• Ma vie devient difficile !
    Je suis né blanc, ce qui fait de moi un raciste.
    Je ne vote pas à gauche, ce qui fait de moi un fasciste.
    Je suis hétéro, ce qui fait de moi un homophobe.
    Je ne suis pas syndiqué, ce qui fait de moi un traître à la classe ouvrière 
     et un allié du patronat.
    Je suis de confession chrétienne, ce qui fait de moi un chien d'infidèle.
    J'ai plus de 65 ans et je suis retraité, ce qui fait de moi un vieux con.
    Je réfléchis, sans avaler tout ce que la presse me dicte, ce qui fait de moi
    un réactionnaire. 
    Je tiens à mon identité et à ma culture, ce qui fait de moi un xénophobe.
    J’aimerais vivre en sécurité et voir les délinquants en prison, ce qui fait 
     de moi un gestapiste.
    Je pense que chacun doit être récompensé en fonction de son mérite, ce qui 
     fait de moi un antisocial.
    J’estime que la défense d’un pays est l’affaire de tous les citoyens, ce qui
    fait de moi un militariste.
    J’ai le goût de l’effort et du dépassement de soi, ce qui fait de moi un 
     retardé social.

     Donc je remercie mes amis qui osent encore me fréquenter malgré tous ces 
     défauts
     


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  •  

      : Sans l’islam...et  sans  HOLLANDE  la  FRANCE  serait  trés  HEUREUSE.

     

     --Qui parle d"amalgame ? Il s'agit de l'inventaire de ce que vivent et ressentent (mal) les gens !
     
     Commentaires d’un journaliste du Monde et de sa rédaction
     
     
    Je l’avoue, cela faisait longtemps qu’écrire un tel article me travaillait, en parlant de la situation française.
    Alors, je me suis mis au boulot, avec l’aide de mes amis de la rédaction, et voilà ce que cela donne…
     
    Sans l’islam, Riposte Laïque n’aurait jamais existé, n’aurait jamais édité des livres comme « Reconquista ou Mort de l’Europe », de René Marchand,
    ou « Musulmans, vous nous mentez », d’Hubert Lemaire… et ne serait pas harcelé juridiquement.
     
    Sans l’islam, la France ne subirait pas Hollande, élu grâce au ‘survote’ de 93 % de musulmans, depuis deux ans et demi.
    Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été confronté à des attentats sanglants en 1986 et en 1995, avec plein de morts et de mutilés à vie.
     Sans l’islam, Ilan Halimi serait toujours vivant, et n’aurait pas été torturé à mort durant trois semaines par le barbare mahométan Fofana et sa bande.
     Sans l’islam, Hervé Gourdel serait encore vivant.
     Sans l’islam, Merah n’aurait pas assassiné trois militaires et quatre juifs, dont des enfants, à Toulouse et à Montauban.
     Sans l’islam, des milliers de psychopathes ne seraient pas partis en Irak et en Syrie pour apprendre à nous faire la guerre sainte et à nous tuer quand ils reviendront.
     Sans l’islam, il y aurait moins de coups de couteau à la gorge dans la rubrique faits divers.
     Sans l’islam, la France ne serait peuplée que de citoyens croyants, agnostiques ou athées, mettant de côté leurs spécificités et œuvrant pour mettre en commun ce qui rassemble,
    au nom d’une République laïque, sociale et démocratique.
     Sans l’islam, jamais Brigitte Bardot, Michel Houellebecq, Charlie Hebdo, Fanny Truchelut, Pascal Hilout, Pierre Cassen, Renaud Camus, Christine Tasin, Dominique Jamet,
    Jacques Philarchein, Ivan Rioufol et bien d’autres isolés n’auraient été traînés au tribunal, comme des malfrats, par des commissaires politiques de l’antiracisme ou des musulmans
    rêvant d’instituer la charia en France.
     Sans l’islam les médecins et infirmières ne seraient pas quotidiennement insultés ou frappés par des barbus arriérés refusant qu’on soigne ou accouche leurs femmes.
     Sans l’islam, il n’y aurait pas deux mille agressions et deux cents viols par jour en France, selon les chiffres de Laurent Obertone, dans « France Orange Mécanique ».
     Sans l’islam, il n’y aurait pas d’appels quotidiens à la haine religieuse et à la discrimination dans une grande partie de la population, ce qui détruit tout espoir de cohésion sociale
    et d’entente cordiale.
     Sans l’islam, il n’y aurait pas eu de guerre d’Algérie, car la France n’aurait pas eu à intervenir dans la région en 1830, pour mettre fin aux barbaresques.
    Les pays d’Afrique du Nord ne seraient pas si désagréables à vivre et ne nous enverraient donc pas tant de délinquants et de criminels.
     Sans l’islam, il n’y aurait donc pas eu non plus de traite atlantique, donc pas de repentance pour un phénomène que l’occident, d’une manière générale a en fait combattu et vaincu.
     Sans l’Islam, les jeunes filles et les femmes de France pourraient vaquer dans la rue avec un taux « normal » de sollicitations plus ou moins galantes.
     Sans l’Islam, des dizaines d’adolescentes pourraient poursuivre des études et mener des existences libres sans se voir razziées ici et mariées là-bas, la plupart du temps avec des vieux vicelards qui pourraient être leurs grands-pères.
     Sans l’islam, le professeur Robert Redeker ne vivrait pas comme un prisonnier dans son propre pays depuis 2006.
     Sans l’islam, les autochtones ne seraient pas obligés de quitter leurs banlieues natales,  où ils y avaient tous leurs souvenirs, leurs repères, leur avenir et dont ils ont  financé
    les infrastructures, les équipements sportifs, les établissements et services publics…  par leurs impôts et ceux de leurs aïeuls.
     Sans l’islam, ils ne seraient pas obligés de s’installer en milieux rural, loin de leurs lieux de travail, au prix de nombreux sacrifices, pour se mettre eux-mêmes, et surtout leurs enfants,
    à l’abri des islamo-racailles.
     Sans l’islam et ses incessantes requêtes liberticides, la France serait toujours le pays de la liberté d’expression.
     Sans l’islam, on ne confondrait pas critique d’une religion avec racisme.
     Sans l’islam, nous ne verrions pas ce spectacle pathétique de politiciens collabos se prostituant pour avoir les voix des disciples d’Allah.
     Sans l’islam, nous ne serions pas agressés dans la rue par des voiles qui insultent la condition des femmes, font savoir que celles qui les portent sont réservées aux seuls musulmans,
    injurient les hommes, suspectés de ne pas être capables de se contrôler, et surtout constituent un marqueur sexiste incompatible avec nos valeurs.
     Sans l’islam, la France n’aurait pas été obligée de faire face à l’offensive du voile à l’école, dès 1989, et à des dizaines de provocations contre les équipes enseignantes, de la part
    de jeunes filles soutenues par les associations dites antiracistes.
     Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été obligé de mettre sur pied la commission Stasi contre les signes religieux à l’école (en fait seul le voile posait problème), en 2009,
    et la mission Gérin, en 2009, contre le niqab.
     Sans l’islam, la France ne serait pas confrontée à la présence prosélyte du voile à l’université, et à la multiplication de procès contre des employeurs qui le refusent sur leur lieu de travail.
     Sans l’islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas la présence de 2.500 mosquées, à raison d’une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d’Afrique du Nord,
    et trop souvent avec nos impôts.
     Sans l’islam, autour de ces mosquées, nous n’assisterions pas à la mise en place d’un Etat dans l’Etat, où le petit Etat islamique ronge de plus en plus le grand Etat républicain
    et lui impose ses codes.
     Sans l’islam, nous n’assisterions pas à une recrudescence d’agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.
     Sans l’islam, nous n’assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d’une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.
     Sans l’islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.
     Sans l’islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l’édifice de l’Etat français.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas de halal dans l’armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d’animaux égorgés sans étourdissement, qu’on laisse agoniser pendant un quart d’heure.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas l’impression, dans certains quartiers, d’avoir changé de continent.
     Sans l’islam, le Qatar ne serait pas en train d’acheter des pans entiers de la France.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d’autres,
    qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.
     Sans l’islam, un Français d’origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle famille de se convertir.
     Sans l’islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n’aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.
     Sans l’islam, nos médecins et l’ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu’un homme observe leur épouse.
     Sans l’islam, nous n’aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d’occupation de l’espace public.
     Sans l’islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.
     Sans l’islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas d’appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas d’accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.
     Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu’ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte
    le docteur Alain de Peretti.
     Sans l’islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.
     Sans l’islam, les Français ne connaîtraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré.
    Sans l’islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu’offre souvent la vie.
     Sans l’islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brûlants de nostalgie et de rancœur.
     Sans l’islam, le passé ne serait pas si présent, sans l’islam, l’avenir ne serait pas si terrifiant…
     Sans l’islam, nous ne subirions pas dans la rue les tenues guerrières des salafistes en djellaba ou en kamis.
     Sans l’islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l’AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21e siècle dans l’esprit de certains musulmans.
     Sans l’islam, on pourrait consacrer davantage d’argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.
     Sans l’islam, après le ramadan, il y aurait moins d’absentéisme à l’école
     Sans l’islam, nous n’aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l’habitude de voir égorgés des animaux de manière barbare.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes de rappeurs haineux.
     Sans l’islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu’ils vont faire la loi dans notre pays,
    et que nous sommes foutus.
     Sans l’islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.
     Sans l’islam, il n’y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d’un pays formidable.
     Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible : devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.
    La France ne redeviendra un pays formidable que quand elle se sera débarrassée définitivement de l’islam.
    Il ne vous est pas interdit de faire suivre cet email d’un journaliste en colère

