• Nous vous présentons aujourd'hui un dossier très complet sur l'islam. Il a été rédigé par David Vaucher et publié par le "Mouvement suisse contre l'islamisation" (MOSCI), en février 2009. En raison de sa longueur, nous avons préféré le scinder en trois publications distinctes. Il s'agit là d'un outil - d'une arme - de référence. À lire absolument car il faut connaître son ennemi pour le vaincre.
    Introduction
    Le terrorisme islamique, en pleine recrudescence, est devenu une menace pour la quasi-totalité des pays occidentaux. Une menace qui peut tantôt s’exprimer sous la forme d’attentats sanglants, tantôt sous la forme plus subtile, mais non moins efficace, d’une certaine islamisation rampante et subversive. L’ignorance de ce qu’est l’islam mène de nombreux occidentaux à le considérer comme une religion de paix. Tout cela se fait sous la bénédiction des médias et de la majorité des politiciens tremblant de peur devant les menaces du terrorisme guerrier et psychologique. Ainsi est né le mythe de l’ « islam modéré ». L’habitude que certains ont pris de faire une distinction entre islam (religion) et l’islamisme (doctrine politico juridique) est une grossière erreur que l’histoire et l’étude sérieuse des fondements de la doctrine de l’islam démentent. Du reste, les deux termes étaient jusqu’à récemment synonymes dans la langue française. Car s’il existe bel et bien des musulmans modérés, l’islam modéré n’existe nulle part ailleurs que dans l’esprit des naïfs et des ignorants ainsi que dans les mensonges des islamistes et de leurs défenseurs. Nous distinguerons donc dans le présent ouvrage la doctrine (l’islam) des comportements individuels (des musulmans), motivés par des psychologies différentes. L’erreur fatale de l’Occident est de ne justifier le refus de l’imposition de la culture islamique qu’au prix de l’abandon de sa propre culture en se basant sur les concepts de liberté de culte et de croyance. On aurait tort de prendre ceci pour une position de fermeté : c’est bien une étape sur le chemin de l’islamisation. La mauvaise information, voir la désinformation souvent soutenue par les démarches gouvernementales induites par les pressions internationales fortifie le processus d’islamisation. A l’inverse c’est par l’information que l’islamisation peut être combattue. Cet ouvrage vise à apporter une vue d’ensemble sur ce qu’est véritablement l’islam, sur ses moyens et sur ses dangereuses débouchées et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet. Il se présente sous la forme de 29 chapitres répartis en trois parties successives, la première examinant les fondements doctrinaux et la sociologie de l’islam, la seconde traitant du sujet par thèmes et pouvant sans problème être lu dans n’importe quel ordre, et la troisième faisant le point sur la situation contemporaine et la dynamique d’islamisation.
    Première partie : Fondements et sociologie de l’islam
    Sources et effets du droit islamique
    1. Quelques définitions
    1.1. Islam = soumission
    Le terme « islam » est un mot arabe qui signifie « soumission », celle-ci devant être entendue comme une soumission à Allah et à ce qui est censé être sa volonté, notamment la charia, l’ordre juridique islamique qui, tel que nous le verrons plus loin, est un droit impératif qui ne saurait être remis en cause d’aucune manière.
    1.2. Le Coran
    Le Coran est le livre sacré de l’islam. Il est une compilation de paroles récitées par cœur censées être les paroles révélées à Mahomet, il signifie du reste « récitation ». Il n’est en ce sens pas destiné à être lu comme un véritable livre, mais à être récité. Contrairement à la Bible, le Coran ne parle pas par paraboles, mais adopte un style direct et explicite. Les paroles qui y figurent se veulent donc être compréhensibles à chacun sans qu’il n’y ait à en faire ressortir un sens caché. Ceci répond bien à sa fonction normative débouchant à un ordre juridique musulman : la charia. Ceci n’empêche pas son contenu d’être totalement décousu et vide de sens profond. Il ne faut pas penser qu’il ait été rédigé en une fois : son élaboration s’est faite bien après la mort de Mahomet et sur une durée étendue. Son origine est donc douteuse au même titre que le récit de la vie de Mahomet, son existence même n’étant pas prouvée.
    1.3. Interpréter le Coran
    L’interprétation du Coran n’a donc pas pour vocation de trouver un autre sens à ce qu’il prescrit et affirme, mais vise à la mise en pratique de ceci. Elle se fait généralement en le mettant en parallèle avec les hadiths (récits censés rapporter la vie de Mahomet) et la sunna (la tradition, à comprendre dans le sens de la pratique de Mahomet). Le concept d’interprétation est souvent utilisé comme argument par les militants pro-islam pour semer le doute dans la société occidentale lorsque des versets choquants sont cités : ils disent alors à tout va qu’il faut interpréter le Coran en se gardant bien de dire dans quel sens penche cette interprétation.
    2. Le concept de terre d’islam
    2.1. Dar al-islam/ harab
    L’islam divise la surface de la terre en deux catégories principales :
    - Le dar al-islam : (terre d’Islam) l’islam y règne en religion officielle et la charia s’applique et règne ; elle appartient légitimement à l’islam et ne peut sous aucun prétexte revenir à ses anciens propriétaires.
    - Le dar al-harab (terre des infidèles ou terre de la guerre) où la charia ne règne pas, mais dont le destin est d’être conquise par le jihad.
    2.2 Statuts intermédiaires
    Au sein du dar al-harab on peut compter un statut intermédiaire, le dar al-sulh (terre de la trêve) : terre où l’islam est encore trop faible stratégiquement pour mener une attaque de front, le jihad y est suspendu. Cependant, il est destiné à reprendre une fois les forces qui lui sont nécessaires réunies, car si l’islam envisage la trêve, celle-ci ne peut être que temporaire avec une durée maximale de 10 ans. Il faut comprendre que la trêve du jihad n’est pas une fin en soi, mais juste un moyen et qu’en ce sens, aucune trêve n’est légitime si l’Islam est dans une position de force qui lui permettrait la conquête. Ceci explique le fait que l’islam prêché dans les pays occidentaux cherche à cacher son vrai visage, se considérant souvent en dar al-sulh. Certains islamistes tel que Tariq Ramadan conceptualisent un autre statut intermédiaire du dar al-harab dérivé du daral-sulh : le dar al-dawa (terre de la prédication) T.Ramadan lui préfère néanmoins le nom de dar-ash shahada (terre du témoignage, la shahada étant l’attestation de foi prononcée lors de la conversion). Dans une telle zone, c’est par la prédication et l’action politique que le jihad se fait principalement. Il faut bien comprendre que ceci n’exclut nullement l’usage de la violence, mais permet surtout de faire usage de la technique optimale en Occident qui n’est pas le combat conquérant classique, mais l’intimidation terroriste (guerre psychologique) couplée à la prédication et à l’action politique. Ceci est en parfaite concordance avec les techniques modernes des islamistes.
    2.3. Qu’est-ce qu’une terre d’islam ?
    On se fait souvent une mauvaise idée des critères qui permettent de définir une terre d’islam aux yeux de l’islam ; commençons donc par citer les critères erronés :
    - Ce n’est pas l’allégeance de la constitution à la charia. Actuellement, tous les États n’ont pas une constitution, en outre, ce concept n’existait pas dans le sens où nous l’entendons, aux origines de l’islam.
    - Ce n’est pas la délimitation officielle d’une frontière ou un décret officiel.
    - Ce n’est pas l’avis prononcé par le peuple vivant sur cette terre qui fait foi.
    - Comme les terres conquises par l’islam comptaient souvent une très forte majorité de non-musulmans, ce n’est pas non plus vraiment la population musulmane présente sur place qui doit être prise en compte. En réalité, une terre d’islam est simplement un espace sur lequel la charia parvient à régner (ce qui ne nécessite pas le consentement des autochtones, puisqu’il ne s’agit que d’une question d’opportunité) ou sur laquelle l’islam, par sa présence et sa manifestation montre son installation conquérante (ex : de nombreuses femmes voilées, des minarets, etc.).
    Aux yeux de l’islam, le destin normal de tout espace sur terre est de devenir dar al-islam, le dar al-harab étant un état anormal des choses. Nous comprenons donc bien que l’islam ne considère pas devoir s’encombrer d’actes officiels et que le simple fait d’imposer ou de démontrer son règne dans les faits suffit à ce que sa conquête soit considérée comme effective.
    2.4. Terres d’islam en Europe
    L’installation de l’islam en Europe, notamment par les vagues post-coloniales d’immigration, couplée à la liberté totale dont il y jouit (de nombreux groupes terroristes pouvant y prêcher librement alors qu’ils sont interdits dans les pays musulmans), et l’avancée sans embûches du processus d’islamisation font que nombreux sont ceux qui pensent que l’Europe peut être incluse dans le dar alislam.
    S’il est important d’être au courant de cette vision de l’Europe en tant que dar al-islam, il faut préciser que cet avis n’est pas celui de la majorité des imams. Ce qui est par contre certain, c’est que les nombreuses enclaves en Europe où la vie s’organise d’elle-même autour de la charia peuvent incontestablement être perçues comme terre d’islam.
    3. Le jihad
    3.1. Signification du terme
    Le terme « jihad » signifie « effort » ou « combat ». On entend souvent des individus jouant sur l’ambiguïté de cette traduction prétendre que la connotation guerrière du jihad est erronée et qu’il faut le voir comme un combat intérieur d’ordre spirituel. Cette affirmation est plus qu’imprécise : s’il existe un concept guerrier et un concept « combat intérieur » du jihad, le combat intérieur (aussi appelé grand jihad) n’est qu’une spécificité des mystiques (soufis). En réalité, si le terme « jihad » est communément interprété comme d’essence guerrière (le jihad guerrier est aussi appelé le petit jihad), c’est bien parce que cette composante est de loin la plus répandue et celle à laquelle les hadith font le plus souvent référence (selon une étude , 97% des emplois du terme « jihad » par les hadith et le Coran font référence à la guerre). D’autant plus, la pratique du grand jihad s’accompagne quasiment toujours d’une pratique du petit jihad, nous aurions donc tort de croire que le grand jihad soit d’essence pacifique.
    C’est notamment pour cela que lorsque nous emploierons le terme jihad dans cet ouvrage, nous nous réfèrerons à son aspect essentiellement guerrier, sauf mention contraire.
    Si de nombreux imams prétendent en Occident que le jihad est d’essence uniquement spirituelle et intérieure, ils adoptent ce positionnement parce qu’ils ne peuvent pas renier le jihad en tant que tel, celui-ci étant une part essentielle de l’islam, mais parce que, d’un autre côté, ils veulent éviter de montrer cette face de l’islam susceptible d’effrayer les occidentaux. C’est la rhétorique de la taqqia sur laquelle nous reviendrons.
    Il faut souligner que seul le jihad guerrier est à même de promettre au musulman la certitude d’un accès au paradis et la possibilité d’échapper au Jugement Dernier.
    3.2. Une injonction religieuse
    Le jihad est une injonction religieuse à faire la guerre à l’infidèle dans le but d’étendre le dar al-islam dans une logique conquérante et expansionniste. Le musulman n’est donc pas censé avoir le choix: il doit le pratiquer.
    Le but ultime du jihad est la conversion de la totalité de la planète, un point commun de toutes les idéologies totalitaires.
    Le Coran s’y réfère de manière réitérée et l’existence de Mahomet regorge de guerres (il en mena 74) et affirme cette vision intrinsèquement guerrière et expansionniste de l’islam. Des siècles d’histoire de l’islam confirment l’omniprésence du jihad. S’il est arrivé dans l’histoire du christianisme que la guerre ait été menée au nom de la religion, c’est, certes, un sentiment religieux qui était invoqué pour mener une guerre, mais en aucun cas, les écrits originaux et la théologie chrétienne ou judéo-chrétienne ne l’élevaient au rang d’un devoir religieux. A vrai dire, l’idéal religieux serait ici plutôt dans le pacifisme voir dans la non réponse à une attaque.
    En effet, selon la Bible, Jésus disait que si on lui giflait la joue droite, il tendrait l’autre joue. Il prône ici la non-violence, appelant à dépasser la loi du talion (qui, chez les juifs de cette époque, n’était cependant plus appliquée que pour les meurtres). Cette attitude non-violente fut une constante dans la vie de Jésus telle qu’enseignée par le christianisme. On ne peut pas dire la même chose de Mahomet qui, en plus de vouloir revenir à la loi du talion, pillait régulièrement les cités des autres peuplades ne lui ayant pourtant rien fait et qui adoptait une attitude offensive et conquérante. Cette distinction est importante pour ne pas tomber dans le piège de voir l’islam à travers le référentiel culturel chrétien. Confondre de plus, les croisades et le jihad est d’autant plus, une comparaison abusive tel que nous le verrons plus loin.
    3.3. Le jihad est offensif
    Afin d’éviter de choquer le public occidental, certains prétendent que le jihad n’a qu’une vocation défensive et qu’il ne saurait être offensif. Ceci est encore une fois totalement faux : le message coranique ne va pas du tout dans ce sens et en se basant sur la vie de Mahomet, on remarque que la plupart des guerres menées par celui-ci étaient bien des guerres de conquête sans aucun caractère défensif.
    L’islam fait cependant une différence entre la légitimité de la guerre selon qu’elle est menée par les mécréants ou par l’Islam : pour les premiers, seule la guerre défensive est légitime (mais se défendre contre les attaques du jihad est bien sûr exclu) ; pour le second, la guerre peut être légitimement défensive, mais aussi offensive si elle vise les intérêts de l’islam, car, répétons-le : l’islamisation est censé être le destin légitime de toute chose. La conquête jihadique peut se faire occasionnellement sans combat armé dans le cas où l’ennemi accepte de se convertir à l’islam. Dans ce sens, l’appel à l’islam et les menées des Frères Musulmans peuvent être considérées comme une alternative valable au jihad armé. Ce dernier n’est cependant pas pour autant exclu, car si les non-musulmans refusent de se soumettre à ce chantage, ils doivent être combattus par les armes.
    Le drapeau de l’Arabie Saoudite. Les caractères arabes y figurant sont en fait la profession de foi de l’islam prononcée notamment lors de la conversion à l’islam. La présence de cette phrase couplée à celle de l’épée évoque on ne peut plus explicitement le jihad. Notons que ce pays qui fait du jihad son symbole national, est celui autour duquel gravitent les finances islamiques et tout le monde musulman et qui investit annuellement des milliards pour la construction de mosquées, le terrorisme et plus généralement l’islamisation du monde.
    3.4. Attentat-suicide
    Pour se défaire de la mauvaise image publicitaire que véhiculent les terroristes islamiques, certains prétendent que l’islam ne peut pas pousser à commettre des attentats-suicides, puisqu’il interdit le suicide. Face à ce problème, les spécialistes du droit islamique s’accordent sur le fait que l’attentat-suicide est légitime si la mort n’est pas une fin en soi, mais la conséquence, même inéluctable, du combat. C’est dire qu’il ne s’agit pas d’un suicide à proprement parler, étant donné que l’objectif du kamikaze est de faire mourir un maximum d’ennemis et que sa mort n'en est qu'une conséquence. La demande est, par ailleurs, si forte que la mission de l'attentat-suicide est réservée aux meilleurs combattants ayant souvent déjà fait leurs preuves. C’est un titre honorifique qui doit se mériter car le moujahid est considéré comme un homme supérieur aux autres. La mort du moujahid est annoncée comme étant une bonne nouvelle : celle qu’il a atteint le paradis. Outre l’attrait de l’après-vie, ne perdons pas de vue que le moujahid a toujours été motivé par la convoitise des biens d’autrui (le fameux butin auquel une sourate entière - la 8ème - est consacrée dans le Coran), ainsi que par la convoitise des femmes de ses ennemis qui, elles aussi, sont perçues comme un vulgaire butin. Mahomet dans ce sens n’hésitait pas à attaquer des convois et des cités dans le seul but de s’enrichir en les pillant (c’est la razzia qui fut pratiquée dès les premiers mois d’existence de la communauté islamique en 622).
    3.5 Conflits de conscience du jihadiste
    Les conflits de conscience (issus alors de la morale humaine et non de l’islam) qui pourraient survenir chez le jihadiste sont balayés par l’islam. Cela commence dans un cadre éducatif austère et accoutumant à la violence. Puis se poursuit dans un principe de déresponsabilisation totale du jihadiste, car il n’est considéré que comme le bras armé d’Allah qui endosse toute responsabilité. Qui plus est, l’islam exclut toute croyance sélective : la totalité de ses préceptes doit être prise en compte (à l’exception de ce qui est spécifique à un rite donné et, dès lors, s’y confine, mais nous verrons à ce sujet qu’il ne s’agit que de points de détail, le caractère offensif du jihad ou la dhimmitude n’étant, par exemple, pas pris en compte). Les versets d’appel au jihad doivent donc être docilement suivis. En somme le musulman modéré et pacifiste est qualifié par sa propre religion comme étant un hypocrite : un individu dans l’erreur à remettre dans le droit chemin qui pourra être considéré comme un apostat s’il s’entête à suivre ses propres réflexions. En ce sens, le devoir du musulman à l’égard de l’islam est de se soumettre et non de réfléchir lui-même, ce qui correspond parfaitement au sens du terme islam (=soumission).
    3.6. Le jihad pour affermir la foi des musulmans
    Outre l’islamisation du dar al-harab, le jihad comprend aussi le combat armé à l’encontre des apostats et des musulmans non-pratiquants (ce qui est un synonyme aux yeux de l’islam comme nous le verrons) dans le but de les forcer à suivre la totalité des préceptes (la question est alors de conserver et fortifier les conquêtes de l’Islam). Le jihad fait donc aussi de très nombreuses victimes de confession musulmane et est la cause notamment des querelles historiques entre chiites et sunnites. Lorsqu’on entend des islamistes dénoncer des attentats, ils se réfèrent alors exclusivement aux attentats à l’encontre les musulmans et non à ceux contre les Occidentaux (pour eux, il est toujours excusable de tuer des Israéliens ou Américains).
    3.7. Taqqiya
    Lorsque le jihad ne peut pas être mené de front ou que cette technique est peu opportune pour servir les fins expansionnistes de l’islam. Le musulman est autorisé à mentir sur sa foi (sans pour autant être considéré comme apostat) dans le cas où ce dernier va dans le sens de ses fins expansionnistes. Celui-ci découle du principe dit de la « taqqiya » qui, bien que tirant son origine des chiites, est aussi reconnue et très pratiquée chez les sunnites, notamment chez les Frères Musulmans dans le cadre de leurs menées en Occident.
    4. Dhimmitude : le statut infériorisant des juifs et chrétiens
    4.1. Une conséquence du jihad
    L’aboutissement du jihad est la conversion du dar al harab en dar al islam. Les musulmans définissent le non musulman sous le terme très péjoratif de « kaffir » (kouffar au pluriel ; souvent traduit par « mécréant » ou « infidèle »). Le kaffir peut être tué sans scrupules en dar al harab, cependant une fois sa terre conquise par l’Islam et passée au dar al-islam, un statut spécial permettant d’épargner sa vie peut lui être attribué s’il est juif ou chrétien.
    Bien sûr, le juif ou chrétien en terre d’islam n’a pas automatiquement le droit à la vie : ce droit doit être acheté au prix d’un impôt souvent très élevé : la djizzia, et doit être accompagné de l’humiliation tel que l’ordonne le Coran.
    4.2. Humilier le dhimmi : un acte pieux
