• 'IMPÉRATIF DE l'UNITÉ POUR PORTER L'ESPÉRANCE DES FRANÇAIS

     

    Le 2 janvier, je vous disais en conclusion de mon premier éditorial d'une année 2015 s'annonçant riche en défis : "Soyons forts et solidaires (...) Unis, les frontistes sont invincibles !". Oui, ce n'est qu'unis et solidaires que nous sommes forts et ce n'est qu'unis et solidaires que nous vaincrons.

    Alors qu'un différend - portant à la fois sur la ligne politique et sur la stratégie de notre mouvement - oppose depuis plusieurs jours notre présidente Marine Le Pen au Président d'honneur, celle-ci a indiqué à tous l'exemple à suivre. Avec autorité mais sérénité, faisant fi des provocations ou manœuvres médiatiques, elle s'est montrée garante de la ligne du mouvement, de son intégrité, et de son unité. Une fois de plus, dans cette épreuve difficile pour des raisons personnelles évidentes, Marine Le Pen a su démontrer ses qualités de chef, sa stature de véritable femme d’État. Ce seront désormais les instances de notre mouvement qui trancheront ce différend dans les jours à venir.

    Conscients de tout ce que nous devons au Président d'honneur et fondateur du Front National, mais conscients aussi de l'urgence de la situation, de la détresse de nos compatriotes et de l'espérance, l'ultime espérance, que nous incarnons pour eux, nous devons aujourd'hui agir avec responsabilité. C'est pourquoi, dépassant la légitime affection ou au contraire la compréhensible déception, rien ne doit nous détourner de notre mission et de notre devoir : le redressement de la France pour rendre, enfin, à son peuple sa souveraineté, son identité, sa sécurité, et sa prospérité. C'est bien cela que les Français attendent de nous, c'est bien de cela qu'ils veulent que nous leur parlions, c'est bien cela qui est notre mission et même notre devoir.

       

    Nicolas Bay
    Secrétaire Général du Front National


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  • Le gros mensonge des conversions à l’islam

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    Plutôt que répandre la rumeur que l’islam progresse en France en évitant d’évoquer les désaffections qui le touchent, il serait plus pertinent de décrire le profil psycho-socio-mental des victimes tombées sous l’emprise de cette drogue dure.

    Qui sont ces convertis, d’où viennent-ils, quelles sont leurs motivations et leur état de santé mentale au moment de leur passage de la pénombre à l’obscurité ?

    A-t-on établi un parallèle entre les modalités de conversion à l’islam – qui n’est pas plus une religion que le nazisme – et celles qui prévalent pour le judaïsme et le christianisme ?

    A-t-on comparé le profil du public né musulman qui abjure l’islam à celui qui tombe dans son piège ? Son origine sociale, lieu de résidence, le milieu familial des néo-musulmans ?

    L’islam est la religion qui compte le plus de fausses conversions, de conversions en trompe l’oeil.

    Ces femmes qui pour plaire à leurs conjoints musulmans, embrassent l’islam sans jamais avoir ouvert le Coran, et qui sont souvent issues de milieux désoeuvrés et incultes.

    Ces non-musulmans convolant en justes noces avec des musulmanes, et font semblant de se convertir à l’islam afin d’obtenir la régularisation de leur nouvelle situation matrimoniale auprès des autorités de leurs pays d’origine.

    Ce sont des conversions de complaisance, administratives.

    Les conversions à l’islam ne présentent quasiment aucun caractère sérieux.

    Elles touchent un public en manque de repères sociaux, familiaux, éducatifs, matériels, intellectuels voire spirituels. Quel crédit apporter à des conversions de jeunes, souvent mineurs, presque illettrés, cumulant tous les handicaps ?

    Une conversion est censée être dénuée de toute influence extérieure et le fruit d’une réflexion longuement mûrie, une recherche personnelle.

    Ont-ils lu le Coran dans le texte ? Bien souvent, les musulmans ignorent la langue arabe, ce qui ne les empêche pas de déclarer que la nature inhumaine de certaines sourates est le résultat de mauvaises traductions !

    Et s’ils parlent arabe, comprennent-ils ce qu’ils lisent ? Lisent-ils seulement ?

    Il est permis de douter.

    Indigestion linguistique du Coran

    Alain Juppé, grand allié des Frères musulmans, grand défenseur d’un islam républicain qui n’existe pas, a lui-même avoué n’avoir pas lu le coran parce qu’il est indigeste, impossible à lire…

    Si Alain Juppé, agrégé de lettres classiques, n’arrive pas à lire le coran, comment peut-on sérieusement dire que les jeunes des banlieues qui ont décroché des études à la puberté y parviennent ?

    Leur ignorance de l’arabe, la méconnaissance de leur propre langue maternelle et leur manque de goût pour la lecture entravent encore plus leur accès au coran.

    Il ne suffit pas de dire que l’islam attire des nouveaux adeptes. C’est un attrape-mouches.

    La progression des conversions à l’islam, annoncée par les médias au lendemain de l’attentat barbare contre Charlie, a peu de raisons d’être vraiment fondée (sauf pour une minorité traumatisée, qui s’est convertie comme le font les otages de l’Etat islamique : pour éviter d’être décapités)

    A mon avis, la progression des conversions est une pure désinformation née dans les mosquées, et destinée à faire croire à l’opinion publique française – de plus en plus hostile à l’islam – que malgré les préjugés dont il est victime, il y a bien une frange de la population qui se laisse séduire par lui et croit plus que jamais en lui.

    Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, au moment où son image était la plus exécrable, les manipulateurs de l’information avaient déjà diffusé ces fausses nouvelles. Ils avaient tenté de nous vendre l’image que l’islam séduit les foules, malgré les forts vents violents qui le secouent.

    Pourquoi ils se convertissent

    L’islam est une idéologie immorale et barbare, fondée sur le sexe, la violence, la luxure et l’oisiveté.

    Il a été créé par un homme pour exalter les frustrations psychologiques, la misère culturelle, spirituelle et intellectuelle de son peuple.

    Il est sanguinaire et cruel, sans foi ni loi, vivant du pillage, de l’esclavage, de la mort et du butin.

    Il est tourné vers la satisfaction des plaisirs charnels, et n’encourage pas au travail.

    L’islam ne séduit que ceux qui y trouvent écho à leurs fantasmes lubriques, pédophiles, amoraux et morbides.

    Il nourrit et autorise leurs pulsions violentes et extrémistes, justifie et légitime la haine de soi, de l’autre, du juif, du chrétien, et de tous les humains que le Coran ordonne de tuer.

    L’islam n’est en aucune manière une religion au sens noble du terme.

    Pour exister, l’islam s’est construit sur des promesses qui devraient lui valoir l’enfer.

    L’islam est une suite d’insultes et offenses à la morale humaine. Il donne du sens aux plus bas instincts.