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  • NAHADINE  HOUELLEBECQ


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    La laïcité rempart à l’islam ?

    Ah ! la laïcité…

    Le voilà, enfin, le remède à tous les maux et malheurs qu’a importés l’islam sur notre sol et que nous nommons de multiples manières : islamisme, fondamentalisme, extrémisme, salafisme, djihadisme, terrorisme… En apprenant la laïcité aux « imams » de nos « lieux de prière » et aux « aumôniers » de nos armées et de nos prisons tout en enseignant ses principes aux enfants de nos « quartiers sensibles », nul doute que notre peuple retrouvera la sécurité et la tranquillité dont il jouissait avant… Avant quoi, au fait ? Oui, avant l’arrivée massive de populations de culture musulmane.

    Imaginons le premier cours de laïcité donné à des musulmans, évidemment pieux et plutôt cultivés, qui ambitionnent de devenir imam ou aumônier chez nous ?

    –  Messieurs, en France, la laïcité fait l’objet d’une loi votée en décembre 1905, dont je vais vous donner lecture.

    Article 1er : La République assure la liberté de conscience. »

    Aussitôt, bruits divers sur les bancs. Pourquoi ?

    Le maître, étonné, interroge :

    • Qu’ai-je dit de choquant ? »

    Il répète :

    • Article 1er : La République … »

    Il ne peut pas finir la phrase.

    Toute la classe est debout. Un grand gaillard se met à hurler :

    • Vous nous stigmatisez. Vous êtes islamophobe. Allah akbar ! »

    Le malheureux enseignant préfère battre en retraite. Il quitte la salle sous les huées et les Allah akbar !, heureux d’échapper aux poings qui se lèvent, aux couteaux qui sortent de sous les qamis.

    Variante du même cours : la plupart des élèves ne réagissent pas ; quelques-uns font mine d’apprécier le contenu de la loi.

    Dans la première version, nous avons affaire à des musulmans parlant sans fard et dans la seconde à des musulmans usant de la taqiyya(dissimulation, ruse, mensonge) comme il est légal de le faire à l’égard des infidèles. Mais, n’en doutons pas, les uns et les autres refusent pareillement la laïcité dans son principe fondateur, et pour la raison la plus forte et, même, la plus digne de considération : l’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience, et même l’interdit ; l’admettre, c’est trahir l’islam, c’est ne plus être musulman.

    Trois preuves de cette interdiction :

    1. Un musulman ne peut quitter l’islam. C’est le crime-pêché d’apostasie, punissable de la mort. Ce châtiment est encore appliqué dans certains pays ; ailleurs, on se contente de la mort sociale : on « divorce » le coupable, le prive de ses droits paternels, on saisit ses biens…
    2. Un enfant de musulman sera musulman et, lui aussi, sera interdit d’apostasie.
    3. Une fille de musulman ne peut épouser un non-musulman.

    Est-ce suffisant ?

    Ce sont là des règles qui émanent du Coran, parole d’Allah, éternelle comme Lui, non discutable, non révisable, et des hadîths, recueils des faits et dits de Mahomet, le « beau modèle » selon le Coran. Coran et hadîths sont les deux sources – et les seules – de la Loi musulmane, la charia ; ils sont les fondements mêmes de l’islam, système à la fois juridique, politique, religieux, civilisationnel, tel qu’il existe aujourd’hui dans les 57 pays de l’Organisation de coopération islamique (à l’exception, partiellement, de la Tunisie) et dans la diaspora musulmane.

    Conclusions :

    La laïcité seule ne suffira pas à amener l’islam dans les cadres légaux de la république.

    La loi de 1905 qui précise les rapports entre la république et les cultes, religions, églises… est sans compétence en ce qui concerne l’islam.

    Ergo : l’islam ne doit pas être défini comme une « religion », compatible avec notre droit et avec notre civilisation.

    Ces réalités finiront bien par s’imposer à nos politiques.

    Alors, peut-être, cesseront-ils de rêver à un islam irréel ou de nous mentir cyniquement et commenceront-ils à réfléchir, d’abord et seulement : réfléchir.

    René Marchand

    Basées bien souvent sur des faits divers historiques devenus légendes

    Les philosophies religieuses n'ont qu'un seul but: l'asservissement des peuples ( ne dit on pas la religion est l'opium du peuple ) aux profits des castes dirigeantes .

    LA PIRE D'ENTRE ELLES: L'ISLAM

    il faut reconnaître aux gourous de cette secte leur influence sur un troupeau d'abrutis, parce que arriver à faire croire qu'en mourrant en martirs, ils trouveraient 72 vierges effarouchées, il faut quand même: soit beaucoup de persuasion , soit s'adresser à un public d'arrièrés mentaux.



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  •  Mosquées en Norvège A divulguer au maximum

      

    en Norvège: Allah bonheur !!! Le Gouvernement Saoudien et de Riches Donateurs privés d'Arabie Saoudite, voulaient financer des Mosquées en Norvège à hauteur de dizaines de millions d'euros.
      Légalement, ils en ont le droit. Conformément à la Loi Norvégienne il est permis aux Pays étrangers de soutenir financièrement les Communautés Religieuses, mais vu l'importance de ces sommes, le Gouvernement doit approuver le financement.
      Or, le Ministère des Affaires Etrangères vient non seulement de refuser d'approuver ce financement, mais il a également répondu au Centre Islamique Tawfiiq, qu'il serait " Paradoxal et contre nature d'accepter le financement venant d'un pays qui n'accepte pas la liberté religieuse .."
      Le Ministre Norvégien des Affaires Etrangères Jonas Gahr Støre a déclaré au Journal VG:
      " Nous aurions pu simplement dire Non, le Ministère n'approuve pas.  Mais, nous avons profité de l'occasion pour ajouter que l'Approbation serait Paradoxale, tant que vouloir établir une Communauté Chrétienne en Arabie Saoudite sera considéré comme un Crime ".
     Elle est pourtant transmise par toutes les Agences de Presse, mais probablement sur une Fréquence que le Service Audiovisuel National Français ne reçoit Pas......
       Alors Diffusons !
     Soyez Acteurs concrètement !  avec seulement 1 Envoi à 5 Contacts ce mail (soit 30 sec. de votre temps précieux pour peut être "Aider" votre Pays ),vous serez chacun à l'Origine dans 3 mois d' 1 Million de Mails ou personnes averties !!
     et 48 Millions en 6 Mois ... çà, €'est de l'info !
      


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  • Subject: Tr : [Interdire le Coran en France] Bonjour chers amis Français Patriotes et Résistants !


