• Ou Mélenchon trouve la Justice trop sévère avec les délinquants de Banlieue

    http://news.institutpourlajustice.com/Go/index.cfm?WL=280&WS=89371_7651058&WA=506                                                                        

    Voiture de police

     

    ESSONNE - Elle était âgée d'une quarantaine d'années...

    Une femme a été tuée par balle jeudi en début d'après-midi à  Grigny (Essonne) par un tireur qui s'est enfui à bord d'un deux-roues,  a-t-on appris jeudi de sources proches de l'enquête.

    Cette femme était âgée d'une quarantaine d'années, selon une source proche de l'enquête.( décidemment il s'en passent des choses dans le pays du Sénateur P S ) et en plus à Grigny .


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  •                 

    Le Parti des Gens contre Mélenchon à Grigny : « On est chez nous ! escroc, facho, imposteur ! »

    Addendum : Des lecteurs nous font remarquer que le grand militant de couleur du PDG distribuant des low-kicks aux militants du FDG serait Patrice Quarteron (1m98, 114kg), combattant de Muay Thai, ancien champion du monde IKF dans la catégorie des poids lourds et « médiateur pour la mairie de Grigny afin de régler les conflits de voisinage » (Wikipedia).
    _________________________________

    « Mélenchon finira par s’enfuir par un trou dans le grillage à l’arrière du stade de son meeting. »

    [Youtube] « Lors de sa visite à Grigny, Mélenchon disait vouloir la révolution citoyenne, vouloir parler au peuple. Les citoyens sont venus le voir via le PDG (Parti Des Gens). Une liste indépendante citoyenne qui a fait plus de 26% aux dernières élections municipales. Ils voulaient juste le voir pour lui poser quelques questions.

    Voici la vidéo des faits tels qu’ils se sont passé et que les médias présents on voulu cacher à une ou deux exceptions près. A cause du refus de l’équipe du Front de Gauche local et de son directeur de campagne Delapierre qui a soufflé sur les braises de laisser la rencontre avoir lieu, le meeting de Mélenchon sera un fiasco (un petit terrain de foot à moitié rempli) et une déroute sur toute la ligne du Front de Gauche. »

    Le Parisien explique : De la cité, Jean-Luc Mélenchon n’aura vu que ses équipements sportifs : la visite initialement prévue au bas des barres HLM a été annulée vendredi.

    La séance d’échanges avec les « vrais habitants de la cité bigarrée de la Grande-Borne » n’a donc pas eu vraiment lieu, faute de spontanéité : les interlocuteurs, sélectionnés à l’avance, avaient beau se déclarer « simples habitants de Grigny », ils ont systématiquement applaudi à tout rompre le nom des élus communistes présents, y compris les moins connus ;  La première étape se termine. Dehors, à l’entrée du gymnase, des membres du Parti des Grignois, groupe local d’opposition, attendent le candidat. « La Grande-Borne, c’est juste à côté. Nous lui proposons une visite guidée dans les bas-fonds, crie Patrice. Ils sont là, tous ceux qui ont coulé la ville », allusion à la municipale communiste. « Grigny est la commune la plus endettée d’Ile-de-France », dira d’ailleurs plus tard, sans avoir entendu l’accusation des manifestants, le candidat du Front de gauche, qualifiant ses détracteurs de « bouffons » et de « gogols ».( voici notre Mélenchon égal à lui même, insultant tout ceux qui oseraient lui poser des questions gènantes ) mais prenant les jambes à son coup au moindre danger; quel courage la Merluche !                                                                                                                 pas crédible le Mélenchon ni en banlieue ni au niveau national :

    Publié le 5 avril 2012 par

    D’après l’Institut de l’entreprise, la facture de sept mesures dépasse à elle seule les 130 milliards en 2017.

    C’est une machine à remonter le temps. Entre nationalisation et promesses sociales ultragénéreuses, le programme de Jean-Luc Mélenchon fleure bon 1981. Mais cette fois, les marchés financiers ne laisseront probablement pas deux ans à la France pour prendre le virage de la rigueur. La sanction sera immédiate. Car le coût du projet du Front de gauche est vertigineux.

    Hebergeur d'imageL’Institut de l’entreprise, un think-tank patronal, qui a fait évaluer le coût des programmes des principaux candidats par des spécialistes budgétaires de tous bords politiques, s’est penché sur sept mesures plus spécifiques. Et la facture dépasse les 130 milliards d’euros pour les caisses publiques… Autant dire que le chiffrage fait par le Front de gauche – 120 milliards pour l’ensemble de son programme – est mis à mal.

    Parmi les idées les plus coûteuses figure le remboursement à 100 % des dépenses de santé, lunettes et soins dentaires inclus. [...]


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  • jeudi 5 avril 2012

    La « Mélenchonnite » : dernier truquage des sondages quelques jours avant l’élection – par NB

    parlegaulois.infoLibellés :,,,
    - SONDAPublié GES -
    Heureusement qu’il y a internet, car les médias traditionnels, c'est-à-dire ceux qui manipulent depuis toujours les cerveaux et les instituts de sondages sont viscéralement anti-FN.
    Aujourd’hui les voici tous, télévision en tête, pris de « Mélenchonnite» aigüe. Les caméras ne cessent de nous montrer des gens dire ouvertement leur envie de voter Mélenchon.
    Il y a sûrement beaucoup plus de gens, et de tous bords, susceptibles de dire leur envie de voter FN… mais ceux-là on ne va pas les chercher. Bizarrement ils n’existent pas.
    Il est sûr que Mélenchon plaît car c’est un débateur et un orateur né. Et puis il est le vrai visage de la gauche : celui de la révolte des esclaves contre les maîtres, mais de là à le faire passer de 5% à plus de 15% et cela au détriment exclusif du FN, sans toucher à un point des socialistes… c’est de la haute-voltige, du truquage de haut-vol, du super foutage-de-gueule… Ce coup-ci les sondages, jusque-là fortement soupçonnés de bidouillages, sont pris en flagrant-délit de mensonge.


    Alors que pratiquement tous les français, terriblement déçus par Sarkozy, se détournent EN MASSE de l’UMP… alors que, découragés par la «petitesse » sur tous les plans, frisant le minuscule, de Hollande, sans compter les perversions sexuelles de Lang, de DSK et l’alcoolisme de Martine Aubry, les français se détournent aussi EN MASSE du PS… alors que le patriotisme renaît, que les braves gens, honnêtes, travailleurs, droits et solidaires se reconnaissent de plus en plus dans Marine et mettent en elle tous leurs espoirs… alors que le paysage de ces opinions s’affiche partout, dans les rues, à la terrasse ou au comptoir des cafés, dans les bus, le métro, les trains, les avions, en famille, chez les voisins, bref, partout autour de soi… que disent les sondages ?...
    bien tenez-vous bien… ACCROCHEZ-VOUS!... ils disent : Hollande 29%, Sarkozy 28%, Mélenchon 15%, Marine 14%...
    LÀ, FRANCHEMENT, ON PREND LES FRANÇAIS POUR DES CONS !
    Pourquoi les sondages, qui sont en fait une pré-élection, ne sont-ils pas régis par les mêmes règles que l’élection… pourquoi n’y a-t-il pas un contrôle de tous les partis présents dans l’élaboration de la question posée et dans le dépouillement des réponses.
    Tous les instituts de sondages appartenant à d’ex-patrons de multinationales ou de grandes banques, comment voulez-vous que les résultats soient crédibles ?
    En fait les sondages ne servent qu’à une chose : faire croire que « les jeux sont faits » pour encourager les gens à voter pour les uns ou les décourager à voter pour les autres.
    LES SONDAGES TELS QU’ILS SE PRATIQUENT AUJOURD’HUI SONT UN MENSONGE ÉHONTÉ ET INADMISSIBLE !
    Sans être procédurier il y a là facilement de quoi faire faire une enquête suivie d'un procès à messieurs les sondeurs

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  • jeudi 5 avril 2012

    Grande-Bretagne : un islamo-gauchiste élu grâce aux voix des musulmans

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,
    -INTERNATIONAL –
    Un évènement survenu jeudi dernier est passé presque totalement inaperçu en France: la victoire, lors d'une législative partielle à Bradford, une ville à forte immigration indienne-musulmane et pakistanaise, de George Galloway, un vieux routier de la gauche britannique. Le fait est cependant remarquable : Galloway a été élu député avec le score le plus élevé à une législative partielle depuis 1945. Melanie Phillips, chroniqueuse du Daily Mail, y voit un signe des temps :
    "Galloway a gagné parce que les jeunes musulmans de Bradford ontvoté pour lui en masse. Le fait résolument ignoré [par les medias], c'est que Galloway a fait une campagne d'islamiste religieux.


    Il ne s'est pas contenté de se plier aux obsessions islamistes en politique étrangère.
    Il a fait des références explicites à l'islam tout au long de sa campagne. Après sa victoire, il criait dans un mégaphone : "Loué soit Allah! »
    Plus tôt, lors d'une réunion publique, il affirmait qu'Allah demanderait des comptes à ceux qui n'auraient pas voté pour lui. En effet, en déclarant dans un discours que «Dieu sait qui est musulman», il a laissé entendre qu'il l'était davantage encore que le candidat musulman travailliste qui, a-t-il suggéré sans la moindre preuve, buvait de l'alcool alors qu'il n'y touchait pour sa part jamais. Galloway est présumé être converti à l'Islam, bien qu'il ne l'ait pas officiellement confirmé. Pincez-vous - un homme politique britannique utilise la rhétorique enflammée et des professions de piété islamique plus souvent entendues en Iran ou en Arabie saoudite."
    Certes, l'immigration islamique algérienne ou marocaine est différente de la pakistanaise, plus radicale. Mais partout en Europe, le potentiel électoral islamique est un géant qui dort et qui - comme à Bradford - tôt ou tard se réveillera.                                                         Dans le même esprit:    Boycotter la finance islamique : une action SITA
    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,
    Une démarche individuelle dans une action collective
    • si vous envisagez d’ouvrir un compte dans un établissement financier quelconque,
    • si vous souhaitez changer de banque,
    • si vous souhaitez contracter un prêt,
    • si vous souhaitez faire un placement,
    Contactez par mail plusieurs établissements, et rédigez votre mail sans ambiguïté : « Je souhaite [ouvrir un compte] [obtenir un prêt] […]. Au préalable, je souhaite obtenir des précisions sur votre établissement : cautionne-t-il le développement de la finance islamique ? Pratique-t-il la finance islamique ? A-t-il conclu des accords ou des partenariats avec des banques ou organismes financiers la pratiquant ? etc.
    Si tel était le cas, la finance islamique étant basée sur le respect de la “charia” — une loi religieuse en totale contradiction à la fois avec la tradition occidentale et avec mes propres valeurs, je ne pourrai pas souscrire d’engagement auprès de votre établissement.
    Dans toute la mesure du possible, je souhaite d’ailleurs voir ce point — le refus de toute finance islamique — figurer noir sur blanc sur la charte de l’organisme financier auprès duquel je souscrirai, ou chez qui j’ouvrirai un compte. »
    S’ils se multiplient, ce type de mails et de questions permettront éventuellement un début de prise de conscience, et la diffusion d’un clair message auprès des banques du refus chez de nombreux occidentaux de l’islamo-pollution de nos sociétés.
    Nous appelons parallèlement de nos vœux à l’émergence / la création d’un établissement financier ou d’une banque d’épargne qui inscrira clairement dans sa charte le refus non négociable de la finance islamique, et le refus de toute opération financière avec des établissements la pratiquant.
    Nous sommes convaincus que la banque qui inscrira une telle mesure dans sa charte — et qui respectera ses engagements — verra sa clientèle exploser.

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  •    

     Visionnaire ?.L’ancien ministre giscardien,

     Michel Poniatowski, écrivait dans son

     livre-testament une conclusion dont

     on ne voit pas quelle ligne on pourrait

     changer 21 ans plus tard : Michel Poniatowski, né le 16 mai 1922 à Paris et mort le 15 janvier 2002 au Rouret (Alpes-Maritimes), est un homme politique français. Résistant, député et maire de l'Isle-Adam, il est ministre de la Santé publique et de la Sécurité sociale de 1973 à 1974, ministre d'État, ministre de l'Intérieur de 1974 à 1977. Il est ensuite député européen et sénateur du Val-d'Oise. Proche de Valéry Giscard d'Estaing, il est l'un des dirigeants fondateurs de la FNRI, du Parti républicain et de l'UDF.
      
     
         
    « Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement

    à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la

    société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne

     avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. 

    Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls

     nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…)

     Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent

    à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement

     le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane.

     Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays »

    dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

     Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser

    suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste,

     plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier

    le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos

     nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire

     appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des

     Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement

     contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs

    et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter

     cette nécessaire répression. Toutes ses prédictions se sont réalisées,

     il ne manquent que les Saint-Barthélemy .                                     
           Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas

    que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un

     charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce

     cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli,

    les socialistes l’ont détruit.       
         Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?                                     
           La Justice,l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police,

    notre place en Europe ? En miettes.
      La France est à l’abandon est en décomposition à travers le monde. 
    Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence,

     et de la Nation et de l’État. »                                                                                                                        Le Danger Faciste en France ne vient pas de la Droite,il vient de la Gauche, dont c'est la Vocation d'esprit et de Méthode. il faut Voter contre les Facistes de Gauche .


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  • Comment protéger la France et les Français contre les fous d’Allah ?

    Les ignobles meurtres, à Toulouse et Montauban, froidement exécutés par un jeune jihadiste, Mohamed Merah, né en France, ont fait tomber au grand jour de nombreux masques.

    - Ceux d’une majorité de journalistes, qui, pendant 48 heures, ont repris sans vergogne la propagande des prétendus anti-racistes, qui avaient décidé que le coupable ne pouvait qu’être un disciple de Marine Le Pen. Caricature, le journaliste du Nouvel Observateur, Nicolas Chapuis, se dira « dégoûté » quand il apprendra la vérité. 

    - Ceux de la majorité des candidats à l’élection présidentielle qui, sans scrupule, tels Bayrou et surtout Mélenchon, minimiseront la gravité de l’événement, et consacreront toute leur énergie à protéger l’islam, qualifiant le tueur d’individu isolé dont le geste n’avait rien à voir avec la religion de tolérance, d’amour et de paix ! « Surtout pas d’amalgame », fut le nouveau mot d’ordre de ceux qui les multiplièrent, 48 heures durant !

    - Ceux de la majorité des organisations islamistes de France, dont certains porte-paroles, sans la moindre honte, oseront, tel Tariq Ramadan, accuser notre pays d’être responsable de la tuerie. D’autres, tel Tareq Oubrou, ami UOIF bordelais d’Alain Juppé, osera le sommer de modifier ses cours d’histoire, en y donnant à l’islam une place bien plus importante !

    - Ceux enfin de l’UOIF qui se préparait, pour son congrès du Bourget, à y inviter le cheikh Youssouf al Qaradawi, habitué pourtant aux appels aux meurtres contre les homosexuels et à l’extermination des juifs pour que les croyants finissent le travail d’Adolf Hitler !  Nous avons remarqué que, s’il n’y avait pas eu les crimes de Merah, sa présence sur le territoire français n’aurait posé de problèmes à personne, pas davantage au gouvernement qu’à ses opposants, ni à ceux qui se réclament anti-fascistes ou anti-racistes !

    Il est, dans ce contexte, tout-à-fait légitime de demander la dissolution de l’UOIF et l’interdiction de son congrès, comme notre ami Paul Le Poulpe l’a fait dès la semaine dernière, suivi peu après par Marine Le Pen, le Bloc Identitaire et Résistance Républicaine. La réaction de l’association islamiste, proche des Frères musulmans, dont on savait pourtant que, dès 2004, elle faisait déjà l’apologie de l’antisémitisme et l’appel au jihad, est révélatrice : tels de vulgaires « anti-racistes » croyant interdire un débat qui les dérange, elle porte plainte contre la présidente du Front national ! Comment la France pourrait-elle tolérer qu’une association qui avait invité Qaradawi puisse avoir pignon sur rue, et tenir son congrès, au Bourget, du 6 au 9 avril, comme si rien ne s’était passé ?

    Les masques tombent parce que nous constatons que l’assassin Merah, comme le rappelait Christine Tasin dans son Journal des Résistants de vendredi, a de nombreux admirateurs en France.

    Deux enseignants ont d’abord osé demander à leurs élèves de respecter une minute de silence en la mémoire du tueur ! D’autres, anticipant les réactions antisémites de certains de leurs élèves, ont préféré ne pas la respecter. On a entendu enfin, dans certaines classes, un immense brouhaha orchestré par certains élèves qui voulaient qu’on fasse une minute de silence pour les enfants palestiniens ! On a vu la police devoir empêcher des rassemblements d’hommage à Merah ! On a vu fleurir dans certains endroits de France des graffitis rendant hommage au jihadiste !