    L’indécence de cette religion qui n’en est pas une est sans limite.

    Il n’a aucun code moral, aucune loi pour réprimer les ardeurs velléitaires et perverses de ses adeptes.

    Il est l’école de l’abomination de la vie humaine, en exhortant et sacralisant la terreur dans le coeur des ennemis.

    Il promet le Jardin d’Eden à ceux qui n’ont rien fait de bon dans leur existence, et qui bien souvent sont des parasites sociaux, qui plutôt que de se construire par le travail, par le savoir et la connaissance, et oeuvrer pour le bien commun, préfèrent répandre la mort et faire couler le sang.

    Ces convertis, des laissés pour compte du système, aigris, frustrés, ratés de la vie, connaissent-ils même l’existence des sourates diaboliques ? En connaissent-ils le sens ? Si oui, c’est qu’elles ont joué un rôle majeur dans leur conversion :

    Voici quelques extraits du coran, brûlot humaniste qui fait de l’ombre à Mein Kampf :

    • 4.84 : Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat). Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition.
    • 5.33 : La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
    • Coran, sourate II La Génisse, verset 187/191 : TUEZ-LES partout où vous les atteindrez. EXPULSEZ-LES d’où ils vous ont expulsés. La persécution [des croyants] (fitna) est pire que le meurtre. [Toutefois], ne les combattez point près de la Mosquée Sacrée avant qu’ils vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, TUEZ-LES. telle est la ‘récompense’des infidèles.
    • Coran Sourate IV Les Femmes verset 102/101 : Les Infidèles sont pour vous un ennemi déclaré.
    • Coran sourate VIII Le Butin, verset 40/39 Appel aux armes : Et combattez-les jusqu’à ce que le culte entier soit rendu à Allah.

    Salem Ben Ammar


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  • Le Blog : LA PAGE DU JOUR est désormais hébergé par EKLABLOG

    Le contenu restera le même, toujours au faits de l'actualité du moment

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    changement d'apparence


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  • Sujet : Fwd: FW: TR: Tr : tr: Un petit 'truc' d'informatique intéressant connaitre
      

     Un petit 'truc' d'informatique intéressant à connaitre 

     Petite subtilité informatique ... 

     Nouveau ! je ne savais même pas que ça existait !!!

     
    Tous les 30 jours il est nécessaire de nettoyer l'écran d'un ordinateur de l'intérieur (derrière la vitre de protection)..........
     
     Beaucoup de personnes ignorent ce fait et ne savent pas non plus comment faire.

     Les fabricants profitent, bien sûr, de cette ignorance pour augmenter leurs ventes.
     
    Pourtant, le faire souvent permet d'enlever les poussières posées à l'intérieur de l'écran
     C'est autrement + efficace que la chiffonnette... 

     Pour nettoyer ton écran par l'intérieur, il suffit de cliquer ici

     Nettoyage d'écran interactif  
     

    et de FAIRE BOUGER LA SOURIS.-

     

                                     Ce n'est pas la peine de me remercier ! ! ! 

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  • Absentéisme : le Sénat et ses “emplois fictifs” .. par DAHU38750

    https://www.dailymotion.com/video/x2aiiqq_absenteisme-le-senat-et-ses-emplois-fictifs_webcam

    QUAND ON VOUS DIT QUE LES SENATEURS NE SERVENT A RIEN
    Absentéisme : le Sénat et ses “emplois fictifs” ..
    Facile de demander au petit peuple d'être solidaire, mais surtout pas EUX !
    EUX votent les Lois ! Nous nous devons les respecter !!
    EUX sont payés, grassement, même lorsqu'ils sont absents…
    00:03:46
      

    Le président du Sénat, Gérard Larcher, a annoncé que la Chambre Haute envisage de pénaliser les sénateurs absentéistes en leur infligeant des retenues sur leurs indemnités. Une mesure allant dans le bon sens, mais encore loin du compte. 

    Absentéisme : le Sénat et ses “emplois fictifs” ..


    [T]out parlementaire qui sera absent, au cours d’un même trimestre, à plus de la moitié des votes solennels, ou des réunions de commission, ou des séances de questions au gouvernement (convoquées une fois toutes les deux semaines), verra son indemnité de fonction amputée de moitié. Soit une perte sèche de 700 euros par mois.
     
     

    Le Sénat s’est voulu encore plus sévère avec les récidivistes qui « sèchent » purement et simplement tous les travaux de la haute assemblée. Si l’absence d’un parlementaire atteint la moitié des trois catégories citées précédemment, la sanction entraînera la suppression de la totalité de l’indemnité de fonction (1400€/mois) et de 50% de l’Indemnité représentative de frais de mandat (IRFM, soit 3000€/mois).

    Résultat des courses: les sénateurs les moins assidus pourraient perdre jusqu’à 4400€ d’avantages financiers par mois[.] 

    La rémunération d’un sénateur étant de 11 628,90 euros net par mois, une retenue de 4400 euros signifierait qu’un sénateur jamais présent continuerait à toucher 7228,90 euros par mois. 

    Et pour toucher l’intégralité de leurs indemnité, il leur suffirait de ne pas être absent à la moitié des votes solennels, réunions de commission et séances de questions au gouvernement.

    Question rhétorique : dans quelle entreprise serait-il possible à un salarié de ne respecter qu’une grosse moitié de la durée prévue par son contrat de travail et quand même toucher l’intégralité de son salaire ? 

    ***

    Si le cas des « sénateurs-fantômes » est minoritaire, il concerne quand même une trentaine d’entre eux, soit près de 10 % :

     


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  • « Déclaration de Jean-Marie Le Pen du 18 septembre 1987 retranscrite dans le Quotidien de Paris ». 

