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    Le Papy Boom Boom !
    Vous êtes un aîné et le gouvernement a décidé
    que les retraites ne suivront pas l'augmentation du coût de la vie et  qu'il y aura moins de soins de santé pour vous.
    Que faire ?
    Ne désespérez pas, voici la solution Papy Boom Boom.
        Soins de santé pour les aînés !
    Notre offre «Papy Boum Boum» donne, à toute personne âgée de plus de 60 ans, un fusil et 2 cartouches.
    Vous obtenez ainsi le droit de "descendre" 2 sénateurs ou 2 députés.
       Bien sûr, cela signifie que vous irez en prison !
     Mais une fois incarcéré, vous recevrez 3 repas par jour,  un toit sur votre tête, blanchi, éclairé, choyé, dorloté
    et tous les soins de santé dont vous avez besoin !
    Plus de factures, d'eau, d'électricité, de gaz, de loyer, de garage, de P.V,  etc.
    Vous revendez de suite votre véhicule et augmentez votre pécule, donc plus de frais d'assurance,
    d'entretiens, de contrôles techniques, de garage,  etc.
    Vous avez besoin de 
      Nouveaux dentiers ?Pas de problèmes !
    Remplacer vos lunettes tous les ans ?C'est parfait !
    Nouvelles hanches, nouveaux genoux, reins, poumons, coeur.
    Une nouvelle chaise roulante.
    Tous ces soins sont gratuits et tout est couvert ! 
    Vous percevrez toujours votre retraite, dont vous pourrez mettre le montant sur un compte épargne.

     Et qui va payer pour tous ces soins ? 
     Les autres connards de français ... et ce gouvernement qui affirme que vous êtes trop vieux pour bénéficier
    des soins de santé et que votre retraite ne suivra pas l'inflation.
     
    P.S.: La demande actuelle ayant été sous-estimée,  soyez patient.

     Les livraisons de cartouches  reprendront dès que les stocks seront refaits.
     
    Mais non, je ne suis pas en colère,
    j'explique...
     

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  • Ils veulent l’égalité ? Nous préférons notre identité !

    Le 5 février 2014
    Le constat est assez clair. Plus les socialistes parlent d'égalité et de fraternité, plus ils dévoilent un discours de haine et d'intolérance.

    L’année dernière, devant les succès des rassemblements de laManif pour tous, Julien Dray avait déjà dénoncé la constitution d’un « bloc droitier » qui apparaissait, à ses yeux, comme un mouvement social et culturel de fond. La gauche devait relever le défi et être capable d’y opposer sa propre vision du monde sans sombrer dans la diabolisation et la reductio ad Hitlerum de l’adversaire politique. Un vœu pieux quand on voit les propos haineux des dirigeants socialistes pour commenter le rassemblement des défenseurs de la famille, le 2 février dernier. François Hollande avait promis une France rassemblée. Mais c’est plutôt au spectacle d’une France fracturée que nous assistons aujourd’hui. Et les grandes consciences de gauche, qui avaient tenté de nous habituer à un discours de tolérance et d’amour du prochain, dévoilent peu à peu leur vrai visage.

    500.000 personnes dans les rues de Paris ? Anne Hildago dénonce un« antirépublicanisme inquiétant ». Bruno Julliard, le porte-parole de la candidate PS à la mairie de Paris, diffuse – probablement par « réflexe républicain » – un message appelant à tuer les manifestants de la Manif pour tous. Le député EELV Denis Baupin préfère, pour sa part, se transformer en monsieur météo : « Il va pleuvoir du facho et de l’homophobe dans les rues de Paris cet après-midi. Mettons les familles à l’abri #manifdelahaine. » Mais qui propage un discours d’exclusion ? Qui méprise, stigmatise et diabolise l’autre ? Surtout quand on lit la prose du journaliste Bruno Roger-Petit : « D’un dimanche à l’autre les célébrations du 80e anniversaire du 6 février 34 sont très réussies… »

    En réaction au succès de la Manif pour tous, le porte-parole du PS, David Assouline, a appelé à une contre-manifestation : « Il faut certainement que la France de la fraternité se manifeste. Il faut que les valeurs de la République, le vivre ensemble, l’égalité entre tous soient fortement affirmés. » Un rassemblement de la « France de la fraternité » ? Défendre la famille, qui reste tout de même l’un des fondements de notre identité, serait donc synonyme de rejet de l’autre ?

    Aujourd’hui, le constat est assez clair. Plus les socialistes parlent d’égalité et de fraternité, plus ils dévoilent un discours de haine et d’intolérance. Et plus Manuel Valls parle au nom de la République, plus il représente une menace pour nos libertés publiques. N’oublions pas les mensonges et les violences policières contre la Manif pour tous : gazages abusifs, arrestations arbitraires, interpellations massives, minoration des chiffres de la mobilisation contre le mariage gay, menaces afin de dissuader les manifestants de descendre dans la rue…

    Ce qui fonde une démocratie, c’est avant tout la liberté d’expression et la sauvegarde de nos libertés publiques. Or – probablement pour faire oublier un bilan désastreux en matière de sécurité –, le ministre de l’Intérieur multiplie les amalgames, les provocations et les interdictions. Tout en prétendant agir au nom des principes républicains !

    Aujourd’hui, socialisme rime de plus en plus avec totalitarisme. Les commissaires politiques veillent. Et ceux qui refusent cette Longue Marche vers l’égalité doivent absolument être rééduqués. Aujourd’hui, le projet de Grand Remplacement va de plus en plus loin. Non contents de changer de peuple, ils cherchent désormais – à travers la théorie du genre – à transformer les garçons en filles et les filles en garçons. Tout cela au nom de l’égalité hommes-femmes…

    Ils veulent nous imposer l’égalité ? Nous préférons nous battre pour notre identité !


     


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  • la fin annoncée de l'islam fin de l'islam prophétisée pour cette période 

    les prophéties prédisent la fin de l'islam pour notre époque

     

    ON A BIEN LE DROIT DE RÊVER 

    Les prophéties annoncent la fin brutale de l'islam. 

    Nostradamus en a parlé, mais d'autres prophéties annoncent également la fin brutale de l'islam, et certaines disent clairement que l'islam est création de satan.

    Tout d'abord, une prophétie datant du huitième siècle, donc quelques décennies après la mort de Mahomet, et c'est une prophétie arabe !

    En effet, la fin brutale de l'islam a été annoncée par l'Arabe Fou, Abdul Alhazred, poète et savant poursuivi par les musulmans pour hérésie. Dans son ouvrage le Necronomicon (ou Al Azif, bruits émis la nuit par les grillons ou les démons), il explique que serait endormie au fond de la Cité Perdue aux Milles Colonnes( Iram) engloutie sous le désert pourpre du Dhana dans la péninsule Arabique, une créature diabolique qui détruira toute la région à son réveil. La Mecque considérée comme une cité maudite pour avoir vu naître l’infâme et barbare Mahomet, (termes utilisés par le prophète Abdul, lequel a bien existé, et eut de vrais apparitions saintes, à la différence de qui on sait) serait la première à disparaître.
    Obligé de se cacher durant la plus grande partie de sa vie et poursuivi par les milices islamistes, l'Arabe Fou fut considéré comme un grand visionnaire au même titre que Nostradamus. Ce dernier se serait inspiré de ses écrits pour élaborer ses prédictions.
    Ses prévisions annonceraient un grand séisme dans la Peninsule Arabique et une guerre totale qui anéantiraient l'islam après quinze siècles de barbarie et d'obscurantisme. Qui plus est, la date donnée par Abdul pour l'effondrement de l'islam, correspond à la seconde décade de notre siècle , donc, on y est !

    Dans l'un des haddiths, Mahomet lui-même annonce la fin brutale de l'islam ! Voici la citation : " "Il n’y a aucune ville que l’Antéchrist ne foulera. Ni Médine ni La Mecque …le feu se déclenchera à Hadramaout (Yemen) … les noirs détruiront la Kabba pierre par pierre… Malheur aux arabes, parce qu’en vous se multiplient les péchés…l’islam sera foulé aux pieds… le livre (le coran)sera oublié sans qu’il n’en reste la moindre trace sur terre" (Hadiths :faits et paroles de Mahomet, qu'on peut lire dans le coran). 

    Nota bene : Lorsque Mahomet ^parle des noirs il parle de gens qu'il considère comme des sous-hommes, et en arabe, un unique et même mot désigne l'homme noir et l'esclave ! L'islam est raciste, parce que la langue arabe reste raciste.

    Chaque année, des dizaines de millions de musulmans renient l'islam, ce, dans tous les pays de tradition musulmane, dont les pays d'Afrique et l'Indonésie; ainsi, en Indonésir, chaque année 6 millions de musulmans quittent l'islam (on ne parle que des adultes, ce qui veut dire que leurs enfants quittent ainsi l'islam, et ce sont donc chaque année onze à douze millions de fidèles potentiels qui sont perdus pour l'islam. En Afrique noire, on dépasse ce nombre, en Algérie, on ne peut même plus compter...

    Oui, l'islam est en train de périr, et c'est logique, puisque la lumière doit triompher, et l'islam vient de satan, des ténèbres.


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  • http://www.youtube.com/watch?v=EyduVCFwxFE&feature=share&list=UU0--537XHg1DCMgU9a1sHxQ&index=9

    « Antifas » : des barbouzes au service de Manuel Valls ?

    05/02/2014 – 07H00 Bretagne (Breizh-info.com) — Depuis que Manuel Valls est ministre de l’Intérieur, les réseaux d’extrême gauche  bénéficieraient-ils  de passe-droit lorsqu’il s’agit d’agresser tous ceux qu’il désigne comme des « ennemis de la République »? Une vidéo publiée samedi par l’agence Info Libre  semble  le démontrer .

    Cette vidéo montre en effet un journaliste venu couvrir une manifestation pro avortement à Paris le 1er février dernier. On le voit se faire menacer et  voler son vélo par un groupe de militants. Ils appartiennent à l’extrême gauche radicale parisienne. On y aperçoit surtout un policier en civil « extraire » le journaliste de la manifestation. Il lui explique qu’il ne peut pas rester là,  car il risquerait d’y perdre son intégrité physique, voire sa vie,  tant les personnes qui l’ont molesté sont dangereuses. (voir la vidéo).

