• Chère madame Rossignol, vous venez de goûter aux joies du "vivre ensemble" que vous prônez depuis des décennies.

    Bonjour, Madame la Sénatrice,

    Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans Le Courrier picard.

    À 14 heures, devant un distributeur, à Compiègne, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous veniez de retirer. Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée : « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » Non, madame…

    Le premier problème de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la “libre passoire” instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.

    Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti fusionné UMPS envers les voyous.

    Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur, petit matamore et pantin articulé qui gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).

    Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique et la haine de notre pays…

    Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice » me conduira en garde à vue et en prison où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas aux vrais voyous.

    Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar de millions de Français agressés (et souvent avec des conséquences bien plus graves que celles que vous avez subies), aux joies du « vivre ensemble » que vous prônez depuis des décennies et à celles de l’insécurité que votre politique promeut en cajolant tous ceux qui prennent notre pays pour une poubelle.

    Veuillez agréer, Madame, mes salutations républicaines.


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  • À trop jouer avec le feu, on finit par se brûler.

    René Char disait que la lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil. Frappée par la lucidité d’Alain Finkielkraut lors de l’émission « Mots croisés » du 6 février dernier, la socialiste Naïma Charaï, présidente de l’Agence nationale de la cohésion sociale et l’égalité des chances, a saisi le CSA. Le motif est ubuesque : le philosophe aurait eu l’outrecuidance de parler des innommables, « les Français de souche ». Selon cette politicienne socialiste, investie d’une mission supérieure et universelle au service du bien, les propos seraient « inacceptables » et « en totale contradiction avec la Constitution ».

    Cette sortie n’est pas sans raisons objectives. À l’approche des échéances municipales, les autorités socialistes s’inquiètent de la défiance des populations de la « diversité » issue des séquelles de l’« affaire Dieudonné ». En outre, le gouvernement défend en ce moment la « feuille de route pour la politique républicaine et d’intégration », laquelle, dans sa version remaniée, renvoie à la norme de certification AFNOR « Label Diversité ».

    Un tel label reconnaît explicitement la « diversité ». Qu’entend-on par la « diversité », si ce n’est l’existence de Français de « branche », dont les origines sont différentes d’une « souche » française originelle. Ce n’est pas Alain Finkielkraut qui a parlé le premier des « Français de souche », c’est le pouvoir lui-même et le think tank Terra Nova qui l’admettent en creux à chacun de leurs rapports ! On admet aisément l’indigénat des populations polynésiennes traditionnelles de l’île de Tahiti, ce qui est normal et ne pose aucune objection, cela relève du bon sens et de l’honnêteté intellectuelle. Les peuples des DOM-TOM sont des autochtones français de territoires extra-européens, pas des « Français de souche » au sens strict ; ça ne fait pas d’eux des Français au rabais. Un individu sait qu’il naît homme ou femme ; pareillement il sait quelles sont ses origines ethniques majoritaires ou « essentielles ».

    « Nous tendons instinctivement à solidifier nos impressions pour les exprimer par le langage », disait Henri Bergson. Les Français, nonobstant ce que dit Naïma Charaï, savent de quelles origines ils sont, pourquoi alors nier la possibilité aux Français de France de confirmer par le langage ce que leur signifient leurs impressions très distinctement ? Pourquoi, en outre, flatter ces origines chez les Français issus de la « diversité », en les frappant, eux, d’un label spécifique ? Le pouvoir croit-il qu’en occultant la majorité de la population, il « intégrera » plus facilement des communautés qui, depuis quarante ans, se vivent et vivent souvent en marge du destin national, mythifient leurs pays d’origine et manifestent parfois violemment un rejet de notre histoire ? Il y a, dans ces démarches, une profonde schizophrénie intellectuelle, marquée par le mépris d’un peuple qui dérange. À trop jouer avec le feu, on finit par se brûler.


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  • Excellent article de Taricq Dali, président de la Droite Libre, qui, tout en regrettant l’inertie de l’UMP, annonce le soutien de son mouvement à l’initiative impulsée par RL et RL.

    http://www.ladroitelibre.fr/

    Où est passée l’UMP ?

    Nos amis de Riposte Laïque et de Résistance Républicaine appellent à manifester le 9 mars prochain en faveur d’un referendum sur l’immigration. Il est, naturellement, indispensable qu’un maximum de Français, ou tout au moins de Franciliens, se joignent à cet événement [http://ripostelaique.com ou http://resistancerepublicaine.eu].

    La France connaît des manifestations de rue pratiquement sans interruption depuis l’automne 2012. La nouveauté est qu’elles se répètent en pleine période électorale, ce qui ne s’était jamais vu sous la Ve République. Ce n’est pas un détail. Dans toute vraie démocratie, les opposants au pouvoir en place, quels qu’ils soient, s’en remettent au prochain verdict des urnes, quitte, et la gauche s’en est fait une spécialité, à en appeler à un “troisième tour social” quand elle n’est pas satisfaite du résultat.

    L’explication est, elle aussi, limpide : les opposants au gouvernement actuel ne s’estiment pas représentés par l’opposition parlementaire en qui ils n’ont nulle confiance. On ne saurait, hélas, les en blâmer.

    Depuis bientôt deux ans, une secte d’extrême-gauche s’est appropriée tous les leviers de l’État pour imposer sa façon de concevoir la société française. Et lorsque les Français se font entendre, on use de la menace et de la contrainte. Il est stupéfiant que le ministre de l’Intérieur en exercice ait affirmé textuellement : « une droite conservatrice et réactionnaire s’est libérée (…) la droite républicaine a donc la responsabilité de se démarquer clairement des mouvements qui n’acceptent pas la démocratie » [i] En clair, Henry Ford laissait le client libre du choix de la couleur de sa Ford T pourvu qu’elle fût noire ; Manuel Valls, lui, exige que l’électeur vote à droite s’il le souhaite à condition que la droite soit de gauche. La seule réaction à ce coup de menton fut celle de Pierre Lellouche : avisant l’apprenti dictateur dans les couloirs de l’Assemblée qu’il « était allé un peu fort dans son interview », le député audacieux s’est simplement entendu répondre : « je t’emmerde ».

    À part quoi, pas la moindre réaction ni de l’UMP ni de l’UDI. Pas de réaction non plus alors que, depuis bientôt huit mois, un jeune homme croupit en prison après une bagarre qui a mal tourné et contre qui aucun élément de culpabilité n’est retenu. Pas davantage de réaction alors que, plusieurs semaines durant, le même ministre de l’Intérieur a fait une promotion inespérée à un saltimbanque en le faisant taire, au mépris de la plus élémentaire des libertés, celle de s’exprimer.

    Naturellement, il faudra le plus massivement possible voter aux Européennes comme aux Municipales, pour toutes les composantes de la droite en fonction des considérations locales et de la qualité des candidats. Un certain nombre de dirigeants de l’UMP ne le méritent probablement pas. Mais un effondrement total et partout du Parti socialiste et de ses alliés, notamment les verts, est la seule façon de tenter de freiner la gauche au pouvoir dans sa politique de destruction de la France, de son peuple et de ses familles. Un score seulement médiocre du PS lui laisserait toute sa capacité de nuisance. Le PS, en substituant Terra Nova à Jaurès, Blum, Mendes France, voire Mitterrand, a fait de notre pays, selon l’excellente expression d’Alain Finkielkraut, l’Usac, l’Union soviétique de l’antiracisme sans cervelle. Il doit sortir anéanti des prochaines élections.

    Et avant, comme après celles-ci, il faut maintenir la pression et poursuivre le combat dans la rue. À force, l’UMP finira peut-être par se réveiller.

    Taricq Dali

    Gilbert Collard propose l’institution d’un véritable referendum d’initiative populaire

    by Willy Legrand

    Gilbert CollardProposition de loi constitutionnelle n°1794 instituant un référendum d’initiative populaire.

    présentée par MM. Gilbert Collard et Jacques Bompard, députés.

    Exposé des motifs

    Mesdames, Messieurs,

    Le peuple suisse vient, à plusieurs reprises, d’approuver courageusement des consultations référendaires tendant à défendre l’identité nationale de la Confédération Helvétique.

    Cependant, cette votation n’aurait pas été rendue possible si elle n’avait pas été déclenchée par une pétition référendaire d’origine citoyenne. Il est peu probable, au regard de l’historique des consultations helvétiques que ni un vote parlementaire ni une consultation référendaire n’auraient été possibles s’ils avaient dépendu du bon vouloir de l’Exécutif ou du Parlement de la Confédération Helvétique.

    Il serait donc souhaitable qu’une telle initiative populaire et démocratique puisse être rendue possible dans le cadre de notre Constitution du 4 octobre 1958.

    Tel est l’objet de la présente proposition qui fait suite à de nombreux textes antérieurement proposés

    Pour un référendum sur l'immigration en France : soutien à la manifestation du 9 mars !

    Le Bloc Identitaire, qui a récemment lancé une pétition pour un référendum sur l'immigration en France, apporte son soutien à la manifestation du 9 mars 2014 organisé par Riposte Laïque et Résistance Républicaine à Paris.

    Avec un mot d'ordre très clair ("non au grand remplacement" et "non à l'islamisation"), cette manifestation doit envoyer un signal fort au gouvernement : dorénavant, le peuple français veut être consulté sur la question de l'immigration.