     
    C’est très solennellement, très gravement, très franchement, que je viens aujourd'hui m'adresser non pas à la meute politique et médiatique lancée depuis longtemps à mes trousses, et qui, enfin, croit maintenant pouvoir me déchirer, ce n'est pas à elle, mais à la France et à son peuple français.
    De ce peuple, en effet, seul le jugement m'importe parce que c'est pour lui que je lutte, parce que ce n'est pas pour moi, mais pour lui seul et son avenir que je mène mon combat.
    Aussi bien, ne vous y trompez pas : le déchaînement prodigieux, le tohu-bohu insensé auquel, Françaises et Français, vous assistez avec, je suppose, une certaine stupéfaction parce que, dans votre immense majorité, vous n'en comprenez pas les vraies raisons. Les hurlements et anathèmes dont je suis l'objet, la malédiction dernière et mortelle dont on veut me frapper, en me marquant au fer du racisme et de l'antisémitisme, tout cela vise un but extrêmement précis qui consiste à m'empêcher d'exprimer l'angoisse de millions de Français devant l'état de la France, de les inviter au sursaut et d'être le porteur de leurs espérances et, en outre, d'empêcher l'union nécessaire qu'elle soit complète ou partielle, entre toutes les forces qui peuvent et doivent faire barrage au socialisme.
    Alors, comme pour atteindre ce but et frapper le Front national et moi-même, il existe une arme absolue : c'est, vous le savez, l'accusation de racisme et d'antisémitisme. On l’a dégainée en prenant prétexte de propos radiophoniques que j'ai tenus et en me transformant en grand Satan de la politique française.
    J’accuse le lobby pro-immigré, véritable syndicat anti-Le Pen, d'avoir organisé et conduit contre moi ce procès en sorcellerie. Le caractère orchestré de cette offensive destinée à dénigrer le candidat national à la présidence de la République et donc à favoriser l'élection du candidat socialiste, est rendu évident par le fait qu'elle n'eut lieu que trente-six heures après l’émission et qu'elle s'est déroulée selon un scénario connu avec le vocabulaire surréaliste commun à ses figurants habituels ; professionnels des droits de l'homme, ligueurs de l’antiracisme, pétitionnaires de gauche, ministricules en mal de renommée auxquels sont venus se mêler quelques personnages de haute volée que, pourtant, leur fonction ou leur état devrait incliner à la modération, la pudeur, la charité et même l'abstention pure et simple.
    Dans ce concert de mensonges énormes, de jugements téméraires et d'injonctions vengeresses, le ton a été donné par le candidat communiste à la Fête de l'Humanité : « Démasquons Le Pen, cet homme est dangereux. »
    Au signal, l'appareil de la gauche s'est mis en branle, entraînant dans son sillage un certain nombre de gogos de la majorité. Ce n'est pas la première fois que de telles campagnes ont été orchestrées contre moi et le Front national. Parmi d'autres, ce fut le cas lors de l'attentat criminel de la rue Copernic où l'« extrême droite » fut désignée par la classe politico-médiatique à la vindicte publique. Un an plus tard, on annonçait, discrètement, que les tueurs étaient palestiniens : des innocents avaient été lynchés, vitriolés, battus, insultés. Le jugement téméraire avait débouché sur l'injustice.
    Cette fois, il a suffi d'un mot interprété abusivement pour que la calomnie éclate en vacarme infernal et donne le signal de la proscription.
    Scandaleux, révoltant, ignoble, inacceptable, détestable, monstrueux, malfaisant, abject, venimeux, terrifiant : tels sont les qualificatifs qui m'ont été décernés par des journalistes ou des politiciens qui prêchent la modération... aux autres...
    Qu'ai-je donc dit à RTL qui puisse justifier cette véritable chasse à l'homme ? Olivier Mazerolle m'avait posé la question : « Considérez-vous qu'il y a eu un génocide juif dans les chambres à gaz ? » J'ai répondu : « II y a eu beaucoup de morts, des centaines de milliers, peut-être des millions de morts juifs et aussi non-juifs. »
    Cette réponse était claire et, pour des gens de bonne foi, ne laissait planer aucun doute sur ce que je pense du martyre du peuple juif d'Europe par les nazis et sur la condamnation que je porte sur ce crime. Négligeant cela, mes ennemis, et avec quelle fureur, m'ont fait grief d'avoir dit que les chambres à gaz étaient un « détail dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale », feignant de croire que ce mot était employé dans une acception péjorative.
    Il s'agit là d'un procédé habituel du terrorisme intellectuel qui a cours chez nous.
    Dans mon esprit, et d'ailleurs dans les dictionnaires, « détail » signifie « partie d'un tout ».
    Or, la Seconde Guerre mondiale dura six ans, elle mit aux prises des centaines de millions d'hommes et fit plus de 50 millions de morts dont 35 millions d'Européens, laissant depuis la moitié de l'Europe sous la botte soviétique.
    Chacun de ces éléments, si meurtrier, si atroce, qu'il ait été, fut un élément de cette immense tragédie humaine.
    Les camps de concentration où moururent par millions juifs, tziganes, chrétiens et patriotes de toute l'Europe et les méthodes employées pour mettre à mort les détenus : pendaisons, fusillades, piqûres, chambres à gaz, traitements inhumains, privations, constituèrent un chapitre, une partie, un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, comme en témoignent d'ailleurs tous les ouvrages généraux qui y furent consacrés.
    Ai-je dit autre chose et honnêtement, oui honnêtement, cela justifie-t-il le procès de sorcier que l’on me fait dans la presse écrite, parlée, télévisée ? Et qui aura la loyauté et le courage de reconnaître s'être ou avoir été trompé ou avoir trompé les autres ?
    Notre siècle a été celui des pires totalitarismes et des plus affreux génocides raciaux, sociaux ou religieux.
    Deux idéologies totalitaires et antireligieuses : le communisme et le national-socialisme, d'ailleurs alliés au début de la Seconde Guerre mondiale, ont créé l’abominable système des camps de concentration.
    L'un d'eux a disparu depuis quarante-deux ans, l'autre, le communisme, continue depuis soixante-dix ans à faire régner sur le monde la misère, l'oppression, la terreur et la mort.
    Sait-on qu'en Russie soviétique, comme l'avoua Khrouchtchev au XXe congrès, de Lénine à Staline, 50 millions d'Ukrainiens, de Russes, de Baltes moururent victimes de la barbarie communiste ? Que Xien Tsao Ping reconnut que sous Mao, plus de 60 millions de Chinois furent liquidés ?
    Pense-t-on encore, tout près de nous, aux Vietnamiens catholiques ou bouddhistes assassinés par le Vietminh, noyés dans leur « boat peuple »; aux trois millions de Cambodgiens tués par le communiste Pol-Pot et aux deux millions d'Erythréens massacrés par le communiste Mengistu ? A l'heure où je parle, on massacre en Afghanistan et les goulags continuent de lancer au ciel leur cri muet et désespéré. Certes, les crimes des uns n'effacent pas ceux des autres, mais les crimes nazis appartiennent au passé alors que les crimes communistes appartiennent au présent et, hélas ! à l'avenir.
    J'ai perdu mon père « mort pour la France » pendant la guerre, je sais donc le prix du sang et des larmes, je compatis à la douleur de tous ceux qui ont vu disparaître des êtres chers dans la tourmente.
    Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu'on a tenté d'effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. La France a le même amour pour tous ses fils, quelles que soient leur race ou leur religion.
    Françaises, Français, Nul plus que moi n'est respectueux de notre passé, mais le passé ne doit pas occulter l'avenir.
    L'élection présidentielle ne portera pas sur l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, mais sur les voies et moyens d'une politique nationale et européenne, seule capable de nous arracher à la décadence et d'amorcer le redressement français et par lui la renaissance de la France et de l'Europe. Sûr de la confiance de millions de Français, chaque jour plus nombreux, j'affirme ma détermination à poursuivre l’action engagée pour rendre à notre peuple la parole et la maîtrise de son destin.
    A tous ceux qui, comme il y a deux ans, m'avaient enterré prématurément, je donne rendez-vous dimanche au Bourget et en mai 1988 à l'élection présidentielle.