    Ces assassinats ont montré comment toute une catégorie de « Français » possédant la double nationalité haïssait son pays de naissance, et ses habitants quand ils n’épousaient pas les thèses du prophète. 

    Il faut être un propagandiste avéré de l’islam comme Mélenchon pour continuer à ne voir dans le tueur de Toulouse qu’une personne égarée qui n’a rien à voir avec l’islam. Il est temps de se poser les bonnes questions, et surtout d’amener les bonnes réponses.

    Le Coran est-il compatible avec notre législation, dans son contenu actuel ? L’islam est-il compatible avec la démocratie, et tout simplement avec nos valeurs ? Est-ce uniquement une religion, ou bien un projet politico-religieux ? Quels sont ses objectifs, et quels moyens utilise-t-il pour y parvenir ? René Marchand, auteur de « La France en danger d’islam », avait, le 18 décembre 2010, à Charenton, répondu avec une fougue de jeune homme, s’appuyant sur des réalités historiques, à ces questions. Le jour du procès de Pierre Cassen et Pascal Hilout, à la 17e chambre, il a fortement impressionné l’auditoire par la qualité de son témoignage, et les informations qu’il a fournies aux juges, notamment sur la signification du nom des mosquées construites en France. 

    Le drame de Toulouse nous oblige donc d’abord à faire le bon constat, et surtout à prendre, aujourd’hui, les bonnes décisions. Organisateurs de l’apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, Fabrice Robert, Christine Tasin et Pierre Cassen avaient, le 4 février 2011, tenu une conférence de presse, et répondu aux questions de nombreux journalistes, dont Abel Mestre et Paul Moreira, sur les réponses à apporter pour mettre fin à l’offensive de l’islam.

    Quelques semaines plus tard, sur Radio Courtoisie, invités par Yves-Marie Laulan, ils avaient, durant une heure et demie, approfondi la question.

    Dans ce numéro, notre ami Bernard Dick fait, lui aussi, des propositions intéressantes et complémentaires. La société française est au pied du mur. Soit elle continue la même politique que celle menée ces trente dernières années, et il y aura forcément progression de l’islam en France, avec ce qui l’accompagnera inévitablement, la guerre contre nos valeurs, avec d’autres passages à l’acte à la Merah. On ne pourra éviter, d’autre part, une libanisation progressive de notre pays, avec multiplication d’enclaves musulmanes où la charia fera la loi. Ceux qui, à l’instar d’un Attali et du patronat, de toute la gauche et d’une grande partie de la droite, continuent à demander davantage d’immigration et d’islam sont ouvertement des traitres à notre patrie et à nos valeurs. Dans ce contexte, la droite UMP ne vaut pas mieux que le gauche et l’extrême gauche, comme le prouve la récente publication par le gouvernement actuel d’un prétendu « Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme« , dont le contenu est d’essence totalitaire, ce qui est fort bien résumé par un article de nos confrères de Polémia.


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  • Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Candidate à l’élection présidentielle.

    Chaque semaine, une nouvelle révélation vient confirmer ce que je répète depuis plusieurs mois : l’abattage rituel sans étourdissement préalable est une bombe sanitaire !
    Le Parisien, dans son édition d’hier, consacre une page au rapport de l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui établit à plus de 200 000 le nombre de victimes de la bactérie Campylobacter en Europe pour la seule année 2011 (en augmentation de 7% par rapport à 2010). Cette bactérie, transmise par la viande de volaille, déclenche de violentes gastro entérites et peut provoquer des complications plus graves.


    Le 11 mars dernier, dans un reportage diffusé sur France 5, le toxicologue Jean-Louis Thillié explique que la contamination des steaks hachés industriels par la bactérie E-coli tue une centaine d’enfants chaque année en France et en laisse beaucoup d’autres handicapés à vie. « Un scandale plus grave que la vache folle et ses 25 victimes françaises » conclut le scientifique en ajoutant que les autorités sont informées du problème depuis plusieurs années. Le même reportage met directement en cause les trois géants de la viande en France : Charal, Socopa et Soviba.
    Ces révélations, qu’elles concernent les steaks hachés ou les volailles, n’ont provoqué aucune réaction du gouvernement, des responsables de la filière viande ou des industriels. Et pour cause…
    Qu’ont en commun les bactéries E-coli et Campylobacter ? Elles proviennent toutes deux du tube digestif des animaux : les ruminants pour la première, les volailles pour la seconde. Si la procédure d’abattage réglementaire est correctementexécutée, seule la carotide est sectionnée et le contenu de l’œsophage ne peut pas se répandre sur la carcasse. Une sécurité qui n’existe pas lorsque l’animal est égorgé à vif : l’œsophage est alors sectionné en même temps que la carotide et son contenu se mêle au sang qui salit une partie de la carcasse, soit par écoulement, soit par éclaboussure.
    L’augmentation des contaminations par les bactéries E-coli et Campylobacter est directement liée à l’accroissement du nombre d’animaux abattus sans étourdissement. L’hygiène des installations et des travailleurs n’est pas en cause puisque, dans le même laps de temps, le nombre de contaminations par les salmonelles, transmises par la peau, l’eau et les outils, a baissé (toujours selon le rapport de l’EFSA). Ajoutons que la bactérie Campylobacter est également présente chez les porcs, mais que les problèmes de contaminations massives se cantonnent à la viande de volaille.
    Élue et mère de famille, je refuse de transiger avec la santé de mes concitoyens au nom d’intérêts avant tout financiers. Combien d’enfants le gouvernement laissera-t-il encore mourir avant de faire appliquer la loi en imposant l’étourdissement quel que soit le mode d’abattage ? Je réitère ma proposition : l’étourdissement obligatoire des animaux.


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  • DÉCRYPTAGE - Les milieux islamistes sont au cœur de l'actualité ces dernières semaines depuis l'affaire Mohamed Merah, mais ils ne sont pas tous similaires...

    Après l’affaire Mohamed Merah et les dernières opérations policières à l’encontre du mouvement Forsane Alizza, l’islamisme est de retour sur le devant de la scène en France. Pourtant, ce terme englobe différents courants de pensée qui ne sont pas tous à risques, même si la façon dont certains islamistes pratiquent leur culte provoque des inquiétudes.

    «L’islamisme, c’est une idéologie au même titre que le capitalisme ou le marxisme», définit Mathieu Guidère, professeur d’islamologie à l’université Toulouse II, joint par 20 Minutes. Et les islamistes «se revendiquent de la religion dans la conduite des affaires de l’islam», ajoute-t-il. «Ce sont des musulmans qui prennent prétexte de l’islam pour en faire une arme politique», renchérit Malek Chebel, anthropologue des religions, contacté par 20 Minutes, et notamment auteur de L’islam pour les nuls (First, 2008). En France, l’écrivain tient à rappeler qu’«il y a des musulmans à 99% et 1% d’islamistes.»

    Trois tendances: Frères musulmans, salafistes, djihadistes

    Dans ce petit pourcent restant, trois tendances se dégagent. Il y a l’islam modéré des Frères musulmans «qui acceptent la modernité et en tiennent compte dans la vie des fidèles», explique Mathieu Guidère.

    Les salafistes composent la deuxième tendance, majoritaire en France. Ceux-ci refusent la modernité et entendent «restaurer l’islam qui était au début», décrivent nos experts. «Ils veulent revenir à la vie des premiers musulmans, du prophète et de ses compagnons, au 7e siècle», précise Mathieu Guidère. Selon Malek Chebel, ce courant, «pas forcément dangereux, mais très réaliste», composé de «rêveurs et d’utopistes», regroupe également en son sein les fondamentalistes et les orthodoxes conservateurs.

    Sauf que «les salafistes peuvent provoquer des vocations», indique le philosophe. C’est ainsi que se détache une autre catégorie d’islamistes «qui veulent faire plus»: les djihadistes. «Ce sont ceux qui manipulent l’islam pour en faire une arme de guerre en prônant le djihad («guerre sainte»)», souligne Malek Chebel. «Les djihadistes pensent qu’il n’y a pas d’autres moyens que la force et la violence pour s’imposer car les musulmans modérés et les Occidentaux ne les laisseraient pas faire», indique encore Mathieu Guidère. Parmi eux on retrouve notamment les prédicateurs et autres idéologues «qui enfument les jeunes», selon Malek Chebel.

    «L’islamisme radical est archi-marginal partout»

    Malgré le nouveau coup de projecteur placé sur de possibles agissements terroristes d’islamistes français, Malek Chebel réfute toute recrudescence des mouvements radicaux de l’islam en France. «C’est de l’enfumage public», déplore l’expert. «On connaît très bien, et depuis longtemps, ces catégories qui sont surveillées», ajoute-t-il.

    «L’islamisme radical est archi-marginal partout, ce n’est pas un phénomène massif, mais ce n’est pas un problème de nombre. On a bien vu qu’il suffit d’une seule personne pour instaurer un climat de terreur», renchérit Mathieu Guidère. «Il y a juste eu un tournant avec le printemps arabe qui a vu les islamistes se sentir pousser des ailes, avec l’idée qu’ils étaient majoritaires», explique encore le chercheur.


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  • SES PARTISANS VANTENT SON PARLER VRAI  (ou l'histoire du plus grand menteur et orateur , après Hitler )ce phénomène de foire a le don de déstabiliser les électeurs de droite comme de gauche, même des extrèmes pourtant inébranlables d' habitude .Beaucoup de mécontents de la politique actuelle UMPS et des ultras de gauche comme de droite succombent à ses sirènes , son but capter les voix des révolutionnaires de tous poils, pour les offrir à Hollande ? Ou du moins empêcher la montée spectaculaire du FN; si au final les voix détournées ne profitent pas au parti dit socialiste elles riquent de faire défaut à Marine au premier tour .Ce coup monté à l'initiative du PS et du parti communiste après la raclée des dernières présidentielles < lancement du front de gauche le 8 mars 2009 > sous la gouverne de ce troublion politique d'origine modeste ayant arrêté ses études à la licence de phylo . Fervent Trotskyste à ses début,radié du PC, il échoue au PS qui lui procurera divers poste d'élu( ministre délégué à l'enseignement,sénateur,conseiller municipal et adjoint au maire,conseillé général, vice président du conseil général de l'Essone)Mais la campagne n'est pas finie et rien n'est jamais acquis .              

    mardi 3 avril 2012

    MÉLENCHON, révolutionnaire de salon – par LE PATRIOTE

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,
    - POINT DE VUE-
    Il est particulièrement curieux d'écouter un Jean Luc Mélenchon parler de fascisme et accuser Marine Le Pen d'être une représentante de ce courant de pensée alors même qu'il représente avec ses alliés la quintessence de ce fléau !Pourquoi? Je ne vais pas refaire le procès du communisme puisqu'il n'a jamais été fait en France. Le communisme avec le nazisme fut la pire des idéologies mortifères du 20ème siècle. Même le fascisme de Mussolini n'a pas réussi à faire mieux en tant que régime policier. L'extermination de classe était la base de ce régime qui a coûté des millions de vies humaines.



    Lorsque j'entends son discours de classe, il y a de quoi avoir peur ! Même pas car au fond, ce triste personnage est dans la posture et non l'imposture. Il prévient tout le monde y compris ses gogos. Il appellera à voter pour le tout mou et social-démocrate François Hollande. Alors quoi ? On ne peut pas lui reprocher ses futurs électeurs qui ont envie de jouer à la révolution avec des fourches en carton et des guillotines en guimauve ! Par contre, que cet homme insulte est reprochable. C'est exactement ce qu'il fait quand il accuse de fascisme Marine le Pen.
    Ce grand bourgeois sait qu'il est dans l'imposture. Cet homme ne connait pas la misère. Ce pur produit de la nomenklatura politique est loin de savoir ce que c'est de manquer. Il suffit de savoir combien gagne un Sénateur, un Député, un Ministre. Il fût tout cela à un moment de sa vie. Il accuse de fascisme alors même qu'il sait ce mouvement politique vient du socialisme. Benito Mussolini était socialiste avant de créer son Parti fasciste. Toute comme Jacques Doriot était communiste avant de créer le seul parti authentiquement fasciste français le PPF. Ce serait risible de l'écouter si les Français avaient cette culture politique, cette culture historique mais c'est rageant de savoir que non et que beaucoup de ces admirateurs ne savent même pas ce qu'est le fascisme ni même d'où il vient. On peut dire ce que l'on veut de Marine le Pen, je ne suis pas adhérent au Front National mais l'accuser de fascisme est non seulement indigne lorsque l'on connaît son Histoire, mais particulièrement injuste et mérite que la vérité soit rétablie et donc que Jean Luc Mélenchon soit condamné. Et que cessent ces rapprochements avec des idéologies du passé qui ont fait tant de mal! Qu'on laisse à l'histoire le soin de juger et que l'on arrête d'utiliser des mots pour faire l'histoire d'aujourd'hui.
    Il faut faire attention aux mots, ils ont leurs propres forces !
    En ce moment, un danger nous guette qui s'appelle l'islamisme ! Un danger du même ordre si ce n'est plus que le fascisme. Car ce n'est pas seulement un système politique humain qu'il faut combattre ! On peut renverser une dictature, renverser un dictateur ! Mais il nous faut combattre un système politico-judiciaire au nom d'un Dieu. Cela ne pourra se faire qu'avec l'appui de tous, de droite comme de gauche, tous les Républicains et les non républicains et y compris de tous les croyants. Il en va de notre survie en tant que nation et culture.
    Jean-Luc Mélenchon n'est qu'un nain politique dans cette affaire ! je dirai même un nain- posteur

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    Sondages : Marine LE PEN est-elle à 15 % ou à 37 % ? par Catherine SÉGURANE

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    - POINT DE VUE -
    D'après le dernier sondage en ligne du site Élections présidentielles 2012, publié le 2 avril 2012, Marine Le Pen est à 37 % des voix, pourcentage à comparer aux 15 % que lui accordent généreusement les derniers sondages des différents instituts officiels.
    Une occasion de se demander qui est sérieux ....
    Les sondages "classiques"
    Les instituts de sondage officiels ne s'en cachent pas : les chiffres qu'ils donnent ne sont pas bruts, mais ils sont "redressés", c'est à dire rendus plus conformes à ce que le sondeur imagine qu'ils devraient être.
    Selon quelles méthodes ce "redressement" est-il opéré ?
    Nous l'ignorons, et nous continuerons de l'ignorer, car le Conseil d'État, saisi par Jean-Luc Mélenchon d'une demande tendant à connaître les méthodes de redressement qui lui étaient appliquée, l'a débouté (CE, 8 février 2012, M Mélenchon). Secret des affaires ...



    Traditionnellement, les sondages concernant le Front National ou Jean-Marie Le Pen étaient redressés à la hausse, les personnes sondées étant supposées ne pas oser avouer une telle intention de vote. Mais, pour la présente élection d'après le Canard enchaîné cité par Marianne, les résultats de Marine Le Pen sont "redressés", si l'on peut dire, à la baisse.
    Comprenne qui pourra ...

    Dans ce contexte de grand sérieux, on ne s'étonnera pas qu'au premier tour de l'élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen se soit vu octroyer par les sondeurs entre 12 et 14,5 % (ce dernier chiffre par un sondage confidentiel) alors qu’en réalité 'il a obtenu près de 17 % des votes de premier tour (source).
    Quant à Marine Le Pen, un sondage du CSA, effectué les 19 et 20 mars après la tuerie de Montauban et Toulouse, et alors que toute la presse se lançait avec enthousiasme sur la fausse piste de militaires néo-nazis, lui donnait seulement 13,5 %.
    On précisera que le CSA a pour actionnaire unique Vincent Bolloré, ami de Nicolas Sarkozy.
    Quant à l'IFOP, l'autre institut « mainstream », il a pour vice-présidente Laurence Parisot, par ailleurs patronne des patrons et viscéralement anti-Marine.
    Belles garanties d'objectivité.
    Les sondages du site Élections présidentielles 2012
    Tous différents sont les résultats que l'on peut lire sur le site Élections présidentielles 2012.
    Les sondages réalisés par ce site proviennent tout simplement des réponses des internautes qui sont venus cliquer.
    Ce n'est peut-être pas très sophistiqué comme méthode, mais c'est largement plus honnête que les tripatouillages des instituts officiels.
    Quant à savoir qui donne les résultats les plus proches de ce que sera la réalité du vote, l'avenir le dira.
    Voici donc les résultats qui ont été obtenus par Marine Le Pen lors des derniers sondages réalisés par ce site (les résultats sont parfois sur la page d'accueil et parfois sur la page consacrée aux sondages) :
    2 avril 2012 : 37 %
    15 mars 2012 : 18 %
    6 mars 2012 : 26 %
    5 mars 2012 : 31 %
    15 février 2012 : 26 %
    30 janvier 2012 : 34 %                                                                                                                                                                                            
     
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    Du pain, des jeux et surtout des sondages

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

    Pourrait-on se passer des sondages ? Difficilement, à les voir désormais omniprésents sous toutes les formes possibles et imaginables à tout moment de notre existence.