    Cette atteinte à la liberté de la presse n’en est qu’une  de plus parmi les nombreuses constatées ces temps derniers – l’arrestation du journaliste de Breizh-info lors de la manifestation du 26 janvier dernier en témoigne. Mais le plus stupéfiant de cette vidéo, filmée en caméra cachée, ce sont les consignes énoncées par le policier, qui ignorait qu’il était enregistré.
    Il affirme en effet que les forces de police reçoivent l’ordre de leur hiérarchie – donc du ministère de l’Intérieur - de ne  fouiller ni interpeller ces militants d’extrême gauche, y compris si ces derniers sont « outillés» (armés). Expliquant être en « sous-effectif » – ce qui n’était manifestement pas le cas le lendemain pour la LMPT – le policier demande donc au journaliste de quitter les lieux « car sa sécurité ne peut pas être assurée ».

    Certains groupes radicaux, classés à gauche ou à l’extrême gauche, comme ceux qui se désignent comme  » antifas » ne seraient ils pas devenus les « barbouzes » de notre époque ? Seraient-ils tolérés, aidés,  financés par le pouvoir actuel comme le SAC – Service d’Action Civique – au temps du gaullisme? Les différentes agressions et dégradations de ces derniers mois, à BrestNantes ou encore Rennes tendraient à le démontrer.  Des individus clairement identifiés s’en étaient alors pris à des personnes ou à des biens sans que la justice n’engage de poursuites.
    Breizh-info avait rapporté les propos tenus par plusieurs policiers du SDIG de Bretagne. Ils confirmaient que des consignes sont données pour que les forces de police ne s’occupent pas des membres de l’extrême gauche, notamment dans ses bastions.

    La volonté affichée du ministre de l’Intérieur de casser l’ensemble des organisations ou associations, qui contestent François Hollande et son gouvernement, semble ne pas avoir de limite. Il intime aux forces de police l’ordre de réprimer violemment et de procéder à des arrestations massives lors de manifestations pacifiques (Manif Pour Tous 2013, Jour de Colère 2014). Il décide de dissoudre des mouvements d’opposition au prétexte qu’ils menaceraient  la République. Il met  au ban de la société un humoriste controversé , quitte à instaurer une justice d’exception – la rapidité du jugement du Conseil d’État lors de l’affaire du spectacle à Nantes constitue un cas  unique.

    Si  un gouvernement de « droite » avait agi ainsi, il n’aurait pas manqué d’être dénoncé par tous les défenseurs des droits de l’homme.  Aujourd’hui, il semblerait qu’en ce domaine tout soit permis au pouvoir écolo-socialo- communiste pour mettre en place en douceur  un régime quasi policier. Celui-ci tente ainsi de faire oublier ses échecs (sécuritaires, économiques, sociaux) en agitant l’éternelle menace  - mais qui y croit encore ? – d’un hypothétique « ennemi de l’intérieur ».



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  • http://youtu.be/pii0b2GEUe0

    Après avoir visionner cette vidéo les Anti FN vont se sentir vraiment très cons


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  • Un syndicat islamique ? Un clou de plus dans le cercueil de la France

    Il faut lire, relire et faire circuler le plus largement possible ce texte émanant de gens qui s’apprêtent à créer, en France, un système de pensée et d’action dont seulement deux précédents existent à ma connaissance : la sujétion du royaume au souverain d’Angleterre au début du 15è siècle, et la collaboration revendiquée des autorités de Vichy avec l’occupant allemand entre 1941 et 1944.

    http://www.saphirnews.com/Pour-un-syndicalisme-d-inspiration-musulmane_a18347.html

    Certains souriront à ces évocations du passé. Il leur sera cependant difficile de nous faire croire que ces « orientations historiques », en vérité des drames absolus, n’étaient pas dues à la pression de l’étranger, à ses exigences et, bien sûr, à l’évidence de sa force capable d’avoir surpassé celles d’un pays vaincu, soumis, destiné à laisser place à autre chose, sinon à disparaître âmes et biens.

    Nous sommes en 2014 face à la même menace. Un syndicat d’inspiration musulmane. Pourquoi pas à priori, dans la mesure où existent déjà des organisations chrétiennes ? Lisons bien cependant les divers préambules annonçant la naissance prochaine : ce ne seront pas les ouvriers que l’on défendra d’abord, mais bel et bien leur dévotion totale à l’Islam, comme si la référence principale de la CFTC, par exemple, se situait dans les Évangiles à l’exclusion de tout le reste. La couleur étant annoncée, on passe au corps de la créature.

    La masse musulmane critique a été atteinte en France. Nous sommes donc instamment priés de considérer qu’elle est désormais en mesure de peser, et de quelle manière, sur l’existence  de ce qui, malgré tout, demeure encore une majorité de gens. L’entreprise, pour ne citer qu’elle, sera en première ligne pour encaisser le choc culturel annoncé, vague dont il n’est guère compliqué de saisir le contenu : bouffe spéciale partout, foulards et masques divers dans les bureaux, ruptures pour les prières aux heures imposées par les textes, gestes d’hygiène loufoques sacralisés sous peine de rétorsion, grandes fêtes rituelles, interdiction de la critique, prosélytisme admis par les règlements intérieurs, etc, etc.

    Ceci pour la régie interne du travail. L’extérieur n’est pas oublié. De la même manière que des syndicats français autrefois puissants recevaient, pour survivre, la manne de l’étranger, les futures structures islamiques émargeront à un certain nombre de sources dont tout le monde connait la parfaite neutralité dans les affaires du monde. Parallèlement à ces passerelles empruntables par les seuls initiés, le petit peuple de l’Industrie sera tenu au silence sur ces diverses manières de faire fructifier le bien commun. S’agissant de la guerre, du terrorisme et du Jihad qui résume et concentre tout ça, les collègues mécréants de nos guerriers-en-cellules auront quelque souci à se faire, si tant est qu’il leur reste un jour ce simple droit.

    La France ne peut donc se permettre, dans son état actuel comme dans celui du monde, de laisser pousser dans sa chair une telle plante vénéneuse. Aucune confiance n’étant possible dans nos gouvernants du moment, il convient de hâter leur remplacement par des hommes et des femmes lucides, responsables et capables de mettre un frein aux prétentions débridées de ceux qui nous haïssent au point de vouloir imposer la religion comme dernier recours social.  Le pays de Voltaire ne peut laisser rouler, à l’intérieur de ses frontières, ce convoi de la mort civile.

