• Dormez bien, Madame Taubira, un jeune homme de 23 ans s’est fait égorger comme un mouton à Marseille

    Tentative d’égorgement ! Comme un mouton. Pour un mobile, un petit appareil de communication qui vaut donc la mort pour un étudiant, Jérémie Labrousse, âgé de 23 ans, aujourd’hui décédé.

    Se faire égorger comme un poulet. Sentir lors de son transport à l’hôpital, sa vie s’écouler par cette plaie à la gorge, comme ces pauvres bêtes tuées dans les abattoirs halal. Ce gamin qui allait à la gare chercher une amie, s’est vu infliger une volonté de tuer, la plus horrible. Il a senti la mort, il a vécu l’impuissance devant  l’évidence et vu l’ordure s’enfuir avec l’objet de sa convoitise. Pitoyable, effrayant, effarant, écœurant. Il est décédé des suites de ses blessures.

     

    Marseille, la ville de tous les dangers. Piteuse ville qui se veut celle de la Culture et qui offre chaque jour son lot de sacrifices humains à la bête qui règne désormais dans cette cité.

    Marseille, ville UMP, ville où s’affrontent  les bandes, les camés et leurs revendeurs. Ville dont les  prétendues élites se gaussent chaque jour de la beauté de la ville alors que dans ses bas-fonds règne  la mort au coin d’une rue, aux alentours d’une gare, pour la souveraineté d’une cage d’escalier, un quartier ou pour voler un mobile. Ville de la razzia désormais ?

    Marseille, témoin d’une  situation effrayante, d’une insécurité galopante, d’une sauvagerie incroyable où la vie humaine ne compte pas plus qu’un paquet de cigarettes, un portable.

    Marseille qui rit dans l’ombre de ces politiques imbéciles qui considèrent encore, que la prévention est bien plus efficace que la répression.

    Marseille qui rit d’entendre Christiane Taubira affirmer tranquillement que c’est la prison qui est responsable de la violence. La prison qui engendre la délinquance, la prison qui augmente les délits. Elle le dit avec certitude. Comment ne pas penser à Michel Audiard qui disait queles cons osent tout et que c’est à cela qu’on les reconnait

    Marseille qui rit dans les cités de cette naïveté imbécile. Qui rit d’être reconnue innocente d’avance, victime de facto. Qui rit au bas des immeubles, au coin des rues, aux abords de la gare Saint Charles de ces forces de police bridées par Manuel Valls, comme autrefois par Nicolas Sarkozy. Des forces qui ressemblent à ces chiens de garde dont la laisse est si courte qu’ils ne peuvent même pas sortir de leur niche. Des forces que Manuel Valls  lâche uniquement sur des manifestants pacifiques pour jouer les durs, et que l’on siffle au moindre risque de stigmatiser de « braves jeunes hommes » issus de différentes communautés diverses et variées hormis celle des français de souche, trop cathos, trop blancs, trop sages, une communauté trop respectueuse des lois. Cette communauté ne défie pas la police, ne tire pas sur elle, ne la vomit pas et donc, est passible de sanctions faciles et lourdes comme celles frappant le pauvre Nicolas Bernard Buss qui eut le tort de manifester pacifiquement.

    Marseille est comme cette région parisienne qui s’enfonce elle aussi dans ce puits sans fond de la mort civile et citoyenne.

    Marseille n’est pas la ville de la Culture, elle n’est plus une ville de vie, de plaisirs, de joies.  Il est mort César. Elle est morte Fanny. Marcel Pagnol n’est plus. Il est mort le soleil de Marseille pourrait chanter Nicoletta. Même sur ses plages où désormais l’insécurité grandit aussi.

    Marseille n’est pas la ville de la Culture, elle est celle de l’imposture civile. De l’enfumage permanent. Elle est celle du faux semblant, de l’apparence, du sauvetage des meubles de l’UMP et du PS. Elle est devenue une cité Africaine et plus particulièrement du Moyen Orient. Une cité où les valeurs de la république dont se gaussent nos « élites républicaines » n’existent plus.

    On meurt jeune à Marseille. En journée, le soir, la nuit, pour une cigarette, un mobile. Dormez bien braves gens de Marseille pendant que passe la sulfateuse de l’AK47, glisse la lame du couteau, dormez bien  tandis que Madame Taubira s’endort et laisse les citoyens de France, ces nouveaux moutons se faire égorger comme le sont les vrais moutons, ceux des fêtes de l’Aïd. En toute innocence, puisqu’ils ne sont pas responsables ! Puisque c’est la société qui est criminogène. Puisque c’est la socia-lie qui vous le dit, aidée en cela par cette droite inconsciente qui se tait et pour lesquelles vous continuez à voter ! Un habitant de Marseille écrit cette phrase terrible : Je précise que le boulevard d’Athènes, en contrebas de la gare Saint-Charles, est dans un quartier entièrement islamisé et en décrépitude. Un vrai coupe-gorge. Il faut être suicidaire pour s’y promener la nuit.

    Je n’aurai pas un mot de compassion pour les autres familles, celles qui ont perdu un truand, un dealer, mort dans un règlement de comptes. Ma compassion a les limites de la décence. Ces familles savaient. Je pense plutôt à la famille de ce jeune homme qui perdu son fils du fait d’un acte barbare. Je leur dis aussi qu’elle ne doit pas penser que c’est une fatalité, un accident, un hasard. Qu’elle sache qu’il y a des responsables.

    A tort, cette famille doit regretter une chose en ce moment : d’avoir acheté un portable à son fils dans une ville abandonnée à des fauves sanguinaires, sans foi, ni morale, ni lois, par des politiques qui s’auto-déclareront irresponsables même si pour moi, ils sont et resteront coupables.

    Gérard Brazon (Puteaux-Libre)


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  • EXCLUSIF -  Le fils d'un député PS arrêté avec 22 kilos de cannabis ! 

    Marc Sebaoun, 20 ans, fils du parlementaire socialiste du Val- d'Oise, est en garde à vue depuis lundi à Tours. Il est soupçonné de trafic de drogue.

    Merci au Point.fr

    Par JEAN- MICHEL DÉCUGIS ET AZIZ ZEMOURI

    Marc Sebaoun, 20 ans, aura tout fait pour cacher à la gendarmerie ses liens de parenté avec Gérard Sebaounavant d'évoquer de façon hasardeuse une homonymie. Mais le trafiquant de drogue présumé a été trahi par l'adresse qu'il avait donnée. La même que celle de son père
    Gérard Sebaoun, député socialiste du Val- d'Oise. Le fils du parlementaire a tenté en vain de protéger son père de ses ennuis judiciaires.

    Ce n'est pas la première fois que l'élu municipal de Franconville est contrarié par les grosses bêtises de son fils. Marc Sebaoun a déjà été condamné en 2007 et 2008 pour des vols avec arme par la cour d'assises des mineurs. 

    Cette fois, il aurait été interpellé par les douanes avec 22 kilos de cannabis dans sa voiture. 
    Le fils du parlementaire, qui arrivait du Maroc, était accompagné dans le véhicule par un complice, un certain Farah Balhas, connu de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Marc Sebaoun est en garde à vue depuis le lundi 3 juin dans les locaux de la brigade de recherche de la gendarmerie de Tours. Déjà prolongée de 24 heures, elle devrait l'être à nouveau ce mercredi. La chancellerie a été prévenue, comme c'est l'usage.

    Cardiologue et médecin du travail de profession, Gérard Sebaoun, élu député en 2012, est chargé de la présidence du groupe d'étude sur la santé au travail.
     En 2010, l'élu avait été le premier responsable socialiste du département à soutenir Ali Soumaré, la tête de liste valdoisienne du PS aux régionales, dont des élus UMP avaient dénoncé le prétendu "palmarès judiciaire". Contacté par Le Point, Gérard Sebaoun était injoignable mardi soir.

    Le fils du député socialiste du Val- d'Oise Gérard Sebaoun a été arrêté sur l'autoroute alors qu'il rentrait du Maroc.

    Par Francetv info avec AFP 

    Le suspect a tenté de cacher son lien de parenté, 
    mais son adresse l'a trahi. Marc Sebaoun, fils du député socialiste de la 4e circonscription du Val- d'Oise Gérard Sebaoun a été interpellé sur l'A10, lundi 3 juin, en possession de 22 kg de cannabis. Il rentrait en voiture du Maroc avec un passager, selon la gendarmerie, qui confirme une information du Point.fr.

    Marc Sebaoun, 20 ans, et son complice présumé, ont été interpellés par des douaniers sur l'autoroute, au péage de Monnaie (Indre- et- Loire). Une enquête judiciaire pour présomption de trafic de drogue a été ouverte à Tours, où les deux hommes ont été placés en garde à vue. Ils devaient être présentés au parquet mercredi après- midi.


    Gérard Sebaoun, médecin de 62 ans, est député du Val- d'Oise depuis 2012 et membre de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée. 



     Et ce sont les socialistes qui s'offrent le luxe de donner des leçons ?!
     Et ce sont les socialistes qui accusent de façon récurrente de tels ou tels faits, toutes les droites comprises, enfin 
          plus exactement et clairement, tous ce qui n'est pas de leurs idéologies despotiques ?!
     Et ce sont les socialistes qui agissent et se montrent en redresseurs de torts ?!

    Je me gausse, pardonnez- moi…


     Et c'est ce gouvernement actuel, trainant derrière le popotin de chacun de ces acteurs tant de casseroles que tout 
        ce brave monde tente d'étouffer ceci, ou encore cela ! Eh oui, on met en exergue tel fait et tout 
        comme l'illusionniste nos braves manipulent dans sans que nos compatriotes s'en rendent compte… 
        Détournement de l'attention magistrale de nos si gentils gouvernants socialiste !
     Et c'est encore ce gouvernement qui ose se poser en défenseur et dans l'exemplarité de la perfection ?!

