• UMP :
    - Nicolas SARKOZY, Président de la République.
    - Dominique de VILLEPIN, Ancien Premier Ministre.

    PS :
    -  François HOLLANDE
    Président du Conseil Général de Corrèze. Ancien Premier Secrétaire du PS.
    Né le 12 Août 1964 à Rouen.

     

    MODEM :
    - François BAYROU
    Ancien Ministre

    Nouveau Centre:
    - Hervé MORIN
    Ancien Ministre

    CAP21:
    - Corinne LEPAGE

    République Solidaire:
    - Dominique de VILLEPIN

    EUROPE ECOLOGIE:
    - Eva JOLY
    Députée Européenne. Ancienne juge d’instruction.

     FRONT DE GAUCHE :
    - Jean-Luc MELENCHON

    CPNT:
    - Frédéric Nihous

    FN :
    - Marine LE PEN

    Parti Chrétien Démocrate:
    - Christine BOUTIN

    Debout la République:
    - Nicolas DUPONT AIGNAN                                                                                                                                                      Découvrez les : http://www.presidentielle-2007.net/candidats.php                                                                                                             Ce qu'ils possèdent :http://www.slate.fr/story/49199/patrimoine-candidats-presidentielle


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  • Définition du   taser
     
    Appareil inventé pour faire passer le courant entre la Police et les   arabes et ça marche !
     D' où la célèbre expression : Et taseur   ?  Elle bat le beur   !


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  • lecoqfute.com

     

     LA FRANCE AU BORD DU DENI DEMOCRATIQUE

    Parrainages : les Sages vont trancher

    Demi-victoire pour Marine Le Pen, qui réclame la fin du caractère public des 500 parrainages nécessaires pour être candidat à la présidentielle. Le Conseil d'Etat a en effet décidé de transmettre au Conseil constitutionnel sa requête. Ce dernier tranchera avant le 22 février. Soit avant la date limite du dépôt des 500 signatures, fixée au 16 mars. Comme Marine Le Pen, 68% des Français sont favorables à l'anonymat des élus qui apportent leurs parrainages.

    Les Sages vont se prononcer sur le caractère public des parrainages accordés aux candidats à la présidentielle. Et ce, avant le 22 février, a annoncé jeudi le Conseil constitutionnel. En effet, la QPC (question prioritaire de constitutionnalité, Ndlr), déposée par le Front national contestant l'obligation de rendre public les parrainages d'élus a été transmise aux Sages par le Conseil d'État . "J'ai envie de faire confiance au Conseil constitutionnel, même si c'est une instance qui est tout de même très politique", a réagi Marine Le Pen pour l'AFP, elle qui a fait de l'anonymat des parrainages son combat des dernières semaines, alors qu'elle peine à atteindre la barre fatidique des 500 signatures. "Je crois que le Conseil constitutionnel [composé notamment des deux anciens présidents de la République, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing] sera capable de passer outre l'aspect politique de certains de ses membres", a-t-elle toutefois ajouté.

    Selon un sondage Ifop réalisé pour le compte de l'Association des Jeunes de France*, 68% des personnes interrogées sont, comme la présidente du FN, favorables à l'anonymat des élus qui parrainent un candidat. Un chiffre qui atteint les 83% chez les sympathisants du Front national. Mais sympathisants de gauche comme de droite sont également favorables à cette mesure (63% et 68%).

    Un double parrainage?

    Toujours selon cette étude, 47% des sondés sont favorables à l'instauration d'une loi permettant aux maires d'apporter leur soutien à plusieurs candidats pour la même élection. Une proposition notamment portée par l'UMP Jacques Pélissard, président de l'Association des maires de France. S'il est désormais favorable à l'anonymat des parrainages - contrairement à 2007-, l'élu "propose que les maires aient la possibilité d’accorder une double signature aux candidats : l’une de conviction, l’autre républicaine, qui resteraient publiques".

    La règle des 500 signatures publiques renvoie à des enjeux démocratiques, notamment si un candidat représentant près de 20% des suffrages se retrouve exclu de la course. Ainsi, 60% des sondés estiment qu'elle empêche le bon fonctionnement démocratique, et 59% qu'elle est un frein au renouvellement de la classe politique. En revanche, 78% des personnes interrogées jugent la règle des parrainages nécessaires car cela "évite d'avoir des candidats peu sérieux à la présidentielle".

    "Les préserver de toute pression"

    Jacques Pélissard la défend également, estimant que le parrainage permet aux élus d'exercer "un droit essentiel au bon fonctionnement et au pluralisme de notre démocratie". Et de souligner la nécessité de "les préserver de toute pression". Car les risques existent. En effet, la plupart des 47 522 élus - maires, députés, sénateurs, parlementaires européens, conseillers régionaux et généraux - habilités à parrainer un candidat sont liés à un parti politique majoritaire et réservent leur soutien au candidat désigné par celui-ci.

    Certains se montrent frileux dans leur soutiens par peur de la mauvaise publicité, la presse régionale aimant à lister les parrainages attribués par les élus locaux. Enfin, dernier frein au choix des élus, l'intercommunalité, qui les conduit souvent à donner leur signature au candidat choisi par le président de la communauté de communes, qui lui aussi est généralement affilié à un grand parti.

    Après le tour de Passe-Passe de SARKOZY pour déposéder les Electeurs  de 55% de non au traité Européen du 29 mai 2005 en le faisant voter par un parlement tout acquis à sa cause; Ce dernier ira t il jusqu'à nier l'existence de plus de 20% d'électeur français qui désire voter pour Marine Le Pen

    La question est de savoir si c’est servir l’Europe, même libérale, que de la réintroduire par le soupirail du Parlement alors qu’elle  été expulsée par la porte du vote populaire. On voudrait accréditer l’idée que ce n’est pas celle des citoyens que l’on ne s’y prendrait pas autrement.Les consignes et menaces données aux maires PS et UMP de faire barrage au Front National sont du même tonneau et ne font pas honneur à ceux qui nous gouvernent.   De nouveau on peut se poser la question:  SOMMES NOUS TOUJOURS EN DEMOCRATIE ou en DICTATURE ?


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  • Alors que bien des villes sont maintenant défigurées par l'implantation de Mosquées réclamées par une population étrangère musulmane qui veut implanter sur notre sol ,sa langue, sa religion, ses rites, ses coutumes, ses lois islamiques, ses systèmes banquaires islamiques, ses traditions venues d'un autre age (pré-moyenage ),un manque de savoir vivre et d'honnèteté qui les distingue des autres populations, prenez plaisir à vous remémorer ces clochers qui ont émerveillé votre jeunesse, vous rapellant tous ces curés de campagne fidels et patriotes qui vous ont appris à faire la différence entre le bien et le mal ( programme non prévu dans la religion musulmane ) au vu des méfaits quotidiens émanant de cette population .

    http://clochers.org/carte_accueil_active.htm

    Celle là j'ai eu presque honte en la copiant  :  

    Deux fermiers se retrouvent nez à nez dans leur prairie,
    l'un dit à l'autre : "Tu viens boire l'apéro ?" 
    J'arrive lui dit son voisin,

     le temps de rentrer mes poules !

       

     

    Il se met à appeler                   ses poules par leur prénom.
                       "Sophie, au poulailler !                   Carole, Brigitte au poulailler ..." 
                        Les poules rentrent                   toutes à l'appel de leur prénom
    !                   
                     
                                                    
                       
    Le voisin , tout                   surpris , lui demande : 
                        "Tu crois que cela                   marcherait avec mes lapins ? 
                       Pourquoi pas, il s'agit de                   leur apprendre leur prénom !" 
                          