    Aujourd'hui, en démocratie, le peuple souverain est peu à peu remplacé par des masses immigrées sans même pouvoir donner son avis.

    C'est pour que la France reste la France, que notre peuple continue d'exister, que nous restions maîtres chez nous, que le Bloc Identitaire soutient le rassemblement du 9 mars !




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  • COMMUNIQUÉS

    Le Bloc identitaire présente sa "Feuille de route pour la politique d'identité et de remigration"

    Mardi dernier, le gouvernement socialiste présentait sa « feuille de route pour la politique d’égalité républicaine et d’intégration ». Détaillée en 26 points, cette  note est un véritable concentré de haine de la France et de son identité. Elle révèle le fond de la pensée de nos actuels gouvernants : les Français de souche européenne doivent s’adapter aux masses immigrées, pour mieux disparaître en silence.

    Parti de la résistance et de la persistance française et européenne, le Bloc Identitaire a décidé de répondre à cette énième provocation en proposant dès aujourd’hui sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ».

    Cette feuille de route mériterait d'être complétée par une seconde, celle de la promotion d'une redécouverte de notre identité à travers un certain nombre de mesures de réenracinement (allant de la culture à l'économie, en passant par l'éducation ou les institutions) de nos compatriotes. Nous esquissons cela à travers notre dernière proposition, la création d'un grand Ministère de l'identité et de l'enracinement.

    En 26 mesures également, le Bloc Identitaire entend montrer qu’en politique il n’y a pas de fatalité, mais simplement de la volonté. Répondant ainsi aux mondialistes – de gauche comme de droite – mais aussi à ceux qui, se réclamant pourtant patriotes, ont baissé la garde face au multiculturalisme, par fatalisme ou confusion idéologique. Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d'assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d'éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles (et donc multiconflictuelles)c'est aujourd'hui d'envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C'est-à-dire le retour dans leurs pays d'origine d'une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si ces mesures peuvent sembler aujourd'hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

    Arrêt de l’immigration, condamnation de ceux qui l’encouragent, arrêt de l’islamisation, remigration concertée avec les pays d’origine, etc. Oui, à travers ces 26 mesures le Bloc Identitaire revendique simplement pour les Français le droit fondamental dont disposent tous les autres peuples du monde : celui de vivre en paix, chez eux, selon leur identité, avec ceux qui leur ressemblent.

    Découvrez, relayez, et discutez nos 26 propositions :

    1. Abrogation du droit du sol.

    2. Abrogation du regroupement familial.

    3. Expulsion automatique et interdiction de territoire de tout étranger commettant un délit ou un crime sur notre sol.

    4. Mise en place d'accords avec les pays d'origine pour que les peines de prison de leurs ressortissants soient effectués chez eux.

    5. Déchéance rétroactive de la nationalité française pour tout étranger naturalisé ayant commis un délit ou un crime ces 10 dernières années.

    6. Déchéance automatique de la nationalité française pour tout binational ayant commis un crime ou délit.

    7. Mise en place d'un Fond d'Aide au Retour associé au lancement d'une campagne de sensibilisation incitant les immigrés à rentrer chez eux.

    8. Création d'un Haut-Commissariat à la Remigration.

    9. Gel des naturalisations pour les pays hors-UE pendant 10 ans, hormis à titre militaire (Légion Étrangère).

    10. Mise en place d'accords avec les pays de la rive sud de la Méditerranée soumettant les aides économiques et militaires à un contrôle de leurs zones d'émigration.

    11. Mise en place d'une véritable protection aux frontières de l'UE, ou sortie de l'espace Schengen en cas de refus.

    12. Exclusivité des aides sociales et des logements sociaux aux nationaux et ressortissants européens.

    13. Suppression totale de l'AME. 

    14. Instauration de la préférence locale, nationale, et européenne dans le cadre des embauches. Les employeurs devant démontrer qu'aucun employé du bassin d'emploi, ou de nationalité française, ou ressortissant de l'UE, n'était à même de satisfaire à une offre.

    15. Refus du concept d' « immigration choisie » et mise en place de véritables partenariats avec les pays d'émigration. L'objectif étant de fixer les élites dans leurs pays d'origine à travers des partenariats, universitaires notamment, sur place.

    16. Peine de prison systématique pour les patrons employant en connaissance de cause des salariés immigrés clandestins.

    17. Arrêt des subventions et interdiction des associations soutenant l'immigration clandestine. Retour dans le code pénal du délit d'aide à l'immigration clandestine avec peine de prison systématique en cas de récidive.

    18. Interdiction de toute propagande en faveur de l'immigration réalisée à l'aide de fonds publics : chaînes de télévision et radios, mais aussi journaux bénéficiant de l'aide de l’État.

    19. Interdiction de tout financement public ou étranger des mosquées. Interdiction des minarets.

    20. Interdiction des prêches en arabe. Interdiction également de prêcher aux imams étrangers.

    21. Interdiction du port du voile dans l'espace public.

    22. Interdiction de l'UOIF et toute organisation liée à des réseaux islamistes internationaux.

    23. Interdiction de l'abattage rituel. Création d'une taxe supplémentaire sur tous les produits Halal importés de l'étranger. Une partie de la taxe sera reversée aux association de protection des animaux, le reste alimentant le Fond d'Aide au Retour.

    24. Défense de notre identité culinaire et refus de subir les interdits alimentaires étrangers dans les commerces, les cantines scolaires, etc.

    25. Lutte contre la ségrégation urbaine et le racisme qui touchent les Français de souche dans certains quartiers

    26. Création d'un grand Ministère de l'identité et de l'enracinement.

     

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  • JE SIGNE DES DEUX MAINS :

    http://www.change.org/fr/pétitions/monsieur-manuel-valls-ministre-de-l-intérieur-pour-la-dissolution-de-l-union-démocrate-musulman-de-france?recruiter=79505188&utm_campaign=signature_receipt&utm_medium=email&utm_source=share_petition
    http://youtu.be/e9swLY7av8w

    Change.org
    Partagé avec vous

    Bonjour,

    Je viens de signer cette pétition et je souhaitais faire appel à votre soutien. Plus nous serons nombreux à signer ma pétition, plus elle aura de chances d'aboutir.Pouvez-vous m'aider en ajoutant votre nom?

    Merci, 

    Monsieur Manuel Valls Ministre de l'intérieur: pour la dissolution de l'union démocrate musulman de France

    Par francine lesserteur
    Langres

     

    Monsieur le Ministre .

      un nouveau parti vient de naître , et va se présenter aux élections de 2014.. mais contrairement aux partis traditionnels , celui ci représente une communauté dans l'ensemble sectaire . Or nous sommes un pays démocrate et laîc .Au nom de la laîcité , aucun parti politique ne doit représenter une religion dans notre pays ( parti chrétien intègriste compris)) .  C'est ce système installé depuis 1905 , qui garanti notre liberté si durement défendue par le sang de nos grands parents. Dés que des musulmans s'arrogent le droit de faire de la politique en instrumentalisant leur religion , ils deviennent  dangereux pour notre démocratie . On sait ce qui se passe dans le monde dés lors qu'ils arrivent au pouvoir .Nous savons ce qui se passe déjà à Roubaix , ou ils prônent ouvertement la charria .( voir la vidéo)  

    Je vous prie d'agréer , Monsieur le Ministre , l'expression de ma très haute considération.


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  • EN FRANCE AUSSI IL FAUT UN REFERENDUM SUR L’IMMIGRATION !

    Nos voisins suisses en ont eu l’initiative. Il  nous appartient de relayer leur appel à se lever contre l’immigration de masse qui menace toutes les nations européennes. D’ailleurs, Oskar Freysinger, de l’UDC, qui a eu l’initiative de la votation contre l’immigration sans restrictions sera présent le 9 mars.

     Pourquoi l’immigration pose-t-elle problème dans la France de 2014 ?

    Parce qu’il suffit de se promener dans des quartiers de Paris, Marseille, Lille, Strasbourg, Saint-Denis… pour vérifier que la formule de l’écrivain Renaud Camus, « Le Grand Remplacement » est une terrible réalité.

    Parce que les immigrés viennent à 80% de pays musulmans.  Nos valeurs sont bafouées quotidiennement par l’islam. Les voiles sont de plus en plus nombreux. Le nombre de mosquées ne fait que renforcer l’apprentissage de la loi islamique, supérieure pour les vrais musulmans à celles de la République. Un Français sur deux mangehalal sans le savoir, et le ramadan, un mois par an, désorganise la vie de nos entreprises et de nos écoles. Le philosophe Michel Onfray prévoit, à cause de l’immigration et de la démographie, une France sous contrôle islamique dans cinquante ans.

    Parce que, dans notre pays en crise, avec des millions de chômeurs, nous n’avons pas les moyens d’accueillir chaque année 250.000 migrants, sans oublier des dizaines de milliers de clandestins, qui ne répondent pas aux besoins réels de notre pays. L’immigration coûte à la France 70 milliards d’euros par an, selon l’économiste Gérard Pince et le démographe Yves-Marie Laulan…

    Parce que le nombre élevé d’immigrés dans notre pays conduit nos gouvernants à modifier nos lois, les programmes de notre école, nos référents culturels… pour les rendre compatibles avec ceux des arrivants. Ils vont même jusqu’à faire disparaître les nôtres, comme Clovis, Charles Martel ou Jeanne d’Arc et rêvent de leur substituer de nouveaux héros tirés de la diversité.