    La bêtise, n'est ni le dogme d'une couleur politique, ou d'une couleur de peau, elle n'est que l'issue du comportement à l'odeur de l'idiocratie de nous autres humains, sans autres considérations que ce fait là !

    Bien évidemment, de gauche comme de droite ont tentent d'atténuer, de cacher, on omet, mais il faut bien l'avouer quand même, et ce de façon complètement factuelle, ce n'est qu'un constat; la gauche en fait de belle et  pire que tout, je citerais la pire des horreurs; la "pédophilie entre autre" ! 
    Ces gens, se posent en grands donneurs de leçon...  Et si nous savions tout ???

    La leçon à retenir de cette affaire est que, se "promener avec 22 kilos de cannabis" n'est certainement pas le fruit du hasard, qu'en plus cela équivaut à une véritable fortune à l'achat, mais à la  revente waouh ! Et qu'en plus cela "fait grandement tache chez nos socialos- caviars- anti tout et tous !"
    Ce n'est que le triste constat que nous pouvons faire, car avoué quand même que "22 kilos de cannabis" fût assez compliqués de faire passer à l'as et qu'obligatoirement cela s'éventerait…


    Bravo à nos amis socialistes pour une fois de plus,  
    belle leçon de voyoucratie !
    Bravo à nos amis socialistes véritables parangons 
    d'immoralité et d'indignité !!!



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  • même en plein été : ils ont faim !

    « Un sans domicile fixe (SDF) s’est pendu à un arbre porte Dauphine », rapportait Le Parisien, il y a quelques jours. Il ne semble donc pas que la misère soit beaucoup moins pénible au soleil, pour les 10.000 ? 15.000 ? sans-abri de Paris (le flou de ces « statistiques » révèle tout l’intérêt porté à ces personnes sans assiette fiscale ni carte électorale par nos princes démocrates, tripe molle et cœur dur). Je vais vérifier tout cela de près au crépuscule, ce 29 juillet 2013.

    Au pied de la tour Montparnasse, distribution mensuelle de l’association Solidarité des Français (SDF). À manger et à boire. On ne sait comment, le mot est passé par les rues et une petite foule s’amasse devant deux gamelles de 32 litres. Viande et légumes. Tout est nettoyé en un quart d’heure. J’ai « tapé » quelques photos numériques. Discrètement. Prenant toujours les gens de dos. Je sais que ceux qui ont tout perdu tiennent encore à leur image, pour la plupart.

    Je comptais bien ensuite faire la queue pour « goûter la soupe » en épiant les conversations… Je n’ose pas ! Mauvais journaliste ? Si vous voulez, patron. Mais j’ai vu d’emblée qu’il n’y en aurait pas pour tout le monde ; et je préfère épier les événements en tête de la file d’attente.

    Vous avez peut-être aperçu Odile Bonnivard à la télévision ? Elle est porte-parole de l’association SDF. Elle me confie : « C’est dur, ce soir. Beaucoup de gens qu’on ne voit pas d’habitude. Vivement que les autres “assoces” reprennent du service et qu’on se retrouve avec nos habitués seulement. »

    Elle me quitte pour expulser de ses propres mains une sorte de dandy à Levi’s 501 et Nike flambant neuves qui a réussi à s’incruster au « bar »(sans alcool) et a un peu l’air de se foutre de nous.

    La tension monte d’un cran à l’arrivée d’un personnage inquiétant. Il se dispense de faire la queue, exhibant les arcades sourcilières déchiquetées des boxeurs usés, les tatouages bleuâtres des taulards endurcis. Et il tente de se servir lui-même, en grommelant des remerciements vaguement injurieux. Roger Bonnivard, second pilier de SDF, grisonnant mais massif, repousse l’individu sans s’énerver. J’ai approché mes 94 kilos de la scène pour intimider, tout en me demandant comment je m’en sortirais s’il fallait agir, à 60 ans passés.

    La courageuse association Solidarité des Français a survécu aux persécutions – parfois brutales – de l’État, qui lui reprochait de servir aux sans-abri une soupe « discriminatoire » : une soupe au cochon ! Les soupes halal et casher sont manifestement plus digestes, pour la République laïque.






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  • Le Maire de Roubaix accusé de clientélisme religieux.

    Voici le passage polémique sur la lapidation et l’application de la charia en France (intégralité du doc diffusé sur France 4 en fin d’article). Rachid Gacem, trésorier de la Mosquée Abu Bakr de Roubaix :

    Addendum 16H 15/09 : Rachid Gacem présente ses excuses, annonce sa démission et déclare avoir été « berné » par John Paul Lepers

    « Aujourd’hui, je sais que j’ai fait une erreur », dit-il avant néanmoins d’accuser le journaliste John-Paul Lepers d’avoir retiré ses propos de leur contexte et de les avoir utilisés à contre-sens, « comme savent si bien le faire les journalistes expérimentés dans la manipulation intellectuelle visant à nuire à leurs auteurs ».

    Nord Eclair Lettre de démission de Rachid Gacem

    Nord Eclair a désactivé momentanément les commentaires sur son site, officiellement pour « maintenance ».

    Addendum 15/09 15H : Les propos de Rachid Gacem, trésorier de la mosquée du Pile, sur la lapidation et la burqa, surprennent et choquent.

    La conseillère régionale Front national Françoise Coolzaet a notamment rédigé un communiqué de presse où la ville de Roubaix est qualifiée de « territoire perdu de la République ». Elle fait le lien entre les propos tenus par Rachid Gacem et l’organisation vendredi dernier d’une grande prière réunissant plusieurs milliers de musulmans au Parc des Sports de Roubaix [voir la vidéo]. Et accuse le maire socialiste de Roubaix, René Vandierendonck de « clientélisme pro-musulman ».

    Par ailleurs, des responsables de l’AFL (association familiale laïque) tenaient ce midi une conférence de presse pour présenter leurs projets. Interrogés sur ces deux sujets d’actualité (la prière au Parc des Sports et le documentaire de John-Paul Lepers), ils se montrent mesurés mais fermes. Selon ces militants laïques, le maire de Roubaix n’a pas à prêter un terrain public pour une manifestation religieuse et encore moins à y participer. [...]

    Nord Eclair


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  • ENCORE UN QUI N'AURAIT PAS PU TRAVAILLER CHEZ LUSTUCRU

    «Je suis un peu dans le gaz», reconnaît Jason, mercredi, lorsque nous l’interrompons au beau milieu de sa sieste. Jason? C’est ce Fleurbaisien de 23ans, récemment converti à l’islam, dont nous relations les propos à l’aube de son deuxième Ramadan

    « Je vais très bien », souffle le jeune homme dont les trente jours de jeûne ont renforcé une foi qui ne demandait que ça. Comme pour les autres musulmans de France, les conditions quotidiennes – dix-neuf heures sans boire ni manger sous une chaleur écrasante – n’étaient pourtant pas les plus aisées. Mais « Dieu aime ceux qui persévèrent », prévenait en son temps le prophète Mahomet.

    « J’ai fait au mieux »

    « J’étais un peu cassé après le travail. Ramasser entre douze et vingt tonnes d’encombrants par jour entre 6 h et 13 h, c’est assez physique. » Jason s’est surpris dans sa volonté et son abnégation. Avec du recul, toutefois, il analyse. Et retient du bon et du moins bon, dans la façon dont il a vécu ce neuvième mois du calendrier lunaire musulman. Du moins bon, lorsque fatigué, il ne prend pas part aux actes surérogatoires (non-obligatoires, volontaires) dont la prière du Tarawih. « Elle est spécifique au Ramadan, et a lieu entre celle du soir et celle de l’aube », explique-t-il.

    Du moins bon, encore, lorsqu’il admet ne s’être plongé qu’« une fois ou deux » dans la lecture du Coran. Mais du très bon, aussi, car à l’aune de son premier Ramadan, « je ne me suis nullement laissé distraire par les envies futiles extérieures ». Il poursuit : « J’ai le sentiment que ce mois sacré a permis une réelle remise en question sur ma vie. J’en ressors fort, et confiant vis-à-vis de certaines choses en moi. » Et conclut : « J’ai fait au mieux, selon mes capacités. Les actes ne valent que par leurs intentions. Je vis ma foi de la façon la plus sincère possible. »

    Trois jours de fête entouré de « ma seconde famille »

    Pour les trois jours de l’Aïd el-Fitr, littéralement « fête de la rupture », Jason s’entourera de personnes de la communauté, sa « seconde famille ». L’occasion d’un bel instant de communion lors duquel, entre deux repas bien garnis, les enfants reçoivent des cadeaux. «Un peu comme Noël, sourit le jeune homme. Ce qui ne m’empêche pas de fêter Noël, celui de décembre, avec ma famille. Je n’y attache aucun sens religieux, certes, mais c’est là aussi un moment fort de partage. » Une vie de converti faite de compromis, sereine, honnête, «dans le juste milieu, sans sombrer dans l’extrémisme, et c’est très bien comme ça ».

    Il est facile d'entrer dans l'Islam. La conversion ne prend que quelques secondes, contre plusieurs mois et années pour le christianisme et le judaïsme. Prononcer la chahada, la profession de foi, devant un imam ou deux témoins suffit à devenir musulman. "J'atteste qu'il n'y a pas de divinités sinon Dieu (Allah) et que Muhammad est son messager." De ce fait, il est quasiment impossible pour les autorités musulmanes de recenser les conversions, bien que certaines mosquées distribuent des certificats.  

    Le ministère de l'Intérieur et des cultes estime à environ 4000 le nombre de conversions à l'islam par an, soit une dizaine par jour. Ce chiffre a augmenté ces vingt dernières années, contrairement aux autres religions monothéistes, plus difficiles d'accès.  