    Alain Dubos


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  • Liste détaillée des 569 parlementaires ayant voté « Pour donner les pleins pouvoirs à Philippe Petain le 10 juillet 1940 »
    a l'époque, on ne pouvaient déjà plus faire confiance aux socialistes
    Chambre Département Parti
    Bernard d'Aillières Chambre des députés Sarthe Fédération républicaine
    André Albert Chambre des députés Deux-Sèvres Parti Camille Pelletan
    Fabien Albertin Chambre des députés Bouches-du-Rhône SFIO
    Auguste Albertini Sénat Hérault Gauche démocratique
    Gaston Allemane Chambre des députés Seine SFIO
    Jean-Baptiste Amat Sénat Haute-Garonne Gauche démocratique
    Hubert d'Andlau de Hombourg Sénat Bas-Rhin Union républicaine
    Henry Andraud Chambre des députés Puy-de-Dôme Non inscrit
    Adrien André Sénat Vienne Gauche démocratique
    Joseph Antier Sénat Haute-Loire ANRS
    Paul Antier Chambre des députés Haute-Loire Agraire indépendant
    Bertrand de Sauvan d'Aramon Chambre des députés Seine Fédération républicaine
    René Arbeltier Chambre des députés Seine-et-Marne SFIO
    Léon Archimbaud Chambre des députés Drôme Parti radical
    Raymond Armbruster Sénat Aube Non inscrit
    Justin Arnol Chambre des députés Isère SFIO
    Raoul Aubaud Chambre des députés Oise Parti radical
    Louis Aubert Chambre des députés Vendée Non inscrit
    Etienne d'Audiffret-Pasquier Chambre des députés Orne RIAS
    François Auffray Chambre des députés Côtes-du-Nord Parti radical
    Léonide Babaud-Lacroze Sénat Charente Gauche démocratique
    Paul Bachelet Sénat Pas-de-Calais Non inscrit
    Emerand Bardoul Chambre des députés Loire-Inférieure Fédération républicaine
    Jacques Bardoux Sénat Puy-de-Dôme Union démocratique et radicale
    Léon Baréty Chambre des députés Alpes-Maritimes ARGRI
    Charles Baron Chambre des députés Basses-Alpes SFIO
    Etienne Baron Chambre des députés Tarn-et-Garonne Parti radical
    Édouard Barthe Chambre des députés Hérault USR
    Georges Barthélémy Chambre des députés Seine SFIO
    Alfred Basquin Chambre des députés Somme SFIO
    Victor Bataille Chambre des députés Saône-et-Loire GDRI
    Pierre Baudouin-Bugnet Chambre des députés Doubs GDRI
    Charles Baudry Chambre des députés Seine-et-Marne Non inscrit
    Maurice Baufle Sénat Doubs Union républicaine
    Gaston Bazile Sénat Gard Gauche démocratique
    Maurice Bazin Chambre des députés Jura ARGRI
    Kléber Beaugrand Chambre des députés Loir-et-Cher SFIO
    André Beauguitte Chambre des députés Meuse ARGRI
    Jean Beaumont Sénat Allier Gauche démocratique
    Jean de Beaumont (Bonnin de la Bonninière) Chambre des députés Cochinchine Non inscrit
    Auguste Beauvillain Chambre des députés Nord SFIO
    Henri Becquart Chambre des députés Nord Fédération républicaine
    Albert Bedouce Chambre des députés Haute-Garonne SFIO
    Robert Bellanger Sénat Ille-et-Vilaine Gauche démocratique
    Robert Belmont Sénat Isère Gauche démocratique
    Adrien Bels Sénat Dordogne Gauche démocratique
    Gaston Beltrémieux Chambre des députés Pas-de-Calais SFIO
    Ernest Beluel Sénat Haute-Garonne Gauche démocratique
    Paul Bénazet Sénat Indre Gauche démocratique
    Pierre Béranger Chambre des députés Eure ARGRI
    Léon Bérard Sénat Basses-Pyrénées Union républicaine
    Raymond Albert Bérenger Chambre des députés Eure-et-Loir USR
    Gaston Bergery Chambre des députés Seine-et-Oise Parti frontiste
    Jean Bernex Chambre des députés Haute-Savoie Fédération républicaine
    Paul Bernier Chambre des députés Indre-et-Loire Parti radical
    Gérard de Berny Sénat Somme Non inscrit
    Émile Béron Chambre des députés Moselle Gauche indépendante
    Charles Berthézenne Chambre des députés Gard USR
    Aimé Berthod Sénat Jura Gauche démocratique
    William Bertrand Sénat Charente-Inférieure Gauche démocratique
    René Besnard Sénat Indre-et-Loire Gauche démocratique
    Louis Besnard-Ferron Chambre des députés Loir-et-Cher USR
    René Besse Chambre des députés Lot Non inscrit
    Léon Betoulle Sénat Haute-Vienne SFIO
    Robert Bézos Chambre des députés Landes Parti radical
    Maxence Bibié Chambre des députés Dordogne USR
    Louis Biétrix Chambre des députés Doubs IURN
    Joseph Blanc Sénat Haute-Savoie Gauche démocratique
    Prosper Blanc Chambre des députés Ain ARGRI
    Sylvain Blanchet Chambre des députés Creuse SFIO
    François Blancho Sénat Loire-Inférieure SFIO
    Louis de Blois Sénat Maine-et-Loire Non inscrit
    Jean Boivin-Champeaux Sénat Calvados Union républicaine
    Léon Bon Sénat Bouches-du-Rhône SFIO
    Georges Bonnet Chambre des députés Dordogne Parti radical
    Victor Boret Sénat Vienne Gauche démocratique
    Charles Borgeot Sénat Saône-et-Loire Gauche démocratique
    Antoine Borrel Sénat Savoie Gauche démocratique
    Lucien Bossoutrot Chambre des députés Seine Parti radical
    Marcel Boucher Chambre des députés Vosges IURN
    René Boudet Chambre des députés Allier SFIO
    Yves Bouguen Sénat Côtes-du-Nord Union démocratique et radicale
    Fernand Bouisson Chambre des députés Bouches-du-Rhône Non inscrit
    Charles Bouissoud Chambre des députés Saône-et-Loire ARGRI
    Henri Boulay Chambre des députés Saône-et-Loire SFIO
    Georges Boully Sénat Yonne Gauche démocratique
    Jacques Bounin Chambre des députés Alpes-Maritimes Non inscrit
    Henry Bourdeaux Sénat Somme Union démocratique et radicale
    Jean Bousgarbiès Chambre des députés Aude Parti radical
    Édouard Bousquet Chambre des députés Lozère Fédération républicaine
    François Boux de Casson Chambre des députés Vendée Fédération républicaine
    Émile Brachard Chambre des députés Aube Parti radical
    Félix Braise Sénat Haute-Savoie Union républicaine
    Raoul Brandon Chambre des députés Seine USR
    Alfred Brard Sénat Morbihan Gauche démocratique
    Georges Bret Chambre des députés Ille-et-Vilaine Non inscrit
    André Breton Sénat Cher Gauche démocratique
    Michel Brille Chambre des députés Somme ARGRI
    Louis Bringer Sénat Lozère Non inscrit
    Camille Briquet Chambre des députés Eure Parti radical
    Joseph Brom Sénat Haut-Rhin Non inscrit
    Auguste Brunet Chambre des députés La Réunion Union républicaine démocratique et de solidarité créole
    René Brunet Chambre des députés Drôme SFIO
    Albert Buisson Sénat Puy-de-Dôme Gauche démocratique
    Pierre Burgeot Chambre des députés Rhône Fédération républicaine
    Maurice Burrus Chambre des députés Haut-Rhin IAP
    René Burtin Chambre des députés Saône-et-Loire SFIO
    Louis Buyat Chambre des députés Isère ARGRI
    Joseph Cadic Chambre des députés Morbihan Non inscrit
    Joseph Caillaux Sénat Sarthe Gauche démocratique
    René Caillier Sénat Gironde Union démocratique et radicale
    Armand Calmel Sénat Gironde Union démocratique et radicale
    Edmond Filhol de Camas Sénat Morbihan Gauche démocratique
    Laurent Camboulives Sénat Tarn Gauche démocratique
    Gratien Candace Chambre des députés Guadeloupe GDRI22
    Marcel Capron Chambre des députés Seine Groupe ouvrier et paysan français (ex-communiste)
    Joseph Capus Sénat Gironde Union démocratique et radicale
    René Carré-Bonvalet Sénat Charente-Inférieure Gauche démocratique
    Bertrand Carrère Sénat Haute-Garonne Gauche démocratique
    Hyacinthe Carron Chambre des députés Savoie Parti radical
    Émile Cassez Sénat Haute-Marne Gauche démocratique
    Jean Castagnez Chambre des députés Cher SFIO
    Léon Castel Chambre des députés Aude Parti radical
    Stanislas de Castellane Sénat Cantal Union démocratique et radicale
    Camille Cautru Sénat Calvados Union républicaine
    Antoine Cayrel Chambre des députés Gironde Gauche indépendante
    Pierre de Chabot Chambre des députés Vendée Fédération républicaine
    Auguste Chambonnet Sénat Creuse Gauche démocratique
    Jacques de Chammard Sénat Corrèze Gauche démocratique
    François de Champeaux Chambre des députés Côte-d'Or ARGRI
    Eugène Chanal Sénat Ain Gauche démocratique
    François Chasseigne Chambre des députés Indre PUP
    René Château Chambre des députés Charente-Inférieure Parti radical
    Jean Chaulin-Servinière Chambre des députés Mayenne GDRI
    Alphonse Chautemps Sénat Indre-et-Loire Gauche démocratique
    Camille Chautemps Sénat Loir-et-Cher Gauche démocratique
    Albert Chichery Chambre des députés Indre Parti radical
    Armand Chouffet Chambre des députés Rhône SFIO
    Jean-Marie Clamamus Sénat Seine UPF
    Fernand Claudet Chambre des députés Doubs RIAS
    François de Clermont-Tonnerre Chambre des députés Somme Agraire indépendant
    André Cointreau Chambre des députés Maine-et-Loire RIAS
    Pierre Colomb Chambre des députés Vienne GDRI
    Emery Compayré Chambre des députés Tarn Parti radical
    Victor Constant Sénat Seine Union républicaine
    René Converset Sénat Aube Non inscrit
    René Coty Sénat Seine-Inférieure Union républicaine
    Joseph Coucoureux Sénat Aveyron Union républicaine
    Aimé Coulaudon Chambre des députés Puy-de-Dôme SFIO
    Louis Courot Sénat Meuse Union républicaine
    Paul Courrent Chambre des députés Lot-et-Garonne Parti radical
    Léon Courson Chambre des députés Indre-et-Loire Parti radical
    Jules Courtehoux Chambre des députés Ardennes Parti radical
    Pierre de Courtois Sénat Basses-Alpes Gauche démocratique
    Georges Cousin Chambre des députés Seine Fédération républicaine
    Jean Crouan Chambre des députés Finistère Fédération républicaine
    Camille Dahlet Chambre des députés Bas-Rhin IAP
    Albert Daille Chambre des députés Tarn-et-Garonne Parti radical
    Charles Daniel-Vincent Sénat Nord Gauche démocratique
    Adrien Dariac Chambre des députés Orne GDRI
    Louis Dauzier Sénat Cantal Gauche démocratique
    André David Chambre des députés Haute-Garonne SFIO
    Marcel Déat Chambre des députés Charente USR
    Gabriel Debrégéas Chambre des députés Haute-Vienne SFIO
    Gilbert Declercq Chambre des députés Nord UPF
    Amédée Delaunay Chambre des députés Charente-Inférieure Parti radical
    Maurice Delaunay Chambre des députés Calvados Non inscrit
    François Delcos Chambre des députés Pyrénées-Orientales Parti radical
    Charles Delesalle Sénat Pas-de-Calais Union démocratique et radicale
    Vincent Delpuech Sénat Bouches-du-Rhône Parti radical
    Roger Delthil Sénat Tarn-et-Garonne Gauche démocratique
    René Delzangles Chambre des députés Basses-Pyrénées GDRI
    Georges Denis Chambre des députés Mayenne ARGRI
    Eugène Dereuse Chambre des députés Nord SFIO
    Jean Desbons Chambre des députés Hautes-Pyrénées GDRI
    Jean Deschanel Chambre des députés Eure-et-Loir GDRI
    Marcel Deschaseaux Chambre des députés Vosges Parti social français
    Louis Deschizeaux Chambre des députés Indre USR
    Jean Marie Desgranges Chambre des députés Morbihan Non inscrit
    Charles Desjardins Sénat Aisne ANRS
    Marcel Desprès Sénat Saône-et-Loire Gauche démocratique
    Maurice Deudon Chambre des députés Nord SFIO
    Stanislas Devaud Chambre des députés Algérie RIAS
    Sulpice Dewez Chambre des députés Nord Communiste (non déchu de son mandat)
    Louis de Diesbach de Belleroche Chambre des députés Pas-de-Calais ARGRI