    Pierre Renversez
    Pierre Renversez 24 janvier 14:47
    Bonjour chers amis Français Patriotes et Résistants !
    Mon nom est Pierre Renversez. Je suis Belge francophone. Je lutte depuis 14 ans contre l'islamisation de la Belgique au travers d'une association officielle que j'ai créée et qui s'appelle NONALI (Non A I'Islamisation). Depuis une semaine, j'ai lancé le mouvement PEGIDA sur la partie belge francophone. Elle s'appelle PEGIDA Wallonie-Bruxelles.
    PEGIDA Wallonie-Bruxelles manifestera pour la première fois le 7 mars prochain à Verviers (où 2 djihadistes furent abattus la semaine dernière par la police) sous le thème NON A LA CHARIA et OUI à la LIBERTÉ d'EXPRESSION.
    Vous pouvez nous aider dans notre initiative en venant mettre un "j'aime" sur notre page PEGIDA et si vous avez encore un peu d'énergie après cela, mettez-en un également sur la page de NONALI.
    Si vous tapez mon nom "Pierre Renversez" vidéo dans GOOGLE, vous aurez un aperçu de mes activités et serez convaincu que je suis actif pour la bonne cause. J'étais également présent aux côtés de Riposte Laïque et de Résistance Républicaine à la conférence le 18 janvier à Paris. 
    Merci à tous. Bonne continuation. Courage, on vaincra !
    Pierre Renversez
    Pour mettre un "j'aime" sur notre page PEGIDA Wallonie-Bruxelles :
    https://www.facebook.com/pages/Pegida-Wallonie-Bruxelles/832382266818003?fref=ts
    Pour mettre un "j'aime" sur notre page Association NONALI :
    https://www.facebook.com/pages/Association-Nonali/726562964057901?ref=hl
    Pegida Wallonie-Bruxelles
    Suivons le combat de nos camarades Pediga Allemagne et Pediga Vlaanderen, contre l'islamisation de l...

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  • La France est une vaste Cocotte-Minute dont les gouvernants et les médias ont refermé définitivement le couvercle de peur de voir une réalité politiquement incorrecte s'en échapper.

    Il n’est pas question pour moi de me réjouir d’un fait que j’analyse et auquel je compte bien consacrer plus qu’un article. Mais il est essentiel d’arracher le bandeau que porte aujourd’hui notre société face à la montée des périls qui se dessinent et qui hélas, j’en suis persuadé, vont nous conduire à une guerre civile soit larvée soit ouverte. Mais d’abord, qu’est-ce qu’une guerre civile ? Une guerre civile est la situation qui existe lorsqu’au sein d’un État, une lutte armée oppose les forces armées régulières à des groupes armés identifiables, ou des groupes armés entre eux, dans des combats dont l’intensité se prolonge dans le temps, dépassant ainsi la simple révolte ou l’insurrection.

    Les causes d’une guerre civile sont multiples. En analysant celles qui se sont enchaînées dans l’Histoire, nous trouvons quatre grands types d’éléments déclencheurs : les différends territoriaux, les conflits ethniques, les antagonismes religieux, les crises socio-économiques. Souvent, d’ailleurs, certains de ces éléments se conjuguent entre eux lorsque le conflit éclate. La gravité de la situation de la France de 2015 est que ces quatre données sont présentes dans notre société. Jusqu’à ces derniers temps, on pouvait penser qu’il manquait la première composante, la composante territoriale. Christophe Guilluy, avec son livre La France Peripherique, Comment on a sacrifié les classes populaires, vient de démontrer que des territoires bien délimités existent et sont différenciables entre zones urbaines et zones périphériques.

    Soyons honnêtes. Nous le découvrons tous les jours et le sentons confusément : la France est une vaste Cocotte-Minute dont les gouvernants et les médias ont refermé définitivement le couvercle de peur de voir une réalité politiquement incorrecte s’en échapper. L’État gangrené au plus haut niveau refuse de voir la situation. Il lui est donc impossible d’appliquer des remèdes puisqu’il nie la maladie. Ainsi, nous avons, autour des zones rurales extra-urbaines, des villes « boboïsées » hérissées de logements sociaux et entourées de centaines de zones de non-droit. Il suffit d’une étincelle pour que le conflit latent entre ces deux forces éclate au grand jour.

    Pourquoi les manifestations, suite aux meurtres de Charlie Hebdo, ont eu un tel succès ? Pas simplement pour défendre la liberté d’expression et encore moins pour soutenir l’hebdomadaire satirique. Il s’agissait de montrer le ras-le-bol d’une population redoutant sa perte d’identité, qui ne supporte plus de voir des terroristes islamisés faire la loi et le djihad dans leur propre pays. Même s’ils sont minoritaires, n’oublions pas que ce sont les minorités qui font les insurrections. Or, une fois la situation radicalisée, la majorité ne peut que les rejoindre car coutumes et civilisation sont les mêmes.

    D’un côté seront mis en avant : notion de cités, de clans, sentiment de non-appartenance à un pays, solidarité du monde musulman, ethnicité et paupérisme.

    De l’autre, face à eux : le fait d’être incompris et même oublié, l’exaspération croissante, la civilisation chrétienne, l’affirmation identitaire, la défense d’une culture, la colère d’une classe moyenne qui s’appauvrit : les « Poor White Trash », comme disent les Américains.

    Le choc des civilisations ne va qu’en s’élargissant. Plus le politiquement correct (« pas d’amalgame», « les premières victimes sont les musulmans », « la France est raciste », etc.) s’exprime dans les médias et plus une majorité de Français s’exaspère et exprime, à travers les réseaux sociaux ou les dialogues de rue, leurs ressentiments vis-à-vis d’une population immigrée ou d’origine immigrée qu’ils ne voient pas s’intégrer.

    Les acteurs sont en place dans la tragédie qui se prépare, il ne manque que la force armée. Quelle sera son attitude ? Il est encore trop tôt pour le dire.

     


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  • Les bonnes âmes n’osent poser l’unique question qui vaille : Qu’est-ce que l’Islam ?

    Depuis quinze jours, l’histoire s’est emballée, balayant nos dernières espérances de paix. Les drames deCharlie Hebdo et d’Hyper Cacher ont creusé la tombe de nos illusions. Nous voici projetés dans l’inconnu d’un devenir à recréer dans les larmes.

    Comme les excités de l’an II qui, en substituant l’Être suprême au Christ, perdirent le contrôle de la dynamique réformatrice suscitée par les hommes de 1789 et entraînèrent le pays dans la Terreur, nous sommes dépassés par les effets pervers d’un laïcisme aveugle qui se croit encore laïcité.

    L’idéologie s’est substituée à l’esprit de discernement et l’islam radical, déguisé en agneau, a pris place chez la « fille aînée de l’Église ». L’agneau est devenu loup et une terreur hallal s’annonce peut-être avec son lot de décapités, par le couteau, cette fois-ci.

    Personne ne devrait plus douter du danger qui pèse sur notre avenir. Mais la peur pousse au déni. Tout est fait pour gommer l’origine du mal. Monsieur Fabius ne voit plus d’islamistes, mais des terroristes ; les médias pleurent sur les musulmans, premières victimes ; Hollande veut lutter contre l’islamophobie ; les manifestants du 11 janvier étaient tous Charlie, même les imams et les voilées présents.

    Bref, l’islam n’est pour rien dans les tragédies de ce mois. Un bel esprit nous a même assuré dans Libé que « l’attentat contre Charlie Hebdo avait la sale gueule de Renaud Camus, d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen ».

    Les bonnes âmes n’osent poser l’unique question qui vaille : Qu’est-ce que l’Islam ? Probablement par peur de découvrir un idéal théocratique fondé sur une doxa coranique incritiquable car incréée. Bref, l’absolu totalitaire. Une perception occidentale ethnocentrée laisse croire que l’universalisme chrétien, projeté et plaqué sur tout autre, serait l’absolu existentiel. C’est oublier le néant. L’islam est une négation. « Il n’est d’autre Dieu qu’Allah », dit la shahadapour nier la Trinité chrétienne. L’Islam est un anti-christianisme opposant à la joue tendue la force du glaive. Il n’offre qu’une alternative : la soumission ou le combat.

    S’il ne se christianise pas, l’Islam ne se laïcisera pas. La laïcité s’articule sur son substrat chrétien. Elle est dédoublement d’un principe premier, un unique binôme qui lie en les séparant Dieu et César. Elle est aussi Fils incarné communiant avec le Père céleste. Elle n’est pas ce laïcisme des matérialistes athées, dégénérescence d’une pensée négatrice du spirituel.

    La laïcité, fille d’un christianisme, dont elle est l’enfant prodigue, ne peut rompre avec un père naturel, auquel elle reste consubstantiellement liée. L’islam, géniteur intolérant qui ne pardonne pas la prodigalité à ses enfants en terre musulmane, est devenu, aujourd’hui, en Europe, le fils adoptif d’une culture d’inspiration chrétienne. Peut-il trouver sa place au sein de la famille d’accueil idéologique occidentale qui le reçoit, sans se poser en rival du Verbe nourricier qui la fonde et la fait vivre ?
     
    Telle est la question.