    Les conversions à l'islam ne sont pas un phénomène nouveau, mais le profil des convertis évolue et se multiplie. "Il y a autant de types de convertis que de convertis", affirme Abdelmalik, Léo de son ancien nom, président de l'association Nouveaux Musulmans de Paris.  

    Cependant, les sociologues s'accordent à définir deux conversions. Celles dites "rationnelles" et celles "relationnelles". La première résulte "d'une réflexion et d'expériences personnelles", explique Franck Frégosi, chercheur au CNRS et spécialiste de l'islam. Ce sont souvent des intellectuels, des personnes issues d'un milieu aisé possédant "un capital culturel important" en quête de spiritualité et qui s'intéressent particulièrement au soufisme, la branche mystique de l'islam.  

    Un islam rigoriste pour faire ses preuves

    Depuis les années 90, les conversions "relationnelles" prennent le dessus. Des convertis de proximité, souvent jeunes et de foi chrétienne, qui découvrent l'islam au contact d'amis, de voisins de palier, de camarades de classe... On les retrouve souvent dans les milieux sociaux défavorisés. Contrairement aux convertis rationnels, ces convertis sont séduits par l'Islam égalitariste et sa notion de justice sociale, mais aussi par l'appartenance au groupe solidaire et protecteur que représente l'Oumma, la communauté musulmane. 

    "En réalité, c'est un mixte des deux", poursuit le sociologue Franck Frégosi. C'est le cas d'Aïssa, 39 ans. Durant sa jeunesse en banlieue, il a découvert sa foi dans les livres à l'âge de 14 ans, intrigué par l'histoire du prophète Mahomet. "Intellectuellement convaincu", il s'est ensuite tourné vers un ami musulman pour le renseigner. Il s'est converti chez lui sans que sa mère, très chrétienne, s'y oppose.  

    Déjà à l'époque, certains convertis se tournaient vers un islam rigoriste ou radical. "Il n'y a pas toujours d'aide, de guide. Certains convertis ne savent pas s'y prendre et sont perdus. Ils deviennent rigoristes, par souci de ne pas en faire assez. Les mosquées sont bien contentes lorsque vous vous convertissez, puis elles vous laissent voués à vous-mêmes", dénonce Aïssa. Un manque d'encadrement que les associations tentent tant bien que mal de compenser.  

    Franck Frégosi confirme cette tendance: "Une minorité de convertis veulent en faire plus que la moyenne. Ils se sentent surveillés et se surinvestissent dans la religion, en se montrant en 'super-musulman'. Ils sont plus attachés à la lettre du dogme qu'un musulman de naissance, qui pratique un islam décomplexé. Intégrer un groupe peut mener à en faire plus pour renforcer sa légitimité".  

    On ne me considère pas assez intelligente pour penser par moi-même, mais personne ne m'a jamais rien imposé 

    Ce "surinvestissement" peut se traduire par le port dans la vie quotidienne de la barbe ou du niqab. Parmi les quelques centaines de femmes qui portent la burqa en France, beaucoup sont des converties.  

    Assya, 18 ans, en fait partie. Elle s'est convertie il y a trois ans, et porte le voile intégral depuis un an, par choix. Elle s'y est prise progressivement, a d'abord porté le turban, puis le hijab (voile), le jilbeb (tenue longue) et enfin, le niqab. "On veut toujours faire plus pour plaire à Allah", explique-t-elle, d'une voix souriante.  

    Bien que le port du voile intégral ne soit pas mentionné dans le Coran, la jeune femme interprète l'obligation de "cacher sa beauté" comme la dissimulation du visage, aussi bien que celle des cheveux. Assya allait à l'église, mais avait "besoin d'un plus". C'est dans l'islam qu'elle le trouve, islam qu'elle a découvert auprès de la famille de sa meilleure amie maghrébine. Elle s'est convertie à la mosquée, a demandé à sa famille de ne plus l'appeler Justine.  

    Cependant, elle se plie aux contrôles d'identité sans faire de scandale, et ne sort pas beaucoup. Selon elle, "la loi d'Allah est plus forte que celle d'un pays". Pas question de le retirer. Peu importe si elle se fait taxer de terroriste, d'extrémiste, ou de femme soumise, tant qu'elle peut pratiquer sa religion en paix. "On ne me considère pas assez intelligente pour penser par moi-même, mais personne ne m'a jamais rien imposé."  

    "Google a remplacé l'imam du quartier"

    Fin 2012, Jean-Louis Bruguière, ancien juge spécialisé dans la lutte antiterroriste, a déclaré au Figaro que les convertis étaient les plus dangereux. "Ce n'est pas systématique, mais les convertis très rigoristes correspondent souvent à un profil intégriste", précise le sociologue Franck Frégosi. Ils sont souvent jeunes, sans réelle éducation religieuse et sans appartenance à aucune communauté. Situation précaire, familles éclatées, exclusion sociale... ils pensent que l'islam a "les réponses à tous les problèmes sociaux qu'ils peuvent être amenés à subir".  

    La religion devient alors "un exutoire" de leurs frustrations et de leurs traumatismes. Ils compensent leur marginalisation de la société en respectant scrupuleusement les dogmes de la religion, ce qui leur permet de "se reconstruire moralement et de se forger leur propre estime", selon le spécialiste de l'Islam.  

    A l'ère d'Internet, l'auto-radicalisation inquiète. "Google a remplacé l'imam du quartier", déclare Franck Frégosi. La situation échappe au contrôle des autorités musulmanes. Certains sont attirés par la guerre sainte, le "jihad", comme Nicolas et Jean-Daniel, deux frères toulousains partis combattre en Syrie il y a quatre mois. Entre échecs et image négative de soi, les Français radicalisés cherchent à se reconstruire une histoire et souhaitent donner à leur engagement une "dimension romantique".  

    Pour palier le manque d'encadrement, Abdelmalik a créé Nouveaux Musulmans de Paris, une association qui vient en aide aux personnes fraîchement converties de la région parisienne. "Notre but est de créer un tissu social, de ne pas laisser les nouveaux convertis fabriquer leur propre islam à la maison."  

    Si les jeunes de banlieue s'intègrent facilement à la communauté musulmane, ce n'est pas le cas d'autres convertis, pour qui l'association donne "un coup de pouce". Abdelmalik, 34 ans, a lui aussi adopté l'islam il y a 12 ans, lors d'un long séjour à l'hôpital. Issu d'un milieu aisé, il a entrepris sa démarche seul, après avoir lu le Coran. Franco-anglais, il s'est converti en Angleterre, où il a été accompagné par une association. A son retour en France, il a constaté qu'il y avait ce besoin de repères, sans qu'une structure y réponde.  

    "La découverte de l'Islam change notre vision du monde, on est très enthousiastes. Au début, on peut être attiré par les extrêmes qui semblent plus investis, mais on cherche surtout à se positionner. L'islam est avant tout une religion de paix d'âme."  

    Apparement les recrutements se font majoritairement dans les citées < défavorisées> ou plutôt qui n'ont pas su employer et surtout respecter les montagnes d'argent dont ils ont bénéficiées . 
    Ce n'est pas bien entendu l'élite de la population française, ( les supporters du PSG diraient d'eux qu'ils sont débiles? alcooliques et consanguins ) Ils ont des travaux ingrats ( quand ils travaillent ) et ont depuis l'enfance de très mauvaises fréquentations. c'est dans cette population inculte que sont recrutés les futurs jihadistes . Quand vat on mettre en place un contrôle des naissances sur ces populations à risques.
    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/enquete/islam-qui-sont-les-nouveaux-convertis_1270385.html#yahswicQvzIv5E5i.99 


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    KELB: le maître mot qui vexe

    La « Reconquista » passe par la résistance de chacun d’entre nous : deux exemples

    Le courrier des lecteurs de ce jour 5 août 2013 est un formidable encouragement pour nous tous, contributeurs bénévoles, qui nous efforçons –non sans risques –(Voir l’Edito de Cyrano) de réinformer, du mieux que nous le pouvons, de dénoncer les mensonges, les mensonges par omission, les traîtrises de la bande de bouffons qui nous tient lieu de gouvernement, avec en tête les deux « vedettes », j’ai nommé « Manolo » et Christiane…

    Les initiatives de Riposte Laïque se sont multipliées depuis 6 ans pour alerter, alerter encore et toujours, au risque de nous répéter, car malheureusement il y a encore beaucoup d’autruches…

    Bien sûr, les premiers responsables de la terrible situation dans laquelle se trouve notre pays aujourd’hui, sont les politiques de tous bords, les médias aux ordres, les « pisse-copie » qui ne méritent même pas le nom de journalistes ! Mais encore… Chaque citoyen, qui, un jour ou l’autre, a baissé les yeux, fait semblant de ne pas voir et de ne pas entendre, s’est laissé « marcher sur les pieds », insulter sans réagir, a sa part de responsabilité… Oui, je connais bien la réponse, on me l’a faite à de nombreuses reprises : « oui, mais je n’ai pas envie de prendre un coup de couteau ! » Bon, il y a eu ceux « qui voyaient des nains partout » maintenant il y a ceux et celles qui voient des couteaux partout !! N’exagérons rien !

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    Vous penserez peut-être : facile à dire, mais pas facile à faire. Certes, il faut un peu de courage…et quelquefois aussi d’imagination, rester calme, et surtout mesurer les risques, l’environnement. Il n’est pas question de jouer les Don Quichotte, mais de cesser de se conduire en dhimmis. Avoir toujours présent à l’esprit qu’ils sont « forts avec les faibles, faibles avec les forts » que leur force apparente ne tient qu’au fait qu’ils ne rencontrent jamais, ou presque, de résistance.

