• Posted on 11 octobre 2012 by Jean Pavée - Article du nº 272
    La pudibonderie communautaire islamique a encore exercé ses ravages ce lundi. Ne se contentant pas, comme à l’accoutumée, de frustrer les jeunes filles de culture musulmane en empêchant des rencontres entre filles et garçons du même âge, entravant ainsi leur développement psycho-affectif, la pression communautaire a poussé une adolescente de 14 ans, Myriam, à se jeter du septième étage de l’immeuble où elle habite, dans le quartier des Minguettes à Vénissieux (1).
    Pourtant si on ne se fiait qu’à la parole des responsables du collège ou de membres de la police, nous ne saurions pas les motivations de ce geste épouvantable. Le journaliste d’Europe 1, intervenant au journal de mardi midi (2), nous disant en effet que, selon leurs déclarations, « on s’interroge encore pour savoir si elle était persécutée » et qu’ « elle n’a pas précisé son mal être aux personnels sociaux et à certains professeurs ».
    Mais suivant sa déontologie, le journaliste interroge des enfants qui n’ont pas de ces pudeurs consistant à travestir la réalité. On apprend ainsi que « dans la réalité », Myriam subissait « l’acharnement d’un peu tout le monde » au collège. Elle avait « une mauvaise réputation, celle d’une fille facile ». « Cela a commencé sur Facebook, ils ont dit c’est une sale pute » « Tout le monde l’insultait dans la classe à ma sœur, elle était tout le temps isolée » témoignent des collégiens.
    La franchise de ces enfants permet de désigner le coupable : l’obsession mahométane de la virginité jointe à la recherche plus universelle d’un bouc-émissaire. Mais chut, tout rapport avec l’islam ne peut être que fortuit, la tolérance de l’islam à l’égard des femmes adultères ou des « filles faciles » étant légendaire.
    Sur RTL, est intervenue la maire de Vénissieux, Michèle Picard. Les auditeurs n’ont eu droit qu’à des propos lénifiants. Et carrément diffamants à l’égard de Myriam, puisque cet élue invoque un mal être éprouvé par la victime, comme si des préoccupations existentielles avaient été la cause de sa défenestration.
    Au lieu d’être révoltée par les motivations culturelles ayant conduit au harcèlement, Mme Picard se garde bien de les évoquer, égrenant des généralités banales sur le suicide, précisant que les tentatives de suicide ne sont pas le propre des Minguettes, induisant ainsi que cette tentative de suicide ne se distingue pas des autres.
    Mais « pourquoi pas d’alarme ? », lui demande-t-on. Elle semble penser que le boulot  a été fait par le personnel du collège puisque Myriam est « une jeune fille qui a été écoutée », a eu droit à des « horaires aménagés » et était sur le point de « changer d’établissement ».
    Ainsi comme d’habitude, on a droit à une absence de résolution du problème. On ne fait que le reporter. Et la victime est au final désapprouvée puisqu’on l’oblige à quitter son quartier, pendant que les vauriens qui l’ont fait souffrir pourront plastronner d’avoir fait partir une teuhpu.
    Sans surprise suivant cette politique consistant à refuser de s’atteler à la vraie source du problème, et faisant comme si nous avions affaire dans ce cas à un suicide pour raison existentielle, l’édile de Vénissieux affirme sans rire que la priorité, c’est qu’il y ait « plus de psychologues, d’infirmières scolaires » dans les établissements scolaires. Nous avons donc droit à l’éternelle ritournelle routinière du « plus de moyens » cher à une certaine gauche en panne d’idées et atteinte du déni de réalité.
    A ce titre, à nul moment, la responsable de Vénissieux ne prend ses responsabilités. A nul moment, elle ne nous évoque la nature du harcèlement subi. A nul moment elle ne nous fait part de son indignation, de son dégoût des accusations et des injures sexistes effectués par les vauriens victimes d’une éducation islamique sexiste. A nul moment, elle ne nous dit que tout cela aurait pu être évité si d’authentiques éducateurs, exerçant leur devoir, avaient sérieusement tancé et sanctionné ces tourmenteurs.
    Au lieu de cela, madame a fait l’autruche. Cette attitude est proprement dégueulasse. Pour Myriam, mais aussi pour les prochaines victimes, celles qui pourraient être acculées au suicide, mais aussi celles qui sans aller jusque-là risquent d’être brisées psychologiquement par d’autres harcèlements ou même tout simplement par l’angoisse de vivre éventuellement ce qu’a vécu Myriam. Votre absence de réaction appropriée, Mme Picard, s’apparente à de la non-assistance à personne en danger.
    Peu importe que Myriam soit une fille facile, une séductrice, une vierge ou quoi qui lui plaise. Peu importe que ce harcèlement ait reposé sur une réalité ou sur des calomnies, mais ce drame justifiait de la part d’un représentant du peuple, le rappel solennel qu’en France, une fille ou une femme est libre de ses sentiments, de son corps et que personne, pas même ses parents ne sont en mesure de s’opposer par une violence physique ou symbolique à ses désirs.
    En France, une femme est libre, si elle le souhaite, de se promener en portant une jupe, un décolleté, et d’être maquillée. Elle est libre de vivre et d’afficher une relation amoureuse. Cette liberté à laquelle elles ont droit leur permet de refuser tout mariage arrangé.
    Voilà encore une occasion supplémentaire de contribuer à l’émancipation de jeunes filles brimées qui s’échappe en raison de la lâcheté ou de la bêtise de cette femme politique. Ce stupide alibi d’une potentielle stigmatisation des musulmans conduit à ne pas nommer le problème que constitue le repli communautaire islamique sur des valeurs archaïques.
    Continuez comme cela, politiciennes et politiciens de France de l’acabit de Mme Picard, le harcèlement continu, les violences et le contraintes symboliques contre les femmes qui ont permis de construire dans les quartiers un pouvoir masculin fondé sur la loi du plus fort, ne feront que se renforcer. Tout cela entame toujours un peu plus les acquis antérieurs du combat pour la libération des femmes, et par propagation progressive dans les établissements scolaires ou dans les médias, pas que dans les quartiers sensibles.
    Jean Pavée