     


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  • « Ci-gît la confiance. Ci-gît votre avenir. » Et votre quotidien devient un enfer, faudra vous y faire.

    Écrasé, pulvérisé, réduit en cendres, le vœu du vainqueur de la primaire socialiste de « réenchanter le rêve français ». Morte, la confiance en leur avenir que les jeunes devaient recouvrer. C’est Manuel Valls, en déplacement dans un établissement agricole de Seine-et-Marne, qui vient de le leur assener : « Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger », le terrorisme, « pendant un certain nombre d’années ».

    En somme, le brave homme l’avoue et, magnanime, prévient : le terrorisme – Manuel est pudique – n’en a pas fini avec nous mais pas grave, nous nous y ferons. Et surtout, les jeunes, c’est bien connu, s’adaptent à tout.

    Mais souvenons-nous, lors de son discours au Bourget, le 22 janvier 2012, quand le candidat Hollande disait vouloir être jugé – s’il était élu président – sur cette seule promesse  : « […] Est-ce que les jeunes vivront mieux en 2017 qu’en 2012 […]. »Côté chômage, au 3e trimestre 2014, c’est un zéro pointé : 24,6 % – en progression d’un point – chez les 16-25 ans, DOM inclus. En outre, 27 % des jeunes diplômés se disaient prêts, en 2013, à quitter la France pour aller travailler à l’étranger. C’est un fait, ils s’adaptent.

    Côté douceur de vivre et trois attentats plus tard, le couperet tombe : non seulement les jeunes – et a fortiori l’ensemble de la population – ne vivront pas mieux mais ils subiront la terreur de trouver sur leur chemin d’autres Kouachi, d’autres Coulibaly, ou de croiser des déséquilibrés fanatiques d’attaques à la gorge. C’est flippant, mais le ministre n’y peut rien : faudra qu’on s’y fasse.

    À Tulle, en mai 2012, les jeunes étaient toujours à la fête. Le Président fraîchement élu remettait le couvert et s’engageait à être évalué sur deux engagements : la justice et la jeunesse. Pour ce qui est de la première, Taubira, depuis, est passée par là avec sa réforme pénale donnant – entre autres – aux multirécidivistes les mêmes droits qu’aux primo-délinquants. Une nouvelle loi pour légaliser le laxisme existant, c’est ça, la justice ?

    Le 12 mars 2013, enfin, à Dijon, François Hollande lançait, emphatique, « Faites confiance aux jeunes », et exhortait ces derniers à retrouver la « confiance en leur avenir qui leur fait tant défaut »

    Deux ans et demi plus tard, les propos de Manuel Valls devant des lycéens inquiets sonnent telle une oraison funèbre : « Ci-gît la confiance. Ci-gît votre avenir. » Et votre quotidien devient un enfer, faudra vous y faire.

    « Trahie »« sacrifiée »« abandonnée »« reléguée », déplorait le candidat Hollande à propos de la jeunesse. Si ça n’était pas faux, force est de constater que ça n’en est que plus probant maintenant.

    Et d’espoir, le Premier ministre n’en nourrit pas tellement, qui prévient les lycéens que le dispositif Vigipirate « durera aussi longtemps que nécessaire ». En clair, on n’est pas sorti de l’auberge… le terrorisme a de beaux jours devant lui.

    Annoncer aux lycéens que leur génération doit s’habituer à vivre avec le terrorisme – en plus de leur envoyer un message fataliste terriblement démoralisant – ne sonne-t-il pas comme un échec cuisant de la politique menée depuis bientôt 3 ans ? Le sens de l’honneur d’un président de la République qui, au lendemain de son élection, clamait être « fier d’avoir redonné espoir » mais dont les services de renseignement, 2 ans plus tard, n’ont pas déjoué les attentats, ne devrait-il pas l’inciter à se retirer de la fonction ?

    Enfin, nous dire qu’il faut nous habituer à vivre avec le terrorisme signifie-t-il l’impuissance du gouvernement à ne pas faire vivre le terrorisme avec nous ?


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  • L’attentat fêté par des feux d’artifice à Besançon

    Rédigé par lesoufflet le 09 janvier 2015.

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    Mercredi soir, dans un quartier de Besançon, des jeunes « chances pour la France » ont célébré la victoire des terroristes à Charlie Hebdo en lançant un feu d’artifice. Un soutien immonde qui démontre encore que les fous d’Allah ne sont pas si isolés par rapport à leurs coreligionnaires français…

    L’Est Républicain explique ainsi que dans le quartier de la Grette, une bande de jeunes a fait la fête en l’honneur de l’attaque de Charlie Hebdo. Une patrouille de police venue les calmer a été agressée par ces pasdamalgames : plusieurs projectiles ont été jetés sur les forces de l’ordre qui ont été accueillies aux cris de «allahu akbar… On a en tué deux, on va continuer !».

    Les tirs de mortiers d’artifices ont été lancés après le départ de la police (bien sûr, comme d’habitude, qui n’a arrêté personne).

    Quand Zemmour évoquait une guerre civile, on a voulu le faire taire, comme si ses prédictions éclairées étaient responsable de cette situation qu’on ne peut plus nier ! Valls ferait mieux de mettre en prison tous ceux qui soutiennent les terroristes. On sait que les messages de soutien à Ben Laden et Merah ont fleuri dans nos cités sans que personne ne fasse rien d’autre que de marmonner le célèbre « pas d’amalgame ». Vont-ils enfin ouvrir les yeux ?

    Au lieu de faire taire un humoriste, il faudrait mettre en taule toutes ces racailles qui soutiennent ouvertement dans la rue ou sur les réseaux sociaux, les ennemis de la France.

    #onfaitquoimaintenant?


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  • Les racines islamiques du massacre de Charlie Hebdo, un peu

    Les racines islamiques du massacre de Charlie Hebdo, un peu “d’histoire sainte” islamique

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    Ci-dessus : Décapitation du poète Al-Nadr sur ordre de Mahomet, parce qu’il avait raconté des histoires drôles sur lui.

    Par “Hélios d’Alexandrie

    Le sang des victimes n’avait pas encore séché que les bien-pensants s’évertuaient à expliquer le massacre. Il faut chercher disent-ils les causes sous-jacentes à la radicalisation des musulmans, les causes socio-économiques par exemple, car les choses ne sont pas aussi simples qu’il n’y paraît. L’exclusion, la précarité, l’aliénation, la révolte contre un ordre social injuste, etc. On croirait entendre Tariq Ramadan quand il justifiait les horreurs perpétrées par Mohammed Merah à Toulouse il y a moins de trois ans.

    Le public se laissera-t-il berner encore une fois? Non mesdames et messieurs les bien-pensants, cette fois le public ne vous suivra pas bien loin. Continuez à vous illusionner sur votre pouvoir de désinformer, les gens ne sont plus dupes, on peut même dire que les adeptes du « vivre ensemble » à n’importe quel prix, ont finalement perdu leur « innocence » avec leurs illusions. On ne vit pas à égalité avec les islamistes, on se soumet à eux dans l’humiliation ou on meurt.

    Les islamistes ont leur façon à eux de nous dire qui est le maître. Ils prennent les moyens qu’ils jugent appropriés pour nous convaincre de renoncer morceau par morceau à cette civilisation, historiquement la plus achevée et la plus humaine, que nos aïeux ont édifiée, non sans sacrifices ni sans douleur. Nous avons certes raison de nous inquiéter pour la liberté d’expression, elle est aujourd’hui sérieusement amochée, mais qui s’inquiétait hier du Processus d’Istanbul, où l’on a vu des hommes politiques islamistes et des personnalités politiques occidentales de premier plan comme Hillary Clinton, s’allier pour museler les critiques de l’islam?

    Les islamistes, c’est connu, sont passés maîtres dans la distribution des rôles: Erdogan et son ministre des affaires étrangères s’insurgent contre «l’islamophobie», véritable «crime contre l’humanité» selon eux; mais ce sont d’autres islamistes, plus jeunes, moins connus, mais bien financés et bien entraînés qui punissent le «crime». Le sang répandu dans la salle de réunion de Charlie Hebdo, les potentats musulmans du Qatar, d’Arabie Saoudite et de Turquie en ont plein sur les mains.

