• Essonne : un RER attaqué par une horde de “jeunes”

    FNJ Pas de quartier pour les racaillesUn policier parle d’une “attaque de diligence” : 20 à 30 “jeunes” ont attaqué un RER D stationné en gare de Grigny-Centre, en Essonne. Ils sont passés de wagon en wagon pour détrousser une dizaine de passagers.

    Manifestement, l’attaque était planifiée. Il était 22 heures samedi, lorsqu’une bande de “jeunes” – 20 à 30 personnes – ont pris d’assaut un RER D stationné en gare de Grigny-Centre, en direction de Corbeil-Essonnes. “Cela ressemble à une attaque de diligence de l’époque moderne”, soulignait un policier. “De cette ampleur, ce n’est pas habituel”.

    Après avoir tiré le signal d’alarme, les racailles, visage camouflé, sont passés de wagon en wagon pour détrousser les passagers. “J’ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux”, raconte un étudiant. “Ils ont arraché le sac de mon amie et m’ont pris mon argent. C’était rapide, violent, et ça avait l’air très organisé.”

    Samedi soir, une dizaine de passagers seulement se trouvaient dans le train. Le commissariat de Juvisy est chargé de l’enquête.       En Amérique , ils ont droit au port d'arme , ils peuvent au moins se défendre . Nous on attend ZORRO .


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  • À Chypre, ils volent l’argent du peuple ! Demain chez nous ?

    chypre

     

    Ça y est, le grand braquage a démarré ! Le vol de l’argent du peuple ! Bon, ça avait déjà commencé, c’est pas une nouvelle… Mais à Chypre, on est passé du braquage de velours au braquage au grand jour. Avant, c’était tout en subtilité : frais de gestion de compte courant, manipulation des chiffres de l’inflation, hausse indolore de la TVA par petits points… C’était le vol organisé mais soft, acceptable. À Chypre, depuis ce week-end, ce n’est plus du tout ça, c’est « Hold up ! Les mains en l’air ! Touchez plus à l’argent, c’est nous qu’on en prend d’abord ! » Solution miracle pour redresser les comptes publics à Chypre, tous les dépôts bancaires sont en passe d’être taxés à 6,75 % jusqu’à 100 000 euros et 9,9 % au-delà. Remarquez au passage le raffinement de ce 9,9 % et non 10 %. C’est comme les prix en 9,99 : on vous dépouille, mais on vous fait croire qu’on vous fait une fleur !

    Relisons bien cette nouvelle inouïe : le petit épargnant chypriote ordinaire, comme vous et moi, qui vit normalement sans excès et qui, par bon sens, met un peu d’argent de côté… Eh bien cet argent, on va lui en prendre 6,75 % ! Vous mettez 100 euros de côté et on vous prend quasiment 7 euros ! Cela n’a qu’un mot : le vol ! « Mais nous ne sommes pas concernés, nous en France, enfin, au XXIe siècle, ma banque ne ferait jamais ça ! Et puis Chypre, c’est comme les Grecs et les Italiens, ils ne sont pas sérieux avec leurs comptes publics… » Ben voyons ! Chypre, c’est un pays comme nous, membre de l’UE, c’est chez le voisin que ce braquage s’est passé ! Et Chypre idéalement insulaire a tout du laboratoire confiné où les grands carnassiers de la finance peuvent tester leurs nouvelles mâchoires, observer la réaction et éventuellement envisager une généralisation de ce précédent.

    Samedi, les Chypriotes se sont rués sur les distributeurs, vidés en quelques minutes. Et comme le hold-up est bien organisé, les virements bancaires par Internet était indisponibles, sur ordre de la Banque Centrale de Chypre. Ni plus ni moins un braquage… Vous aviez confiance en votre banque ? Vous aviez tort… À vos pelles et vos bas de laine ! Tout enterrer, tout planquer.

    Edouard Frémy, le 19 mars 2013

     


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  • VICTIME DE LA POLICE ! Une histoire vraie, une histoire de fou !

     Comme quoi il est risqué ( voir dangereux ) de se lancer dans la politique quand on est Néophyte, contestataire, et surtout quand on ne fait pas parti de cette grande Famille d'Enfoiré< de quels bords que ce soit > ex:  Tapi

     Ma plainte au Commissaire a, bien sûr, été rapidement classée sans suite par le Procureur !
     

    Suite à ma demande d'enquête à l'IGPN sur le conseil de mon avocat, j'ai reçu une réponse négative : une fin de non recevoir du Commissaireet, pire, accusatrice ! La lettre du Commissaire est aux 2/3 un tissus de mensonges du fonctionnaire mis en cause qui a travesti la vérité pour se dédouaner !

    Voir ma NOTE CONTRADICTOIRE (7 pages) ...   c'est édifiant


    Je vous souhaite de ne jamais être victime d'un policier violent, vous aurez forcément tort  ! On m'avait bien prévenue !!!...
    Vivons-nous dans une époque où, par la force des choses, il faudra un jour faire justice soi-même ?

    Nous vivons dans
    une société immorale de plus en plus décadente et en pleine dégénérescence où le mal, le mensonge, le manque de conscience professionnelle, la magouille et la corruption règnent à tous les étages ! Une société limite "mafioso" !


    On le savait déjà, mais on gardait l'espoir envers et contre tout !
    Depuis cette histoire abracadabrantesque, je n’ai plus confiance en la Police !

     

    Pensées les plus bénéfiques et vœux de bonne continuation.
    Bien cordialement.