    On parle assez peu de ce concept d’humiliation du dhimmi. Celle-ci est une injonction du Coran, ce qui inclut qu’humilier le dhimmi est un acte de piété musulmane. Elle est souvent mise en scène lors de la perception de la djizzia à l’occasion de laquelle le dhimmi est giflé rituellement en public par un musulman, un rituel qui, selon la région, peut cependant aller bien plus loin dans son caractère rabaissant. Cette humiliation rituelle au moment du paiement de la djizzia a pour but de rappeler au dhimmi qu’il est un être inférieur aux yeux de l’islam et que s’il vit ce n’est pas parce qu’il en a le droit, mais uniquement parce que la société musulmane tolère qu’il soit en vie. Il n’est donc pas légitime en soi que le dhimmi dispose de sa vie ou de ses biens.
    4.3. L’humiliation au quotidien
    L’humiliation du dhimmi n’est cependant pas limitée à ce seul aspect, mais se retrouve tout au long de sa vie de dhimmi dans les injonctions inhérentes à son statut. Ainsi, il n’a pas le droit de posséder une terre n’a pas le droit de monter un cheval, mais doit se limiter à l’âne dont il doit descendre à chaque fois qu’il croise un musulman, même enfant. A pied, le dhimmi doit raser les murs. Il n’a pas le droit de parler en présence d’un musulman et n’a pas le droit de rétorquer s’il se fait frapper, même à tort, par un musulman. On vise à le rendre totalement soumis et inoffensif en lui interdisant de posséder des armes. Le droit islamique ne reconnaissant de plus pas le témoignage du dhimmi, il n’a aucun moyen de se protéger, ce qui lui confère une condition inférieure à celle de l’esclave qui, en tant que propriété de son maître, peut être protégé par celui-ci.
    4.4. On ne salue pas un dhimmi
    La simple formule de salutation prononcée par le musulman diffère selon qu’il s’adresse à un autre musulman ou à un dhimmi : dans ce second cas, le musulman écrit dans une lettre « Salutation à qui suit le droit chemin » afin de ne pas saluer personnellement le mécréant. Par oral, le musulman ne peut pas saluer un dhimmi en premier ; si un dhimmi le salue, le musulman répondra « pareillement », car on présume que les salutations d’un dhimmi sont une malédiction déguisée.
    Le dhimmi a le devoir d’accorder l’hospitalité au musulman sonnant à sa porte qui ne lui est alors en rien redevable ; dans certains cas, ce devoir se traduit par une obligation du dhimmi de quitter son domicile pour le laisser à un musulman.
    4.5. Les signes distinctifs
    Le dhimmi doit être reconnaissable au premier coup d’oeil ; on lui impose donc une tenue vestimentaire particulière qui permet de le distinguer du musulman, chose nécessaire à son humiliation, à sa surveillance et à la récolte de la djizzia dans les cas fréquents où celle-ci se fait en pleine rue par interpellation par le percepteur (une scène qu’on imagine bien ressembler à du racket en pleine rue). Ceci suit aussi l’effet recherché d’éviter tous contacts entre le musulman et le dhimmi dans une logique d’apartheid. Logique qu’on retrouve, par ailleurs dans le fait que le musulman n’a pas le droit de nouer des liens d’amitié avec un dhimmi ou même simplement de discuter avec lui. Si le dhimmi désobéit à une de ses obligations ou s’il outrepasse une interdiction, il perd son statut, ce qui implique qu’il peut être mis à mort et dépossédé de ses biens légitimement par n’importe qui.
    4.6. Djizzia et racket
    Si la djizzia n’est aujourd’hui plus perçue par nombre d’États musulmans (qui eux-mêmes ne perçoivent souvent aucun impôt), ceci ne signifie pas pour autant que le dhimmi n’ait plus à s’en acquitter : l’État laisse souvent des groupes islamistes la percevoir à sa place, ce qui est notamment le cas en Egypte.
    4.7. Les polythéistes et athées n’ont pas le droit de vivre
    Il ne faut pas perdre de vue que la « faveur » de la dhimmitude n’est accordée qu’aux juifs et chrétiens (les « gens du livre » selon les termes de l’islam). Ceux appartenant à d’autres religions sont obligés de se convertir sous risque d’être exterminés. Il en va ainsi des polythéistes que le Coran comprend sous le terme d’ « associateurs » qu’il appelle à exterminer. Le pêché d’association (shirk) est vu comme le pire pêché par l’islam. Il est à noter que le dogme chrétien de la Trinité peut être considéré comme une association de divinités avec les conséquences connues pour ses membres. En ce qui concerne les athées, si les textes originaux n’en traitent pas (car ce n’était guère concevable à cette époque), nombreux sont les imams qui pensent qu’il faut leur réserver un sort analogue aux polythéistes (les uns associant Allah à d’autres divinités, les autres le reniant en même temps que tous les fondements de l’islam). Manifestation en Turquie du Saadet Partisi (parti islamiste issu le Premier Ministre Erdogan) la pancarte dit : « Jésus n’est pas le fils de Dieu. Il est un prophète de l’Islam ».
    4.8. La « liberté de croyance » islamo-compatible
    La « liberté de croyance » conférée par la dhimmitude s’arrête là où commencent la charia et les dogmes de l’islam. C’est ainsi que le dhimmie vivant en terre d’islam, c'est-à-dire sous le règne de la charia ne sera jamais autorisé à contredire la charia ou à chercher à ébranler la foi des musulmans, notamment par le prosélytisme, ce qui lui obligera à vivre sa foi dans la plus stricte intimité. Une manifestation de l’intangibilité des règles de la charia se trouve dans l’interdiction de voir deux religions se côtoyer dans la Péninsule arabique, ce qui est censé découler des paroles que Mahomet aurait prononcé sur son lit de mort à Omar (un de ses disciples qui deviendra le second calife à la mort d’Abu Bakr). C’est l’ordre mahométan sur lequel se base l’interdiction intangible de construire des édifices religieux non dévolus à l’islam en Arabie Saoudite qui, ironiquement est la principale source de financement pour la construction de mosquées en Occident. Cette interdiction va même encore plus loi, certaines ambassades ne pouvant pas y hisser leur drapeau lorsqu’une croix y figure (c’est le cas notamment des pays scandinaves et de la Suisse, fait attesté par les diplomates de ce dernier pays).
    4.9. Syndrome de Stockholm et haine entre dhimmis
    L’islam a toujours eu un fort intérêt à monter les groupes dhimmis les uns contre les autres, ce qui ne lui demanda que très peu d’efforts : la condition de dhimmi, par l’équivalent à grande échelle du syndrome de Stockholm, poussait chaque groupe à reporter la haine naturelle qu’il aurait dû vouer à l’Islam sur l’autre groupe dhimmi, l’accusant de tous les maux en tant que véritable bouc émissaire. Ce phénomène permettait aussi de tenter de s’attirer les faveurs de l’Islam afin de protéger sa propre cause. Si cette dynamique a pu s’observer pour les juifs et les chrétiens, elle fut bien plus forte chez ces derniers chez qui elle généra les germes de l’antisémitisme qui s’exportera par la suite en Occident pour aboutir aux pogroms et à la Shoah (tirant donc leur cause première dans l’islam). Cette dynamique est aussi à l’origine du reniement collectif des souffrances infligées par l’Islam aux dhimmis, car se plaindre aurait été perçu comme une façon de remettre en cause leur statut infériorisant (censé être indiscutablement légitime et parfait car issu de la loi d’Allah) et de déclencher à nouveau le jihad à leur encontre.
    Donc en accord avec leur statut de dhimmi leur interdisant d’aller contre l’islam et avec leur volonté de flatter les musulmans pour obtenir d’eux le droit de vivre (et en aucun cas de la gratitude ou des remerciements vu que selon l’islam, être servi par le dhimmi est un droit bien naturel), les Églises chrétiennes d’Orient se sont souvent inscrites comme porte-parole et défenseurs de l’islam. Le paroxysme de cette mascarade était atteint notamment par Msgr Moubarak lorsqu’il disait vouloir réécrire la Bible pour la rendre islamo-compatible en reniant ses racines juives (à savoir tout l’Ancien Testament) pour inventer une culture « islamo-chrétienne » remplaçant la culture judéo-chrétienne. La même situation (le cas de Msgr. Moubarak restant un exemple marquant) procéda au rejet d’Israël par certaines Églises chrétiennes d’Orient faisant, contre nature, combat commun avec l’islam et le nationalisme arabe. C’est ainsi que l’Église anglicane arabe qui voulut supprimer les termes « Sion » et « Israël » de la Bible dont certains de ses théologiens prônaient une lecture coranique et l’abandon de la lecture biblique de celle-ci.
    5. Aspects historiques : les fondements de l’islam
    5.1. Statut de Mahomet dans l’islam
    Mahomet, selon les dogmes de l’islam, est censé être un exemple à suivre pour tous musulmans. Contrairement à la conception chrétienne qui voit en Jésus le fils de Dieu, l’islam ne considère pas Mahomet comme étant le fils d’Allah, mais seulement son messager. Il n’est donc pas d’essence divine. Les peuplades musulmanes ont souvent pris la conception chrétienne comme un affront à l’islam, car elle met Jésus plus haut que Mahomet. Ceci est du reste évoqué dans le Coran. Si l’islam accepte de considérer Jésus comme un prophète, ses dogmes rejettent de manière très violente son qualificatif de fils de Dieu. D’autant plus, une telle affirmation contredit le dogme de l’unicité d’Allah, celui dit du tawhid.
    5.2. Mahomet a-t-il réellement existé ?
    La grande majorité des historiens refuse de se demander si Mahomet a bel et bien existé. En effet, l’alphabet arabe que nous connaissons n’apparut qu’au VIIIe siècle, soit de nombreuses années après la mort de Mahomet, il est donc possible que son vécu se soit transmis uniquement par oral au cours de toutes ces années, ou que son existence ait été inventée de toute pièces. Pour l’historien britannique John Wansbrough ayant consacré une étude très détaillée sur le problème, le Coran n’aurait en fait pas été rédigé avant la fin du VIIIe siècle.
    L’islam n’en est à la période mahométane qu’à sa préhistoire. Les premiers écrits musulmans en faisant mention n’apparurent que dans un délai de 60 à 150 ans après la date dite de sa mort. A l’exception des sources arabes islamiques, Mahomet semble totalement inexistant dans les textes anciens ; les rares sources non arabes en traitant contredisant les écrits musulmans de manière spectaculaire. Il n’existe donc aucune réelle preuve tangible de l’existence de Mahomet qui, de ce fait, ne peut être que reléguée au rang de légende. Que Mahomet ait existé ou pas, une chose est certaine : ce n’est pas lui qui a créé la théologie islamique. Ce n’est en effet que bien des générations plus tard que cette dernière fut élaborée. De surcroît, nous ne devons pas perdre de vue le fait que la théologie islamique ne fut élaborée quasiment que sur des déformations et mécompréhensions des théologies juive et chrétienne, déformations indéniablement dictées avant tout par des intérêts politiques.
    Avant l’arrivée de l’islam, le nom de Muhammad (et ses nombreux dérivés tel que Mehmet, Mamadou, etc.) n’était semble-t-il, jamais utilisé (aucune source ne cite un tel nom). Il n’est, de surcroît, même pas utilisé dans le Coran où on le désigne généralement par « l’envoyé » ou « le Prophète » et il en va de même avec les hadiths. On a de fortes raisons de penser que son nom est en réalité un participe passif (apparaissant quelques fois dans le Coran) signifiant « loué soit-il ». Il y a donc fort à parier que le nom même de Mahomet ait été inventé postérieurement.
    5.3. Les débuts de Mahomet
    Selon la tradition islamique, Mahomet est né à La Mecque en 570 ap. J-C. Issu d’une puissante famille de la tribu des Quraych, se réclamant descendants d’Ismaël (fils d’Abrahm à ne pas confondre avec l’imam chiite du même nom ). Son père mourut peu avant sa naissance et sa mère, Amina, six ans plus tard. A noter que le fait la mère de Mahomet soit morte sans pouvoir se convertir à l’islam, ce qui la destinerait à l’enfer, est une rigueur dogmatique très mal vécue par les musulmans qui ont alors tenté un tour de passe-passe pour la réhabiliter en la faisant renaître juste le temps de se convertir, puis mourir à nouveau une fois le travail effectué.
    Mahomet, alors orphelin, fut élevé par son grand-père et surtout son oncle Abu Talib qui sera son protecteur jusqu’à ce qu’il ne décède. A noter qu’à l’exception de son oncle, l’islam se soucie peu de la généalogie de Mahomet sur laquelle de nombreux points restent ambigus. Il en va de même avec son enfance et sa vie pré-prophétique, les quelques cas relatés étant semblant être de simples reprises des récits chrétiens.
    En 590, soit à ses 20 ans, une guerre qui durera une année éclate entre les tribus de La Mecque et d’autres tribus arabes situées plus au Nord. En 595, il entre au service d’une riche veuve nommée Khardija qu’il acceptera d’épouser sur sa demande. Leur différence d’âge était alors très grande, Mahomet ayant 25 ans et sa nouvelle femme 40. Mahomet peut alors profiter des richesses de sa femme dont il vit pleinement aux crochets. Khardija est une femme d’affaire très habile, sa condition contraste fortement avec celle qui sera réservée par la suite à la femme musulmane. Le nombre d’enfants issus de leur union reste incertain tant ils tombent vite dans l’oubli (à l’exception seule de Fatima).
    5.4. Contexte
    Avant l’exil de Mahomet, La Mecque connaît une série de successions de gouvernements d’abord arabes d’autres tribus, puis non-arabes. La tradition islamique dépeint ces successions comme décadentes en fonction qu’elles descendent dans la hiérarchie tribale et raciale que l’islam définit, ce qui établit une prééminence de certains individus sur d’autres en fonction de leur appartenance (il s’agit bien là d’un racisme qui perdure en tant qu’enseignement islamique).
    5.5. Polythéisme et spiritualité islamique
    Mahomet lui-même n’est pas né musulman, l’islam n’existant alors pas. De nombreuses sources s’accordent sur le fait qu’il s’était adonné au culte des idoles et force est de constater qu’il ne l’abandonna jamais totalement malgré sa haine à l’encontre des associateurs. Il est ici nécessaire de comprendre que les tribus arabes n’étaient pas vraiment polythéistes au sens où nous l’entendons : chaque tribu avait souvent une divinité suprême et unique. Si on ne reconnaissait pas être protégé par la divinité de la tribu voisine, on ne reniait pas nécessairement pour autant son existence, c’est en ce sens qu’il faut voir le polythéisme arabe qu’il serait plus juste de qualifier d’hénothéisme (du grec héno = « un » en contraste avec mono = « un seul »). Le culte de la Kabba est issu d’un de ces rites hénothéistes et vu qu’il porte sur la vénération d’un objet (la Kabba et le fragment de météorite qu’elle est censé contenir dans un de ses angles) associé à une divinité protectrice, Allah, ce culte est indéniablement un culte idolâtre.
    C’est par son intolérance issue du refus des autres cultes et par la haine vouée à ceux qui les pratiquent que l’islam a dérivé en un système monothéiste. A la base il n’est donc pas issu des religions juive et chrétienne, mais il semble que l’islam ait tenté d’imiter ces religions abrahamiques desquelles il était plus facile de tirer des adeptes. Ceci s’explique donc plus par les alliances stratégiques de Mahomet que par ses réelles inspirations profondes. Notons en effet que Mahomet avait une idée très éloignée de la réalité sur le christianisme.
    Nous pouvons de ce fait contrer les allégations selon lesquelles le dieu unique de l’islam soit théologiquement le même que celui des juifs et des chrétiens (pour qui il y a, par contre, une réelle continuité dans la conceptualisation du monothéisme). Ceci peut expliquer de nombreuses maladresses et contradictions dogmatiques qui peuvent donner un visage opportuniste et charlataniste à la spiritualité islamique par ailleurs assez peu élaborée. Les nombreux et maladroits tours de passe-passe théologiques de l’islam tel que la réhabilitation de la mère de Mahomet (décrit plus haut), l’élimination du concept de pêché originel (lorsque les anges ouvrent la poitrine de Mahomet pour lui nettoyer le cœur avant de le remettre en place, le pêché originel est considéré comme effacé par cascade pour tous les fidèles de Mahomet), les versets sataniques, confirment le fait que l’islam porte une bien plus grande attention à devenir un système politico-juridique, certes basé sur une croyance religieuse, qu’une religion dans le sens théologique, gnostique et spirituel du terme. Le dieu vénéré par les musulmans est fondamentalement différent de celui des chrétiens, non-seulement en rapport à son histoire, comme nous venons de le voir, mais aussi au vu de sa nature même. En effet, comme nous l’avons dit, le christianisme reconnait comme dogme principal, une vision trinitaire de Dieu : Père, Fils et Saint-Esprit. Dans laquelle le Saint-Esprit est présent en ce monde et dans le cœur de chaque être humain, ainsi uni à Dieu. Une vision qui se confirme dans la Kabbale juive et dans l’affirmation judéo-chrétienne selon laquelle « Dieu fit l’homme à son image ». Dieu est ainsi vu comme le Père de l’humanité, par conséquent il existe une proximité intrinsèque entre Dieu et les humains. La religion juive n’a pas cette vision trinitaire, comme elle est une conséquence directe de la reconnaissance de Jésus comme étant le Messie, d’essence divine, mais l’alliance entre Dieu et les humains demeure néanmoins présent dans la religion juive comme nous venons de le voir.
    L’alliance entre le monde divin et terrestre va à l’encontre du dogme islamique du tawhid créant une séparation nette entre Allah et les humains. En effet, pour l’islam, les humains ne sont pas les fils du Divin, mais ses serviteurs, affirmer le contraire comme le font les juifs et chrétiens est perçu comme un blasphème pour l’islam. Il en va de même avec le dogme de la Trinité qui relève du pêché d’association, le plus grave pêché selon l’islam qui le considère comme impardonnable.
    5.6. Hégire
    C’est le 16 juillet 622 que commence l’an zéro du calendrier islamique. Cette date nommée l’hégire est le jour où Mahomet devient chef de la toute nouvelle communauté islamique, autrement dit, le jour où il débute sa carrière de chef d’État en partant de La Mecque pour prendre la fuite vers Yathrib (qui deviendra Médine) à la tête de quelques centaines d’individus. Ce n’est donc pas la naissance du Prophète ni le moment où Allah entre en contact avec lui par l’intermédiaire de l’archange Gabriel ni encore celui où il commence à prêcher qui est reconnu comme naissance de l’islam, qui est considéré comme le début de l’islam, mais le moment où la communauté islamique devient automne et conquérante. Ceci reflète une fois de plus la prééminence de l’ordre politico-juridique sur la spiritualité en islam. La spiritualité de l’islam se résout à reprendre certains principes judéo-chrétiens et à une base de légitimation de la suprématie politique de l’islam. Il faut bien comprendre que la fuite de Mahomet n’est pas le résultat de persécutions, mais vise à prendre la tête de la toute nouvelle communauté islamique et de l’organiser en armée avant de prendre d’assaut La Mecque alors trop forte pour une attaque de front.
    5.7. Versets sataniques
    Pourtant Mahomet lui-même commet l’incohérence de prôner l’existence de trois divinités, ce qui en fait alors un associateur. Les versets ainsi édictés sont d’une maladresse choquante pour ses fidèles et sont en totale contradiction avec ses prêches. L’astuce trouvée pour mettre fin au scandale fut de prétendre que ces versets lui aient été dictés par Satan et non par Gabriel.
    5.8. Mahomet : un pédophile ?
    Mahomet se marie avec Aïsha lorsque celle-ci n’a que six ans (et lui, plus de 50) et a ses premières relations sexuelles avec elle lorsqu’elle n’en a que neuf. Le mariage avait été totalement arrangé, sa nouvelle épouse ne s’en rendit compte que tardivement après le mariage lorsque sa mère daigna lui expliquer ce qui s’était passé. Alors que Mahomet autorise la polygamie, il prétend que toutes les épouses doivent être traitées avec égalité, or les hadiths enseignent très clairement qu’Aïsha est son épouse favorite. Cet élément de la vie de Mahomet ne va pas sans mettre mal à l’aise les imams en Occident cherchant alors à contourner le problème attesté par de nombreux hadith. Il est par contre utilisé par de nombreux dignitaires musulmans pour justifier l’assouvissement de leurs pulsions malsaines.