    Assemblée nationale Paris, le vendredi 18 septembre 1987 Source : Quotidien de Paris du 19-20 septembre 1987, n°2435

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  • Boubakeur devant les frères musulmans de l’UOIF : « Nous avons 2.200 mosquées. Il en faut le double d’ici deux ans » ( c'est sans compter les salles de prières et les soit disants centres culturels musulmans )

    Le président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, a appelé samedi à doubler le nombre de mosquées d’ici deux ans pour pallier le manque de lieux de culte pour les millions de musulmans français.

    « Nous avons 2.200 mosquées. Il en faut le double d’ici deux ans », a souhaité M. Boubakeur, qui est également recteur de la mosquée de Paris, lors du Rassemblement annuel des musulmans de France, organisé par l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) au Bourget.

    Pour les « 7 millions de musulmans » de France, les mosquées actuelles « ne suffisent pas », a souligné le président du CFCM


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  • Lettre ouverte à Monsieur Manuel Valls,

    Premier ministre de la France, non  VRP du P.S.

    Monsieur le premier ministre,

    Lasse de vous entendre insulter le Peuple de France, ce peuple qui vous nourrit, et ayant vérifié à plusieurs reprises votre parfaite ignorance de la plus élémentaire correction et du respect dû à ce Peuple (inséparable de cette fameuse République dont vous et vos semblables vous gargarisez, prétendant même que certains Français n’en seraient pas dignes), je crains qu’un courrier personnel à votre intention soit éventuellement suivi d’une réponse mensongère, voire injurieuse, selon votre habitude envers ceux qui osent « mal penser », ou bien encore d’un méprisant silence.

    Raison pour laquelle j’ai choisi cette forme de lettre ouverte afin qu’elle puisse être lue par un nombre appréciable de citoyens lucides, lesquels sont de moins en moins aveugles envers vos ridicules gesticulations, vos rictus haineux et vos enfumages à répétition.

    Vous semblez d’ailleurs en être bien conscient puisque, depuis la toute récente (mais non dernière) déculottée de votre parti qui finit bon dernier, même si grâce à la forme de scrutin actuel (merci monsieur Chirac !) vous réussissez, tout comme l’UMP, à bénéficier d’un nombre d’élus locaux injustement supérieur à ceux du F. N., vous persistez à insulter verbalement ce parti, et ses électeurs,  chaque fois que vous ouvrez la bouche, et fomentez j’en suis persuadée, de nouveaux coups bas pour lui nuire aux prochains scrutins !

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    Mais la peur est mauvaise conseillère, car au lieu de vous servir en vous présentant comme un homme d’état « à poigne », elle prouve au contraire que vous êtes incapable de garder vos nerfs, dès qu’un adversaire fait état de vos quatre vérités !

    Vous avez beau glapir sur tous les tons que le Front National sue la haine, il devient évident pour les citoyens qu’en fait, comme tous les vaniteux, esclaves de leur ego surdimensionné, vous ne faites que renvoyer aux autres vos propres défauts tout en vous parant de leurs qualités.

    Ainsi lorsque vous prétendez avoir « entendu » les Français, alors que tout dans vos actions, je devrais même dire vos méfaits, prouve l’exact contraire.

    Ainsi lorsque vous aboyez que celle que vous détestez parce qu’elle vous fait peur (nous savons tous pourquoi) diffuse la haine et divise des Français, alors que c’est réellement VOUS et les vôtres qui faites tout pour cela, nullement Marine Le Pen !

    Comment expliqueriez-vous sinon que par ses discours et ses contacts avec le Peuple, elle séduise de plus en plus de citoyens, et que malgré vos grossiers et incessants anathèmes, ils pensent qu’elle ne pourra pas faire pire que les satanés UMPS les ayant menés là où ils sont … dans la désespérance ?

    Non monsieur, en ce qui me concerne je ne vous reconnais pas le droit de pouvoir m’insulter, ainsi que les millions de Français qui tout dernièrement ont voté pour le Front National, parti légitime et républicain, même si cela vous déplaît, pensant qu’il suffit de cracher des mensonges à son encontre pour qu’ils deviennent vérités !

    Vous avez été désigné au poste que vous remplissez si mal, par un élu de la République (représentation des citoyens), lequel avait promis, comme tant d’autres choses, d’être le Président de tous les Français ; vous devez donc, tout comme lui, réviser urgemment les règles des DEVOIRS qui sont les vôtres à ce titre, non vous vautrer dans vos droits, qui ne comprennent en aucune façon celui d’insulter en permanence les Patriotes !

    Parce que jusqu’à preuve du contraire, c’est vous monsieur qui êtes nauséabond avec vos propos haineux envers ceux qui n’ont pas l’heur de vous plaire parce qu’il ne votent pas pour votre parti !

    C’est vous qui vous êtes entouré de ministre plus incompétents et plus menteurs les uns que les autres, et vous pouvez prétendre à chaque intervention médiatique, « que la relance est là » (emburqannée sans doute, car personne ne l’a encore aperçue), « que les citoyens reprennent confiance » etc … la majorité des Français sait pertinemment que vous mentez, et ne se fient plus qu’aux chiffres, du moins ceux que vous n’avez pas le loisir de manipuler, donnant l’exacte situation catastrophique du pays, situation peut-être héritée de vos adversaires, mais que vous vous êtes employés avec zèle depuis trois ans à démultiplier !

    De plus il est évident pour beaucoup, que votre gouvernement et vous-même ne possédez aucune des qualités requises pour faire face à une telle situation et sortir le pays de l’ornière où vous l’avez poussée, mais que bien au contraire vous vous employez à aggraver chaque jour un peu plus.

    Pour finir, monsieur le premier ministre, j’affirme être une Patriote Républicaine, payant rubis sur l’ongle tous les impôts et taxes dont vous et les vôtres m’étouffez, remplissant mon devoir de citoyenne en allant voter chaque fois que sollicitée, et respectant les lois de mon pays, je me sens donc bien plus légitimement Française que vous qui n’avez que l’insulte et l’injure aux lèvres vis à vis de citoyens, dès lors qu’ils vous ont cernés et ne marchent pas (ou plus) dans vos combines de politicard malveillant, uniquement préoccupé de sa propre carrière, et se moquant comme d’une guigne du sort des miséreux nationaux, tout en se faisant passer pour homme de cœur, seprécipitant au secours de pseudos français, fussent-ils des racailles de la pire espèce !