    Silviane Le Menn
    Poétesse, écrivain, webmaster
    29000 QUIMPER (France)
    www.abadennou.fr



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  •            

    Petites douceurs islamiques


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  • UN POUR TOUS         ...     TOUS POURRIS

    Quelque chose de pourri au royaume des politiciens…

    boulevard-voltaire-guillotine

     



    Lu dans la presse au cours des huit derniers jours :
    Sylvie Andrieux, député des Bouches-du-Rhône, répond devant la 6e Chambre correctionnelle de Marseille de détournement de fonds publics, à hauteur de 740.000 euros généreusement distribués à des associations fantômes et amies. L’élue socialiste, qui reconnaît les faits, rejette la responsabilité de cette politique clientéliste sur Michel Vauzelle, président socialiste du Conseil régional de Provence Côte d’Azur.
    La justice au pas lent rattrape enfin Jean Tiberi et le condamne à dix mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité dans l’affaire des faux électeurs du Ve arrondissement de Paris, dossier ouvert en 1993. On sait que le RPR puis l’UMP ont toujours eu du mal à organiser des élections régulières. La condamnation intervient alors que le député de Paris et toujours maire de son arrondissement se retire de la vie politique.
    Le Sénat lève l’immunité parlementaire de Robert Navarro, sénateur socialiste de l’Hérault, poursuivi pour abus de confiance. L’ancien bras droit de Georges Frèche traitait somptueusement ses amis aux frais de la région Languedoc-Roussillon
    Des preuves accablantes – un enregistrement vidéo – semblent confirmer que Serge Dassault, sénateur UMP de l’Essonne, PDG de Dassault Aviation et propriétaire du Figaro, s’assurait du vote favorable des « quartiers de Corbeil-Essonne en contrepartie de versements substantiels d’argent liquide à des représentants locaux de la diversité ».
    Jean-Noël Guérini, sénateur et président socialiste du Conseil général des Bouches-du-Rhône, déjà mis en examen pour association de malfaiteurs, est également prévenu de détournement de fonds publics en faveur d’un ami dans le besoin.
    De nouveaux témoignages mettent en cause Gaston Flosse, ex-homme fort de la Polynésie française, dans le meurtre d’un journaliste trop curieux. Au même moment, le « vieux lion » (vieux sans doute, lion pourquoi ?) qui mena longtemps un train de vie fastueux et en fit bénéficier ses amis, dont Jacques Chirac, aux frais de la République, est condamné à cinq ans de prison et cinq ans de privation de ses droits civiques pour trafic d’influence et corruption active. Flosse, toujours sénateur, annonce qu’il se pourvoit en cassation et que ce nouvel incident de parcours ne l’empêchera donc pas de se présenter l’an prochain aux élections territoriales.
    Jean-François Mancel, député UMP de l’Oise, six fois élu, deux fois battu, deux fois invalidé, et condamné en 2005 à dix-huit mois avec sursis et une peine d’inéligibilité de dix ans pour avoir utilisé les deniers publics à des fins personnelles, se représentait hier aux suffrages de ses concitoyens dans une législative partielle. L’abstention y a battu des records.
    César disait qu’il ne pouvait admettre que sa femme fût même soupçonnée. Montesquieu disait que le principe de la démocratie est la vertu. Qu’advient-il de la démocratie lorsque tant de Césars de carnaval ne sont pas seulement soupçonnés mais confondus et que, reconnus coupables, ils n’en poursuivent pas moins leur carrière politique ? Lorsque tant de moutons noirs se faufilent et s’incrustent parmi leurs congénères, c’est de l’ensemble du troupeau que monte une écœurante odeur de pourriture.
    Dominique Jamet, le 17 mars 2013

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  • Nos Médias sont achetés par le gouvernement ( énorme abattement d'impôts non justifié ) et nous cachent des actions comme celle-ci < si c'est pas de la censure çà :  qu'est ce que c'est ? >


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  • Au Café

     

    Un Marocain, unTurc et un Belge sont dans un bar, un soir, en train de boire des bières…


    Le Marocain boit sa bière"Casablanca" et tout à coup lance son verre, dégaine son pistolet Beretta et explose le verre en l'air

    Il dit : -"Au Maroc, on a tellement de sable pour faire nos verres qu'on n'a pas à boire deux fois avec le même".


    Le Turc, un peu impressionné, boit sa bière "Efes Pilsen", lance son verre en l'air, dégaine son pistolet Tokarev et explose le verre.


    Il dit : - "En Turquie, nos verres sont si bon marché, qu'on n'est pas obligé de boire deux fois avec le même".

    Le Belge, perplexe mais paisible, boit sa bière "Stella Artois", lance son verre en l'air, dégaine son pistolet FN-GP...

    et bute le Marocain et le Turc.

    Puis il dit: - "En Belgique, on a tellement de Marocains et de Turcs, qu'on n'est pas obligé de boire deux fois avec les mêmes".

     


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  • ELLE   VA VOUS PLAIRE...

    A Bruxelles, un Espagnol entre dans un bar-tabac disposant d'une licence de jeux de grattage. Il achète un ticket à gratter. Au moment précis où il découvre qu’il a gagné 10 euros, un flash-info annonce un accident de car en Espagne ayant fait 10 morts  !


    Arrive un Italien, qui achète également un ticket et le gratte. Il gagne 100 euros et, dans la seconde qui suit, un flash-info annonce un accident de train en Italie ayant causé la mort de 100 personnes                             !


    Tout le monde dans le café retient son souffle.Le patron, abasourdi,  déclare:

    Hallucinant!

    Un Espagnol gagne 10 euros et on annonce 10 morts en  Espagne!
     

    Un Italien gagne 100 euros et on annonce 100 morts en Italie. Si cela continue ainsi, où va-t-on ???  .


                               

    C'est alors qu'un Arabe  pénètre dans le bar. Il achète lui aussi un ticket.
                                

    Au moment où il s'apprête à le gratter, tout le monde dans le bar se met à scander 

    " LE MILLION LE MILLION"

     


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  • Comment peut-on voter pour un tel abruti ?