                       Plusieurs mois se                   passent.
                      Le voisin décide de lui rendre l'invitation à                   l'apéro . 
                     L'autre l'accepte et lui dit : 
                       
                                                                          
                       
    "Le temps de rentrer                   mes lapins !" 
                        Et il se met à les                   appeler. 
                     "Rachid, au clapier, Mohamed, Karim, Ahmed au                   clapier !" 
                        Les lapins, à l'appel de leur prénom ,                   s'exécutent ! 
                       Son voisin, lui dit donc : 
                        Tu vois, ça                   marche aussi avec des lapins !
                        Mais, tu peux me dire                   pourquoi tu leur as donné des prénoms arabes?                   
                       L'autre lui répond :
    > « CELA ME FAIT

     MOINS                   MAL QUAND JE DOIS LES TUER !»
                      

       

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       

     

     

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     VOUS DORMEZ AU TRAVAIL VOUS  ?

     

    Monsieur le Président du Sénat, Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs,
      
    Les   articles choquants, ci-dessous, circulant sur Internet, nous  aimerions connaitre votre point de vue sur ce sujet ainsi que sur le livre en pièce jointe qui fait la une de certaines stations de  radio et sites internet.
      
      Envisagez-vous d'aborder une réforme sur les rémunérations et privilèges des élus tout confondus, pour participer à la solidarité nationale en cette période de "crise et  d'austérité", qui pour le moment n'est supportée que par les  classes moyenne.
      
    Avant de poursuivre, permettez-moi de vous rappeler la devise inscrite sur le fronton des édifices publics que vous fréquentez: “LIBERTE - EGALITE – FRATERNITE”, vous devriez en tant que dirigeants du pays, montrer l’exemple ! ...

      En effet, il y a de quoi être "surpris" de cette cagnotte, des montants des rémunérations, privilèges, avantages, retraites dont vous bénéficiez. Ces retraites transformées en rentes pour les héritiers, alors que le simple contribuable après le décès de son conjoint est   "sanctionné" par un plafond en cas de réversion.
     Dans l’attente d’une réponse de votre part, (ne me dites pas que vous ignorez ce qui circule sur Internet, j’en doute fort, je ne vous croirais pas et le  peuple français non plus).
       
    Sénat : sa cagnotte de 1,3 milliard d’euros fait une grave polémique :
    Le sénat est supposé représenter les collectivités territoriales.

      Ci-dessous, bel exemple d'honnêteté en se constituant une cagnotte sur le dos du contribuable.
      Le Sénat a accumulé une cagnotte de 1,3 milliard d’euros, en ne rendant jamais à l’État ses excédents budgétaires. En temps de crise, il serait urgent de rembourser cet argent du contribuable.
                    
                    EXPLICATIONS
     1,310 milliard d’euros comme trésor de guerre, 1.310 millions d’euros qui dorment tranquillement dans la cagnotte du Sénat,               alors que le gouvernement racle les fonds de tiroirs, à la recherche du moindre petit million pour réduire la dette colossale de la France. Cela ressemble à un scandale d’État, dont personne ne semble s’émouvoir. Pourtant, en un demi-siècle, les trois cents               et quelque sénateurs et les mille deux cents fonctionnaires environ de cette Assemblée, censée être exemplaire, ont «               confisqué » dans les faits l’argent du contribuable pour se constituer un très égoïste trésor de guerre.

                  
    Comment est-ce possible ? L’origine de cette incroyable et très contestable cagnotte remonte  à la Libération. En effet, pendant la guerre de 1939-1945, le régime de Vichy avait supprimé les dotations financières accordées chaque année à l’Assemblée nationale et au Sénat. Les deux Assemblées ont donc connu d’énormes difficultés de fonctionnement jusqu’à la Libération. En 1945, pour se mettre à l’abri de tels désagréments, les deux Assemblées ont décidé de se constituer, dorénavant, un trésor de guerre… totalement injustifié en temps de paix, dans une démocratie apaisée
      
    Qu’importe : sénateurs de droite, du centre et de  gauche ont décidé de ne plus reverser au Trésor public l’argent non dépensé de la dotation gouvernementale qu’ils reçoivent tous les ans. Sous la IIIème République, ces excédents étaient intégralement reversés à l’État. C’était la moindre des choses. Mais, après 1945, les parlementaires se sont accordé sans complexes le droit de garder et de gérer les excédents financiers de l’Assemblée nationale et du Sénat, sans avoir à subir le moindre contrôle d’une quelconque autorité administrative.
                    
      Une cagnotte qui grossit
      D’année en année, le Sénat a veillé à faire grossir sa « caisse noire », dans l’opacité la plus totale. En effet, le premier rapport public sur l’utilisation du budget du Sénat n’a été publié qu’en 2003.Depuis, tous les ans, ce rapport est vendu pour la modique somme de 3,5 EUR. Mais, c’est un labyrinthe de tableaux et de chiffres difficiles à décrypter, compréhensible aux seuls spécialistes, si bien que les médias s’y sont peu intéressés.
                 
      Pas de Cour des comptes au Sénat
      Même la Cour des comptes n’a pas pu fourrer son nez dans la comptabilité du Sénat. Cette institution est pourtant chargée de               vérifier la bonne gestion de tous les budgets des ministères, des collectivités locales, du Parlement et même de l’Élysée. Tous se  plient sans rechigner à cette règle constitutionnelle… tous sauf le Sénat, qui s’exempte lui-même de cette obligation sans être               sanctionné ! Avec l’aide d’un expert-comptable spécialisé en comptabilité publique, France-Soir a donc décidé d’éplucher les 88               pages du rapport d’information du 18 mai 2011 de la « Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l’évaluation interne sur les comptes du Sénat de l’exercice 2010 ». Et là, nous sommes tombés sur la discrète cagnotte du Sénat, à la page 75.

     
    Bien cachée
      C’est dans la rubrique comptable « immobilisations financières » que se cache cette cagnotte, valorisée au total à 1,310 milliard d’euros. Trois grands postes principaux y figurent. Primo, le portefeuille de titres du Sénat proprement dit. Il totalise la bagatelle de 119,8 millions d’euros en actions et obligations de toutes sortes. En clair, depuis des années, le Sénat joue (habilement) en Bourse.  Secundo : les 152,8 millions d’euros de prêts (immobiliers pour la plupart) accordés à taux zéro aux sénateurs et au personnel de cette Assemblée par les deux très riches caisses de retraite du Sénat. Troisième poste : les placements financiers et leurs               intérêts venant en couverture des engagements de retraite pour 1,026 milliard d’euros. Ces derniers se répartissent entre 499,5 millions d’euros pour la caisse de retraite des anciens sénateurs et 527 millions d’euros pour la caisse de retraite des ex-employés du Sénat.
      
    Deux caisses de retraites en or
    Dans les pages 27 et suivantes du rapport parlementaire, l’examen des comptes de ces deux caisses de retraite (qui fonctionnent par répartition et capitalisation) montre qu’elles n’ont nul besoin de se refinancer chaque année auprès de l’État. Démonstration avec  l’année 2010 : le Sénat a versé à ses retraités 26,7 millions d’euros de pensions, tout en dégageant un excédent de 28,8               millions d’euros. Pour certains anciens dignitaires de la Haute Assemblée, ces pensions s’élèvent à près de 10.000 EUR mensuels…On peut se féliciter que cette caisse de retraite des sénateurs soit bien gérée, au point d’être assise sur un tas d’or, contrairement               à beaucoup d’autres. Mais que cette même caisse continue, chaque année, à solliciter l’aide de l’État, comme si elle était en               déficit, frôle l’indécence. Même constat pour la caisse de retraite du personnel du Sénat.