    Erdogan a pour son dire qu’il n’y a pas islam et islamisme, l’islam c’est l’islam ! On ne peut que lui donner raison, et le massacre de Charlie Hebdo, n’en déplaise aux adeptes de la rectitude politique, c’est aussi et surtout l’islam. Ceux qui l’ont perpétré seront élevés au rang de héros, ils ont lavé l’honneur de Mahomet et par le fait même l’honneur de l’islam et des musulmans; en cela ils ont suivi l’exemple de leur «beau modèle» tel que rapporté dans la Sira, la biographie de Mahomet. Contrairement aux aveugles volontaires qui s’acharnent à ne pas voir l’évidence, les islamistes ne s’étonnent pas d’un tel crime, ouvertement ou en privé ils s’en féliciteront, ils s’abstiendront peut-être de danser dans les rues, mais ils ne cacheront ni leur satisfaction ni leur morgue.

    Un peu « d’histoire sainte » islamique

     

    Les racines islamiques du massacre de Charlie Hebdo, un peu Si l’on se fie à la Sira, après la bataille de Badr et sa victoire contre les marchands de la Mecque, Mahomet gagna en assurance et en audace. Il s’employa à éliminer un par un les poètes satiriques qui l’avaient attaqué ou moqué. Le premier en lice (image ci-contre) fut Al-Nadr, un mecquois qui avait raconté à son sujet des histoires drôles et qui avait tourné en dérision sa carrière de prophète, il fut exécuté sans jugement ni appel.

    Après ce fut au tour d’Ocha, un autre captif mecquois. Il protesta et demanda pourquoi il devait être traité avec plus de rigueur que les autres captifs. « À cause de ton insolence envers le prophète d’Allah ! » lui répondit Mahomet. « Et ma petite fille! cria Ocha, qui prendra soin d’elle ? » « Les feux de l’enfer ! » lui cria Mahomet, à cet instant le sabre s’abattit sur Ocha, et il expira. « Misérable et persécuteur ! Mécréant qui n’as pas cru en moi ni au coran, je remercie Allah qui t’a tué et ainsi a mis du baume sur mon cœur ! »

    De retour à Médine Mahomet entreprit de se débarrasser de l’opposition, il chargea ses espions de lui rapporter tout ce qu’on disait de lui, après quoi il incitait ses sbires à des actions violentes contre ses critiques. Sa prochaine victime fut la poétesse Asma bint Marwan, elle ne cachait pas son aversion pour l’islam et avait composé des satires contre Mahomet. Quand il en a pris connaissance le «saint homme» ne cacha pas sa rage: «Qui donc me débarrassera de la fille de Marwan?» lança-t-il à ses compagnons. Un musulman zélé du nom de Omayr ibn Adi s’offrit comme volontaire. La nuit même, il s’introduisit dans la maison d’Asma pendant qu’elle dormait entourée de ses jeunes enfants. L’un deux, un nourrisson, était couché sur son sein. Omayr écarta le bébé et transperça la pauvre mère de son épée. Le lendemain, au moment de la prière, Mahomet qui se doutait de l’assassinat demanda à Omayr s’il avait tué la fille de Marwan. «Oui répondit-il, dois-je m’attendre à un châtiment?» Et Mahomet de répondre: «Mais pas du tout, deux chèvres ne se heurteraient pas la tête l’une contre l’autre pour si peu!» (les chèvres sont réputées se donner des coups de corne pour des peccadilles)

    Peu après, Mahomet décida pour les mêmes raisons de se débarrasser d’un autre poète, Abou Afak qui était centenaire, lui aussi fut assassiné durant son sommeil. Et ce fut par la suite au tour de Kaab ibn al-Ashraf qui était juif de la tribu des Banu Nadir. Il s’était rendu à la Mecque après la bataille de Badr et avait composé des oraisons funèbres en hommage aux victimes mecquoises, il avait également dénoncé la violence de Mahomet. Ce dernier déclara devant témoins: «Ô Allah, délivre-moi du fils d’Ashraf de la manière qui Te semblera bonne, parce qu’il s’est rebellé contre moi et ses poèmes sont séditieux!» Or Kaab était protégé par sa tribu et les compagnons de Mahomet réalisèrent qu’ils ne pourraient le tuer qu’en faisant preuve de ruse. Les conspirateurs établirent leur plan dans la maison de Mahomet qui leur donna sa bénédiction. Ils allèrent trouver Kaab le plus amicalement du monde, engagèrent conversation avec lui et gagnèrent sa confiance, ils parvinrent à l’attirer loin de sa maison et l’assassinèrent dans l’obscurité. L’ayant décapité ils apportèrent sa tête à Mahomet, qui les félicita et remercia Allah avec effusion.

    Les leçons qu’il faut tirer du massacre

    C’est ainsi que Mahomet en son temps se débarrassa de ses nombreux «Charlie Hebdos». L’exemplarité de Mahomet n’est pas un vain mot, les musulmans de stricte observance se font un point d’honneur de l’imiter scrupuleusement. Il faut absolument réduire au silence la critique, éliminer l’opposition, mais plus encore terroriser tous ceux qui seraient tentés de s’opposer.

    Les journalistes et les caricaturistes de par le monde savent à présent à quoi s’en tenir, à l’exemple d’Al-Nadr, d’Ocha, d’Asma bint Marwan, d’Abou Afak, et de Kaab ibn al-Ashraf. [...]
    Quatorze siècles plus tard les sectateurs de Mahomet répètent pieusement les mêmes assassinats pour atteindre les mêmes résultats.

    Hélios d’Alexandrie


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    Intéressant !

    On se demandait pourquoi le dollard montait et l'euro se cassait la gueule, maintenant on sait pourquoi !

    La nouvelle la plus spectaculaire de 2014 est passée presque inaperçue :

    les Etats-Unis ont levé les restrictions sur les exportations de pétrole américain, et dès les premiers

    jours de la nouvelle année, ils ont commencé à exporter leur pétrole dans le monde.

    Personne ne croyait que cela arriverait si vite, mais les Etats-Unis sont déjà le plus grand fabricant de pétrole dans le monde,

    plus grand que l'Arabie Saoudite, grâce à la technologie du schiste bitumeux qui a changé le monde de l'énergie. En un an, les

    Etats-Unis devraient exporter environ un million de barils de pétrole par jour et en produire 12 millions par jour.

    L'Iran, pour comparer, produit environ un million et demi de barils par jour.

    Cela signifie que les prix du pétrole vont continuer à baisser, alors que les Etats-Unis sont déjà en concurrence avec d'autres

    fabricants. En conséquence, la Russie sera écrasée, l'Arabie Saoudite et le reste des pays du Golfe vont tomber tête par terre,

    le cartel va s'effondrer, et toutes les dictatures qui étaient essentiellement basées sur le pétrole, comme l'Iran, devraient faire face à

    un avenir sombre.Dans le même temps, les démocraties comme le Canada, le Brésil, leMexique, le Nigeria et même le petit Israël

    entreront sur le marché.L'ère du pétrole arabe est terminée, et donc également la puissance destructrice des dictatures du pétrole du Golfe

    Persique. Ces dictatures ont honteusement contrôlé l'Europe en déclin, achetant des politiciens, soudoyant des entreprises, mettant la main

    sur l'économie et le pouvoir politique, également utilisés contre Israël.

    Il faudra quelques mois, mais autant les européens que les américains se rendront compte que l'ère de la puissance destructrice arabe

    n'est plus, parce que les états du Golfe n'auront plus d'argent à dépenser. Au contraire, ils seront secoués à l'intérieur par des chocs

    sociaux, ethniques et terroristes, car ils n'auront plus d'argent pour continuer à satisfaire le terrorisme.

    Les signes de la baisse du pouvoir arabe sont déjà visibles. Vingt-deux pays arabes ont fait d'énormes efforts la semaine dernière pour faire

    passer une résolution anti-Israël au conseil de sécurité de l'ONU, mais n'ont pas réussi. Les pays occidentaux forts ont fait face. Il est vrai que

    la France et le Luxembourg sont encore contrôlés par le capital arabe, ou pensent qu'ils le sont, maisils vont également se rendre compte que

    l'ère de l'argent arabe est terminée.

    Mais alors que les prix du pétrole vont continuer à baisser, que va-t-il arriver à la Russie ? Le pays s'effondre et pourrait se tourner vers une guerre

    en Europe pour se sauver. Et qu'arrivera-t-il à l'Egypte, financée par l'Arabie Saoudite ? Cette dernière a déjà réduit son aide au Caire, parce que

    l'argent n'est plus une évidence.

    Et que dire des riches pays du Golfe, comme le Qatar ? Ils se font des illusions que quelqu'un sera intéressé par eux si ils n'ont pas de pétrole.