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  • Le déplacement officiel à 140 000 € de la ministre Yamina Benguigui

    CHRISTOPHE GREUET
    11/10/2012, 11 h 32 | Mis à jour le 11/10/2012, 14 h 15
    Un Falcon 900, et Yamina Benguigui.
    Un Falcon 900, et Yamina Benguigui. (Photomontage : ANDREAS SOLARO - MARTIN BUREAU / AFP)                       
    Sans être celle dont les actions font le plus parler d'elle, la ministre Yamina Benguigui n'en profite pas moins des avantages offerts par la République. Réalisatrice de renom, la ministre déléguée à la Francophonie a gardé de son "ancienne vie" quelques goûts de luxe. Preuve en est ce déplacement Paris/Kinshasa, que Le Canard Enchaîné évalue à 140 000 €, et qui aurait fait grincer jusque dans les salons de l'Elysée.
    Un Falcon 900 de l'Etat plutôt qu'un vol de ligne
    < a target="_blank" href="http://ad.doubleclick.net/click%3Bh%3Dv8/3d0b/17/c3/%2a/h%3B263742261%3B1-0%3B0%3B89373823%3B4307-300/250%3B50834680/50805938/1%3B%3B%7Esscs%3D%3fhttp://memorix.sdv.fr/5c/www.midilibre.fr/infos/politique_articles/L41/101232679/Position1/SDVG_ML_LI/MUTUALITE_FR_PRG_PAVEA_101012/article_mutualite_101012.html/57654e7a796b2f505472454144587044?http://www.mutualite.fr/L-actualite/Congres-2012"><img src="http://s0.2mdn.net/3842169/1-300x250_la_solidarite_H.gif" width="300" height="250" border="0" alt="Advertisement" galleryimg="no"></a>
     Le Canard raconte que Yamina Benguigui aurait demandé à faire le voyage à bord d'un Falcon 900 de la république, à l'inverse de toutes les consignes données par le Premier ministre et le chef de l'Etat. L'hebdomadaire cite ainsi un "argentier du château", qui explique que "Les consignes étaient d'utiliser un avion de ligne. Elle est passée outre. C'était à Matignon de lui dire non". La ministre a décollé mardi 9 octobre, pour se rendre au sommet de la Francophonie, qui se déroule au Congo, où elle sera rejointe samedi par Hollande.
    Le site politique Le Lab croit cependant savoir que "Yamina Benguigui a surtout demandé à bénéficier de l'utilisation de ce Falcon 900 afin de se rendre au Nord-Kivu, après le sommet de la Francophonie", et ce afin de " mettre un coup de projecteur sur ce "conflit oublié, sans visage"", en visitant un camp de réfugiés à Goma, situé dans l'Est de la République démocratique du Congo, et à 2 500 km de Kinshasa.
    Habituée aux accros de la "présidence normale"
    Yamina Benguigui est abonnée aux dérapages d'image depuis son entrée en fonction, à contre-sens de tous les messages que François Hollande souhaite faire passer sur le train de vie de l'Etat. En août dernier, déjà en déplacement à Kinshasa pour préparer le sommet à la Francophonie, Le Point avait révélé que la ministre déléguée avait "exigé" qu'un coiffeur soit "mis à sa disposition pendant les quatre jours de la visite" par l'Ambassade de France.
    Quelques mois plus tôt, le 18 mai dernier, quelques jours à peine après l'entrée en fonction du gouvernement (elle était alors ministre déléguée aux Français de l'étranger), Yamina Benguigui était apparue à la terrasse d'un palace de la Croisette, le Martinez, en plein festival de Cannes. Un impair qui, s'il a été effectué sur fonds privés, avait alors assuré la ministre, avait néanmoins brouillé les premiers jours de la "présidence normale", et fortement froissé Jean-Marc Ayrault.