      
    Remboursez !
      Un seul chiffre résume la florissante comptabilité du Sénat : en 2010, tous budgets confondus, cette Assemblée a dégagé un résultat en excédent de 3,275 millions d’euros sur le dos du contribuable,3,275 millions inutiles, un trop-perçu qu’il serait juste de               rembourser à l’État… qui se dit en situation de pré-faillite, qui multiplie les plans d’austérité, imposés à tous les Français, qui               fait la chasse aux niches fiscales et augmente la TVA.
    Rendre ce trésor de guerre aux Français semblerait logique. Dans son discours d’investiture, le 1er octobre dernier, le nouveau président du Sénat, le socialiste Jean-Pierre Bel, n’a pas écarté cette éventualité. Au-delà de la justice sociale, cela               améliorerait l’image d’une institution pléthorique (348 sénateurs français, contre 100 aux États-Unis, 66 en Allemagne et 264 en Espagne), aux émoluments ou avantages élevés (les sénateurs touchent près de 15.000 EUR brut par mois, dont 6.000 en indemnité mensuelle forfaitaire pour frais).
                  
    Jean-Pierre Bel a donc admis : « Nous devons changer l’image de notre Assemblée, souvent caricaturée certes, mais qui se doit aujourd’hui à plus de transparence, plus de modestie. Elle se doit d’aller vers une vraie rénovation  démocratique, vers une autre façon de travailler […]. Nous devons en débattre ensemble, dans un cadre collectif. »
                 
      Monsieur le président, pour « plus de transparence, plus de modestie » rendez à l’État la  cagnotte de 1,310 milliard d’euros, puisque tous les ans vous touchez plus d’argent que vous n’en avez besoin. En 1992, le gouvernement de Pierre Bérégovoy avait déjà demandé à l’Assemblée nationale et au Sénat de restituer leurs deux cagnottes… afin – déjà ! – de diminuer le déficit budgétaire.
                
      L’Assemblée nationale avait accepté de rendre, en deux fois, 4 milliards de francs (environ 610 millions d’euros). Les divers présidents du Sénat, eux, se  sont opposés à tout remboursement, permettant à leur cagnotte de grossir encore. La raison officielle de ce refus était toujours la même : gonflé d’intérêts, ce reliquat des sommes versées par  l’État constituait une provision en prévision des retraites futures des sénateurs et du personnel de cette Assemblée. On l’a vu, faux argument. Alors, Messieurs les Sénateurs, remboursez ! Un milliard trois cent dix millions d’euros pour diminuer, tout de suite, notre dette sans douleur, qui dit mieux ?
               
      Les plus hauts salaires de la fonction  publique
     Cette caisse noire ne sert pour l’instant presque à rien, sinon à immobiliser des excédents financiers dans un Sénat qui accorde déjà les plus hauts salaires mensuels brut de la fonction publique à son personnel. Un salaire minimum fixé à 3.000 EUR pour,               notamment, les gardiens du Luxembourg, lingères et agents de nettoyage, 6.000 EUR pour les chauffeurs en début de carrière et jusqu’à près de 20.000 EUR pour les grands directeurs. Un même Sénat qui fait bénéficier les anciens sénateurs de retraites               mensuelles brut canon : 4.400 EUR en moyenne, 6.600 EUR pour vingt-deux ans de cotisations et jusqu’à 10.000 EUR pour une               quarantaine de sénateurs « dignitaires ». Cerise sur le gâteau : une indemnité mensuelle (« allocation de retour à l’emploi » payée par le Sénat) pouvant aller jusqu’à 5.542 EUR est versée à chaque  sénateur battu aux élections et sans emploi… pendant trois               ans.

      
      Mesdames et Messieurs les sénateurs et députés, voici ce qui circule sur le net (simplement pour vous informer). Il est vrai que cela ferait une sacrée rentrée d'argent et ne vous appauvrirait pas pour autant compte-tenu de la protection dont vous bénéficiez.
                   
      À l'heure où la situation financière est telle que l'on cherche en hauts lieux désespérément  de l'argent et que l'on va encore s'acharner sur le peuple pour le faire payer et en trouver, une réflexion s'impose !
                   
    Sachant en plus ce qui suit :
     - Etats-Unis : 300 millions d'habitants, 100 sénateurs et 435 représentants
      - France : 60 millions d'habitants, 350 sénateurs et 577 députés.
    Ne pensez-vous pas, que nous pourrions carrément supprimer, sans être méchant et perturber en quoi que ce soit le "bon"               fonctionnement de notre beau pays, la bagatelle de 250 sénateurs et 142 députés.
     
    Je vous laisse le soin de calculer au plus juste, mais il me semble qu'à la louche cela ferait :
      6000 EUR x 342 = 2.052.000 par mois et donc 24.624.000 EUR par an
     Sans commentaire !!!
                    
      À défaut on pourrait au moins envisager de baisser leur salaire, non ???  - ‎577 députes, 343 sénateurs, 30 ministres et               secrétaires d’état,
      - si on leur baissait leur salaire de 1 000 EUR, on ferait 950 000 EUR d'économie chaque mois, soit :950000 EUR X 12 = 11 400 000 EUR - En 3 minutes j'économise plus de 11 millions d'euros par an, sans toucher à la TVA, sans toucher aux retraites               !
      
      En PJ : la référence du livre de Robert COLONNA D’ISTRIA et Yvan STEFANOVITCH qui prouve la véracité de cette aberration indécente de la part de hauts fonctionnaires


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     Candidat :  FRANCOIS HOLLANDE

    SOCIETE CIVILE LA SAPINIERE  ??Il n'aime pas les riches....mais que ne fait-il pas pour ne pas payer d'impôts...ML

    par Marcelle Lacassain, jeudi 2 février 2012, 05:28 

    RCS Paris D 377 552 955

    Renseignements juridiques

    Siège  social 28  Avenue Duquesne

    75007 PARIS 07

    SIRET 37755295500025

    Forme  juridique Société  civile immobilière

    Capital  social 914.694,01  EURO

    Code  activité 702C  - Location d'autres biens immobiliers

    Immatriculation 04-04-1990

    Nationalité France

    Dirigeant(s)

    Gérant M.  HOLLANDE Francois

    Gérant Mme  ROYAL Marie-Segolene

    Dépôt légal

    24-01-2000 Immatriculation  suite à transfert

    24-01-2000 Changement  de dénomination sociale

    24-01-2000 Acte  sous seing privé

    24-01-2000 PV  d'Assemblée

    24-01-2000 Statuts  mis à jour

    "Parmi ceux qui défendaient  farouchement l'ISF, certains n'hésitaient  pas,  pour s'en affranchir, à monter une SCI dans laquelle ils logent leur appartement de  Boulogne, leur appartement situé dans le 7ème à Paris, la propriété de Mougins et la  maison de Melle....

    Socialiste oui ! mais surtout avec l'argent des autres !  "

    Vérifié sur le site « société.com » (voir en pièce  jointe)

    N° de Siren : 37755295500025

    SCI LA SAPINIERE au capital de 914 694 EUR

    Propriétaire : F. Hollande et M.S. Royale

    Ah, qu'il est bon d'être socialiste... ! ! !