    Il faut que la peur change de camp, et pour cela : Résistance, voilà le maître-mot.La « Reconquista » est à ce prix ! Et pour preuves de ce que j’avance, je vais vous narrer deux expériences personnelles.

    Première expérience :
    Dans un bureau de poste, il y a de cela 1 ou 2 mois. Deux guichets, tous deux occupés, 2 ou 3 personnes qui attendent à bonne distance pour respecter la confidentialité. Je me mets dans la file d’attente. Très longue attente. Arrive mon tour d’aller au 1er guichet libre. A ce moment-là, arrive un maghrébin (environ 55/60 ans) qui vient se « coller » derrière les deux personnes encore occupées aux guichets.

    Je n’ai pas hésité une seule seconde, je suis allée immédiatement lui taper sur l’épaule en lui disant : « La queue, c’est là-bas… » . Bien évidemment, il a prétendu qu’il ne savait pas, qu’il n’avait pas vu, mais a obtempéré, non sans me lancer au passage : « Vous voyez, il n’y a pas de problème », ce à quoi j’ai répondu sur le même ton : « Eh bien, s’il n’y a pas de problème, tout va très bien ! ». Je me suis alors retournée vers la personne qui se trouvait derrière moi – un autre maghrébin, pour voir sa réaction : aucune… On ne va pas critiquer « un frère » !!!

    Deuxième exemple de résistance :
    Cela se passait il y a un bon nombre d’années. Pour me rendre à mon travail j’effectuais quelques minutes de marche à pied, pour rejoindre le métro. Sur mon trajet, chaque matin, je rencontrais immuablement le même maghrébin (50/55 ans) « Haut comme 3 pommes assises », qui, chaque jour en me croisant, me faisait des gestes obscènes… Je ne réagissais pas, me disant qu’il finirait bien par se lasser. Erreur. Au bout d’un certain temps, comme cela commençait sérieusement à m’énerver, j’ai dû, un jour, le traiter de « connard » ou quelque chose d’approchant ! Aucun effet. Là, vraiment exaspérée, je me suis mise à réfléchir me disant qu’il y avait sans doute autre chose à faire. Et j’ai trouvé.

    Le jour suivant, même scénario, sauf que cette fois, en le regardant bien droit dans les yeux, je l’ai traité de « Kelb » qui, en arabe signifie « chien » la pire insulte pour un musulman. J’ai lu la stupéfaction sur son visage. Pour moi, il n’était pas question de changer de trajet. Donc, le lendemain, même rencontre, mais cette fois, il a filé tout droit, semblant ne pas me voir ! Et le jour suivant…je ne l’ai pas rencontré, pas plus que les autres jours. Il avait carrément disparu !! Je ne l’ai jamais revu !!!

    Victime d’un vol, la sénatrice PS Laurence Rossignol est en colère : « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » – Fdesouche.com

    Oriana Garibaldi


    )

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  • Recommander ce site(la page du jour / http://www.blogg.org/blog-77670.html)

    Une page Facebook créée pour la fermeture d'«Adopte un gitan.com»


    Jeudi après-midi, sur cette page Facebook, on pouvait lire, parmi d'autres contenus -textes et images- censés être humoristiques, une photo de deux fillettes fouillant un sac poubelle, derrière lesquelles on aperçoit une grande voiture un peu floue. «Des conditions de vie en apparence drastiques compensées par une Mercedes dernier cri : The Gypsy way of life !» (le mode de vie des gitans, ndlr), indique la légende qui accompagnait la photo.

    La page assimile également  les gitans à «des voleurs de cuivre» et un montage montre même les membres des Gypsy Kings affublés d'étoiles jaunes mentionnant l'inscription «juif».

    Vraisemblablement déjà fermé par Facebook, la page aurait donc été rouverte, suscitant l'émoi de bon nombres d'internautes. Un compte Facebook intitulé «Pour la fermeture d'adopte un gitan.com» a même vu le jour et compte plus de 600 membres.

    0n ne peut pas critiquer la façon de vivre et les méfaits devenus insuportables, causés par une communauté et prendre ensuite leur défense ( si on les soutient , on devient complices de leurs actes )

    Jean-Paul Fournier, Gilbert Collard et Philippe Martin réagissent au comportement des gens du voyage qui ont fait couler beaucoup d'encre depuis le début de l'été.

    Il y a eu Fourques puis Bagnols-sur-Cèze, Poulx, Aimargues et Uchaud. Il y a failli avoir Nîmes. Pas une semaine sans que le ton ne monte et les riverains s’insurgent face aux occupations illicites des gens du voyage. Aujourd’hui, les politiques réagissent. Florilège.

    "De la reconnaissance des droits, on est passé à la dictature des minorités"

    "De la reconnaissance des droits, nous sommes passés à la dictature des minorités, s’insurge le sénateur-maire de Nîmes Jean-Paul Fournier. Comment exiger de nos concitoyens le respect des règles en collectivité, d’être de bons contribuables, quand d’autres s’exonèrent de tout, y compris du simple respect de l’autorité publique et du bien commun. Violences et menaces sont autant de coups portés à la République. La France marche sur la tête ! (...)"

    "Ils s'installent où, comment et quand ils veulent"

    Même son de cloche du côté du député de la 2e circonscription du Gard, Gilbert Collard, qui s’offusque de ces comportements : "C’est se moquer du monde que d’entendre ceux-là même qui violent la loi délibérément oser faire appel à elle par un artifice contre le premier magistrat de la ville. Il serait temps que Monsieur le préfet et Monsieur Valls se préoccupent des conditions de vie des habitants des communes qui subissent les coups de force d’une population qui s’installe où elle veut, comme elle veut, quand elle veut, au mépris des lois et des convenances. (...)"

    "La liberté de se déplacer sans entrave"

    De son côté, Philippe Martin, du comité Petite Camargue du Parti de gauche (membre du Front de gauche) clame haut et fort son soutien aux gens du voyage : "Nous sommes à leurs côtés pour la reconnaissance de leurs droits à la citoyenneté, aux biens communs et à la liberté de se déplacer sans entrave. Ce sont des droits universels. Comment peut-on accepter qu’un pays comme la France ne soit pas capable de créer les conditions d’un stationnement provisoire de nos compatriotes qui ont choisi ce mode de vie depuis des siècles ? Nous sommes capables d’accueillir des millions de touristes mais nous ne pourrions pas assumer cette liberté fondamentale de se déplacer librement sur le territoire pour nos concitoyens ! Et surtout arrêtons d’utiliser un discours communautariste opposant la communauté des gens du voyage à celle des habitants du village. (...)"

    Gens du voyage en Haute-Savoie : menaces de mort, propos racistes, un bar dégradé et 150 kg de cuivre volés

    Les policiers de la circonscription du Léman ont eu fort à faire dans la nuit de lundi à mardi en raison de l’arrivée des gens du voyage qui se sont installés légalement ou illégalement sur des terrains. Soit au total, 150 caravanes.

    Les policiers thononais sont intervenus à Anthy-sur-Léman pour des nuisances sonores.

    En effet, un groupe qui se trouvait dans le bar l’Exotisme a renversé du matériel parce que la musique ne lui plaisait pas.L’un des individus a menacé de mort la responsable de l’établissement et a tenu envers elle des propos racistes. Regagnant sa voiture, il a alors ouvert le coffre et s’est saisi d’un objet long ressemblant à un fusil.

    L’homme et sa compagne ont ensuite rejoint leur campement improvisé le long de la route Impériale. Le lendemain, policiers et CRS ont perquisitionné leur caravane sans rien retrouver. Toutefois, les fonctionnaires ont saisi leur voiture et l’ont mise en fourrière. Sachant que le propriétaire sera bien obligé de se rendre au commissariat pour récupérer son bien.

    Dans la même nuit, les fonctionnaires de la Bac (Brigade anticriminalité), ont surpris plusieurs individus qui faisaient un feu tout à côté de leur campement. Les suspects sont alors rentrés dans leur caravane. Considéré comme un domicile privé, les policiers n’ont pas pu pénétrer, l’heure légale étant fixée à 6 heures du matin.

    Du feu, les policiers ont tout de même retiré 150 kg de cuivre dont les gaines en plastique avaient brûlé. Grâce à un code-barres, ils ont découvert que le butin provenait d’un vol dans la même nuit dans la zone industrielle de Vongy

     



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  • BRÉTIGNY : UNE "ATTAQUE DE LA DILIGENCE" ? ( Ils étaient venus chercher les Dollards )

    Simple citoyen !! ....... Mais j'aime pas qu'on me le fasse sentir, ça me déprime. Or, un train déraille à Brétigny. A la télé « On » me dit que : 

    1) Les rails de la gare de Brétigny ont été vérifiés le 4 juillet.

    Neuf jours après, quatre gros boulons boulonnés très fort qui serraient une éclisse sautent, juste après le passage d'un autre train, qui n'a rien remarqué. Les quatre boulons bien longs ont gentiment tourné sur eux-mêmes, avec leurs rondelles de serrage. Tous seuls. Tous les quatre en même temps. En quelques minutes !

    Braves gros boulons.

    (2) L'éclisse une fois déboulonnée, elle pèse 10 kg mais ne tombe pas sur le côté, non. Avec ses petits mollets vaillants elle enjambe le rail, et va s'installer plus loin, juste au milieu de l'aiguillage, là où ça fait dérailler les trains. Coquine, va ! Des boulons derviches-tourneurs, une éclisse sauteuse : c'est nouveau, ça vient de sortir.

    3) Quand les flics arrivent, ils se trouvent « en présence d'un groupe de jeunes "qui semblent porter secours aux victimes" mais les policiers se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres .

    Juste après l'accident, des projectiles sont lancés vers un camion de pompiers qui arrive pour porter les premiers secours.

    Ben quoi ? Les "jeunes", après avoir renversé le gros gros cageot en métal, ils étaient tranquillement en train de ramasser les fruits sur le quai de la gare : pourquoi on vient les déranger ? C'est vrai quoi, même les pompiers, y'a plus d'respect. 

    Juste après, on me dit dans la télé que les gens y z'ont été formidables, qu'on est ému, très ému.

    Et moi j'me dis dans ma p'tite tête que ça s'rait p't-être bien les "jeunes" délogés par la police qui ont joué à l'attaque de la diligence. Comme à la télé mais en mieux, parce qu'y a que les passagers qui ont été tués, pas les indiens. Six morts, pour quelques portefeuilles, quelques portables ? Pas possible !

    'est nouveau, ça vient d'sortir. Les cons, ça ose tout, c'est à ça qu"on les reconnaît. Boucle-là, pose pas d'questions, pense pas aux boulons et va aux Champs-Élysées, où y'a un beau défilé militaire, avec la musique.

    Circule !  et là encore des sifflements et des drapeaux Algériens !

    exactement aussi comme sur la route du tour de France ! sifflements,doigts d'honneur sur le passage du peloton de gendarmerie (qui restent stoïques

    et baissent plutôt la tête) etc..

    Alors je me dis mais............. suis je encore en France, j 'ai dû louper quelque chose et je reste là sans rien faire comme tous les bons citoyens lambda !

    Mais il va falloir réagir !!! et ne pas attendre ...

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    '); } // ]]></script>


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  • " Pour liquider un peuple, on commence par lui enlever la mémoire. On détruit ses livres, sa culture, son histoire. Puis quelqu'un d'autre lui écrit d'autres livres, lui donne une autre culture, lui invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu'il est, et ce qu'il était. Et le monde autour de lui l'oublie encore plus vite "

    )

    e-mail: freredelacotedafcricri@gmail.com  PROPOSER UN ARTICLE
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  • France : La drogue génère 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an

    Deux milliards d’euros! C’est, selon Manuel Valls, ce que rapporte la drogue au crime organisé chaque année en France. C’est aussi l’équivalent de l’ensemble des salaires versés chaque année aux agents en tenue de la police nationale. L’État et l’Assurance-maladie ont budgété, pour leur part, en 2012, un montant total de 1,5 milliard d’euros pour lutter contre ce fléau… La résine de cannabis occupe la moitié du marché.

    Les chefs de réseaux doivent bien sûr financer l’approvisionnement et l’armée des petites mains qui font vivre ce commerce illicite. Les quelque 250 tonnes de résine de cannabis consommées annuellement dans l’Hexagone rapportent un milliard d’euros environ aux voyous. Et l’ensemble des autres drogues (cocaïne, héroïne, produits de synthèse) vient abonder ce pactole d’un milliard d’euros supplémentaire.

    «À Marseille, il nous arrive maintenant d’arrêter en flagrant délit des dealers porteurs d’un bracelet électronique! C’est dire la valeur dissuasive de certaines sanctions…» Cette confidence teintée d’ironie émane d’un haut responsable policier de la cité phocéenne. À l’entendre, «les profits réalisés dans les quartiers sont tels aujourd’hui que les voyous se croient intouchables. Le trafic de stups a ruiné la valeur du travail».

    Les banlieues sont mises en coupe réglée par des mafias structurées
     
    Pour la police judiciaire, «l’activisme et les capacités d’adaptation des organisations criminelles issues des cités sensibles, responsables des importations massives de cannabis marocain et du déploiement continu des flux de stupéfiants, demeurent la principale source d’irrigation de l’économie souterraine».

    Les banlieues sont aujourd’hui mises en coupe réglée par des mafias structurées. Avec une jeune génération, issue de ces quartiers, qui «monte en puissance», selon la police, mais aussi des organisations criminelles étrangères, russophones, italiennes, chinoises, africaines, entre autres, qui s’implantent dans toutes les grandes villes.

    Les plus impliqués dans ces trafics se considèrent avant tout comme des commerçants. Ils tiennent même une comptabilité. Le 30 décembre 2011, Le Figaro avait révélé le contenu des livres de compte d’un dealer de la cité de la Visitation, dans les quartiers nord de Marseille: 100.000 euros de bénéfices par mois, pour quelques halls d’immeubles. Or la Cité phocéenne compte des dizaines de pas-de-porte «exploités».

    En Seine-Saint-Denis, il n’est pas rare d’arrêter au bas des immeubles des dealers en possession de 30.000 euros. La justice, débordée, est lente à les condamner. Mais elle agit, malgré tout, élaborant de nouvelles stratégies. Au début de l’année, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), elle a ordonnél’expulsion de plusieurs familles d’une cité en raison des troubles occasionnés par le trafic de drogue orchestré localement par leurs enfants.

    Administrer une amende douanière au vendeur comme au client

    D’autres solutions alternatives voient le jour sur le terrain. Ainsi, la la taxe directe au portefeuille. Son principe: administrer une copieuse amende douanière au vendeur comme au client lorsqu’ils sont pris sur le fait. Des équipes mixtes de policiers et de douaniers montent donc des opérations coup de poing sur les lieux de deal. Ce qui est censé avoir des vertus dissuasives.

    Les policiers toutefois ne sont pas naïfs, leur travail au quotidien ne mettra pas fin au trafic. Mais des points de vente ferment et cela assure, pour un temps au moins, la tranquillité publique là où la pression du deal devenait insupportable. «Cette action est essentielle, assure un commissaire de la police judiciaire parisienne. Ne serait-ce que pour signifier aux riverains de certains HLM soumis à la loi de l’omerta et des représailles que l’État ne les abandonnera pas.»

    Le Figaro

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  • La Russie fait respecter l’honneur de son drapeau

                     
    La Russie fait respecter l’honneur de son drapeau
                                                                                    

     MOSCOU (NOVOpress) – Une enquête pour « profanation » d’un symbole de l’Etat a été ouverte en Russie contre le groupe de rock américain Bloodhound Gang (photo). Mercredi dernier, le bassiste du groupe, Jared Hasselhoff, a glissé le drapeau russe dans son pantalon lors d’un concert à Odessa, en Ukraine, avant de le jeter dans le public en s’exclamant : « Ne dites rien à Poutine ! ».

     « A l’issue d’une vérification des faits témoignant de l’attitude non respectueuse d’un musicien d’un groupe étranger envers le drapeau de la Fédération de Russie, une enquête criminelle pour profanation du drapeau russe a été ouverte », a annoncé lundi le ministère de l’Intérieur russe. Quant au comité d’enquête, il qualifie cet acte de « crime cynique », tout en soulignant vérifier les agissements de toutes les personnes impliquées, « des exécutants directs aux organisateurs ».

    Plusieurs députés russes ont par ailleurs exigé que le groupe soit interdit d’entrée en Russie. Pour sa part, l’ambassadeur des Etats-Unis en Russie, Michael McFaul, a dénoncé en russe sur son compte Twitter, l’acte « écoeurant » de ce groupe de rock. Une détermination qui tranche avec celle de la République française. En 2010, une polémique avait éclaté au sujet d’une photographie, primée par la Fnac de Nice, montrant un homme s’essuyant le postérieur avec l’emblème français. Le dossier avait été classé sans suite par le procureur de Nice. Il avait argué que la photo était une… « œuvre de l’esprit »

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  • Boycottez les hypermarchés, faites vos courses en prison

         
     Supermarché carcéral – moins cher que Leclerc !    

    Mais à la différence des Leclerc, Carrefour et autre Auchan, les prix sont fixés par l’administration pénitentiaire, qui achète les produits, fixe les prix, et les revend – à perte – pour adoucir le sort de la racaille (1)  

    Autrement dit, une partie de vos impôts est distribuée à ceux qui menacent votre sécurité et vos biens pour abaisser leur coût de la vie carcérale.  

    Ainsi assiste-t-on à une aberration : ce ne sont plus les familles qui apportent des colis aux prisonniers, mais les prisonniers qui font leur marché pour leurs familles. A vos frais bien entendu.  

    En prison, un paquet de 500 g de riz coûte 0.36€ au lieu de 2.70€ : 87% de moins pour Mohamed – puisqu’il n’y a plus beaucoup de Français de souche en prison – que pour vous, puni d’être honnête dans ce monde de chambardement des valeur   

    Un Pot de Nutella, 1,11€ pour les violeurs, au lieu de 3,13€. Le Ketchup, 0,46€ pour ceux qui cambriolent les petits bijoutiers, 1 euro pour vous. Un pot de confiture : 0,67€ si vous avez fracassé le crâne d’une vieille dame, au lieu de 1,45€ si vous lui avez laissé votre siège dans le bus. La Ricorée est à 3,45€ pour la racaille, alors que vous la payez 4,90€ chez Auchan, etc.

    La liste – 200 produits en tout, continue de la même façon, sous le nez de gardiens à qui les prix offerts aux prisonniers sont interdits, et dont les syndicats sont en rage.   

    C’est énorme. À l’heure actuelle, on nous dit qu’il n’y a plus de budget pour le mobilier et le matériel afin de travailler correctement. Nos salaires sont gelés, il n’y a pas d’augmentation. Et on voit tout cet argent qui part dans les cantines (JPG : c’est le nom des supermarchés carcéraux) des détenus, c’est aberrant, explique Thierry Meudec, un surveillant, secrétaire adjoint de l’Ufap Unsa.    

    Christian de Belvalet, délégué CGT fait le même constat :   

    Je n’arrive pas à comprendre. Déjà que le budget pénitentiaire était serré, l’an passé cela a été dur de se faire payer les heures supplémentaires. Je ne sais pas comment les gens qui sont à l’extérieur, sans logement ni travail, vont prendre cette aide à des gens qui ne sont pas des enfants de choeur.   