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    EXCLUSIF – Le lynchage anti-Blanc de Bollène dont personne ne parle

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    Racisme anti-Blanc 
    BOLLENE (NOVOPress) : Samedi 5 février dans l’après-midi, à Bollène dans le Vaucluse, un événement dramatique comme il y en a de plus en plus en ce moment est survenu entre un jeune homme de type européen de 18 ans et un jeune d’origine maghrébine de 14 ans sur des motifs non encore complètement définis. Alors qu’il assiste en spectateur à un match de hand-ball au gymnase du lycée Lucie-Aubrac de Bollène, E. J., lors d’une pause cigarette, se fait prendre à partie par un « jeune » de la cité voisine. Le ton monte rapidement, le  « jeune » frappe le premier, mais il a en face un solide garçon qui le maîtrise rapidement.
    L’histoire, qui semble au départ banale, aurait pu en rester là. C’était sans compter sur une volonté délibérée d’en découdre beaucoup plus sérieuse venant de la part de notre jeune Français d’origine extra-européenne et de ses inévitables et nombreux petits camarades ! En quelques minutes, au moins une quinzaine de « jeunes » – et de beaucoup moins jeunes, puisque, selon les témoins, il y a aurait eu quelques jeunes adultes dans le lot – investissent le gymnase et fondent sur leur proie.
    Une patrouille de la police municipale — deux agents en ronde devant le lycée – intervient immédiatement pour séparer les protagonistes et tente de maitriser la situation et, dans la confusion générale, le jeune homme sort par une porte arrière où l’attend malheureusement le reste du groupe. S’ensuit un terrible passage à tabac dans les règles, où, comme dans les pires images des « chasses aux Blancs » des manifestations du CPE, la victime, une fois à terre, a été frappée de coups de pied en plein visage et piétinée à pieds joints alors qu’elle était déjà inconsciente !
    Le jeune homme a été transporté à l’hôpital où il est resté quelques heures dans le coma, et où il a subi une première opération d’une sérieuse blessure à la tête. Son pronostic vital n’est, heureusement, pas engagé. Mais il devrait néanmoins certainement subir dans les jours qui viennent de nouvelles opérations. Il a d’ores et déjà un arrêt de travail d’un mois et demi minimum. Il est à noter que la gendarmerie a mis pas moins de 35 minutes à se rendre sur les lieux (distance gendarmerie-lycée, moins de 5 km…) et n’est arrivée que lorsque tout était absolument fini.
    Jeudi 10 février, la presse bollénoise n’avait toujours pas daigné parler de cette sordide histoire, ni La Provence, ni Vaucluse Matin (groupe Le Dauphiné). Ce n’est qu’après un communiqué officiel de la mairie, qui, devant ce silence assourdissant et pour montrer son soutien à ses agents, à la victime et à sa famille, a appelé à manifester devant le lycée vendredi à 17 heures, que la presse a daigné y consacrer quelques lignes, se permettant au passage de tromper leurs lecteurs sur la date de la manifestation, la reportant à samedi ! Le communiqué de la mairie a d’ailleurs été modifié pour « épargner certaines susceptibilités »…
    Une série de plaintes est en cours de dépôt et les agents municipaux ont formellement reconnu plusieurs des protagonistes, habitant pour la plupart dans les cités voisines du lycée et bien connus des services de police. De plus, le rapport de police fait clairement état de propos tenus par les agresseurs visant la qualité de « Blanc » de la victime et leur claire appartenance à une autre ethnie pour justifier leur violence : « Chez nous, il n’y a pas de plainte, on fait comme ça »…
    La directrice du lycée a dès à présent pris la décision, pour des raisons de responsabilité professionnelle et de sécurité, de dénoncer tous les accords entre le lycée et les associations extérieures impliquant des rencontres ouvertes au public dans son établissement. Cette situation pénalise durement au passage le club de hand-ball de Bollène qui devait jouer plusieurs matchs important dans ce gymnase dans les semaines qui viennent et qui regrette amèrement cette décision consécutive à un drame n’ayant impliqué aucun de ces joueurs mais seulement du public                                                                                                                                                                                          
    Des Lois liberticides et anti-françaises
    La conséquence de tout cela est que, rendu au niveau de ce qui nous intéresse au premier chef, la FRANCE, des jours sombres sont à prévoir si rien n'est fait, si rien ne change rapidement et en profondeur.
    Alors que les signaux d'alarme sont actionnés depuis longtemps par des gens de tous bords, alors que les clignotants sont au rouge depuis belle lurette, les milieux qui se croient encore politiques font la sourde oreille. "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" semble être la nouvelle devise des gouvernants qui ne gouvernent plus rien et de leur opposition qui... qui quoi, au fait ? Mais où diable sont donc passés les SULLY, les COLBERT, les RICHELIEU, les MAZARIN, les TURGOT, les NECKER que peu d'élèves doivent désormais connaitre ?...
    Progressivement vidée de sa substance par un capitalisme mondialiste et agressée physiquement par un Islam conquérant, la société française est maintenant au bord de l'implosion. La chasse aux "souchiens", aux "sous-chiens", aux Blancs est ouverte (cf. L'actualité) et interdiction leur est faite de se défendre, de se rebiffer sous peine de se voir traiter de racistes, de sectaires, de "réacs", de "beauf" et sanctionnée par la "J"ustice en raison de certaines Lois antiracistes promulguées par des Députés Blancs inconscients. Des Lois liberticides qui ne se justifiaient même pas en regard du Peuple Français, pas plus raciste que d'autres, et qui se retournent maintenant contre lui parce-que c'est bien connu : seuls les Blancs sont racistes et les autres races ne font que lutter contre le racisme des Blancs qu'ils aiment bien malgré tout ! Fermez le ban.
    Alors, à quand l'abrogation de ces Lois liberticides anti-françaises ? Sur le plan de la Liberté d'expression des Blancs cela aurait certainement un retentissement analogue à celui de l'abolition de l'esclavage pour les Noirs.
    Après la France, plus de zone de repli pour les "souchiens"
    À l'époque de la décolonisation, politique soutenue conjointement par les États-Unis, la Chine et l'Union Soviétique qui voulaient prendre les places, il a fallu que les populations blanches quittent l'Afrique Noire au motif qu'elles n'étaient pas noires. Il a fallu qu'elles quittent l'Indochine au motif qu'elles n'étaient pas asiatiques... et elles avaient plutôt intérêt à le faire.
    À la fin de la Guerre d'Algérie, pourtant gagnée militairement sur le terrain -il ne faut pas l'oublier-, il a aussi fallu que les Européens quittent le pays, devenant ainsi des Rapatriés. Souvenons-nous de la menace d'alors : "La valise ou le cercueil !". Souvenons-nous de ces files d'attente d'Européens, les Pieds-Noirs, prêts à rembarquer et dans lesquelles les fellaghas du FLN venaient piocher pour en extirper certains "cochons de Français" puis les exécuter sommairement. Et tout cela sous l'œil consterné des Militaires Français qui avaient reçu l'ordre "supérieur" de ne pas bouger.
    Alors, si les populations noires d'Afrique ont eu le droit de vivre uniquement entre elles, si celles d'Indochine et celles d'Afrique du Nord ont eu ce même droit sans pour autant être taxées de racisme, pourquoi les populations blanches d'Europe n'auraient-elles pas droit au même traitement équitable ? Un jour très proche, il faudra pourtant bien inverser la vapeur... ou disparaitre ! Les islamistes demandent déjà la création d'enclaves musulmanes sur le Sol Français. Sous le fallacieux prétexte de la loi du nombre, à quand la sécession du "9-3", à l'instar du Kosovo qui n'avait historiquement rien de musulman ?
    Le XXème siècle regorge pourtant d’exemples de "remigrations" y compris en Europe où des populations installées dans des territoires depuis parfois plusieurs dizaines de générations sont retournées à leurs terres d'origine : Grecs (1,2 million de Grecs établis en Asie mineure depuis l’Antiquité expulsés vers la Grèce par le gouvernement nationaliste turc de Mustapha Kemal en 1923) ; Finlandais (400.000 Finlandais expulsés de Carélie soviétique en 1945) ; Allemands (13 millions chassés d’Europe centrale et orientale en 1945 qui ont trouvé refuge en RFA, RDA et Autriche ) ; Français (1 million de « Pieds-Noirs » rapatriés en France en 1962). Plus près de nous, les migrations ou "remigrations" dans les Balkans témoignent encore d'un phénomène courant dans l'Histoire mondiale.
    Le retour au pays (le RAP !) est donc bien possible et qu'on ne nous dise pas qu'on ne peut plus rien faire.
    Parce-que pour les "souchiens", après la FRANCE, plus de zone de repli, et sans Patrie plus de rapatriement possible.
    À titre d'exemple, les Israéliens savent bien ce que c'est que de se battre dos à la mer, mais eux n'ont pas laisser l'Islam s'institutionnaliser à l'intérieur de leurs frontières. Nous, si. Merci Monsieur le Président !
    Or, ici comme toujours, tout n'est que rapport de forces et malheur à celui qui accepte de jouer avec les règles imposées par l'ennemi. On est le plus fort ou on est le plus faible mais la supériorité ne se décrète pas : elle se prouve par la victoire, non par la défaite. On gagne ou on perd. Demande-t-on à un athlète de se mettre dans les starting-blocks pour perdre ? Lui dit-on que ce n'est même pas la peine de courir parce-que c'est foutu d'avance ?... Non, alors autant tout faire pour gagner et vite car la fin du match est proche et nous en sommes maintenant à jouer les arrêts de jeu ! De toutes les façons, face à l'offensive de l'Islam et aux coups de boutoirs racialo-ethniques, les Blancs de France et d'ailleurs n'auront pas trente-six solutions : ce sera la victoire ou la soumission... ou bien la diaspora ! C'est bien ce qui est promis, non ?...
    Mais après tout, peut-être les Blancs ne sont-ils qu'une race inférieure sans fierté qui ne mérite que sarcasmes et mépris. Qui ne mérite que d'être vaincue en raison même de sa nature fondamentalement malsaine. Le racisme anti-Blanc aurait-il donc raison ?
    Évidemment, cela expliquerait tout.