    Moi aussi, je veux être socialiste ! ! !                                                                                                                    

    Une SCI peut-elle permettre d'échapper à l'ISF ?
    François Hollande et Ségolène Royal ont une société civile immobilière (SCI) comme beaucoup de Français. Le couple a en effet ­inscrit dans la société civile La Sapinière son appartement de 120 mè­tres carrés qui se situe dans la partie chic de Boulogne, à deux pas de Roland-Garros et du XVIe arrondissement de Paris.
    Contrairement à ce que laissent entendre certains, créer une SCI n'est pas une façon d'échapper à l'ISF. Il s'agit pour l'essentiel d'une stratégie de « bon père de famille ». « C'est un mode de détention intéressant pour les couples qui ne sont pas mariés et lorsque des personnes extérieures sont associées à l'achat », indique Jean-Yves Mercier, avocat associé à CMS Bureau Francis Lefebvre. C'est justement le cas du couple qui a acheté avec les parents de François Hollande.
    « Créer une SCI est intéressant pour transmettre son patrimoine et éviter les problèmes liés à l'indivision, mais ne permet en aucun cas d'échapper à l'impôt sur la fortune », rappelle Yann de Givré, avocat associé et directeur du département fiscal de Fidal.
    Sur cet appartement, le couple bénéficie d'une décote de 20 % au titre de la résidence principale. Mais aussi d'une décote supplémentaire, car vendre les parts d'une SCI détenue par plusieurs personnes est moins facile que céder un appartement détenu par une seule personne. Cette deuxième décote est donc la contrepartie d'un manque de liquidité.
    Le montage est au bout du compte très classique et témoigne d'une approche patrimoniale intel­ligente de Ségolène Royal, qui ne ferait pas rougir un gestionnaire de patrimoine avisé.
    Les biens de Ségolène Royal et François Hollande sont-ils correctement évalués ?
    La résidence principale du couple Royal-Hollande se trouve dans la partie nord de Boulogne-Billancourt, où les prix « dépassent actuellement 7 000 euros le mètre carré, soit environ 840 000 euros pour un appartement de 120 m² », affirme un agent immobilier im­planté dans le voisinage. Féau Boulogne, agence spécialisée dans le haut de gamme, propose par exemple actuellement dans cette partie huppée de la ville un appartement de 117 m² à ce prix.
    La résidence principale du couple Hollande-Royal paraît donc correctement évaluée. La candidate socialiste déclare sa part, soit un tiers à 197 800 euros, ce qui valorise l'appartement à un peu moins de 600 000 euros. Un montant a priori proche de la réalité, compte tenu des décotes.
    Elle détient aussi une maison à Melle (à une vingtaine de kilomètres de Niort) dans sa circonscription. Achetée 168 000 euros, elle est déclarée pour 50 000 euros, compte tenu d'un crédit de 111 024 euros en cours de remboursement. Les emprunts sont en effet déductibles au regard de l'ISF.
    « L'évaluation paraît en ligne avec les prix de marché pour ce quartier pavillonnaire des années 1960-1970 », estime Fabrice Miche­let, agent immobilier Century 21 dans la région. À l'agence 100 % immobilier de Melle, on indique qu'une maison d'une centaine de m² s'échange entre 150 000 et 180 000 euros.
    Reste le troisième bien immobilier du couple, une villa à Mougins, près de Cannes. Ségolène Royal, qui en détient 40 %, évalue sa part à 108 000 euros. Ce qui valorise la maison à 270 000 euros. Or, dans le quartier Saint-Basile, où se situe la résidence secondaire de Ségolène Royal, la plupart des transactions se font à partir de 600 000 euros, selon différents professionnels. L'évaluation est a priori surprenante. Mais plusieurs éléments peuvent l'expliquer : la candidate est seulement propriétaire indivise, ce qui restreint les possibilités de revente et autorise des décotes. Et on ne connaît ni l'état de la maison, ni les nuisances de voisinage possibles, ni les charges qui pourraient l'affecter (par exemple si un viager était encore en cours).
    Comment le couple Hollande-Royal a-t-il financé l'acquisition de son appartement à Boulogne ?
    François Hollande déclare avoir acquis avec Ségolène Royal cet appartement en 1990 à l'aide de prêts délivrés par l'Assemblée nationale. On apprend sur le site Internet de l'Assemblée que celle-ci « attribue des prêts pour l'acquisition d'un logement ou d'un local à usage de bureau ou de permanence, soit à Paris, soit dans la ­circonscription ». Il est indiqué en outre que « le montant moyen des prêts consentis aux députés, d'une durée de 10 ans à 2 %, s'élève à 76 225 eur ». Le montant maximum accordé actuellement pour un célibataire est de 175 000 euros, montant qui est relevé pour les couples et en fonction du nombre d'enfants. Les députés peuvent en outre obtenir un prêt complémentaire de 75 000 euros remboursable sur cinq ans, c'est-à-dire la durée de la législature. L'attribution de prêts est d'ailleurs gelée depuis mai 2006 pour le financement de permanence et depuis la fin de l'année pour le financement de logement.
    Jusqu'en 1996, les prêts compor­taient une première tranche au taux de 6 %, le reste bénéficiant d'un prêt à taux zéro, le tout étant alors plafonné à un million de francs. Depuis, le taux a été unifié à 2 %.
    C'est la Caisse de financement des retraites des députés qui alimente les prêts. Les mensualités sont prélevées automatiquement sur l'indemnité représentative des frais de mandat, qui s'élève à 6 244 euros mensuels (en plus de l'indem­­nité parlementaire de 5 132 euros net par mois).
    Les candidats à la présidentielle sont-ils obligés de rendre public leur patrimoine ?

    Les candidats à l'élection présidentielle doivent remettre au Conseil constitutionnel, avant la date limite de dépôt des signatures, une déclaration sur l'état de leur patrimoine, sous pli scellé. À défaut, les Sages ne peuvent pas les déclarer candidat. La déclaration du candidat élu est ouverte et publiée au Journal officiel, en même temps que les résultats de l'élection. Les autres sont retournées à leurs auteurs.
    Les candidats doivent en outre s'engager, s'ils sont élus, à déposer deux mois au plus tôt et un mois au plus tard avant l'expiration du mandat une nouvelle déclaration de leur situation patrimoniale, per­mettant d'en mesurer l'évolution.
    L'ensemble des biens doit être déclaré, y compris ceux détenus à l'étranger et n'entrant pas dans l'assiette de l'ISF. Pour les immeubles bâtis et non bâtis doivent figurer la date et le prix d'acquisition et la valeur actuelle. Doivent en outre figurer les valeurs mobilières cotées ou non en Bourse, Sicav, FCP, SCPI, assurances-vie, comptes bancaires courants ou d'épargne, livrets, espèces et comptes courants de société, les meubles meublants, collections, objets d'art, bijoux, pierres précieuses, or, voi­tures, bateaux, avions, fonds de commerce ou clientèles, charges et offices, biens immobiliers et comptes à l'étranger et emprunts.
    Les députés sont d'ailleurs sou­mis, comme un certain nombre d'élus (7 500 en tout) à une obligation voisine, mais c'est auprès de la Commission pour la transparence financière de la vie politique qu'ils doivent faire leur déclaration, au début et à la fin de leur mandat.  
    SES REVENUS
    Revenus purement salariaux annuels de mr Hollande (hors revenus du patrimoine Immobilier, financier ou autre, voiture, chauffeur, gratuité des voyages trains, avions,taux d'interet immobilier minimalisés..)
    François Hollande
    Député de Corrèze
    Maire de Tulle (16.000 hab.)