    Ils pensent encore jouer avec l'idée du tourisme. Eh bien, si il n'y a pas de pétrole, personne ne voudra s'y rendre, et le sable couvrira à nouveau

    les immenses tours qu'ils ont construites. Et l'autorité de Mahmoud Abbas ? Le fait est que personne dans le Golfe ne lui a effectivement donné

    de l'argent,  et ce même avant la crise, bien qu'il y avait toujours les traditionnelles déclarations festives.

    Alors que l'année 2015 commence, nous sommes confrontés à un monde nouveau. Un monde de la révolution de l'information, de l'esprit, de la

    force personnelle, de l'innovation et des inventions. Et dans ce monde, Israël est une vraie princesse.

    L'ère du pétrole arabe est terminée, et l'ère de l'esprit de la mondialisation et d'Israël commence. C'est un fait que les pays qui n'osaient pas se

    rapprocher de nous dans le passé, en raison de l'extorsion par les capitaux arabes, le font maintenant à la hâte, comme pour rattraper le temps

    perdu pendant tant d'années.

    Israël est devenu un proche ami de pays éloignés dans le passé, comme l'Inde, le Japon, la Chine et la Corée du Sud. Eux aussi comprennent

    que ceux qui ne sont pas innovants et manquent d'esprit créatif ne seront tout simplement pas. Et dans ce domaine, Israël a beaucoup à leur offrir,

    tout comme ils ont beaucoup à offrir en retour.

     

    (Traduction d'un article de Guy Bechor paru sur Ynet)

    Les États-Unis deviennent les premiers producteurs de pétrole du monde

    Pour la première fois, en octobre 2013, la production de pétrole en Amérique a dépassé les importations. Les États-Unis qui étaient encore il y a 10 ans, affreusement dépendant de l’extérieur, réussit désormais à produire 60% de ses besoins. L’information fait la manchette des journaux anglo-saxons mais gageons qu'en France, nos hommes politiques la tairont discrètement.

    L'Édito de Jean-Marc Sylvestre

    Publié le 15 Novembre 2013

    image: http://www.atlantico.fr/sites/atlantico.fr/files/styles/une/public/images/2014/04/petrole_2.jpg

    Les États-Unis deviennent les premiers producteurs de pétrole du monde

    Les États-Unis deviennent les premiers producteurs de pétrole du monde 

      Barack Obama a évidemment salué ce chiffre qui marque un tournant dans l’économie américaine. C’est la conséquence de la politique énergétique du Président qui est fondée sur deux choix stratégiques. Le premier, que l’industrie consomme moins de pétrole et que les voitures consomment moins d’essence : 50% de moins qu'il y a dix ans. Le second choi, c’est  l’exploitation massive des gaz et des pétroles de schiste dans des régions où il existe déjà des équipements de traitement et de transport. Ce qui abaisse, encore, le coût d’exploitation.

    On peut évidemment, dans les tribunes politiques françaises, à la télévision ou dans la presse, décliner tous les inconvénients du gaz de schiste. On peut en profiter pour accuser les USA de détruire l’environnement et d’encourager la consommation. On oubliera vite que les Allemands, champions du bio et porteur de la vertu écologique, sont devenus les plus gros pollueurs de l’Europe et consomment une énergie électrique qui vaut deux fois la nôtre et trois fois celle des américains.

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    Pendant ce temps-là, l’Amérique a retrouvé la croissance et l’emploi, pendant ce temps-là, l’Amérique a regagné en compétitivité et récupéré ses industries. Pendant ce temps-là, l’Amérique gagne ses galons de premier producteur de pétrole de la planète. L’année prochaine, l’Amérique produira plus de pétrole que l’Arabie saoudite et plus de gaz que la Russie. On imagine mal le changement géopolitique que ça représente. L’Arabie saoudite perdant sa surpuissance et la Russie perdant son arrogance.

    Pendant ce temps-là, la France en sera encore à se demander si elle doit toujours travailler 35 heures, à quel âge faudra-t-il partir à la retraite… A moins que la crise, rendant intelligent, nous oblige à constater que les choix idéologiques sont archaïques et que la solution pragmatique se trouve dans l’Europe. Vis-à-vis de l’Europe, la France se sent coupable d’avoir réussi seule une des plus belles industries nucléaire. Car il n’y a pas eu d’Europe plus nulle, plus inefficace et plus polluante, dans tous les sens du terme, que l’Europe de l’énergie


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  • Au temps de ma lointaine jeunesse, j’eus en classe de terminale une prof de philo qui avait fait ses classes post-68 sur les chemins de Katmandou. Portant guenilles safran et force patchouli, elle nous emmenait passer l’heure de cours au bistrot du coin. Sur le cahier de classe qu’il fallait tenir à l’époque, elle écrivait en faisant tinter les bagues qu’elle portait à chaque doigt : « Étude de milieu ». Reconnaissant, le cafetier lui offrait le déjeuner.

    Il semble que cette philosophie soit aujourd’hui très en vogue chez nos politiques. Avec cette petite nuance qu’il faut prendre le mot « milieu » dans ses multiples sens. Exemple : papy Dassault et ses millions distribués à des truands pour acheter les élections et « la paix sociale » à Corbeil-Essonnes, dans les chaudes cités de Montconseil et des Tarterêts. Un Serge Dassault qui s’est bien vite trouvé dépassé, racketté comme il se doit par des « grands frères » puis des petits frères toujours plus gourmands.

    Mais l’histoire des « grands frères » se superpose parfois à celle des « frères » tout court, celle des caïds de cité à celle des islamistes fous, et nos politiques n’y voient que du feu… jusqu’à ce qu’il leur pète à la gueule. La preuve par Amedy Coulibaly, tueur de Montrouge et de Vincennes désormais célèbre dans le monde entier. Un Coulibaly reçu par Sarkozy comme emblème-du-jeune-de-banlieue-qui-essaie-de-s’en-sortir. Un Coulibaly qui alors traînait déjà à son casier 6 condamnations pour vol aggravé et trafic de drogue. Un p’tit gars sympa comme ceux à qui Dassault offrait des stylos Montblanc et des liasses de billets.

    Les politiques battent-ils leur coulpe devant tant de coupable naïveté ? Pas le député PS Pietrasanta, en tout cas, qu’on a vu et entendu en boucle sur toutes les télés et radios les semaines passées, dissertant sur l’efficacité de nos services pour débusquer, partout où elle se trouve, « la menace terroriste ». Il sait ce qu’il dit, Sébastien Pietrasanta : c’est lui, le rapporteur à l’Assemblée nationale de la loi sur le terrorisme promulguée en novembre dernier. Il connaît le sujet mieux que personne. La preuve : il avait embauché en juillet 2010 dans sa mairie d’Asnières-sur-Seine un dénommé Michaël A. Son voisin. Il connaissait sa maman, une brave femme. Mais Michaël A. vient d’être mis en examen puis écroué pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes ». On a retrouvé ses empreintes sur les armes de son pote Coulibaly avec qui il aurait passé six heures deux jours avant l’attentat de Charlie Hebdo, à qui il a téléphoné 18 fois la vieille. Pour parler de la météo, sans doute.

    Et Sébastien Pietrasanta, l’homme qui affirme qu’on sait tout sur tout, avoue auPoint « tomber des nues ». Michaël A. était un bon garçon bien poli, « pas du tout radical ». Et voilà que ce brave garçon prend 4 ans de zonzon pour trafic de drogue peu de temps après son embauche. Et voilà qu’on découvre qu’il avait déjà été condamné en 2009 pour vol et violences aggravées. Et qu’en dit-il,
    M. Pietrasanta ? « Normalement, nous demandons le casier judiciaire de nos employés avant de les embaucher. Mais je ne m’occupais pas de ces détails, ce n’était pas mon rôle. Nous faisions de l’insertion professionnelle. » Ah ben oui, ça change tout, forcément.

     L'espionne qui venait du bled ...
     

     Avec son air innocent elle nous mène apparemment par le bout du nez .... on ne sait qui croire...

    Voici qui explique « sa tête » de l’autre soir aux infos sur la 2 …..
    Le ministre Najat Belkacem est-elle l'agent secret d'un pays étranger ?
    Ce n'est pas nouveau, mais cette rumeur se confirme …
    Il est inadmissible qu’une personne à la double nationalité soit à un poste ministériel.
    Dans l’industrie on parlerait de conflit d’intérêt ; et dans la haute fonction d’Etat ?
    Pas étonnant qu’elle ait refusé de se présenter aux législatives …
     En Février 2012, le journaliste marocain Ali Amar révélait, sur son blog VoxMaroc au Monde.fr
    que « Najat Belkacem (est) l’espionne du roi ... »
    Il dénonçait la double carrière politique de Najat Belkacem, qui fait partie, depuis 2007, des 37 membres du Conseil consultatif des Marocains à l’étranger (CCME), directement nommés par Mohammed VI.