    Reproduction autorisée avec la mention suivante et le lien vers cet article :
     
    © Marc Noé pour www.legaulois.info

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  • Philippe de VILLIERS : « Pour SARKOZY, l’islamisation de l'Europe est inéluctable »

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,
    - TÉMOIGNAGE -
    Petite piqûre de rappel pour ceux qui se feraient encore des illusions sur le sieur Sarkozy. Cette interview a été réalisée par “Famille Chrétienne” en 2009.
    Philippe de Villiers y pousse un coup de gueule sur la Turquie.
    Pour lui, les élites politiques connaissent bien le phénomène de l’affaiblissement démographique européen et de « l’inéluctable » progression des populations musulmanes sur le continent.
    Pourquoi êtes-vous autant focalisé sur le thème de la Turquie et de l’islamisation ?
    Tout simplement parce que nous verrons les premières transformations d’églises en mosquées dans les trois ans qui viennent. En tout cas, c’est ce que m’a dit Nicolas Sarkozy. 
    Quand ?
    J’ai eu une discussion de fond avec lui à l’Élysée à la fin de l’année dernière ; il m’a dit : « Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable. » Attention : c’est un processus qui ne se fera pas instantanément, mais qui prendra quelques décennies.
    Pourquoi cette question vous paraît-elle centrale ?
    La plupart des hommes politiques ont une douce ignorance de ce qu’est l’islam et se proposent de transformer l’Europe en supermarché des religions concurrentes. Sans prendre conscience que l’islam n’est pas seulement une religion mais que, confondant le temporel et le spirituel, il impose un droit. Mais derrière cette douce ignorance des hommes politiques, il y a ceux qui savent. Et ceux qui savent ont rédigé le livre vert paru en 2000, qui est un outil stratégique de la Commission de Bruxelles. Il fait le constat suivant : dans les années qui viennent se prépare un effondrement démographique qui porte sur des dizaines de millions de bras manquants. Pour y faire face, l’Union européenne propose un apport de peuplement nouveau –c’est dit en toutes lettres. La réalité c’est que nous allons vers un chassé-croisé avec, d’un côté en Europe l’avortement de masse et la promotion du mariage homosexuel et, de l’autre, l’immigration de masse qu’on appelle maintenant l’immigration choisie et qui ajoute à l’absurdité du déracinement un élément moralement scandaleux qui consiste à piller les élites des pays pauvres. 
    Vous n’exagérez pas les dimensions du phénomène ?
    Non. Le fond de la question est simple : l’Europe refuse son propre avenir démographique. Pour cela, elle a une arme redoutable, présente dans la charte des droits fondamentaux annexée au Traité de Lisbonne : la promotion du mariage homosexuel. Ce qui se fait par le principe de non-discrimination et la dissociation du mariage et du sexe des époux (qui figure dans l’article 7 de la Charte des droits fondamentaux). En réalité, il y a deux armes utilisées par les dirigeants européens pour tuer l’Europe démographiquement : la promotion du mariage homosexuel et l’avortement de masse. Et une troisième : le recours à une immigration à 80% islamique pour remplacer le peuplement manquant. Enfin, la Turquie va entrer dans l’Europe : la France dit qu’elle n’y est pas favorable mais il n’empêche. Nous étions à deux chapitres (sur les trente-cinq que compte le processus d’adhésion) il y a deux ans, à dix actuellement et à douze juste après les élections européennes. C’est sous la présidence française que les deux chapitres les plus importants ont été ouverts. On est en train de tromper les Français en leur expliquant que l’UMP est hostile à l’entrée de la Turquie. En réalité, l’UMP accélère le processus. On voit bien qu’il y a un double langage. D’un côté, on vous dit à titre privé « je suis contre l’entrée de la Turquie »,de l’autre, la négociation continue sur l’adhésion, et pas sur le partenariat privilégié.
    Source(Merci à Jean-Claude)

    Ndlr.legaulois.info : Souvenez-vous également de la remarque de Nicolas Sarkozy à Philippe de Villiers :« Tu as de la chance, Philippe, tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid. Je ne m’intéresse qu’à l’avenir. » C’était en 1999

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    Source : http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=25513
    Copyright © agencebretagnepresse.com

    Cordialement.

    Silviane Le Menn
    Poétesse, écrivain, webmaster
    29000 QUIMPER (France)
    www.abadennou.fr       
    Si nous disposions, en FRANCE, du référendum d’initiative citoyenne souhaité par la majorité des Français, il serait possible comme en SUISSE, de soumettre par exemple, la proposition de LOI de LIBERTÉ de CHOIX de FIN de VIE (Euthanasie active) au VOTE du PEUPLE SOUVERAIN ainsi que la question récurrente de la réunification de la BRETAGNE.
    Agissez pour la démocratie
     

    14 Avril 2012             www.ric-france.fr
     
    Comment témoigner votre adhésion au principe du référendum
    d’initiative citoyenne ?

    1º Denez "membre sympathisant" dispensé
    de cotisation
      Ouvrir la page
    ici

    C’est un soutien moral à notre action pour qu’enfin le citoyen ait sa
    juste place dans notre démocratie représentative.
    A adresser au
    Trésorier
    : Alain Terrien, 28, Chemin de l'Esventat 33450 Saint-
    Loubes


    2º Devenez "membre" pour une modeste cotisation de 10 euros
    (minimum)
      Ouvrir la page
    ici

    Vous accompagnez votre soutien moral d’un petit chèque... dont 66% du
    montant pourra être déduit de vos impôts.

    3º De nombreuses petites
    actions, même ponctuelles sont utiles...

    Certaines permettent de devenir
    "membre actif".
    "Les petits ruisseaux font les grandes
    rivières..."

    Référendum d’initiative citoyenne (ric) , qué za quo ?


    Un ric permet à un citoyen, apportant la preuve d’un
    large soutien populaire, de provoquer l’organisation d’un vote de la population
    concernée, dont le résultat s’imposera à tous.
    Le ric doit être possible à
    tous les niveaux territoriaux, de la Commune à l’Union européenne.
    Le plus
    important pour les citoyens est de pouvoir, soit abroger tout ou partie d’une
    loi, soit en proposer de nouvelles. Nul doute en effet qu’avec ses 45 millions
    d’adultes et l’extrême diversité de ses métiers le peuple détient, pour le
    faire, toutes les compétences et tous les niveaux
    d’expertise.

    Quelques avantages procurés par le
    ric,


    Nos voisins Suisses disent que les ric leur
    permettent d’être bien informés et d’être plus compétents en matière politique;
    ils mettent à son crédit des actions pionnières en matière de politique des
    transports, d’agriculture et de santé. Le ric désamorce les tensions, les
    conflits potentiels en donnant la parole à des groupes de citoyens mal
    représentés au Parlement.
    Trois exemples
    - 1996 : Refus d’une loi sur la
    flexibilité du travail jugée inéquitable pour les salariés.
    - 2002 : Refus de
    la privatisation des moyens de production de l’électricité.
    - 2005 : Vote
    d’un moratoire de 5 ans sur les OGM en agriculture.
    Le ric existe également
    dans 27 des États des USA, en Allemagne, en Italie mais abrogatif
    seulement.

    Le ric est un outil de contrôle préventif des décisions des
    élus qui évite bon nombre des immenses gaspillages d’argent public.

    Le
    risque de voir une loi abrogée ou une décision remise en cause par ric, obligera
    l’exécutif en place à une véritable concertation et non aux actuels simulacres
    après lesquels les élus font ce qu’ils avaient décidé avant la rencontre !
    Le
    Gouvernement pourra ainsi - s’il en a la volonté politique - faire des réformes
    profondes dans un climat de paix sociale.

    Le ric est un outil
    anti-corruption. Les grandes surfaces, par exemple, ne voudront plus « acheter »
    leur permis de construire de création ou d’extension, s'il pouvait être remis en
    cause.

    C’est un outil égalitaire. Il n'est plus nécessaire de bloquer la
    France avec des trains, des camions, ou des tracteurs et le plus souvent sans
    résultat.
    Tout citoyen pourra obtenir un vote démocratique, sur une réforme
    s’il prouve qu’il bénéficie d’un large soutien.
    Des propositions de loi sur
    des sujets de société comme les OGM, le nucléaire, l'âge de la retraite, ou
    d'autres sujets de société comme sur vaccination , l’euthanasie etc., pourraient
    être soumises au peuple devenu
    Le
    Souverain
    .