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  • BRAVO à Monsieur le MAIRE
    Présent sur le Marché d'Orange Jeudi10 , comme tous les Jeudis depuis 1995, le Maire d'Orange a été interpellé par une demi-douzaine de jeunes Musulmanes. 
    Celles-ci voulaient savoir s'il était exact que la ville d'Orange refusait de servir de la viande halal dans ses cantines. 
    Jacques Bompard leur a répondu qu'en effet il n'y avait pas de viande halal dans les cantines d'Orange et que de même, il refusait que de la viande halal soit servie dans l'enceinte des Écoles à l'occasion des Fêtes de fin d'Année. 
    En effet, en Juin 2010, les Associations de Parents d'Élèves de deux Écoles avaient annoncé leur volonté de supprimer les Saucisses et de les remplacer par de la viande halal. La Municipalité avait clairement annoncé son opposition, ce qui avait fait reculer les responsables de ces associations. 
    Le Maire d'Orange a précisé sa position de la manière suivante :
     
    La France est un État Laïc et une Nation riche de 2500 Ans d'Histoire et de Traditions. 
    S'installer en France impose aux Étrangers de respecter la Laïcité à l'intérieur des Établissements Publics comme le sont des Écoles, mais également d'Accepter les Coutumes Françaises et non de vouloir les remplacer par leurs propres coutumes. 
    Ceux qui ne peuvent ou ne souhaitent se plier à la Loi et aux Traditions Françaises doivent en tirer la conclusion qui s'impose : Aller vivre pleinement leurs propres traditions dans leur Pays d'Origine. 
    Affichage Municipal en date du 10.03.2012


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  • L’islam au Japon, jubilatoire
     
       
     
     
     
    Avez-vous jamais lu qu’un dirigeant   politique ou un premier ministre d’un pays islamique a visité le Japon   ?
     
    Avez-vous jamais entendu que le roi d’Arabie saoudite ou le   Président iranien ont visité le Japon? (Il y a eu 4 visites d’un officiel   d’Arabie Saoudite au Japon en presque un siècle, et 1 visite d’un président   iranien, en 2000.
     
    Le Japon impose des restrictions strictes à   l’islam et aux musulmans.
     
    a) Le Japon est le seul pays qui ne   donne pas la citoyenneté aux musulmans.
     b) Au Japon les musulmans   n’ont pas droit à la résidence permanente.
     c) la propagation de   l’Islam au Japon est très mal vue par la population.
     d) Dans les   Universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelle   que langue que ce soit.
     e) l’importation de Coran en langue arabe est   interdite.
     f) Selon les données du gouvernement japonais, il a été   donné le droit à résidence temporaire à seulement 2 musulmans lakhs, qui   doivent respecter la loi japonaise. Ces musulmans doivent parler le japonais   et effectuer leurs rites religieux dans leurs appartements.
     g) Le   Japon est le seul pays au monde qui dispose d’un nombre négligeable   d’ambassades de pays islamiques.
     h) les Japonais ne sont pas attirés   par l’Islam.
     i) Les rares musulmans résidant au Japon sont des   salariés des sociétés étrangères.
     j) Aujourd’hui, le Japon n’accorde   plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par   des sociétés étrangères.
     k) Dans la majorité des entreprises, il est   précisé dans leurs règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour   un emploi.
     l) Le gouvernement japonais est d’avis que les musulmans   sont des fondamentalistes qui même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas   prêts à changer leurs lois musulmanes.
     m) les musulmans peuvent   difficilement louer une maison, au Japon.
     n) Si quelqu’un apprend que   son voisin est musulman, tout le quartier est alerté.
     o) Nul ne peut   créer une cellule islamiste ou école islamique, au Japon.
     p) La charia   n’est pas autorisée au Japon 
    q) Si une femme japonaise se marie avec   un musulman, elle est considérée comme une paria.
     r) Selon M. Komico   Yagi (chef de département de l’Université de Tokyo) « Il y a un état d’esprit   au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et chacun   devrait se tenir à l’écart de cette religion »
     s) Le journaliste   indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les   attentats du 11 septembre, y compris le Japon. Il a constaté que les Japonais   sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au   Japon.
     t) Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le   nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association   islamique japonaise répondait : « franchement, il y a peut-être 1000 musulmans   japonais, et le nombre de 30.000 est très largement exagéré ».
     u)   Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877,   mais seulement comme « histoire des cultures ».
     v) le « boom de   l’islam » au Japon a été provoqué par l’armée japonaise et date de la seconde   guerre mondiale. Une mosquée à a été construite à Kobe, et une centaine de   livres et journaux ont été publiés sur l’islam. L’objectif de l’armée était   d’être mieux équipé afin d’acquérir une bonne connaissance de l’islam et des   musulmans. En 1945, l’islam disparu rapidement du Japon.
     w) en 1890,   l’Empire Truc Ottoman a envoyé un vaisseau au Japon dans le but d’entamer des   relations diplomatiques et pour présenter l’Islam aux Japonais. Le navire   s’appelait Ertugrul, et sur son chemin de retour, il a été coulé par le Japon   avec 609 personnes à bord.
     x) Il y a une trentaine « d’appartements   mosquées » dans tout le Japon.
     y) Les Japonais considèrent que l’islam   est une religion étrange de pays sous développés.
     z) AU Japon, on ne   trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni   littérature islamique


