• non a l'immigration massive

    Signez la pétition " Immigration massive : nous voulons aussi voter en France ! "

     

    Après l'interdiction des minarets et l'expulsion des criminels étrangers, la Suisse vient de nouveau de montrer la voie à tous les pays d'Europe et en particulier à la France en soutenant un référendum d'initiative populaire qui visait à mettre fin à l'immigration de masse.

    Depuis 40 ans, nous subissons - nous aussi - une immigration massive sans jamais avoir été consulté. Cela doit cesser ! Nous voulons un référendum !

    L'arrogance de la commission européenne et du gouvernement français est insupportable et nie l'intelligence et la la souveraineté du peuple suisse et des peuples européens.

    Plus personne ne doit plus jamais décider à notre place de l'avenir de notre peuple. C'est pourquoi nous vous demandons de signer la pétition pour exiger la tenue d'un référendum sur l'immigration mais aussi sur toutes les questions de société importantes en s'inspirant du modèle suisse.

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    Pour que l'avis de chaque Français compte dans le débat public pour l'avenir de notre pays


     France-petitions.com se bat pour que votre voix compte, pour qu’elle soit vraiment entendue. Pas de pétitions bidon sur notre site. Chaque pétition a été crée publiquement par une personne et chaque signataire est une vraie personne dont nous vérifions la réalité. Nous allons faire en sorte que votre voix soit vraiment entendue par le destinataire de la pétition et par toutes les personnes dont l’opinion compte.

    La liberté et la démocratie ne sont pas des abstractions. Ce sont des réalités vécues au quotidien.

    Les Suisses ont une égale liberté de choisir ce que la Suisse doit faire, lorsqu’ils participent aux référendums régulièrement organisés. Le 9 février, ils ont eu à se prononcer sur l’immigration. Les Français n’osent même pas en rêver. La France ressemble de plus en plus au « nouveau despotisme » décrit dans De la démocratie en Amérique : « Une foule innombrables d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs… Au-dessus… un pouvoir immense et tutélaire qui se charge seul d’assurer leur jouissance. » La confusion généralisée entre les sexes, les cultures, le citoyen et l’étranger efface les identités tandis que la dépense publique asphyxie le corps social et que les libertés fondamentales de penser, de s’exprimer, de circuler, d’enseigner sont écornées jour après jour.

    La vraie démocratie repose sur la liberté de personnes capables de faire des choix rationnels à chaque niveau de subsidiarité, de la commune à l’État en sachant s’abstraire de toute préoccupation individualiste ou communautaire pour ne retenir que l’intérêt général ou, mieux, le bien commun. Ces personnes ne peuvent être des individus égoïstes, ni des « ego » sartriens, détachés de tout et capables du pire. Inscrits dans une famille, dans une nation, ils doivent pouvoir adhérer à la formule de Montesquieu : « Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciable à l’Europe, ou bien utile à l’Europe et préjudiciable au genre humain, je le regarderais comme un crime. » Seules des nations formées de ces citoyens responsables sont également libres de conduire leur destin, si elles demeurent souveraines, et non soumises à des oligarchies technocratiques.

    Aux deux niveaux, de l’individu comme de l’État, l’identité fonde la liberté, parce qu’elle dessine les limites : celle de la personne qui s’accepte et s’affirme pour ce qu’elle est, celle de l’État à l’intérieur de ses frontières. La liberté de l’homme ne peut être sans limite, fondée sur la transgression des traditions ou de la nature. La liberté d’une nation, de même, a besoin de frontières qui garantissent son autonomie comme celle de ses voisins. Jean-Louis de Lolme disait que le Parlement britannique pouvait tout faire, sauf changer une femme en homme. La folie actuelle envisage que des lois puissent autoriser de satisfaire le fantasme du changement de sexe. Mais on ne sait plus très bien quel Parlement le décidera, ni qui il représentera, ni à quel groupe de pression il sera soumis.

    La démesure, l’hybris des Grecs, détruit la liberté par les deux bouts : en bas, l’individu déresponsabilisé, ivre de droits et ignorant de ses devoirs, en haut, la tyrannie exercée par une caste agrippée au pouvoir et à ses privilèges, démagogue et dénuée de courage. La perte de l’identité, celle de la personne, celle de la nation, dissout le lien entre un citoyen structuré et une démocratie nationale forte : à la place de la première règne l’individu qui « s’éclate » en émotions, en pulsions justificatives, en besoins immédiats ; la disparition du sentiment d’appartenance à la seconde fait s’évaporer le patriotisme dans d’absurdes engagements dans des idéologies du lointain.

    La liberté et la démocratie ne sont pas des abstractions. Ce sont des réalités vécues au quotidien, et qui ne peuvent l’être que par des acteurs en chair et en os, qui affirment ce qu’ils sont, comme ils reconnaissent l’identité des autres, ce qui est le plus sûr moyen de la réciprocité et de l’échange.



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