    À croire que s’exprimer ou entendre les uns ou les autres donner une opinion parfois incertaine, généralement péremptoire, est devenue vital à notre bonheur terrestre.

    Mange-t-on trop/pas assez de viande ? Regarde-t-on trop/pas assez la télévision ? Faisons-nous trop/pas assez de sport ? Doit-on retourner sur la lune ? Pensez-vous qu’Obama soit réélu ? Pippa Middleton est-elle plus coquine que sa sœur Catherine (épouse du prince William, duc de Cambridge) ? Craignez-vous davantage les OGM que les Martiens,  les Islamistes que les pannes sexuelles ou les embouteillages que les radars ? Préférez-vous le RER au Métropolitain ou passer vos vacances à Mulhouse plutôt qu’à pétraouchnock-sur-bettrave ? etc., etc., etc.

    La débilité des questions semble avoir imprégné jusqu’aux organes sensés nous informer des grands événements du Monde en général et de notre pays en particulier.

    Ainsi, Le Figaro… Le quotidien demande chaque jour à ses lecteurs de s’exprimer sur un sujet d’actualité… Et quels sujets ! Les plus pertinents, bien sûr… Celui de ce jour, même si la question est brutale, est excitant en diable, jugez-en : « Hollande devrait-il impliquer davantage Royal dans sa campagne ? » C'est « oui » ou c’est « non », les sondés n’ont même pas l’alternative de répondre que ce ne sont pas leurs oignons…

    Qu’une telle question concernant la campagne présidentielle du candidat socialiste, soit posée aux lecteurs d’un média jugé le « plus à droite » de la presse française quotidienne – et perçu sans doute comme cela par la plupart de ses lecteurs qui n’ont pas réalisé que l’époque où Robert Hersant le dirigeait était belle et bien révolue et depuis fort longtemps – ne manque pas de piquant. Quoique l’expression plus populaire de « foutage de gueule » conviendrait mieux.

    Poser une telle question à un lectorat probablement fort peu sensible à la réthorique progressiste, revient au même qu’à demander aux lecteurs de Charlie Hebdo si Marine Le Pen devraient porter des tailleurs de préférence à des robes ou se coiffer comme-ci plutôt que comme-ça, à ceux de L’Humanité de savoir si François Bayrou serait plus seyant avec moustache et catogan… ou encore à ceux de L’Express ou du Point si Nathalie Artaud et Philippe Poutou devrait faire un petit ensemble pour que Lutte ouvrière et le Nouveau Parti anticapitaliste se réunissent…

    À Rome, l’obsession des dirigeants étaient de donner au peuple du « pain et des jeux » pour qu’il se tienne tranquille. La recette avait fait ses preuves, nul ne le contestera et on en a ensuite usé et abusé. Mais autre temps, autres mœurs, on demande aujourd’hui au citoyen-électeur de donner son avis à tort et à travers pour qu’il se croit acteur du jeu. Ça doit lui suffire, à lui aussi. Et puis, c’est plus facile à organiser et ça coûte moins cher. Que du bonheur !

    © Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines, c’est-à-dire le site www.francephi.com, « Espace Philippe Randa ».


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  • Liste des maires Patriotes ( 1 seul en Bretagne )