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    Mariage homosexuel en France

    Le mariage homosexuel désigne le mariage de deux personnes du même sexe, qui n'est pas légal en France.

    Comme dans de nombreux pays étrangers, il constitue une revendication sociétale récurrente. En France, l'instauration en novembre 1999 du Pacte civil de solidarité (PACS) n'a pas mis fin à cette revendication, puisqu'il constitue en fait et en droit une forme juridique d'union civile différente du mariage.

    Le débat sur le mariage homosexuel est polémique, et il oppose deux conceptions du mariage. Les opposants à la reconnaissance du mariage homosexuel excipent de nombreux arguments tels que la protection de l'institution, l'exigence d'une différence des sexes, la finalité procréatrice, et ils en excluent donc l'élargissement ou la redéfinition du mariage de façon à inclure les couples homosexuels. Les partisans du mariage homosexuel considèrent que le mariage est la reconnaissance officielle par l'État de l'union de deux personnes qui s'aiment, que leur relation soit hétérosexuelle ou homosexuelle. Pour eux, le refus du mariage homosexuel est une forme de discrimination contre les couples homosexuels.

    Pour les partisans du mariage homosexuel, le Code civil ne mentionne pas la différence des sexes ou la possibilité d'engendrer comme conditions du mariage, et indique que « nul ne peut faire l'objet de discrimination en raison de ses caractéristiques génétiques »[1]. Cependant, il résulte implicitement des articles du code civil, qui évoquent le mari et la femme, que le mariage homosexuel est impossible[2].
    En 2004, malgré l'interdiction, le mariage de deux hommes,a été célébré à la mairie de Bègles par Noël Mamère premier magistrat de la commune[3]. Cette union n'étant pas légale, elle sera par la suite annulée[4] et des sanctions seront prises à l'encontre du maire[5]. Depuis deux autres cérémonies symboliques de mariage ont été célébrées, à Cabestany en 2011[6] et à Villejuif en 2012[7].

    Le mariage à l'étranger d'un Français avec une personne du même sexe n'est pas reconnu par la France. Par contre, les bureaux d'impôts à Paris ont déjà traité la déclaration d'impôt d'un couple franco-canadien marié aux États-Unis en 2009 comme un couple PACSé.

    Au fil des années, l'opinion française a fortement évoluée sur la question : en 2011, 63 % des Français se déclarent favorables aux mariages homosexuels alors qu'ils ne l'étaient qu'à 48 % en 1996[8].
    Un sondage BVA en janvier 2012, confirme que plus d'un Français sur deux est favorable au mariage de deux personnes du même sexe. Selon ce même sondage, 56 % des personnes interrogées sont favorables à l'homoparentalité[9]. Le mariage homosexuel fait partie du programme du président de la république François Hollande élu le 6 mai 2012. Ainsi le projet de loi sur le mariage homosexuel pourrait être présenté au parlement dès l'été 2012.                      

    Statut juridique de l'homosexualité dans les pays à majorité musulmane[modifier]

    L'homosexualité masculine est un crime dans la plupart des pays à majorité musulmane. Cependant le lesbianisme n'en est un que dans près de la moitié de ces pays. En effet, bien que souvent également réprimée, l'homosexualité féminine est généralement moins mal vue que l'homosexualité masculine dans les pays à tradition musulmane.


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  • Ce que signifie la liberté religieuse que l’OCI veut imposer au monde entier

    Tombouctou,Tremblay-les Gonesses, Gao, Nîmes, Kidal, Amiens, Bouxvillers…

    Commencée le samedi 8 septembre, avec le gala tenu à Aubervilliers, à l’initiative de l’association malienne OPESOM (opération solidarité Mali), la mobilisation des Maliens vivant en France se déploie. Organisés de différentes manières, dans leurs nombreuses associations, les Maliens ont pris leur sort en main.