    Après la Croix Rouge, qui se déplace dans les prisons pour offrir aux racailles femmes des soins esthétiques non facturés, et les salons de coiffure gratuits pour les crapules (2), le discount des produits vendus dans les prisons sert-il à adoucir la honte d’avoir à jeter les voyous en prison ?

    Reproduction autorisée, et même vivement encouragée


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  • J'EN AI MARRE DE SUBIR UNE INVASION CHRONIQUE DE CES PEUPLES D'AFRIQUE

    J’en ai marre d’entendre les mêmes calembredaines

    Qui nous ressassent que l’immigration africaine

    Serait une richesse, pour ne pas dire une chance !

    Qu’aurions-nous été sans ces bâtisseurs de France ?

    Parce qu’il paraît que ce sont eux qui ont construit

    Après la seconde guerre mondiale, notre pays,

    Quand, en fait, leur venue date des années soixante

    Pour pallier une main d’œuvre française déficiente.

    J’en ai assez de lire les mêmes billevesées

    A savoir qu’un Français sur quatre est immigré,

    Etude pondue par des sociologues avinés

    Et repus par leur bonne conscience apaisée.

    Quand ils mélangent allègrement, voire sciemment

    Les européens aux sous-Méditerranée,

    Qu’ils confondent les venues dues au regroupement

    Familial avec ceux venus pour travailler.

    Je suis fatiguée de ces mêmes balivernes

    Répétées à l’envi, jusqu’à en être obscènes

    Que nous devons payer ad vitam aeternam

    Une colonisation qu’ils qualifient d’infâme !

    Alors qu’il s’agissait de mettre un terme enfin

    Aux razzias dues à l’esclavagisme africain.

    La vérité n’est pas toujours très bonne à dire

    Vous ne l’entendrez pas, du pouvoir, de ses sbires…

    Je suis lasse de subir une invasion chronique

    De ces peuplades d’ailleurs, de ces peuples d’Afrique

    Qui veulent s’extirper de leurs normes ethniques

    Mais les imposent là, aux dépens de notre éthique.

    Je vois bien tous les signes de désintégration

    Des boubous, des kamis, des voiles et des babouches

    Qui prolifèrent, pullulent au mépris des « de souche »

    Comme une inexorable léopardisation.

    Je ne supporte plus l’ignoble propagande

    De la publicité, des films et émissions

    Qui prônent le métissage, où l’arabe, le noir sont

    Des cautions afin que le produit mieux se vende.

    Comme si l’Autre était meilleur que le Français

    Celui-ci étant sans cesse ridiculisé,

    Foulé aux pieds, moqué, plus bas que terre, traité.

    Un ethno-masochisme pour mieux nous flageller.

    Je n’en peux plus de voir que ce gouvernement

    Favorise des zones à « fortes turbulences » :

    Des emplois d’avenir aux « serments d’allégeance ».

    La Creuse et le Cantal apprécieront sûrement.

    Quand des millions sont distribués pour des cités

    Qui s’exonèrent de l’ordre dit républicain,

    C’est comme de la confiture aux cochons donnée

    Ce sont hélas d’autres « porcs » qui crèvent de faim.

    Je suis en colère face à ce nivellement

    Par le bas pour inclure la lie, les excréments,

    D’une société malade de l’égalitarisme,

    Imposé par un certain totalitarisme.

    Le bac est nécessaire ? Offrons-le en cadeau

    Tant pis pour les bosseurs, bienvenue aux idiots !

    Car il faut être fou, pour le moins inconscient

    Pour croire que ce diplôme a sa valeur d’antan !

    J’enrage de devoir faire attention à mes dires

    Pour ne pas être condamnée par la police

    De la pensée, si bien incarnée par Désir

    Et sa cohorte de bien-pensants toujours en lice.

    Des artistes au grand cœur et sélective bonté :

    Il faut sauver les roms et tous les sans-papiers.

    Que de combats, n’en jetez plus, la cour est pleine !

    Ah si, j’ai oublié… fustiger le FN !

    Je méprise ces dictateurs autoproclamés

    Qui s’indignent et s’érigent en donneurs de leçons,

    Eux seuls savent ce qui, pour la populace, est bon

    Pour la remettre sur la voie de la Vérité.

    Les béart, balasko, toute la clique et consorts.

    Vous pensez mal ? Les voilà redresseurs de torts.

    Orwell et Huxley, dans leurs romans respectifs,

    Les décrivaient : la socialie, ses supplétifs !

    Je suis furieuse de constater que mon pays

    S’est vu doter d’une nouvelle religion d’état

    Un islam auquel obéissent tous les dhimmis.

    L’islam, une religion ? Un dogme et un fatras

    De co(ra)nneries ânonnées  dans les mosquées,

    Bourrages de crânes pour des esprits prédisposés,

    Auxquels on doit expliquer comment « se torcher »,

    Quand on n’exhorte pas aux meurtres des Français.

    Mais j’en veux plus encore aux faiseurs d’opinion,

    Ces plumitifs censés donner l’information,

    Cette caste d’intouchables au service du pouvoir,

    Qui neutralise ou qui oriente au bon vouloir

    De ce gouvernement de menteurs patentés,

    De tricheurs, de voleurs et autres suspectés.

    Vous auriez dû faire preuve d’impartialité,

    Vous vous êtes couchés, vous serez donc jugés !

    Pour finir, au-delà de toute polémique,

    Je crache à la figure de cette république

    Qui a détruit ma France, enlaidi mon pays,

    Modifié son histoire et, bien plus, l’a trahi.

    J’exècre ce système et si le sieur Désir

    Voit de l’anti-républicanisme dans mes dires,

    Qu’il sache qu’on est nombreux à haïr la bougresse,

    Qu’en cas de guerre, il fasse attention à ses fesses !

    Oreliane

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  • Et ce poème supposé envoyé par le même,  à J.-M. Ayrault :
     Monsieur,
     Vous êtes prof et bourge et je suis un titi,
       Vous êtes un Nantais et je suis un nanti !
       N’êtes-vous pas heureux en tant qu’homme de gauche
       Qu'’un titi puisse avoir quelque argent dans sa poche ?
       De plus je l’ai gagné en toute honnêteté
       Sans voler, sans frauder ni même spéculer.
       J’ai reçu
     de par Dieu le talent de séduire
       Et suis dès lors vendeur d’émotion et de rire,
       Ce dont vous ne pouvez qu'’assez peu vous vanter :
       Car lorsque je vous vois paraître à la télé
       Jean ai Marc d'’un Ayrault fatigué et sinistre
       Dont on m’a assuré qu'’il est 1er Ministre !
       J’'aime l'’amour, la vie et le jus de la treille,
       Mon casier n'’est en plus chargé que de bouteilles.
       J'’ai donc sans coup férir du jour au lendemain
      Fait ma niche fiscale en mon nid de Néchain.
       J'’aime mieux exporter les kilos que je pèse
     Que de risquer en France une mauvaise Grèce !
       Votre sécurité qu'’on appelle sociale
      Ne soigne pas encore les hernies fiscales,
       Je vais donc me soigner, disons à moindre frais,
       En buvant du pot belge au lieu d’impôts français.
       Je reviendrai en France un beau jour, quand le fisc
       Ne me dira plus simplement : je confisque
       Mais qu’'il respectera le travail que j'’ai fait
       Pour concourir un peu au bonheur des français.
       Pour n'’être point taxé d’'être un inter « minable »
       J'’arrête ici les frais, car ils sont impayables !
     
      

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  • C'est d'autant plus beau que c'est inutile : les (IR)responsables politiciens ont décidé de ne rien comprendre ou ne rien faire qui risque de compromettre leur futur mandat.

    Elle est maghrébine.... Lisez, c'est remarquable

    Ancien ingénieur d'affaires et de recrutement de cadres de PME,  aujourd'hui  membre du Haut Conseil à l'intégration,  Malika Sorel  a passé ses dix premières années en  France, avant de suivre ses parents en  Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l'école polytechnique d'Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po.

     
    En 2007,  elle publie : le Puzzle de l'intégration et les Pièces qui vous manquent  (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l'immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de  façon  sectorielle,  qu'il faut  cesser  d'octroyer  la  nationalité  française  à des  personnes qui ne sont pas prêtes,  psychologiquement et moralement, à l'assumer, et s'appliquer,  en revanche,  à  faire  respecter  la  loi  française  par  tous,  sans  exception.

    Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?
    Les émeutes de 2005 m'ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n'avoir, alors, rien dit.  Moralement,  mais aussi sur le plan affectif, je ne supportais plus cette injustice vis-à-vis du peuple français  :  les Français  sont bâillonnés, et  quand ils osent  s'exprimer,  on  leur  fait  un  procès  en  racisme ou en  xénophobie alors qu'ils veulent simplement préserver leur identité.
    Mes origines me permettaient peut-être, de dire que la véritable victime de l'immigration  est le peuple français.

    Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la « repentance ».  Non seulement pour les Français, mais pour les immigrés eux-mêmes. 
    Le rôle des élites françaises a  toujours été déterminant dans l'instrumentalisation de l'histoire.
    La  décolonisation  a  traumatisé  tout le monde,  soit ! Mais il devrait  tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son  histoire  en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation - victimisation.
    Or, c'est malheureusement  ce  qui  se  passe.  Le discours  dominant  ne  parle que des « horreurs » de la  colonisation , et  plus  personne  n'écoute  le peuple français, qui est pourtant  le  plus  légitime  pour  parler  objectivement  des  problèmes  engendrés par l'immigration.
    De surcroît,  transformer  les  Français  de souche  en  bourreaux, n'a fait qu'injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l'immigration..
    La France  fait  beaucoup  pour les immigrés et leurs  descendants,  et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les  Maghrébins et  les  Africains  dont la  culture  reste très  éloignée de celle de leur pays d'accueil. Il fallait d'emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l'inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu'ils  développent de  moins en moins  d'efforts  pour  respecter  les normes collectives françaises.   Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s'adapter à eux. 