    Mon sentiment profond, partagé par énormément de citoyens, c’est que vous ne méritez pas la nationalité française, pas plus d’ailleurs que vous ne semblez être à la hauteur des fiers hidalgos de votre nation d’origine, puisque vous n’avez que respect et admiration pour ceux qui l’ont jadis asservie … et ne rêvent que de recommencer.

    Partez donc vivre dans l’un des 57 pays musulmans qui ont l’air de tant vous plaire, vous serez bien plus heureux que dans notre pays « nauséabond » et « ranci », et vous rendrez la joie de vivre à des millions de vrais Français qui n’en peuvent plus du sort que vous réservez à notre Nation bien aimée !

    Bien consciente qu’il ne soit pas impossible que d’ici 48 heures, grâce au zèle de vos affidés, vous puissiez me traîner devant les tribunaux sous le prétexte que vous jugerez bon, j’assume pourtant mes écrits … les lecteurs de ce courrier n’y trouverons ni irrespect, ni injure, ni insulte … mais uniquement des vérités, vérifiables dans les faits et dires émanant de vous.

    Bien évidemment, bien que respectant votre haute fonction, il n’est nullement question que je vous quitte sur une des formules de politesses habituelles, que vous ne méritez nullement.

    Josiane Filio

    Patriote retraitée, fatiguée de vos mensonges pour vous maintenir au pouvoir à tous prix !


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  • Pour en finir avec le fédéralisme, le régionalisme et autres impasses : Le Quatrième Emsav (Par Boris Le Lay)

    GB_Tro_Breiz

    BREIZATAO – PENNADSTUR (05/04/2015) La fédéralisation de la France après laquelle soupirent une petite fraction régionaliste, chez nous, est un mirage incapacitant qui n’a aucune espèce de contenu politique tangible. Elle repose, paradoxalement, sur un raisonnement jacobin, celui d’une France uniformément demandeuse de fédéralisme. Un mirage dont il faut faire litière pour que la nation bretonne trace sa propre voie politique.

    L’impasse fédéraliste

    Il est une chose régulièrement entendue, c’est le serpent de mer de “l’union des minorités nationales de France” pour faire plier l’état central dès lors que l’intérêt breton est en jeu. Mais de quoi parle-t-on ? La Corse ne compte que 250 000 habitants dont la moitié de continentaux. Sa nature insulaire et remuante la distingue absolument de l’Hexagone en tant que tel. La Corse est une nation historique, à la différence des autres minorités habituellement citées, exception faite de la région Bretagne.

    En France même, les tenants du rêve éveillé fédéraliste présente le mirage occitan comme une réalité solide. Cette réalité repose sur une moitié de la France. A-t-on jamais vu de sentiment occitan recouvrir une réalité politique, hier ou aujourd’hui, dans cette vaste zone géographique à l’image de la Ligue du Nord en Italie ? Non. Ajoutons-y le folklore marxiste voire maoïste dans lequel se complaisent les rares militants de “l’occitanisme” – centrés sur Toulouse la rouge – et nous constatons que l’Occitanie est peut-être un sujet, mais certainement pas un objet.

    La Catalogne française, étroite bande de terre avec Perpignan pour capitale, ne connait aucune agitation politique notoire, malgré la puissance du nationalisme catalan d’Espagne. Le Pays Basque Nord ? Un demi-département. La Flandre française ? La moitié du département du Nord, centré sur Dunkerque, où le FN – parti ultra jacobin – affronte le Parti Socialiste Français, garant du continuum socialisant franco-wallon dans le secteur. Malgré la puissance de la Flandre belge, comme en Catalogne, rien n’y transparaît.

    L’Alsace a somme toute plus de vigueur. Au plan linguistique, elle est la région la plus dynamique, bien loin devant une région Bretagne totalement indifférente à son propre sort comme à sa propre personnalité. Economiquement, sa proximité avec l’Allemagne et le Benelux mais aussi la Suisse, lui offre des alternatives qu’elle expérimente chaque jour. Pourtant, la révoltante “réforme territoriale” l’a rayée de la carte politique au mépris des droits élémentaires du peuple alsacien. Cela n’a suscité que des protestations modérées, absolument pas traduites par une percée autonomiste. Là, comme ailleurs, l’Alsace comme peuple est un nain politique. Ajoutons-y l’immigration de peuplement allogène qui réduit chaque jour qui passe son caractère germanique, en plus de la francisation d’état, et nous avons là une région qui, factuellement, n’existe plus.

    Le “régionalisme normand” est une douce plaisanterie. C’est parce que la Normandie n’est pas régionaliste ni dotée d’un socle identitaire puissant, que l’état central l’a réunifiée récemment.

    Le fédéralisme chez ses rares supporters bretons, repose donc sur une interprétation bretonne de la réalité française. Mettre sur le même plan la région “Centre” ou “Bourgogne” et la Bretagne et la Corse, c’est ne rien comprendre aux premières comme aux secondes. La réalité est simple, lorsque l’on cumule les populations membres de minorités ethniques au sens strict, c’est de 6 millions de personnes que l’on parle. 6 millions sur 65. Fédéraliser l’Etat Français en tenant pour acquis que 59 millions de Français aspirent aux mêmes évolutions politiques et culturelles que les 6 millions précités relève de la fiction.

    Le régionalisme induit l’idée d’un processus systématique et global, à l’échelle de l’Hexagone, alors que la réalité bretonne – nationale – n’a rien en commun avec une Occitanie sans substance, ou la Champagne qui est parfaitement dépourvue d’aspiration identitaire régionale ou “provinciale”.

    A cet titre, le régionalisme chez nous ne constitue qu’une insignifiante réaction alors que depuis un siècle nous avons franchi le cap du nationalisme, cap incarné par l’Emsav, le mouvement national. Cette réaction repose sur un dramatique recul historique en faisant de notre nation une simple subdivision d’un ensemble plus grand, une région de France, dans l’espoir de s’associer à d’autres entités régionales qui par ailleurs n’ont aucune substance identitaire et n’aspirent absolument pas à se dresser contre l’état central. Erreur d’analyse, erreur politique.

    Le nationalisme breton, précédent historique

    Ceci nous pousse à rappeler une évidence que les réactionnaires et les naïfs insignifiants du régionalisme à la sauce locale feignent d’ignorer. C’est bien seuls, dans une évolution différenciée, que les Bretons doivent s’engager. Est-ce seulement bien sérieux de prétendre fédéraliser la France quand le pouvoir central refuse le simple transfert d’un département vers une région administrative, comme dans le cas de la Loire-Atlantique ?

    Les Bretons n’ont pas vocation à réformer la France pour l’aménager selon leur convenance. En lieu et place, ils doivent agir à l’image d’autres nations, très avancées sur le chemin de l’indépendance, en l’occurrence la Kanakie ou la Polynésie. Ces peuples n’ont pas jugé utile de s’enquérir de notre opinion pour passer à l’action. Aussi, seul le statut politico-administratif de notre peuple importe, sans se soucier de ce qui se fait ailleurs. Une fois l’objectif clarifié, c’est l’atteinte de celui-ci qui compte.