    A Montreuil, le 22 septembre, 5000 sont venus applaudir les artistes exprimant la culture ancestrale menacée de mort par la dictature fanatique. Ces 5000 Maliens étaient soutenus par des responsables de différentes tendances d’opinion (de gauche et de droite).

    Légitimement, les Maliens se tournent vers le peuple français et vers l’ensemble des peuples libres

    Ils leur demandent leur aide solidaire. Il s’agit de répondre, sans tarder, aux situations bien plus que difficiles crées par l’irruption, -à Tombouctou, Gao et Kidal-, des bandes de djihadistes alqaidistes et salafistes disposant d’une partie non négligeable des arsenaux de l’armée de Khadafi, remis par leur homologues libyens financés par les Emirs qataris.

    Un demi-million de Maliens contraints à tout abandonner sur place

    Un demi-million de Maliens privés de tout, se retrouvant à Bamako, sans abri, sans autres vêtements que ceux portés au moment de la fuite, sans vivres.

    Un demi-million d’hommes, de femmes et d’enfants, sans savon, sans brosse à dent, sans vivres, sans eau, sans structure d’accueil et sans moyens de soin, réfugiés dans un sud du Mali qui n’a pas encore surmonté les difficultés quotidiennes d’un pays en crise politique ouverte, aggravée depuis plusieurs années et amplifiée par le dernier mouvement né de la protestation des simples soldats souffrant de l’affaissement de l’Etat.

    Les tortionnaires du peuple malien (Maliens de toutes ethnies ou peuples confondus : Touaregs, Bambaras, Soninkés, Songhaï, Malinkés, Peuls…) ont immédiatement entrepris d’imposer la dictature totalitaire et terroriste de la charia.

    Sans perdre une seconde, les bourreaux fanatiques ont entrepris de montrer aux habitants des villes maliennes, tombées sous leur coupe, ce qu’ils entendaient par « piété et respect de la religion » : Lapidations, amputations, viols, séances publiques de fouet, enlèvements et militarisation d’enfants contraints à servir dans Aqmi.

    Ceux qui ne ploient pas l’échine sont, soit tués sur place, soit laissés sans vivre et sans eau, pour édifier les autres, pour leur montrer ce qu’il en coûte de ne pas se soumettre aux caprices des nouveaux maîtres, despotes venus apporter leur vérité obligatoire…

    Plusieurs siècles d’islam soufi ont été piétinés, en quelques jours, ravagés, en quelques heures

    Les tombeaux-mausolées ont été réduits à l’état de débris poussiéreux, à coups de pioches et d’explosifs.

    Faut-il s’en étonner ?

    En Libye, les frères en « croyance » des bourreaux des trois villes maliennes du nord ont également détruit les tombeaux des « saints » soufis libyens et ceux de personnages respectés de la confrérie Senoussi, de « faux musulmans », les uns et les autres…

    En Egypte, c’est aux pyramides que les homologues de ces sinistres et furieux personnages ont exprimé l’intention de s’attaquer, radicalement

    Après qu’au Caire ils aient déjà réduit en cendre le musée des antiquités égyptiennes, ce sont aux témoignages monumentaux de la grandeur afro-égyptienne antique que les troupes de choc du fascisme de ce début de 21ème siècle ont décidé de s’attaquer.

    « Quand j’entends parler de culture…je sors mon revolver », disait leur devancier allemand, le théoricien du nazisme.

    Evidemment, démolir la pyramide de Gizeh, c’est plus facile à dire qu’à faire

    C’est une toute autre entreprise que le dynamitage d’un mausolée soufi malien ou libyen construit d’argile.

    Des pioches et de la dynamite ne suffiraient sans doute pas…sans quoi, il ne resterait déjà plus rien de ces vénérables et antiques monuments pharaoniques.

    Le passé de la grande civilisation égyptienne, -légitime orgueil de toute l’Afrique autant que motif de fierté des peuples d’Egypte, symbôle vivant de l’apport de l’Afrique (la noire et la berbère) à la culture humaine-, devrait disparaître et ne laisser subsister que de lapidaires néo-légendes salafistes ou quelques versets de sourantes coraniques.

    Mais au fait, pourquoi méler Tremblay, Toulouse, Bouxwiller, Amiens, Nîmes et les trois villes martyrisées du nord du Mali ?

    Parce que ce qui se passe au Mali ne concerne pas que les Maliens

    Parce que la victoire de la tyrannie fanatique au Mali signifierait : que le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Tchad, la Guinée…seraient de nouveaux objectifs de la fanatique lèpre totalitaire.