     

    TRIPLE ABRUTI ET véritable CON

    Dans la longue série des «aplatventrismes », section des petites lâchetés, compromissions et trahisons de la classe politique sur le dos de notre avenir et de  celui de nos enfants, voici le cas de Michel Vauzelle, président socialiste de la Région Provence-Alpes -Côte d’Azur fraîchement réélu.Le dirigeant s'est dit « fier d'être le président dune grande régionmusulmane  ».

    Les électeurs qui viennent de le réélire apprécieront. Remarquez qu'avant de voter pour lui, s'ils ne savaient pas de quoi cet abruti était capable, ils auraient pu étudier de plus près le vécu politique de cet imposteur !


    Ce monsieur a touché pendant  des années un salaire d'Air France en emploi fictif, et s'est auto-amnistié lorsqu'il était ministre de la justice. En plus de  ses émoluments de président de région, il touche une retraite de  préfet, rang lui ayant été accordé par son ami Gaston Deferre,  alors ministre de l'intérieur et du milieu, bien que n'ayant  jamais été préfet. La semaine prochaine je vous parle de Jack Lang   !!!


     
    Faire circuler SVP…. Si vous aimez la France.


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  • Charte du Rassemblement Bleu Marine

    Le Rassemblement Bleu Marine est une association qui a vocation à unir les partis et les organisations politiques qui, au-delà de leurs sensibilités, oeuvrent à la défense de l’intérêt supérieur de la Nation, ainsi que tous les patriotes, de gauche comme de droite, qui se battent pour la liberté de la France, la souveraineté de son peuple et l’identité française.
    Chaque adhérent du RBM affirme son attachement aux valeurs suivantes et s’engage solennellement à les défendre, en toutes circonstances, dans le cadre de son action publique.

    • De la République et de la souveraineté

    La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Sa langue est le français.
    Indivisible, la République ne reconnaît aucune communauté. La République applique ses lois sur l’ensemble du territoire métropolitain et ultra-marin. Elle défend les patrimoines locaux dans le respect de l’unité nationale.
    Laïque, la République n’accepte aucune religion ni aucune idéologie d’État dans l’espace public. Elle n’en finance ni n’en subventionne aucune. Elle reconnaît le rôle du christianisme en général et du catholicisme en particulier dans l’histoire de France et la construction de la civilisation française. Elle permet à chacun d’exercer librement sa religion ou de n’en exercer aucune dans la sphère privée.
    Démocratique, la République repose sur la souveraineté exclusive du peuple français que met en oeuvre l’autorité de l’Etat indépendant de toute féodalité quelle qu’elle soit. La souveraineté ne saurait être déléguée, même partiellement, à une autorité supranationale.
    L’organisation du continent européen, comme celle de la planète, ne peut être qu’une association libre de nations indépendantes, coopérant sur des projets d’intérêt commun sans transfert de souveraineté.
    Les élections, à tout niveau, doivent permettre une juste représentation du peuple, par des scrutins proportionnels. Le référendum s’impose pour modifier les institutions de la République ou pour décider de sujets importants, qu’il soit à l’initiative du Président de la République ou d’initiative populaire.
    Sociale, la République veille, par sa politique économique, à concilier l’initiative individuelle, la valorisation du travail, la protection des salariés, et la solidarité avec les victimes d’accidents de la vie ou qui méritent le soutien de la Nation.

    La France doit mener une politique étrangère indépendante en fonction de ses intérêts nationaux légitimes, sans exclure des alliances, qui ne sauraient cependant se transformer en vassalité. Elle doit donner les moyens nécessaires à sa défense, sans dépendre de dispositifs militaires intégrés permanents.
    • De l’égalité, de la liberté, de la solidarité et de la justice
    Tous les citoyens français sans distinction d’origine, de race ou de religion sont égaux devant la loi.
    Le droit de vote est indissociable de la nationalité française.
    Chacun jouit des libertés fondamentales dans le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et de la promotion des nouvelles libertés, notamment numériques. Nulle autorité politique ou judiciaire européenne ou mondiale n’assure l’exercice de ces libertés, garanti par l’ordre juridique national.
    Il n’existe de solidarité sans le sentiment d’une destinée commune. La nation en est le cadre indépassable. La pérennité du financement de la solidarité nationale justifie la priorité nationale en restreignant l’accès des étrangers à certaines prestations et à certains emplois.
    La justice sociale suppose une contribution équitable de chaque citoyen et de chaque entreprise aux charges communes de la nation. L’effort et le mérite de chacun doivent être reconnus. Des corrections doivent être apportées pour garantir une réelle égalité des chances entre les citoyens.
    La justice sociale impose l’égal accès de tous, sur l’ensemble du territoire, aux services publics.

    • De la prospérité

    La Nation ne peut assurer la prospérité du peuple français sans réarmer son économie et notamment son industrie et son agriculture dans la mondialisation et sans lutter contre la concurrence internationale déloyale.
    Le patriotisme économique, la protection intelligente des frontières de la France, la maîtrise par la Nation de sa politique monétaire et budgétaire, la restauration des prérogatives de la Banque de France et des entreprises publiques nécessaires sont des préalables indispensables à la conduite d’une politique active et efficace de réindustrialisation, pour lutter contre le chômage et relancer le pouvoir d’achat.

    • De l’identité française, de la protection des frontières et de la sécurité

    L’identité française, en particulier la langue française, contribuent au rayonnement extérieur de la France et à la sauvegarde de l’esprit de solidarité au sein de la Nation. À ce titre, elles doivent être valorisées par le gouvernement par une ambitieuse politique culturelle.
    Être français est un honneur qui s’hérite ou se mérite.
    La déstabilisation culturelle et économique provoquée par l’immigration doit être combattue. L’immigration légale doit être rapidement tarie, limitée aux seuls talents qui permettront le rayonnement et l’innovation de la France. L’immigration clandestine doit être arrêtée en condamnant d’abord ceux qui en profitent et ceux qui la favorisent.
    La protection des frontières françaises, assurée par les seules autorités nationales, participe de la maîtrise des phénomènes migratoires.
    La sécurité est l’une des premières libertés. Il est de la responsabilité du gouvernement d’assurer la protection des Français sur l’ensemble du territoire, d’encourager sans relâche le combat contre toutes les atteintes à l’ordre et de faire appliquer sans faiblesse l’ensemble des peines prononcées par la justice.
    L’école doit redevenir l’instrument de transmission des connaissances, des valeurs et de l’apprentissage de la citoyenneté.
    Enfin, le respect de la personne humaine et sa dignité sont des principes essentiels qui interdisent notamment toute marchandisation de l’être humain.