    Parce qu’une immigration massive, sans assimilation, débouche sur une société multiculturelle, où notre identité historique, culturelle et linguistique est menacée de disparition, diluée, au nom d’un faux égalitarisme, dans celle des nouveaux venus.

    Parce qu’une importation de nouvelles cultures, et certaines pratiques incompatibles avec nos lois menacent notre civilisation et ses piliers : liberté d’expression, égalité hommes-femmes, séparation du religieux et du politique, droit d’aimer la personne de son choix, liberté de conscience, refus de tout racisme…

    Parce que, malgré l’interdiction des statistiques ethniques, il suffit d’aller au tribunal un après-midi, ou de visiter une prison, pour constater l’ampleur de l’ensauvagement de la France. On peut également y vérifier que la majorité des agressions sont commises par des délinquants issus de l’immigration post-coloniale, et que les victimes sont la plupart du temps nos enfants et nos compatriotes.

    Voilà pourquoi il est temps pour chacun de nous de demander, par sa présence,  son engagement et sa détermination, un referendum sur unsujet majeur pour l’avenir de nos enfants et de notre pays.

    TOUS A PARIS LE 9 MARS !

    Rendez-vous à 14 heures place Denfert-Rochereau, à Paris, avec des drapeaux français et régionaux.

    Pierre Cassen, pour  Riposte laïque et Christine Tasin, pourRésistance républicaine

    http://ripostelaique.com/   http://www.resistancerepublicaine.eu/

    POUR IMPRIMER LE TRACT

    Tractpourle9 mars

    POUR IMPRIMER LES AUTOCOLLANTS MANIFESTATION PAR PLANCHE DE 4

    aff-9mars-4a5-a3


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  • VOTATION SUISSE : LE PEUPLE CONTRE SES ÉLITES, L'ÉTERNEL RECOMMENCEMENT

     

     

    Si le résultat de la votation suisse contre l'immigration était prévisible, la réaction des médias et des politiques étrangers à la Suisse l'était tout autant. Et pour cause : ce phénomène viscéral de la classe politico-médiatique consistant à systématiquement être écœuré du choix du plus grand nombre existe depuis que le monde est monde. Aujourd'hui, le choix des Suisses n'est pas considéré comme légitime ou acceptable, il est critiqué, stigmatisé et menacé de sanctions.

    Avec cette mémorable votation suisse de 2009 portant sur l'interdiction des minarets, les Helvètes avaient déjà enflammé les débats, certains s'insurgeant même de cette idiote manie de demander au peuple suisse son avis : le Système doit mener à bien son projet ultralibéral et mondialiste, rien ne doit l'endiguer !

    Et à chaque fois la même rengaine : le peuple n'est qu'une somme d'individus mal éduqués, grégaires, frustes. C'était particulièrement hallucinant le soir du 29 mai 2005. Ça n'était pas le projet de Constitution pour l'Europe qui était mauvais et néfaste : c'était bien entendu les Français qui ne l'avaient pas compris et que l'on avait pas bien préparés.

    Voilà toutes les raisons qui expliquent la faible fréquence des consultations référendaires en France. Non seulement, ce en quoi les politiques et les médias croient est systématiquement contraire à l'intérêt des peuples mais le rejet qu'ils suscitent est tel que les référendums deviennent généralement un excellent prétexte pour défier les puissants.

    Le Front National reste profondément attaché à la démocratie directe, en particulier quand la démocratie représentative a totalement été malmenée par des modes de scrutin confiscatoires et monopolistes.

    En attendant de pouvoir un jour permettre aux Français de décider de leur avenir, que ceux-ci s'emparent des municipales et des européennes pour reprendre le pouvoir et décider à nouveau par eux-mêmes, pour eux-mêmes.

     
       


     
         
     

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  • ENFIN... Un Maire de Gauche qui ose parler ! ! ! !


     Dans 20 ou 30 ans, hélas il ne restera plus comme solution qu'à réinventer l'apartheid!!
      (avec l'argent du Qatar qui coule à flots dans les banlieues, les futurs "MERAH" vont se sentir pousser des ailes!!)

    Pour une fois un Maire de gauche ose dire la vérité,

    Xavier Lemoine : "La République court à la catastrophe !"

    Une étude menée pendant un an, notamment à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, révèle que lespréceptes de l’islam remplacent de plus en plus les valeurs républicaines dans nos banlieues. Le maire de Montfermeil, Xavier Lemoine, réagit à ce constat en lançant un cri d’alarme.

    Xavier Lemoine, maire de Montfermeil SIPA/JEROME MARS.
       
     L’étude de l’Institut Montaigne affirme que l’islam a pris le pouvoir dans nos banlieues. Partagez-vous cette analyse ?     
       
    XAVIER LEMOINE : Oui ! Je le dis depuis des années. L’islam s’est implanté dans nos quartiers. On en prend enfin conscience. Sauf que les remèdes avancés par l’Institut Montaigne –mettre plus d’argent dans les quartiers – ne sont pas les bons. De l’argent, depuis trente ans, on en a mis beaucoup dans les banlieues. Le problème, c’est que la République n’a eu aucune exigence' vis-à-vis des populations accueillies. Installées en France, beaucoup d’entre elles continuent à vivre et à se comporter comme dans leurs pays d’origine, avec leurs langues et leurs coutumes, refusant nos valeurs, notre histoire et notre culture. 
     

     F.-S. Avez-vous des exemples
      X. L. Dans ma ville, on a dépensé des sommes énormes pour que les populations étrangères s’intègrent. Mais des familles qui vivent en France depuis 10, 20 ou 25 ans ne parlent toujours pas français. Elles ne souhaitent pas s’intégrer, et la République laisse faire. Résultat : une multitude de communautés ethniques vivent chez nous en totale autarcie, entre elles, en dehors de nos règles et de nos valeurs.
     

     F.-S. Notre pays est pourtant très attaché à ses valeurs républicaine 
     X. L. Oui, mais par angélisme on a laissé ces communautés s’organiser entre elles. Sous prétexte de respecter leurs cultures, on n’a pas exigé le respect de notre culture. On a été pris en otages. Ce que je dis, ce n’est ni du racisme ni de la discrimination. C’est du bon sens. Il faut défendre les valeurs qui ont fait la France.
      F.-S. Refuser de s’intégrer, ça veut dire quoi ?
      X. L. Par exemple, ne pas parler français. La plupart des enfants des quartiers ne parlent pas français à la maison. Ils parlent la langue et ils regardent la télévision du pays d’origine de leurs parents. Dans les cours de récréation de ma ville, il y a 40 à 50 nationalités différentes. Et, là encore, chacun parle la langue d’origine des parents. Les mercredis et les samedis, ces mêmes enfants sont pris en charge par les écoles coraniques ou les associations tenues par leurs ambassades. Les établissements publics sont  de moins en moins utilisés. 
     

     F.-S. Quelles conséquences pour ces jeunes ?
     X. L. Elevés dans leurs ghettos communautaires, ils n’adhèrent pas à nos valeurs. Et quand ils arrivent dans le monde du travail, ils ne sont pas « employables ». Ce n’est pas une question de formation, mais de « savoir être», de comportement, de codes sociaux.

     F.-S. Quelles conséquences pour notre pays ? 
     X. L. C’est l’éclatement de la République ! Les politiques, les associations et les médias doivent comprendre que nous ne sommes pas au pays des Bisounours.
        
     Récemment, un imam est venu me voir et il m’a dit : « Monsieur le maire, en 2014 vous serez peut-être encore réélu, mais en 2020 ce sera nous. C’est mathématique, car nous serons majoritaires. »
     
     F.-S. Je ne comprends pas.
    X. L. Cet imam faisait allusion au basculement démographique qui, selon lui, se produira en France. Déjà, en Seine-Saint-Denis, que constatons-nous ? Sur le 1,5 million d’habitants recensés, 500.000 sont titulaires d’une carte de séjour, 500.000 sont français en vertu du droit du sol ou des naturalisations et donc sans aucune ascendance française, les 500.000 autres, Français ayant des ascendances françaises, plutôt vieillissants et « déménageants ». Or le taux de natalité des deux premiers tiers est le double de celui du dernier tiers. C’est inéluctable, la bascule démographique s’accomplit, comme le décrit très bien Christopher Caldwell dans son récent livre, Une révolution sous nos yeux.
        
     F.-S. On aborde là un sujet tabou. Que proposez-vous ?
    X. L. La France doit exiger trois choses de la part des populations qui s’installent chez nous :la connaissance du français, la connaissance et le respect de nos coutumes, et la connaissance et le respect de notre histoire.Actuellement ce n’est pas le cas, et c’est dangereux. Nous n’enseignons même plus notre histoire à l’école. Il est temps d’être lucide et responsable. 

    F.-S. Que faire si certains refusent de se plier à vos trois exigences. 
     X. L. J’ai été récemment au Danemark et en Suède. Là-bas (des pays culturellement  plutôt à gauche), les étrangers ont six mois pour apprendre la langue du pays, ses valeurs fondatrices et son histoire. Si vous ne possédez pas ces trois éléments essentiels, vous n’avez pas accès au numéro d’immatriculation qui vous donne droit à la Sécurité sociale, aux aides sociales, au logement, au travail.
      