     

    Les promesses et les actes des partis depuis
    1993


    • En 1993 : Tous les partis du PC au FN avaient le RIC dans
    leur programme.
    • En 2002 : J.Chirac le promettait à nouveau expressément
    dans sa profession de foi du second tour.
    • En 2004 : Lors de l’adoption de
    la Loi sur la décentralisation du 13/08/2004 pas un seul député n’a déposé le
    moindre amendement en faveur du RIC communal ou régional.
    Et donc 2O% des
    inscrits d’une commune et 10% d’une région, ce qui est énorme, (Près de 700.000
    en Ile de France !) peuvent demander une "consultation" sur tous sujets, mais
    l’assemblée délibérante peut la refuser, et ce n’est qu’un simple
    avis...

    • En 2007 : Déclarations des deux finalistes
    de la Présidentielle :


    - N.SARKOZY, le jour de son
    investiture a déclaré que le Français est : "un citoyen qui ne
    veut pas renoncer,(...), ne veut plus que l’on décide à sa place, que l’on pense
    à sa place"
    . Mais pour cela il doit disposer du RIC...

    -
    S.ROYAL, après des milliers de rencontres avec les citoyens, en dressait
    le bilan sur son site "Désirs d’avenir" et présentait plus de cent
    propositions.
    On pouvait lire :
    "Une nouvelle
    présidence"
    Remontée des débats
    "Les
    citoyens veulent prendre la parole plus souvent et plus directement pour décider
    eux-mêmes.(...)"

    C’est la définition même du référendum d’initiative
    citoyenne...

    Réponses des citoyens aux sondages sur le
    RIC.


    • 82 % des Français sont POUR (Sondage Sofres pour "Lire la politique" du 12 mars 2003).

    88 % des Français pensent "qu’il faudrait faire un Référendum si un nombre élevé
    de gens le demandent" p 112 dans "La Démocratie à l’épreuve" G Grunberg (Presse
    de Sciences Po).
    Avec le RIC les Français qui souhaitent les réformes
    pourront les contrôler et en présenter, or :
    • 68% des Français sont pour
    "Un référendum d’initiative populaire, qui pourrait être demandé par 500 000
    signatures de citoyens"
    . (Sondage BVA du 11 07 2007 pour le
    Figaro/LCI
    )

    Conclusion

    Il est urgent de faire signer
    massivement cette pétition. Cela nous permettra de forcer les portes des médias
    et des partis politiques de ce gouvernement.
    Sans instauration préalable du
    RIC, il est indécent d’oser parler de "démocratie participative"."Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est
    venue"
       Victor HUGO

    Diffusez le lien
    de cette pétition partout où vous interviendrez sur le web...
    Merci
    d’avance...
    Lien vers le texte : http://www.ric-france.fr/action/petition.php

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  • Zemmour sur petain par trossy2

    C'est la gauche qui engendre le Racisme : 

    « L’histoire est toujours niée par les historiens de gauche qui ne veulent pas admettre la réalité, c’est à dire que la collaboration fut d’abord la grande affaire de la gauche”

    Zemmour sur petainpar trossy2                                                                                                                                                                                                                          

    De nombreux chefs de la collaboration furent-ils membres de la LIC(R)A ? (rediff)

    18/03/10

    Eric Zemmour s’est exprimé cette semaine sans prendre de pincettes sur les liens troublants entre la LIC(R)A, la gauche dreyfusarde et la collaboration (cf vidéo à partir de 11 minutes). La LICRA n’a pas répondu…

    « L’antisémitisme le plus puissant n’est pas en 40, contrairement à ce qu’on croit aujourd’hui, celui de l’extrême-droite et de l’Action Française : le plus virulent dans les années 40 sous l’occupation c’est l’antisémitisme de la gauche pacifiste, de Laval et de tous les autres. (…) L’historien israélien Simon Epstein** montre que la plupart des collabos viennent de la gauche pacifiste, socialiste, radicale, antiraciste : il note tous les discours qu’ils faisaient à la LICRA dans les années 20 contre l’antisémitisme et le racisme, et tous ceux-là sont passés à la collaboration ! »                                                                                                                                                           

    **Spécialiste de l’antisémitisme, Simon Epstein a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des Juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.

    Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA, l’ancêtre de la LICRA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d’une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux Juifs. C’est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s’appliquant aussi à démonter l’occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l’objet dans les mémoires françaises.

    Biographie de l’auteur
    Économiste et historien, Simon Epstein vit à Jérusalem depuis 1974. Auteur de plusieurs ouvrages sur le racisme et l’antisémitisme, il a publié, en 2001, un livre remarqué sur Les Dreyfusards sous l’Occupation.


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  • « Il faut qu’à l’échelon de nos familles, de nos amis, de nos voisins, se lève le grand élan de so­li­darité et de dévouement des Français pour les Français » (Jean-Marie Le Pen)

    Préface de Marine Le Pen au livre « Le FN et le social » :

    Je tenais symboliquement à saluer l’action sociale menée par le Pasteur Blanchard et son équipe dans des conditions difficiles au service d’une grande cause, celle de la fraternité et de la solidarité.

    Je remercie tous les cadres et militants du Front national qui ont participé à ces maraudes, et qui témoignent de notre indéfectible attachement à la cause du peuple Français. Nous sommes réellement le seul mouvement politique à disposer d’une telle structure et à œuvrer au soutien de nos compatriotes.

    Avec huit millions de pauvres et une précarité qui s’installe durablement dans notre pays, il est utile de montrer notre dimension fraternelle et sociale dans un monde où l’individualisme triomphant emporte toutes les solidarités.

    La désagrégation du corps social, la décomposition de la famille, la désespérance de millions de Français exclus de leur propre pays, l’explosion de la barbarie moderne et le mépris pour le sort des travailleurs livrés à une concurrence prédatrice doivent nous pousser à poursuivre notre combat pour la défense des plus faibles d’entre nous, des écorchés de la vie et des laissés-pour-compte.

    Cette initiative sociale, solidaire et populaire doit être encouragée par toutes et par tous. Chaque militant du Front doit se sentir concerné par cette initiative que nous soutenons et que nous entendons développer à l’avenir.

    Engagez-vous, mobilisez-vous et participez à cette noble cause.

    Notre premier devoir de citoyens et de chrétiens, c’est de développer cette nécessaire entraide.

    Un grand merci à tous !

    Marine Le Pen

    (Présidente du Front national,

    Députée européenne,

    candidat à l’élection présidentielle


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  • L'Espagne bientôt sous domination Islamique   :      

     http://www.youtube.com/watch_popup?v=pOq1gJzJ8cM                                                

    Pour qu'elle ne soit pas

     morte pour rien, 

    transmettez ce message .

     

    Cette petite fille s'appelait Myriam Monsenego, 7 ans !!

    Regarder son regard attendrissant,

     comment peut-on lui vouloir du mal,

     c'était une poupée comme on                                

     aimerait que tous les enfants soient.

    Elle a été tuée par une saloperie, une chose immonde.,

    qui a osé lui courir après, l'attraper par les                                

     cheveux et lui tirer une balle dans la tête.

    Je pensais qu'on avait atteint les summuns de la barbarie,

     il faut croire que non.

    Certains diront qu'il ne faut pas faire d'amalgame entre ça et l'islam...

    Ce Mohammed à priori n’était pas un fou, il me paraissait au contraire,

     malin, rusé, il a tué sept personnes froidement. Ses actes ont été calculés.

    Il est allé s’entrainer dans les camps de la mort en Afghanistan, Pakistan.

    Son frère, sa mère, ses amis étaient au courant et personne n’a rien dit.

    C’est là que l’amalgame avec l’islam a lieu d’être, ce type va devenir un martyr

     un héros,pour qui ? Pour des gens dépendants, endoctrinés à cette religion

     qui à mon avis tue trop de monde actuellement.

    Si ce sourire, ce regard vous ont marqués et que vous ne voulez plus que ça arrive,

    alors soyez vigilants et faites suivre ce message à vos correspondants..


                                   

                                          


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  • "Donnez-moi une phrase de n’importe qui
    et je me charge de le faire pendre !"
    Antoine Quentin FOUQUIER de TINVILLE, dit "FOUQUIER-TINVILLE".
    **********
    "Le racisme, l'islamophobie et l'antisémitisme ne s'expliquent pas, ils se combattent. Ce qui vaut pour la France vaut partout ailleurs. Il n'y a rien de plus semblable à un antisémite qu'un islamophobe. Tous deux ont le même visage, celui de la bêtise et de la haine [...] La civilisation méditerranéenne n'a jamais été grande que par l'échange, le mélange, et j'ose le dire, le métissage. Elle ne résistera pas autrement demain à l'aplatissement programmé du monde [...] La diversité, l'échange, le métissage, l'ouverture à l'autre, tels sont les principes qui doivent fonder l'Union de la Méditerranée".
    Nicolas SARKOZY, lors de sa visite en Algérie, début décembre 2007.


    "Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création, demain, sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot,... dans le métissage."
    Nicolas Sarkozy, Discours du congrès de l’UMP, 14 janvier 2007.

    "La France éternelle, ce n’est pas la France éternellement identique. C’est la France [...] qui se métamorphose tous les jours. C’est la France dont le visage change à chaque fois que parmi les Français apparaît un nouveau visage [...] C’est l’intelligence collective qui enfante l’avenir, c’est le métissage des cultures et des idées, le mélange, le brassage qui est la principale force de création dans tous les domaines."
    Nicolas SARKOZY, Discours de Besançon, 13 mars 2007

    "L’islam, c’est le progrès, la science, la finesse, la modernité."
    Nicolas SARKOZY, le 17 juillet 2008 lors de la pose de la première pierre des nouvelles salles des arts de l’islam au Louvre.

    "La France est un pays qui s'est construit sur la diversité et sur l'immigration. Ça doit continuer."
    Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur, le Monde 08/04/2003.

    "N'en déplaise à quelques-uns que je combats, l'islam, c'est aussi une partie de la France."
    Nicolas SARKOZY, le 1/10/2007 à la Grande Mosquée de Paris à l'occasion de la rupture du jeune.

    "Aujourd'hui la france profonde est celle des banlieues à majorité musulmane."
    Nicolas SARKOZY, le 19 septembre 2005 à l'Institut.

    "Les antisémites, les islamophobes, les racistes n'ont rien à faire sur le territoire de la République française."
    Nicolas SARKOZY, Mars 2009.

    "Je pense que les Français attendent une France d'après (...) C'est une France où l'expression "Français de souche" aura disparu."
    Nicolas SARKOZY, Extraits de Témoignage.

    "Les Français sont des minables et négatifs."
    Carla Bruni - Interview au Dailynews le 19 Janvier 2008.

    "Cette société multiculturelle, cette mini-France des potes [...] les gens des cités doivent devenir le pouvoir."
    Carla Bruni, le 9/11/2008 dans le journal du Dimanche.

    "La France est islamo-compatible."
    Alain JUPPÉ - 9 décembre 2009 sur Europe1.

    "La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d'accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question."
    Alain JUPPÉ - Déclaration du 21 décembre 2009.

    "Désormais chaque policier devra intégrer dans son cursus de formation les principes religieux coraniques, notamment connaître les coutumes de l'Islam, les fêtes religieuses et les principaux versets du Coran afin de mieux comprendre ces populations nombreuses qui vivent sur NOTRE sol. Qu'il connaisse un minimum de vocabulaire arabe pour une meilleure compréhension afin de ne pas heurter leur sensibilité (sic) lors des contrôles d'identité, interrogatoires, etc."
    Brice HORTEFEUX - Ministre de l'Intérieur à J.J.BOURDIN sur RMC, le 30 Avril 2010.

    "La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche. Il n’y a qu’une France de métissage."
    Éric BESSON - Déclaration lors de sa visite dans la cité des 4000 à La Courneuve le 6 janvier 2010.

    "Nous donnons 20 millions d'euros aux associations qui aident les étrangers en situation irrégulière. L'Aide Médicale d'État nous coûte 480 millions d'euros : les frais de santé des étrangers en situation irrégulière coûte aux contribuables 480 millions d'euros."
    Éric BESSON - Déclaration à l'AP le 08/04/2009, alors ministre de l'immigration

    "Je suis fier d'être le président d'une grande région musulmane."
    Michel VAUZELLE - Président socialiste de la Région P.A.C.A., lors d'un rassemblement de solidarité devant la mosquée mitraillée d'Istres, en avril 2010.

    "Les racines de l’Europe sont autant musulmanes que chrétiennes."
    C'est Philippe de Villiers qui a recueilli cette affirmation de Jacques CHIRAC lors de sa visite à l'Élysée, le 28 octobre 2003, à l'occasion des consultations du chef de l'État sur l'avenir de l'Europe, comme l'a indiqué Le Figaro. Aucun démenti !

    "Je veux aussi porter le multiculturalisme [...]".
    Frédéric MITTERRAND - Programme de son ministère de la culture.

    "La France est pluriculturelle, c'est magnifique : la France est la capitale culturelle du monde arabe !"
    Frédéric MITTERRAND - 18 décembre 2009, sur La Matinale de Canal +.

    "Nous sommes parmi les tout derniers en Europe à ne pas accorder le droit de vote aux étrangers et nous avons le triste privilège de partager cette position retardataire avec l'Autriche."
    Gilles de Robien - Séance à l'Assemblée Nationale du 3 MAI 2000.

    "La France, en raison de ses choix politiques antérieures est une nation musulmane. Elle doit assumer sa dimension musulmane."
    Jacques ATTALI - Le Monde du 4 mars 1997

    "Je trouve ces foulards très seyants. Ils mettent en lumière les beaux visages de ces jeunes filles."
    Jack LANG - Ministre de l’Éducation Nationale en avril 1995

    "Ma conviction c'est que les valeurs de la République sont pleinement compatibles avec les pratiques de la religion musulmane."
    Michèle Alliot-Marie - Ministre de l'Intérieur, lors de sa participation à la rupture du jeûne à la mosquée d'Évry-Courcouronnes (2008).

    "Nous adapterons notre environnement juridique pour que la stabilité et l'innovation de notre place financière puissent bénéficier à la finance islamique."
    Christine LAGARDE - Invitée au Forum Paris Europlace le mercredi 2 juillet 2010, alors ministre de l'Économie.

    "Le métissage, je le dis ici, est une chance pour la France. Je serai la présidente de la France métissée et qui se reconnaît comme telle."
    Ségolène ROYAL - Candidate PS à la présidentielle de 2007, lors d'un meeting aux Antilles

    "Être musulman c'est une conception de la vie... Être français, c'est une situation géographique."
    Tarik RAMADAN - Dans l'émission Envoyé spécial sur france 2 le 3/12/2004.

    "On est passé de la France de Poulidor à la France de Zidane, c'est quand même mieux."
    Malek BOUTIH - Le Journal du Dimanche du 20/06/2004

    "L'immigration est une chance pour la France."
    Bernard STASI - Titre de son livre publié chez Robert Laffont en décembre 1984.