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    Les Frères musulmans opposés à un texte de l'ONU sur les femmes
    Les Frères musulmans en Égypte ont estimé vendredi qu'un document sur les femmes actuellement en discussion à l'ONU était contraire à l'islam et conduirait à la "déchéance totale de la société" en cas d'adoption.
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    Morsi

    Les Frères musulmans en Égypte ont estimé vendredi qu'un document sur les femmes actuellement en discussion à l'ONU était contraire à l'islam et conduirait à la "déchéance totale de la société" en cas d'adoption.

    Des gouvernements et des ONG du monde entier devraient conclure vendredi à New York deux semaines de discussions sur les façons de mettre fin aux violences contre les femmes et les enfants.

    Les Frères musulmans, dont le président égyptien Mohamed Morsi est issu, estiment que le projet de communiqué final inclut des articles "qui contredisent les principes établis de l'islam, sapent la moralité islamique" et, si le texte est ratifié, "conduiraient à une déchéance totale de la société".

    La confrérie s'élève par ailleurs contre l'idée d'imposer des standards universels pour lutter contre la violence faite aux femmes et aux enfants.

    Elle se dit opposée à dix points du texte, notamment l'"égalité totale dans la législation du mariage" et "l'annulation de la nécessité de demander l'accord du mari pour voyager, travailler ou utiliser des moyens contraceptifs".

    Elle dénonce encore le fait d'"accorder à l'épouse le droit de poursuivre en justice son mari pour viol ou harcèlement sexuel".

    Pour les Frères musulmans, le document donne à la société des "moyens destructifs pour porter atteinte à la famille" notamment en accordant aux filles une "totale liberté sexuelle" et en leur donnant accès à des moyens contraceptifs.

    Des diplomates avaient déjà indiqué début mars que le Vatican, l'Iran et la Russie s'opposaient à plusieurs points de ce texte.

    Il s'agit de la prise de position la plus explicite des Frères musulmans sur les femmes et leur rôle dans la société, une question que les Frères ont essayé d'éviter depuis leur arrivée au pouvoir après la chute du régime de Hosni Moubarak en 2011


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  • Le comique Beppe Grillo grand vainqueur des dernières élections législatives en Italie… Qu’est-ce que cela dit sur la réalité de la politique locale ? Peut-on le résumer à sa simple qualité de comique, tel un Coluche, chez nous, il y a quelques décennies ? Au fait, « populisme » est-il forcément un gros mot ?

    Il y a longtemps que Beppe Grillo n’est plus un « comique », contrairement à ce que s’imaginent la plupart des journalistes français qui le traitent de « clown » ou d’« histrion » pour faire oublier qu’ils n’ont découvert son existence qu’au soir des élections. Il n’est pas plus comparable à Coluche qu’il ne l’est à Poujade ou à Dieudonné. Avec 25,5 % des voix et plus de 160 parlementaires, députés et sénateurs, sa formation, qui n’existait même pas lors du précédent scrutin, est devenue d’emblée le premier parti d’Italie. Cela donne la mesure de la vague de fond qui l’a portée. Et c’est sur celle-ci que doit porter la réflexion. L’Italie a certes été un pays pionnier en matière de « populisme » (on se souvient de l’« uomo qualunque » des années 1950), mais le populisme du Mouvement 5 Etoiles ne ressemble à rien de ce que l’on a vu. Ce n’est pas un populisme de la peur, mais un populisme de la colère et de la révolte. Ce n’est pas non plus, comme souvent en Europe, un populisme qui divise la droite, car il a surtout rassemblé des électeurs venus de la gauche. Enfin, c’est moins un populisme qui prétend parler au nom du peuple qu’un populisme qui s’efforce de créer les conditions dans lesquelles le peuple peut s’exprimer. Quant aux esprits paresseux qui pensent que Grillo n’a pas de programme, ils montrent par là même qu’ils ne l’ont pas lu.

    Le « populisme » est aujourd’hui le terme péjoratif qu’utilise la Nouvelle Classe politico-médiatique, élue par la globalisation, pour désigner avec dédain ceux qui s’entêtent à penser que la démocratie repose sur la souveraineté du peuple. La Nouvelle Classe n’a que faire du peuple (elle lui préfère les « people ») et n’aspire qu’à gouverner sans lui. C’est ce qui la rend incapable de mesurer l’ampleur du fossé qui sépare désormais les classes populaires de l’oligarchie dominante. L’erreur classique que l’on fait à propos du populisme est d’y rechercher une idéologie, alors que le populisme n’a pas de contenu idéologique prédeterminé : ce n’est pas une doctrine, mais un style. L’autre erreur est de l’analyser simplement en termes de « démagogie ». C’est oublier que la démagogie des élites vaut bien celle des populistes. C’est surtout passer à côté de l’essentiel, qui est la notion même de peuple, défini comme un demos uni par une sociabilité commune. Vincent Coussedière n’a pas tort d’écrire que « l’être-ensemble populiste correspond à ce moment des démocraties où le peuple se met à contrecœur à faire de la politique parce qu’il désespère de l’attitude des gouvernants qui n’en font plus ».