    Mais cela signifierait aussi autre chose, ici même

    On sait que de jeunes djihado-salafistes ont quitté la France, via les camps d’entrainement de Mistrata et Benghazi, pour utiliser la chute de la dictature de la section syrienne du parti de Michel Aflak, le « parti socialiste de la renaissance arabe », pour « imposer la charia à tous les Syriens ».

    Benghazi, Mistrata, le salafisme libyen, ont reçu et reçoivent les largesses des qataris.

    Le Tombouctou d’Aqmi bénéficie lui aussi de ces largesses qataris : avions cargos ravitaillant en armes, munitions …et carburant pour les nouveaux dromadaires à quatre roues ou à chenilettes.

    Outre les Emirs qataris, le wahabisme saoudien intervient lui aussi, pour abattre le peuple malien, pour lui infliger une version moderne et exotique des almoravides, pour mettre en prison ou sous le niqab ou la bourqa ses femmes trop indépendantes et actives.

    Tout cela ne concerne pas que les Maliens, ni que les Libyens et les Syriens

    On vient de le voir à Nîmes.

    Une sorte de police religieuse, formée de salafistes locaux, s’y est constituée. Se croyant comme dans un village de la « révolution arabe » en Tunisie, elle décrête et interdit ! Elle pense pouvoir régner à Nîmes, par l’intimidation, et même avec les menaces de mort.

    Ces salafistes ont décidé d’interdire aux commerçants à continuer de venir sur les marchés nimois, pour y vendre, porc, vins et vêtements féminins « légers ».

    Je ne rappellerai pas le détail des événements amiénois de juillet dernier

    Personne n’a pu oublier, l’école maternelle incendiée, le gymnase municipal dévasté, les centaines de voitures carbonisées, les abris-bus réduits en petits morceaux, l’agriculteur roué de coups de battes de base-ball par une escouade de « jeunes », la police caillassée et tirée comme les pigeons des stands de tir…

    J’évoquerai seulement ce qu’en dira alors la presse turque, celle proche du gouvernement Erdogan. Cela nous ramènera directement à Tombouctou. En effet, -selon des tenants turcs de la restauration de la charia-, à Amiens : « cent jeunes musulmans défendaient, -en brûlant des voitures de voisins et une école-, l’islam opprimé en France ».

    On a vu que le salafisme, se mouvant comme troupe de choc d’un fanatisme totalitaire, comme tout fascisme dans l’Histoire passée, dispose de bailleurs de fonds, a de généreux et puissants bailleurs de fonds et maîtres

    Avec le salafisme, ce ne sont pas les Krupp et les Thyssen du 21ème siècle qui recrutent des hommes de mains disponibles, militarisés et professionnalisés.

    Avec le fascisme de la dictature fanatique « religieuse », ce sont les capitaux des Emirs du Qatar qui sont les généreux et actifs bailleurs de fonds.

    Ils ne sont pas seuls, les qataris. Les hiérarques Saoudiens ne sont pas les derniers à investir, -dans l’action djihado-salafiste-, les capitaux parasites nés de la rente pétrolière.

    L’Histoire du nazisme a aussi montré que les bailleurs de fonds, que les Thyssen et les Krupp, ne resteront pas longtemps les maîtres du monstre qu’ils avaient fabriqué et cru pouvoir maitriser.

    Eux aussi, de maîtres-apprentis sorciers, ils deviendront sujets et se retrouveront entrainés dans la débacle criminelle de leur golem.

    Face à l’entreprise totalitaire des capitaux qataris, utilisant -en les finançant généreusement- les troupes de choc du fascisme « religieux » salafiste, nous nous trouvons devant une situation qui pourrait être cocasse et seulement grotesque.

    En effet, ce pourrait être risible

    On pourrait sourire, à l’irruption du 7ème siècle arabique, prétendant devenir l’avenir définitif de l’humanité toute entière.

    On pourrait trouver cocasse le salafisme, voulant imposer la vie de chamelier du 7ème siècle à une humanité qui, -dans quelques décennies-, sera en mesure de franchir les immenses abimes intersidéraux, et apte à conquérir d’immenses nouveaux espaces, s’ouvrant le chemin des nouvelles grandes découvertes de ce siècle et des prochains : nouvelles grandes découvertes rendues possibles par la maîtrise de nouvelle énergies et une meilleure organisation de la production et des échanges mondiaux *1.

    Cela pourrait n’être que grotesque, mais ce ne l’est pas

    Cette offensive du fascisme « religieux », se déploie ici et là au nom de la liberté. Elle exige, en tant que liberté religieuse absolue. Elle veut s’imposer, en tant que liberté au-dessus de toutes les autres. Elle s’affirme, comme seule légitime, sans complexe, relayée par les exigences de l’OCI*2.