     Le conseil de la communauté marocaine de l’étranger (CCME), pour Najat Belkacem « a pour but de renforcer l’identité marocaine des Marocains de l’étranger, d’émettre des avis sur leur éducation religieuse (musulmane) »
      
     Gênée d’avoir été découverte défendant l’identité Marocaine alors qu’elle dénonce la préférence nationale Française comme une tare d’extrême droite, Belkacem déclara à l’AFP avoir fait partie du CCME « entre décembre 2007 et décembre 2011 »
       Faux ! écrit le site marocain Yabiladi le 20 avril dernier ::
    Le mandat du CCME devait prendre fin et le Conseil devait être renouvelé en décembre 2011, mais jusqu’à ce jour, rien n’est fait.
    Les membres sont dans le flou et il semblerait que le président n’ait pas encore envoyé ses avis au roi. »
    Autrement dit, sauf si elle a démissionné directement, ce qu’elle ne dit pas, Najat Belkacem n’a pas mis fin à ses fonctions, mais elle s’appuie de façon pernicieuse sur la date du renouvellement des membres.
     Najat Belkacem affirma ensuite ne pas être payée pour cette fonction, c’est : « un engagement volontaire et bénévole au service de l’intérêt général
    Faux ! écrit le journaliste Ali Amar :« elle perçoit des émoluments de complaisance dont le montant est presque un secret d’Etat »
     Rémunérée ou bénévole, le vrai sujet, en réalité, est ailleurs.
    Car selon Ali Amar, le CCME est « la machine de propagande du royaume à l’international, sa cinquième colonne »
     Au site Bladi.net, Najat Belkacem déclarait que le CCME« s’exprimera d’abord sur les sujets dont [il] sera saisi par Sa Majesté, en faisant valoir un point de vue de Marocains de l’étranger, et pour ce qui me concerne de Franco-Marocaine engagée dans la vie politique française ».
    Pour qui roule le Ministre ?
    Ali Amar qui rappelle que Najat Belkacem, jusqu’en 2007, était la porte-parole du Palais, conclut que « celle qui siège à 34 ans comme adjoint au maire de Lyon, et également comme conseiller général, engrange les faits d’armes d’agent double ».
    Najat Belkacem ne faisait-elle pas à l’Express, le 12 mai dernier cette déclaration troublante :
    ” Lorsque vous êtes d’une nationalité étrangère mais installé en France (???), vous pouvez aussi constituer une sorte de passerelle entre votre pays d’origine et votre pays de citoyenneté (pour) développer de meilleures relations culturelles (et) même économiques (avec) les pays qui nous entourent
    Ali Amar : « Au Palais de Rabat, on se frotte déjà les mains de la voir sur la photo de groupe sur le perron de Élysée. L’espionne qui venait du bled est à deux doigts de pénétrer le saint des saints de la république.    
     A la joie du sultan! »

      Reproduction autorisée, et même vivement encouragée

    Mao Tsé-toung, grand théoricien de la guérilla, aimait à dire que « le révolutionnaire est dans le peuple comme le poisson dans l’eau ». Les terroristes aussi. C’est même leur raison d’être.


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  • http://youtu.be/zFH_9XKvW0o

    L'ECHEC DE L'INTEGRATION EN BELGIQUE

    C’est le sujet qui fait la une de la presse belge ce mercredi. Le premier numéro de l’émission « Dossiers Tabous » du célèbre Jean-Claude Defossé diffusé mardi soir sur RTL TVI a déclenché une vive polémique. Et pour cause, il présente l’intégration des immigrés musulmans en Belgique comme un «échec». Politiques, militants associatifs, citoyens lambda, les critiques ont émané de tout bord. 

    Accusé par les uns de « surfer sur les clichés » ou de faire un « mélange d’amalgames », M. Defossé ne change pas sa ligne de conduite. « Mon but était de secouer le cocotier pour voir ce qui tombait, de faire réfléchir en somme. Et j’ai réussi. Un reportage sans critiques, c’est pour moi un reportage à l’eau tiède. Si c’était à refaire, je ne changerais rien ».

    « L’intégration est un échec ! ». Voilà le thème du premier numéro de l’émission « Dossiers tabous » diffusé mardi soir sur RTL TVI. Annoncé en grande pompe car marquant le retour à la télé du célèbre journaliste belge Jean-Claude Defossé, les Belges étaient impatients de découvrir ce programme. Mais outre les appréciations de certains Belgo-belges, l’émission a provoqué un tollé. [...]

    Sur les réseaux sociaux, les internautes ne cessent de réagir depuis hier soir. «En tant que Belge d’origine marocaine je suis outrée par votre émission qui incite à la haine», écrit L.O, commentant la publication de RTL sur la page Facebook de la chaîne TV. Pour elle, ce programme est « aberrant et surtout choquant ». «Vous parlez d’intégration alors que nous faisons partie de la 2ème voire 3ème génération nous sommes nés ici et nous sommes Belges ! Nous avons des origines et des croyances et ne nous les imposons à personne<:em>», argue l’internaute avant d’ajouter : «nous ne sommes pas responsables de l’échec du pays face à la crise ou autre événement que ce soit»



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  • http://youtu.be/Mda4h1YGMM0


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  • L’implant d’une puce qui permet aux musulmans extrémistes de parler directement à Allah....

    Cet implant est spécialement conçu pour être placé sous le front.
     Lorsqu’il est correctement introduit il permet aux Musulmans de parler directement à leur dieu. 
     Disponible en plusieurs tailles, de 5,5 à 12,7 mm.

     

     

     

    La taille exacte de l'implant est choisie par un technicien compétent, par exemple un élément de la BRI ou du GIPN
     Il saura effectuer très facilement la mise en place.

    Aucune anesthésie préalable n'est nécessaire. L’implant est introduit sans douleur.
     Il est certifié halal.
     Les effets secondaires (migraines) ne sont que de très courte durée. 
     Un léger saignement est possible lors de la mise en place.
     Les bénéficiaires de la CMU, les piliers de mosquées, les businessmans de banlieue sont prioritaires.

    Merci d’apprécier à sa juste valeur toute la sécurité que nous vous apportons.

     

      

     


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  • Asrar al-islam, les secrets de l’islam, lève le voile sur les mystères autour du passé légendaire du Prophète Mahomet, et déterre des vérités enfouies depuis des siècles par des imams illuminés qui luttent pour la suprématie de l’islam. Le croyant ne pense qu’en fonction de sa prison de dogmes irrationnels dans laquelle on l’a enfermé dès sa jeunesse, mais lorsque sa curiosité le pousse à scier les barreaux de l’ignorance qui le retiennent captif, elle sème alors le chaos dans le petit monde illusoire qu’on avait bâti pour lui.

    Fondé au VIIe siècle par Mahomet, l’islam est un mouvement politico-religieux né en Arabie dont la doctrine repose essentiellement sur un livre, le sacro-saint Coran. Considéré par ses adeptes comme la révélation divine transmise au Prophète par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, le contenu du Coran demeure néanmoins énigmatique, obscur et impénétrable pour plus d’un milliard de fidèles. Sa signification est dépendante de la tradition prophétique et soumise aux savants religieux, les ‘oulemâ’, qui en sont les uniques interprètes. La lecture d’une dizaine de volumes d’exégèse coranique est donc nécessaire afin de pouvoir saisir le sens de la parole d’Allah. Pourquoi les musulmanes sont-elles forcées de porter le voile ? Pour quelle raison le ramadân fut-il prescrit et pour quel motif la consommation de viande de porc fut-elle interdite ? Autant de questions que se posent les musulmans tout au long de leur vie, et qui resteront sans réponses, « et Allah sait mieux » rétorquent les imams, c’est ainsi que les croyants doivent s’en accommoder ! Une pratique aveugle de la religion, rythmée par de fastidieuses et rébarbatives prières quotidiennes, et une succession de rituels grotesques. L’islam s’oppose à la raison et à l’esprit critique par la dogmatisation de l’ignorance fixée par le Coran et le hadith,  « Ô les croyants ! Ne posez pas de questions sur des choses qui, si elles vous étaient divulguées, vous mécontenteraient » (Coran 5.101), « Allah déteste, dit l’Envoyé de Dieu, […] que vous posiez des questions à propos de la religion » (Sahih al-Boukhâri). L’idéologie islamique subsiste encore aujourd’hui grâce à l’ignorance des masses et aux menaces de mort qui planent au-dessus de la tête des apostats. Sans le recours à la violence, la secte de Mahomet n’aurait jamais franchit le Hedjaz, « tout territoire ou cité fut conquis par la force, dit le Prophète, excepté Médine qui fut conquise par le Coran » (Balâdhuri). Bardée d’une ceinture explosive et armée de fatâwa obscurantistes, al-hiliyya al-islamiyya veut précipiter le monde entier dans les tréfonds de son âme corrompue et imposer sa vérité absolue, l’islam, à la terre entière en implantant un califat islamiqumondial au nom dAllah, « ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou »disait Nietzsche

    Après la loi de 1901, les Français se croyaient tranquilles, après avoir subit pendant des siècles le carcan de la religion catholique.