    Parrainages : la liste complète des élus qui ont signé pour Marine LE PEN

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    Marine Le Pen avait éprouvé des difficultés à réunir ses 500 parrainages. Voici la liste complète des élus qui ont signé pour elle et dont les noms ont été tirés au sort, comme le prévoit la loi.
    Le Journal officiel a publié samedi les noms de 500 parrains par candidat à l'Élysée tirés au sort parmi les 14.790 parrainages validés par le Conseil constitutionnel le 19 mars dernier. Voici la liste complète des élus qui ont signé pour Marine Le Pen, la candidate du Front national, qui avait annoncé à plusieurs reprises avoir éprouvé des difficultés à rassembler les 500 parrainages nécessaires à la participation à l'élection présidentielle. Parmi eux, quelques ténors du FN comme Bruno Gollnisch, eurodéputé et ancien candidat à la primaire du FN, Louis Aliot, numéro du parti et compagnon de Marine Le Pen, ou encore Wallerand de Saint Just, conseiller régional de Picardie.
    ALSACE
    Jean-Claude ALTHERR, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN)
    Christian COTELLE, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN)
    Bernard ENCLOS, maire de SAINT-BLAISE-LA-ROCHE (BAS-RHIN)
    Huguette FATNA, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN)
    Gilbert HAEHNEL, maire de RIMSDORF (BAS-RHIN)
    Gérard JANUS, maire de FORT-LOUIS (BAS-RHIN)
    Jeannot NUSSBAUM, maire d’INGOLSHEIM (BAS-RHIN)
    Richard SCHALCK, maire de SIEGEN (BAS-RHIN)
    Christophe SCHERTZ, maire de NIEDERSTEINBACH (BAS-RHIN)
    Claude SCHMITT, maire de DIMBSTHAL (BAS-RHIN)
    Alfred SLOVENCIK, maire d’UHRWILLER (BAS-RHIN)
    Laurent SUTTER, maire de ROHRWILLER (BAS-RHIN)
    Patrick BINDER, conseiller régional d’ALSACE (HAUT-RHIN)
    Martine METZGER, épouse BINDER, conseiller régional d’ALSACE (HAUT-RHIN)
    Lucien RICHARD, maire de MAGNY (HAUT-RHIN)
    Gérard VONAU, maire de FROENINGEN (HAUT-RHIN)
    Jean WOLFARTH, maire de BOURBACH-LE-BAS (HAUT-RHIN)
    AUVERGNE
    Christian ROCCO, maire délégué d’une commune associée de SAINT-RÉMY DE SALERS (CANTAL)
    Gilles SAUMET, maire de SAINT-MAURICE-DE-LIGNON (HAUTE-LOIRE)
    Pierre MERY, maire de FOURNOLS (PUY-DE-DÔME)
    AQUITAINE
    Roland COLLINET, maire de BREUILH (DORDOGNE)
    Jean-Claude DE ROYERE, maire de MOUZENS (DORDOGNE)
    Pierre NIQUOT, maire de CANTILLAC (DORDOGNE)
    Lucien POMEDIO, maire de SAINT-PERDOUX (DORDOGNE)
    Gino CECCHINI, maire de JAU-DIGNAC-ET-LOIRAC (GIRONDE)
    Jean-Pierre GASNAULT, maire de LANDERROUET-SUR-SÉGUR (GIRONDE)
    Thierry LABORDE, maire de NEUFFONS (GIRONDE)
    Bernard LOUVANCOUR, maire de RUFFIAC (LOT-ET-GARONNE)
    Marcel MELLI, maire de SAINT-URCISSE (LOT-ET-GARONNE)
    Maurice MENESPLIER, maire de MONVIEL (LOT-ET-GARONNE)
    Véronique POURCHOT, maire de DÉVILLAC (LOT-ET-GARONNE)
    Michel JESER, maire de LACADÉE (PYRÉNÉES-ATLANTIQUES)
    BASSE-NORMANDIE
    Frédéric BROGNIART, maire de BERNIÈRES-LEPATRY (CALVADOS)
    Benoît CHATEL, maire de LONGUEVILLE (CALVADOS)
    Monique MÉNAGE, maire de RUSSY (CALVADOS)
    Jean-Michel ROMAIN, maire du PIN (CALVADOS)
    Thérèse THORETTON, maire de COURCY (CALVADOS)
    Michel VERGER, maire du BRÉVEDENT (CALVADOS)
    André AMIOT, maire de SORTOSVILLE (MANCHE)
    Michel AUMONT, maire de SAINT-SAUVEUR-LA-POMMERAYE (MANCHE)
    Daniel COUREUIL, maire délégué d’une commune associée à MOIDREY (MANCHE)
    Pierre FAUVEL, maire de SAINT-CÔMEDU-MONT (MANCHE)
    Vincent LANGEVIN, maire de GONFREVILLE (MANCHE)
    Michel LEMOSQUET, maire de BOISROGER (MANCHE)
    Alain MICHEL, maire de LESTRE (MANCHE)
    André PERIER, maire de CAMPROND (MANCHE)
    Rose-Noëlle PIERRE, maire de SAINT-JEAN-DU-CORAIL-DES-BOIS (MANCHE)
    Stelliane BETTEFORT, maire du CERCUEIL (ORNE)
    Jacky DAGONNEAU, maire de SAINT-ÉVROULT-DE-MONTFORT (ORNE)
    Raymond HERBRETEAU, maire des VENTES-DE-BOURSE (ORNE)
    Michel LEPOIVRE, maire de SAINTAUBIN-DE-COURTERAIE (ORNE)
    Éric QUENARDEL, maire de BEAULIEU (ORNE)
    Jean-Édouard SYLVESTRE, maire de LA POTERIE-AU-PERCHE (ORNE)
    BOURGOGNE
    Rémy BOURSOT, conseiller régional de BOURGOGNE (CÔTE-D’OR)
    Christian BRESSOULALY, maire d’IVRY-ENMONTAGNE (CÔTE-D’OR)
    Jean-Claude CHARLOT, maire de CHASSEY (CÔTE-D’OR)
    Michel DECUPPER, maire de LECHÂTELET (CÔTE-D’OR)
    Michel FOURTIER, maire de BELLENOD-SUR-SEINE (CÔTE-D’OR)
    Alain GUYOT, maire de BARJON (CÔTE-D’OR)
    Jean-Luc LECOUR, maire de GRENANT-LÈS-SOMBERNON (CÔTE-D’OR)
    Daniel LHOMME, maire de TERREFONDRÉE (CÔTE-D’OR)
    Bernard MONGENET, maire de DUESME (CÔTE-D’OR)
    Jean-Michel MOYEMONT, maire d’AVELANGES (CÔTE-D’OR)
    Françoise MUNIER, maire de SAINT-MARTIN-SUR-ARMANÇON (YONNE)
    Thierry NAUDINOT, maire de BELAN-SUROURCE (CÔTE-D’OR)
    Pierre NOUVEAU, maire délégué d’une commune associée à LA VILLENEUVE-SUR-VINGEANNE (CÔTE-D’OR)
    Josette ROMUALDO, conseiller régional de BOURGOGNE (CÔTE-D’OR)
    Stéphane ROUSSEL, maire de VANNAIRE (CÔTE-D’OR)
    Bernard VILA, maire de MUSSY-LA-FOSSE (CÔTE-D’OR)
    Isabelle VOINCHET, maire de BALOT (CÔTE-D’OR)
    Marcel STEPHAN, conseiller régional de BOURGOGNE (NIÈVRE)
    Didier VAIL, maire de LA MAISON-DIEU (NIÈVRE)
    Michel AUGOYAT, maire de LA CHAPELLE-DU-MONT-DE-FRANCE (SAÔNE-ET-LOIRE)
    Marie-Christiane COLAS, conseiller régional de BOURGOGNE (SAÔNE-ET-LOIRE)
    François DUPARAY, maire de SAINT-AMBREUIL (SAÔNE-ET-LOIRE)
    François FORET, maire de MARCILLY-LAGUEURCE (SAÔNE-ET-LOIRE)
    Henry GERMAIN, maire de SAINTE-FOY (SAÔNE-ET-LOIRE)
    Christian LAUNAY, conseiller régional de BOURGOGNE (SAÔNE-ET-LOIRE)
    Charles BERTHOLLET, maire de ROUVRAY (YONNE)
    Jean DECHAMBRE, maire de PONT-SUR-VANNE (YONNE)
    Thierry DURAND, maire de CRUZY-LE-CHÂTEL (YONNE)
    Édouard FERRAND, conseiller régional de BOURGOGNE (YONNE)
    Pierre GOUJON, maire de THIZY (YONNE)
    René MEYER, maire de SOMMECAISE (YONNE)
    Monique MILLEREAUX, maire de SAINT-MORÉ (YONNE)
    Sandrine NEYENS, maire de GLAND (YONNE)
    Denise PICOT, épouse BROSSERON, maire de CHAUMONT (YONNE)
    Sylvain PINON, maire de DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES (YONNE)
    Marie-José ROCHÉ, maire de VAUMORT (YONNE)
    Jean-Marc STILLER, maire de PACY-SUR-ARMANÇON (YONNE)
    Jérôme THOMAS, maire délégué d'une commune associée à SAINT-MARTIN-SUR-OREUSE (YONNE)
    BRETAGNE
    Honoré LESCOAT, maire de TRÉOGAN (CÔTES-D’ARMOR)
    CENTRE
    Raymond JOURDAIN, maire de SANCOINS (CHER)
    Alain SOGNI, conseiller régional du CENTRE (CHER)
    Bernard DUVERGER, maire de SAINT-LUCIEN (EURE-ET-LOIR)
    Philippe LOISEAU, conseiller régional du CENTRE (EURE-ET-LOIR)
    Antoine MALVOS, maire délégué d’une commune associée à SAINT-GERMAIN-LA-GÂTINE (EURE-ET-LOIR)
    Dominique MASSIAS, maire de PRASVILLE (EURE-ET-LOIR)
    Régis PERCHERON, maire de BLANDAINVILLE (EURE-ET-LOIR)
    Philippe AUBRUN SASSIER, maire de LACS (INDRE)
    Guy JULO, maire de POULAINES (INDRE)
    Alain ARNOULD, maire de SAINT-JEAN-SAINT-GERMAIN (INDRE-ET-LOIRE)
    Alain GASPARD, maire de CHAMPIGNY-SUR-VEUDE (INDRE-ET-LOIRE)
    Gilles GODEFROY, conseiller régional du CENTRE (INDRE-ET-LOIRE)
    Gérard JACQUES, maire de CIGOGNÉ (INDRE-ET-LOIRE)
    Gérard MARTINEAU, maire de BEAUMONT-LA-RONCE (INDRE-ET-LOIRE)
    Gérard BOUCHER, maire délégué d’une commune associée à ÉCOMAN (LOIR-ET-CHER)
    Michel CHASSIER, conseiller régional du CENTRE (LOIR-ET-CHER)
    Jean-Pierre GIRODON, maire de BOUFFRY (LOIR-ET-CHER)
    Jean-Yves NARQUIN, maire de VILLEDIEU-LE-CHÂTEAU (LOIR-ET-CHER)
    Alain BARANGER, maire de PIERREFITTE-ÈS-BOIS (LOIRET)
    Raoul CHANCEAU, maire de BORDEAUX-EN-GÂTINAIS (LOIRET)
    Philippe LECOQ, conseiller régional du CENTRE (LOIRET)
    Nicole PEOT, maire de SAINTE-GENEVIÈVE-DES-BOIS (LOIRET)
    CHAMPAGNE-ARDENNE
    François BECHECLOUX, maire de MÉNIL-ANNELLES (ARDENNES)
    Francis CANNAUX, maire de SAINT-JUVIN (ARDENNES)
    Thierry DOUCE, maire de SAINT-QUENTIN-LE-PETIT (ARDENNES)
    Pascal GENTY, maire délégué d’une commune associée à ANDEVANNE (ARDENNES)
    Jean-Pierre GROUSSARD, maire d’OMONT (ARDENNES)
    Olivier LAMBERT, maire de HAGNICOURT (ARDENNES)
    Denis LANDART, maire de LA GRANDVILLE (ARDENNES)
    Jean-Pierre LELARGE, maire de LOUVERGNY (ARDENNES)
    Yannick RENAUDIN, maire de BRIENNE-SUR-AISNE (ARDENNES)
    Éric SAMYN, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (ARDENNES)
    Pierre THIERY, maire de VAUX-LÈS-MOURON (ARDENNES)
    Michel ADOLPHE, maire de LA LOGE-POMBLIN (AUBE)
    Jean-François BOULARD, maire de LONGUEVILLE-SUR-AUBE (AUBE)
    Dominique CARTIER, maire de LA MOTTE-TILLY (AUBE)
    Dany CORDIER, maire de CHAUMESNIL (AUBE)
    Nicolas DESPRES, maire de CHASEREY (AUBE)
    Patrick DILIGENT, maire de BUXEUIL (AUBE)
    Yvonne DOLAT, épouse DRIAT, maire de FRESNOY-LECHÂTEAU (AUBE)
    Gilbert FAURE, maire de VILLACERF (AUBE)
    Éric FOURNIER, maire de BALNOT-SUR-LAIGNES (AUBE)
    Fernand GODOT, maire de BOULAGES (AUBE)
    Anicet HAUPAIS, maire de LONGEVILLE-SUR-MOGNE (AUBE)
    Régis LALLE, maire de SALON (AUBE)
    Robert LUDOT, maire de CHAMPFLEURY (AUBE)
    Brice MARTIN, maire de ROSNAY-L’HÔPITAL (AUBE)
    Maurice MARY, maire de CHARMONT-SOUS-BARBUISE (AUBE)
    Didier PARTOUT, maire de SAINT-LÉGER-SOUS-BRIENNE (AUBE)
    Jean-Pierre PETITET, maire de MESNIL-LETTRE (AUBE)
    Marcel SPILMANN, maire de SAINT-LYÉ (AUBE)
    Christian THIBAUT, maire des BORDES-AUMONT (AUBE)
    Alain TOURNEBISE, maire de LONGCHAMP-SUR-AUJON (AUBE)
    Jacky BOUSSEL, maire d’ÉCHENAY (HAUTE-MARNE)
    Francis BOUVENOT, maire de BOURG-SAINTE-MARIE (HAUTE-MARNE)
    Alain CORNEVIN, maire délégué d’une commune associée à LANNES (HAUTE-MARNE)
    Jean-Luc DAUBANTON, maire délégué d’une commune associée à ARGENTOLLES (HAUTE-MARNE)
    Henri DESCHIEN, maire de DONCOURT-SUR-MEUSE (HAUTE-MARNE)
    André FONTAINE, maire délégué d’une commune associée à VILLIERS-SUR-MARNE (HAUTE-MARNE)
    Luc HISPART, maire délégué d’une commune associée à BRAUCOURT (HAUTE-MARNE)
    Jean-Marie HUTINET, maire de MAIZIÈRES-SUR-AMANCE (HAUTE-MARNE)
    Gérard MARCHAND, maire de BRACHAY (HAUTE-MARNE)
    Bernard MENAUCOURT, maire de TROISFONTAINES-LA-VILLE (HAUTE-MARNE)
    Michel PERRIN, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (HAUTE-MARNE)
    Maryse URBAIN, maire de PAROY-SURSAULX (HAUTE-MARNE)
    Thierry BESSON, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE)
    Marie-Christine BOUTONNET, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE)
    Gabriel DOCHY, maire de GIZAUCOURT (MARNE)
    Pascal ERRE, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE)
    Pascal FRIQUOT, maire de CLAMANGES (MARNE)
    Georges GERARD, maire de VAVRAY-LE-PETIT (MARNE)
    Jacques GUÉRIN, maire de RIEUX (MARNE)
    René HANOT, maire de CHÂTELRAOULD-SAINT-LOUVENT (MARNE)
    Jacques LE TOUZE, maire de SOMME-SUIPPE (MARNE)
    Jean-Claude MANFÉ, maire de CHANGY (MARNE)
    Bernard PERSON, maire de SAINT-UTIN (MARNE)
    Michel POLY, maire de GIVRY-LÈS-LOISY (MARNE)
    André VARLET, maire de REUIL (MARNE)
    Joël VARLET, maire de GERMINON (MARNE)
    Jean-Marie VIEVILLE, maire de VRIGNY (MARNE)
    CORSE
    Vannina LUCIANI, maire de MOCA-CROCE (CORSE-DU-SUD)
    André MARCHI, maire de ROSAZIA (CORSE-DU-SUD)
    Vincent MICHELETTI, maire de CASALABRIVA (CORSE-DU-SUD)
    Désiré SUSINI, maire d’OLMICCIA (CORSE-DU-SUD)
    Charles BELLINI, maire de VALLECALLE (HAUTE-CORSE)
    Napoléon CASTELLI, maire de CARCHETO-BRUSTICO (HAUTE-CORSE)
    Ange CHERUBINI, maire de FARINOLE (HAUTE-CORSE)
    Lucien COSTA, maire de POPOLASCA (HAUTE-CORSE)
    Jean-Claude FONDACCI DE PAOLI, maire de RAPALE (HAUTE-CORSE)
    Carl-Anton GUASTALLI, maire de PIAZZOLE (HAUTE-CORSE)
    Joseph GUGLIELMI, maire de FELCE (HAUTE-CORSE)
    Jean Nicolas IMPERINETTI, maire de PIANO (HAUTE-CORSE)
    Jean LUCIANI, maire de MONCALE (HAUTE-CORSE)
    Stéphane ORSONI, maire d’OCCHIATANA (HAUTE-CORSE)
    Marie-Hyacinthe PAOLI, maire de SAN-DAMIANO (HAUTE-CORSE)
    Charles POLI, maire de PRUNO (HAUTE-CORSE)
    Jean-Philippe PUTTI, maire de VALLE-D’ALESANI (HAUTE-CORSE)
    Jean Antoine SANGUINETTI, maire de SANTA-LUCIA-DI-MORIANI (HAUTE-CORSE)
    Michelle VANROSSOM, épouse ANTONIOTTI, maire de VALLICA (HAUTE-CORSE)
    FRANCHE-COMTE
    Frédéric BAUD, maire d’ÉVILLERS (DOUBS)
    Roland BOILLOT, conseiller régional de FRANCHE-COMTÉ (DOUBS)
    Christophe COLIN, maire de LUXIOL (DOUBS)
    Danièle FIÉTIER, maire de CHÂTEAUVIEUX-LESFOSSÉS (DOUBS)
    François GENEVOIS, maire d’UZELLE (DOUBS)
    Gilles GUINCHARD, maire délégué d’une commune associée à ALAISE (DOUBS)
    Jean-Pierre GUINCHARD, maire de MALANS (DOUBS)
    Henri LAMBERT, maire délégué d’une commune associée à VERNOIS-LE-FOL (DOUBS)
    Jean-Pierre LECLERCQ, maire d’ÉPENOUSE (DOUBS)
    Patrick LORIAU, maire de GOUMOIS (DOUBS)
    Sophie MONTEL, conseiller régional de FRANCHE-COMTÉ (DOUBS)
    Nathalie PARENT, maire de SOURANS (DOUBS)
    Marcel PARISOT, maire d’ABBENANS (DOUBS)
    Jean-François CERCLEY, maire délégué d’une commune associée à AUBIGNEY (HAUTE-SAÔNE)
    Henri DE ROGIER, maire de GÉZIER ET FONTENELAY (HAUTE-SAÔNE)
    Jacques EUVRARD, maire de COURTESOULT-ET-GATEY (HAUTE-SAÔNE)
    Noël FENOUILLOT, maire de BOUSSERAUCOURT (HAUTE-SAÔNE)
    Arnaud FORMET, maire de LA VOIVRE (HAUTE-SAÔNE)
    Alain FRANCHEQUIN, maire de VEZET (HAUTE-SAÔNE)
    Christian GEOFFROY, maire de PERCEY-LEGRAND (HAUTE-SAÔNE)
    Jean-Luc JEUDY, maire de LA LONGINE (HAUTE-SAÔNE)
    Patrice LOMBARD, maire de FRESSE (HAUTE-SAÔNE)
    Jean-Louis MEUNIER, maire de VENÈRE (HAUTE-SAÔNE)
    Jean PÉRY, maire de VILLERS-BOUTON (HAUTE-SAÔNE)
    Michel RICHARD, maire de LA BASSE-VAIVRE (HAUTE-SAÔNE)
    Robert SENNERICH, conseiller régional de FRANCHE-COMTÉ (HAUTE-SAÔNE)
    Judith SINNGRUN, maire de ROSIÈRES-SUR-MANCE (HAUTE-SAÔNE)
    Luc BEJEAN, maire de MONTEPLAIN (JURA)
    Mathilde CYROT-LALUBIN, maire de SERGENON (JURA)
    Jean-Louis ESPUCHE, maire de DAMMARTIN-MARPAIN (JURA)
    Pascal FÉAU, maire de DESSIA (JURA)
    François GAUTHIER, maire de FONTAINEBRUX (JURA)
    Jean-Pierre GROS, maire d’ALIÈZE (JURA)
    Daniel MONNERET, maire de VILLARD-SAINTSAUVEUR (JURA)
    Jean-Pierre MOUGET, conseiller régional de FRANCHE-COMTÉ (JURA)
    André VAUBOURG, maire de CHAMPLIVE (DOUBS)
    Gérard FESSELET, maire de CHAVANNES-LESGRANDS (TERRITOIRE DE BELFORT)
    HAUTE-NORMANDIE
    Christian DE LANGHE, maire de SAINT-MARTIN-LA-CAMPAGNE (EURE)
    Jean-Michel DUBOIS, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (EURE)
    Robert LEMARIEY, maire de FRESNE-CAUVERVILLE (EURE)
    Chrystelle SAULIERE, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (EURE)
    Christian ALEXANDRE, maire de HÉRONCHELLES (SEINE-MARITIME)
    Nicolas BAY, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME)
    Jacques CARRÉ, maire de NOLLÉVAL (SEINE-MARITIME)
    Gilbert COUTARD, maire de MÉSANGUEVILLE (SEINE-MARITIME)
    Françoise DESCHAMPS, maire d’AVESNES-EN-BRAY (SEINE-MARITIME)
    Daniel FREBOURG, maire de PLEINE-SÈVE (SEINE-MARITIME)
    Paul GREVET, maire de PIERREVAL (SEINE-MARITIME)
    Élisabeth LALANNE DE HAUT, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME)
    Thierry LEGIER, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME)
    Guy LEMOINE, maire d’OUDALLE (SEINE-MARITIME)
    Claude MICHEL, maire de CRIQUIERS (SEINE-MARITIME)
    Marie-Estelle PREJEAN, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME)
    ILE-DE-FRANCE
    Alexandre DENAMIEL, maire de PÉZARCHES (SEINE-ET-MARNE)
    James DUBOIS, maire de SAINT-RÉMY-DE-LA-VANNE (SEINE-ET-MARNE)
    Chantal DWIEL-BURGEAT, maire de BURCY (SEINE-ET-MARNE)
    Michel ABRAHAM, maire de THÉMÉRICOURT (VAL-D’OISE)
    Jean-Claude COURMONT-LEPAPE, maire de HÉDOUVILLE (VAL-D’OISE)
    Nicolas PELARD, maire de MULCENT (YVELINES)
    LANGUEDOC-ROUSSILLON
    Dominique BRUCHET, maire de GINCLA (AUDE)
    Gilles DELAUR, maire de LIMOUSIS (AUDE)
    Gérard FABRE, maire de MÉRIAL (AUDE)
    Alain JOURDAIN, maire de FONTANÈS-DE-SAULT (AUDE)
    Jean-Louis BERNE, maire de CASTILLONDU-GARD (GARD)
    Marie-Thérèse COSTA-FESENBECK, conseiller régional LANGUEDOC-ROUSSILLON (GARD)
    Jean-François PARDIGON, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (GARD)
    Sandrine PERIDIER, maire de SAINT-BONNET-DU-GARD (GARD)
    Francis CABANNE, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (HÉRAULT)
    Eugène CAVAILLE, maire d’USCLAS-DU-BOSC (HÉRAULT)
    Jean-Pierre GAUBIAC, maire de MOULÈS-ET-BAUCELS (HÉRAULT)
    France JAMET, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (HÉRAULT)
    Julien SANCHEZ, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (HÉRAULT)
    Hélène ZOUROUDIS, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (HÉRAULT)
    Denis GRAS, maire de LA CHAZE-DE-PEYRE (LOZÈRE)
    Irina KORTANEK, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (PYRÉNÉES-ORIENTALES)
    Louis ALIOT, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (PYRÉNÉES-ORIENTALES)
    LIMOUSIN
    Bruno GAUGNION, maire de SOUDAINE-LAVINADIÈRE (CORRÈZE)
    Pascal GUY, maire de LA CELLE-SOUS-GOUZON (CREUSE)
    Gérard RUMEAU, maire de CHÂTEAUPONSAC (HAUTE-VIENNE)
    LORRAINE
    Dominique BILDE-PIERRON, conseiller régional de LORRAINE (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Éric BOUCHER, maire de FRAISNES-EN-SAINTOIS (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Gérald ERZEN, maire de SANZEY (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Andrée GERVAIS, maire de BIONVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Denis KRYZS, maire de BROUVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Jean-Luc MANOURY, conseiller régional de LORRAINE (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Jean-Marie PILOIS, maire d’ANTHELUPT (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Régis PIONNIER, maire d’ANSAUVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Patrice POIREL, maire de MARTINCOURT (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Bernadette THOMAS, maire de THEY-SOUS-VAUDEMONT (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Christian THOUVENOT, maire de GERBÉCOURT-ET-HAPLEMONT (MEURTHE-ET-MOSELLE)
    Mickaël ADAM, maire de MOUILLY (MEUSE)
    Patrick ANDRÉ, maire de SAINT-GERMAIN-SUR-MEUSE (MEUSE)
    Fabrice BARDOT, maire délégué d’une commune associée à HARGÉVILLE-SUR-CHÉE (MEUSE)
    Luc BREUIL, maire de RIBEAUCOURT (MEUSE)
    Christiane BUTTIER, conseiller régional de LORRAINE (MEUSE)
    Gabriel COLLIGNON, maire délégué d’une commune associée à GUIRLANGE (MOSELLE)
    Roger COLLIGNON, maire de VASSINCOURT (MEUSE)
    François DE RUNZ, maire délégué d’une commune associée à PAROIS (MEUSE)
    Anne-Marie DELBART, maire de WOIMBEY (MEUSE)
    Marcel FISCHER, maire délégué d'une commune associée à RAULECOURT (MEUSE)
    Lucien HICKEL, maire de GÉRY (MEUSE)
    Thierry JACQUET, maire de SASSEYSUR-MEUSE (MEUSE)
    Jean LAMBERT, maire de GOURAINCOURT (MEUSE)
    Yves PILLEMENT, maire de WALY (MEUSE)
    Gilbert SOMEIL, maire de VALBOIS (MEUSE)
    Olivier VERLET, maire délégué d’une commune associée à JUBÉCOURT (MEUSE)
    Antoine ALLARD, maire de BROUVILLER (MOSELLE)
    Fabrice BAGNON, maire d’ABONCOURT-SUR-SEILLE (MOSELLE)
    Michel BEHR, maire de LENGELSHEIM (MOSELLE)
    Alain BOUTRON, maire d’ANZELING (MOSELLE)
    Bernard CLAVE, maire de HOLVING (MOSELLE)
    Jean-Luc ETIENNE, maire de FOVILLE (MOSELLE)
    Yves GELSZINNIS, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE)
    Dany GIRARDIN, maire de BERLING (MOSELLE)
    François GOSSLER, maire de BANNAY (MOSELLE)
    Thierry GOURLOT, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE)
    Joseph GRAFF, maire de HOLLING (MOSELLE)
    Françoise GROLET, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE)
    Jean GROSSE, maire de SAINT-JEAN KOURTZERODE (MOSELLE)
    Michel GUERIN, maire de MULCEY (MOSELLE)
    Alain GUTH, maire de MORVILLE-SUR-NIED (MOSELLE)
    Gilbert HANTZO, maire de WITTRING (MOSELLE)
    Norbert HEMMERTER, maire de METTING (MOSELLE)
    Christine HERZOG, maire de HERTZING (MOSELLE)
    Didier L’HUILLIER, maire de LHOR (MOSELLE)
    Serge LAURENCE, maire de MENSKIRCH (MOSELLE)
    Jean-Paul LECLERC, maire de VATIMONT (MOSELLE)
    Hubert MATHIEU, maire délégué d’une commune associée à LOUTREMANGE (MOSELLE)
    Vincent MULLER, maire de PETIT-TENQUIN (MOSELLE)
    Jean Paul PELTIER, maire de BARONVILLE (MOSELLE)
    Alfred PERRIN, maire de VOELFLING-LÈS-BOUZONVILLE (MOSELLE)
    Nathalie PIGEOT, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE)
    Jean RENAUT, maire de SILLY-EN-SAULNOIS (MOSELLE)
    Roland TETERCHEN, maire de FAILLY (MOSELLE)
    Éric VILAIN, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE)
    Dominique VINA, maire de CHANVILLE (MOSELLE)
    Pierre BOULANGER, maire de MÉNARMONT (VOSGES)
    Daniel FRESNAIS, maire de CLÉREY-LA-CÔTE (VOSGES)
    Guy HINZELIN, maire de FIMÉNIL (VOSGES)
    Jean-François JALKH, conseiller régional de LORRAINE (VOSGES)
    Roger JEANMAIRE, maire de GELVÉCOURT-ET-ADOMPT (VOSGES)
    Chantal ODILE, conseiller régional de LORRAINE (VOSGES)
    MIDI-PYRENEES
    Valérie HUART, maire de LANOUX (ARIÈGE)
    Robert MOUREAU, maire de SIGUER (ARIÈGE)
    Vincent ROZÉS, maire d’OUST (ARIÈGE)
    Alban BATAILLE, maire de MONFERRAN-PLAVÈS (GERS)
    Jean-René BRUN, maire de SAINT-ARROMAN (GERS)
    Danièle GUILBERT, maire de PUYSÉGUR (GERS)
    Joël SAINT-LAURENT, maire de MONTIES (GERS)
    Jean-Charles BAULE, maire de NOGARET (HAUTE-GARONNE)
    Claude CORTIADE, maire de MONTÉGUT-BOURJAC (HAUTE-GARONNE)
    Armand ENTAJAN, maire de LÉCUSSAN (HAUTE-GARONNE)
    Didier FRÉCHOU, maire de PEYRISSAS (HAUTE-GARONNE)
    Jean-Luc LASSERRE, maire de MARIGNAC-LASPEYRES (HAUTE-GARONNE)
    Patrick NODINOT, maire de MONÈS (HAUTE-GARONNE)
    Jacques RENAUD, maire de PAYSSOUS (HAUTE-GARONNE)
    André RIGONI, maire de MELLES (HAUTE-GARONNE)
    Jacques SAINT-MARTIN, maire de FRANCON (HAUTE-GARONNE)
    Thierry SALLES, maire de FRONTIGNAN-SAVÈS (HAUTE-GARONNE)
    Jean-Louis BISCONS, maire de SAINT-MICHEL-LABADIÉ (TARN)
    Olivier PALAZY, maire de MONTAURIOL (TARN)
    Pierre BIRMES, maire de PUYLAROQUE (TARN-ET-GARONNE)
    NORD-PAS-DE-CALAIS
    Nathalie ACS, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Bruno BILDE, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Françoise COOLZAET, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Philippe EYMERY, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Paul LAMOITIER, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Jean-Richard SULZER, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (NORD)
    Freddy BAUDRIN, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Chantal BOJANEK, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Jean-Pierre CUVILLIEZ, maire de SAUDEMONT (PAS-DE-CALAIS)
    Olivier DELBÉ, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Sébastien DESBUREAUX, maire de HÉNU (PAS-DE-CALAIS)
    Daniel LAVOISIER, maire d’ACHIET-LE-PETIT (PAS-DE-CALAIS)
    Marine LE PEN, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Geneviève LEGAULT, épouse GRARDEL, maire de MONCHEAUX-LÈS-FRÉVENT (PAS-DE-CALAIS)
    Philippe LEJOSNE, maire de WAMIN (PAS-DE-CALAIS)
    André MARTIN, maire de TORTEQUESNE (PAS-DE-CALAIS)
    Jean-Marc MAURICE, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Régis MEHL, maire de BRIAS (PAS-DE-CALAIS)
    Siméon MENUGE, maire de GAUDIEMPRÉ (PAS-DE-CALAIS)
    Marcel MUSELET, maire de SAINT-DENOEUX (PAS-DE-CALAIS)
    Francis SAVOYE, maire de COUIN (PAS-DE-CALAIS)
    Monique SGARD, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    Gabriel TRANNIN, maire de LÉCHELLE (PAS-DE-CALAIS)
    Françoise VERNALDE, conseiller régional de NORD-PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS)
    PAYS DE LA LOIRE
    Bernard BERNIER, maire de TANCOIGNÉ (MAINE-ET-LOIRE)
    Bernard LAHONDÈS, maire de SERMAISE (MAINE-ET-LOIRE)
    Jean-Marie LAURENCEAU, président d’une communauté de communes, RÉGION DU LION D’ANGERS (MAINE-ET-LOIRE)
    Patrice POIREL, maire de de TANCOIGNÉ (MAINE-ET-LOIRE)
    Daniel LODE, maire de TORCE-VIVIERS-EN-CHARNIE (MAYENNE)
    Pierre RIOULT, maire de SAINTE-MARIE-DU-BOIS (MAYENNE)
    Loïc TRICHET, maire de SAINT-GEORGES-DE-POINTINDOUX (VENDÉE)
    PICARDIE
    Franck BRIFFAUT, conseiller régional de PICARDIE (AISNE)
    André CAËR, maire de NEUVILLE-SURMARGIVAL (AISNE)
    Vincent CHAMPENOIS, maire de BRUMETZ (AISNE)
    Claude CHAMPY, maire de NOYANT-ET-ACONIN (AISNE)
    Véronique CHARPENTIER, maire de CHAVIGNY (AISNE)
    Pascal CREPEAUX, maire de CHAMPS (AISNE)
    Georges DE BERTOULT, maire de PLOYART-ET-VAURSEINE (AISNE)
    Alain DESBOVES, maire d’ANCIENVILLE (AISNE)
    Jean-Pierre DESCHAMPS, maire de FLEURY (AISNE)
    Jean-Claude DOUBLET, maire de BUZANCY (AISNE)
    Jean-Jacques GUILBERT, maire de CRÉCY-AU-MONT (AISNE)
    Christian LEFEVRE, maire de SAINT-PIERREMONT (AISNE)
    Claude LEFÈVRE, maire de VIGNEUX-HOCQUET (AISNE)
    Patrick MELLING, maire de VILLE-SAVOYE (AISNE)
    Jean MICHEL, maire de VIELS MAISONS (AISNE)
    Johnny MOGLIA, maire de CHERMIZY-AILLES (AISNE)
    Dominique PADIEU, conseiller régional de PICARDIE (AISNE)
    Paul SÉRET, maire de ROCQUIGNY (AISNE)
    Bernard VALLIET, maire de MALZY (AISNE)
    Jean-Jacques ADOUX, maire du HAMEL (OISE)
    Jacques BOCQUET, maire de TRICOT (OISE)
    Alain CARRIERE, maire de GOLANCOURT (OISE)
    Michel GUINIOT, conseiller régional de PICARDIE (OISE)
    Charly LEFEBVRE, maire de DARGIES (OISE)
    Pascal LEMMENS, maire de SAINT-PIERRE-LÈS-BITRY (OISE)
    Sandrine LEROY, conseiller régional de PICARDIE (OISE)
    Philippe MOQUET, maire de BARON (OISE)
    Georges SAMSON, maire de BRÉTIGNY (OISE)
    Christelle SIMON, conseiller régional de PICARDIE (OISE)
    Francis ARCHINTINI, maire de SAINT-CHRIST-BRIOST (SOMME)
    Joël BAZIN, maire de DOMESMONT (SOMME)
    Jean-Pierre BECQUET, maire de FRETTECUISSE (SOMME)
    Bernard BELGUISE, maire délégué d’une commune associée à LINCHEUX-HALLIVILLERS (SOMME)
    Jean-Claude CHATELAIN, maire de BEAUCOURT-SUR-L’ANCRE (SOMME)
    Wallerand DE SAINT JUST, conseiller régional de PICARDIE (SOMME)
    Jean DERAMECOURT, maire d’ÉPÉCAMPS (SOMME)
    Yannick DESSAINT, maire d’ERCOURT (SOMME)
    Claude DUBERSEUIL, maire délégué d’une commune associée, ONVILLERS (SOMME)
    Hugues DUCATELLE, maire de MARCHÉ-ALLOUARDE (SOMME)
    Benoît DUPRÉ, maire de GRÉCOURT (SOMME)
    Bernard FRANCOIS, maire de HARDECOURT-AUX-BOIS (SOMME)
    Pierre HECQUET DE BEAUFORT, maire délégué d’une commune associée à HOCQUINCOURT (SOMME)
    Charles HURTEBISE, maire de FOSSEMANANT (SOMME)
    Jean-Pierre OSSART, maire de BOISBERGUES (SOMME)
    Mylène TROSZCZYNSKI, conseiller régional de PICARDIE (SOMME)
    POITOU-CHARENTES
    Dominique BODET, maire de SAUVIGNAC (CHARENTE)
    Jean-Pierre CLAEYS, maire de GRASSAC (CHARENTE)
    Jean-François ALLIGNÉ, maire de SAINT-MÉDARD (CHARENTE-MARITIME)
    Hervé DE CHANGY, maire de MURON (CHARENTE-MARITIME)
    Gérard MASSÉ, maire de SAINT-LAURENT-DE-LA-BARRIÈRE (CHARENTE-MARITIME)
    Jean-Marie BARRAUD DUCHÈRON, maire de BELLEFONDS (VIENNE)
    Yanick CHICOT, maire de SAINT-RÉMYSUR-CREUSE (VIENNE)
    René DEMEOCQ, maire délégué d’une commune associée à MESSAIS (VIENNE)
    Dominique GREMIAUX, maire de BEAUMONT (VIENNE)
    POLYNÉSIE FRANÇAISE
    Ernest-Igino TEAGAI, maire de TATAKOTO (POLYNÉSIE FRANÇAISE)
    Benjamin TEHEURA, maire délégué d’une commune associée à TEHURUI (POLYNÉSIE
    FRANÇAISE)
    Cyril TETUANUI, maire de TUMARAA, POLYNÉSIE FRANÇAISE)
    PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
    André-Luc BLANC, maire délégué d’une commune associée à ARGENS (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
    Fabrice BLANC, maire délégué d’une commune associée à CARNIOL (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
    Jean-Claude CASTEL, maire de CORBIÈRES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
    André ESMIEU, maire délégué d’une commune associée à VALSAINTES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
    Robert NICOLAS, maire de BELLAFFAIRE (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
    Sébastien COPIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES)
    Hubert DE MESMAY, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES)
    Jean ICART, conseiller général de NICE-2 (ALPES-MARITIMES)
    Monique LARTIGUE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES)
    Lydia SEROIN, épouse SCHENARDI, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES)
    Marie-Claude AUCOUTURIER, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Laurent COMAS, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Gérald GERIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Valérie LAUPIES, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Bernard MARANDAT, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Joëlle MELIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Élisabeth PHILIPPE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Stéphane RAVIER, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE)
    Guy MICHEL, maire de SAINT-DISDIER (HAUTES-ALPES)
    Jean-Louis BOUGUEREAU, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR)
    Armelle DE PIERREFEU, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR)
    Jean-Paul DISPARD, conseiller général de BRIGNOLES (VAR)
    David RACHLINE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR)
    Frédéric BOCCALETTI, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE)
    Thibaut DE LA TOCNAYE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE)
    Marie-Odile RAYÉ, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE)
    RHONE-ALPES
    Patrick BATTISTA, maire de NIÉVROZ (AIN)
    Nicole DE LACHEISSERIE, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (AIN)
    Olivier EYRAUD, conseiller général de REYRIEUX (AIN)
    Claude JUILLET, maire de CHAMPAGNE-EN-VALROMEY (AIN)
    Michel THIEBAUT, maire d’ÉVOSGES (AIN)
    Christian GRANG