    Pierre Dignac Chambre des députés Gironde ARGRI
    René Dommange Chambre des députés Seine IURN
    Marcel Donon Sénat Loiret Gauche démocratique
    Maurice Dormann Sénat Seine-et-Oise Non inscrit
    Gustave Doussain Chambre des députés Seine ARGRI
    Maurice Drouot Chambre des députés Haute-Saône ARGRI
    Alfred Duault Chambre des députés Côtes-du-Nord PDP
    Antoine Dubon Chambre des députés Landes USR
    Albert Dubosc Chambre des députés Seine-Inférieure GDRI
    Louis-François Dubosc Chambre des députés Gers SFIO
    Jacques Duboys-Fresney Chambre des députés Mayenne Fédération républicaine
    Pierre Duchesne-Fournet Chambre des députés Calvados ARGRI
    Hippolyte Ducos Chambre des députés Haute-Garonne Parti radical
    Jacques-Louis Dumesnil Sénat Seine-et-Marne Non inscrit
    Alphonse Dupont Chambre des députés Ain ARGRI
    Édouard Frédéric-Dupont Chambre des députés Seine Fédération républicaine
    Pierre Dupuy Chambre des députés Établissements français de l'Inde ARGRI
    Augustin Dutertre de La Coudre Chambre des députés Loire-Inférieure Fédération républicaine
    Henri Elby Sénat Pas-de-Calais Union démocratique et radicale
    Charles Elsaesser Chambre des députés Bas-Rhin IAP
    Georges Escande Sénat Lot-et-Garonne Gauche démocratique
    Marius Escartefigue Chambre des députés Var GDRI
    Ernest Esparbès Chambre des députés Haute-Garonne SFIO
    Pierre Even Sénat Côtes-du-Nord Gauche démocratique
    Laurent Eynac Sénat Haute-Loire Gauche démocratique
    François Eynard Sénat Drôme Gauche démocratique
    Ulysse Fabre Sénat Vaucluse Gauche démocratique
    Jean Fabry Sénat Doubs Union républicaine
    André Fallières Sénat Lot-et-Garonne Gauche démocratique
    Roger Farjon Sénat Pas-de-Calais Union républicaine
    Maxime Fauchon Chambre des députés Manche RIAS
    Joseph Féga Chambre des députés Haut-Rhin ARGRI
    Raymond Férin Chambre des députés Marne Parti radical
    Jean Fernand-Laurent Chambre des députés Seine Indépendants républicains
    Camille Ferrand Sénat Creuse Gauche démocratique
    André Février Chambre des députés Rhône SFIO
    Eugène Fiancette Sénat Seine Gauche démocratique
    Louis Fieu Chambre des députés Tarn SFIO
    Henri Fiori Chambre des députés Algérie USR
    Pierre-Étienne Flandin Chambre des députés Yonne ARGRI
    René Fontanille Sénat Lot Gauche démocratique
    Albert Fouilloux Sénat Ain Gauche démocratique
    Achille-Armand Fould Chambre des députés Hautes-Pyrénées ARGRI
    Manuel Fourcade Sénat Hautes-Pyrénées Union républicaine
    François Fourcault de Pavant Chambre des députés Seine-et-Oise RIAS
    Gustave Fourment Sénat Var Gauche démocratique
    Jules Fourrier Chambre des députés Seine UPF
    Ernest de Framond de La Framondie Chambre des députés Lozère Fédération républicaine
    Toussaint Franchi Chambre des députés Bouches-du-Rhône SFIO
    Jean Froget Sénat Rhône Gauche démocratique
    Ludovic-Oscar Frossard Chambre des députés Haute-Saône Non inscrit
    Eugène Frot Chambre des députés Loiret USR
    Édouard Fuchs Chambre des députés Haut-Rhin IAP
    Félix Gadaud Sénat Dordogne Gauche démocratique
    Louis Gaillemin Sénat Vosges Union républicaine
    Lucien Galimand Chambre des députés Seine-Inférieure Parti radical
    Antoine Gallet Chambre des députés Ain GDRI
    Jean Gapiand Chambre des députés Loire Non inscrit
    Jean Garchery Chambre des députés Seine SFIO
    Abel Gardey Sénat Gers Gauche démocratique
    Louis Gardiol Chambre des députés Basses-Alpes SFIO
    Louis Garrigou Sénat Lot Gauche démocratique
    Alphonse Gasnier-Duparc Sénat Ille-et-Vilaine Gauche démocratique
    Lucien Gasparin Chambre des députés Réunion Radical
    Gaston Gérard Chambre des députés Côte-d'Or GDRI
    Pierre-Marie Gaurand Chambre des députés Loire ARGRI
    Gustave Gautherot Sénat Loire-Inférieure ANRS
    Fernand Gautier Sénat Indre Gauche démocratique
    Émile Gellié Chambre des députés Gironde GDRI
    Fernand Gentin Chambre des députés Aube Parti radical
    André Genty Chambre des députés Seine-Inférieure Agraire indépendant
    Henri Gérente Chambre des députés Haute-Savoie Non inscrit
    Paul Germain Sénat Indre-et-Loire Gauche démocratique
    Raymond Gernez Chambre des députés Nord SFIO
    Pierre Gillet Chambre des députés Morbihan Agraire indépendant
    Jean Ginet Chambre des députés Isère Parti radical
    Fernand Girault Chambre des députés Loire ARGRI
    André Goirand Sénat Deux-Sèvres Gauche démocratique
    René Gounin Sénat Charente Gauche démocratique
    Paul Goussu Chambre des députés Sarthe PDP
    Jean Goy Chambre des députés Calvados GDRI
    Arsène Gros Chambre des députés Jura SFIO
    Charles Guernier Chambre des députés Ille-et-Vilaine Non inscrit
    Marcel Guerret Chambre des députés Tarn-et-Garonne SFIO
    Louis Guichard Chambre des députés Vaucluse Parti radical
    Abel Guidet Chambre des députés Pas-de-Calais Parti radical
    Jacques Guilhem Sénat Aude Gauche démocratique
    Joseph Gullung Chambre des députés Haut-Rhin IAP
    Louis Guyonnet Sénat Isère Gauche démocratique
    Edmond Hannotin Sénat Ardennes Union démocratique et radicale
    Charles d'Harcourt Sénat Calvados Union républicaine
    Joseph Harent Sénat Somme Non inscrit
    Paul Harter Chambre des députés Moselle IAP
    Charles Hartmann Chambre des députés Haut-Rhin IAP
    Jean Hay Chambre des députés Charente-Inférieure Parti radical
    François Halna du Fretay Sénat Finistère Union républicaine
    Arthur Heid Chambre des députés Moselle IAP
    Philippe Henriot Chambre des députés Gironde Fédération républicaine
    Gaston Henry-Haye Sénat Seine-et-Oise Non inscrit
    Marcel Héraud Chambre des députés Seine RIAS
    Yves Hervé Chambre des députés Côtes-du-Nord RIAS
    Max Hymans Chambre des députés Indre USR
    Charles des Isnards Chambre des députés Seine Fédération républicaine
    Paul Jacquier Sénat Haute-Savoie Gauche démocratique
    Jean Jacquy Sénat Marne Non inscrit
    Robert Jardillier Chambre des députés Côte-d'Or SFIO
    André Join-Lambert Sénat Eure Union républicaine
    François Joly Chambre des députés Ille-et-Vilaine RIAS
    Prosper Josse Sénat Eure ANRS
    Paul Jourdain Sénat Haut-Rhin Union démocratique et radicale
    Jacques de Juigné Sénat Loire-Inférieure Non inscrit
    Edgar de Kergariou Sénat Côtes-du-Nord Union démocratique et radicale
    Ernest Labbé Sénat Ardennes Union démocratique et radicale
    Raymond Lachal Chambre des députés Puy-de-Dôme ARGRI
    Guy La Chambre Chambre des députés Ille-et-Vilaine Parti radical
    Gabriel Lafaye Chambre des députés Gironde USR
    Henri de La Ferronnays Chambre des députés Loire-Inférieure Non inscrit
    Paul Laffont Sénat Ariège Gauche démocratique
    Paul Lambin Chambre des députés Aisne SFIO
    Lucien Lamoureux Chambre des députés Allier Parti radical
    Ferdinand Lancien Sénat Finistère Gauche démocratique
    Joseph Laniel Chambre des députés Calvados ARGRI
    Ernest Laroche Chambre des députés Puy-de-Dôme SFIO
    Henri Laudier Sénat Cher Gauche démocratique
    Jean Raymond-Laurent Chambre des députés Loire PDP
    Pierre Lautier Sénat Ardèche Union républicaine
    Pierre Laval Sénat Puy-de-Dôme Non inscrit
    Fernand Lavergne Sénat Tarn Gauche démocratique
    André Lavoinne Sénat Seine-Inférieure Union républicaine
    André Lebert Sénat Sarthe Union démocratique et radicale
    Edmond Leblanc Sénat Mayenne Union républicaine
    Marcel Lebœuf Sénat Nièvre Union démocratique et radicale
    René Lebret Chambre des députés Seine-Inférieure USR
    Jean Le Cour Grandmaison Chambre des députés Loire-Inférieure Non inscrit
    Henri Léculier Sénat Jura Gauche démocratique
    Ferdinand Ledoux Chambre des députés Ardennes Parti radical
    Alexandre Lefas Sénat Ille-et-Vilaine Union républicaine
    Edmond Lefebvre du Prey Sénat Pas-de-Calais Union républicaine
    Roger Lefèvre Chambre des députés Charente-Inférieure SFIO
    Firmin Leguet Sénat Ardennes Union démocratique et radicale
    Olivier Le Jeune Sénat Finistère Non inscrit
    Jean Lemaistre Sénat Ille-et-Vilaine Gauche démocratique
    Philippe Le Maux Chambre des députés Côtes-du-Nord SFIO
    Henry Lémery Sénat Martinique Non inscrit
    Eugène Le Moignic Sénat Compagnie des Indes françaises Gauche démocratique
    Étienne Le Poullen Chambre des députés Ille-et-Vilaine Fédération républicaine
    Eugène Le Roux Chambre des députés Loire-Inférieure SFIO
    Samuel de Lestapis Chambre des députés Basses-Pyrénées ARGRI
    Jean de Leusse Sénat Bas-Rhin Union républicaine
    Luc Levesque Chambre des députés Vienne GDRI
    Moïse Lévy Sénat Haute-Saône Gauche démocratique
    Louis L'Hévéder Chambre des députés Morbihan SFIO
    André Liautey Chambre des députés Haute-Saône Parti radical
    Louis Linÿer Sénat Loire-Inférieure ANRS
    Jean Lissar Sénat Basses-Pyrénées Union républicaine
    Pierre Lohéac Chambre des députés Finistère RIAS
    Pierre Loubat Sénat Tarn Gauche démocratique
    Joseph Loubet Sénat Lot Gauche démocratique
    Louis Louis-Dreyfus Sénat Alpes-Maritimes Non inscrit
    Victor Lourties Sénat Landes Gauche démocratique
    Octave Lucas Chambre des députés Manche Fédération républicaine
    Albert Lucchini Chambre des députés Bouches-du-Rhône SFIO
    Clovis Macouin Chambre des députés Deux-Sèvres Fédération républicaine
    Marius Maffray Chambre des députés Indre-et-Loire SFIO
    Albert Mahieu Sénat Nord Union démocratique et radicale
    Moïse Majurel Chambre des députés Hérault SFIO
    André Mallarmé Sénat Alger Non inscrit
    Émile Malon Chambre des députés Manche Non inscrit
    Ernest Malric Chambre des députés Tarn Parti radical
    Louis-Jean Malvy Chambre des députés Lot Parti radical
    Anatole Manceau Sénat Maine-et-Loire Union républicaine
    Paul Marchandeau Chambre des députés Marne Parti radical
    Léon Marescaux Chambre des députés Nord GDRI
    Jean Maroger Sénat Aveyron Union républicaine
    André Maroselli Sénat Haute-Saône Gauche démocratique
    Adrien Marquet Chambre des députés Gironde Non inscrit
    Louis Martel Chambre des députés Haute-Savoie PDP
    François Martin Chambre des députés Aveyron Fédération républicaine
    Henri Martin Chambre des députés Marne SFIO
    Raymond Martin Sénat Haute-Marne Gauche démocratique
    Pierre Masse Sénat Hérault Gauche démocratique
    Émile Massé Chambre des députés Puy-de-Dôme Parti radical
    Joseph Massé Chambre des députés Cher IURN
    Marcel Massot Chambre des députés Basses-Alpes Parti radical
    Jacques Masteau Chambre des députés Vienne GDRI
    Pierre Mathé Chambre des députés Côte-d'Or Agraire indépendant
    Albert Mauguière Chambre des députés Haute-Saône Parti radical
    Paul Maulion Sénat Morbihan Gauche démocratique
    Henri Maupoil Sénat Saône-et-Loire Gauche démocratique
    Georges Maurice Sénat Vienne Gauche démocratique
    Henri Meck Chambre des députés Bas-Rhin IAP
    Jean Médecin Sénat Alpes-Maritimes Non inscrit
    André Mellenne Chambre des députés Oise Parti radical
    Georges Ménier Chambre des députés Charente Parti radical
    Albert Mennecier Chambre des députés Aisne SFIO