     F.-S. En France, imposer ces trois critères aux étrangers, est-ce possible ?
     X.L. Bien sûr que c’est possible ! C’est même indispensable, si nous croyons en nos valeurs. Quand j’en parle en privé avec des élus, ils sont d’accord avec moi. Sur le terrain, les maires font le même constat que moi, mais ils n’osent pas encore le dire publiquement. 
                      
    Cette étude, intitulée Banlieue de la République, a été publiée par l’Institut Montaigne, un groupe de réflexion sur l’évolution à long terme de notre société. Il regroupe des universitaires, des hauts fonctionnaires, des représentants de la société civile, des syndicalistes, des chercheurs, des chefs d’entreprise. Institut indépendant, il bénéficie d’un budget annuel de 3 millions d’euros, alimenté uniquement par des dons privés.
     
     
    FAITES CIRCULER S.V.P, IL Y A URGENCE.


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  • Municipales : le parti des musulmans veut conquérir Bobigny

    L'Union des démocrates musulmans français (UDMF) mise sur le vote communautaire.

    Aurélie Lebelle | Publié le 06.02.2014

     

    Kamal Moumi, tête de liste de l'Union des démocrates musulmans.

    Kamal Moumi, tête de liste de l'Union des démocrates musulmans. | (LP/Humberto de Oliveira)

    Ils rêvent d'un grand meeting mi-février dans le sous-sol du Sénateur, la brasserie phare de la cité Karl-Marx, en plein coeur de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Une soirée pour « faire le buzz » dans les quartiers autour d'une liste encore peu connue : celle de l'Union des démocrates musulmans français (UDMF). Lancé en novembre 2012, ce parti communautaire qui compte dans ses rangs plus de 600 adhérents espère grappiller des voix en France dans les années à venir. 
    Et pas seulement celles des musulmans. Mais, d'ici là, l'UDMF a choisi de miser sur Kamal Moumni, 29 ans, un gamin des tours du quartier Karl-Marx, comme il dit, pour « marquer le coup » et promouvoir la seule future liste du parti aux élections municipales.

    Pas facile pour lui de s'imposer sur les marchés dans une ville historiquement communiste. Certains de ses colistiers ont d'ailleurs jeté l'éponge ces dernières semaines, victimes de menaces ou d'insultes, disent-ils. Lui, il a refusé l'appel du pied d'un autre parti qui l'invitait à rejoindre ses rangs. « On voit bien que cela fait peur et qu'on souhaite que nous ne présentions pas de liste, lâche le candidat, qui a mis son job de chauffeur en stand-by le temps de la campagne. Après, si le nom du parti peut apparaître comme une provocation, il faut rappeler qu'il existe en France un Parti chrétien-démocrate (NDLR : dont Christine Boutin est présidente d'honneur) et que cela ne choque personne. »

    Des listes communautaires qui inquiètent

    LE PARTI DES MUSULMANS DE FRANCE / ce n'est pas qu'à Florensac ( apparemment de nombreuses communes sont concernées )
    Sur les dalles de la ville-préfecture, on s'interroge sur ce nouveau parti. Auront-ils suffisamment de poids pour proposer une liste ? Tous les autres candidats balaient la question d'un non catégorique. M'hammed Henniche, le président de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis (UAM93), les décrit surtout comme « des ovnis qui peinent à se faire connaître et qui peuvent effrayer les personnes qui ont un sentiment d'islamophobie ».

    Au ministère de l'Intérieur, on s'inquiète justement de la multiplication de ces mini-listes communautaristes qui tentent de s'inviter dans la campagne, « dans le Nord-Pas- de-Calais, le Sud-Est ou la banlieue parisienne », rapportent les préfectures concernées. « Ces partis identitaires sont voués à l'échec », relativise Henniche.

    Pas pour le fondateur de l'UDMF, Nagid Azergui, qui dirige son poulain sur le terrain. Son nouveau parti, estime-t-il, met les pieds dans le plat, alors même que « l'islam est devenu un thème de campagne récurrent ». Alors, pour « faire parler la majorité silencieuse des musulmans », Nagid Azergui et Kamal Moumni vont à la rencontre de la jeunesse des quartiers. Celle qui, en 2008, ne s'était pas déplacée jusqu'aux urnes. « Certains ont pris la carte d'électeur pour pouvoir voter pour moi, assure-t-il. Il y a une vraie attente dans ces cités, car les partis traditionnels sont complètement étrangers aux réalités de leur vie quotidienne. » Son grand projet pour la ville ? Créer à Bobigny un grand musée de l'histoire coloniale.

     


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  • Signez la pétition " Immigration massive : nous voulons aussi voter en France ! "

     

    Après l'interdiction des minarets et l'expulsion des criminels étrangers, la Suisse vient de nouveau de montrer la voie à tous les pays d'Europe et en particulier à la France en soutenant un référendum d'initiative populaire qui visait à mettre fin à l'immigration de masse.

    Depuis 40 ans, nous subissons - nous aussi - une immigration massive sans jamais avoir été consulté. Cela doit cesser ! Nous voulons un référendum !

    L'arrogance de la commission européenne et du gouvernement français est insupportable et nie l'intelligence et la la souveraineté du peuple suisse et des peuples européens.

    Plus personne ne doit plus jamais décider à notre place de l'avenir de notre peuple. C'est pourquoi nous vous demandons de signer la pétition pour exiger la tenue d'un référendum sur l'immigration mais aussi sur toutes les questions de société importantes en s'inspirant du modèle suisse.

    ------------------------------------------------
    France-petitions.com

    contact@france-petitions.com

    ------------------------------------------------
    France Pétitions
    Pour que l'avis de chaque Français compte dans le débat public pour l'avenir de notre pays


     France-petitions.com se bat pour que votre voix compte, pour qu’elle soit vraiment entendue. Pas de pétitions bidon sur notre site. Chaque pétition a été crée publiquement par une personne et chaque signataire est une vraie personne dont nous vérifions la réalité. Nous allons faire en sorte que votre voix soit vraiment entendue par le destinataire de la pétition et par toutes les personnes dont l’opinion compte.

    La liberté et la démocratie ne sont pas des abstractions. Ce sont des réalités vécues au quotidien.

    Les Suisses ont une égale liberté de choisir ce que la Suisse doit faire, lorsqu’ils participent aux référendums régulièrement organisés. Le 9 février, ils ont eu à se prononcer sur l’immigration. Les Français n’osent même pas en rêver. La France ressemble de plus en plus au « nouveau despotisme » décrit dans De la démocratie en Amérique : « Une foule innombrables d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs… Au-dessus… un pouvoir immense et tutélaire qui se charge seul d’assurer leur jouissance. » La confusion généralisée entre les sexes, les cultures, le citoyen et l’étranger efface les identités tandis que la dépense publique asphyxie le corps social et que les libertés fondamentales de penser, de s’exprimer, de circuler, d’enseigner sont écornées jour après jour.

    La vraie démocratie repose sur la liberté de personnes capables de faire des choix rationnels à chaque niveau de subsidiarité, de la commune à l’État en sachant s’abstraire de toute préoccupation individualiste ou communautaire pour ne retenir que l’intérêt général ou, mieux, le bien commun. Ces personnes ne peuvent être des individus égoïstes, ni des « ego » sartriens, détachés de tout et capables du pire. Inscrits dans une famille, dans une nation, ils doivent pouvoir adhérer à la formule de Montesquieu : « Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciable à l’Europe, ou bien utile à l’Europe et préjudiciable au genre humain, je le regarderais comme un crime. » Seules des nations formées de ces citoyens responsables sont également libres de conduire leur destin, si elles demeurent souveraines, et non soumises à des oligarchies technocratiques.

    Aux deux niveaux, de l’individu comme de l’État, l’identité fonde la liberté, parce qu’elle dessine les limites : celle de la personne qui s’accepte et s’affirme pour ce qu’elle est, celle de l’État à l’intérieur de ses frontières. La liberté de l’homme ne peut être sans limite, fondée sur la transgression des traditions ou de la nature. La liberté d’une nation, de même, a besoin de frontières qui garantissent son autonomie comme celle de ses voisins. Jean-Louis de Lolme disait que le Parlement britannique pouvait tout faire, sauf changer une femme en homme. La folie actuelle envisage que des lois puissent autoriser de satisfaire le fantasme du changement de sexe. Mais on ne sait plus très bien quel Parlement le décidera, ni qui il représentera, ni à quel groupe de pression il sera soumis.

    La démesure, l’hybris des Grecs, détruit la liberté par les deux bouts : en bas, l’individu déresponsabilisé, ivre de droits et ignorant de ses devoirs, en haut, la tyrannie exercée par une caste agrippée au pouvoir et à ses privilèges, démagogue et dénuée de courage. La perte de l’identité, celle de la personne, celle de la nation, dissout le lien entre un citoyen structuré et une démocratie nationale forte : à la place de la première règne l’individu qui « s’éclate » en émotions, en pulsions justificatives, en besoins immédiats ; la disparition du sentiment d’appartenance à la seconde fait s’évaporer le patriotisme dans d’absurdes engagements dans des idéologies du lointain.

    La liberté et la démocratie ne sont pas des abstractions. Ce sont des réalités vécues au quotidien, et qui ne peuvent l’être que par des acteurs en chair et en os, qui affirment ce qu’ils sont, comme ils reconnaissent l’identité des autres, ce qui est le plus sûr moyen de la réciprocité et de l’échange.