    Indemnité parlementaire 63.090,96
    Indemnité de résidence 1.892.76
    Indemnité de fonction défiscalisée 16.246.56
    Indemnité de frais de mandat 73.344,00
    Indemnité pour collaborateurs 102.636,00
    Indemnité de téléphone et courrier 79.320,00
    Indemnité de maire de ville moyenne 28.118,88
    TOTAL 364.649,16 

    alors que  "salaire moyen.com" donne en france                    le Revenu d'un ménage en france
    2 519  nets / mois (+ 2.8 %)
    soit 1 095  / personne du ménage                          Ses Dépenses  Le meeting de F. Hollande au Bourget ayant coûté près d'un million
    d'Euros
    !
    - Pour l'occasion, 10.000 tee-shirts
    ont été fabriqués au Portugal !
    - Dans le carré des
    VIP, un invité de "prestige " Yannick Noah...Domicilié
    en Suisse.Qui vient de saisir le Conseil Constitutionnel car il refuse de payer
    un peu moins d'un million d'impôts qu'il doit et que lui réclame le Fisc
    Français ( ? )
     - Par ailleurs,
    le Q.G. de campagne de F. H. situé dans la très chic avenue de Ségur est loué
    40.000,00 Euros par mois
    ...


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  • La pénalisation du «séjour irrégulier» déclarée conforme à la Constitution

    Le Conseil constitutionnel a déclaré vendredi 3 février conformes à la Constitution les sanctions pénales, et donc les peines de prison prévues dans le droit français pour le seul motif du séjour irrégulier. Les Sages avaient été saisis d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) contestant un article du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (Ceseda), qui prévoit une peine d’emprisonnement d’un an et une amende de 3750 € pour un étranger, s’il se rend coupable d’être sans papier.                       

    La laxité de la justice me fait l'effet d'un laxatif

    Ce que dit la loi pour ceux qui commettent le délit de soutient à des etrangers en situations irrégulières.

    L'article L622-1 du Ceseda (Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile) est celui qui suscite l'ire des associations de soutien aux sans-papiers. Il  punit de 5 ans d'emprisonnement et d'une amende de 30 000 € «toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger en France».                                      

    Alors que beaucoup de Français sont dans la rue en ces temps de froidure hivernalerécit d'un vieux sans-papier :http://www.lelombrik.net/sons/24319/au-bout-du-rouleau.html


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  • FORUM DE SOUTIEN A MARINE

    www.partisansmarine.com | Le Forum des Partisans
    de Marine Le Pen

    Bonjour.

    Les Partisans de Marine Le Pen sont heureux de
    vous accueillir parmi eux sur ce forum.

    http://www.partisansmarine.com/ 



    Fraternité, respect,
    cordialité et défense des idées de Marine Le Pen, de son
    programme et soutien inconditionnel à sa candidature pour
    l'élection présidentielle de 2012 sont nos maîtres-mots.

    Soyez le(la) bienvenu(e) parmi
    nous et vive Marine !

    Jupiter

     

     


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  • Si vous êtes retraité ou
    sur le point de prendre votre retraite,
    il est URGENT de lire
    le message  ci-dessous

    Cher Lecteur,

    Permettez-moi de  vous présenter un couple de Français tout ce qu'il y a de plus normal :  appelons-les Hélène et Bernard M.

    Hélène a 53 ans,  son mari Bernard en a 56.

    Ils habitent un  petit village dans l'est de la France, et y mènent une vie tout ce qu'il y a de  plus normal. Bernard a travaillé toute sa vie dans la même entreprise  agro-alimentaire, tandis qu'Hélène est restée femme au foyer pour s'occuper de  leurs trois enfants.

    Récemment, elle a  quand même pris un petit emploi à mi-temps, histoire de s'occuper maintenant  que les enfants sont grands... et aussi pour mettre un peu de beurre dans les  épinards : les temps sont durs.

    La retraite  approche -- et ils l'envisagent avec plaisir : ils veulent entamer la  rénovation de la maison, faire le voyage en Thaïlande qu'ils se sont promis de  longue date, accorder plus d'attention à leur jardin ... sans compter la  naissance de leur première petite-fille, avec qui ils vont pouvoir passer du  temps !

    Bref, ils  vont enfin profiter des points de retraite qu'ils ont accumulé tout le long  d'une vie de travail.

    Le gouvernement leur affirme que  tout va bien, que les réformes nécessaires ont été mises en route, qu'il y aura  de quoi assurer les retraites pendant encore longtemps.

    Comme 66% de  Français, Hélène et Bernard font confiance au gouvernement.

    Et comme 66% de  Français, ils se trompent lourdement.

    Parce que l'argent n'est pas dans les caisses. Hélène et Bernard vont devoir  mettre de côté leurs beaux projets de voyage et de détente... et pourraient se  retrouver avec une pension bien inférieure à ce qu'ils comptent percevoir.  Et ce qui vaut pour eux vaut pour vous  aussi.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            

    J'ai récemment découvert une étude réalisée par la Banque Postale et  le journal Les Echos qui m'a donné froid dans le dos. Voyez-vous,  cette étude démontre que 66% des Français ne  font rien pour préparer activement leur retraite. Comme Hélène et Bernard, deux tiers des Français  pensent que le gouvernement sera là pour assurer leurs "vieux jours".

    Sauf  qu'il n'y a rien de plus faux. Les chiffres prouvent que les caisses sont non seulement  vides... mais en déficit. Et la situation s'aggrave de plus en plus rapidement.

    C'est  très simple : de mon point de vue, compter  sur une retraite versée par l'Etat est une illusion pure et simple. Un  aveuglement qui pourrait coûter très très cher, au propre comme au  figuré, à des millions de Français.

    Je parle là d'une génération entière d'hommes  et de femmes qui pourraient se retrouver condamnés à vivre avec seulement quelques  centaines d'euros par mois... au lieu de la pension confortable à  laquelle ils s'attendent.

    Si je  vous écris aujourd'hui, c'est parce que je pense qu'il y a urgence. Je voudrais  mettre un maximum de personnes au courant de la situation --

    Comme vous allez le découvrir dans ce message, il y a des moyens bien concrets de percer  l'illusion --

     

    Trois petits graphiques...
    et la fin d'une illusion bien française

    Permettez-moi de vous présenter deux graphiques.

    Regardez-les simplement l'un après l'autre. 

    Inutile d'avoir fait l'ENA pour voir que nous nous  dirigeons tout droit vers la catastrophe (ce qui est peut-être la raison pour  laquelle nos énarques ne comprennent rien à la situation... mais passons).

    Comme vous pouvez le voir sur le premier graphique, la  Caisse nationale d'assurance-vieillesse, la CNAV, censée gérer les fonds  retraite de la nation, est dans le rouge depuis 2004.

    On était à -6 milliards d'euros en 2011... et on attend  une "amélioration" à -5,8 milliards en 2012.

    Parallèlement, le nombre d'actifs qui cotisent pour financer les retraites nationales est en  chute libre. En 1964, on trouvait près de 4,5 actifs par retraité ;  aujourd'hui, on en est plutôt à 1,5... et dans quelques années à peine on  passera à moins d'un actif par retraité.

    Or les besoins de financement sont gigantesques !