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  • Si l’immigration se poursuit, quelles formes prendra notre décadence?

     Tribune libre de Paysan savoyard

    Dans le cas où l’un des deux candidats du consortium formé par l’UMP et le PS serait élu, 1 million d’immigrés supplémentaires entreront légalement en France pour s’y installer au cours du prochain quinquennat, si le rythme actuel de l’immigration se maintient (plus de 200 000 entrées légales par an). Si l’on ajoute les naissances et l’immigration illégale et que l’on tient compte des départs et des décès, la France comptera au total dans cinq ans 2 millions de personnes supplémentaires originaires de l’immigration.

    Compte-tenu de son ampleur et de sa soudaineté, le processus d’immigration en cours constitue en réalité un phénomène d’invasion. L’immigration non européenne a commencé dans les années soixante ; elle est devenue massive à compter des années soixante-dix. La population d’origine non européenne installée en France peut aujourd’hui être évaluée à au moins 12 millions de personnes. Dès lors si le processus se poursuit, la population autochtone sera mise en minorité et marginalisée bien avant la fin du siècle. La société française et plus généralement la civilisation européenne auront alors disparu.

    A l’intention de ceux qui s’apprêtent à voter pour M. Sarkozy ou pour M. Hollande en croyant percevoir entre eux des différences substantielles, nous pensons utile de rappeler que, pour ce qui concerne en tout cas cette question de l’immigration, la plus fondamentale de toutes parce qu’elle engage la survie même de notre peuple et de notre civilisation, la gauche et la droite conduisent à quelques nuances près la même politique depuis quarante ans. Les deux ailes du Système font mine de s’affronter violemment sur des questions secondaires (voile, minaret, vote des étrangers…) pour camoufler aux yeux des électeurs naïfs leur accord profond sur l’essentiel : la poursuite de l’immigration massive.

     

    Avec l’espoir, probablement vain, d’inciter les électeurs abusés à exprimer cette fois un vote de prise de conscience, un vote de « coup d’arrêt », un vote de sursaut, un vote de refus de la décadence, un vote de refus de l’invasion, un vote d’espoir, un vote d’avenir, un vote de recomposition politique, un vote de reconquête de notre identité, nous insisterons, une fois encore, sur les quatre conséquences que la poursuite de l’immigration impliquera inéluctablement :

    • L’immigration persistante entraînera tout d’abord une dégradation continue des conditions de vie.

    Provoquant par définition une augmentation importante de la population, elle se traduira pas une hausse continue du prix du logement, par une extension de l’urbanisation et par un accroissement de la pollution. Rappelons que la population française métropolitaine, qui était de 40 millions après la guerre, a explosé depuis : 50 millions dès 1968 ; 60 millions en 2002. 62 millions aujourd’hui. Et l’augmentation se poursuit. Or la plupart des familles autochtones n’ont que deux enfants, ce qui aurait dû se traduire normalement par une stabilisation de la démographie ! Dans quelques années dans ces conditions, seuls les ménages à haut revenu pourront habiter dans des endroits vivables.

    • L’immigration provoquera la ruine des systèmes sociaux et des services publics.

    D’ores et déjà la sécurité sociale, l’hôpital, l’éducation nationale, le système de retraite, le système de logement social ont commencé à imploser sous le poids de l’immigration, débordés par le nombre, débordés par les difficultés sociales inhérentes aux populations immigrées, débordés par les comportements incivils et délinquants. Les systèmes publics ont été jusqu’ici maintenus à peu près à flot en étant financés par la dette, passée en trois décennies de 5 % à 85 % du PIB. Or la crise de la zone euro semble indiquer que l’endettement public a aujourd’hui atteint sa limite. Dans quelques années, seuls les membres de la classe supérieure pourront se soigner correctement, scolariser leurs enfants dans un contexte favorable et disposer d’un niveau de vie confortable à leur retraite. Malheur aux autres, et en particulier aux familles de salariés, qui, accablées d’impôts, seront évincées des services publics et des protections dont elles bénéficient jusqu’à présent.

    • L’immigration alimentera une augmentation continue de l’insécurité et de la délinquance.

    Selon les statistiques officielles, 3 millions et demi de crimes et de délits sont commis chaque année. Les enquêtes de « victimisation » montrent que ce nombre est en réalité trois fois plus élevé, un grand nombre de délits n’étant pas portés à la connaissance de la police. Une grande partie de ces délits et crimes sont commis par des étrangers ou par des personnes originaires de l’immigration. Si l’immigration se poursuit et si une partie des immigrés présents ne sont pas reconduits (en particulier les clandestins et les étrangers et naturalisés condamnés), la délinquance continuera à croître. Au cours du prochain quinquennat des centaines de milliers de Français autochtones seront victimes de cambriolages, de braquages, d’agressions, de car-jacking, de home-jacking, de coup de couteaux, de viols… Parmi ces victimes il y aura de nombreux électeurs de M. Sarkozy et de M. Hollande (ce qui au demeurant ne sera que justice). Dans les années qui viennent, seules les personnes disposant de revenus élevés pourront se protéger de la délinquance en habitant dans des endroits sécurisés.

    • L’immigration enfin conduira la population de souche européenne à baisser les yeux dans son propre pays.

    L’attitude de réserve et de soumission que nous devrons adopter du fait de l’invasion migratoire prendra plusieurs aspects :

    Nous devrons rester vigilants en toutes circonstances pour éviter les rencontres malencontreuses. Changer de trottoir, changer de voiture dans le métro, s’interdire certains lieux, proscrire certains horaires, éviter de croiser le regard d’une personne issue de la « diversité »…

    Nous devrons cohabiter, dans les différents compartiments de notre vie, avec des personnes issues de la diversité. Dans le cadre professionnel, un nombre croissant de nos collègues auront une origine différente de la nôtre (les quotas de la « discrimination positive » imposeront la diversité dans tous les secteurs et à tous les niveaux). A l’hôpital et dans les maisons de retraite, nous serons soignés de plus en plus souvent par des personnels issus de la diversité, ce qui rendra la position de faiblesse dans laquelle la fréquentation de ces lieux nous place par nécessité encore plus délicate et pénible à supporter.

    Les responsables des entreprises de travaux auxquelles nous devront faire appel, les commerçants auxquels nous nous adresserons, les conseillers des banques auprès desquels nous solliciterons un emprunt, les fonctionnaires des guichets devant lesquels nous nous présenterons, tous seront de plus en plus fréquemment issus de la diversité. Il en sera de même des policiers qui nous toiseront et nous verbaliseront. Nous devrons côtoyer au quotidien des voisins de palier diversifiés. Certains des membres de nos propres familles seront issus de l’immigration ou du métissage. Nous serons souvent mal à l’aise lorsque nous rencontrerons toutes ces personnes, compte tenu de leur origine différente et de leur fréquente hostilité latente que nous ressentirons.

