• rappel avant élection

    Comment protéger la France et les Français contre les fous d’Allah ?

    Les ignobles meurtres, à Toulouse et Montauban, froidement exécutés par un jeune jihadiste, Mohamed Merah, né en France, ont fait tomber au grand jour de nombreux masques.

    - Ceux d’une majorité de journalistes, qui, pendant 48 heures, ont repris sans vergogne la propagande des prétendus anti-racistes, qui avaient décidé que le coupable ne pouvait qu’être un disciple de Marine Le Pen. Caricature, le journaliste du Nouvel Observateur, Nicolas Chapuis, se dira « dégoûté » quand il apprendra la vérité. 

    - Ceux de la majorité des candidats à l’élection présidentielle qui, sans scrupule, tels Bayrou et surtout Mélenchon, minimiseront la gravité de l’événement, et consacreront toute leur énergie à protéger l’islam, qualifiant le tueur d’individu isolé dont le geste n’avait rien à voir avec la religion de tolérance, d’amour et de paix ! « Surtout pas d’amalgame », fut le nouveau mot d’ordre de ceux qui les multiplièrent, 48 heures durant !

    - Ceux de la majorité des organisations islamistes de France, dont certains porte-paroles, sans la moindre honte, oseront, tel Tariq Ramadan, accuser notre pays d’être responsable de la tuerie. D’autres, tel Tareq Oubrou, ami UOIF bordelais d’Alain Juppé, osera le sommer de modifier ses cours d’histoire, en y donnant à l’islam une place bien plus importante !

    - Ceux enfin de l’UOIF qui se préparait, pour son congrès du Bourget, à y inviter le cheikh Youssouf al Qaradawi, habitué pourtant aux appels aux meurtres contre les homosexuels et à l’extermination des juifs pour que les croyants finissent le travail d’Adolf Hitler !  Nous avons remarqué que, s’il n’y avait pas eu les crimes de Merah, sa présence sur le territoire français n’aurait posé de problèmes à personne, pas davantage au gouvernement qu’à ses opposants, ni à ceux qui se réclament anti-fascistes ou anti-racistes !

    Il est, dans ce contexte, tout-à-fait légitime de demander la dissolution de l’UOIF et l’interdiction de son congrès, comme notre ami Paul Le Poulpe l’a fait dès la semaine dernière, suivi peu après par Marine Le Pen, le Bloc Identitaire et Résistance Républicaine. La réaction de l’association islamiste, proche des Frères musulmans, dont on savait pourtant que, dès 2004, elle faisait déjà l’apologie de l’antisémitisme et l’appel au jihad, est révélatrice : tels de vulgaires « anti-racistes » croyant interdire un débat qui les dérange, elle porte plainte contre la présidente du Front national ! Comment la France pourrait-elle tolérer qu’une association qui avait invité Qaradawi puisse avoir pignon sur rue, et tenir son congrès, au Bourget, du 6 au 9 avril, comme si rien ne s’était passé ?

    Les masques tombent parce que nous constatons que l’assassin Merah, comme le rappelait Christine Tasin dans son Journal des Résistants de vendredi, a de nombreux admirateurs en France.

    Deux enseignants ont d’abord osé demander à leurs élèves de respecter une minute de silence en la mémoire du tueur ! D’autres, anticipant les réactions antisémites de certains de leurs élèves, ont préféré ne pas la respecter. On a entendu enfin, dans certaines classes, un immense brouhaha orchestré par certains élèves qui voulaient qu’on fasse une minute de silence pour les enfants palestiniens ! On a vu la police devoir empêcher des rassemblements d’hommage à Merah ! On a vu fleurir dans certains endroits de France des graffitis rendant hommage au jihadiste !

    Ces assassinats ont montré comment toute une catégorie de « Français » possédant la double nationalité haïssait son pays de naissance, et ses habitants quand ils n’épousaient pas les thèses du prophète. 

    Il faut être un propagandiste avéré de l’islam comme Mélenchon pour continuer à ne voir dans le tueur de Toulouse qu’une personne égarée qui n’a rien à voir avec l’islam. Il est temps de se poser les bonnes questions, et surtout d’amener les bonnes réponses.

    Le Coran est-il compatible avec notre législation, dans son contenu actuel ? L’islam est-il compatible avec la démocratie, et tout simplement avec nos valeurs ? Est-ce uniquement une religion, ou bien un projet politico-religieux ? Quels sont ses objectifs, et quels moyens utilise-t-il pour y parvenir ? René Marchand, auteur de « La France en danger d’islam », avait, le 18 décembre 2010, à Charenton, répondu avec une fougue de jeune homme, s’appuyant sur des réalités historiques, à ces questions. Le jour du procès de Pierre Cassen et Pascal Hilout, à la 17e chambre, il a fortement impressionné l’auditoire par la qualité de son témoignage, et les informations qu’il a fournies aux juges, notamment sur la signification du nom des mosquées construites en France. 

    Le drame de Toulouse nous oblige donc d’abord à faire le bon constat, et surtout à prendre, aujourd’hui, les bonnes décisions. Organisateurs de l’apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, Fabrice Robert, Christine Tasin et Pierre Cassen avaient, le 4 février 2011, tenu une conférence de presse, et répondu aux questions de nombreux journalistes, dont Abel Mestre et Paul Moreira, sur les réponses à apporter pour mettre fin à l’offensive de l’islam.

    Quelques semaines plus tard, sur Radio Courtoisie, invités par Yves-Marie Laulan, ils avaient, durant une heure et demie, approfondi la question.

    Dans ce numéro, notre ami Bernard Dick fait, lui aussi, des propositions intéressantes et complémentaires. La société française est au pied du mur. Soit elle continue la même politique que celle menée ces trente dernières années, et il y aura forcément progression de l’islam en France, avec ce qui l’accompagnera inévitablement, la guerre contre nos valeurs, avec d’autres passages à l’acte à la Merah. On ne pourra éviter, d’autre part, une libanisation progressive de notre pays, avec multiplication d’enclaves musulmanes où la charia fera la loi. Ceux qui, à l’instar d’un Attali et du patronat, de toute la gauche et d’une grande partie de la droite, continuent à demander davantage d’immigration et d’islam sont ouvertement des traitres à notre patrie et à nos valeurs. Dans ce contexte, la droite UMP ne vaut pas mieux que le gauche et l’extrême gauche, comme le prouve la récente publication par le gouvernement actuel d’un prétendu « Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme« , dont le contenu est d’essence totalitaire, ce qui est fort bien résumé par un article de nos confrères de Polémia.


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