    Insubmersible Silvio Berlusconi. Détesté par nos médias – quoique nombre de ceux qui l’insultent aujourd’hui ont peut-être été ses salariés à l’époque de sa chaîne de télévision française, La Cinq, au siècle dernier –, mais manifestement pas si impopulaire que ça chez lui. Quelles réflexions un tel paradoxe peut-il vous inspirer ?

    Berlusconi a principalement surfé sur le thème de la démagogie fiscale. Son populisme est un populisme droitier d’essence bourgeoise bien différent du populisme « chimiquement pur » de Beppe Grillo. En prenant position pour la décroissance, la démocratie participative et le mandat impératif, le Mouvement 5 Etoiles s’est aussi prononcé pour l’autonomie et le primat du politique vis-à-vis de la « gouvernance » économique, de la finance de marché et de l’expertocratie. Berlusconi est un grand « communicateur », mais Grillo a ouvert un nouveau chapitre de la communication politique en refusant d’apparaître à la télévision et en s’appuyant avant tout sur Internet (l’« incendie numérique ») et sur les meetings de rue. Berlusconi reste un homme de droite, quand le succès des « Grillini » montre que le clivage gauche-droite n’a plus de valeur opérationnelle pour analyser les phénomènes politiques nouveaux.

    Dans ce scrutin, il y a trois disparus dont on a peu parlé. Mario Monti, l’ancien banquier de Goldman Sachs, et son allié Gianfranco Fini, de l’Alliance nationale. Sans oublier Umberto Bossi, de la Ligue du Nord, empêtré dans des scandales de corruption que lui, l’Italien du Nord, imputait aux seuls Italiens du Sud… Quel bilan tirer de tout cela ?

    Le rejet de Monti par 90 % des Italiens montre à quel point l’arrogance des technocrates est devenue insupportable pour les classes populaires et les classes moyennes auxquelles la Forme-Capital veut faire payer le prix d’une crise provoquée par l’endettement public et la folle course à l’austérité engendrée par la désubstantialisation de la valeur et la suraccumulation du capital fictif. La Lega conserve quelques bastions, mais se trouve maintenant confrontée à une crise d’identité très profonde. Quant à Fini, il mérite plus que jamais son nom. Cela ne signifie pas que l’Italie est définitivement entrée dans l’« ère Grillo », mais que tout retour en arrière est exclu. Aux dernières élections, c’est toute la classe politique italienne qui s’est trouvée disqualifiée par une nouvelle secessio plebis. Un signe annonciateur pour d’autres pays européens ?

    Alain de Benoist, le 15 mars 2013

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  •  Babtou », « Fromage », « Blanche-Neige », « Souchien », « Face de craie », ou le plus neutre « Gaulois » : vous connaissez certainement ces expressions imagées, plus ou moins péjoratives, jetées à la face des Français de souche comme on distribue des coups à un ennemi. Peut-être en avez-vous déjà été la cible au coin d’une rue de cité ou dans les transports en commun ? Assenées avec plus ou moins de conviction par des individus se qualifiant volontiers entre eux de « négros » ou « bougnoules », singeant ainsi leurs « modèles » des faubourgs de New York ou même de Londres pour lesquels le terme de « nigger » a perdu son caractère injurieux et sonne même comme un cri de ralliement, ces injures sont symptomatiques d’une société française de plus en plus divisée. Divisée selon des critères ethniques, n’en déplaise à ceux pour qui le terme de « race » est devenu un horrible archaïsme à supprimer à tout prix.

    Comme le démontre avec habileté Gérald Pichon dans son livre « Sale blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », sorti aux éditions IDées et préfacé par Pierre Sautarel (animateur du site Fdesouche), de concept forgé par l’extrême droite catholique, le « racisme anti-blanc », autrement appelé « leucophobie », est devenu désormais une réalité que chacun peut vivre quel que soit son bord politique, son âge et son pedigree pour peu que l’on appartienne à la nouvelle caste des « visages pâles ». Outre le constat de ce nouveau type de racisme inconnu jusque dans les années 90, l’auteur se penche sur les raisons structurelles de ce phénomène et décrit avec brio le conditionnement idéologique dont sont l’objet les « Français de souche » de la part des médias mainstream . Ceux pour lesquels cette forme de haine n’existerait pas et, pis, serait un fantasme dangereux pour la cohésion sociale. En découle une haine de soi morbide que développe une part croissante de « Gaulois ». Enfin, à cette attitude soumise, que d’aucuns qualifient de « dhimmitude » ou encore d’« ethnomasochisme », répond en écho une affirmation identitaire des différentes minorités, décuplée par le rejet viscéral d’un système considéré comme forcément oppresseur et discriminant.

    On touche là au fond même du problème : sans vouloir établir de hiérarchie entre les différents racismes, le « racisme anti-blanc » n’est pas un racisme comme les autres dans le sens où il n’est pas basé sur une vision racialiste, comme a pu l’être l’antisémitisme ou le racisme anti-noir ou anti-jaune avant lui, mais il est guidé par un esprit de vengeance de la part de supposées victimes à l’égard de leurs supposés tortionnaires. Nous serions donc coupables pour les crimes de la colonisation de génération en génération, sans aucun espoir de recevoir un jour l’absolution pour ces exactions que nous n’avons pas commises. L’ostracisme que connaissent les individus issus de la diversité bien intégrés socialement de la part des autres membres de leur communauté, ceux que l’on dénomme les « collabeurs » ou encore les « bounty » selon qu’ils sont « beurs » ou « blacks », va dans le même sens. Le racisme anti-blanc n’est donc pas seulement une haine raciale mais aussi, fondamentalement, sociale. Pareil à la haine des islamistes pour la république laïque, le racisme anti-blanc qui sévit dans les banlieues est avant tout dans la remise en question d’un système de valeurs. Nous blancs, rejetons du Moloch occidental, serions l’incarnation même d’un système injuste, voire raciste.