    Dans ces conditions, nous devrons rester toujours vigilants, taire nos opinions et nos réactions, prendre garde en toute circonstance, même dans les lieux les plus privés, aux propos que nous tiendrons. Nous devrons faire allégeance à l’idéologie universaliste ou à tout le moins rester cois sur le sujet. Il nous sera défendu d’exprimer la nostalgie que suscite en nous la pensée de la France« d’avant ». Nous devrons accepter sans réagir les provocations que les communautés d’origine immigrée multiplieront, bien conscientes qu’elles sont de participer à une entreprise historique d’invasion.

    Rappelons au passage que les innombrables revendications et affirmations d’appartenance communautaire qui se multiplient depuis trente ans avec une force sans cesse croissante, en particulier dans la communauté musulmane, ne sont pas seulement des comportements à caractère religieux : ce sont également, et sans doute avant tout, des manifestations identitaires et politiques.

    Précisons que ces différentes perspectives peu engageantes sont d’ores et déjà en voie de réalisation et conditionnent depuis déjà plusieurs années le quotidien de nombreux Français de souche européenne.

    Si l’on souhaite conjurer cet horizon catastrophique, il n’est plus permis de tergiverser. Il faut, entre autres urgentes dispositions, reconduire les clandestins, renvoyer les délinquants étrangers et naturalisés, changer la loi pour réserver les droits sociaux et l’accès aux services publics aux seuls nationaux, restreindre l’accès à la nationalité en supprimant le droit du sol, ne plus délivrer de visas dans les pays d’immigration…

    Quels arguments peuvent opposer à cela les électeurs des partis du Système ? Une telle politique susciterait certaines tensions ? Certes. Mais plus ces mesures seront prises à temps, plus les conflits civils que l’immigration va inévitablement susciter pourront être limités et maîtrisés.

    Parier sur le fait que M. Sarkozy mettra en œuvre une politique de fermeté, moins molle en tout cas que celle qu’appliqueront les socialistes ? Allons donc ! Il faut être bien naïf ou de mauvaise foi pour ne pas voir que M. Sarkozy ne se montre ferme qu’en paroles : sous son quinquennat les agressions violentes ont augmenté ; et l’immigration légale a été encore plus élevée que sous les gouvernements précédents !

    Les choses vont se tasser, les immigrés vont finir par s’assimiler, l’islam modéré pourra l’emporter si nous lui apportons notre soutien ? Quel aveuglement ! Ceux qui tiennent ces raisonnements ont-ils oublié que l’Histoire est pleine de ces civilisations brillantes qui ont été envahies et qui ont disparu. Ignorent-ils le sort des minorités chrétiennes dans tous les pays musulmans ?

    Dans l’Espagne arabo-andalouse, comme dans l’ensemble du monde musulman médiéval, les chrétiens et les juifs avaient le statut de « dhimmis » : ils étaient tolérés mais leurs droits étaient limités ; ils devaient payer des impôts particuliers ; ils ne pouvaient pratiquer leur religion que dans un nombre de lieux restreints et le prosélytisme leur était interdit. Ils devaient en outre porter un vêtement d’une couleur particulière.

    Les électeurs des partis immigrationnistes de l’UMP et du PS ont accepté par avance le statut de dhimmi, qui leur sera imposé avant qu’il soit longtemps


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    « Les Pieds-noirs n’ont rien à regretter, ils n’ont pas à se repentir, ils ont fait un pays là où il n’y avait rien !  »

    Entretien avec de Jean-Pierre Duclos-Aprico

    (propos recueillis par Pierre Cardinal)

    2012 est l’année du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie. Pourquoi revenir aux origines berbères du pays, désormais arabe par sa langue et sa culture ?

    J’ai voulu aller au-delà des passions toujours présentes en plongeant le lecteur dans les faits historiques pour y chercher les enseignements du passé, et la vérité.

    Gaston Boissier, historien du XIXe siècle, disait : « … pour savoir ce qu’un peuple pourra devenir, il faut d’abord connaître ce qu’il a été. »

    Le pays des Berbères a toujours été sous domination étrangère, phénicienne, romaine, vandale, byzantine, arabe, turque, française.

    C’est une réalité, les Berbères se sont le plus souvent moulés dans le mode de vie et les mœurs de leurs occupants, rien de ce qui a été réalisé dans le pays n’a été de leur fait.

    Les Arabes leur ont volé leur langue et leur culture, et leur ont imposé leur foi.

    Ils sont désormais retranchés dans leurs bastions de Kabylie, des Aurès, ou du Hoggar et Tassili (pour les plus purs et authentiques d’entre eux).

    Il est de bon ton aujourd’hui, notamment à gauche, de vouloir faire acte de repentance pour avoir occupé pendant 130 ans un pays qui n’existait pas. Il m’est apparu nécessaire de faire savoir ce qui a été fait en Algérie par la masse des « petites gens » que la France est allée chercher sur les rives de la Méditerranée, petites gens qui ont apporté la force de leurs bras pour faire de ce pays inculte et inorganisé, ce pays moderne qu’ils ont laissé.

    Les Pieds-noirs n’ont rien à regretter, ils n’ont pas à se repentir, ils ont fait un pays là où il n’y avait rien !

    Voulez-vous dire que vous regrettez l’Algérie des Français ?

    Je n’ai pas dit cela. Je regrette surtout que nous n’ayons pas su faire l’économie d’une guerre ! Je regrette surtout que les Pieds-noirs aient été poussés à partir ! Je regrette surtout qu’ils aient été aussi mal accueillis par les métropolitains qui, eux, n’ont rien « compris »

    L’indépendance était inéluctable, inscrite depuis toujours dans les droits de l’homme.

    Héritiers des conquérants de 1830, la France a entretenu les Pieds-noirs dans des droits qui résultaient de la conquête, dans le même temps elle enfermait l’indigène dans un statut de régnicole, régi par le code de l’indigénat. Elle n’a pas su pratiquer l’intégration, comme elle ne sait toujours pas le faire dans nos banlieues.

    On semble avoir oublié qu’avant nous, il y avait un peuple, une culture, une histoire, on a voulu ne voir qu’un peuple vaincu.

    Napoléon III n’a pas été entendu, Ferhat Abbas non plus, Albert Camus de même ! La révolution algérienne était dans la logique des choses.

    La majorité des Pieds-noirs ont payé, mais les quelques dizaines de colons qui, eux, avaient placé leurs avoirs en France ou à l’étranger depuis les années 50, ne sont pas rentrés avec une valise, ils ne font pas partie des rapatriés, et non plus des associations Pieds-noirs.

    Pourquoi considérez-vous que l’Algérie n’est pas encore une nation ?

    Parce qu’un pays qui a tué 250 000 des siens (auxquels on doit ajouter 50 000 disparus) depuis 1992 – sans négliger les 100 000 harkis en 1963, massacrés dans des conditions ignominieuses –, un pays intolérant où on détruit les églises, un pays dont les pères fondateurs juifs ont été expulsés en raison de leur judaïté, ne peut être considéré comme une nation.

    Qu’est-ce qu’une nation ? C’est d’abord une unité linguistique, culturelle, économique. La Langue et la culture Berbères ont été capturées par les Arabes ; quant à l’économie, elle est entre les mains des caciques du Pouvoir.

    L’Algérie est encore un état voyou, notamment vis-à-vis de son peuple.


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  • Si dimanche prochain devait se dérouler le premier tour de l'élection présidentielle, pour lequel des candidats suivants y aurait-il le plus de chances que vous votiez ?
    Nathalie ARTHAUD Vote 1 %
    François BAYROU Vote 8 %
    Jacques CHEMINADE Vote 1 %
    Nicolas DUPONT-AIGNAN Vote 3 %
    François HOLLANDE Vote 21 %
    Eva JOLY Vote 4 %
    Marine LE PEN Vote 23 %
    Jean-Luc MELENCHON Vote 13 %
    Philippe POUTOU Vote 1 %
    Nicolas SARKOZY Vote 26 %

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  • Présidentielle : les 500 noms de parrains de Jean-Luc Mélenchon

      Liste des maires anti-FN

    Le Journal officiel a publié les noms de 500 parrains par candidat, tirés au sort sur 14.790. Voici la liste pour Jean-Luc Mélenchon.