    Il est évidemment nécessaire de rappeler que la rupture opérée en 1911 avec la création du Parti Nationaliste Breton, confirmé en 1931 avec l’émergence du PNB – qui mena d’ailleurs à la fin de l’insignifiant fédéralisme de gauche – est une rupture définitive sur le plan de la conscience historique de notre nation. Végétant après 1944 dans les actions dispersées, non conceptualisées, évoluant dans le sentimentalisme par tâtonnements, les Bretons ont abandonné l’Emsav pour ne plus renouer avec lui formellement à l’occasion de l’apparition du FLB puis de Strollad Ar Vro. Adsav, scission ou, peut-être plus exactement, renouvellement du POBL, avait en son temps posé les jalons du renouvellement du nationalisme breton en réactualisant les solutions politiques à l’aune des nouvelles questions posées au peuple breton. Mais au plan pratique, les erreurs ont ruiné l’effort.

    Le Quatrième Emsav

    S’il devait être question d’un Quatrième Emsav, celui-ci serait lié, par nécessité, aux évolutions européennes et mondiales auxquelles on assiste : fin du millénarisme progressiste, rupture avec la modernité politique issue du Siècle des Lumières, émergence des blocs de civilisation contestant le modèle anti-identitaire de la démocratie socialiste occidentale. Recherchant par nécessité un retour aux fondements de son identité, romantisme culturel celtique et refondation spirituelle seraient deux aspirations fondamentales de ce Quatrième Emsav réellement et complètement lancé dans la volonté restauratrice. La question de l’état national comme de la refondation de l’ordre social selon le traditionalisme celtique serait ses objectifs. Et non plus de simplement singer le stato-nationalisme du XIXème et XXème siècle en Europe et dans le monde, à la suite de la révolution française et de la contre-révolution allemande.

    Par évidence, cette prise de conscience et cette reformulation de l’être breton au plan spirituel, culturel et politique suppose aussi de détruire la pollution idéologique française qu’est l’égalitarisme, le contractualisme social et l’antiracisme républicains. Ceci à un moment où la menace islamique pèse sur le destin de notre pays.

    Pour ces raisons, les vieilles formules réactionnaires du régionalisme, qui retardaient déjà dans les années 30, n’existent encore aujourd’hui que par phénomène d’entraînement, dans le sillage du républicanisme français. Le fait est que l’Emsav, après la disparition du FLB, a disparu pour ne laisser place qu’à la régression insignifiante du régionalisme, régionalisme qui chez nous a toujours signifié un recul tant de la conscience nationale que des gains politiques. Ceci se comprend parfaitement au plan dialectique.

    Une nouvelle solution politique

    Très concrètement, notre pays demeure un nain politique car il ne dispose toujours pas de son front politique national. Sans front politique, pas de lutte. Aussi, ce sont les actions éparses et anarchiques qui se succèdent, sans plan d’ensemble ni compréhension du fait national. L’on évoque la réaction de Christian Troadec. Certes, cela change du clivage franco-français du centre-droit – tout aussi socialiste que son opposition – et du centre-gauche parisiens. Mais cela ne répond pas à l’évolution qualitative et historique dont notre peuple a besoin. Bref, c’est le statu quo et la dépolitisation.

    Il faut aussi songer à de nombreuses questions, fondamentales, de rupture avec le “faux nationalisme” mais provincialisme d’Ancien Régime qui consiste à penser l’avenir de notre pays comme une simple projection de l’antique duché, faisant fi des acquis dialectiques du nationalisme. Il est certain, à cet égard, que la géopolitique interne de notre pays nécessite de définir des polarités de civilisation et donc une proposition nationale qui replace notre nation sur les rails de son génie celtique, contre l’influence franco-parisienne chez nous, influence qui, par obligation, passe par la disparition dans le métissage culturel, roman d’abord, afro-musulman désormais.

    Le coeur spirituel et culturel du pays se situe à l’Ouest, comme porte du monde celtique. A ce titre – rappelons-le – Rennes et Nantes sont explicitement des pôles à contenir et subjuguer et non à renforcer. Le fait macro-urbain étant par construction en opposition avec l’âme bretonne. Agiter des chiffres de production économique ne répond pas à la crise de civilisation que nous affrontons. Gardons-nous de raisonner en termes non-dynamiques, de penser notre territoire et notre réalité ethnique avec des cartes d’Ancien Régime. Le peuplement africain de Rennes, Brest ou Nantes font de ces villes, de plus en plus, des poches étrangères chez nous et non pas des parts de ce que nous sommes.

    Soulignons d’ailleurs à quel point la question de la réunification constitue au moins autant un frein qu’un facteur de mobilisation. Les tenants de celle-ci le font souvent en tant que défenseurs du provincialisme d’Ancien Régime qui n’a absolument rien à voir avec la révolution nationaliste qu’est l’Emsav. La réaction régionaliste qu’elle soit de droite en chantant les mérites d’Anne de Bretagne, ou de gauche en réduisant l’homme breton à un sous-produit de la révolution française et marxiste, sont les deux faces d’une même régression.

    Aujourd’hui, la priorité n’est pas Nantes. C’est d’une part d’accroître l’intégration de la région administrative avec la suppression des départements et des préfectures et le transfert effectif des pouvoirs qui leur sont dévolus vers l’exécutif régional. C’est aussi, en parallèle, une révolution linguistique et culturelle, avec un vaste programme de receltisation des masses bretonnes. Enfin, et là le sujet est particulier, c’est la renaissance spirituelle de notre peuple.

    Soyons clairs : la priorité absolue est à la scolarisation massive des petits Bretons en langue bretonne. Pas de réintégrer Nantes. Ce qui importe, c’est de sauver la conscience nationale qui est le corollaire presque systématique de la bretonnisation linguistique de notre peuple. Il est évident que la question géographique de la réunification constitue, pour les Bretons provinciaux, le moyen de s’offrir un demi-nationalisme sans effort. Est-il surprenant que ce soient les Bretons de l’immigration, singulièrement parisienne, qui continuent de prendre en otage la lutte d’indépendance avec ces thèmes folkloriques incapacitants ? Ces personnes, par ailleurs totalement intégrées au sein des élites françaises, s’achètent une conscience bretonne à peu de frais.

    Le nationalisme comme politique n’a pas vocation à se subordonner à l’impasse ethnopsychiatrique de ces Bretons francisés en quête d’identité. Qu’on me permette ce mot : notre combat n’agit pas dans les limites fixées par Patrick Poivre d’Arvor.