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    ZUT Fille ou garcon par aladin82

    http://dai.ly/x1oksy

    Tous à poil : commment désarmer des gamins de maternelle face aux pervers sexuels ?

    Daniel Cohn-Bendit doit en être tout frétillant, le livre « Tous à poil ! », destiné aux petits de 5-6 ans est numéro 1 dans la catégorie album jeunesse sur Amazon. On y voit des personnages, adultes et enfants, nus ou en train de se déshabiller.

    Bruno Beschizza, le secrétaire national de l’UMP a eu, au sujet de la critique de Copé qui s’insurgeait dudit ouvrage, des propos intéressants et qui sonnent familièrement à nos oreilles : « Quand le gouvernement n’a que l’invective, la diabolisation, et le procès en fascisme en réponse à des questions légitimes soulevées par Jean-François Copé, c’est qu’il est à poil sur le fond ».

    Les commentaires sur le site sont dithyrambiques, et nombreux sont ceux qui s’enthousiasment sur le modernisme du livre, condamnant « l’esprit tordu » de ceux qui trouvent les dessins un peu trop réalistes pour être anodins. L’un des commentateurs estime même qu’ils ne sont pas vulgaires. Il est vrai que montrer le sexe d’une maîtresse d’école, qu’ils vont immédiatement associer à la leur, à des gamins de cinq ans n’a rien de vulgaire.

    Une enseignante se réjouit même par avance d’avoir trouvé le prochain livre qu’elle fera étudier en classe avec ses élèves. Un nudiste, quant à lui, se déclare choqué par des dessins qu’il juge trop caricaturaux – dessinés par un adulte ayant une vision d’adulte – pour être tout-à-fait honnêtes.

    Il est vrai que montrer des zizis qui s’agitent et des poils pubiens foisonnants à des gamins aussi petits est la priorité absolue, avant même sûrement de leur apprendre à lire.

    Plusieurs mettent en balance la violence des images télévisuelles pour justifier les bienfaits de ces représentations. On pourra s’étonner de ce parallèle qui leur sort spontanément de l’esprit, quand le problème n’est pas tant de montrer des personnages nus que d’occulter le danger potentiel à banaliser le déshabillage d’un adulte en présence d’un petit enfant trop confiant pour qui, du coup, la situation serait perçue comme parfaitement normale. Un enfant n’a pas les mêmes repères qu’un adulte. Comme on apprend aux tout-petits à ne pas suivre des gens qui leur proposerait des bonbons, on leur apprend aussi à dénoncer des adultes qui prétendraient leur faire des attouchements. C’est la base de la prévention.

    Sans cette mise en garde instinctive par les parents et les adultes référents, l’enfant n’a pas les moyens de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. De toute façon, l’enfant sait parfaitement ce qu’il a entre les jambes. A partir de là, quel est l’intérêt de lui montrer le sexe d’un homme adulte ou celui d’une vieille femme ? A quoi cela peut-il lui servir de savoir qu’un homme a un zizi plus grand que le sien avec des poils ?

    Les images montrent des personnes ayant autorité (la maîtresse, le policier) perdre toute crédibilité aux yeux des enfants.

    Le dessin représentant les voisins en train de se déshabiller montre une petite fille rousse qui entend rester habillée et se tient en position fœtale devant les adultes qui aimeraient la voir nue et semblent se moquer d’elle, et l’ostraciser comme si elle était anormale. Imaginons un enfant qui regarderait cette image et soit confronté ensuite à un adulte pervers, ne pensera-t-il pas alors qu’il est normal que l’adulte se déshabille devant et lui demande d’en faire autant ? Et qu’il le touche aussi ? Et puis quoi d’autre encore ?

    D’ailleurs, sur l’un des dessins on voit que des adultes courent derrière les enfants. Cohn-Bendit a sûrement mis 5 étoiles sur Amazon…

    Une fois que les petits de maternelle se seront bien habitués à l’idée que des adultes puissent se mettre nus devant eux (peut-être faut-il rappeler que les enfants de 5 ans n’ont pas les mêmes références que les adultes et sont très loin de conceptualiser comme eux), ils seront prêts à aborder la lecture ô combien enrichissante de la Vilaine Lulu d’Yves Saint-Laurent, où on voit des tout-petits ligotés, dénudés, torturés…

    D’ailleurs ces dessins restent encore trop abstraits. Pour rendre une idée plus juste de la nudité, il serait sans doute plus judicieux de leur montrer des revues pornographiques avec des vraies personnes et des vrais pubis, afin qu’ils se fassent une idée encore plus précise de la chose. On n’est jamais trop éducatif.

    Caroline Alamachère

    après la chanson le film

    NON au film TOMBOY à l’école !

    Depuis des mois vous descendez dans la rue pour dire NON à l’idéologie du Genre. Face aux mensonges et au mépris du gouvernement, l’heure est venue de vous mobiliser à nouveau. Cette fois, c’est en votre propre nom qu’il faut agir !

    Faites cesser la diffusion du film « Tomboy » dans les écoles. Envoyez un carton rouge à Vincent Peillon ! Ensemble nous submergerons son bureau !

    On Ne Lâche Rien ! Jamais ! Jamais !

    Carton Rouge au Ministre de l’Éducation nationale

    NON au film TOMBOY à l’école !

     

    Monsieur le Ministre,

    C’est avec indignation que j’ai appris la diffusion du film Tomboy aux élèves de CE2, CM1 et CM2, dans le cadre du programme « École et cinéma » soutenu par votre ministère et celui de la Culture.

    Alors que le cahier des charges de ce programme est de « favoriser la formation du jugement, du goût et de la sensibilité », ce film est très loin de ces objectifs puisqu’il relate les expériences transsexuelles et les premiers ébats homosexuels d’une petite fille nommée Laure.

    La réalisatrice Cécile Sciamma a confié à TV5-Monde (13.9.2011) qu’elle voulait réaliser un film militant à l’école de l’idéologie du genre et ainsi « toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques ».

    A la Berlinade 2011, Tomboy a remporté le Prix du jury aux Teddy Awards qui récompense les films traitant de sujets LGBT. Cela correspond à une approbation enthousiaste du lobby homosexuel.

    L’école n’est pas et ne doit pas être un chantier de prosélytisme pour le lobby LGBT ni pour la diffusion de l’idéologie du genre. Les parents — et non l’Etat — sont les premiers éducateurs de leurs enfants.

    Je vous demande le retrait immédiat du film Tomboy du programme « École et cinéma ».

    Signature :

     

     

    Respect de votre vie privée

    Votre adresse courriel est strictement confidentielle. Elle ne sera jamais transmise à quiconque.

    Pour toute demande d’information au sujet de cet appel et de la garantie de confidentialité, merci de nous envoyer un message à l'adresse suivante : contact@avenirdelaculture.fr

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    Taxe d'habitation : le pire est à venir

    Eric Treguier Publié le 10-02-2014 à 18h30Mis à jour le 12-02-2014 à 10h10

    Le comité des finances locales planche actuellement sur une réforme à hauts risques. Les habitants des beaux quartiers, propriétaires et locataires, pourraient payer jusqu'à deux fois plus. Explications.

    Taxe d'habitation (SIPA)Taxe d'habitation (SIPA)
     

    La réunion du Comité des finances locales prévue mardi 11 février, qui réunit le gouvernement et les représentants des maires et élus locaux (sénateurs, conseillers généraux et régionaux) risque d’être explosive. Il y sera question de la réforme de la fiscalité locale, un chantier que le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait annoncé depuis quelques mois et qu’il s’est décidé à lancer dès maintenant.

    Le moment n’est pourtant pas le mieux choisi, puisqu’il revient à allumer un incendie juste avant les municipales. Car la réforme, telle qu’elle s’esquisse sur la base des travaux préliminaires, va faire exploser les impôts locaux des administrés. Des administrés qui sont aussi, ne l’oublions pas, des électeurs…

    Or ces derniers vont découvrir qu’ils risquent de voir leur taxe d’habitation grimper de 20 à 120%. Sur le papier, les intention du gouvernement sont louables: "rapprocher les bases d'imposition des locaux d'habitation de la réalité du marché, simplifier le mode de calcul des valeurs locatives, prévoir un dispositif de mise à jour permanent et conférer un rôle plus central aux collectivités territoriales".

    19 milliards de rentrées fiscales en 2013

    Soit. Mais dans la réalité, depuis 18 mois, les Français ont appris que les mesures de justice fiscale s’apparentent toujours à une hausse des prélèvements. Les 46 millions de foyers potentiellement concernés par la réforme ne sont pas dupes. Ils paieront davantage. Avec un risque politique majeur, souligné à plusieurs reprises par le député UMP Gilles Carrez.

    Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, a ainsi tiré la sonnette d’alarme: "le gouvernement a la témérité de réengager une révision", a-t-il prévenu, "que tous les gouvernements ont écartée depuis plus de vingt ans".

    Mais la tentation est trop forte. Les collectivités doivent impérativement compenser la baisse (3 milliards d'euros sur 2014 et 2015) des dotations de l'Etat? Or, la taxe d’habitation est avec la taxe foncière la principale recette des villes et représente 41% des recettes de fonctionnement. L’an dernier, elle a rapporté plus de 19 milliards d’euros, soit 3,2% de plus qu'en 2012.