    Henry Merlin Sénat Marne Gauche démocratique
    Léon Meyer Chambre des députés Seine-Inférieure Parti radical
    Jean Michard-Pellissier Chambre des députés Hautes-Alpes Gauche indépendante
    Augustin Michel Chambre des députés Haute-Loire Fédération républicaine
    Pierre Michel Sénat Côtes-du-Nord Gauche démocratique
    Edmond Miellet Chambre des députés Territoire de Belfort Parti radical
    François Milan Sénat Savoie Gauche démocratique
    Eugène Milliès-Lacroix Sénat Landes Gauche démocratique
    Georges Millin de Grandmaison Sénat Maine-et-Loire Union républicaine
    Robert Millin de Grandmaison Chambre des députés Maine-et-Loire RIAS
    Émile Mireaux Sénat Hautes-Pyrénées Union démocratique et radicale
    Jean Mistler Chambre des députés Aude Parti radical
    Jules Mitton Chambre des députés Eure-et-Loir Parti radical
    Maurice Mollard Sénat Savoie Gauche démocratique
    Édouard Moncelle Chambre des députés Moselle Indépendants républicains
    Louis Monfort Chambre des députés Finistère Non inscrit
    Fernand Monsacré Sénat Aube Non inscrit
    Joseph Monsservin Sénat Aveyron Union républicaine
    Hubert de Montaigu Chambre des députés Loire-Inférieure Fédération républicaine
    Geoffroy de Montalembert Chambre des députés Seine-Inférieure Non inscrit
    Jean Montigny Chambre des députés Sarthe GDRI
    Anatole de Monzie Chambre des députés Lot USR
    Paul Morane Chambre des députés Côtes-du-Nord RIAS
    Gaston Moreau Chambre des députés Maine-et-Loire ARGRI
    Ferdinand Morin Chambre des députés Indre-et-Loire SFIO
    Louis Mourier Sénat Gard Gauche démocratique
    Eugène Muller Sénat Bas-Rhin ANRS
    Auguste Muret Chambre des députés Hautes-Alpes SFIO
    Louis Nachon Chambre des députés Jura GDRI
    Hervé Nader Chambre des députés Finistère RIAS
    André Naphle Chambre des députés Gironde SFIO
    Achille Naudin Sénat Nièvre Union démocratique et radicale
    Raoul Naudin Chambre des députés Nièvre Parti radical
    Édouard Néron Sénat Haute-Loire ANRS
    Jean Neyret Sénat Loire Union démocratique et radicale
    Jean Niel Chambre des députés Aveyron Indépendants républicains
    Georges Nouelle Chambre des députés Saône-et-Loire SFIO
    Alfred Oberkirch Chambre des députés Bas-Rhin Fédération républicaine
    Albert Ouvré Sénat Seine-et-Marne Non inscrit
    Auguste Pageot Chambre des députés Loire-Inférieure SFIO
    Maurice Palmade Sénat Charente-Inférieure Gauche démocratique
    Édouard Pascaud Chambre des députés Charente Parti radical
    Henri Patizel Sénat Marne Gauche démocratique
    Albert Paulin Chambre des députés Puy-de-Dôme SFIO
    Henri de Pavin de Lafarge Sénat Ardèche Union républicaine
    Eugène-Gaston Pébellier Chambre des députés Haute-Loire RIAS
    René Pécherot Chambre des députés Drôme Parti radical
    François Peissel Chambre des députés Rhône RIAS
    Léon Pellé Chambre des députés Loiret Indépendants républicains
    Jean Pelletier Sénat Saône-et-Loire Gauche démocratique
    Henri Perdrix Sénat Drôme Gauche démocratique
    Émile Périn Chambre des députés Nièvre PUP
    Georges Pernot Sénat Doubs Union républicaine
    Pierre Perreau-Pradier Chambre des députés Yonne ARGRI
    Émile Perrein Chambre des députés Maine-et-Loire Parti radical
    Julien Peschadour Chambre des députés Corrèze SFIO
    Maurice Petsche Chambre des députés Hautes-Alpes GDRI
    François Peugeot Chambre des députés Doubs GDRI
    Albert Peyronnet Sénat Allier Gauche démocratique
    Ernest Pezet Chambre des députés Morbihan PDP
    Pierre Pichery Sénat Loir-et-Cher Non inscrit
    François Piétri Chambre des députés Corse ARGRI
    Armand Pillot Chambre des députés Seine Groupe ouvrier et paysan français (ex-communiste)
    Étienne Pinault Chambre des députés Ille-et-Vilaine PDP
    Antoine Pinay Sénat Loire Union démocratique et radicale
    Noël Pinelli Chambre des députés Seine Indépendants républicains
    François Pitti-Ferrandi Sénat Corse Gauche démocratique
    Camille Planche Chambre des députés Allier SFIO
    Jean-Pierre Plichon Chambre des députés Nord RIAS
    Adolphe Pointaire Sénat Jura Gauche démocratique
    Jacques Poitou-Duplessy Chambre des députés Charente Fédération républicaine
    Lucien Polimann Chambre des députés Meuse RIAS
    Charles Pomaret Chambre des députés Lozère USR
    Henry Ponsard Chambre des députés Bouches-du-Rhône RIAS
    Georges Portmann Sénat Gironde Non inscrit
    Georges Potut Chambre des députés Nièvre Parti radical
    Léopold Presseq Sénat Tarn-et-Garonne Gauche démocratique
    André Pringolliet Chambre des députés Savoie USR
    Gaston Provost-Dumarchais Sénat Nièvre Union républicaine
    Jacques Queinnec Sénat Finistère Union républicaine
    Jean Quenette Chambre des députés Meurthe-et-Moselle RIAS
    Aimé Quinson Chambre des députés Ain SFIO
    Jules Radulph Chambre des députés Calvados Agraire indépendant
    Louis Rambaud Sénat Vendée ANRS
    Joseph Ranquet Chambre des députés Gard Parti radical
    Lucien Raux Chambre des députés Nord UPF
    Alexandre Rauzy Chambre des députés Ariège SFIO
    Joannès Ravanat Chambre des députés Isère SFIO
    André Ray Chambre des députés Isère Parti radical
    Clément Raynaud Sénat Aude Gauche démocratique
    Marcel Régis Chambre des députés Algérie SFIO
    Charles Reibel Sénat Seine-et-Oise Union républicaine
    François Reille-Soult Chambre des députés Tarn PDP
    Paul Richard Chambre des députés Rhône Fédération républicaine
    Camille Riffaterre Chambre des députés Creuse SFIO
    Henri Rillart de Verneuil Sénat Aisne ANRS
    Alphonse Rio Sénat Morbihan Gauche démocratique
    Gaston Riou Chambre des députés Ardèche Parti radical
    Paul Rives Chambre des députés Allier SFIO
    Albert Rivière Chambre des députés Creuse SFIO
    Fernand Robbe Chambre des députés Seine-et-Oise Parti radical
    Léopold Robert Sénat Vendée ANRS
    Maurice Robert Chambre des députés Aube Parti radical
    Camille de Rocca Serra Chambre des députés Corse ARGRI
    Victor Rochereau Chambre des députés Vendée Indépendants républicains
    Gaston Rogé Sénat Meurthe-et-Moselle Union républicaine
    Maxence Roldes Chambre des députés Yonne SFIO
    Louis Rollin Chambre des députés Seine ARGRI
    René Rollin Chambre des députés Haute-Marne Parti radical
    Vincent Rotinat Chambre des députés Indre Parti radical
    Guillaume des Rotours Sénat Nord Union démocratique et radicale
    Fernand Roucayrol Chambre des députés Hérault SFIO
    Hubert Rouger Chambre des députés Gard SFIO
    Georges Henri Roulleaux-Dugage Chambre des députés Orne Fédération républicaine
    Jean Roumajon Chambre des députés Corrèze SFIO
    Édouard Roussel Sénat Nord Union démocratique et radicale
    Émile Roussel Sénat Aisne ANRS
    Marius Roustan Sénat Hérault Gauche démocratique
    François Roux Chambre des députés Saône-et-Loire SFIO
    Henri Roy Sénat Loiret Gauche démocratique
    Félix Rozier Sénat Drôme Gauche démocratique
    François de Saint-Just Chambre des députés Pas-de-Calais Fédération républicaine
    Henri de Saint-Pern Chambre des députés Maine-et-Loire Fédération républicaine
    Charles Saint-Venant Chambre des députés Nord SFIO
    Henri Salengro Chambre des députés Nord SFIO
    Albert Sarraut Sénat Aude Gauche démocratique
    Maurice Satineau Chambre des députés Guadeloupe Union républicaine et sociale
    François Saudubray Chambre des députés Sarthe PDP
    Paul Saurin Chambre des députés Algérie GDRI
    Georges Scapini Chambre des députés Seine Indépendants républicains
    Abraham Schrameck Sénat Bouches-du-Rhône Gauche démocratique
    Robert Schuman Chambre des députés Moselle PDP
    James Sclafer Sénat Charente-Inférieure Gauche démocratique
    Louis Sellier Chambre des députés Seine PUP
    Thomas Seltz Chambre des députés Bas-Rhin IAP
    Pierre Sérandour Chambre des députés Côtes-du-Nord Parti radical
    Joseph Serlin Sénat Isère Gauche démocratique
    Robert Sérot Chambre des députés Moselle RIAS
    Louis Sibué Chambre des députés Savoie SFIO
    Léon Silvestre Chambre des députés Gard SFIO
    Léon Sireyjol Sénat Dordogne Gauche démocratique
    Daniel Soula Chambre des députés Ariège SFIO
    Charles Spinasse Chambre des députés Corrèze SFIO
    Raymond Susset Chambre des députés Seine USR
    Pierre Taittinger Chambre des députés Seine Fédération républicaine
    Fernand Talandier Chambre des députés Cantal GDRI
    Henri Tasso Sénat Bouches-du-Rhône SFIO
    Émile Taudière Chambre des députés Deux-Sèvres RIAS
    Jean Taurines Sénat Loire Union démocratique et radicale
    Emmanuel Temple Chambre des députés Aveyron Fédération républicaine
    François de Tessan Chambre des députés Seine-et-Marne Parti radical
    Georges Tessier Chambre des députés Haute-Vienne SFIO
    Paul Thellier Chambre des députés Pas-de-Calais ARGRI
    Alphonse Thibon Chambre des députés Ardèche Fédération républicaine
    Maurice Thiéfaine Chambre des députés Loire-Inférieure SFIO
    Maurice Thiolas Chambre des députés Haute-Loire SFIO
    Charles Thonon Chambre des députés Seine-et-Oise SFIO
    René Thorp Chambre des députés Gironde Parti radical
    Robert Thoumyre Sénat Seine-Inférieure Union républicaine
    Jean Thureau-Dangin Sénat Seine-Inférieure Union républicaine
    Jean du Tinguy du Pouët Chambre des députés Vendée RIAS
    Jean-Louis Tixier-Vignancour Chambre des députés Basses-Pyrénées Non inscrit
    Maurice Toy-Riont Sénat Hautes-Alpes Union républicaine
    Aimé Tranchand Chambre des députés Vienne GDRI
    Firmin Tristan Chambre des députés Morbihan GDRI
    Henry Turlier Sénat Saône-et-Loire Gauche démocratique
    Georges Ulmo Sénat Haute-Marne Gauche démocratique
    Pierre Vaillandet Chambre des députés Vaucluse SFIO
    Jean Valadier Sénat Eure-et-Loir Gauche démocratique
    Fernand Valat Chambre des députés Gard Communiste (non déchu de son mandat)
    François Valentin Chambre des députés Meurthe-et-Moselle Fédération républicaine
    Sabinus Valière Chambre des députés Haute-Vienne SFIO
    Xavier Vallat Chambre des députés Ardèche Fédération républicaine
    Pierre Vallette-Viallard Chambre des députés Ardèche Fédération républicaine
    Charles Vallin Chambre des députés Seine Parti social français
    Roger Vantielcke Chambre des députés Pas-de-Calais SFIO
    Marcel Vardelle Chambre des députés Haute-Vienne SFIO
    Léon Vaur Chambre des députés Manche PDP
    Gaston Veyssière Sénat Seine-Inférieure Union républicaine
    Louis Viellard Sénat Territoire de Belfort Union républicaine
    Jean Villault-Duchesnois Sénat Manche Union républicaine
    Antoine Villedieu Chambre des députés Puy-de-Dôme SFIO
    Adolphe Vincent Chambre des députés Pas-de-Calais ARGRI
    Émile Vincent Sénat Côte-d'Or Non inscrit
    Maurice Voirin Chambre des députés Ardennes SFIO
    Michel Walter Chambre des députés Bas-Rhin IAP
    Alphonse Warusfel Sénat Oise Union démocratique et radicale
    Guy de Wendel Sénat Moselle Union républicaine
    Jean Ybarnégaray Chambre des députés Basses-Pyrénées Parti social français
    Ils ont vendu la France au Nazis en 1940 et maintenant ils la vendent à Bruxelle et aux financiers européens