    Le chantier est vaste, mais si déjà une formation politique bretonne formulait une doctrine sur les bases énoncées ici, nous opérerions une rupture essentielle et salutaire. Toujours l’Emsav a été une avant-garde nationaliste, c’est sa fonction.

    Oser la violence psychologique

    L’échec des Bonnets Rouges, que j’avais annoncé dès novembre 2013, a été le fruit de l’absence d’une avant-garde politique capable de structurer une impulsion populaire inconsciente en lutte politique consciente. Comme de juste, ce qu’un Troadec fait, un Troadec le défait, aliénation identitaire et politique oblige. Ceci n’étant d’ailleurs pas un grief particulier mais un constat.

    Pour ma part, j’ai toujours jugé utile d’être particulièrement violent avec les Bretons car leur léthargie nécessite pour ainsi dire de violer leur bonne conscience d’airain. Qu’on ne s’étonne pas que de cette masse conformiste et bêlante sortent toujours des caractères rebelles et trempés : la race bretonne est rétive au changement comme à l’autocritique, elle ne tolère pas l’originalité, tribalisme mimétique oblige. L’esprit divergeant doit toujours s’affronter avec les prêtres du légitimisme ambiant. Le Breton est profond mais il souffre d’un manque de fluidité intellectuelle. Face à la glaciation psychologique qui est la sienne, la gentillesse ne paie pas.

    Au reste le Breton respecte l’autorité à la condition qu’elle respecte sa dignité. Ce qui hélas en fait un peuple aisé à tromper pour une race cynique et calculatrice. Nous ne sortirons pas le peuple breton de son sommeil sans exciter à outrance, par des moyens dont nous ne parlerons pas ici, ses qualités essentielles. Que les Bretons se dotent d’un surmoi stato-national, pyramidal et mobilisateur, martial et spirituel, et nous le verrons transfiguré. D’une race plaintive et féminine, surgira l’ours imperturbable, jaloux de ses droits.

    La question bretonne se subordonne à la question de l’homme breton. Que l’on refasse de l’homme breton un homme, qu’on lui redonne le monopole du pouvoir, pratique et psychologique, et il se relèvera. Plus exactement, son redressement sera la conséquence de la fin de sa castration.

    About the Author

     - Boris Le Lay est éditorialiste pour BREIZ ATAO. L'Etat Français a lancé un mandat d'arrêt contre lui pour avoir dénoncé l'invasion de l'Europe par les masses afro-musulmanes.


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  • https://youtu.be/cpCUvKDw60E

    Le président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, a appelé samedi à doubler le nombre de mosquées d'ici deux ans pour pallier le manque de lieux de culte pour les millions de musulmans français.

    "Nous avons 2.200 mosquées. Il en faut le double d'ici deux ans", a souhaité M. Boubakeur, qui est également recteur de la mosquée de Paris, lors du Rassemblement annuel des musulmans de France, organisé par l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) au Bourget.

    Pour les "7 millions de musulmans" de France, les mosquées actuelles "ne suffisent pas", a souligné le président du CFCM. Les estimations du nombre de musulmans en France varient de 4 à 5 millions.

    "Il y a beaucoup de salles de prières, de mosquées inachevées, et il y a beaucoup de mosquées qui ne sont pas construites, je pense qu'il faut le double de mosquées", a-t-il insisté.

    Le président du CFCM n'a pas précisé comment ces constructions pourraient être financées, un sujet sensible alors que le gouvernement cherche à éviter leur financement par des Etats étrangers.

    "Il faut que le nombre de mosquées reflète le nombre de musulmans (...) Nous avons le droit de construire des mosquées, (le droit) que les maires ne s'y opposent pas", a précisé son hôte, le président de l'UOIF, Amar Lasfar.

    "Il y a de moins en moins de maires qui s'opposent systématiquement à la construction de mosquées", s'est-il toutefois réjoui.

    M. Boubakeur a également insisté sur la nécessaire formation des imams, annonçant avoir bon espoir d'aboutir bientôt à un accord avec "certaines universités parisiennes" pour le volet non-religieux de cette formation.

    Ces cours auraient pour objectif "de transmettre des connaissances de la France, de la loi, des traditions françaises à nos imams, pour qu'ils aient une formation complète, religieuse et républicaine", a-t-il ajouté.

    "Nous avons besoin d'une formation religieuse soutenue, acceptée et reconnue et nous devons faire tout pour que nos imams soient des modèles de paix et soient des modèles qui animent nos mosquées, qui sont des lieux de paix", a déclaré le président de l'instance qui représente le culte musulman en France.

    AFP



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  • HOMMAGE A JEAN MARIE !

    Bonsoir mes amis Patriotes,

    Un crime de lèse divinité ...

    La liberté d'expression est manifestement un domaine à géométrie variable !
    Cette réflexion, notre liberté d'expression tellement chère à Charlie qu'on a fait venir 48 chefs d'état pour la défendre, ne s'appliquerait donc t' elle plus à nous même, les Français de Souche ?

    Je m'adresse donc aujourd'hui aux plus jeunes d'entre nous qui n'ont pas suffisamment de recul historique, et surtout à ceux qui auraient un peu trop abusé des doses de PADAMALGAM distillées à souhait par les officines médiatiques.

    Cautionner ceux qui s'insurgent contre les propos de JMLP, et qui poussent des cris d'orfraie en se sentant soit disant ulcérés, relève d'un manque de réflexion basique. De moutons bêlant ensemble, ils se transforment en autruches avec la tête dans le sable. Tout ce monde rabaissé au même niveau de " zéro réflexion " , et je ne parle pas du cul à l'air, bien en évidence !

    DE GRACE NE RENTREZ PAS DANS LE JEU DES MEDIA  ! 
    N' oubliez jamais qu'ils n'ont qu' un SEUL objectif DIVISER ET AFFAIBLIR LE FRONT !

    Essayons d'élever le débat.

    Hier sur BFM WC, Bourdin pour se racheter une moralité consécutive à sa prise de position sur Roland Dumas, à proposé une interview à JMLP . Il en rêvait et n'attendait que cette occasion pour lui tendre un piège, qu'il estimait sans doute subtil.
    Ne croyons pas un instant que JMLP soit tombé dans ce piège comme un perdreau de l'année.

    Il a trop d'expérience de la vie et de la politique, pour que nous ne sous estimions pas ni son courage, ni sa lucidité. 
    Visionnaire il a décrit et dépeint  les menaces qui pèsent sur la France, il a largement prouvé ses capacités de réflexions depuis plus de 40 ans.
    Si le Front National en est là où il est aujourd'hui, c'est largement à lui que nous le devons.

    En fait JMLP nous a délivré un message, cette remise en place dans l'échelle des valeurs qu'il avait déjà fait en 1987, est toujours d'actualité. A l'époque s'attaquer au mythe de la shoah était déjà un crime de lèse majesté. 