    Les recettes de cet impôt qui touche propriétaires et locataires progressent donc déjà beaucoup plus vite que l’inflation et que les revenus des contribuables. Pourquoi aller plus fort encore ? Parce que, sur le papier, cette réforme n'est pas illégitime. Le fonctionnement de cet impôt est, en effet, un peu foutraque.

    Les mieux lotis ne sont pas les plus imposés

    Cette taxe supporte en effet trois critiques de taille. La première, c’est que les communes riches en sièges sociaux peuvent largement s’en passer et imposent très légèrement (comme c’est le cas à Paris) leurs habitants. Inversement, les petites communes rurales, faute d’industries et de commerces à taxer, appliquent au contraire des taux d’imposition très élevés.

    Deuxième critique : cette taxe est calculée sur des bases (la valeur locative théorique) qui n’ont pas été remises en cause depuis 1970 et qui privilégient les éléments de confort présents à cette époque. Autrement dit, l’occupant d’un immeuble années 70 (au top de l’équipement à l’époque mais aujourd’hui totalement obsolète) payera plus cher que celui d’un immeuble haussmannien (considéré à l’époque comme ancien, mais souvent modernisé depuis…).

    Bercy travaille depuis quelques mois à la réforme de ces bases Enfin, troisième critique, et c’est le point de friction, la taxe d’habitation ne prend pas en compte les ressources des occupants. Et pour André Laignel, président du Comité des finances locales (CFL), il est logique qu’on cherche à "corriger cette injustice."

    Peu probable qu'elle baisse pour quiconque

    Il y a donc des riches qui ne paient pas grand-chose, des pauvres qui s'étranglent en recevant chaque année le nouveau montant qu'ils doivent au fisc, des propriétaires de lofts magnifiques à peine imposés et des habitants d’HLM dont c'est le seul impôt direct. L’Etat avait déjà tenté, il y a quelques années, de mettre un peu d’ordre dans ce beau bazar et décidé d’un mécanisme de péréquation entre communes.

    La réforme que souhaite le gouvernement est autrement plus ambitieuse. En jouant sur l’assiette de la taxe d'habitation, elle va frapper au portefeuille les propriétaires et les locataires qui ont le triple handicap de 1) habiter dans une grande ville, 2) vivre dans un quartier bourgeois et 3) toucher des revenus. Ceux-là même qui étaient assez peu imposés. Pour certains, selon les premières estimations, la facture pourrait doubler. Mais il est peu probable qu’elle baisse pour les autres…

    Premier bénéficiaire : l'Etat

    Seul contribuable local à être certain de tirer profit de la réforme, l'Etat ! Il prend en effet à sa charge la taxe d’habitation des Français bénéficiant de l'exonération de cet impôt et rembourse aux collectivités toute une série de dégrèvements et de plafonnements. Au total, ces transferts représentent un quart de la collecte de la taxe, dont une partie devrait disparaître, à la faveur de la réforme. Du point de vue du gouvernement, la réforme aurait donc un double avantage : hausse des ressources des communes, baisse de la contribution de l’Etat.

    Les élus devront rendre leur copie en avril (juste après les municipales). Elle servira de base aux travaux des parlementaires qui incorporeront l’essentiel de leurs conclusions dans la prochaine loi de finances. Histoire de faire passer la pilule, la réforme devrait être étalée sur trois ans, jusqu’en 2018. A moins qu’elle ne soit, comme celle sur la famille le mois dernier, reportée "sine die"…


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  • Le Classement mondial 2014 de la liberté de la presse est disponible en ligne
    Si cet email ne s'affiche pas correctement, cliquez ici.

    Reporters sans frontières

    DÉCOUVREZ LE CLASSEMENT MONDIAL DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE 2014

    ACCÉDER AU CLASSEMENT

     
    La liberté de la Presse dans le monde en 2014
    De toutes les publications de Reporters sans frontières, il en est une qui fait réagir les chefs d'Etats et suscite l'anxiété des gouvernements. 

    Cette publication nous vaut chaque année plus de pressions (et d’applaudissements). 

    C’est aussi cette publication qui permet de faire évoluer les législations, parce qu’elle est reprise par les organisations internationales et les plus grands médias. 

    Nous sommes fiers de vous présenter la nouvelle édition du Classement mondial de la liberté de la presse. 

    Vous y verrez combien l’affaire Snowden, le conflit syrien, ou encore la communication agressive du Bahreïn et l’impunité des pétrodollars ont marqué l’année 2013 et bousculé les hiérarchies. 

    Vous y découvrirez les pays qui s'abîment dans les profondeurs de la censure, et ceux qui progressent sur le chemin de la liberté d'informer, celle qui permet de vérifier l'existence de toutes les autres. 

    Ce classement fait l’objet de centaines d’articles dans la presse internationale, de réactions officielle de chefs d’Etats, de gouvernements, ulcérés ou satisfaits, en tout cas conscients de son impact. Des organisations internationales, telles que les Nations Unies et la Banque mondiale, et de nombreuses chancelleries en tirent argument pour exercer des pressions en faveur du respect des droits de l’homme. 

    L’intensité des réactions prouve l’influence du classement. 

    Lisez ce classementPartagez-leSoutenez Reporters sans frontières

    A bientôt, 

    Christophe Deloire

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  • Exigeons nous aussi un référendum sur l'immigration !  

    Avec beaucoup de courage et de lucidité, le peuple suisse a profité d’un référendum d’initiative populaire pour voter l’arrêt de l’immigration de masse, la priorité nationale et la maîtrise souveraine des frontières du pays.

    Depuis, toute la caste européenne, à commencer par la Commission de Bruxelles et le PS et l’UMP en France, insulte le peuple suisse. Par là, elle montre son vrai visage, en méprisant la démocratie et les choix souverains d’un peuple libre.

    Les Français doivent profiter de cette votation suisse pour exiger un référendum équivalent en France !

    Nous demandons l’organisation d’un référendum sur l’immigration et la maîtrise de nos frontières nationales. Plus nous serons nombreux à signer cette pétition, plus nous pourrons faire pression.

    En outre, nous rappelons notre désir de mettre en place dans notre pays un vrai référendum d’initiative populaire, sur le modèle suisse ou italien.

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  •  Naima Charai (PS) veut faire interdire l'expression "Français de souche" sur le service public

    http://www.infos-bordeaux.fr/wp-content/uploads/2011/06/Naima-Charai1.jpgExtrait d'un entretien de Naima Charai, Conseillère régionale socialiste, proche de Caroline Fourest, et qui vient de saisir le CSA sur des propos d'Alain Finkielkraut concernant les "Français de souche" :

    "C'est inquiétant que l'on trouve ces propos anodins. Il est dangereux de dire, comme M. Finkielkraut, que certains Français seraient oubliés (les Français de souche) et d'autres privilégiés en fonction de leurs origines, et d'inciter à leur comparaison, à leur confrontation. J'attends la réponse du CSA pour savoir s'il trouve normal l'utilisation du terme français de souche sur le service public.

    Il est inacceptable que ces propos soient tenus librement sur une chaîne publique et qu'aucun des représentants des représentants du service public présents sur ce plateau n'ait juger opportun de relever, ni de contredire ces affirmations que je trouve particulièrement choquantes."

    M. Finkielkraut contribue à une lepénisation des esprits."

    Est-ce réellement l'expression "Français de souche" qui incite à la confrontation des premiers et des derniers arrivés sur notre sol ? N'est-ce pas plutôt ce que font SOS Racisme, la Licra et le Crif depuis des décennies en entretenant un racisme supposé ?

    L'expression "premier arrivé, premier servi" va-t-elle être interdite dans la foulée en France ? Qui sait si bientôt cela ne sera pas de la discrimination..

    Devrait on appeler nos aïeux qui ont participé bien malgrés eux à la construction de ce pays qu'on appelle la France pour cause de conquète franque: des autochtones  ou des Natives comme on nomme les premiers habitants supposés d'Australie, de nouvelle zélande ou autre peuplade d'océanie , des gallo-romains, des gaulois, des celtes ou des néandertaliens, quand on sait maintenant que 80% de la population française est là depuis le début des temps, que les romains, les francs n'ont composé que l'aritocratie militaire et dirigeante, les gogos les gogos les gaulois composaient 80% de la population, des laboureurs pour majorité.Il me semble quand à moi que le terme Francais de souche permet de rassembler toute une population présente au moment de la construction de la France sans différences ethniques , ces ancêtres représentés par 80% de la population actuelle (que ceux qui doutent s'amusent à faire leurs généalogies )


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  • http://api.dmcloud.net/player/pubpage/4f3d114d94a6f66945000325/

    52fa429306361d53adf399e7/5297c6847e454006ba32cbd956cfb18e?wmode=transparent

    DEPLACEMENT DES DEMANDEURS D'ASILE DANS LES VILLES PERIPHERIQUES :

    Jean-François Ploquin. - La situation dans le département du Rhône est-elle critique?