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  • Polémique autour d’une « quenelle » sur des bouteilles de vin de Beaujolais

    C’est maintenant un producteur de Beaujolais qui est touché par la polémique de la « quenelle ».

    Ce dernier avait répondu il y a quelques semaines à une commande de bouteilles de vin, avec, sur l’étiquette, un personnage faisant ce geste controversé. Dans Le Progrès , le viticulteur assure qu’il n’avait « aucune idée de la signification de la quenelle » lorsque son client avait passé cette commande. Il pensait même Hebergeur d'imageque ce geste faisait « référence à Coluche ». [...]

    Morandini


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  • http://youtu.be/9j1zK-5NyuA

    Associations catholiques et députés dénoncent la reprise de cette théorie dans des manuels scolaires.

    La question est en passe de devenir la polémique de cette rentrée scolaire. A six jours de la reprise des cours, les pétitions demandant le retrait de deux manuels de biologie de classe de première s’entassent sur le bureau de ministre de l’Education nationale. 35.000 signataires ont déjà paraphé la pétition pour "l’école de la République" et 80 députés de la Droite populaire et de l’UMP ont écrit, mardi, à Luc Chatel, l’exortant à retirer ces deux ouvrages scolaires qui reprennent la théorie du genre dans leur chapitre sur Devenir homme ou femme. Europe1.fr vous résume le débat autour de cette théorie.

    L’hétérosexualité, une construction sociale

    Cette théorie du genre ou "gender" est apparue, dans les années 1970 aux Etats-Unis, notamment sous la plume de Judith Butler. Son livre intitulé Trouble dans le genre - Pour un féminisme de la subversion a été traduit en français en 2005.

    Selon l’auteure, la distinction entre homme et femme, ainsi que l’hétérosexualité, est avant tout une construction sociale et culturelle. En somme, au delà des seules différences biologiques, il existe des interactions psychiques données par l’entourage ou la société dans le but d’assigner des rôles à chacun.

    Cette théorie est reprise, à demi-mot, dans une circulaire du 30 septembre 2010 du ministère de l'Education nationale. Selon cette dernière, le chapitre intitulé "Devenir homme ou femme", au programme pour l’année 2011-2012, doit "affirmer que si l'identité sexuelle et les rôles sexuels dans la société avec leurs stéréotypes appartiennent à la sphère publique, l'orientation sexuelle fait partie, elle, de la sphère privée".

    Colère des associations catholiques

    Les maisons d'édition ont évoqué selon des modalités variées ce chapitre. Ainsi "l'identité sexuelle est la perception subjective que l'on a de son propre sexe et de son orientation sexuelle (...). Seul le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou féminin", écrit Hachette tandis que chez Bordas, on peut lire : "L'identité sexuelle est le fait de se sentir totalement homme ou femme. Cette identité dépend, d'une part, du genre conféré à la naissance, d'autre part, du conditionnement social (...). L'identité sexuelle se réfère au genre sous lequel une personne est socialement reconnue."

    Des versions, qui ont agacé les dirigeants de l'enseignement catholique dès réception des ouvrages. Dans leur sillage, plusieurs associations catholiques, relayées par Christine Boutin , présidente du Parti Chrétien-Démocrate, ont donc demandé à Luc Chatel, d'apporter des "correctifs" ou - de manière plus définitive encore- d'"interdire l'usage des manuels incriminés".

    Soutiens chez les enseignants

    Cette opinion n’est toutefois pas partagée, chez les enseignants, par le syndicat Snes-FSU qui dénonce une "croisade contre l'homosexualité". Même son de cloche chez l'UNSA Education, pour qui "les Eglises n'ont pas à donner leur avis sur des programmes scolaires qui visent à la formation de citoyens et non de croyants, sauf à vouloir défaire la loi de la séparation des Eglises et de l'Etat".

    Soulignant que les personnels scolaires sont "confrontés au désarroi de jeunes en difficulté avec leur orientation sexuelle", le Groupe national information et éducation sexuelle (Gnies, réunissant notamment des professeurs de biologie) s’est lui aussi félicité que cette question soit abordée en classe.

    Le gouvernement ne pourra plus nier ces tentatives de destructuration familiales et sexuelles

     lundi 3 février, l’émission mots croisés proposait sur France 2 un débat le ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici et Marine Le Pen, présidente du Front National. Le cœur de la discussion, bien évidemment, reposait sur l’existence même de l’euro
    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/debat-marine-pen-pierre-moscovici-t-encore-quelqu-pour-defendre-euro-nicolas-goetzmann-972079.html#mptuKKfTqHVYtgak.99

    Dans cette émission le journaliste Yves Calvi alla même jusqu'à demander à Marine le Pen le nom des écoles ou était diffuser les publications sur la Théorie du Genre. Après l'incapacité des ministres vincent Peillon à l'éducation, Pierre Moscovici à l'économie, la méconnaissance de l'information par un journaliste .

    Sommes nous entourés que d'incompétents ?



    Non, Monsieur Ayrault, la théorie du genre n... par Obsgender


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  •  

    Bloc Identitaire Bloc Identitaire
    Bloc Identitaire Communiqué du lundi 3 février 2014
    Bloc Identitaire

    Le Bloc Identitaire salue le succès de la Manif Pour Tous !

     

    Avec 500 000 personnes rassemblées à Paris, 40 000 à Lyon et plusieurs milliers dans toute l’Europe, la « Manif Pour Tous » du 2 février 2014 a été un indéniable et franc succès.

     

    Les militants du Bloc Identitaire et de Génération Identitaire ont comme d’habitude été nombreux dans les rangs des défilés parisien et lyonnais.

     

    Nous saluons en particulier la dimension européenne assumée donnée à cette Manif Pour Tous, qui confirme le caractère civilisationnel de notre combat pour la défense de la famille comme socle de l’identité.

     

    Nous saluons également l’excellent esprit dans lequel s’est déroulée la manifestation, sans aucun incident à déplorer. Cela n’est que comme cela, sans répondre aux provocations et à l’atmosphère de tension (près de 2500 représentants des forces de l’ordre mobilisés, hélicoptères survolant les cortèges etc.) entretenue par Manuel Valls et sa communication délirante, qu’avancera notre cause.

     

    La France Normale peut donc se féliciter de cette belle démonstration de force – sans haine ni violence et loin des caricatures néfastes - face à ceux qui s’acharnent à saper un par un nos repères identitaires.

    Retrouvez le Bloc Identitaire sur le web | sur Facebook | sur Twitter 
    ou bien encore par mail à info@bloc-identitaire.com , ou par téléphone au 09 75 41 63 22.
    Bloc Identitaire 
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  • La progression de l’islam que je constate, tous les jours en France, me rappelle trop ce que j’ai vécu en Iran dans mon enfance.

    Je suis née en Iran, et j’avais 12 ans, en 1979, quand les ayatollahs ont pris le pouvoir. Je suis à présent française, et j’exprime, chaque fois que je le peux, mon amour de ce pays, de son peuple, qui a souvent montré aux autres le chemin de la liberté.

    Je suis arrivée en France en 1985, j’avais 17 ans, et je redécouvrais le plaisir de ne plus porter ce voile qu’on m’imposait depuis 6 ans. Mes parents et moi n’avons jamais formulé la moindre récrimination, mais seulement des remerciements à ce magnifique pays, qui nous faisait l’honneur de nous accueillir.

    Pour moi, la France, c’est aussi la beauté et la richesse de sa langue, et l’unité de sa République. Ma vision, c’est qu’un Breton se sente chez lui en Alsace, un Marseillais chez lui à Lille, un Basque chez lui dans le Jura, et qu’une Française née en Iran se sente chez elle partout dans l’Hexagone. Cela grâce, entre autres, à l’unité de la langue française sur l’ensemble du territoire.

    C’est pourquoi, quand je vois une banderole, en tête de la Manif pour tous, avec ces mots, écrits en français et en arabe : « Les Français musulmans disent non au mariage homosexuel », je suis indignée à plusieurs titres.