    Pourquoi l'idée de «  discrimination positive» est-elle dangereuse à vos yeux ? 
    Parce que  c'est  une escroquerie.   L'intégration n'est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d'obstacles !   L'idée que l'on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C'est un engagement sur  plusieurs générations,  la famille entière doit  s'engager  autour du projet éducatif.   Aujourd'hui,  beaucoup d'élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges !  Pour réussir, il faut se prendre en main.
    Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les  immigrés eux-mêmes : on part du principe  que les  gens issus  de  l'immigration  n'y  arriveront  pas seuls  parce que  les Français les détesteraient. C'est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n'avez pas respecté le même  processus de  sélection, c'est  impossible.  Pour devenir  légitimes,  les  personnes issues de l'immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.

    Vous êtes également très sévère avec la Halde !
    Elle joue un rôle d'exaspération et de crispation entre les groupes.  Elle passe le plus  clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de  l'immigration  sont victimes de notre société, alors que c'est l'ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les  jeunes  d'être  recrutés.  Cela avait  été  parfaitement  mis  en  évidence  par l'analyse d'entretiens d'embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu'on accepte d'eux ce qu'on n'accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels.
    J'ajoute que je prends comme une bonne nouvelle la mise sous tutelle de la Halde.  Mais il faut,  à terme,  qu'elle disparaisse.  Le  système  judiciaire  français est là pour traiter des vraies  affaires  de  discrimination.   On  n'a  nul  besoin  d'une  institution  qui  participe, vraisemblablement sans le vouloir,  à dresser les gens les uns contre les autres.

    Qu'opposer,  alors,  aux doctrines que vous dénoncez ? 
    Rien d'autre  que le  modèle d'intégration républicain  qui fonctionnait très bien !   On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l'inverse.  Ils doivent respecter le système français.  Si on avait fait ça,  on aurait  suscité  le  désir  d'intégration.   Mais comment  y  parvenir  quand  on  injecte  200 000  nouveaux  entrants par an dans une société  déjà  en  proie  à  des  difficultés  majeures ? C'est  irresponsable,  grave  et fondamentalement dangereux.
    Il  est  évident  que  là  réside  le  défi  des  prochaines  années  :  si l'on continue comme aujourd'hui,  nous  irons  vers  des  troubles majeurs.  Trop  de  gens  arrivés  récemment n'éprouvent  plus  le  besoin  de  respecter  la loi de la République,  et  reconstituent leurs sociétés d'origine sur le territoire français.  Si rien n'est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable.

    Quelles pressions,  justement,  exercent ces sociétés reconstituées ? 
    Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l'individu. Or, plus la  société est  déstructurée et permet des accommodements,  plus les membres des groupes  mieux structurés  sont tentés de bafouer les  règles françaises, qu'on peut défier à moindre risque.  La culture de  l'école de la République  que les enfants  ramènent  à la maison  est  aussitôt  rejetée  parce  qu'elle  ne  correspond  pas  aux  normes  culturelles d'origine.
    Le racisme anti-blanc est une réalité.  L'insulte suprême utilisée,  c'est  " céfranc ".  Les professeurs nous le disent   : être sérieux en cours,  c'est déjà,  pour certains,  vouloir devenir français :  une honte, car assimilé  à une traîtrise.  Les bons élèves sont, de ce fait,  de plus en plus  soumis  à des  pressions  par les  enfants  issus  de la  même origine culturelle.  Le fait que les institutions françaises,  la police et l'école soient  attaquées n'est évidemment pas  anodin.  Or on continue à  excuser  les  auteurs de  ces attaques,  à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales. Ces  mêmes  populations,   avec  des  conditions  sociales  nettement  inférieures,  ne  se comportent  pas ainsi  dans  leur pays d'origine.  C'est bien  la preuve que l'attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l'apparition des problèmes que nous connaissons.

    Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ? 
    Devenir français est  un processus  qui doit être  personnel,  car il faut être  prêt à assumer d'inscrire ses propres descendants dans un  nouvel arbre généalogique  qui n'est pas celui de  ses ascendants biologiques  et culturels.  Il y a là,  une véritable rupture,  très difficile à assumer.  C'est pourquoi,  aujourd'hui,  pour une  multitude de raisons,  peu de gens ont le désir de  devenir français.  Ils prennent  les  papiers  parce qu'ils  savent  que  c'est  le sésame avec lequel ils n'auront plus jamais faim.  Ils sont honnêtes et l'avouent : " je ne suis pas français, j'ai juste les papiers ! "  C'est la classe politique,  dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie  l'identité française.
    La communauté française reste pour l'instant silencieuse,  car elle est bâillonnée, mais, comme dans tous les pays du monde, elle n'est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité.   Il y a aujourd'hui,  en France, une négation fondamentale du droit  des Français à être français.

    Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ? 
    L'intégration,  c'est le fait d'assumer  l'héritage du peuple français,  de porter  soi-même les valeurs  et les  principes des Français,  de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte  dimension  affective et  morale.  On  ne  peut  pas  exiger  cette  étape,  elle  est trop personnelle,  trop intime.   En revanche,  l'insertion est absolument non négociable, c'est le respect des  règles et  lois de la société.  Nombre de ces règles sont tacites.  Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois.  L'insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l'intégration dans la communauté nationale française. C'est ce que ne respecte pas le droit du sol.

    L'une des  plus  grandes erreurs a été,  selon vous,  de dégrader  l'apprentissage  de la langue et de la culture française.  Pourquoi ? 
    L'école de la  République a un savoir à transmettre,  qui crée un référentiel commun à tous les enfants.  La langue est un  passeport culturel  pour naviguer dans la société française. On les a  empêchés  de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l'école s'est mise à verser dans le relativisme culturel,  et même à leur transmettre des éléments de leur  référentiel culturel alors que,  c'est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent.
    Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple.  Au travers de la langue,  des textes de littérature  et aussi  des contes et  des chansons enfantines, c'est bien la culture qui est  transmise.  Aujourd'hui,  dans les rues,  dans les  cours  d'école,  on ne parle plus français. C'est un signe,  sans équivoque, du réel refus d'intégration. Sans compter qu'un enfant qui ne peut  s'exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus  grande propension à devenir violent.  Commençons donc  par accentuer l'effort sur la maternelle et sur les premières classes de l'école primaire,  en réduisant les effectifs par  classe et  en mettant  l'accent  sur la  transmission  de  la langue.  Revoyons  aussi  le circuit des  allocations.  Il faut impérativement  que cet  argent  aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.  A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui,  souvent,  sera envoyé dans le pays d'origine, donnons un cartable,  des cahiers et des livres directement à l'enfant.

    Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ? 
    Il faut la mettre en place,  et il faut  cesser  de donner la  nationalité française  à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd'hui la déchéance de nationalité n'auraient jamais dû l'obtenir.   Il  faut  vraiment  que  les  politiques  s'occupent  de  toutes  ces  questions  très rapidement.    Beaucoup,  parmi  eux,  sont  habités  par  la  peur  car  les  populations  de l'immigration  leur  apparaissent  comme  ayant  facilement  recours  à  la  violence.   Il va pourtant  falloir  avoir le  courage  de traiter  toutes les  dimensions  de ce sujet. C'est dans l'intérêt  de  tous.  Notre  société  est  chaque  jour  plus  déstabilisée.  C'est  la  cohésion nationale qui est désormais en jeu !
    Tout accepter met la France par terre !


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  • Hervé Mariton était interrogé par notre confrère Bruno Duvic sur France Inter à propos du rapport du Haut Conseil à l'intégration évoqué dans le quotidien Le Monde, préconisant l'interdiction du port du foulard islamique dans l'enseignement supérieur.
    "J'ai participé aux travaux qui ont conduit à l'interdiction du port de signes
    ostensibles de religion à l'école en 2004... C'est une loi efficace, respectée, qui a permis de résoudre des problèmes apparemment sans fin" a relevé le responsable d'opposition. Il rappelle, par ailleurs, qu'il a également voté la loi interdisant le port du voile intégral dans l'espace public en 2010,
    Mais selon lui: "l'interdiction de tout signe ostensible ne me paraît pas pouvoir s'appliquer à l'université comme au collège, à l'école ou au lycée.D'une part, on est avec des adultes, qui prennent leurs responsabilité, d'autre part il faut trouver, c'est la vie politique et c'est la vie tout court, le bon équilibre entre l'exigence de laïcité, de neutralité de l'espace public et le choix des personnes d'exprimer une conviction religieuse", a détaillé le député, citant aussi le port d'une kippa ou d'une croix. "Oui à la laïcité et oui au respect des convictions des personnes, c'est un équilibre subtil, il est de notre responsabilité de le respecter" a-t-il résumé

    Musulmanes voilées : soldates de l’islam à l’université et dans la rue

    Le Haut Conseil à l’Intégration (HCI) conseille d’interdire le voile islamique, pardon, les signes religieux ostentatoires, à l’université !

    Pouvait mieux faire, si la lâcheté et la langue de bois n’avaient contaminé l’ensemble de nos concitoyens. C’est depuis la création de Riposte Laïque que nous expliquons la ségrégation, en plus de la misogynie, véhiculée et clairement hissée, comme un étendard, par tout voile islamique.