    "C'est le métissage qui est le défi du XXIe siècle."
    Fadela AMARA - sur France 2 le 17/12/2008

    "Vous aurez à Marseille la plus belle mosquée d'Europe."
    Jean-Claude GAUDIN - Alors sénateur-maire de Marseille

    "L'intégration, c'est quand des Catholiques appelleront leur enfant Mohamed."
    Martin HIRSCH - Émission "Le new show" sur Canal +, le 1er Juillet 2010.

    "Vous avez pas voulu de l'Algérie Française... vous aurez la France algérienne !"
    COLUCHE (sketch

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  • sarkozy L'antisocial par tropicalboy

    Financement de la campagne BALLADUR : devant le juge, TAKIEDDINE accuse SARKOZY

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,,
    - SCANDALES -
    PARIS - L'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine a été à nouveau interrogé mercredi dans l'enquête sur une possible corruption en marge de la présidentielle de 1995, où sont mis en examen plusieurs proches de Nicolas Sarkozy.
    À onze jours du premier tour du scrutin de 2012, c'est la deuxième enquête pénale menaçant le président activement menée par la justice, avec celle visant l'abus de faiblesse présumé sur l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt. Mis en examen depuis fin 2011, Ziad Takieddine a dit après son audition qui a duré toute la journée qu'il avait nié être impliqué dans des retraits d'argent en espèces suspects découverts en Suisse.

    Mais il ajoute que son ancien ami libanais, Abdul Rahman al Assir est impliqué, des pièces du dossier montrant selon lui que ces retraits provenaient d'un de ses comptes suisses.
    "Ça m'étonne, ça me révolte que ça soit fait comme ça, j'espère que vous allez déterminer où c'est allé", a dit Ziad Takieddine au juge Renaud Van Ruymbeke.
    Selon les documents qu'il a cités, l'argent suspect est sorti d'un compte d'Abdul Rahman al Assir, est ensuite parti au Koweït, puis a été retiré en espèces. Les juges cherchent maintenant à retrouver Abdul Rahman al Assir.
    Ils sont dans ce dossier sur la piste d'un possible détournement de commissions légales convenues en marge de la vente de sous-marins au Pakistan (84 millions d'euros) et de frégates à l'Arabie saoudite (200 millions d'euros) dans les années 1990. Un attentat au Pakistan en 2002 où 11 Français sont morts pourrait être lié.
    Takieddine accuse Sarkozy
    L'hypothèse de travail du juge est qu'une partie de cet argent, cheminant dans des comptes off-shore ouverts notamment au Luxembourg sur consigne supposée de Nicolas Sarkozy, ministre du Budget à l'époque, a été retirée en espèces et réacheminée vers Paris pour financer la campagne d'Édouard Balladur en 1995, dont l'actuel président était le porte-parole.
    Les importants retraits d'espèces en Suisse se situent dans une période proche d'un versement, toujours en espèces, de dix millions de francs (1,5 million d'euros) aux comptes de la campagne Balladur, en avril 1995.
    Au total, plus de 20 millions de francs en espèces (trois millions d'euros) ont été versés pour cette campagne.
    Édouard Balladur les justifie par des ventes de T-shirts. Abdul Rahman al Assir et Ziad Takieddine étaient, selon d'autres dépositions versées au dossier, imposés comme intermédiaires par le camp Balladur dans les contrats saoudien et pakistanais.
    Ziad Takieddine, reconvoqué chez le juge vendredi, souhaite parler de l'après-1995, lorsque, selon lui, une fois Jacques Chirac élu au détriment d'Édouard Balladur, les commissions des contrats ont été détournées vers d'autres réseaux.
    Il prête dans ces mouvements un rôle à Alexandre Djouhri, un autre intermédiaire qui s'est lié selon lui ensuite au camp Sarkozy. "Regardez ce qu'il a fait, avec toujours un accord total avec (de l'actuel ministre de l'Intérieur) Claude Guéant".
    "Guéant ça veut dire Sarko. Je n'ai qu'une seule envie, que la France en finisse avec ce système de corruption", a dit Ziad Takieddine à Reuters.

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  •  

     

     

    Fédération de
    l’Hérault

     

    À Montpellier, le lundi 9 avril 2012

     

    A
    l’attention de l’ensemble des adhérents et sympathisants du Front National de
    l’Hérault

     

    Objet : Meeting et déplacement en car

     

    Chers Amis,

     

    Dans 13 jours à 20 heures, nous saurons. Nous saurons,
    si nous avons correctement fait notre devoir militant !

     

    Pour préparer au mieux ce moment que nous
    espérons historique, nous organisons un grand rendez-vous à Béziers avec
    l’ensemble des adhérents et sympathisants de l’Hérault. Notre ultime réunion
    pour le premier tour de l’élection présidentielle se déroulera donc  :

     

    Le dimanche 15 avril 2012 à 15h30

    Au Palais des Congrès de Béziers

    Amphithéâtre Paul Riquet

    29, avenue Saint-Saëns

    A BÉZIERS (34 500)

     

    Ce rendez-vous sera, bien évidemment celui de tout
    le Bas-Languedoc afin de présenter, dans les grandes lignes, le projet
    présidentiel de Marine Le Pen.

     

    Ce meeting sera présidé par Joëlle Mélin,
    membre du Bureau politique FN, conseillère régionale de PACA, médecin
    spécialisé, conseillère politique à la protection sociale, santé, dépendance
    retraite, par Alain Jamet,

    1er vice-président du Front National, conseiller politique aux
    Anciens combattants et à la Mémoire nationale, par France Jamet, Membre
    du Bureau politique, conseillère politique à l’aménagement du territoire et
    présidente de groupe au Conseil régional et par votre serviteur, rapporteur
    à la ruralité et conseiller politique à la Chasse. Pour cet événement si important, à quelques jours de la présidentielle,
    je vous engage à réunir un maximum de vos amis et parents afin d’écouter les
    voix de la France française et éternelle. (Entrée gratuite)

     

    Je vous invite
    également à contacter Pascal Loubet au 06.20.98.16.71 pour vous inscrire au bus
    qui partira, du péage de saint Jean de Védas vers 8h30* et du Péage de Béziers
    Ouest vers 9h30*, le samedi 14 avril au matin pour Perpignan. Ce jour là, le
    Front National organisera une contre manifestation à la venue de Nicolas
    Sarkozy au mur des rapatriés. (PAF : 10 euros) (
    *Horaires à

    préciser par téléphone)

    FN 34

      Résidence Ile Verte – Appt. 24 – Bat. B

      203, rue du littoral – 34 070 MONTPELLIER

    Tél :
      04 67 42 08 36

      Fax : 04 67 22 90 69

      fn34@frontnational.com

     

    Dans l’attente d’une réponse urgente pour ces
    deux derniers rendez-vous, je vous prie de recevoir, Chers Amis, l’assurance de
    mes sentiments nationaux et cordiaux les 
    meilleurs.


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  • Service de presse

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    APPEL à MANIFESTATION
              ET 
    à RÉUNION PUBLIQUE

     

     

     

     

     

    Contre la manipulation électoraliste
    du Candidat-Président SARKOZY

    * * *

    ·                               pour l’Honneur et la Mémoire,
                             · 
    pour le respect de la parole donnée,
            
    pour nos morts tombés pour la France pour la reconnaissance de l’abandon et du massacre des Harkis et des Pieds-Noirs disparus après 1962 !

    ***

    Avec la participation de Gilbert COLLARD, Louis ALIOT, Alain JAMET, Mohamed BELLEBOU, Pierre ALOY, Marie-Thérèse Fesenbeck, les élus FN de la Région Languedoc-Roussillon, le Cercle National des Rapatriés, l’association des Français Juifs,                          ainsi que des représentants d’associations de Harkis et de Pieds-Noirs

    ***

     Le samedi 14 avril 2012

    11h00 : Dépôts de gerbe Monument aux morts Bir-Hakeïm de Perpignan

    11h30 : Réunion publique à la salle des Libertés rue Bartissol à Perpignan

     

     

     

     

         
     

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  •    

    Dix raisons pour lesquelles je pense que Marine Le Pen sera au deuxième tour

    Si j’en crois les sondages, les jeux sont faits, nous allons avoir un deuxième tour Sarkozy-Hollande, et Hollande va gagner. Pourtant, je ne crois absolument pas que le candidat socialiste, qui propose le droit de vote des étrangers, pourra être élu, en France, avec un tel programme, à mon avis, c’est rédhibitoire. J’ajouterai que la chance de Sarkozy est d’avoir une gauche Hollande-Mélenchon-Joly qui, par sa « préférence immigrée », ne peut que se couper du vrai peuple. Et j’avoue que je ne vois pas les raisons pour lesquelles Marine Le Pen ferait un score de 15 %, comme les sondeurs l’affirment. Cela me parait tout simplement impossible, et en total décalage avec ce que j’entends autour de moi. A mon avis, cela sent la grosse manipulation, pour amener les électeurs qui ne veulent pas de la gauche à choisir le vote utile Sarkozy dès le premier tour.

    Je vois dix raisons qui, en toutes logiques, devraient amener la candidate du Front national, pour laquelle je vais voter, au deuxième tour.

    - La situation de notre pays est bien plus grave qu’en 2002, où Jean-Marie Le Pen, avec 18 % était arrivé au deuxième tour. L’insécurité a progressé, l’immigration a  explosé, le chômage de masse a augmenté, l’islam (contre lequel elle n’insiste pas assez) est de plus en plus visible, l’UMP et le PS continuent à avoir des affaires sur le dos, et l’Union européenne est au bord de l’explosion. Tous ces faits donnent raison aux dires de la présidente du FN.

    - Marine Le Pen présente une toute autre image que son père, et facilite le vote en sa faveur d’électeurs que la personnalité du fondateur du FN rebutait, et ses nombreuses provocations faisaient fuir.

    - François Hollande (que je vois passer à la trappe au premier tour) est très loin de susciter l’enthousiasme de Ségolène Royal en 2007, et n’a absolument pas l’envergure de Jospin, qui avait perdu pourtant dès le premier tour, en 2002. D’autre part, Mélenchon va lui faire très mal, et a juré sa perte.

    - Les Français sentent, dans la hargne des journalistes, et les agressions de Mélenchon et des siens, que Marine Le Pen est vraiment l’adversaire du système. Ils ne supportent pas la différence de traitements entre elle et ses adversaires, et remarquent que celle-ci ne se départit jamais de son sourire et de répliques judicieuses, depuis des mois. D’autre part, les électeurs ont découvert, sur les plateaux de télévision, des Gilbert Collard, Louis Aliot, Florian Philippot, Marie-Christine Arnautu, qui ont tous, à chaque fois, fait bonne impression. Cela paiera forcément.

    - Sur des sujets quotidiens cruciaux (islam, immigration, halal, insécurité) elle tranche, par ses prises de position claires, avec tous ses adversaires, Dupont-Aignan compris, et est la seule qui traduit vraiment les inquiétudes de nos compatriotes. Le thème de la préférence nationale a fortement marqué les esprits.

    - Les Français ont montré qu’ils ne voulaient pas d’un deuxième tour entre l’UMP et le PS en 2002, en 2007, Bayrou est passé près de la surprise, et en 2012, aucun des deux candidats du système n’enthousiasme les foules. Sarkozy a trahi les espoirs suscités en 2007, et raconte tout et son contraire, prenant les Français pour des imbéciles. Quant à Hollande, les vrais socialistes en ont honte.

    - En 2005, les Français ont voté non à l’Union européenne, à 55 %, imposant un camouflet aux deux principales formations, qui ont pourtant contourné leur vote en 2008. Depuis, l’ampleur de la crise, qui va atteindre, après la Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal et la France, montre les dégâts du dogme européïste, et la faillite inévitable de l’euro.

    - Dans tous les pays européens, comme aux Pays-Bas, Autriche, Suisse, Allemagne, Suède, ce qu’on appelle les droites populistes, qui alertent sur l’islamisation de leur pays, font des progressions spectaculaires. La polémique sur le halal et l’affaire Merah ont montré la solidarité du système, contre la seule Marine Le Pen. Pourquoi y aurait-il donc une exception en France, seul pays à avoir fait voter une loi contre la burqa et les signes religieux à l’école, sur cette question ?

    - Les Français ont bien souvent ridiculisé les sondeurs, ainsi en 2002, à quatre jours du scrutin, ces derniers voyaient-ils Jospin en tête du premier tour. On a vu le résultat.

    Alors, si vous êtes vraiment convaincu que les solutions de Marine Le Pen sont les seules qui peuvent sortir la France de la catastrophe, ne tombez pas dans le piège des sondeurs, et surtout ne votez pas Sarkozy dès le premier tour, le système n’attend que cela !

    Bernard Bayle


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  • Sarkozy lèche les babouches des Qataris et veut financer la formation des imams – par Christine TASIN

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    - POINT DE VUE -
    Écœurant. Nous voilà repartis près de 5 ans en arrière quand le tout nouveau Président de la République nous assurait de la prééminence du curé sur l’instituteur et des bienfaits de la laïcité positive.
    Il n’a rien compris. Il ne veut rien comprendre. Malgré Mohamed Merah, malgré Qaradawi et Ramadan qui ont/avaient en France une terre d’accueil privilégié, malgré l’offensive des prières dans les rues qu’il suffisait d’interdire…
    Sarkozy persiste et signe. Il parle encore et toujours de laïcité positive, traduction « faites disparaître la laïcité, cette spécificité française qui nous complique la vie pour financer les mosquées de nos amis musulmans et nous oblige à dire non au halal dans les cantines ».


    Il veut que la France forme les imams. Vous savez ce que cela veut dire, former les imams ? C’est financer leur formation, tout simplement. Mais hors de question que des koufars disent ce qu’on doit enseigner en islam, comme Joachim Veliocas l’a expliqué dans un superbe article à lire sur L’Observatoire de l’islamisation, à la date du 10 avril, Sarkozy veut créer un « Institut de formation d’imâms », une fausse bonne idée.

    Et enfin, cerise sur le gâteau, le Président de la République qui a peur de dire du mal de ses amis Qataris à qui il est en train de brader la France ose dire que le Qatar incarnerait « la modernité de l’islam ». On s’en étouffe. Chaque jour dans le monde des hommes et des femmes sont fouettés, torturés, tués, par les tenants de l’islam wahhabite, celui du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Ces pays dont on murmure qu’ils auraient bien contribué -avec l’aide de leurs amis Américains- à la naissance des printemps arabes en finançant les rebelles censés amener au pouvoir… les islamistes dont ils ont besoin afin que nul ne mette en doute leur vision de l’islam, afin que nul ne puisse se prévaloir d’un islam « modéré » qui permettrait aux femmes de sortir non voilées ou non accompagnées, qui leur permettrait de refuser la polygamie, par exemple, des fois que cela donne des idées aux leurs !