    M. Jean-Luc Mélenchon

    M. Michel HARDY, maire de LHOMME (SARTHE) ; M. Hervé SCHIAVETTI, maire d'ARLES (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Luc-Marie FABUREL, maire de SAINT-LONGIS (SARTHE) ; M. René HOCQ, maire de BURBURE (PAS-DE-CALAIS) ; M. Alfred PETTAZZONI, maire des MONTHAIRONS (MEUSE) ; M. Jean-Paul PINAUD, maire de GARCHIZY (NIEVRE) ; M. Jean-Jacques CANDELIER, député du NORD (16e) ; M. Gérard FAUQUE, maire de DUFFORT (GERS) ; M. Sébastien JUMEL, maire de DIEPPE (SEINE-MARITIME) ; M. Didier PINAULT, maire de LANGE (INDRE) ; M. Dominique SOUILHAT, maire de SERVANT (PUY-DE-DÔME) ; M. Serge LESBRE, conseiller général de CLERMONT-FERRAND-SUD (PUY-DE-DÔME) ; M. Claude PEYRONNET, conseiller général de BELLAC (HAUTE-VIENNE) ; M. Jean-Charles SERS, maire de CASTELNAU-DE-GUERS (HERAULT) ; Mme Michèle ERNIS, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME) ; M. Jean BUREAU, maire de SAINT-HILAIRE-LE-VOUHIS (VENDEE) ; Mme Danièle RENAUDIN, maire de TERMES-D'ARMAGNAC (GERS) ; M. Jean-Luc LECOMTE, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (EURE) ; M. Gérard TAURIAC, maire de BESTIAC (ARIEGE) ; M. André FORTUNAT, maire de MANCIEULLES (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Jean-Jacques FAUCHER, maire de SAINT-JOUVENT (HAUTE-VIENNE) ; M. Michel LE BOUSTOULER, maire de SAMAZAN (LOT-ET-GARONNE) ; M. Eric ROULOT, maire de LIMAY (YVELINES) ; M. Laurent GARNIER, conseiller général de VILLEJUIF-OUEST (VAL-DE-MARNE) ; M. Roger DUFOUR, maire de SAINT-MARTIN-DU-TERTRE (VAL-D'OISE) ; Mme Sabine MAHE, maire de TRIGNAC (LOIRE-ATLANTIQUE) ; Mme Karine MERLIN, épouse JARRY, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE) ; M. Daniel BLANCHARD, maire de ORBIGNY-AU-VAL (HAUTE-MARNE) ; Mme Monique DOUMEAU, maire de LONGUEFUYE (MAYENNE) ; Mme Laurence PACHE, conseiller régional du LIMOUSIN (CREUSE) ; M. Claude THIERY, maire de ROUVRES-LA-CHETIVE (VOSGES) ; M. Gaby CHARROUX, maire de MARTIGUES (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. François BRETIN, conseiller général d'ARGENTAT (CORREZE) ; M. Luc LEANDRI, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Pierre MINGAUD, maire de LA PENNE-SUR-HUVEAUNE (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Francis TUJAGUE, maire de CONTES (ALPES-MARITIMES) ; Mme Catherine CHEVALIER, maire de CHAMPAGNE (SARTHE) ; M. Michel DUPONT, maire de SAINT-MENOUX (ALLIER) ; M. Michel VAUTARET, maire de SAINT-PIERRE-SUR-DOUX (ARDECHE) ; M. René CHER, maire de RAISMES (NORD) ; M. Yves LIGIER, maire du CHEIX (PUY-DE-DÔME) ; M. Michel GUERIN, conseiller général d'INGRE (LOIRET) ; M. Daniel CARAMINOT, maire de DAVIGNAC (CORREZE) ; M. Jean-René BENOIT, maire de PLANAY (SAVOIE) ; M. Jean-Michel MIJEON, maire de CHISSAY-EN-TOURAINE (LOIR-ET-CHER) ; M. Olivier GIRARD, maire de SAINT-JULIEN-EN-QUINT (DRÔME) ; Mme Jacqueline FRAYSSE, député des HAUTS-DE-SEINE (4e) ; M. Jean-Victor GRUAT, maire de BRENNILIS (FINISTERE) ; Mme Viviane BIANCARELLI, conseiller à l'Assemblée de Corse (CORSE-DU-SUD) ; M. Pierre AUGEY, maire de FARGUES (GIRONDE) ; M. Michel TACHE, maire des PILLES (DRÔME) ; M. Denys GODARD, maire de SAINT-LAURENT (CHER) ; M. Gilles POUX, maire de LA COURNEUVE (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Claude VAZQUEZ, conseiller général de GRIGNY (ESSONNE) ; M. Michel LEFEBVRE, conseiller général de DENAIN (NORD) ; M. Jean-Pierre PASTRE, maire de FELINES-MINERVOIS (HERAULT) ; M. Jean-François ENSERGUEIX, maire de GRANDSAIGNE (CORREZE) ; Mme Marie-Pierre VIEU, conseiller régional de MIDI-PYRENEES (HAUTES-PYRENEES) ; Mme Corinne DONNAINT, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Guy MARTIN, maire de CULIN (ISERE) ; M. Jean-François PELLISSIER, conseiller régional d'ÎLE-DE-FRANCE (SEINE-ET-MARNE) ; M. Pierre ALLARD, maire de SAINT-JUNIEN (HAUTE-VIENNE) ; M. Bernard PHILIPPE, maire de MURAT (ALLIER) ; M. Guy SARRADO, maire de SAINT-AGNAN (NIEVRE) ; M. Alain BLANQUER, maire de LIEURAN-CABRIERES (HERAULT) ; Mme Brigitte GONTHIER-MAURIN, sénateur (HAUTS-DE-SEINE) ; M. Alain CLAPIER, maire de VACHERES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Michel FLORENTY, maire de SAINT-MEDARD-DE-MUSSIDAN (DORDOGNE) ; M. Pierre LINEATTE, conseiller général de PERONNE (SOMME) ; M. Pierre SELLINCOURT, maire de LA VERRIERE (YVELINES) ; Mme Valérie PRINGUEZ, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Daniel ROUSSAT, maire de COSNE-D'ALLIER (ALLIER) ; M. Jean-Bernard SAHUC, maire de FLAUGNAC (LOT) ; M. Lucien DUBUISSON, maire de DESERTINES (ALLIER) ; Mme Jacqueline ROUILLON, maire de SAINT-OUEN (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Guy LAGANIER, conseiller général de GENOLHAC (GARD) ; M. Alain LONGUENT, maire du TREPORT (SEINE-MARITIME) ; M. Alain ERNOT, maire de TREVOU-TREGUIGNEC (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Francis PRATX, maire de BOISSERON (HERAULT) ; Mme Brigitte BERNALEAU, maire de SAINT-GENES-DE-FRONSAC (GIRONDE) ; M. Francis COURTIADE, maire de CHELLE-DEBAT (HAUTES-PYRENEES) ; M. Jacques DEMANSE, maire de SAUVETERRE (GARD) ; M. Bernard GUERIN, maire de SAINT-MARTIN-DE-FRAIGNEAU (VENDEE) ; Mme Julie COCHIN, conseiller régional des PAYS DE LA LOIRE (MAYENNE) ; M. Stanislas PILARZ, maire de STAFFELFELDEN (HAUT-RHIN) ; M. Bruno DIANO, maire de CREPAND (CÔTE-D'OR) ; M. Paul ARNAUD, maire de MONTFERRAND-LA-FARE (DRÔME) ; M. Dominique LESPARRE, maire de BEZONS (VAL-D'OISE) ; Mme Catherine FOURGOUS, épouse MARGATE, maire de MALAKOFF (HAUTS-DE-SEINE) ; M. Maurice VISEUX, maire de BOUVIGNY-BOYEFFLES (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Aline ARROUZE, conseiller de PARIS ; M. Alain RENAULT, conseiller régional de BOURGOGNE (CÔTE-D'OR) ; M. José ANTUNES-NUNES, maire de FEULE (DOUBS) ; M. Alain COUSIN, maire de CARLAT (CANTAL) ; M. Jacky BELIEN, maire de BOURBON-L'ARCHAMBAULT (ALLIER) ; M. Jean-Louis JAYOL, maire de SOLEYMIEUX (LOIRE) ; Mme Evelyne SANTORU-JOLY, conseiller général de MARTIGUES-OUEST (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Michel MANIQUAIRE, maire d'ESPERCE (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean-Pierre PEREZ, maire de VENDRES (HERAULT) ; M. Georges BOIRY, maire de SAINT-GEORGES-SUR-ALLIER (PUY-DE-DÔME) ; Mme Christine DEYMIE, maire de VALENCE-D'ALBIGEOIS (TARN) ; M. Daniel BOUYGES, maire de MOUSTIER-VENTADOUR (CORREZE) ; M. Renzo SULLI, maire d'ECHIROLLES (ISERE) ; M. Freddy KACZMAREK, maire d'AUBY (NORD) ; M. Jean-Pierre BONTOUX, conseiller général de MITRY-MORY (SEINE-ET-MARNE) ; M. Jean-Luc BOUZON, conseiller général de SAINT-DIZIER-NORD-EST (HAUTE-MARNE) ; M. Jacques SAINT-AMAUX, conseiller général de LIMAY (YVELINES) ; M. Michel BROUARD, conseiller général de SAINT-SAVIN (VIENNE) ; M. François JACQUART, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (ARDECHE) ; M. Claude CHAIDRON, conseiller général d'AMIENS-1 (OUEST) (SOMME) ; M. Pascal BEAUDET, conseiller général d'AUBERVILLIERS-EST (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Marcel RENAUDIN, maire de DROSNAY (MARNE) ; M. Patrick BERTHAULT, maire de MAINE-DE-BOIXE (CHARENTE) ; Mme Elisa MARTIN, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (ISERE) ; M. Roger TIRLICIEN, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. François GANTIER, maire de GRAVIGNY (EURE) ; M. Christian LE FUSTEC, maire de PLOUARET (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Albert DESPRES, conseiller général de BOUCHAIN (NORD) ; M. Jean JAROSZ, conseiller général de BAVAY (NORD) ; M. Gérard GRIMAULT, maire de BRIONNE (EURE) ; M. Thierry DANCOINE, maire de LALLAING (NORD) ; Mme Carinne JUSTE, maire de VILLETANEUSE (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Bernard VERA, maire de BRIIS-SOUS-FORGES (ESSONNE) ; M. Edouard CHAULET, maire de BARJAC (GARD) ; M. Dominique GRAND, maire de SAINT-LOTHAIN (JURA) ; M. Christian AUDOUIN, conseiller régional du LIMOUSIN (CORREZE) ; M. Guy SENECAL, maire d'ARQUES-LA-BATAILLE (SEINE-MARITIME) ; M. Bernard FAVODON, conseiller général de COMBRONDE (PUY-DE-DÔME) ; M. Julien COLLONGUES, maire de CHELAN (GERS) ; M. Claude GUERRIER, maire de SAINT-SULPICE-LE-GUERETOIS (CREUSE) ; Mme Marie KENNEDY, conseiller général de CHAMPIGNY-SUR-MARNE-EST (VAL-DE-MARNE) ; M. Michel PONTHOREAU, maire de FARGUES-SUR-OURBISE (LOT-ET-GARONNE) ; M. Jean-Pierre BUIX, maire de BUIS-LES-BARONNIES (DRÔME) ; M. Charles METIVIER, maire de MOLIERES-GLANDAZ (DRÔME) ; M. Edgar MALAUSSENA, maire de VILLARS-SUR-VAR (ALPES-MARITIMES) ; M. Ian BROSSAT, conseiller de PARIS ; M. Gabriel AMARD, président d'une communauté d'agglomération, LES LACS DE L'ESSONNE (ESSONNE) ; M. Didier HERBE, maire de MONTREUIL (VENDEE) ; Mme Monique LE MINEZ, maire de PEYREFITTE-DU-RAZES (AUDE) ; M. Claude GUIGO, maire de VENANSON (ALPES-MARITIMES) ; M. Frédéric PICARD, maire d'ALBON-D'ARDECHE (ARDECHE) ; Mme Nelly ROLAND, maire de VILLEPINTE (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Francis LESCURE, maire de LAGARDE-HACHAN (GERS) ; M. Claude GARNIER, maire de BREE (MAYENNE) ; M. Martial PASSI, maire de GIVORS (RHÔNE) ; M. Jean-Pierre MINELLA, maire de HOMECOURT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; Mme Sylvie RAYNAUD, épouse TUYERAS, maire de SAINT-BRICE-SUR-VIENNE (HAUTE-VIENNE) ; M. Jean-Pierre BUCHE, maire de PERIGNAT-SUR-ALLIER (PUY-DE-DÔME) ; M. Patrick DOUET, maire de BONNEUIL-SUR-MARNE (VAL-DE-MARNE) ; M. Alain LOGNON, maire de BEAULON (ALLIER) ; M. Daniel BOUVARD, maire de L'AUBEPIN (JURA) ; M. Yves MESNARD, maire de ROQUEVAIRE (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Alain BESNIER, maire de MONTBIZOT (SARTHE) ; M. Jean-Claude BAUER, maire de DEVILLE (ARDENNES) ; M. Patrick MALAVIEILLE, maire de LA GRAND-COMBE (GARD) ; Mme Simone MATHIEU, maire de VIRY-CHÂTILLON (ESSONNE) ; M. Michel SALMON, maire de SAINT-AUBIN-D'APPENAI (ORNE) ; M. Henri PUJOL, maire de CORBERE-LES-CABANES (PYRENEES-ORIENTALES) ; Mme Anne MANSOURET, conseiller général d'EVREUX-EST (EURE) ; M. Christian TREMOLIERES, maire de CASTELNAU-PEGAYROLS (AVEYRON) ; M. Claude LAUBIER, maire de PARNAC (INDRE) ; M. Tony BERNARD, maire de CHÂTELDON (PUY-DE-DÔME) ; M. Claude GILARDO, maire de BRIGNOLES (VAR) ; M. Gilles DUCOUT, maire de SAINT-JULIEN-EN-BORN (LANDES) ; M. Jean-Luc CLISSON, maire du BOURDET (DEUX-SEVRES) ; M. Jean-Louis ALVAREZ, conseiller général d'OLETTE (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Patrick BLIN, conseiller régional de BOURGOGNE (YONNE) ; M. Jean GUIRAUD, maire de VILLETON (LOT-ET-GARONNE) ; M. Paul DA SILVA, conseiller général de VIRY-CHÂTILLON (ESSONNE) ; M. Jean-Paul DUFREGNE, conseiller général de SOUVIGNY (ALLIER) ; M. Alain BRUNEEL, maire de LEWARDE (NORD) ; M. Gérard EPOULET, maire de GERMOND-ROUVRE (DEUX-SEVRES) ; Mme Zubeyda COSKUN, conseiller régional d'AUVERGNE (PUY-DE-DÔME) ; M. Gérard LE CAM, sénateur (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Jean-Marc DEALET, maire de VERMELLES (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Evelyne RABARDEL, conseiller général de VITRY-SUR-SEINE-EST (VAL-DE-MARNE) ; Mme Maryvonne HAUTIN, maire de SARAN (LOIRET) ; Mme Nathalie NAIL, conseiller général du HAVRE-7 (SEINE-MARITIME) ; M. Raymond SENAC, maire de BERDOUES (GERS) ; M. Gilles MAZUEL, conseiller général de BOURBON-L'ARCHAMBAULT (ALLIER) ; Mme Anne-Marie SAINT-MARTIN, maire d'ANDREST (HAUTES-PYRENEES) ; M. Jean PICART, maire d'ETAIN (MEUSE) ; M. Jean-Pierre BOSINO, maire de MONTATAIRE (OISE) ; M. Eric MAUBERNARD, maire de SAINT-JEAN-DU-PIN (GARD) ; M. Gérard RENAUD, maire de PARAY-LE-FRESIL (ALLIER) ; M. Jean CHAPET, maire de CONQUES-SUR-ORBIEL (AUDE) ; M. Patrick VITU, maire de PINON (AISNE) ; Mme Jeanne JIMENEZ, conseiller régional de MIDI-PYRENEES (TARN) ; M. Henri FATTA, maire de OURSBELILLE (HAUTES-PYRENEES) ; Mme Véronique MAHE, conseiller régional des PAYS DE LA LOIRE (LOIRE-ATLANTIQUE) ; M. Marc THIBERVILLE, conseiller général de VALENTON (VAL-DE-MARNE) ; Mme Josette LIBERT, conseiller général d'AMBAZAC (HAUTE-VIENNE) ; M. Jean-Claude LERIGET, maire de PARVES (AIN) ; M. Denis DELAGE, maire de SAINT-MAURICE-DES-LIONS (CHARENTE) ; Mme Michelle TERRYN, épouse DEMESSINE, sénateur (NORD) ; M. Gilles SACKEPEY, maire d'ETIVEY (YONNE) ; M. Patrick CHALON, maire de SAINT-ETIENNE-DE-CHIGNY (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Aimé BAC, maire d'ANGLES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Christian FLEURY, maire de BONNETABLE (SARTHE) ; Mme Audrey MARIE, conseiller régional (GUYANE) ; Mme Eliane ASSASSI, sénateur (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Jean-Louis MARTIN, maire de PARMILIEU (ISERE) ; M. Jacky VALY, conseiller général d'ALES-NORD-EST (GARD) ; M. André JOUANNY, maire de MIZOËN (ISERE) ; M. Patrick LE RAY, maire du VERGER (ILLE-ET-VILAINE) ; M. Jacques PALLAS, maire de SAINT-GEORGES-SUR-ARNON (INDRE) ; M. Marc EVERBECQ, maire de BAGNOLET (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Younous OMARJEE, représentant au Parlement européen ; M. Jean-Michel LIEVREMONT, maire de LODS (DOUBS) ; M. Jean-Louis CHAPELLE, maire de SAINT-GERMAIN-DE-CALBERTE (LOZERE) ; M. Bruno BERNARD, maire de RAVEL (PUY-DE-DÔME) ; M. Gérard KERNEC, maire du VIEUX-MARCHE (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Jean-Claude MARET, maire de BOUSSOIS (NORD) ; M. Alain MABILON, maire de CHÂTEAUNEUF-DE-GALAURE (DRÔME) ; M. André ARGILES, maire de NYER (PYRENEES-ORIENTALES) ; Mme Cécile CUKIERMAN, sénateur (LOIRE) ; Mme Nadine ACEBEDO, épouse GARCIA, conseiller général de NANTERRE-SUD-EST (HAUTS-DE-SEINE) ; M. Hervé SCHNEIDER, maire de XIVRY-CIRCOURT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Christian FAVIER, sénateur (VAL-DE-MARNE) ; M. Jacques AUZOU, maire de BOULAZAC (DORDOGNE) ; M. Daniel CONRY, maire de LUGNY (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Patrick PERON, maire d'ALGRANGE (MOSELLE) ; M. Jean CLARISSE, maire d'AUCHY-LES-MINES (PAS-DE-CALAIS) ; M. Gilles GARNIER, conseiller général de NOISY-LE-SEC (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Bruno LECLERCQ, maire de BRIASTRE (NORD) ; M. Martial STIENNE, conseiller général de VITRY-EN-ARTOIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Pascal BAROIS, maire de LILLERS (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Sabine DEHEZ, maire de CARCEN-PONSON (LANDES) ; M. Nicolas SANSU, maire de VIERZON (CHER) ; M. Jean-Claude TOUZELET, maire de SAINT-HILAIRE-DE-COURT (CHER) ; M. André CHASSAIGNE, député du PUY-DE-DÔME (5e) ; M. Michel HERIBERT, maire délégué d'une commune associée, BANAT (ARIEGE) ; M. Bernard BAUDOUX, maire d'AULNOYE-AYMERIES (NORD) ; M. Jean-Marie WEYLAND, maire de HATRIZE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Jean CORBANESE, maire de SAINT-PIERRE-D'AURILLAC (GIRONDE) ; Mme Yvette MERCIER, conseiller régional d'AUVERGNE (PUY-DE-DÔME) ; M. Patrick BRAOUEZEC, député de SEINE-SAINT-DENIS (2e) ; M. Jacques LUTZ, maire de CAMBES (LOT) ; Mme Michèle BERNARD, épouse GRÜNER, conseiller régional de LORRAINE (VOSGES) ; M. Sadi GUERDIN, maire de JANVILLE (OISE) ; M. Denis VAL, maire délégué d'une commune associée, VOUEL (AISNE) ; M. Christian LECOMTE, maire de CHAMPCEVINEL (DORDOGNE) ; M. Alain BLANCHARD, conseiller général de MONTATAIRE (OISE) ; M. Jean-Claude PARIS, conseiller général de SAINT-AMBROIX (GARD) ; M. Roger CLEMENT, maire de VISERNY (CÔTE-D'OR) ; M. Michel MANCEAU, maire de SAINT-GENIEZ (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Belaide BEDREDDINE, conseiller général de MONTREUIL-OUEST (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. André MONNIN, maire de PONCE-SUR-LE-LOIR (SARTHE) ; M. Alain PHILIBERT, maire de SAINT-VALLIER (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Thierry DUFOUR, maire de SAINT-PIERRE-DE-FURSAC (CREUSE) ; M. Dany