    En 2007, le Conseil d'orientation des retraites (le COR) estimait  que si la situation demeurait inchangée,  le déficit total des retraites françaises (c'est-à-dire intégrant les retraites  de la fonction publique, des agriculteurs, des indépendants, etc.) atteindrait 1,6%  du PIB français en 2030, soit 47 milliards d'euros en 2030. Il tablait ensuite  sur un déficit de 63 milliards d'euros en 2040 et de 69 milliards d'euros en  2050.

    Sauf que la situation n'est pas restée inchangée.

    Loin de là.

    En 2010, le COR a fait un nouvel état des lieux. Résultat des courses : en 2010, on atteignait déjà le déficit initialement prévu pour 2030  -- 1,6% du PIB, soit 32 milliards d'euros.

    La dégradation des comptes de la retraite a connu une accélération  fulgurante au cours des cinq dernières années.

    Désormais, avec une hypothèse "optimiste" -- un chômage revenu  à 4,5% en... 2024 -- on s'attend à un déficit de 70 milliards d'euros en  2030. Près du double de ce que le COR avait prévu en 2007. (Et pour  rappel, nous n'avons plus revu un taux  de chômage à 4,5% depuis... 1978 -- et nous en étions à 9,3% au troisième trimestre 2011.)

    La seule question qui vaille la peine d'être posée à ce stade, c'est... 

    Où le gouvernement va-t-il trouver l'argent ?

    Peut-il l'emprunter ?  Hélas, la perte du Triple A pourrait mettre fin à la bonne volonté des prêteurs  étrangers... et on les comprend : qui irait prêter de l'argent à un pays  qui a 1 688,9 milliards d'euros de dette publique -- pour une croissance  anémique (1,6% en 2011) qui menace de se transformer en récession ?

    Du côté des impôts,  alors ?

    Pas franchement : les finances de l'Etat  français sont déjà dans le rouge... et les recettes fiscales sont en baisse. Elles étaient de 345,2 milliards d'euros en  2010... et de 336,5 milliards en 2011.

    Il faudrait  augmenter considérablement les impôts pour parvenir à financer correctement les  engagements pris auprès des retraités et futurs retraités français.

    Mais comment voulez-vous augmenter  les impôts quand la population active diminue ?

    A 9,3% à la fin  2011, le taux de chômage grimpe, grimpe et grimpe. En septembre dernier,  l'Unedic, l'organisme en charge de l'assurance-chômage, attendait 36 700  chômeurs supplémentaires en 2011 ; elle estime désormais que ce chiffre  sera plus près des 134 200 nouveaux chômeurs. Et ce ne sera guère mieux  en 2012, où l'Unedic prévoit que 230 100 nouvelles personnes viendront  grossir les rangs des sans-emploi en France.

    Est-ce que c'est là le vivier de revenus que l'Etat entend taxer pour  nourrir les caisses de retraite ?

    Ce serait l'hôpital se moquant de la charité : l'Unedic est  elle-même déjà en déficit de 11 milliards d'euros... et l'afflux de nouveaux  chômeurs devrait porter ce manque à gagner à 15,3 milliards d'euros en 2012.

    Non, c'est pire que  ça... 

    Le scandale de la CADES :
    quand les retraites financent les déficits !

    En fait, les  finances de la France sont dans un état si grave que le gouvernement a dû siphonner les actifs réservés à la retraite pour venir combles les déficits  nationaux !

    Attention, le tour  de passe-passe est subtil. Explications.

    En 1999 était fondé  le Fonds de réserve des retraites (FRR), destiné à lisser le déficit des retraites déjà prévu à l'époque. Ce  fonds d'investissement devait être "nourri" régulièrement par des  dotations de l'Etat, qui seraient ensuite placées sur les marchés financiers  pour les faire fructifier.

    Objectif :  atteindre les 150 milliards d'euros de réserves afin de financer les retraites  à partir de 2020.

    Jusque là, tout va  bien.

    D'un autre côté, en 1996, la Caisse  d'amortissement de la dette sociale (CADES) était mise en place  pour  reprendre la dette de la Sécurité sociale. A l'époque, on ne s'en sortait plus  avec un déficit équivalent à 21 milliards d'euros... On a donc mis en place  "temporairement" cette structure financée par la CRDS. Elle était censée s'éteindre en janvier 2009 -- tout comme la CRDS, d'ailleurs.

    Aux dernières  nouvelles, la CRDS figure encore parmi nos impôts... et la CADES est toujours en  activité.

    C'est là que les  choses deviennent vraiment intéressantes.

    En mars 2010, le  FRR comptait 34,5 milliards d'euros dans ses caisses. On était encore très très loin des 150 milliards fixés, mais  c'était un début.

    Un organisme gouvernemental dans le vert ! C'était trop beau : en  juin 2010, il a été décidé de transférer ces fonds directement à la  CADES. Et dans ses poches aussi, les 2% de prélèvements sociaux sur les  revenus du capital servant à abonder le Fonds chaque année !

    Nous en sommes là.

    Le gouvernement est  aux abois depuis des années -- il en est réduit à dépouiller Jean pour habiller  Paul. Et tant qu'à faire, prenons aux retraités : ils ne descendent pas  dans la rue, eux ! 

    Trop peu, trop tard :
    les réformes ne serviront à rien

    Mais, me direz-vous, on a mis en place des réformes, non ? Voilà qui  devrait permettre de rétablir la situation !

    Reculer l'âge de départ à la retraite, allonger la durée des  cotisations... Les réformes entamées en 2010 (et qui devraient connaître un  coup d'accélérateur cette année, avec l'application du plan de rigueur) sont un  début, qui permet d'économiser quelques milliards d'euros.

    Mais c'est beaucoup trop lent !

    Le gouvernement ne peut pas réussir -- simplement en reculant un peu le  départ en retraite et en rajoutant quelques trimestres de-ci de-là -- à combler  un déficit en avance de 20 ans sur les prévisions.

    Ce serait déjà extrêmement long et difficile en période de croissance et  de plein emploi... alors maintenant que nous allons très vraisemblablement  entrer en récession, c'est mission impossible.

    Désormais, c'est  une autre réalité qui nous attend. Celle que traduit le troisième graphique :  

    423 euros par mois, ça vous  ira pour vivre ?

    J'ai gardé le meilleur pour la fin...

    La conséquence inéluctable des deux premiers  graphiques : ce que devrait percevoir un retraité moyen dans les années  qui viennent 

    L'équation est simple :

    Hausse des retraités + baisse des cotisants = moins d'argent à distribuer.

    Il n'y a pas à sortir de là. Le piège est en train de  se refermer.

    Votre épargne prise à la gorge

    Et on continue de nous annoncer de nouvelles mesures destinées à  renflouer les finances de l'Etat. Sous couvert d'"aide sociale" et de  "solidarité" (des grands mots bien pratiques quand on veut tondre une  nouvelle fois le contribuable), vous allez devoir une nouvelle fois passer à  la caisse.

    Sauf que ces mesures sont à mes yeux parfaitement futiles -- voire moralement criminelles. Et je pèse mes mots.

    Passons sur la  hausse de 1,6% de la "TVA sociale" ; elle viendra rogner votre  pouvoir d'achat une fois encore, mais ce n'est pas elle qui m'inquiète le plus  aujourd'hui.

    Non, ce que je juge  vraiment grave, c'est la hausse de deux points de la CSG sur les revenus financiers,  qui passe à 10,2%. Assurance-vie, épargne salariale, dividendes d'actions,  PEL... quasiment tous les supports d'épargne sont concernés. Au total, votre  épargne sera désormais taxée à 39,5% -- le taux le plus élevé  d'Europe.