    80 % des Français sont Athées, mais respecte cette religion bon-enfant qui réconforte et soutient ceux a qui le malheur arrive, elle fait partie de nos tradition, les églises sont des oeuvres d'art ou il fait bon se mettre au frais l'été à l'occasion . 

    Une religion chasse l'autre dirait on, nos églises ont souvent été construites sur d'ancien temples Païens .

    Un secte criminelle arrive et voudrait s'imposer dans notre douce France .

    L'Heure de la Résistance à sonné


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  • http://youtu.be/sf52hihhfkM

    « Le professeur Brague ose souligner les meurtres commandités par Mahomet dans Le Figaro | Page d'accueil | Manifestation interdite contre l'islamisation : conférence de presse paneuropéenne » 19/01/2015 En librairies: Ces Maires qui courtisent l'islamisme, réédition augmentée 2015. A la Une- l'actualité continue après cette note.  Achat Présentation de l'éditeur : Manuel Valls a inauguré la Grande mosquée de Cergy, édifiée sur un terrain de la mairie socialiste contre un loyer dérisoire. Son imâm défend ouvertement les Frères Musulmans dont le passage aux affaires en Egypte s'est soldé par de nombreuses exactions, et la tentative d'islamiser les lois. A Nantes, la mairie a contribué à financer l'institut islamique de la branche française des Frères Musulmans, l'UOIF, à hauteur de 200 000 euros en 2009. Le maire s'appelait alors Jean-Marc Ayrault. Manuel Valls ne s'est-il pas prononcé à plusieurs reprises pour le financement public des mosquées? Alain Juppé assure lui qu'il « fera tout pour qu'un terrain soit disponible » pour la Grande Mosquée de Bordeaux. L'imâm Tareq Oubrou qui dirigera l'endroit persiste dans son dernier livre à s'avouer membre des Frères Musulmans, dont le Guide suprême souhaite « contrôler l'Europe ». Paris, qui croule sous une dette de 400 millions d'euros, a trouvé 16 millions d'euros pour son Institut islamique. Les mairies de Marseille, La Rochelle et Nice ont été elles épinglées par le tribunal administratif pour des entorses à la loi de 1905, tandis que plusieurs députés financent des mosquées sur leur réserve parlementaire. Le maire de Nîmes, vice-président de l'UMP, a lui cédé un ex temple protestant à des islamistes dont les bulletins internes sont marqués d'un extrémisme inquiétant.   Cette deuxième édition a été largement actualisée et augmentée après les municipales 2014. Joachim Véliocas dirige l'Observatoire de l'islamisation (www.islamisation.fr). Il est analyste pour le centre de prospective Wikistrat. Son premier livre-enquête, L'islamisation de la France (2006) a imposé ce thème dans le débat public.


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  • Allocution du 18 janvier 2015, lors de la conférence de presse de RL et de RR

    Pegida mon amour

    Christine Tasin mon amour

    Et même, s’il permet, Pierre Cassen mon amour

    Mon amour tous ceux qui disent NON, tous ceux qui se dressent contre le changement de peuple et de civilisation, tous ceux qui refusent la conquête et la colonisation de l’Europe, telle que prévue et annoncée, chacun de leur côté, par Houari Boumedienne et Vladimir Poutine, sans oublier ces autres visionnaires que furent Enoch Powell ou Jean Raspail.

    Aujourd’hui une grande espérance se lève à l’Est, elle a nom Pegida et elle a ici, parmi nous, une ambassadrice que nous saluons comme la messagère du printemps des peuples, Mélanie Dimmler.

    J’ai toujours pensé pour ma part que le problème qui se posait à nous, et qui est le plus grave qui puisse se poser, puisqu’il est celui de l’existence même, de la survie en tant que civilisation, ne saurait avoir de solution qu’européenne, dans l’union pour leur salut de toutes les nations et de toutes les cultures de tradition celte, gréco-latine, juive, chrétienne bien sûr, et libre-penseuse.

    C’est l’Europe, qui est colonisée : bien plus colonisée et bien plus gravement, bien plus irrémédiablement, si l’on ne fait rien, qu’elle n’a jamais colonisé elle-même.

    Mais nous allons faire, nous faisons déjà. La lutte anticolonialiste est entreprise, dans le sillage de Pegida. Un Front de Libération Nationale, Section Française de l’Internationale Pégidiste, est d’ores et déjà entré en résistance. Si vous voulez l’aider offrez lui vos compétences, un peu de votre argent éventuellement, mais par-dessus tout votre présence, votre nom, votre nombre, votre visibilité, vos partages, vos retweets, tout, absolument tout, ce qui peut conduire à la prolifération du front du refus.

    Pegida notre modèle a un modèle, c’est celui qui a renversé le mur de Berlin et fait s’effondrer le rideau de fer. Aujourd’hui comme il y a vingt-cinq ans l’adversaire paraît tout puissant, le régime soviétique alors, le pouvoir remplaciste aujourd’hui, celui qui veut et qui promeut le Grand Remplacement, l’interchangeabilité générale de l’homme et de tout, sous couvert de multiculturalisme et de vivre-ensemble. Mais ces deux pouvoirs, celui qui est tombé il y a un quart de siècle et celui que nous affrontons aujourd’hui, ont la même insigne faiblesse, qui fait qu’ils peuvent s’écrouler d’un jour à l’autre on l’a bien vu : c’est qu’ils sont pétris de mensonge, malaxés de fausseté jusqu’au plus profond d’eux-mêmes, emplis du vide de l’illusion fabriquée. La vérité peut les réduire en cendres d’une pichenette, comme les colosses de carton-pâte qu’ils sont.

    La vérité est qu’il n’y a pas de multiculturalisme mais une déculturation générale qui mène à l’hébétude de masse, à la montée de la violence, au réensauvagement de l’espèce.

    La vérité est qu’il n’y a pas de vivre ensemble mais une conquête coloniale en cours dont nous sommes les indigènes colonisés et dont l’instrument est le nombre, bien sûr, la substitution démographique, mais aussi ce que j’ai appelé la nocence, le contraire de l’in-nocence, ce dont l’innocence est le contraire plutôt : le fait de nuire, qu’il s’agisse des petites incivilités quotidiennes qui rendent la vie impossible aux voisins de palier ou aux voisins de nation, ou bien de l’effroyable barbarie dont nous avons été les témoins la semaine dernière.

    La vérité est qu’il n’y a pas de peuple, qu’un peuple est tout autre chose que ce qu’il y a. Il y a des communautés qui se disputent de plus en plus ouvertement un territoire, un territoire auxquelles elles ont des droits très inégaux. C’est pourquoi j’ai parlé d’emblée de guerre coloniale ou, pour mieux dire, et de notre point de vue, anticoloniale, anticolonialiste.

    L’espoir est que la vérité suffise à faire s’effondrer les murailles, comme il y a vingt-cinq ans : et dans la vérité je range ici la loi, les victoires électorales, les renversements de politiques, le constat d’incompatibilité d’humeur, le gentlemen’s agreement, le divorce (d’autant plus facile à obtenir qu’il n’y a jamais eu de consentement au mariage…), la remigration, la stabilisation au niveau de la Méditerranée, mettons, du balancier des colonisations et contre-colonisations.

    Si la vérité n’était pas assez forte pour mener à ces résultats  il n’y aurait d’alternative qu’entre la soumission et la lutte armée. La première a déjà commencé. La seconde aussi, et pas de notre fait.

     


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