WALLYN, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; Mme Annie CHEVALDONNE, conseiller général de THIERS (PUY-DE-DÔME) ; M. Guillaume LAYBROS, maire de THIEZAC (CANTAL) ; M. Jean SAINT-CLAIR, maire de CHIRAC (CHARENTE) ; M. Pierre MATHIEU, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (AUBE) ; M. Dominique ROBIN, maire de VILLEGUSIEN-LE-LAC (HAUTE-MARNE) ; M. Daniel VERDELHAN, maire de SALINDRES (GARD) ; M. Armand ZACCARON, maire de LA FORCE (DORDOGNE) ; M. Jean-Jacques IRIARTE ARRIOLA, maire de BEAUCAMPS-LE-VIEUX (SOMME) ; Mme Isabelle CASSAR, maire de CHAULGNES (NIEVRE) ; M. Jacquie DOUARRE, conseiller général d'AMBERT (PUY-DE-DÔME) ; M. Maurice SEGUIER, maire de FABREZAN (AUDE) ; Mme Nicole BICHET, maire de QUEMIGNY-POISOT (CÔTE-D'OR) ; M. Alexis CORBIERE, conseiller de PARIS ; M. Armand CREUS, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (RHÔNE) ; M. Joseph ROUXEL, maire de LANDEBIA (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Claude COLLIN, conseiller général de SOTTEVILLE-LES-ROUEN-EST (SEINE-MARITIME) ; M. Jean ROUILLON, maire de SAINT-SAUVEUR-MARVILLE (EURE-ET-LOIR) ; M. Claude BRAIBANT, maire de JALESCHES (CREUSE) ; M. André LAMY, conseiller général de VOITEUR (JURA) ; M. Gilles DELBOS, conseiller général de VILLEJUIF-EST (VAL-DE-MARNE) ; Mme Marie-Jeanne FEDI, conseiller à l'Assemblée de Corse (HAUTE-CORSE) ; M. Daniel RIGAUD, conseiller général de ROUSSILLON (ISERE) ; M. Jean FLEGEO, maire de SAULX-LES-CHARTREUX (ESSONNE) ; M. Philippe VIRARD, président d'une communauté de communes, LE PLATEAU D'HAUTEVILLE (AIN) ; Mme Marie-Françoise LEPINE, épouse PAUTRAS, conseiller général de LA CHAPELLE-SAINT-LUC (AUBE) ; M. Alain GUILLOUET, maire de RABASTENS-DE-BIGORRE (HAUTES-PYRENEES) ; M. René LOGNON, conseiller général de PICQUIGNY (SOMME) ; M. Jean-Claude PINAULT, conseiller général de SAVIGNAC-LES-EGLISES (DORDOGNE) ; M. Christian MASMEJEAN, maire de PIED-DE-BORNE (LOZERE) ; M. Pierre COURTADON, maire de VARENNES-SUR-ALLIER (ALLIER) ; Mme Michèle BIZOT-GASTALDI, maire de LA PALUD-SUR-VERDON (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Philippe CAMO, conseiller régional d'ÎLE-DE-FRANCE (SEINE-ET-MARNE) ; M. Hervé GIMARET, maire de CHAMPROUGIER (JURA) ; M. André LAURENT, maire de PRADINES (CORREZE) ; M. Alain LOUCHE, maire de SAINT-MARTIN-DE-BOUBAUX (LOZERE) ; Mme Danièle GIL, maire de POUZE (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean-Paul BORE, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (GARD) ; Mme Fabienne LASSALLE, maire d'ARGELOS (LANDES) ; M. Bernard DUPIN, maire de SAINT-PRIEST-TAURION (HAUTE-VIENNE) ; Mme Catherine PEYGE, maire de BOBIGNY (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Pierre MOURARET, maire de DIVES-SUR-MER (CALVADOS) ; M. Philippe DARPHEUIL, maire de VERT (LANDES) ; M. Patrice RIVET, maire de RIOMS (DRÔME) ; M. Richard MORETTO, maire de SAUTEL (ARIEGE) ; M. Claude PARADE, maire de SAINT-LEON-SUR-L'ISLE (DORDOGNE) ; M. Jean-Luc QUEMENER, maire délégué d'une commune associée, SAINT-PAIR-DU-MONT (CALVADOS) ; M. Denis PUECH, maire d'ALLIERES (ARIEGE) ; M. Pierre THOMAS, maire d'YGRANDE (ALLIER) ; M. André LAFON, maire de FARGUES-SAINT-HILAIRE (GIRONDE) ; M. Claude JACOB, maire d'ERONDELLE (SOMME) ; M. Laurent MATEJKO, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Serge LAFORÊT, maire de NEUF-EGLISE (PUY-DE-DÔME) ; Mme Marie-Claude GAREL, conseiller général de NANTERRE-SUD-OUEST (HAUTS-DE-SEINE) ; M. Michel COMET, maire de LAHOSSE (LANDES) ; Mme Marie-Jeanne LAPIERRE, maire délégué d'une commune associée, LES VANS (ARDECHE) ; M. George GENTIL, maire délégué d'une commune associée, AULNAY-AUX-PLANCHES (MARNE) ; M. Guy FERRERI, maire de CHISA (HAUTE-CORSE) ; M. Pierre SIMON, maire de CUBJAC (DORDOGNE) ; M. François LIEB, maire de NEBIAN (HERAULT) ; M. Bernard JAUVION, maire de FAVARS (CORREZE) ; M. Claude PAULIAT, conseiller général de SAINT-MATHIEU (HAUTE-VIENNE) ; Mme Nathalie LEFEBVRE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Gérard PAUL, maire des MEES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Michel ROUX, maire de SAINT-VAIZE (CHARENTE-MARITIME) ; M. Jean-Marie VIVENOT, maire du VEZIER (MARNE) ; M. Raymond GIRARDI, maire d'ARGENTON (LOT-ET-GARONNE) ; M. Armand FERRANDO, maire délégué d'une commune associée, CHÂTEAUNEUF-LES-MOUSTIERS (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Gérard CABELLO, maire de MONTARNAUD (HERAULT) ; Mme Liliane PIERRE, conseiller général de FONTENAY-SOUS-BOIS-OUEST (VAL-DE-MARNE) ; M. Yves CARROY, conseiller régional d'AUVERGNE (PUY-DE-DÔME) ; M. Philippe GAZANION, maire d'ALLEYRAS (HAUTE-LOIRE) ; M. Claude ROQUIS, maire de MALAINCOURT-SUR-MEUSE (HAUTE-MARNE) ; M. Antoine FATIGA, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (SAVOIE) ; M. Jean-Luc LEFEBVRE, maire d'AIRAINES (SOMME) ; M. Jacques PERSYN, maire de MORNAC (CHARENTE) ; M. Daniel DEXET, conseiller général de GUERET-NORD (CREUSE) ; M. Pierre BEZIAN, maire de MARSANNAY-LE-BOIS (CÔTE-D'OR) ; M. Philippe ROUX, maire de SAINT-CHRISTOL-LES-ALES (GARD) ; M. Jacques BRO, maire de SENESTIS (LOT-ET-GARONNE) ; M. Joël MARION, maire de COMPANS (SEINE-ET-MARNE) ; M. Denis GOICHOT, maire de BELMONT (JURA) ; M. Daniel LAUVIE, maire de MONFAUCON (DORDOGNE) ; M. Jacky FLEITH, maire de MONTAURE (EURE) ; M. Alain BACHE, conseiller régional d'AQUITAINE (LANDES) ; Mme Elisabeth LE BOURNAULT, maire de GLUIRAS (ARDECHE) ; M. Jean-Claude DAMMEREY, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (HAUTE-MARNE) ; M. Gérard FECAMP, maire d'INTRAVILLE (SEINE-MARITIME) ; M. Raymond CASTERAN, maire de NESTIER (HAUTES-PYRENEES) ; M. François RUDEL, maire de MEZEL (PUY-DE-DÔME) ; M. Daniel PAUL, député de SEINE-MARITIME (8e) ; M. Roger ROSTAIND, maire de SAINT-BASILE (ARDECHE) ; M. Rémy MERLE, maire de COULGENS (CHARENTE) ; M. Didier PAILLARD, maire de SAINT-DENIS (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Daniel CHAUSSADE, maire de MONTBOUCHER (CREUSE) ; M. Philippe GUESDON, maire de PLESSIX-BALISSON (CÔTES-D'ARMOR) ; M. François ASENSI, maire de TREMBLAY-EN-FRANCE (SEINE-SAINT-DENIS) ; M. Jean-Claude PATRON, maire de VANDELICOURT (OISE) ; M. Dominique WATRIN, sénateur (PAS-DE-CALAIS) ; M. Jean-Marc GILLES, maire de LION-SUR-MER (CALVADOS) ; M. Jacques VILLARD, maire de SAINT-LAURENT-EN-ROYANS (DRÔME) ; M. Ferdinand UGOLINI, maire de MURATO (HAUTE-CORSE) ; Mme Danielle TERRACOL, maire de TOY-VIAM (CORREZE) ; M. Jacques LERICHOMME, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Jean ESTRADE, maire de BETTENDORF (HAUT-RHIN) ; M. Christian PIBAROT, maire de SOUDORGUES (GARD) ; M. Didier BOULLARD, maire de BOURVILLE (SEINE-MARITIME) ; M. Michel CIMAZ, maire de SAINT-APOLLINAIRE-DE-RIAS (ARDECHE) ; M. Michel HILAIRE, conseiller général de SAINT-MACAIRE (GIRONDE) ; M. Marc FAURE, maire de LA RICAMARIE (LOIRE) ; Mme Colette FINET, maire de LONGUEAU (SOMME) ; Mme Danièle SAILLY, épouse SEUX, maire de DIVION (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Danielle BRAY, maire de FENAIN (NORD) ; Mme Arlette BIGORRE, maire de FONTPEDROUSE (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Lionel DUBOIS, maire de SAINT-CHAMANT (CORREZE) ; M. Michel GUENOUX, maire de MARCILLY-OGNY (CÔTE-D'OR) ; M. Jean-François VOGUET, maire de FONTENAY-SOUS-BOIS (VAL-DE-MARNE) ; M. Max BONNET, maire de TRESCLEOUX (HAUTES-ALPES) ; M. Christian CHAMPIRE, maire de GRENAY (PAS-DE-CALAIS) ; M. Bernard THOMAS, maire de CHAMBORAND (CREUSE) ; M. André JULLIEN, maire de LA BOUILLADISSE (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Marc BONNARD, maire du POËT-SIGILLAT (DRÔME) ; M. Eric CORBEAUX, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Norbert JESSUS, maire de TRITH-SAINT-LEGER (NORD) ; M. Jean-Paul PASCO-LABARRE, maire du PIN (SEINE-ET-MARNE) ; M. Henri LETOURNEAU, maire de DAMPIERRE-EN-GRACAY (CHER) ; M. Roger ISOARD, maire d'AUZET (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Antoine QUIRIN, maire de RAON-SUR-PLAINE (VOSGES) ; M. Christophe SONREL, maire de DAMELEVIERES (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Alain MENNESSIER, maire de BALESTA (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean-Paul DULERY, maire de BEZOUOTTE (CÔTE-D'OR) ; M. Jean-Claude RENAUX, maire de CAMON (SOMME) ; M. Jean-Paul NORET, conseiller général de LAIGNES (CÔTE-D'OR) ; M. Daniel THOUVENIN, maire de VILLORCEAU (LOIRET) ; M. Dino MAURO, maire de LA VILLENEUVE-LES-CONVERS (CÔTE-D'OR) ; M. Daniel GRENIER, maire du HOULME (SEINE-MARITIME) ; M. Laurent PEREA, maire de SAINT-CAPRAISE-DE-LALINDE (DORDOGNE) ; Mme Annick DELOBELLE, épouse MATTIGHELLO, maire de LOUVROIL (NORD) ; Mme Isabelle MONTAUBAN, maire de LUC-ARMAU (PYRENEES-ATLANTIQUES) ; Mme Nancette MAZIERE, conseiller général de NIEUL (HAUTE-VIENNE) ; M. Gérard LAHELLEC, conseiller régional de BRETAGNE (CÔTES-D'ARMOR) ; Mme Jacqueline ECHARD, maire de LOREUX (LOIR-ET-CHER) ; Mme Corinne MOREL-DARLEUX, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (DRÔME) ; M. Bernard BAUDE, maire de MERICOURT (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Nathalie VERMOREL DE ALMEIDA, conseiller régional de BOURGOGNE (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Christian TRENTALAUD, conseiller général de LAURIERE (HAUTE-VIENNE) ; Mme Christiane LEHMANN, conseiller général d'AIGUEBELLE (SAVOIE) ; M. André-Didier MONPOUILLAN, maire de MONTPOUILLAN (LOT-ET-GARONNE) ; M. Fabien THIEME, conseiller général de VALENCIENNES-EST (NORD) ; M. Marc SOUTEYRAND, maire d'UCEL (ARDECHE) ; M. Robert VILLEVIEILLE, maire de LA ROQUE-D'ANTHERON (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Eugène Jean-Luc CHASSAGNE, maire de MARTRES-SUR-MORGE (PUY-DE-DÔME) ; M. Michel JACQUINOT, maire de COUSSEGREY (AUBE) ; M. Henri BLANC, maire de SAÏX (TARN) ; M. Jacques PUMAREDA, maire d'ALENYA (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Michel LEFEBVRE, maire de QUIEVRECHAIN (NORD) ; M. Michel GUIDI, maire de CANTARON (ALPES-MARITIMES) ; M. Jean-Luc LANOUILH, conseiller général de CHAUNY (AISNE) ; M. Vincent BIRR, maire de VERNE (DOUBS) ; M. Alain CASONI, maire de VILLERUPT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Patrick ABATE, maire de TALANGE (MOSELLE) ; M. Guilhem SERIEYS, conseiller régional de MIDI-PYRENEES (TARN) ; Mme Annie DAVID, sénateur (ISERE) ; Mme Claudine CORDILLOT, maire de VILLEJUIF (VAL-DE-MARNE) ; M. Michel SANTANACH, maire de SAUTO (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Ernest DAT, maire de BEZINS-GARRAUX (HAUTE-GARONNE) ; M. Pascal JEAN, maire de NEUVILLE-SUR-ESCAUT (NORD) ; M. Régis LECOYER, maire de HOURY (AISNE) ; M. René BALME, maire de GRIGNY (RHÔNE) ; M. Michel ILLAC, maire de ENSUES-LA-REDONNE (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; Mme Hélène BIDARD, conseiller de PARIS ; M. Michel MOUILLAUD, maire de CHADRON (HAUTE-LOIRE) ; M. Michel PESENTI, maire d'ANTRAIGUES-SUR-VOLANE (ARDECHE) ; M. Gérard PIEL, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR (ALPES-MARITIMES) ; M. Albert SALLE, maire de BIARS-SUR-CERE (LOT) ; M. Michel ZDAN, maire de GRAZAC (HAUTE-GARONNE) ; M. José MARCHETTI, maire d'INCHEVILLE (SEINE-MARITIME) ; M. Pierre BELL-LLOCH, conseiller général de VITRY-SUR-SEINE-NORD (VAL-DE-MARNE) ; M. Joseph PUIGMAL, maire de CRAMPAGNA (ARIEGE) ; M. Paul PILOT, maire de NESLE (SOMME) ; M. Norbert ETIENNE, maire de MURVIEL-LES-BEZIERS (HERAULT) ; M. Christian MEYFFRET, maire de SAINT-ANTONIN (ALPES-MARITIMES) ; Mme Jany SANS, président d'une communauté de communes, VIVRE EN CEVENNES (GARD) ; M. Guy MOREAU, maire de CHAMBOURG-SUR-INDRE (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Yves SANVOISIN, maire de LAFELINE (ALLIER) ; M. Michel BURGAN, maire de CASTELNAU-BARBARENS (GERS) ; M. André MARTINEZ, maire d'AUBIN (AVEYRON) ; Mme Annie SILVESTRI, maire de THIL (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Jean CHATELAIS, conseiller régional de BASSE-NORMANDIE (ORNE) ; M. Jean-Guy LETOFFE, maire de RIBECOURT-DRESLINCOURT (OISE) ; M. André DOSSAT, maire de SADOURNIN (HAUTES-PYRENEES) ; M. Patrice DAVIAU, maire de MARCE (MAINE-ET-LOIRE) ; M. Marc BRYNHOLE, conseiller régional du CENTRE (LOIRET) ; M. Nicolas GARCIA, maire d'ELNE (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Patrice LECLERC, conseiller général de GENNEVILLIERS-SUD (HAUTS-DE-SEINE) ; M. Lionel GRANIER, maire de SAINT-GERME (GERS) ; Mme Suzel ROUMEAS, maire de SAINT-ANTOINE-DU-ROCHER (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Didier SENEGAS-ROUVIERE, maire de GIAT (PUY-DE-DÔME) ; M. Michel CHIER, maire de SAINT-PIERRE (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Bernard MORAINE, maire de JOIGNY (YONNE) ; M. Didier GUILLAUME, conseiller général de CHOISY-LE-ROI (VAL-DE-MARNE) ; M. Pierre BARROS, maire de FOSSES (VAL-D'OISE) ; M. Pascal TOUCHARD, maire de SAINT-BONNET-LE-TRONCY (RHÔNE) ; M. Gabriel MASSOU, conseiller régional d'ÎLE-DE-FRANCE (HAUTS-DE-SEINE) ; Mme Josiane CORBIC, conseiller régional de BRETAGNE (CÔTES-D'ARMOR) ; M. Jean-Luc PROTHET, maire de VAUXRENARD (RHÔNE) ; Mme Françoise DARTIGUE-PEYROU, maire de MONTFORT-EN-CHALOSSE (LANDES) ; M. Jean BERNADAC, maire de LAIRIERE (AUDE) ; Mme Bernadette LAFITTE, maire de HAURIET (LANDES) ; Mme Pascale SEMET, conseiller régional d'AUVERGNE (ALLIER) ; M. Jean VILA, maire de CABESTANY (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Nicolas THOLLET, maire de POUZY-MESANGY (ALLIER) ; M. Pierre CAPDEPONT, maire de MANCIET (GERS) ; M. René FROMENT, maire de SAINTE-RADEGONDE-DES-NOYERS (VENDEE) ; M. Didier THEVENOUX, maire de SAINT-PLAISIR (ALLIER) ; M. Roland BONNAIRE, maire de SEURRE (CÔTE-D'OR) ; M. Marcel LARMANOU, maire de GISORS (EURE) ; Mme Catherine VIEU-CHARIER, conseiller de PARIS ; M. René LAPEYRE, maire de SARNIGUET (HAUTES-PYRENEES) ; M. Jean-Michel DESSERE, maire de LEMBEYE (PYRENEES-ATLANTIQUES) ; M. Jean-Jacques PERCHEMINIER, maire de COURLON-SUR-YONNE (YONNE) ; M. René MONTAGNER, maire d'EGLISENEUVE-PRES-BILLOM (PUY-DE-DÔME) ; M. Alain FAUCUIT, maire des SALELLES (ARDECHE) ; M. Henry GARINO, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (AUDE) ; M. Serge VRAY, conseiller général de SAINT-JEAN-SOLEYMIEUX (LOIRE) ; M. Michel BANCE, maire de RANTIGNY (OISE) ; M. Bernard DEGROS, maire de HERIN (NORD) ; M. Yannick PHILIPPONNEAU, conseiller général de MANOSQUE-SUD-EST (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Georges ROSSO, maire du ROVE (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Guy CASSOLY, maire de LOS MASOS (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Jean GANDIBLEUX, maire de BACHANT (NORD) ; M. Pierre MARTINET, maire de MARDEUIL (MARNE) ; M. Rémy CHARPY, maire de SAINTE-TULLE (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Noël ALBIN, maire de TOUËT-DE-L'ESCARENE (ALPES-MARITIMES) ; M. Vincent LESPERON, maire de SAINT-YAGUEN (LANDES) ; M. Philippe RIO, maire de GRIGNY (ESSONNE) ; Mme Marinette BACHE, conseiller de PARIS ; M. Romain SIRY, maire de PFAFFENHEIM (HAUT-RHIN) ; Mme Marie-Christine VERGIAT, représentant au Parlement européen ; M. Maxime CAMUZAT, maire de SAINT-GERMAIN-DU-PUY (CHER) ; M. Jacques MICHON, maire de WAZIERS (NORD) ; M. Jean-François LAFON, maire de SOUDEILLES (CORREZE) ; M. Georges SANS, maire d'EYSUS (PYRENEES-ATLANTIQUES) ; M. Robert COTTA, maire de CRUAS (ARDECHE) ; M. Bernard DEFRANCOIS, maire de VILLE-LE-MARCLET (SOMME) ; M. Bernard ETHUIN, maire de HAVELUY (NORD) ; M. Jacky ZANARDO, maire de JARNY (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Gérard LENEVEU, maire de GIBERVILLE (CALVADOS) ; M. Philippe GIMENEZ, conseiller général de SAINT-MARTORY (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean-Marc TELLIER, maire d'AVION (PAS-DE-CALAIS).


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