Cela gémit dans les rédactions des médias de propagande. « Les Echos » parlent même de « Femen violentées », rien de moins, par le service d’ordre du FN, le DPS. Les autres protestent contre la brutalité de l’intervention du service de sécurité du Front national. Les faits sont pourtant simples. A deux reprises, les Femen, qui bénéficient d’une impunité totale de la part du régime Valls-Hollande-Taubira, ont essayé de perturber le rassemblement du Front national, ce 1er mai.
A 10 heures, alors que la présidente du FN, Marine Le Pen, mettait une germe au pied de la statue de Jeanne d’Arc, deux énergumènes Femen ont sauté par-dessus les barrières pour tenter de perturber l’initiative. Naturellement, le service d’ordre a réagi rapidement, et les deux provocatrices ont reçu quelques horions avant d’être arrêtées par les forces de l’ordre, et protégées par la sécurité.
D’autre part, l’équipe du Petit Journal, qui n’avait aucune accréditation, a pris quelques marrons pour avoir essayé, avec une perche, de surprendre une conversation de Bruno Gollnisch. Si les journaleux, par corporatisme, pleurnichent, cela ne fera pas pleurer grand monde dans la France profonde, au contraire…
Mais c’est à partir de 11 heures 45 que la provocation a pris une autre dimension. Installées sur le balcon d’une chambre d’hôtel donnant sur la place de l’Opéra, trois Femen firent irruption, se déshabillèrent, et brandirent deux banderoles amalgamant le FN au parti d’Adolf Hitler. Naturellement, la bronca fut énorme, mais, pendant cinq longues minutes, sans la moindre réaction policière, le discours de Marine Le Pen fut interrompu. Il fallut donc bien que le Département Protection Sécurité (DPS) prenne les choses en main, et fasse régner l’ordre républicain.
L’intervention se déroula sans ménagement, et cela était nécessaire. Seules les chochottes y trouveront à redire. Quel service d’ordre syndical ou politique accepterait qu’une manifestation soit troublée simplement par trois personnes, qui, manifestement, bénéficiaient de la bienveillance du pouvoir. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le fasciste déguisé en socialiste Manuel Valls se crut obligé, immédiatement, de glapir au « retour de la vieille extrême droite », oubliant les trois infractions commises par les délinquantes : saluts nazis, perturbations d’une manifestation, et exhibition dans un lieu public.
Faut-il rappeler comment la CGT traitait les gauchistes lors de ses manifestations ? Qui a oublié les manifestations contre le CPE (Contrat Premier Emploi), où les différents services d’ordre ouvriers, gauchistes de Sud compris, s’unirent pour casser la tête des racailles qui venaient agresser les manifestants, croyant avoir affaire à de vulgaires étudiants dévalisables.
Il aurait été inconcevable qu’un parti qui prétend diriger les affaires de la France se montre incapable de se faire respecter, et de permettre à son rassemblement de se tenir normalement, ce que souhaitaient les duettistes Valls-Cazeneuve. Les responsables de la sécurité, en bousculant quelque peu des Femen habituées à être protégées et bien traitées par ce régime à qui elles servent la soupe, ont montré qu’on ne pouvait pas multiplier les provocations et les perturbations sans en subir les conséquences.
Personne n’a oublié que, lors de leur agression contre Notre-Dame, à Paris, ces militantes furent relâchées par la justice « Mur des Cons », alors que les gardiens, pour les avoir expulsées de la cathédrale, furent condamnés par des magistrats Taubira.
Naturellement, les plateaux de télévision ont invité toute la soirée Inna Schevchenko, qui ne parle pas un mot de Français, bien qu’elle ait acquis la nationalité française avec le soutien de son amoureuse transie Caroline Fourest. Nous avons droit aux termes habituels, « fascistes », « racistes », « homophobes », « nazis », sans que personne ne contredise ces outrances, ni ne signale que les seules personnes qui ont fait le salut nazi, ce sont les Femen. Pas un journaliste ne soulignera leurs connivences avec les fascistes ukrainiens, ni leur financement par le milliardaire mondialiste Soros.
http://www.legrandsoir.info/l-histoire-cachee-des-femen.html
Naturellement, par l’inversion des valeurs et des faits qui domine dans ce pays, la protégée de Fourest jouera les victimes, et accusera les militants du DPS de violences contre ses militantes. Les provocatrices osent même protester parce que la porte de leur chambre aurait été forcée illégalement ! Leur porte-parole, une nommée Sarah Constantin, a même annoncé une plainte contre le parti de Marine Le Pen, rien de moins. La bougresse, qui se vante d’avoir été sur le balcon, parade sur les plateaux, tout en gémissant sur des prétendues violences physiques graves dont on ne voit pas la moindre trace. Cela rappelle Fourest au lendemain de la manifestation de Civitas, et de l’agression des Femen, quand elle racontait qu’elle avait été piétinée par six fascistes en rangers, et qu’elle n’avait pas la moindre bosse. C’est donc un coup parfaitement orchestré par le pouvoir et ses médias aux ordres, pour discréditer le parti de Marine Le Pen.
Il est temps que les militants du FN cessent de servir de punching ball, régulièrement agressés qu’ils sont par de véritables fascistes, héritiers des SA des années 30. Il est temps que les Femen sachent qu’elles ne seront pas toujours protégées par la justice Taubira, par la presse Fourest et par la police aux ordres de Valls, mais qu’elles peuvent subir les conséquences de leurs actes.
C’est ce qui leur arrivé ce vendredi, et il convient de féliciter les DPS d’avoir su défendre la liberté d’expression de leur parti.
Martine Chapouton