    Qu'est-ce que cela  signifie ? Au moment où vous avez le  plus grand besoin d'épargner pour vous construire un capital essentiel qui viendra compenser la baisse de la pension que l'Etat est censé vous  verser... l'Etat lui-même ponctionne une  partie de plus en plus considérable de ce capital !

    A moins  d'un renversement radical de la situation -- et on parle là d'une hausse  fulgurante de la démographie ajoutée à une démultiplication tout aussi  fulgurante de la croissance --, tout indique que des millions de Français vont souffrir de cette crise sans précédent sur nos caisses de retraite.

    Je parle là de toute la génération des baby-boomers, habitués à un Etat-Providence qui  leur promet l'aisance à crédit, et qui va devoir se résigner à survivre  avec quelques centaines d'euros par mois. J'espère que vous vous entendez bien  avec vos enfants et petits-enfants... parce que si tout se passe comme je le  pressens, vous pourriez devoir dépendre d'eux pour votre vieillesse.

    Pourtant, visiblement, deux Français sur trois ne comprennent pas pleinement  la gravité de la situation.

    Et ils ne sont pas plus préparés pour ses  conséquences.

    Aujourd'hui, notre système est en panne. Ce sont ceux-là  même qui sont censés nous protéger qui nous ont mis dans un tel pétrin. Au  cours des prochaines années, je pense que  ceux qui sont à la retraite ou approchent de la retraite seront ruinés par ce  mal qui gangrène notre système social.                                                                 La Quotidienne d'Agora quotidienne@publications-agora.fr


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  •  

     

    Bariza Khiari qui a la double nationalité, elle est Algérienne et                     française, ou Française et Algérienne                     ?

    "Le sénat ayant basculé à gauche, pour la première fois depuis plusieurs décennies, le Parti socialiste, vainqueur, a élu son Président. Il est, comme de bien entendu,                     socialiste.

    Mais les autres responsabilités n’avaient pas encore été attribuées ou, tout au moins, nous les avait-on tues.

    C’est le quotidien algérien Liberté Algérie,

     dans sa                    

    rubrique « radar » qui nous donne la

     primeur de cette information.

    "L'Algérienne,Bariza Khiari, proche de Laurent Fabius, a été nommée                    

    vice-présidente de la Chambre haute du Parlement."

    Qui est Bariza Khiari ?

    Elle est née le 3 septembre 1946, dans les Aurès (Algérie). Après                    

     ses études, elle obtient un diplôme d’études supérieures(DESS) qui lui permet d’être admise à une formation continue à l’ENA.

    Jusque-là, tout va bien mais…

    Elle est une militante du MRAP.

    Et, aussi, fondatrice du Club XXIème siècle, en 2004, avec Rachida Dati et Rama Yade. [Valoriser l’atout de la diversité pour l’égalité des chances.Vous savez, les chances pour la France.]

    Pour finir et afin de mieux cerner la personnalité de cette toute nouvelle vice-présidente du Sénat Français, nous sommes allés interroger Wikipédia qui nous livre sa déclaration première :

    «Je suis musulmane

    sunnite,

     de rite malikite

    et de tradition                    

     soufie... »

    «.. Et notre islam est un islam

     apaisé, ouvert, tolérant,

     en cohérence avec la

    tradition laïque française.                     »

    Là,on commence à réfléchir.

    Le sunnisme  est le courant religieux majoritaire chez les musulmans qui                     représente la ligne de conduite de Mahomet(Coran).

    Le malikisme est un courant du sunnisme et l’imam Malik appliquait sans restriction le Coran. Courant religieux majoritaire en Afrique du Nord, en Egypte, au                     Soudan…

    Le soufisme est une quête philosophique et religieuse dans l’Islam spirituel, mystique et ascétique                     de l’islam.

    Et, tout ça est en  cohérence

    avec la tradition laïque,

     Madame Bariza Khiari                     ?

    On en doute.

    Mais on s’affole vraiment,

     lorsqu’on entend cette

     laïque,                    

    sunnite, malikite et soufie,

     déclarer

     que "sa première tâche"

     à ce poste prestigieux

     du Sénat                    

     français, sera, on cite

     le quotidien algérien :

    « De s’attaquer à la circulaire de Claude Guéant, durcissant les conditions de séjour des étudiants étrangers après l’obtention de leur diplôme. Elle devrait présenter une proposition de résolution favorisant l’emploi des étudiants étrangers sur le territoire français tout en facilitant les « aller-retour » avec leur pays d’origine.»

    Madame Khiari, en parlant de ces futurs diplômés, qu’elle nomme pudiquement « étrangers », ne trompe personne.

    Ne reprend-elle pas, là, en effet, les exigences de l’Etat algérien qui insiste lourdement auprès de notre pays, pour cette mesure qui consiste à une libre circulation des algériens vers la France ? Libre circulation à sens

     unique.

    Nous avions, pourtant, 

     prévenu nos compatriotes

     que, si la gauche arrivait au

    pouvoir, la France

    algérienne arriverait,

     très vite, avec eux.

    Eh bien ! C’est fait.

    Sans  avoir attendu

     l’élection présidentielle,

     le Sénat, la deuxième

     Autorité de la République

     Française après l’Elysée,

    vient de nommer

     une algérienne qui

     compte bien - et très vite -

     imposer la loi

     algérienne en France.

    Une question nous tarabuste,

    néanmoins.

    Nous savons que selon la Constitution si,

     pour une raison X ou Y,

     le président français venait à ne plus

     pouvoir exercer sa 

     fonction, le Président du Sénat est celui

     qui le remplacera par intérim.

    Imaginons une seconde que les deux

     viennent à manquer en même temps

     Plus de président de la République,

    plus de président du Sénat...

    Est-ce le vice-président du Sénat

     qui prendrait (par intérim)

     les rênes de la France


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  • Aujourd'hui c'est la Chandeleur, François a donc enlever ses vêtement d'hier pour récupérer la farine avec la ferme intention de faire des crêpes( peut être en offrira t il à la mal-logée qui lui a offert généreusement la farine < celle là un peu plus dérangée que les autres > quelles autres M Hollande ?                                                     

    INGREDIENTS

    Pour 4 personne(s)

     

    La pâte

     

    Pour 5 à 6 crêpes

    150 g farine de sarrasin

    100 g farine

    3 oeufs

    250 ml lait

    250 ml eau

    1 pincée de sel

     

    La garniture

     

    Pour 1 crêpe

    1 oeuf

    1demi tranche de jambon blanc

    1 demi tranche de jambon cru

    quelques champignons de Paris

    fromage râpé

    sel, poivre

     

    Avatar de EdithProposé par :
    Edith
                    > Toutes ses recettes
                    > Voir son Blog

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    PREPARATION

    1

    Préparer la pâte à crêpes en mélangeant vivement au fouet tous les ingrédients, en commençant par le mélange de farines, ajouter le sel puis les oeufs et mouiller avec le mélange de liquides tout en fouettant pour obtenir une pâte lisse.

    2

    Laisser un peu reposer la pâte puis faire cuire les crêpes dans une poêle bien chaude contenant un peu de matière grasse, huile ou beurre à vous de choisir personnellement c'est avec de l'huile que je fais sauter mes crêpes.