    Les 3000 places d'accueil sont saturées et 500 personnes sont sur liste d'attente. Près de 300 d'entre elles vivent donc sous le pont Kitchener à Lyon dans l'attente de rejoindre Oullins, pour une partie d'entre elles. Les 200 autres, toutes localisées dans l'agglomération lyonnaise, vivent d'expédients et trouvent des solutions précaires. Nous travaillons pour trouver de nouvelles places. Dans le département les demandes d'asile ont augmenté de 41 % au cours des 9 premiers mois de cette année par rapport à la même période en 2012. Il faut donc trouver des places d'accueil en dehors du Rhône, mais les solutions sont difficiles à trouver dans un contexte de déficit de places au niveau national. On en dénombre 23.400 et il en faudrait 35.000 de plus.

    Vous avez été désigné par la préfecture pour vous occuper de l'installation des demandeurs d'asile à Oullins. Quelle sera votre mission?

    Nous allons les accompagner et nous occuper de leur situation. Ces personnes ont en effet déposé des dossiers à Pôle Emploi, elles vont bénéficier de la couverture maladie universelle et ont aussi déposé des dossiers à l'Ofpra (office français de protection des réfugiés et apatrides), chargé d'examiner leur demande d'asile. En parallèle, nous allons faire en sorte que la cohabitation avec la population locale se fasse dans le respect des règles de vie communes. Nous allons être dans la pédagogie pour expliquer aux habitants comment cela se passe. Il y a, au début, des réticences normales de la part des habitants, en raison d'amalgames sur les publics accueillis mais ensuite, tout se passe en général très bien.

    Ceci ne concerne pas uniquement les demandeurs d'asile mais aussi les zup surchargées, ex: Montpellier, Sète, Béziers ect... On déplace ainsi la délinquance des banlieues dans les campagnes pour le plus grand bonheur des autochtones.

    ET VOUS NE PENSEZ PAS QUE C'EST UN SUJET DE CAMPAGNE PRIORITAIRE ?


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    En 1882, une femme annonçait "l'ouverture inconsidérée des frontières" et l'islamisation de la France.

                                        
       Marie Julie Jahenny (1850-1940) Bretonne originaire de Blain 44  est une figure connue dans l’histoire de l’église de France, tout comme Marthe Robin et Marie Yvonne Aimée, grandes mystiques contemporaines. Elle aurait, selon les catholiques, bénéficiée de charismes tout particuliers : visions extatiques et port des stigmates de la passion.

        Les informations suivantes sont données à titre historique, l’existence de Marie Julie Jahenny ayant eu un retentissement certain en France au début du XXième siècle, attirant jusqu’à l’attention du Cardinal Pacelli, futur Pie XII, qui lui rendit visite en 1939. L’Observatoire de l’islamisation n’a pas vocation à trancher sur des sujets qui relèvent des croyances privées, mais se refuse à recouvrir d’un drap pudique la dimension éminemment chrétienne de la France. Dans cette perspective, sont diffusés les propos d’une  paysanne bretonne sans instruction, tant ils contiennent de troublantes prémonitions.                      

    1- Annonce d’une France multiculturelle et métissée :

    Dans ses Prophéties pour la France, en 1882, Marie Julie Jahenny relate : « En la terre d’Amiens, la Mère de Dieu est sur le point de se fixer un nouveau séjour, pour y venir avec l’Enfant Jésus prévenir le peuple, mélangé comme partout. »

    Paris sera cosmopolite, et l’officialisation de la Gay-Pride annoncée en filigrane :

    « Paris est devenu la capitale de l’esprit anti-Christ, nouvelle Babylone, nouvelle Sodome ».

                                   

    2- Annonce de l’islamisation de la France (1882) :

    3°) L’insécurité dans les villes est encore accentuée par l’ouverture inconsidérée des frontières, la dissolution de l’identité religieuse et nationale, la pullulation de faux sauveurs, " impies coureurs ", desectes sataniques faisant du porte à porte pour inciter les bons chrétiens au reniement, " prédicateurs infernaux ", faux prophètes, faux christs.

    " L’axe du commerce, la confiance ", étant brisé par la corruption et les scandales financiers, l’économie va à la faillite.

    4°) La déchristianisation planifiée et massive, le rejet de la doctrine morale Catholique, l’influence grandissante de l’Islam " La France deviendra mahomète... niant la divinité du Christ... ", du spiritisme et des cultes lucifériens seront autant de signes de cette " gangrène "spirituelle... Cette désintégration ne se sera pas faite spontanément, mais sera orchestrée par des sociétés secrètes et des groupes d’influence dans tous les milieux, sous le masque de l’amour de l’Homme. Ils seront acharnés à la dissolution de la civilisation chrétienne, par la corruption » (source)

       Quelle que soit notre sensibilité, force est de reconnaître que ces annonces sont troublantes, à une époque où évoquer l'islamisation de la France et la suppression des frontières relevait de la science-fiction et du délire paranoïaque  ...surtout de par la bouche d'une paysanne inculte.

       A méditer aussi, l'annonce d'un futur chef d'Etat français qualifié de  "poteau de boue" . Or, Sarkozy, en hongrois, se prononce "char-ko-sy" et signifie litteralement "dans la boue". (source)

    (merci à P.H pour l'info)

    Marie-Julie Jahenny nous disait que la Révolution Universelle débuterait par la guerre civile en France, mais qu’elle serait précédée de troubles en Angleterre et au Moyen-Orient, plus précisément en Iran et en Israël. La guerre entre ces deux pays ennemis jurés a bien souvent été annoncée et avec la récente élection de Hassan Rohani en tant que Président de la République Islamique d’Iran, on peut s’attendre à tout, d’autant plus qu’il ne semble pas porter Israël dans son coeur, tout comme son prédécesseur qui voue une haine féroce à ce peuple installé en Palestine depuis 1948. Il semblerait donc que ce soit lui (ou son successeur si jamais son mandat venait à s’achever prématurément) qui serait à l’origine des premiers troubles .

    On ne pourra plus désormais nier que l'Islam et le Pétrole ne sont pas liés, que les producteurs de pétrole financent les Islamiques 


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  • LA PHRASE QU’ON NE DOIT JAMAIS OUBLIER

     
    Sir George Bernard Shaw
     
    Prix Nobel de littérature en 1925 a prononcé la petite phrase suivante :  
    "Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent... et pour les mêmes raisons."
     
     


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    11 février 2014  DITE MOI QUE JE RÊVE

    David Dumortier, éd. Dilettante, mars 2012

    Sous le nom de Sophia, un poète se travestit et se prostitue la nuit. Il découvre au cours de cette vie de dualité que son enfance volée et sa marginalité ne sont rien en comparaison du lourd secret de ses clients.

    Un travesti intervient devant une classe de CM1

    Lundi 3 février 2014, à l’Ecole élémentaire Marcel Lafitan, à Versailles, en classe de CM1, était « invité » à s’exprimer devant les élèves, David Dumortier.

    David Dumortier est, pour le grand public, un parfait inconnu. Voici comment France Inter le présente :

    "David Dumortier s'est tourné assez tôt vers le monde arabe et a longtemps travaillé dans le milieu psychiatrique. Il intervient aujourd'hui régulièrement en milieu scolaire. Un de ses livres a été publié avec le concours du Centre national du livre, où il a aborde les thèmes de l'homosexualité, du travestissement, ainsi que de l'indétermination sexuelle chez l'enfant et du transgenre."

    Voici comment France Culture le présente, à propos de son « livre » intitulé « Travesti » :

    «Personne ne choisit un beau matin d'être poète pas plus que travesti.» (4e de couverture)

    « Ce qui sembler gêner, chez les travestis, c’est la partie du mot qui dit ''trans''. En latin, ce qui traverse, qui va de l’autre côté. En l’occurrence, de l’autre côté du genre sexuel. Et le sexuel est ce qui panique le plus dans les sociétés occidentales. Il n’y a qu’à voir, en cet automne 2012, comment le projet de loi sur le mariage gay crée la terreur et la haine des représentants ... »

    Voici comment Marie-Claire le présente, à propos de son « livre » intitulé « Travesti » :

    « Ce livre, courageusement autobiographique, raconte la vie d’un homme mal aimé dans son enfance campagnarde et rude, devenu poète et écrivain le jour, travesti la nuit. Quand le soleil se couche, David devient Sophia, armée d’un string, de lèvres trop rouges et d’une poitrine en mousse. De mots crus en images hard, du cynisme le plus abrupt aux vacheries les plus cinglantes, le narrateur ne recule devant aucune vérité, aucune dureté, aucune noirceur. Mais ne dévie jamais de son extraordinaire talent, mélange détonnant de rigueur, de poésie et d’une certaine forme de mysticisme. »

    Les parents d’élèves de l’école élémentaire Lafitan sont très en colère, pour, au moins, deux raisons majeures :

    • Les parents n’ont pas été informés de la venue de David Dumortier, ni d’ailleurs du sujet de son intervention en classe de CM1, qu’ils estiment, à bon droit et a minima, tout à fait déplacé
    • Apparemment, la directrice et l’institutrice ont été mises devant le fait accompli et obligées, par leur hiérarchie, de recevoir David Dumortier. D’où la question : qui a pris la décision d’inviter David Dumortier en classe de CM1 ?

    Addendum : cela fait longtemps que David Dumortier intervient devant des enfants de classe de primaire. Cet article montre que, déjà, l'an passé, il était intervenu devant cinq classes élémentaires de Bourges, composées d'élèves âgés de neuf à onze ans. Parents, sachez le.


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    L’euro : mystification et fausses pancartes.

    Durant plusieurs décennies, la construction européenne s’est vainement cherché une direction.