    Outre l’analyse des tenants et des aboutissants de cet esprit de culpabilité chez les « Gaulois », l’un des intérêts de ce livre est de proposer des solutions en rappelant que le racisme anti-blanc est, et doit rester, avant tout une affaire de blancs. Comme le dit si bien un célèbre adage populaire, nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive. Au-delà des solutions sécuritaires qui représentent un pis-aller par rapport à l’ampleur du problème et ne proposent pas de réelles solutions de sortie, il s’agit avant tout d’entamer un travail sur nous et d’en finir avec cette haine de soi qui nous annihile en tant que peuple. En effet, comment se faire aimer de l’autre quand on ne s’aime pas soi même ?


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  • Nos amis au Mali seraient-ils nos ennemis en Syrie ? ( ci-dessous:  quel charmant petit couple ) quand même bizarre cette soit disant religion qui encourage la pédophilie , mais pends les homosexuels

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    Dominique
    Jamet
    Journaliste et écrivain.
    Il a présidé la Bibliothèque de France et a publié plus d’une vingtaine de romans et d’essais.

    Le 11 janvier dernier, le président de la République décidait d’intervenir militairement au Mali. Cette intervention, qui n’est pas terminée, répondait à la pressante demande du gouvernement de Bamako et bénéficiait du soutien de l’ONU. Il s’agissait alors, et dans l’urgence, d’empêcher les bandes islamistes déjà maîtresses du Nord-Mali de déferler sur le Sud du pays pour y installer un régime terroriste sous l’invocation de la charia. Il y a donc un peu plus de deux mois que nos soldats sont engagés, au nom de la France, dans une opération qui a pour but, selon les propres termes du chef de l’État et du chef d’État-major des armées, de « détruire » l’adversaire dont nous aurions d’ores et déjà « cassé les reins ».

    Cet adversaire, bien connu, c’est l’hydre islamiste qui menaçait de prendre le Sahel dans l’un de ses tentacules. Sur le terrain, nos soldats ont affaire à des gangs de narco-trafiquants, doublés de criminels fanatiques, que sont venues épauler les Brigades internationales du Djihad, dans les rangs desquels figurent quelques volontaires de nationalité française. C’est au nom de l’islam, et grâce notamment aux armements puisés dans les arsenaux de feu Kadhafi, que ces gens nous tirent dessus, qu’ils se font tuer et que, parfois, ils réussissent eux-mêmes à tuer.

    Il y a maintenant un peu plus de deux ans que la Syrie est déchirée par une guerre civile qu’enveniment et nourrissent des interventions étrangères. Si tout a commencé par des manifestations et des émeutes contre la dictature de la famille El Assad, depuis belle lurette, le mouvement a été rejoint et est encadré aujourd’hui par des intégristes, subventionnés et soutenus militairement par les mêmes régimes sunnites qui ont déstabilisé la Tunisie, l’Égypte, la Libye, et y ont porté au pouvoir, forts de notre indifférence et parfois même de notre complicité aveugle, les diverses variantes locales des Frères musulmans. Poursuivant leur entreprise fondamentaliste, les mêmes qui ont épinglé à leur tableau de chasse les gouvernements laïques, modernistes et pro-occidentaux de l’Irak, de l’Égypte et de la Tunisie s’apprêtent à y ajouter la Syrie religieusement tolérante, multiconfessionnelle, multiculturelle, dernière pièce qui leur manque pour compléter le puzzle intégriste. Pour ce faire, ils s’appuient naturellement sur les fanatiques du Front Al Nosra et sur les Brigades internationales du Djihad, dans les rangs desquels figurent, aux dires de Manuel Valls lui-même, quelques dizaines de volontaires de nationalité française venus ici prêter main-forte à leur camp et s’entraîner en vue des guerres futures.

    Ils peuvent aussi compter désormais sur l’appui de la France et de la Grande-Bretagne puisque ces deux pays semblent avoir décidé, « souverainement », d’aider en Syrie ceux mêmes que nous combattons au Mali à s’emparer du pouvoir. Nous n’avons donc tiré aucune leçon du chaos consécutif aux « printemps arabes » ? Les armes que nous nous apprêtons à mettre entre les mains des « révolutionnaires » syriens, sans mandat de l’ONU, au prix d’une ingérence grossière dans les affaires intérieures d’un État indépendant, ils les retourneront évidemment demain contre l’Occident, contre sa présence, contre son influence, contre sa civilisation et d’abord contre ceux qui les leur auront imprudemment fournies.  

    Cette sottise et surtout cette incohérence seraient seulement grotesques si elles n’étaient criminelles tant elles sont lourdes de conséquences dramatiques. La France n’a pas une politique étrangère, elle en a deux, ce qui revient à n’en avoir aucune. Souhaitons-nous la victoire de l’islamisme ? Si c’est le cas, il faut le dire. Si ce n’est pas le cas, M. Hollande et M. Fabius doivent impérativement se ressaisir avant d’avoir commis l’irréparable. Védrine, réveille-les, ils sont devenus fous !

    Dominique Jamet, le 15 mars 2013

     


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  • Démocratie : le FN « un parti de porcs » pour la gôche plurielle

    Rédigé par lesoufflet le 13 mars 2013.

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    Photo : Parti socialiste

    Un élu de la majorité, appartenant à la secte Europe Écologie les Verts (EELV), s’est illustré en traitant sur son compte officiel Twitter, les membres du Front National de « porcs ». Quand la gôche n’a plus rien à proposer, elle retombe dans son vieux vice de la diabolisation du FN… Pathétique !

    Le conseiller politique régionale EELV en Aquitaine, Christopher Nunes, a publié un Twitt qui a fait le tour du web et qui confirme le sectarisme d’une gôche morale qui considère tout opposant comme un représentant du mal : « Marine Le Pen défend le jambon face au fondamentalisme islamique. Je ne vois rien d’étonnant pour un parti politique de porcs » !