    Cette liberté liberticide, qu’elle nous oppose pour nous nier et nous anéantir, c’est précisément la liberté qui ne savait et ne voulut se défendre, en 1930-32 en Allemagne. Ce fut la liberté sans défense utilisée par ses pires ennemis, ce fut la liberté châtrée de la république de Weimar qui désarma le peuple allemand devant le nazisme.

    Cette liberté religieuse qui veut dévorer les autres, au nom de la liberté, est lourde de menaces et de conséquences irréversibles possibles, parce que ce fascisme du 21ème siècle débutant,-comme son devancier nazi-, revendique la liberté absolue, pour lui, dans le but affiché cyniquement de supprimer définitivement la liberté d’exister, à toutes les opinions qui ne lui conviennent pas.

    Les capitaux qataris sont actifs, en France comme en Libye, comme au nord-Mali

    Le drame, c’est que l’actuel Président, véritable Mickey apprenti-sorcier (façon Walt Disney) devenu Président, croit et veut nous faire croire : qu’il va maîtriser les capitaux qataris, auxquels il se propose d’offrir le pays par pans entiers. Le prétexte à ce cadeau incroyable : l’étranglement financier des Etats par la « règle d’or » et par les normes délétères de la Banque centrale européenne.

    La pénurie de liquidités, pour maintenir l’action quotidienne de l’Etat, lui sert de prétexte.

    Comme Madame Lagarde, François Hollande veut nous livrer à la finance islamique qatari.

    C’est en quelque sorte le changement dans la continuité. C’est pourquoi du côté de l’Elysée on ne voit rien ou on veut ne rien voir ou on se limite à la surface des choses. Cela n’existe pas ce qui se passe à Mistrata et à Benghazi en tant qu’un des effets des actions du capital qatari.

    Ce qui se passe à Tombouctou, Kidal et Gao ne lui inspire rien. Comme Pangloss, François Hollande ne voit rien ou ne veut rien voir ; n’entend rien ou ne veut rien entendre. Jusques à quand ?

    Amiens ne lui a rien inspiré. Nîmes ne lui apprendra-t-il rien ?

    L’esprit encore embrûmé par les dogmes de « terra nova » et par les sornettes des sociologues de la « diversité », -deux groupuscules d’irresponsables incapables de regarder la réalité telle qu’elle est- le Président Hollande manifeste présentement l’intention d’ouvrir le pays au capital qatari. A le suivre, on devrait croire que les capitaux qatari, en France, seront tout le contraire de ce qu’il sont partout ailleurs…un nouveau miracle.

    L’homme Hollande -qui, un peu partout, devient, par dérision angoissée, « Normal-Premier »-, n’entend rien, ne voit rien. Cet homme résume, comme un exemple tragique, paradigmatique, ce que disaient Trotski et Marx, faisant leur ce propos d’Hegel : « qui n’a pas de passé n’a pas d’avenir ».

    A suivre la perspective tracée par le Président, il ne s’est rien passé à Nîmes. On n’a rien incendié à Amiens, des avions cargos ne livrent pas de carburant à Aqmi depuis les émirats.

    Le salafisme triomphant, déployant sa féroce dictature à Tombouctou et à Benghazi, n’aura pas d’impact auprès de ses émules hexagonaux, ne leur donnera pas motif de faire ailleurs en France, ce qu’ils ont commencé à Nîmes.

    Les qataris, financeurs et pourvoyeurs d’armes, de munitions et de carburant d’Aqmi, seront parfaitement pacifiques et totalement soucieux de respecter le peuple français et ses traditions de liberté…Qui croira ces billevesées, à part l’Elysée et ses conseillers?

    Mais si le Président élu en mai est prêt à devenir esclave, personne n’est encore obligé de donner ses poignets pour se faire poser des chaînes ou de se jeter avec lui par la fenêtre.

    Alain Rubin

    *1 Une équipe de chercheurs israéliens vient enfin de mettre le doigt sur la réalité physique du « boson de Higghs ».

    De nouveaux extraordinaires horizons s’ouvrent à la connaissance et, dans le sillage, à la maîtrise technologique de l’intimité de la matière.

    De nouvelles énergies sont à l’ordre du jour. Elles permettront, en particulier, les nouveaux voyages au long court du déplacement dans les espaces intersidéraux.

    *2 L’OCI est la conference de l’organisation des Etats islamiques.

    Chaque fois qu’elle en a l’occasion, cette organisation agit, -au sein des Nations-Unies et auprès d’une presse asservie, achetée ou apeurée-, pour réclamer que l’on repose sur la bouche de l’humanité le baillon du délit de blasphème.

    L’OCI exige : la fin de la liberté de penser. L’OCI revendique et ordonne : que l’on mette partout dans le droit , qu’au nom de la seule liberté qui serait valable et au-dessus de toutes les autres, -la liberté religieuse islamiste-, soit restauré et châtié le délit de blasphème.