    Si le Qatar incarne la « modernité de l’islam », alors, la modernité ne peut plus être associée à l’idée de progrès et d’avancée pour l’humanité. Le Qatar incarne l’application littérale de la charia, la barbarie à l’état pur. Et que notre Président candidat ose ce mensonge éhonté en laissant sous-entendre que le pétrole du Qatar justifie que des Qaradawis portent la bonne parole islamiste sur le sol de France laisse un goût amer dans la gorge.

    Nous en sommes bien là. Depuis des lustres, les compagnies pétrolières jalouses de leurs mirobolants bénéfices interdisent et empêchent la recherche d’énergie alternative ; depuis des lustres, PS et UMP nous assurent que l’islam a toute sa place en France ; et maintenant on va nous expliquer que si nous voulons continuer à rouler et à prendre l’avion il va falloir accepter que l’islam wahhabite avec son corollaire inévitable, l’application de la charia, soit accepté, que dis-je ? Enseigné. Que dis-je ? Appliqué en France…

    Il est plus que temps d’envoyer à la trappe les Sarkozy-Hollande qui ne nous veulent que du mal. On rappellera pour la petite histoire que Hollande a accepté, pour faire plaisir à ses amis verts, de fermer la centrale de Fessenheim s’il était élu. Et un peu moins de nucléaire, et un peu plus de pétrole, et un peu plus de mainmise du Qatar sur la France…

    Il y a un petit souci. Les Français ne veulent pas d’une France « qatarisée ». Les Français ne veulent pas d’une France islamisée.

    La charia est incompatible avec les droits de l’homme. Dites-le à Sarkozy-Hollande

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  •  Le « pompon » : les mahométans prétendaient déjà avoir tout inventé… un « biographe » iranien  affirme maintenant que Léonard de VINCI était musulman ! Ben voyons…

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,
    - ISLAM -
    Léonardo doit se retourner dans sa tombe comme une dynamo. Un livre sur l’œuvre de Léonard de Vinci vient de paraître en Iran. Son auteur, Morteza Khalaj Amirhosseini l’a intitulé “Dessins de Léonard de Vinci”. Il contient les meilleurs dessins du génie de la Renaissance, mais aussi une biographie très détaillée. Se basant sur des sources présentées par l’agence de presse iranienne comme “valables”, le livre entend prouver que de Vinci s’était converti pour embrasser la religion des Perses.
    L’auteur Amirhosseini déclare: “J’ai préparé ce livre, afin de répondre aux besoins des étudiants en Art, parce qu’il n’y avait pas de livre disponible en Iran sur De Vinci. Nous devrions connaître un artiste par ses œuvres, mais, malheureusement, De Vinci est seulement une icône mythique en Iran. ”
    Amirhosseini poursuivit en disant que le livre présente une biographie complète de Léonard De Vinci dans laquelle il a prouvé sur la base de sources de “première main”que l’artiste était devenu musulman. Toutefois, l’Occident préfère garder le silence sur ce sujet, a-t-il ajouté.
    MDR (Mort De Rire)… comme on dit !...                                                                                                                                                                   Pour  info

    Le 23 avril 1519, Léonard de Vinci, malade depuis de longs mois, rédige son testament devant un notaire d’Amboise. Il demande un prêtre pour recevoir sa confession et lui donner l'extrême onction[13]. Il est emporté par la maladie le 2 mai 1519[26], au château du Clos Lucé, à l’âge de 67 ans. La tradition selon laquelle il mourut dans les bras de François Ier repose peut-être sur une interprétation erronément littérale d'une épitaphe rapportée par Giorgio Vasari dans l'édition de 1550 des Vite, mais qui ne figure plus dans celle de 1568[31]. Cette épitaphe, qui n'a jamais été vue sur aucun monument, contient les mots « Sinu Regio », qui peuvent signifier, au sens propre sur la poitrine d'un roi, mais aussi, dans un sens métaphorique, dans l'affection d'un roi, et peuvent n'être qu'une allusion à la mort de Léonard dans un château royal[32]. De plus, à cette époque, la cour est au château de Saint-Germain-en-Laye, où la reine accouche du roi Henri II de France, le 31 mars, et les ordonnances royales données le 1er mai sont datées de cet endroit. Le journal de François Ier ne signale d'ailleurs aucun voyage du roi jusqu’au mois de juillet. Pour finir, l’élève de Léonard de Vinci, Francesco Melzi, auquel il lègue ses livres et ses pinceaux et qui est dépositaire de son testament, écrit au frère du grand peintre une lettre où il raconte la mort de son maître. Pas un mot n’y fait allusion à la circonstance mentionnée plus haut qui, si elle avait été avérée, n’aurait certainement pas été oubliée[33].

    Selon ses dernières volontés, soixante mendiants suivent son cortège et il est enterré à la chapelle Saint-Hubert, qui est dans l’enceinte du château d'Amboise et domine la ville. Sa tombe fut refaite de 1934 à 1936 par le sculpteur Francis La Monaca


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  • Appel lecteurs : Un leader islamiste demande aux Musulmans de quitter la France !

    Traduction et informations complémentaires bienvenues.

    Omar al-Haddouchi, un leader islamiste fait une fatwa pour demander a tous les Muslmans de France de quitter le pays et de retourner en Afrique du Nord     <   DIEU VOUS ENTENDE MON FILS >

    'Alle moslims weg uit
    Frankrijk!'

    Door Bart Olmer

    AMSTERDAM -  Omar al-Haddouchi, de beruchte ideologische
    leider van de jihadistische beweging in Marokko, heeft een bizarre fatwa
    uitgesproken: alle moslims moeten zo snel mogelijk Frankrijk verlaten voor
    Noord-Afrikaanse landen.
    Omar al-Haddouchi
    Omar al-Haddouchi

    Volgens de prediker hebben moslims niets meer te zoeken in Frankrijk vanwege
    ondermeer het boerkaverbod, het inperken van de oproep tot vrijdaggebed en de
    strengere controles op moslimradicalen na de terreuraanslag in Toulouse.

    Ook onder Nederlandse moslimradicalen heeft deze sjeik veel aanhangers.
    Al-Haddouchi was veroordeeld tot dertig jaar celstraf wegens zijn connecties tot
    de daders van de zelfmoordaanslagen in mei 2003 in Casablanca, maar werd
    vrijgelaten uit de gevangenis vorig jaar nadat de Marokkaanse koning Mohammed VI
    hem gratie gaf. Omar al-Haddouchi vergelijkt niet-moslimlanden met „een toilet
    waar je je grote boodschap achterlaat en daarna vertrekt”.

    In zijn fatwa, uitgesproken in een 14 minuten durende videotoespraak, die
    momenteel circuleert op jiadwebsites, zegt Al-Haddouchi: „Doe je best in het
    verspreiden van dit bericht en doe je best in het redden van de mensen en het
    krijgen van hen uit de duisternis van onwetendheid en ongeloof naar de
    uitgestrektheid van de islam. Indien iemand zwak is in Sharia-kennis, het enige
    wat hij hoeft te doen is weg te lopen van de landen van de ongelovigen, in het
    bijzonder in onze tijd. Je moet vertrekken uit het land van de ongelovigen.”

    De radicale geestelijke raadt Franse moslims aan te verhuizen naar
    Noord-Afrika, zoals Algerije en Marokko. „Deze landen hebben dan wel geen
    sharia-gebaseerde overheid, maar op zijn minst respecteren ze islamitische
    gebruiken, zoals het dragen van een hoofddoek. Vlucht met uw kinderen naar
    islamitische landen. Kies het beste land waar Allah’s sharia wordt ingesteld.
    Hier in Marokko is de hoofddoek beschikbaar en wijdverspreid door de wil van
    Allah, en de baard is wijdverspreid door de wil van Allah. U hoort de oproep tot
    het gebed, en er is niets dat de hoofddoek en de baard verbiedt.”

    Dit onderwerp komt ook voor in de Nieuwsflits van De Telegraaf, met het
    videonieuws in 100 seconden. Met vandaag verder:

    * Dit zijn de bunkers waar de superrijken op de dag des oordeels
    heenvluchten!

    * Het is Superwoensdag in de eredivisie en bekijk doelpunt van Excelsior-NEC

    * Engelsman verbrandt alles achter zich en werkt zijn laatste wensenlijst af

    * Waar wordt het roken in parken verboden?


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  • Faut-il
    nous préparer à la fin de l'euro ?

    Simone Wapler
    Le "portefeuille
    permanent" est-il encore d'actualité ?

    Eric
    Fry

    Faut-il nous préparer à la
    fin de l'euro ?

    Simone Wapler

    Aidez-nous à mieux vous connaître ! En répondant à notre enquête, vous soutiendrez une association caritative. En plus : 3 000 euros à gagnez !

    Faut-il nous
    préparer à la fin de l'euro ? Il faut parfois lire la presse étrangère pour bien
    prendre la mesure de ce qui nous attend. La presse anglo-saxonne n'aime ni
    l'euro, ni l'Union européenne. Le dernier numéro de The Economist fait
    sa couverture sur la France et titre "Un pays dans le déni".

    Mais la presse
    allemande, elle, ne peut être taxée d'europhobie. Petit à petit, le débat se
    profile en Allemagne : tout ceci en vaut-il la peine ? Tout, c'est-à-dire
    l'orthodoxie monétaire jetée aux orties, les 1 000 milliards d'euros de LTRO
    donnés en pâture aux banques...

    "Pourquoi
    défendent-ils toujours ce luxe de la retraite à 60 ans ? Pourquoi refusent-ils
    la diminution du nombre de fonctionnaires ? Si la France doit éponger ses
    dettes...
    ", se demandent les Allemands (Christian Schubert, dans
    Courrier International).

    Le débat n'éclate
    pas encore au grand jour car nous sommes en période électorale, mais il commence
    à poindre.

    C'est d'ailleurs
    regrettable que l'étranger ne nous mette pas la pression – ou que les médias ne
    la répercutent pas. Tout le monde aurait intérêt à ce que le débat s'élève et
    s'attaque aux véritables problèmes : la dette, le déficit, le hors-bilan
    (engagement de retraite des fonctionnaires).

    Cette semaine est
    tombée une note de marché de Natixis intitulée "L'Allemagne pourrait-elle finir
    par préférer la fin de l'euro ? Notre réponse est négative". Dans cette
    note, Patrick Artus évalue la perte de compétitivité qui serait due à
    l'appréciation du mark et les pertes que subirait l'Allemagne sur ses capitaux
    placés à l'étranger.

    Il résulte de ses
    calculs que le coût de la rupture est beaucoup trop élevé par rapport à
    celui des renflouements secs. Dans ce dernier cas, il ne s'agirait non
    plus de prêts mais de dons faits par l'Allemagne pour que les pays faibles
    bouclent leurs budgets.

    Cependant, dans une
    seconde note, Patrick Artus se prend à douter : "On arrive finalement à une
    conclusion très inquiétante : si d'une part les prêts aux pays déficitaires ne
    peuvent pas être permanents, et si d'autre part le chômage nécessaire à la
    disparition du déficit extérieur est insupportable, enfin si le fédéralisme est
    toujours rejeté par les pays du Nord de la zone euro, on ne peut pas éviter le
    retour de la crise de balance des paiements (du financement extérieur) de ces
    pays
    ."

    Tout vient d'un
    constat somme toute très simple : les fameux gains en compétitivité dont on nous
    rebat les oreilles ne s'improvisent pas du jour au lendemain. Les domaines
    d'excellence de certains pays qui arrivent à exporter ne sont pas des pans
    d'industrie qui se façonnent du jour au lendemain.

    L'autre solution
    pour arriver à limiter son déficit, c'est de réduire son train de vie en
    l'adaptant à ses rentrées. Diminuer son train de vie signifie réduire sa
    consommation et donc cela se paie par du chômage... beaucoup de
    chômage.

    Quant au
    fédéralisme dont parle Patrick Artus, c'est la mutualisation de la pauvreté et
    là, ce n'est pas gagné. En général, une majorité se dégage toujours pour
    partager la richesse mais pour la pauvreté, c'est une autre histoire.

    Pour le moment les
    1 000 milliards d'euros de prêts de la Banque centrale européenne ont acheté un
    mois de tranquillité (ce qui nous met le jour à 33 milliards
    d'euros).

    Un mois seulement
    car déjà, les taux de l'Espagne, du Portugal et de la Grèce commencent à
    remonter. Acheter du temps c'est bien si on a un plan, mais s'il n'existe pas
    c'est tout simplement ruineux. A moins que le plan ne soit tout simplement la
    poursuite de la politique de la planche à billets jusqu'aux élections grecque et
    française.
    [Simone Wapler a quelque chose à vous montrer

    Découvrez sa vidéo exclusive sur un phénomène qui est en train de se
    dérouler en ce moment même -- et qui menace votre épargne.

    Pour tout savoir
    sur ce bouleversement historique, il suffit de cliquer ici.]

    trait


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  • Mélenchon, boute-en-train de la politique

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

    Constater que cette campagne présidentielle est la plus ennuyeuse de toutes celles qu’ont eu à subir les Français n’est guère une révélation…

     

    Quel que soit son résultat final, Jean-Luc Mélenchon en aura été le candidat qui a percé et grimpé, grimpé, grimpé inexorablement. Dans les sondages tout au moins. Comme avant lui Jean-Pierre Chevènement (2002) ou François Bayrou (2007)… ou encore Marine Le Pen au début de cette campagne-ci, lorsque certains sondeurs l’avait catapultée – peu de temps, certes – en tête au Premier tour…

     

    Qu’importe si, une fois de plus, le score final n’est pas celui annoncé… Les sondages sont passés maîtres pour faire oublier leurs mauvaises prédictions par de nouvelles, toujours plus surprenantes… Parfois même, réelles.

     

    On peut toutefois s’interroger sur l’empathie dont Jean-Luc Mélenchon bénéficie de la part des medias…

     

    Certains y décèlent une manipulation de la droite parlementaire, favorisant l’émergence d’une force politique dont les surenchères permanentes diviseraient durablement l’électorat de gauche, empêchant ainsi le Parti socialiste de revenir « aux Affaires », dans le même temps qu’elle concurrencerait, par son populisme, celui du Front national. Pourquoi pas !

     

    Une autre explication est peut-être plus bassement mercantile : celui de medias devant susciter coûte que coûte, quotidiennement, un intérêt pour une campagne électorale dont les protagonistes assurent depuis des mois un spectacle affligeant.