    Bien sûr, courageux comme un François Hollande à Dijon, Nunes a rapidement supprimé son Tweet, après avoir réalisé la bêtise de son intervention (et vraisemblablement après un coup de fil de la Kommandantur).

    En France, la justice est très claire sur la liberté d’expression dans les réseaux sociaux du web : on peut traiter 15 % des la population de porcs sans problème (si on appartient à la gauche gouvernementale), mais on est condamné par la justice si on se permet une blague sur un élu socialiste.

    Comment ne pas se souvenir de ces fous totalitaires, allant manifester, au nom de la démocratie (on passe de la folie à la bêtise), contre le vote démocratique des Français qui avaient envoyé Jean-Marie Le Pen en final de la présidentielle de 2002 ? Chacun a le droit de s’exprimer, mais avec les bonnes idées, les bons arguments et les bons exemples. Du Jean-Michel Apathie dans le texte…

    La république soviétique socialiste « normale », c’est maintenant !

    Christopher Nunes

     

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  • Reportage dans un camp de Roms à Vigneux sur Seine (exclusivité Fdesouche)

    Reportage sur un camp de Roms installé à Vigneux sur Seine, avec les interventions de Serge Poinsot, maire de Vigneux sur Seine, et de Nicolas Dupont-Aignan, député de la circonscription :


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  • Hémiplégie mémorielle : grand silence sur le populicide vendéen 220 ans après

    14 mars 2013

    Hémiplégie mémorielle : grand silence sur le populicide vendéen 220 ans après

    « Henri de La Rochejacquelein au combat de Cholet en 1793 » par Paul-Emile Boutigny, Musée d’art et d’histoire de Cholet via Wikipédia (domaine public).

    14/03/2013 – 16h00
    PARIS (NOVOpress) – Il y a 220 ans, en mars 1793, un immense territoire, recoupant quatre départements, entre Poitou, Anjou et Bretagne se soulevait, faisant trembler un instant la République naissante sur ses bases. On a peu idée aujourd’hui de l’importance des troubles qui marquèrent cet événement dont Napoléon compara les protagonistes à des « Géants ». Durant trois ans de guerre civile, au terme de furieux combats et d’un paroxysme de violences et de terreurs inouïes, les pertes humaines furent estimées, selon les historiens, de 150.000 à 300.000 morts. De nos jours encore, ce vaste territoire garde les stigmates des événements, puisqu’il n’y existe pratiquement plus aucun bâtiment, fermes, châteaux, églises, villages, dont l’architecture est antérieure à la Révolution…

     

    Hormis celles organisées par le conseil général de la Vendée, aucune manifestation officielle n’est prévu pour commémorer ce terrible épisode de l’histoire de France. Et pourtant le système, particulièrement sous la gauche, n’est jamais en reste pour pratiquer l’autoflagellation. La ville voisine de Nantes, haut lieu des guerres de Vendée par ses célèbres et sinistres noyades, a ainsi édifié en 2012 en un « mémorial de l’abolition de l’esclavage ». « Il est du devoir d’une République d’écrire toutes les chapitres de son histoire, affirmait alors Yannick Guin, vice-président de Nantes Métropole, aucune ne doit être oubliée, même la plus sombre… ». La ville de Jean-Marc Ayrault se garde bien pourtant d’édifier un mémorial pour les 4.000 victimes des noyades de Nantes. En effet, une chape de plomb pèse encore sur le génocide vendéen que la République a manifestement du mal à assumer, deux siècles après les faits…

    Même les manifestations prévues par le département de la Vendée sont contestées par la gauche locale. Le président du conseil général, Bruno Retailleau avait prévu d’accueillir Lesh Walesa, pour une cérémonie commémorative aux Lucs-sur-Boulogne. Suite aux propos de l’ancien leader polonais de Solidarnosc à propos du mariage des homosexuels, les socialistes locaux ont demandé à Bruno Retailleau de condamner clairement ces propos et « d’annuler une invitation politique devenue aussi bancale qu’embarrassante ».

    De même, la proposition de loi déposée par Lionnel Luca, député UMP-Droite populaire des Alpes Maritimes, cosignée par Marion Maréchal Le Pen, et visant à reconnaître le génocide vendéen fit l’objet d’un communiqué haineux du premier secrétaire socialiste Harlem Désir, dénonçant « le thème du génocide vendéen qui n’est qu’un prétexte et qui d’ailleurs a toujours été utilisé par l’extrême droite pour essayer de nier les génocides du XXème siècle ». Les Jeunes Socialistes, jamais en reste pour aboyer, fustigèrent à leur tour « un choix révélant une inquiétante proximité idéologique », et dénonçant « les accointances entre l’UMP et le FN de Marine Le Pen, dénigrant d’un même élan l’héritage de la révolution française (…) dans la plus grande tradition de la droite réactionnaire et contre-révolutionnaire ».

    Le 17 janvier 2013, au Palais du Luxembourg, le sénateur socialiste Jean-Pierre Michel (1er vice-président de la commission des lois, actuel rapporteur du projet de loi instaurant le mariage homosexuel qui refusa d’auditionner les représentants de la Manif pour tous, qualifiés de « pire des homophobies », estimant qu’ils ne représentaient rien …) attaqua durement le sénateur Retailleau, affirmant être choqué par le logo vendéen, accusant les Vendéens d’avoir combattu la République et affirmant partager la conviction de Clémenceau : « la Révolution ne se découpe pas en tranches de saucisson, mais elle est un bloc », suscitant de vifs applaudissements sur les bancs socialistes et communistes. Il est utile de préciser la citation exacte de Clemenceau à laquelle se réfère l’élu socialiste : « J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre … j’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements des vieillards de 90 ans et de jeunes filles à peine nubiles. Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche. »

    Dans la même veine, Jean-Luc Mélenchon a adressé une lettre en janvier dernier au président de France Télévision à propos de l’émission « L’ombre d’un doute », diffusée sur France 3 et consacrée à « Robespierre bourreau de la Vendée ? ». Le leader du Front de Gauche y fustigeait « le contenu de cet épisode [qui] est un offensant et grossier plaidoyer à charge contre la Révolution de 1789, truffé d’erreurs et dangereusement orienté vers une banalisation de l’idée de génocide (…) Nous nous adressons à vous pour protester avec la plus grande fermeté contre le fond et la forme de cet épisode. Avec la majorité des historiens et universitaires, nous le jugeons scandaleux et absurde. ».

