusieurs manifestants ont été tués par balles, l'un d'entre eux, armé, tentait d'entrer dans une base militaire.

    Dans certains districts, des mollahs diffusent par haut parleur à l'extérieur des mosquées des messages incitant la population à s'en prendre aux installations étrangères. A Kaboul, où la situation est calme, beaucoup s'inquiètent que ce même type de prêches soient véhiculés vendredi lors de la journée de prière et provoquent de violentes manifestations.


    Le président Barack Obama a présenté des excuses au « peuple afghan » pour l'incinération d'exemplaires du Coran dans une base militaire américaine dans une lettre envoyée à son homologue Hamid Karzaï, a annoncé jeudi la présidence afghane. Sur le terrain, un militaire afghan a ouvert le feu sur des soldats de l'Otan et tué deux d'entre eux. Ailleurs dans le pays, ce sont trois manifestants qui ont été tués, portant à 12 morts le bilan des victimes afghanes au troisième jour d'émeutes antiaméricaines


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  • American way of Internet

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

    En achetant un « Pack Liberté », votre Internet sera plus libre, plus propre et bien au sec.

    En achetant ce pack, vous soutiendrez du même coup l'April, Framasoft et La Quadrature du Net, trois organisations qui œuvrent pour un Internet propre et des technologies libres qui lavent plus blanc que blanc.

    De plus, en achetant le « Pack Liberté », vous sauverez un bébé chat.

    Il est difficile aujourd’hui d’échapper à Internet, tous les moins de 80 ans le reconnaîtront… Et encore ! Qui ne connaît pas quelques nonagénaires surfant sur la toile ? À leur rythme ? Même pas ! Au même rythme que les millions d’autres internautes… Tout comme on trouvera bien, de-ci, de-là quelques réfractaires sexa ou septuagénaires pour rester étrangers à ce mode de communication. Souvent par posture. Mais il faut de tout pour faire un monde, n’est-ce pas ?

    Pour le faire, sans doute, mais pas pour le gouverner, selon les États-Unis d’Amérique très sourcilleux sur la question.

    Car les organismes contrôlant la gestion du réseau internet sont actuellement basés chez l’Oncle Sam…

    « (La) gouvernance est aujourd’hui l’affaire de plusieurs organisations à but non lucratif, essentiellement américaines, mais indépendantes des États-Unis comme l’Icann, l’IETF ou l’Internet Society. Ces instances régulent notamment les noms de domaine, les adresses IP et déterminent les évolutions techniques du réseau », apprend-on à la lecture du Figaro.(1)

    Cette indépendance, toutefois, laisse sceptique bien des pays qui, parlant davantage de « gouvernance à domination américaine », entendent remettre en cause cette dernière en proposant que les Nations unies récupèrent la gestion du réseau Internet : « La Russie, la Chine, l’Ouzbékistan et le Tajikistan ont déposé, en septembre dernier, une résolution à l’Assemblée générale de l’ONU afin d’instaurer un “code de conduite” en matière d’échange d’informations dans le monde. Ils estiment que “l’autorité politique pour les problèmes publics liés à Internet est le droit souverain des États” », lit-on encore dans Le Figaro qui rapporte également les inquiétudes de Vladimir Poutine : « Si nous parlons de la démocratisation des relations internationales, je pense qu’il est essentiel qu’il y ait un contrôle mondial sur les échanges d’informations. C’est certainement une priorité dans l’agenda international. »

    Depuis, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud ont appelé, eux aussi, en septembre dernier, à la création d’un organisme mondial pour contrôler Internet.

    Les USA ne l’entendent évidemment pas ainsi, arguant de la menace d’une remise en cause de la « neutralité » de la Toile.

    Pour Robert McDowell, membre de la Commission fédérale des communications (FCC), « toute tentative d’étendre les pouvoirs intergouvernementaux à Internet devrait être rejetée (…) le transfert de compétences à l’ONU risque de porter atteinte à la liberté d’Internet (…) le fonctionnement actuel “sans entraves”, né d’un consensus multipartite, a accompagné les révoltes des peuples contre des régimes dictatoriaux. »(2)

    Qu’en termes choisis les choses sont dites… ou avouées, c’est-à-dire qu’Internet a joué un rôle d’importance dans les révolutions arabes de l’an passé, ce que tout à chacun a pu remarquer, mais le terme de “liberté d’Internet” est semble-t-il des plus mal choisi, puisque celle-ci est exclusivement entre les mains de la Première Puissance militaire mondiale… Imagine-t-on un instant qu’un pouvoir, quel qu’il soit, américain ou autre, hésite à utiliser un tel monopole pour servir ses intérêts et les siens seuls, du moins prioritairement ?

    Car ces fameuses « révoltes des peuples » – en Égypte, Tunisie et Lybie l’année dernière et en Syrie actuellement – ne se sont produites que contre des « régimes dictatoriaux » hostiles aux États-Unis d’Amérique.(3)

    On attend encore d’identiques « révoltes des peuples » contre les régimes « hautement démocratiques » dont Washington a initié les systèmes de défense : soit aux Émirats arabes unis, au Qatar, au Koweït et encore au Bahreïn où un chantier, qui prévoit le doublement de la taille d’une base navale, a commencé en 2010(4)… Sans parler de l’Arabie saoudite, monarchie islamique de type absolue contrôlée par la famille Saoud dont les États-Unis sont très officiellement le protecteur armé de cette dynastie.

    La révolte risque de s’y faire attendre…


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