    Tous les Français auraient tort de continuer à sous-estimer le rôle dévolu et puis volontairement pris en charge par les musulmanes en France et en Europe. Il est temps de dénoncer cette hideuse mascarade des musulmanes, de TOUTES les musulmanes voilées.

    Grand temps de mettre à nu ce jeu de cache-cache qui n’a que trop duré. Grand temps de ne plus considérer les musulmanes comme victimes, puisqu’en France et en Europe leur liberté de dire merde au voile islamique est garantie par la loi. Aujourd’hui, nous pouvons affirmer que les musulmanes voilées ne sont ni plus ni moins que des volontaires pour porter l’étendard de la ségrégation islamique et pour torpiller le creuset de fusion que la France a toujours été.

    Le voile de toute musulmane en France proclame sans ambiguïté : « celle qui me porte est musulmane. Elle n’a d’amour que pour les musulmans et pour les convertis bien circoncis ». C’est de la ségrégation sexuelle et matrimoniale qui n’a pas sa place en France, qui n’a pas sa place en Europe et qui n’a pas sa place en Egypte non plus, là où les Coptes n’ont jamais eu le droit d’épouser des musulmanes. Le contraire n’étant pas vrai étant donnée la règle islamique bien connue « le masculin l’emporte sur le féminin ». Ce qui fait que tous les enfants d’un musulman sont considérés comme musulmans et uniquement musulmans.

    Il est grand temps de dénoncer les musulmanes ségrégationnistes qui réservent le creuset de fusion, c’est à dire leurs entrailles et leurs amours, aux seuls musulmans.

    Le voile islamique nous crie à la figure

    Il n’y a pas de place à l’étendard islamique de la ségrégation, ni à l’université ni dans la rue. Il est grand temps de dire tout simplement « NON à la ségrégation islamique ».

    Les musulmanes jouent un jeu pervers : elles savent pertinemment qu’elles sont des chargées de mission de l’islam, des victimes et puis vectrices pour reproduire uniquement des musulmans au détriment des autres citoyens. Mais voilà qu’elles nous la jouent victimes de la ségrégation des Françaises et des Français non-musulmans. C’est trop facile d’inverser les rôles ! Cela marche un temps, aujourd’hui, ça ne peut plus marcher.

    Musulmanes, si tant est que vous êtes honnêtes, brûlez vos voiles bon sang et aimez qui vous voulez. Ayez tout simplement de l’amour pour les non-musulmans. Libérez-vous de la haine et du ressentiment que le Coran vous inculque à l’égard de tous ceux qui ne sont pas musulmans. Émancipez-vous pour émanciper TOUS les musulmans, votre progéniture féminine et masculine !

    Allez les musulmanes, finissons-en avec cette mascarade qui n’a que trop duré.

    Pascal Hilout, ex-Mohamed


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  • Connaissez-vous tous les ministres ?
      
     Payés à quoi faire ? RIEN ! Ramasser le pognon public, c'est déjà juste ce qu'ils peuvent arriver à faire.
      Il y a quelques années, le très savant Claude Allègre se faisait conspuer par les bobos-gauchos car, à propos de l’éducation Nationale, il osait prétendre " dégraisser le mammouth ". C’était une judicieuse mesure d’économie. Mais mettre un coup de pied dans la fourmilière coûte en général très cher à l’auteur du coup de pied en question. 
     
     Au sujet de cette chronique, on peut commencer par parler chiffres ou gros sous, si vous préférez. Un ministre (et son ministère) coûte 20 millions d’Euros par an à l’Etat (c’est à dire pour nos impôts). Il suffit d’ajouter à cela les quelques 500 collaborateurs ministériels pour s’apercevoir que nous ne sommes pas sortis des ronces. Qui sont ces ministres SDF (Sans Dossier Fixe) ? Je vais en citer quelques uns mais leur nom de vous dira rien du tout...
    C'est normal, puisqu’ils ne foutent rien et ne servent à rien ! Je fais les présentations :
      
     Hélène CONWAY-MOURET :
      ———————————
     
     Ministre chargée des Français de l’étranger. La cinquantaine, cette gentille blonde a passé 25 ans de sa vie en Irlande. Elle est censée s’occuper de l’Assemblée des Français de l’étranger qui se réunit 2 fois par an. Incroyable ? Vous pouvez vérifier.
      Après Hélène, deux autres championnes qu'il est impossible de dissocier :
     
     Michèle DELAUNAY :
      ————————-
     
     C’est la Ministre chargée des personnes âgées et de l’autonomie. Comme il existe déjà un Ministère des Affaires Sociales, ça fait doublon. Donc elle ne fiche rien. En fait, c’est encore plus croustillant : elle s’occupe du handicap avant 60 ans alors qu’une autre ministre, Marie-Arlette CARLOTTI s’occupe du handicap après 60 ans. Ca ne vous fait pas rire, cette histoire ? Comme ça me chauffe un peu les oreilles ) je vous donne le reste de ces fantoches en vrac :

    Guillaume GAROT :
      ————————
     
     Ministre de l’agro-alimentaire. Vous ne savez pas ce que c’est ? Lui non plus !
      
     Sylvia PINEL :
      —————–
     
      Une quadra super jolie en plus ! Ministre du Tourisme. Elle teste les palaces, les restaurants, les yachts, tout ça…
      
     François LAMY :
      ——————–
     
      Ministre de l’égalité ses territoires. Que veux-tu que je te dise ? Je ne comprends même pas la définition ! Il y aurait des territoires qui ne seraient pas égaux aux pays de l’Egalité et de l’égalité des chances ?
    Kader ARIF :
      —————-
     
      On sent l’origine Scandinave. Alors lui, peu féru d’histoire de France, il en fait de belles. Ainsi (alors que c’est juste ce qu’il a à faire), il a oublié de représenter le gouvernement aux obsèques de Roland de la Poype, qui était un pilote de chasse Français, as de la glorieuse escadrille " Normandie-Niémen ". Les Américains et surtout les Russes ont très moyennement apprécié. Mais Kader ne ferait pas ce genre d’erreur s’il agissait de l’histoire de l’Algérie. Il est ministre des anciens combattants sans avoir fait un quelconque service militaire, tout va bien.
      George PAU-LANGEVIN :
      —————————–
     
     Ne vous trompez pas, c’est une femme au prénom Antillais. Sur sa carte de visite, Ministre de la Réussite Educative. Il vaut mieux se munir d’un dictionnaire avisé style Littré pour savoir de quoi on parle. Quant à la réussite éducative, il vaut mieux parler d’autre chose, justement.
      Thierry REPENTIN :
      ————————

     
      Alors lui, ce n’est pas une carte de visite qu’il lui faut, c’est un carnet à spirales. Jugez un peu : "Ministre de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, du Dialogue Social, et de l’Apprentissage". J’ajouterais bien "Et autres lieux se découvrant à marée basse" mais je n’ose pas. De plus, il y a déjà un ministère du Travail, non ? Qu’est-ce qu’il fout là au milieu, le Thierry Machin ? 
      
     Yamina BENGUIGUI :
      ————————-

     
      Ministre de la Francophonie, c’est-à-dire de toutes les soirées et cocktails entre Saint-Germain et le 7e, là où on a le plus de chances de croiser Nicolas Bedos. Yamina parle du bled et le comble, c’est qu’ils l’écoutent.
      Pascal CANFIN :
      ——————–

     
     Ministre chargé du développement. Oui ? Du développement de quoi, siouplait ? On pourrait lui attribuer un joug pour l’associer au célèbre Ministre du Redressement Productif ?

    ELLE EST PAS BELLE LA VIE !!! 


     

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  • Africanisation : la preuve par les maladies génétiques

    drepanocytose 

    Les recensements ethniques sont interdits en France. Si l’on veut avoir une idée de la vérité sans qu’elle soit dissimulée ou biaisée par le pouvoir, il faut trouver des marqueurs significatifs. Le site « Les 4 vérités » en propose un venant de la médecine : depuis 2000, la France mène un programme de dépistage de la drépanocytose. Il s’agit d’une maladie génétique, propre en général aux peuples non européens. Elle est devenue la maladie génétique la plus répandue dans la France d’aujourd’hui.

    Les nouveau-nés sont considérés menacés si un parent vient d’une région à risque, principalement Afrique et Amérique où le gène responsable sévit.

    En 2000, 19 % de tous les nouveau-nés en France métropolitaine avaient au moins un parent issu d’une région à risque. Ce chiffre est monté
    à 28,45 % en 2007 et à 31,5 % en 2010, soit 253.666 nouveau-nés sur 805.958. Presque un tiers.

    Ce qui importe n’est pas tant l’évolution de la drépanocytose que le déclin démographique de la France blanche que ces chiffres démontrent, et l’interdiction d’en parler dans le climat multiculturaliste actuel.

    Encore ces chiffres ne concernent-ils que la France métropolitaine car les départements d’outre-mer n’ont pas été pris en compte. La situation est donc encore plus grave. En incluant tous les nouveau-nés – tous soumis à dépistage –, la proportion des naissances non blanches monte pour toute la France à 34,6 %. On notera également que ne sont pas pris en compte les Asiatiques orientaux et les Hispaniques qui ne sont pas considérés comme population à risque concernant la drépanocytose.

    Si l’on affine par région, le pourcentage de nouveau-nés à risque atteint en 2010 : 60 % en Île-de-France, 43,2 % en PACA, 41,6 % en Languedoc-Roussillon, mais 9,8 % en Poitou-Charentes et 5,5 % en Bretagne. Ces chiffres montrent le remplacement de population dont la France est l’objet.

    Sachant que la population africaine doit doubler pour atteindre 2,4 milliards d’individus en 2050 et sachant que l’Afrique est incapable de créer les ressources alimentaires nécessaires à leur survie, il ne faut pas être devin pour imaginer ce qui se prépare.

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