    A droite, le courage est, encore une fois, aux abonnés absents, la proposition de loi de reconnaissance du génocide vendéen déposée par Lionnel Luca n’a recueilli que six signatures dont, outre Marion Maréchal-Le Pen et Jacques Bompard, trois parlementaires vendéens. Le département de Maine-et-Loire, dirigé par un jeune loup de l’UMP, Christophe Béchu, qui fut, avec la Vendée, le cœur de l’insurrection de 1793, occulte complètement l’événement. En Anjou toujours, la ville de Cholet, pourtant décrite comme la capitale de la Vendée militaire, théâtre de trois sanglantes batailles qui laissèrent la ville en ruines passe également l’anniversaire sous silence. Son maire est le bouillant Gilles Bourdouleix, président du CNIP, vice-président de l’UDI…

    Après le génocide vendéen, il y a donc un mémoricide vendéen. Alors que notre époque est victime d’une hypertrophie de la mémoire, friante de journées du souvenir, de commémorations mémorielles et de repentances diverses sur tout ce qui peut contribuer à la culpabilisation des Européens (croisades, nazisme, colonisation, Vichy, inquisition, guerre d’Algérie, etc), la classe politico-médiatique, par son silence, nie purement et simplement le génocide vendéen.

    Au général Westermann, général républicain qui, après la bataille de Savenay, en décembre 1793, avait adressé une lettre au Comité de salut public, contenant le passage suivant, resté célèbre : « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Plus de Vendée, je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay, suivants les ordres que vous m’avez donnés [...]. J’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes [...] et n’ai pas un prisonnier à me reprocher, j’ai tout exterminé. » Le système peut répondre à son tour: « Il n’a y plus de Vendée, elle est morte sous le poids de notre silence, de nos mensonges, de notre mépris… »


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    Communiqué de Ludovic de Danne, conseiller aux Affaires européennes de Marine Le Pen

    Par cette déclaration : « On ne peut pas accepter qu’il y ait ce déséquilibre actuel avec d’un côté l’Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar et de l’autre des résistants qui ne peuvent pas se défendre », le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, outre qu’il accuse et insulte la Russie, ment et prend clairement position pour le camp des rebelles islamistes. Alors que tout le monde connaît leurs exactions, ils sont eux-mêmes approvisionnés en armes par le Qatar et l’Occident via la Turquie, notamment grâce aux bases arrières d’Adana et d’Incirlik.

    Cet appel inadmissible et illégal constitue une énième ingérence dans une guerre civile aux contours mal définis et qui amènera à l’islamisation définitive de cette région. Cette intrusion belliqueuse ne fera d’ailleurs que menacer directement la stabilité déjà fragile du Liban mais aussi la sécurité d’Israël. Cet amateurisme de façade prouve qu’en réalité les ministres des Affaires étrangères en Europe sont soumis à un agenda du chaos souhaité par les mondialistes. Ces derniers cherchent à implanter leur influence dans cette région après avoir manœuvré en Tunisie, en Libye et en Égypte, autres magnifiques exemples de démocratisation “réussie”… poursuivant ainsi la même logique que Nicolas Sarkozy en 2011 qui en armant les rebelles Libyens a fourni les armes aux islamistes que nous combattons au Mali aujourd’hui.

    Fidèle à ses principes de non ingérence, d’équilibre, de respect des souverainetés et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le Front National condamne fermement ce discours guerrier tant pour l’avenir de cette région que pour les intérêts français à travers le monde.                                                                                                                                                                                                                      

    article + vidéo Laurent Fabius appelle à revoir au plus vite l'interdiction de livrer des armes aux rebelles syriens, faute de quoi Paris et Londres prendraient cette initiative à titre personnel.

        Par AFP
    Libération

    L’Union européenne a assuré jeudi qu’il était «possible» de discuter «sans délai» de l’opportunité de lever l’embargo sur les armes à destination des rebelles syriens si l’un des 27 Etats membres le souhaitait, à la suite des déclarations en ce sens du gouvernement français. «Si un Etat veut initier une discussion sans délai, c’est toujours possible. Chacun peut demander qu’un sujet soit mis à l’agenda d’une réunion», a déclaré Michael Mann, porte-parole de Catherine Ashton, la chef de la diplomatie européenne, interrogé par l’AFP.

    Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré jeudi que Paris et Londres allaient demander que la réunion devant examiner le maintien ou non de l’embargo sur les armes à destination de la Syrie, prévue fin mai, «soit avancée». «Il faut aller très vite» et «nous allons demander avec les Britanniques que la réunion (...) soit avancée», a-t-il dit à la radio France Info, n’excluant pas qu’elle intervienne avant fin mars.

    A défaut de l’unanimité requise à l’Union européenne pour lever cette mesure, Paris et Londres prendront la décision de livrer des armes, car la France «est une nation souveraine», a précisé le ministre. «On ne peut pas accepter qu’il y ait ce déséquilibre actuel avec d’un côté l’Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar et de l’autre des résistants qui ne peuvent pas se défendre», a fait valoir Laurent Fabius. «Lever l’embargo c’est un des seuls moyens qui restent pour faire bouger politiquement la situation», a-t-il estimé.

    Lire aussi la tribune de Laurent Fabius dans Libération


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