    Je le suis d’abord par le bilinguisme, dans un contexte où ce gouvernement, en préparant la ratification des langues régionales et minoritaires, veut, pour complaire à l’Union européenne, faire éclater le socle républicain, dont l’unité linguistique est un pilier. Certains régionalistes en seront ravis. Mais il faut être bien aveugle pour ne pas penser que l’arabe sera de plus en plus la deuxième langue dans certains départements français.

    Quand je vois des tracts syndicaux ou politiques, voire des textes administratifs rédigés en arabe, je me dis qu’on est bien loin du témoignage du regretté Cavanna qui, dans ses livres, nous racontait que ses parents italiens lui interdisaient de parler leur langue dans la rue et lui imposaient le français. C’était cela, l’assimilation, et c’est ce qui a marché en France pour réussir à intégrer des strates de différentes immigrations, dont j’ai eu l’honneur de faire partie.

    Je suis également indignée, en tant que femme, par cette banderole. Quelle crédibilité accorder, pour défendre la famille, à des personnes qui n’ont jamais condamné le mariage polygame, souvent imposé à des mineures ? Ces Français musulmans défendent donc les prérogatives de la famille musulmane, où l’homosexualité n’est pas tolérée, et absolument pas la conception de la famille française, d’une grande tolérance sur cette question.

    Mais le pire n’est pas là. J’ai vécu l’enfer que les islamistes ont fait subir au peuple iranien. Je n’oublierai jamais cette Gardienne de la révolution qui, avec une punaise, a planté sur le front de mon amie un voile qui tenait mal. J’ai encore en tête des centaines de scènes de cauchemar, comme ce hammam réservé aux seules femmes, bombardé lors de la guerre Iran-Irak. Elles étaient encore vivantes et criaient sous les décombres. Les islamistes, plutôt que de les secourir, ont fait recouvrir le bâtiment par les pelleteuses, pour que les voisins ne voient pas des créatures impures et indécentes apparaître.

    Alors, quand je vois des chrétiens français suffisamment candides pour laisser des musulmans, dont je connais les objectifs, prendre la tête d’une manifestation, je l’avoue, mon inquiétude est grande. Croient-ils vraiment, sous prétexte que des musulmans protestent contre le mariage pour tous, ou contre la théorie du genre, qu’ils sont – comme le disait Frigide Barjot au congrès de l’UOIF – l’espérance des Français ?

    Mes amis catholiques me font penser à ces gens de gauche qui, il y a 35 ans, collaboraient avec l’ayatollah Khomeiny pour faire partir le shah. La plupart ont été exécutés, quand la victoire de la Révolution islamique était assurée. Je crois savoir de quoi je parle, et la progression de l’islam que je constate, tous les jours en France – et cette banderole me le confirme —, me rappelle trop ce que j’ai vécu en Iran dans mon enfance.

    J’étais justement venue en France pour ne plus connaître cela…

    Ces musulmans n'avaient pas lieu de défiler avec des personnes revendiquant la Famille traditionnelle mais acceptant que l'on peut être différents . Ces disciples de mahomet eux revendiquent , non pas un papa et une maman mais un papa et plusieurs mamans , quand aux personnes différentes au sexe ambigus: ils les pendent ou les égorgent; Nous n'avons pas les mêmes valeurs .


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  • A tous ceux qui profitent de ce système et à tous ceux qui les approuvent ou soutiennent,
    Allez, bon courage aux TRAVAILLEURS... Français... 
    pensez-y en allant voter c'est bientôt 

    L'histoire vraie de ce pauvre Mohamed !

    Seul avantage quand il change de femme... il garde la même photo...
    M.MOHAMED a honnêtement déclaré à la Préfecture son statut : musulman, il a deux femmes...
    La Préfecture d’Évry a accepté (grâce au regroupement familial) que sa première femme - légitime -

    le rejoigne en France avec ses 8 enfants sans leur délivrer de carte de résidence. Mais il a aussi

    avec une deuxième femme (concubine de nationalité algérienne) 8 autres enfants tous nés en France,

    ils sont donc Français. 
    Du coup, bien que n'ayant pas de papiers, elle ne peut pas être expulsée... 
    A ) ÉTUDE DE LA SITUATION DE LA 1ère ÉPOUSE ( la légitime) :
    Mr MOHAMED et Mme Raïssa n°1 : avec ses 8 enfants :

    1) 978,08 euros d'allocations familiales tous les mois
    2) 2 allocations pour jeune enfant : 323,32 euros
    3) allocation logement : 300 euros
    4) le RMI pour un couple : (626,82 euros) + 8 enfants (1337,20 euros) 
    soit 1 964,02 euros
    5) allocation de rentrée scolaire pour 4 enfants :85,87euros/mois.
    Au total Mr MOHAMED et Mme n°1 touchent :
    Allocations familiales: -------------978,08 euros 
    A.P.J.E.:------------------------------- 323,32 euros.
    Allocation logement :-------------- 300,00 euros 
    RMI : ----------------------------------1964,02 euros.
    Allocation de rentrée scolaire:---- 85,87 euros.

    Soit un total mensuel de:-------- 3651,29 euros 

    B) ÉTUDE DE LA SITUATION DE LA 2ème ÉPOUSE (concubine) : 

    Cette deuxième femme n'est, en fait, pas une épouse en droit Français,
    elle est considérée par la C.A .F...
    Comme un "parent isolé"! 
    Elle touche donc :
    1) l’API qui s'élève à 707,19 euros pour un parent seul avec 1 enfant auquel on ajoute

    176,80 eurospar enfant supplémentaire (7 x 176,80 euros en plus). 
    Soit un total de 1944.79 euros
    2) Toujours pour ses 8 enfants elle touche chaque mois en plus : 978,euros
    d'allocations familiales.
    3) Comme elle a 2 enfants de moins de trois ans, elle a donc droit à l'A.P.J.E : 
    161,66 euros x 2 soit 323,32 euros.4
    4) Comme parent isolé : allocation logement, à la louche plus ou moins 300 Euros.
    5) Avec 8 enfants, elle n'a pas le temps de travailler, d'autant plus que son 
    mari pense qu'il ne faut pas qu'elle travaille avec des hommes, parce qu'elle pourrait
    être tentée par l'adultère... Donc elle touche le RMI soit pour une personne seule 
    417,88 euros + 167,15 euros / enfant. Soit au total 1755,08 euros.
    6) Elle a 4 enfants en âge d'être scolarisés : 
    Allocation de rentrée scolaire soit un montant mensuel de 85,87 euros.
    Ce qui nous fait au total:
    rien que pour Mme MOHAMED n°2, la somme mensuelle de :

    API: ---------------------------------1944.79 euros.
    Allocations familiales:--------- --978,08 euros 
    A.P.J.E.:---------------- ------------323,32 euros.
    Allocation logement :------------300,00 euros
    RMI : ------------------------------1755,08 euros.
    Allocation de rentrée scolaire-- 85,87 euros .
    Soit un total mensuel de:----- 5387,14 euros
    AINSI AU TOTAL TOUS LES MOIS, IL EST VERSE SUR LE COMPTE DE CE PAUVRE M. MOHAMED,

    QUI NE TRAVAILLE PLUS DEPUIS LONGTEMPS, LA MODESTE SOMME DE : 9038,43 euros / mois. 
    Et ce pauvre Monsieur MOHAMED, bien sûr, ne paye pas d'impôts puisqu'il n'a AUCUN REVENU...

    ne paye pas le loyer de son HLM puis qu’avec 16 enfants il ne peut être expulsé, ni la cantine scolaire,

    ni les colonies de vacances, ni... ni... ni.... 

    Alors,....Françaises, Français, Mesdames, Messieurs, méditez, pestez, hurlez... 
    Mais surtout continuez à bosser dur, car il faut payer !!!
    Si vous êtes salarié, RMISTE, chômeur ou retraité ce n'est pas la peine d'aller défiler

    pour avoir un meilleur salaire, allocation ou rente, tout le monde s'en fiche... 

    Ce n'est pas vous qui brûlez les voitures donc vous n'effrayez personne 

    (ce sont les enfants de MOHAMED qui les brûlent !)

    Et, il n'est pas tout seul dans ce cas ce pauvre Mohamed qui n'a pas de travail !!!!!
    Pensez à lui et à tous ces pauvres malheureux dans son cas.....

    Faites suivre ce message, que les contribuables de la France entière et donc,

    les futurs électeurs le sachent bien.

    Les droits d'l'homme qui z'appellent ça... Tous égaux... enfin presque... 
    ELLE N'EST PAS BELLE LA FRANCE ?


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  • Salsa du Peillon

    00:04:12
    Ajoutée le 01/02/2014


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  • Agde : plusieurs voitures incendiées dans un parking souterrain

    Un incendie s'est déclaré aux alentours de 2 h dans le parking souterrain des Halles.
    Un incendie s'est déclaré aux alentours de 2 h dans le parking souterrain des Halles. (DR) à AGDE

    Un  incendie s'est déclaré aux alentours de 2 h, dans la nuit de dimanche à lundi, dans le parking souterrain des Halles à Agde.

    Plusieurs voitures ont été la proie des flammes cette nuit en centre-ville d'Agde. Il était en effet 2 h du matin quand l'incendie s'est déclaré dans le parking souterrain des Halles. 

    Malgré l'intervention des pompiers, plusieurs voitures ont été entièrement détruites.

    Un braquage dimanche matin

    Dimanche matin, deux hommes, encagoulés, gantés et armés de couteaux ont braqué  le bar PMU "Le Château", également, à Agde, à environ 100 m derrière le commissariat de police. Le butin pourrait s'élevait à 4 000 €.

    Lundi matin, ils étaient nombreux en centre-ville d'Agde à faire le lien entre les deux affaires. Une assertion que les autorités n'ont toutefois pas confirmée.

    Voici une nouvelle méthode de braquage qui va sans aucun doute se généraliser: on occupe les flics sur un site de voitures brûlées et on braque juste à côté du commissaria inoccupé , efficace et sans risque .


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  • Puisque le Peuple vote contre le Gouvernement : Il faut changer le Peuple

    Nos gouvernants semblent ne pas vouloir prendre, depuis près d’une décennie, la mesure de ce qui est en train de se passer dans ce que notre élite autoproclamée désigne, avec une certaine condescendance, les « couches populaires »

    Du haut de leur « olympe », le peuple est souvent assimilé à « la populace », sorte de magma informe toujours prêt à se révolter. Probablement en proie à ce qu’on pourrait désigner sous le nom de « syndrome de Jourdan de Launay »*, ils ne veulent pas entendre la clameur qui monte. Murés dans la certitude que ce peuple, qui ne comprend rien à rien, doit être dirigé par la contrainte et qu’il se rendra compte ensuite seulement de la chance qu’il a eu de voir s’intéresser à son sort des gens qui, préférant renoncer aux carrières miraculeuses auxquelles leur intelligence et leur parcours les prédestinaient, ont sacrifié cet avenir radieux aux dures conditions de la vie sous les lambris dorés de nos ministères



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  • http://youtu.be/eRar7Lc1QB4


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  •  SURPRENANT ET EDIFIANT !!!!! 