    Deux possibilités semblaient cependant émerger au fil du temps :

    • La construction d’une confédération d’états-nation  garantissant la souveraineté des membres et qui pouvaient conclure entre eux des partenariats spécifiques (programme Airbus par exemple) 
    • La mise en place d’un Etat fédéral européen qui entrainerait inéluctablement la disparition des états-nation et celle d’une grande partie de leur souveraineté.

    Voici donc brièvement résumées les deux options, exclusives l’une de l’autre, qui étaient proposées aux différentes opinions nationales. Pour des raisons évidentes d’attachement à leur Histoire et désirant préserver leur souveraineté, les peuples citoyens des états-nations traditionnels et à pouvoir fortement centralisé, refusaient majoritairement l’option fédéraliste.

    Rappelons –nous les termes de « l’appel de Cochin » lancé par J Chirac le 6 décembre 1978 :

     « C’est pourquoi nous disons NON.
     NON à la politique de la supranationalité.
     NON à l’asservissement économique.
     NON à l’effacement international de la France ».

     Ne s’avouant cependant pas vaincus, les partisans de l’Europe fédérale, se sachant minoritaire, ont développé un stratagème destiné à contourner cet obstacle. C’est ainsi qu’est apparu dès 1979 le « système monétaire européen ». Concocté en secret par Helmut Schmitt et Valéry Giscard d’Estaing, ce projet fut présenté au Conseil Européen de Copenhague. Il mettait indiscutablement sur la voie de la « monnaie unique » que le Britannique Roy Jenkins, Président de la Commission Européenne, appelait de ses vœux dès 1977.

    L’argument pour justifier une telle démarche n’était pas sans valeur. En 1971, la décision de Richard Nixon, poussé par le trésor Américain, de suspendre la parité or-dollar mettait « ipso facto » un terme aux accords de Bretton Woods instituant le dollar comme monnaie internationale. Cette décision s’est imposée car, pour la 1ère fois depuis la guerre, le commerce international américain était en déficit. Devenu « monnaie flottante » (en clair monnaie ouverte à la spéculation), il n’était plus assujetti à un strict équilibre budgétaire. Deux dévaluations successives du dollar augmentèrent encore l’instabilité du  « système dollar » qui conserva toutefois son statut de référence internationale. Cette instabilité se propagea naturellement aux grandes monnaies européennes. L’idée du « serpent monétaire » s’imposa alors pour réduire les variations de change de ces monnaies à partir de 1973 et le stade suivant fut le système monétaire européen.

    Les euro-fédéralistes virent tout le profit qu’ils pouvaient tirer de cette situation et commencèrent à œuvrer dans ce sens. Bien que, quelques années plus tard, l’euro fut présenté comme un incomparable outil de développement économique et de prospérité, cela n’a jamais été la raison profonde de sa création. A dire vrai, ce n’était même pas le souci de ses promoteurs, mais, comme il fallait trouver une « accroche populaire » pour le justifier, tout était bon. Son seul et unique but était de forcer la voie vers le fédéralisme européen.

    Il faut noter que les rédacteurs du Traité de Maastricht ne prirent même pas en compte la possibilité pour un état de quitter cette monnaie pour une autre. Ce qui a fait dire que l’euro était une « autoroute sans sortie » Cela ne pouvait mener qu’à la construction d’un état fédéral, contrairement à ce qui était marqué sur la pancarte.

    Or, cela était prévu de longue date. En juillet 2000, le journaliste du Telegraph Ambrose Evans Pritchard en poste à Bruxelles publia un certain nombre d’extraits de notes du Département d’Etat (affaires étrangères américaines) qui venaient d’être « déclassifiées » par l’administration Clinton*. On trouve notamment ce court passage qui est très révélateur :

    “The State Department also played a role. A memo from the European section, dated June 11, 1965, advises the vice-president of the European Economic Community, Robert Marjolin, to pursue monetary union by stealth.

    It recommends suppressing debate until the point at which « adoption of such proposals would become virtually inescapable ». La traduction est:

    « Le Département d’Etat a également joué un rôle. Un mémo de la Section Européenne, daté du 11 juin1965, conseille au vice-président de la CEE, Robert Marjolin, de poursuivre d’une manière « souterraine » le projet de monnaie unique européenne. »

    Il lui recommande d’éviter tout débat jusqu’au moment où « l’adoption ‘un tel projet deviendra virtuellement irréversible »

    Sans refaire pas à pas tout l’historique de cette mystification qu’est sa création, justifiée par des arguments fallacieux, nous ne pouvons que constater que l’euro existe bel et bien et qu’il est la monnaie utilisée par les 18 états de sa zone monétaire. On ne peut plus l’appeler « monnaie unique » en raison de la divergence des taux d’intérêts d’emprunt propre à chaque état depuis 2008. Nous sommes au milieu du gué. L’Europe fédérale est une rive qui semble hors d’atteinte et nous avons abandonné notre souveraineté monétaire. En clair, nous avons largué toutes nos amarres et nous dérivons au gré de la volonté des marchés financiers qui ont pour poissons-pilote les agences de notation. Or, faut-il le rappeler, le contrôle de la monnaie et du taux de crédit sont des outils essentiels de l’économie d’une nation.

    Bien sûr, on va nous objecter qu’il y a les traités et en particulier celui de Lisbonne, qui nous interdit de reprendre notre souveraineté monétaire. On peut également nous rappeler que le traité de Lisbonne, adopté en 2009 (après une ratification qui avait nécessité une modification de notre loi fondamentale sans consulter le peuple, pourtant réputé souverain) reprenait les éléments du traité de Maastricht, adopté en 1993.

    On peut mettre en doute  le fait que ce discours de « juristes et de diplomates », comme disait de Gaulle, fasse  accepter au peuple français la situation de détresse économique dans laquelle se retrouve ce pays. Situation  qui risque de se perpétuer en s’aggravant comme en témoigne le nombre de chômeurs en constante augmentation depuis 2008. On constate également que les opposants à l’euro sont de plus en plus nombreux et que le « terrorisme verbal » provenant du « lobby pro-euro » ne semble plus produire d’effet. De cette situation qui apparaît bloquée, mais qui n’est pas sans risque, il faut trouver la sortie dans l’intérêt de tous. De plus en plus d’économistes, parmi lesquels certains prix Nobel, dénoncent le danger d’éclatement de la zone euro, notamment dû au manque de « zone monétaire optimale » que les européens de la zone monétaire n’ont pas réussi à créer en près de 20 ans. Les « fédéralistes » étaient pourtant parfaitement conscients du risque encouru par l’adoption de l’euro avant la mise en œuvre d’un projet fédéral, mais ils ont préféré taire ce risque plutôt que de renoncer à saisir cette opportunité, née de circonstances totalement indépendantes de leur volonté. Cet opportunisme les a conduit à tromper les peuples en changeant les panneaux  directionnels, pensant qu’une fois le train parti, les peuples se résigneraient à rester dedans et n’auraient d’autre solution que d’accepter la construction d’une Europe fédérale, fut-elle « vassalisée » économiquement par la toute-puissance financière internationale.

    Pourtant ils devraient se remémorer la phrase d’Abraham Lincoln :

    « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »

    *Pour ceux que cela intéresse, le lien est le suivant :http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/1356047/Euro-federalists-financed-by-US-spy-chiefs.html

    Gilbert Collard et Jean Goychman

    Rapport annuel de la Cour des comptes : l’échec de "l’eurostérité"

    by Karine Legentil

    Communiqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Le rapport annuel de la Cour des comptes présenté ce jour constate l’incapacité du gouvernement à maîtriser les finances publiques et met en lumière l’échec total de la politique d’austérité mise en œuvre conformément aux exigences de la Commission européenne.

    La Cour des comptes fait ainsi rigoureusement la même analyse que le Front National : l’austérité, qui se traduit par une augmentation massive des impôts et une baisse de la bonne dépense publique (défense nationale, sécurité, recherche, etc.), asphyxie l’activité économique (0,1% de croissance en 2013), fait chuter les recettes fiscales (-16 milliards d'euros en 2013), pour finalement aggraver le déficit public (au moins 4,1% du PIB en 2013 contre 3% initialement prévus).

    Très clairement, l’austérité, dont on rappelle qu’elle n’est exigée que pour répondre aux normes d’un euro cher voulu par l’Allemagne, tue notre économie comme elle a déjà tué celle des pays du sud de l’Europe.

    Dans ses recommandations, qu’il convient de prendre avec discernement, la Cour des comptes émet par ailleurs certaines propositions qui vont dans le sens de celles formulées par le Front National, notamment quant aux sources d’économies possibles à faire du côté des collectivités territoriales ou de la fraude sociale.
    A l’inverse, faute d’avoir le courage de proposer la fin de la monnaie unique, la Cour des comptes s’hasarde sur d'autres recommandations dangereuses, inefficaces sur le plan économique et sources de nouvelles injustices.

    Le Front National rappelle que seule une politique de relance de l’activité serait de nature à rétablir l’équilibre de nos finances publiques, par un accroissement significatif des rentrées fiscales. Une telle politique impose de revenir à une monnaie nationale adaptée à notre économie, de mettre en œuvre une grande politique de patriotisme économique et d’user enfin des armes normales du protectionnisme intelligent, tel qu’il est pratiqué par l’immense majorité des pays du monde.



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