     

    De l’effondrement électoral annoncé de la candidate écologiste Eva Joly, à la brusque montée et au recul tout aussi brutal de François Bayrou aux figurants que sont Nathalie Artaud, Philippe Poutou, ou Nicolas Dupont-Aignan en passant par l’OVNI Jacques Cheminade, les journalistes n’ont effectivement rien de palpitant à se mettre sous les touches de leur clavier d’ordinateur…

     

    Et pas davantage avec les deux candidats en tête des sondages, soit Nicolas Sarkozy, Président sortant, et François Hollande, vainqueur de la primaire socialiste qui peinent l’un comme l’autre à se singulariser… Le premier a lâché que son rival était « nul » – redoutable perspicacité ! – et le second rabâche qu’il doit « être président à la place du Président ». Pourquoi ? Parce que !

     

    Cela explique sans doute l’embellie médiatique du candidat du Front de gauche dont les déclarations tonitruantes, ses appels au lynchage des riches, à une quasi-dictature annoncée en cas de victoire ou ses insultes à répétition contre les journalistes, sont chaque fois rapportés avec gourmandise par ceux-là même qu’il fustige.

     

    Mélenchon, boute-en-train de la campagne électorale ? Incontestablement.

     

    Toutefois, rappelons que ce terme de haras signifie, selon la définition qu’en donne le Dictionnaire de français Littré : « Cheval entier placé au voisinage des femelles à l’effet de les mettre en chaleur et de les disposer à l’accouplement. »

     

    Malheureusement, on ne sent pas vraiment que ça vienne tant que ça !

     

    © Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines, c’est-à-dire le site www.francephi.com, « Espace Philippe Randa ».


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  • Présidentielle : Cette exception française qui « emmerde » Cohn-Bendit et les siens

    L’ineffable Daniel Cohn Bendit, parlant de la présidentielle, a fait savoir à la presse qu’il « s’emmerdait » dans cette campagne. On pourrait lui faire remarquer que, citoyen allemand, il n’est pas obligé de s’intéresser à l’élection d’un pays voisin, s’il ne la trouve pas à la hauteur de ses attentes. On pourrait ajouter que décidément, ce député européen a un problème avec le suffrage universel. Nul n’a oublié son célèbre « Élections piège à cons », de 1968, et encore moins son hystérie, au lendemain de la votation helvétique contre les minarets, où, du haut de sa suffisance, il sommait les Suisses de revoter jusqu’à ce qu’ils redeviennent politiquement corrects. Ce grand donneur de leçons n’a pas davantage été ému quand son copain Sarkozy et son complice Hollande, main dans la main, ont violé de suffrage du peuple de France, en ratifiant le traité de Lisbonne, refusé par 55 % des nôtres. Il préfère ces brillants exemples à un Vaklav Kraus, président tchèque, qui qu’il se permet de tancer parce qu’il ose comparer l’Union européenne à l’Union soviétique. Il ne le dérange pas davantage que Bruxelles somme les peuples, irlandais ou danois, quand ils ont le malheur de mal voter, de retourner aux urnes au plus vite !

    En fait, ce qui « emmerde » Cohn-Bendit est cette exception française : que le peuple vote pour élire son président, et qu’elle soit encore l’élection reine, capable de faire voter plus de 80 % d’inscrits en 2007. Une élection nationale est une hérésie, pour celui qui rêve d’une Europe fédérale, d’un gouvernement européen, d’élections européennes, et donc de la fin des États-nations. Il sait que 80 % des lois sont votées à Bruxelles, et que l’UMP et le PS les ratifient ensemble dans 97 % de cas. Il ne voit donc pas l’intérêt de cette élection présidentielle, qui pourrait faire croire aux Français qu’ils ont encore les moyens d’élire des candidats capables de faire vraiment une autre politique que celle que les élites auto-proclamées ont décidé.

    Ce qui « emmerde » un Cohn Bendit, c’est que nous autres Français, nous tenons majoritairement à cette élection, et que, tous les cinq ans, nous en fassions l’événement phare de la vie politique de notre pays. Nous n’avons pas envie, n’en déplaise à ceux qui militent pour une sixième République soi-disant parlementaire, que le Président de la République devienne une reine d’Angleterre, qui ne serait plus élu par les Français, mais par le Parlement. Nous n’avons pas envie de ce modèle où, pour introduire l’indispensable proportionnelle, on devrait voter pour des listes de députés, comme lors des élections européennes, sans que, individuellement, les futurs élus n’aient à mouiller la chemise, dans leur circonscription, pour se faire élire individuellement, comme les dix candidats à la présidentielle doivent le faire.

    Ce qui « emmerde » un Cohn-Bendit est que, durant cette campagne, on puisse parler de sujets qu’il méprise, comme l’immigration, l’insécurité, le halal, l’identité nationale, l’islamisation de nos pays, et autres thèmes dans lesquels il ne voit, avec mépris, que « lepénisation des esprits ». Mais ce qui « emmerde » aussi l’arrogant député européen est qu’un Mélenchon, qu’il méprise, puisse contester, à gauche, le centrisme mou d’un Hollande et de ses copains verts.

    Eh bien que Cohn-Bendit sache que nous ne nous sommes pas du tout « emmerdés », parce que nombre de candidats incarnent parfaitement le courant politique qu’ils représentent, et une richesse maintenue de la vie politique française, malgré la dictature du politiquement correct. Ce qui se passe en France est autre chose que le simple choix entre démocrates et républicains aux États-Unis, ou entre travaillistes et conservateurs en Grande-Bretagne. Cela confirme qu’on est loin encore du rêve de Cohn-Bendit, Hollande ou Sarkozy, un bipartisme où l’on aurait le choix qu’entre l’UMP et le Parti socialiste, entre Dupont et Dupond.

    Ainsi, on peut ne pas aimer Sarkozy, son côté bonimenteur cynique, mais nul ne peut lui contester que, quand il parle, il a un autre souffle qu’un Juppé ou qu’un Fillon. On peut ne pas aimer Mélenchon, encore moins les insultes qu’il profère et ses appels à la violence contre certains adversaires, mais nul ne peut contester que, dans un meeting, c’est quand même autre chose que Pierre Laurent, le secrétaire du PCF, son principal appui. On peut ne pas aimer Marine Le Pen, ne pas partager certains aspects de son programme, mais nul ne peut contester qu’elle amène un autre souffle qu’un Bruno Gollnisch. On peut ne pas aimer Éva Joly, et son mépris de la France et de sa langue, mais nul ne peut contester que, par sa personnalité caricaturale, elle a fait rire notre pays, montrant ce que sont vraiment les Verts, ce que n’aurait pas fait un Hulot. On peut ne pas aimer François Hollande, le trouver bien falot et mou du genou, mais n’incarne-t-il remarquablement une social-démocratie embourgeoisée obligée de faire le grand écart pour se dire encore de gauche, tout en rassurant le centre et la finance ? On peut ne pas aimer Bayrou, mais ne symbolise-t-il pas, parfois avec panache, le côté girouette du centre, capable de se vendre au plus offrant pour quelques maroquins ministériels ?

    Le gaulliste social Nicolas Dupont-Aignan ose déranger la bien-pensance, lui aussi, en réclamant le retour de la souveraineté de la France, comme la présidente du FN, dont il cherche pourtant à se démarquer à tout prix. Les deux trotskistes, Poutou et Arthaud, justifient, comme depuis plus de 40 ans, leur existence séparée, alors qu’ils sont d’accord à 98 % pour faire la révolution en contournant la phase démocratique. Quant à Cheminade, nous avouons avoir du mal à saisir son discours, ni à comprendre comment un candidat sans militant peut recueillir 500 signatures, quand une Marine Le Pen manque de passer à la trappe, ou qu’une Corinne Lepage y passe.

    Ces dix candidats incarnent la diversité politique de la France. Il demeure malgré tout une question fondamentale : quel est, au-delà de leur talent, le vrai clivage entre eux ? Oppose-t-il, comme dans les années 1970-1980, une droite Sarkozy-Bayrou-Dupont-Aignan-Le Pen, à une gauche Hollande-Mélenchon-Joly-Poutou-Arthaud-Cheminade (puisque ce dernier a appelé à voter Hollande au deuxième tour) ? Chacun est à même de constater que, si on peut envisager un rassemblement de gauche, sur cette base, le rassemblement dit de droite est fortement improbable. Pourquoi ?

    Tout simplement parce que, sur dix candidats, huit sont favorables, chacun avec leur vocabulaire, à la mondialisation et à l’Union européenne. Bien évidemment, Sarkozy parlera de mondialisation libérale de l’économie, alors que Mélenchon et Hollande parleront d’internationalisme, et qu’Éva Joly parlera de citoyens du monde. Mais ils partagent tous le même projet politique, vis-à-vis des Etats-nations, qui, pour eux, ne doivent plus exister. Bien évidemment, Sarkozy-Hollande-Joly ont été favorables à la ratification de Lisbonne, et militent ouvertement pour une Europe fédérale, projet que Mélenchon-Poutou-Arthaud ne combattent que sur la forme, eux qui veulent « une autre Europe, pas celle-là », et « une autre mondialisation, pas celle-là ! ».

    Alors, cette campagne oppose-t-elle, comme essaie de nous le faire croire Mélenchon, la démocratie, incarnée par la gauche, au fascisme, représenté, selon lui, par Marine Le Pen, encouragée par Nicolas Sarkozy ? Sommes-nous encore dans les années 1930, où les organisations ouvrières étaient attaquées par ceux qu’on appelait les « supplétifs du grand capital ». N’en déplaise au candidat de Front de Gauche, nous n’avons pas, à notre connaissance, été témoins d’agressions de militants de gauche de la part des militants du Front National, ni dans cette campagne, ni depuis des années. Par contre, nous avons constaté des agressions physiques, des nombreuses provocations et des insultes répétées contre essentiellement la candidate du Front national, une fois contre Nicolas Dupont-Aignan, devant l’ambassade de Grèce, et parfois contre Nicolas Sarkozy. Le fascisme des années 2010 ressemble à ces militants gauchistes, soutenus par l’ensemble de la gauche, qui agressent physiquement quiconque se réclame de la défense de la Nation. Et, ne déplaise encore à Mélenchon, le fascisme, en 2012, nous parait avoir davantage le visage de Merah ou de Qaradawi, et de ceux qui se reconnaissent en eux – sans susciter la moindre réaction de la gauche dite anti-fasciste – que celui des Identitaires ou du Front national, comme le clament sur les antennes toutes les Pulvar de France et de Navarre.

    Certains Français, de manière presque religieuse, votent à droite, ou à gauche, par tradition familiale, voire par fidélité à ce qu’ils considèrent leur camp. Nous respectons leur choix, tout en défendant que, selon nous, ce clivage n’est plus opérant. Il se situe entre mondialistes et patriotes, entre ceux qui pensent que l’Union européenne et la mondialisation sont aujourd’hui indépassables et indispensables, et ceux qui pensent que le retour à la souveraineté nationale est la seule chance des Français pour sauver leur modèle social.

    Certes, il y a des nuances entre Sarkozy et Mélenchon, en passant par Hollande, Bayrou et Éva Joly, mais sur le fond, ils partagent le même projet de société, auquel s’opposent les seuls Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen.

    C’est ce débat qu’une élection présidentielle rend incontournable, durant plusieurs mois, tous les cinq ans, au grand dam d’un Cohn-Bendit. Les Français peuvent enfin entendre autre chose que la fable de la mondialisation heureuse, de l’Europe qui sauve les peuples, de l’euro qui protège l’épargne des petits, de l’immigration chance pour la France, et de l’islam religion de paix et d’amour que la dictature du politiquement correct, via ses journalistes aux ordres et ses élus UMP-PS-Verts-Modem, assènent quotidiennement aux citoyens, pour mieux les anémier. C’est cette autre parole, cette alternative patriote, qu’ils veulent étouffer par tous les moyens, qui « emmerde » vraiment Cohn-Bendit et les siens


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  • la_relativite.zip      :  ( ci-dessous , comme quoi la Théorie de la Relativité concerne aussi le P S )

    La position de Hollande sur la Réunification de la Bretagne

    BRETAGNE-RÉUNIE - BREIZH UNVAN

     

    Bonjour Madame, bonjour Monsieur,

    Position des candidats sur la réunification, lire :

    http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=25433

    « Lors d'une interview conduite par le Mensuel de Rennes mercredi, François Hollande a exprimé clairement son sentiment sur la réunification : c'est NON. « Je ne suis pas partisan de modifier les frontières ». Et de verrouiller : « Il faudrait vraiment une demande unanime de tous les élus pour essayer une procédure ». Le même soir à Rennes, François Hollande s'est prononcé pour une modification de la Constitution pour permettre la ratification de la charte des langues régionales et minoritaires. »

    Copyright © agencebretagnepresse.com 

     

     

     


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  • Si cette histoire se confirme, après D S K... JACK LANG

    La représentation et l'honorabilité du PS ne vont plus valoir tripette

    un_scandale_de_plus.pdf                                                                                                                                                                                           

    Voici une vidéo assez préoccupante sur l’implication d’un haut responsable politique français dans de la crapulerie pédophile : Jack LANG. J’en parle depuis des années mais je n’ai pas relayé cette nouvelle info car la première vidéo du père de la victime était trop courte et ne m’inspirait pas confiance, avec cette autre ITW de près d’une demie heure, c’est une toute autre affaire : Les détails sont innombrables, des noms sont cités, des dossiers disparaissent comme à l’accoutumée dans ces affaires de pédophilie et de réseaux démoniaques qui ont leurs entrée dans les tribunaux. Après les insinuations de Luc Ferry sur le plateau de Canal +, après les paroles de l’ex patron des RG Yves Bertrand aux Grandes Gueules de RMC ainsi que la fameuse vidéo de Roger Holeindre, je crois qu’il est essentiel que l’autorité judiciaire commence son travail au risque de laisser le désordre s’installer.

    Que penser d’une personne qui a recours à la chirurgie esthétique à un âge aussi avancé  et refuse ainsi son âge. Que penser d’une personne qui prend la défense systématique de toute la racaille médiatique pédophile : R. Polanski, F. Mitterrand, DCB, … Que penser d’une personne qui a mis en place la « Techno Parade » qui n’est rien d’autre qu’une immense pollution sonore dégénérée. In fine, que penser d’une personne qui a dit dans le journal Gay Pied le 31 Janvier 1991 : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. »

    Plus curieux encore, le web est inondé de cette information sans aucune réaction de Jack LANG qui avait trois mois pour le faire mais qui ne l’a JAMAIS fait ! Très curieux silence de l’ex ministre de la culture vu la gravité des accusations.                                                               Suite des scandale sur FDESOUCHE :  http://www.fdesouche.com/category/actualite/politique/corruption-politique-actualite


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