     PURE FOLIE LISEZ ET FAITES VOUS VOTRE OPINION 

     Vincent PEILLON a dit " la religion catholique doit disparaitre". Ce dernier, déclare que l'on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique, ainsi que le protestantisme que l'on 

     ne sait pas acclimater. Nous pensons, qu'il a su acclimater l'Islam en France dont il ne parle pas, avec la construction de près de 3.000 mosquées . Par ailleurs, PEILLON se garde bien d'émettre un avis de sa religion le Judaïsme. Son grand-père maternel était le fils ainé du rabbin Félix BLUM (1847-1925). Après de telles déclarations l'on peut comprendre que des Français soient antisémites. 
     
     Qui est Vincent PEILLON ? 


     Issu du côté maternel d'une famille Juive Alsacienne, il est Franc-Maçon comme 95 % du gouvernement AYRAULT. Du Grand Orient de France (qui depuis toujours est orienté à gauche, en 1981 les loges du 
     
     Grand Orient avaient fait circuler le mot d'ordre de voter pour Mitterrand !!). Il est le fils de Gilles PEILLON (1928-2007) banquier et communiste notoire, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors URSS, la Banque Commerciale pour l' Europe du Nord Eurobank qui à travers cette banque, finançait le parti communiste Français. Son père a donc cautionné les 20 millions de morts de la révolution bolchévique de Lénine/Trotski/Staline, et des 100 millions de morts du communisme dans le
     monde, crimes, terreur, répression... la guerre froide, cautionné en 1953 la révolte des Allemands de la RDA, l'invasion de la Hongrie en 1956 et de la Tchécoslovaquie en 1968. A la dissolution de l'URSS et du parti communiste Russe en 1991, l'Union Soviétique devenue la Russie cessa de sponsoriser le PCF. Ses amis Algériens le nommèrent directeur de la banque franco-algérienne "Union méditerranéenne de banque". Nous pensons qu'il fut récompensé comme tous ses frères et sœurs communistes Français d'avoir
     soutenu la rébellion et l'indépendance de l'Algérie pays frère de l'URSS. 
     Vincent PEILLON, élevé aux mamelles du marxisme-léninisme met en pratique ainsi que ses collègues du gouvernement les AYRAULT, CAHUZAC et les autres.. ses frères et sœurs du Grand Orient de France, la citation d'un homme politique célèbre dont je tairais le nom : "Mentez, mentez encore et toujours, il en restera bien quelque chose. Plus un mensonge est gros, plus il a des chances d'être cru"

    Vincent Peillon, ministre de la propagande à l’école

    9 JANVIER 2013 par THIEULLOY (DE) GUILLAUME 

    Vincent Peillon est actuellement l’un des rares ministres « sérieux ». Mais ce sérieux-là n’est guère rassurant, puisque, méthodiquement, notre nouveau ministre de la prétendue « Éducation nationale » (ni nationale, ni éducative), promeut son idéologie, véritablement sectaire (au double sens de fanatique et de contre-religieuse), pour faire de nos enfants de bons petits socialistes.

    Depuis des années, M. Peillon s’est passionné pour l’idéologie des « prophètes » laïcistes, façon Ferdinand Buisson, qui ont transformé les écoles de France en madrassas radical-socialistes – où tout peut être critiqué, sauf la propagande d’État.

    Selon ces hommes, il s’agissait moins d’instruire les enfants, en leur apprenant le sens critique, que de les endoctriner, en les coupant de leurs racines religieuses d’abord, mais aussi familiales et nationales.

    Relisez la déclaration de Vincent Peillon sur la « morale laïque » et vous avez, pratiquement mot pour mot, le même fanatisme :

    « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel. »

    Soi-disant pour permettre la liberté de choix. En réalité, pour en faire un bon petit sujet de la propagande, qu’elle soit propagande d’État ou propagande publicitaire…

    Pour cela, M. Peillon est disposé à rallumer la guerre scolaire.

    C’est ainsi que notre ministre a annoncé des réductions drastiques des retraites des enseignants du privé, revenant sur un engagement de 2004 d’égalité public-privé. Les retraites diminueront et les cotisations augmenteront. Double peine pour les maîtres de l’enseignement privé sous contrat !

    Dans le même ordre d’idée, les médias bruissent de la rumeur d’une rupture des accords France-Saint-Siège de 2008, qui permettaient la reconnaissance réciproque des diplômes. Au passage, je vois mal comment l’État socialiste obtiendra cette rupture, sans rompre en même temps les accords de Bologne, garantis par l’Union européenne. Il est assez cocasse que nos dirigeants se trouvent ainsi coincés entre leur européisme et leur anticléricalisme !

    Mais, ce sont surtout les récentes déclarations du ministre sur le « mariage » homosexuel qui me paraissent ahurissantes et scandaleuses.

    Le secrétaire général de l’enseignement catholique, Éric de Labarre, a demandé à ses quelque 8 300 chefs d’établissement d’organiser des débats sur ce sujet (il est vrai que s’il fallait attendre le gouvernement pour avoir un débat sur ce thème, nous pourrions attendre longtemps) et leur a rappelé la doctrine de l’Église catholique sur le mariage. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’était pas une déclaration de guerre. Cette liberté de débat (et même d’enseignement) est d’ailleurs garantie par la loi Debré de 1959.

    Pourtant, se mettant instantanément à la remorque du Parti communiste (très puissant, on le sait, dans le ministère de l’Éducation nationale, via sa courroie de transmission syndicale, l’UNSA Éducation, ex-FEN), M. Peillon rappelle vertement à l’ordre M. de Labarre dans une lettre aux recteurs : « Il ne me semble pas opportun d’importer dans l’école le débat sur le mariage pour tous. Je considère même qu’en adressant une lettre aux chefs d’établissement, le secrétaire de l’enseignement catholique a commis une faute. »

    à qui fera-t-on croire que l’Éducation nationale est protégée des débats politiques ? N’a-t-on donc jamais vu des collégiens descendre dans la rue en supplétifs des combats syndicaux d’extrême-gauche ?

    En outre, sur ce sujet précis, le lobby « LGBT » intervient régulièrement dans les écoles, avec la bénédiction du ministre. Et, en octobre dernier, une ministre, Mme Vallaud-Belkacem a été faire la promotion du fameux « mariage pour tous » dans une école du Loiret. Autrement dit, ce qui est grave n’est pas de parler du « mariage » homosexuel dans les écoles, mais d’en parler avec réserve… Au demeurant, M. Peillon ne s’en cache pas. Il veut « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités ». En bon français, cela s’appelle de la propagande.

    C’est d’autant plus choquant que, dans sa lettre aux recteurs, M. Peillon a vanté une « Ligne Azur », sorte de numéro vert « d’éducation sexuelle », payé par nos impôts. Le lexique de cette « ligne » mentionne ainsi, laconiquement, la pédophilie : « Attirance sexuelle pour les enfants, quelle que soit l’orientation sexuelle de la personne. » Sans même dire que c’est moralement répréhensible et sans même signaler que la pédophilie est condamnée par la loi pénale française !

    Alors, les leçons de morale de M. Peillon, nous saurons bien nous en passer !



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  • Auteur inconnu , dommage

    http://youtu.be/-AdiD7qV-jg


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  • Après la mise en scène du traquenard tendu aux manifestants du JOUR DE COLERE ( style piège à poisson ) du 26 janvier dernier ,  Valls va récidiver ce dimanche . Ce guignol prends l'ensemble des Français pour des cons


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  • Il est bien dommage que se soit un canulard

    Bien entendu personne n' en parle, surtout pas NICE-MATIN 
     Mais tout finit par se savoir. 
     c' est une nouvelle qui tombe très mal sur l' électorat niçois. 
     Et c' est Marine qui va être aux anges. 
     Ce n' est plus 90% des voix qu 'elle va récolter en PACA mais 99% ! 
     La fille du maire UMP de Nice, Mlle ESTROSI , s' est convertie à l’’Islam et 
     se marie à la mosquée !!!! 
     Vous n’ en trouverez aucune trace dans Nice matin car l'info a été bien 
     cadenassée par l’’entourage d’’Estrosi... 
     Pas tant que ça puisque l'information commence à transpirer, grâce à vous 
     qui faites circuler ! 
     Maintenant, la construction de la grande mosquée de NICE ne posera plus de 
     problème ! 
     Donc petite cérémonie discrète à la Mairie de NICE et..., grande cérémonie 
     dans une grande mosquée du Maroc. 
     

     Eh oui ! le gendre est marocain. 
     Dans les mariages mixtes musulmans le conjoint se convertit toujours à cette 
    religion épanouissante et riche d'avenir comme... MM Besson, Ribery, 
     Cantona, etc... 
     Mais, par contre, on ne voit jamais le contraire avec des conjoints qui se 
     convertissent au Christianisme pour épouser l'élue de leur cœoeur... ??? 
     Une femme musulmane, sous peine des pires représailles, ne peut épouser 
     qu'un Musulman. 


     Mais un homme n'est pourtant pas tenu aux mêmes impératifs. 

     
     
     Peut-être que la fille du maire Estrosi a eu LA REVELATION ?? 
     L'époux va de ce fait acquérir la nationalité française qu’il, soyez en 
     certain, ne refusera pas .... 
     Curieux car, dans les pays musulmans, il ne saurait être question de double 
     nationalité : ce serait la porte ouverte à tous les abus ( mais nous, les 
     abus, on les subit, et on doit fermer notre gueule ! ). 
     Bien sûr, certains pays comme le Maroc, ferment les yeux quand il y a un 
     "intérêt" notamment..., quand cela les arrangent, par exemple: en matière de 
     transfert de devises... 
     Alors tous nos vœux de bonheur chrétien aux jeunes époux!!!!!.... 
     Et information supplémentaire: 
     

     le Conseil Général du Vaucluse vient de voter un budget ( avec notre 
     POGNON ) de 76.000 EUR destiné à adapter les abattoirs de Carpentras à 
     l'abattage halal. 
     Elle est pas belle notre FRANCE en ruine...? 


     
     Bertrand LE CORRE - AVOCAT 
     16, rue de Marignan- 75008 PARIS 
     Tel: 01 42 56 40 41 - Fax: 01 42 56 00 41 
     




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