    3

    Garnir chaque crêpe au fur et à mesure avec les ingrédients choisis, oeuf, jambon,s découpés en lannières, champignons, terminer par le fromage. Replier votre crêpe de façon à ce que la garniture reste chaude et servir aussitôt accompagné de quelques feuilles de salade pour un repas complet et équilibré.                                                                                                                                                                                                              

    Encore du COLUCHE décidément, il ne mourra jamais !          " Si je dis :
                
             
    l'Algérie aux algériens tout le monde dit bravo!!!
                la Tunisie aux tunisiens tout le monde dit bravo!!!
               la Turquie aux turcs tout le monde dit bravo!!!
              l'Afrique aux africains tout le monde dit bravo!!!
                ... la Palestine aux palestiniens tout le monde dit bravo!!!

                 
              Mais quand je dis la France aux français on me traite de  raciste!...."
                                                                                                                                                                                                                                                                                     parking a velo gratuit tous les vendredi                                                                                                                                               
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    Victoire du Bloc Identitaire contre le projet de mosquée de Saint-Germain-en-Laye

    Publié parlegaulois.infoRubriques :,,
    - COMMUNIQUÉ -
    Communiqué de presse de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire 31 janvier 2012
    Montluçon, Nice, Fayence, La Réole,  St-Germain en Laye… autant de villes françaises qui ont été menacées par la construction de mosquées. Autant de villes françaises dans lesquelles le Bloc Identitaire s’est investi, a prévenu les populations, a fait pression sur les pouvoirs publics et obtenu des résultats concrets !
    La dernière ville en date, c’est Saint-Germain en Laye, dont le château a vu défiler nombre de nos rois de France. Le maire UMP, Emmanuel Lamy, projetait de louer à Mosaïque, l’association musulmane de sa ville, un vaste terrain de 1168 m², pour la dérisoire somme de 19000€ par an, sur lequel l’association se destinait à construire une mosquée.


    Un projet incohérent dès le début, car on ne peut construire sur un terrain dont on n’est pas propriétaire. C’est donc la mairie qui aurait dû réaliser les travaux avant de louer la mosquée ! Non seulement, cela va à l’encontre du principe de laïcité, mais surtout, les Saint-Germanois auraient payé de leur poche l’islamisation de leur ville !
    Le maire avait peut-être espéré que la construction d’une mosquée allait passer inaperçue, c’était compter sans le Bloc Identitaire. Avertis du projet, les militants se sont mobilisés pour prévenir les Saint-Germanois de la future construction d’un centre cultuel et culturel musulman dans leur ville. Dans une lettre adressée au maire, ils ont dénoncé sur la forme le manque de clarté dans cette affaire et sur le fond la construction d’un lieu de culte musulman, symbole de l’islamisation de la France.
    Les Saint-Germanois alertés se sont alors regroupés autour du Bloc et le maire a dû faire marche arrière. Annonçant l’abandon du projet, il a reconnu « des problèmes d’urbanisme, un manque d’information sur le contenu et sur le montage financier du projet »… ça commençait en effet par faire beaucoup !
    La presse locale a, une fois de plus, reconnu le travail du Bloc Identitaire. Le Parisien cite l’action de terrain des militants, qui, en dénonçant « le manque de concertation du maire » et le « prix de vente 45 fois inférieur au prix du marché » ont permis aux habitants de Saint-Germain-en-Laye de déclencher « une vaste polémique » et d’obtenir l’abandon du projet. Le Parisien se fait également l’écho de musulmans « déçus et abattus », qui regrettent une campagne qui « a semé le trouble dans les esprits ».
    Le Bloc Identitaire ne sème nul trouble dans les esprits, mais expose des faits que certains préféreraient laisser dans l’ombre, pour mener à bien leurs affaires. Il restera vigilant quant aux projets contraires aux lois et traditions que ce soit à Saint-Germain-en-Laye ou dans les autres villes françaises.
    CONTACT : Bloc Identitaire
    BP 13
    06301 NICE cedex 04


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  • juste pour confirmer qu'il s'agit bien d'un surdoué qui va  "peut-être" diriger notre pays!!! 
    Objet  : surendettement en  Corrèze...
     « François  Hollande fera tomber la France aussi bas que la Grèce » par Jean-Patrick Grumberg
     
    Et nous savons, pour en  avoir été alerté par la cour des comptes, que la Corrèze, département de  François Hollande, a le triste record d'être le département le plus endetté de  France, soit trois fois plus que la moyenne  nationale.
    Il en coûte exactement à  chaque corrézien 100 euros par mois de son budget pour éponger la gestion  catastrophique du candidat de gauche, chouchou du  moment.
    Explication : la cour des comptes indique que l'endettement de la Corrèze  était déjà très élevé en 2008, lorsque François Hollande en est devenu  Président.
    François Hollande a t-il pris les mesures qui s'imposent pour désendetter  sa région, lorsqu'il a pris connaissance de la situation que lui a laissé son  prédécesseur ? Bien au contraire !
    Selon le rapport, il y avait, en 2007, 831 employés au conseil général.  En 2009, un an après son arrivée, donc un an après avoir constaté que le déficit  hérité était très élevé, il y avait 1218 employés dans les bureaux du conseil  général
    Et c'est sans compter les petits caprices de Monsieur  Hollande.
    En 2008, donc avant même de regarder les comptes (à supposer qu'il ait  jamais demandé à les regarder) il a offert 5400 ordinateurs tout neufs pour les  collégiens de 5e et leurs professeurs, et il a recruté quatre techniciens pour  assurer le bon fonctionnement de ces ordinateurs. « Et puis on ne compte plus  les réceptions au château de Bity (note de JPG : château des Chirac où de  somptueuses fêtes sont données, payées par la collectivité, ce qui fit dire à  Jacques Chirac « moi je vote pour Hollande ») », raconte, amère, une habitante  de la région qui a vu son budget mensuel fondre de 100 euros pour payer les  largesses du « seigneur socialiste ».
    La cour des comptes : François Hollande a creusé le déficit qui « s'est  encore fortement accru en 2009 ».
    Le Conseil Général a reconnu : « Nous avons hérité de cette dette  que nous avons cherché à freiner ». En langage socialiste, freiner la dette,  c’est multiplier par 1,5 le  nombre de fonctionnaires – logique.
    Mais pour réduire la dette,  c'est bien connu, embaucher 50% de fonctionnaires supplémentaires n'est pas  suffisant, et il faut également augmenter les dépenses : début  2011, alors que la crise économique fait des ravages partout en France, et que,  rappelons-le, la Corrèze est déjà le département le plus endetté de France,  François Hollande (près avoir offert 5400 ordinateurs aux élèves de 5e) offre  4000 Ipad aux collégiens de 6e et à leurs professeurs (je vous laisse faire la  multiplication : 4000 X 990 Euros).
    On ose à peine imaginer ce que  François Hollande, s'il devient Président de la République, fera pour « freiner » le surendettement de la France.
    Phénomène intéressant en tous cas,  et qui confirme ce que le Professeur Guy Millière martèle inlassablement : en  France, le débat économique se situe entre Keynésiens et  Marxistes.
    Je ne suis pas loin de penser que les français, dont 29% disent vouloir  voter pour François Hollande, aient également une conception soit Keynésienne,  soit Marxiste, de l'économie. C'est formidable, en tous cas, de constater ce  sens du sacrifice pour maintenir le train de vie de l'économie mixte socialiste,  au point qu'ils sont prêts à payer toujours plus  d'impôts.
    Il serait tellement vulgaire de juger François Hollande sur la réalité de  sa gestion corrézienne, quand ses promesses sont si  rassurantes.
    Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci  dessous                                                                        Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr        
    http://www.channelnews.fr/actu-societes/ssdi/8171-computacenter-livres-des-ipad-aux-collegiens-de-correze.html                                                                                        

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