« Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature
contestable,
mais qui est en même temps une religion par nature
intouchable…
Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un
“printemps
arabe” à l’envers. La “fille aînée de l’Église”
sera devenue
“la fille cadette de l’islam”
(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
(www.francephi.com)
Ce livre semble répondre à l’actualité, notamment
sur la consommation cachée de viande Hallal
dans notre pays…
Voyez le programme de tous les candidats à l’élection
présidentielle : combien prenne en compte le danger
islamiste lié à l’immigration musulmane ?
Or cela me paraît être le problème majeur, bien
plus grave
que la dette, de notre époque et des années à venir.
Il n’y a jamais de vrai débat sur le sujet car il est
impossible
de se livrer à une analyse critique des fondements
idéologiques de l’islam sans être accusé
« d’islamophobie »,
de « racisme », de « fascisme »… et cela clôt
aussitôt le débat.
Quand un massacre de chrétiens se commet
quelque part
dans le monde, c’est, nous disent les bien
-pensants,
« stigmatiser » l’islam dans sa globalité que de
dénoncer les criminels qui agissent ainsi au nom
de la charia et du djihad. Alors voici un livre pour dire
les choses comme elles sont et non comme on
voudrait
qu’elles soient. Un livre qui a été refusé par tous les
éditeurs
auxquels j’en ai soumis l’idée… à l’exception de
Philippe Randa,
directeur des éditions de L’Æncre.
Ne faîtes-vous pas un amalgame sommaire entre
l’immigration qui est un problème politique et social…
et l’islam qui une religion ?
Les deux ne font qu’un. L’immigration arabe en France
est un problème crucial parce qu’elle est d’abord
un problème
religieux. Un habitant de la planète sur quatre est
musulman.
L’objectif de l’islam, sa vocation historique comme
sa mission
divine, est de convertir les trois autres. Le monde
non-musulman ne semble pas s’apercevoir que l’islam,
conscient de sa force, réactive son projet multi-séculaire
de domination de l’univers : imposer partout le
« règne d’Allah »
et la loi coranique. En France, l’immigration à flot
continu aboutit,
non au « choc des civilisations » – tout se passe
sans heurt
violent –, mais à l’évincement progressif de l’une
(la chrétienne) par l’autre (la musulmane).
Et cela dans l’indifférence des élites, quand ce n’est pas
avec la complicité des « activistes du métissage »
comme les appelle Péroncel-Hugoz qui a préfacé
L’islam chez lui chez nous. L’intelligentsia française,
en particulier, ne semble pas saisir le sens de l’ampleur
de ce qui se passe sous ses yeux. Elle voit ce qu’elle
veut croire,
mais ne veut pas croire ce qu’elle voit.
Cet essai « colérique » n’est-il pas un peu court
pour analyser objectivement un sujet comme celui-ci ?
Je sais bien qu’on me reprochera d’être simpliste et
manichéen, parce que l’islam « c’est plus compliqué
que ça »…
Je ne fais pas œuvre d’historien ni de philosophe.
Je vais à l’essentiel. Je prends les choses au point
où elles en sont. Ici, maintenant. Voici ce qu’est
l’islam : une force croyante, conquérante, féconde.
Voici ce qu’est l’Occident : une civilisation honteuse
d’être
ce qu’elle est, qui n’affirme plus rien, qui ne se défend
plus…
Pensez-vous la situation irréversible ?
Il faut en finir avec l’illusion d’un islam modéré avec
lequel
nous pourrions cohabiter sans y perdre notre âme.
Il faut prendre conscience de l’islamisation rampante
des esprits, des mœurs, et même des lois de la
République. Il faut dénoncer le piège d’une idéologie,
par nature contestable, mais qui est en même temps
une religion par nature intouchable… Sinon, dans
cinquante ans,
la France connaîtra un « printemps arabe » à l’envers.
La « fille aînée de l’Église » sera devenue « la fille cadette
de l’islam. »