    C'est devenu 30 ans après un crime de lèse divinité médiatique.

    Pour faire plaisir à un Bourdin qui n'attendait que ça, il l'a répété ironiquement hier que la seconde guerre mondiale était devenue un DÉTAIL dans l'histoire de la shoah.
     

    En répétant presque mot pour mot sa pensée, il a simplement voulu faire comprendre aux Français et à la secte médiatique, qu'il était temps de faire tomber les masques. ll a d'abord démontré qu'il était fidèle et constant dans ces analyses, mais surtout  il a décidé volontairement d'enfoncer le clou dans l’hypocrisie bien pensante. 

    L'heure de la Vérité est sans doute venue

    JE NE ME PRONONCERAI PAS SUR L'IMPORTANCE RÉELLE OU SUPPOSÉE de la Shoah.

    Deux choses sont sûres : controverse il y a, et business il y a.

    C'est le cheval de bataille et l' éternel fond de commerce du politiquement correct mondial. 
    Pour s'y être attaqués, Faurisson Reynouard et bien d'autre en ont payé le prix de leur liberté.

    En France on a décidé pour le Peuple, par des LOIS quelle était et quelle serait le version officielle de l'Histoire.
    La Sentence de la Loi FABIUS GAYSSOT est FERME ET DÉFINITIVE.
    Cette loi inique s'attaque à ce que nous avons de plus intime.

    Notre LIBERTÉ DE PENSER.

    Non la shoah n'est pas négociable, c'est un postulat, une affirmation irrémédiable universelle et  intangible. La remettre en cause vous conduira tout droit au bûcher pour hérésie.
     
    Plutôt que de larmoyer cyniquement par écran interposé, ne serait il pas plus judicieux de mettre enfin les choses à plat, et de laisser débattre les historiens et les scientifiques sur cette période de l'Histoire ???  
    Plutôt que de tendre des pièges cousus de fil blanc, que Bourdin et ses complices aient alors l’honnêteté d'organiser sur grande chaîne nationale, un débat regroupant d'authentiques scientifiques et historiens, pour lever la chape de plomb qui pèse sur cette tragédie !!!

    Le défi est lancé !

    Est ce que 
    les donneurs de leçon de morale qu'on vient de prendre la main dans le sac de la manipulation des résultats des élections, 
    auront le courage d'affronter la Vérité en face ???

    J'en doute personnellement.
     
    Brillant par leur courage, comme son complice Chirac en son temps, l'ex président de certains Français a refusé le débat face à Marine.
    Il est vrai que leur registre personnel  intellectuel se situe plus dans les coups bas la manipulation et la trahison.

    Les média ne sont pas seulement de serviles et obséquieux valets de la caste politique, ils en sont surtout les complices. 
    Vautours nécrophages de la France, ils se délectent de sa destruction et de son agonie.

    Hier soir, la une de toutes les chaînes d'intox était consacrée à la récidive de JMLP ... 
    Tant et si bien que le reste de la véritable actualité, et les véritables drames en ont été occultés.

    Les musulmans égorgent tuent et violent 147 étudiants au Kenya, c'est normal, banal et sans intérêt !

    Le crime le plus grave 
    a bien été celui de JMLP  qui a osé bafouer la sacro-sainte shoah !

    Les liens à consulter :

    le Kenya 147 morts :
    http://www.contre-info.com/carnage-au-kenya-un-commando-du-harakat-al-shabaab-massacre-147-etudiants-en-priorisant-les-non-musulmans 

    Le business de la shoah :

    Fausse victimes toujours indemnisées par l' Allemagne 42,5 millions de dollar !!! 

    http://www.liberation.fr/monde/2010/11/10/vaste-escroquerie-menee-par-de-fausses-victimes-des-nazis_692692
    Et en France pour un total de 60 millions d' euros, comme si vous et moi en étions responsables !!!
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/12/05/etats-unis-paris-va-indemniser-les-victimes-de-la-shoah-transportees-par-la-sncf_4535530_3222.html

    La cerise sur le gâteau, l'aveu de Claude Sarreaute qui a dit et écrit  ...
    " Regardez nous les juifs, ce qu'on a réussi à faire avec notre shoah, on l'a vendu partout, on est couvert d'argent, on est vraiment plus forts que vous  ..."
    Elle traite ensuite les Arméniens de petits joueurs avec leur génocide....
    http://www.youtube.com/watch?v=SByLURD33xk




    Merci de m'avoir lu amis Patriotes,

    VIVE LA FRANCE libre  !

    Amitiés NATIONALISTES !
    Francis.

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  • :: Loi sur le renseignement : de quel(s) mouvement(s) identitaire(s) parle Bernard Cazeneuve ? ::

      

    Communiqué du 3 avril 2014

     

    Ce 31 mars, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve était interrogé par un député sur le contour exact de la nouvelle loi sur le renseignement, concernant notamment la surveillance des mouvement sociaux.

    Le ministre a répondu que la loi pourrait concerner "des mouvements qui en raison des actions qu'ils déclenchent peuvent se trouver à l'origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de multiples natures". Bernard Cazeneuve a poursuivi en ajoutant "je pense aux mouvements identitaires de multiples natures", puis précisant sa pensée "lorsque des mouvements se proposent d'aller à la sortie de lieux de culte pour procéder à des agressions".

    Il semble évident que les propos du ministre concernaient les mouvements identitaires dans leur acception sociologique, et tout laisse à penser que les faits qu'il évoque en exemple font référence aux attaques survenues aux alentours de certains lieux de culte juifs. Des agressions à propos desquelles le président du CRIF lui-même avait déclaré : "toutes les violences antisémites sont commises par des jeunes musulmans". On peut regretter que le ministre de l'Intérieur n'ait pas fait preuve de la même clarté dans son propos.

    C'est ainsi qu'un certain nombre de médias - par confusion, par facilité, ou dans une volonté délibérée de criminalisation - ont estimé que Bernard Cazeneuve avait visé directement le mouvement identitaire au sens politique du terme (représenté par Génération Identitaire, le Bloc Identitaire, et les initiatives associatives, culturelles et sociales en émanant). Il serait par ailleurs pour le moins cocasse qu'une loi présentée à l'origine comme une réponse aux attaques terroristes islamistes serve à restreindre les libertés et entraver l'action du mouvement le plus en pointe face à la menace islamiste dans notre pays !

    Arnaud Delrieux, président de Génération Identitaire, a donc adressé un courrier aux services du ministre de l'Intérieur afin de lever toute ambiguïté sur ses déclarations du 31 mars.

    Génération Identitaire rappelle aussi son extrême vigilance face aux éventuelles dérives pour les libertés publiques contenues dans ce texte de loi, la lutte contre l'expansion de l'islamisme sur notre territoire passant avant tout par l'arrêt de l'immigration et de l'islamisation.


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