    Dans les pays où règne cette « liberté » religieuse islamique, -non entravée par la liberté de critiquer les religions, leurs dogmes et porte-paroles, émissaires ou messagers-, c’est un règne totalitaire sans partage.

    Cette liberté religieuse obligatoirement respectée , -revendiquée par l’OCI et acceptée par une presse veule ou achetée-, rappelle ce qu’était la liberté, selon le bolchevisme des années trente ayant dégénéré en bureaucratie totalitaire.

    On se souviendra ici du mot d’humour de Nicolas Boukharine, le rédacteur de la constitution de 1936 de l’ancienne union soviétique (Boukharine finira fusillé peu après, à l’issue du premier grand procès de Moscou) : « en URSS, il y a la liberté pour tous les partis. Seulement, sous notre gouvernement, il n’y a qu’un parti qui peut agir légalement. Il se trouve au gouvernement. Les autres partis sont libres, mais ils sont en prison ».

    La liberté religieuse, pour l’OCI, c’est un peu la même chose.

    Sa « liberté religieuse » est à la liberté des non-islamistes ce que la liberté politique était à la liberté pour les différents partis politiques non-bolchevique, lorsque le parti stalinien était au pouvoir

    Le respect de la liberté religieuse pour l’OCI

    C’est une liberté absolue pour l’islamisme (le bon islam, pas l’islam « hérétique », – pas le soufi ou autre : Druze, Hammadite, Alaouite, Halévi, Yezidi-, jamais à l’abri d’une action djihadiste salafiste comme on l’a vu à Tombouctou et à Benghazi).

    C’est la prison ou les pogromes, ou une lourde fiscalité supplémentaire, -(une fiscalité discriminatoire, un racket religieux légal pour avoir le droit d’exister en se soumettant)-, pour les autres religions (si elles sont monothéistes).

    Le respect de la liberté religieuse selon l’OCI

    C’est une « liberté » qui n’existe qu’en imposant la mort ou l’interdiction absolue d’opinion et de parole : pour l’athée et pour le croyant des chamanismes et autres cultes des peuples premiers.

    Alain Rubin

    Post scriptum

    Nous évoquons et dénonçons plus haut l’irresponsabilité inconsciente des cercles gouvernementaux faisant voulant faire appel à la finance islamique qatari.

    Comment tenir le discours béât du Président et de son premier factotum, sachant le rôle actif de l’aristocratie pétrolière qatari dans les derniers événements et les drames humains provoqués par le salafo-djihadisme. On m’objectera, en haut lieu, que nous faisons un procès d’intention ou, qu’hormi Amiens et Nîmes, ou Toulouse, il n’y a aucun risque d’activation, en France, du salafo-djihadisme par le capital qatari.

    Vous êtes sur, veux-je demander à ces contradicteurs, que je vois d’ici ? Vous êtes certains ?

    On apprenait en effet hier, que deux « français » avaient été repérés parmi les fanatiques tortionnaires du peuple malien resté à Tombouctou. N’y aurait-il, parmi les 151 candidats égorgeurs de Juifs contrôlés à l’occasion de la manifestation salafiste des Champs Elysées, aucun volontaire pour obtenir un financement qatari pour se livrer, dans notre pays même, à une activité visant à intimider, ou plus, pour faire avancer la « cause » de la dictature de la charia ?


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  • Jean-François Derec, parrain de SOS Racisme, condamné pour racisme

    Les magistrats de la riante 17e Chambre du Tribunal Correctionnel de Paris ne savent plus où donner de la plaidoirie avec tous ces racistes décomplexés qui osent outrancièrement afficher leurs opinions dignes des nostalgiques du Ku Klux Klan.

    C’est vrai, c’est infernal. D’ailleurs, le JT de Rance 2 nous l’a encore rappelé ce soir-même avec un reportage de sept minutes, entièrement consacré au racisme des Français qui osent protester contre ceux qui importent leurs si belles et si enrichissantes cultures. Quelle ingratitude, je vous jure !

    Quel plaisir de voir dans ce reportage deux charmants jeunes garçons issus de l’immigration, bien habillés, bien coiffés, polis, à l’aise, s’affirmant patriotes comme nous mais devenant soudainement trop intimidés par les caméras pour chanter la Marseillaise… L’un d’eux montre deux bobos qu’il a dans le dos suite à l’affaire d’Aigues-Mortes où un couple, William et Monique, en a pris pour quatre ans pour avoir « tiré en l’air » avec une arme, selon les dires d’un témoin direct de la scène. Comprenne qui pourra.

    Le climat nauséabond qui n’en finit plus de grandir a donc répandu ses miasmes jusqu’à la 17e. L’accusé ? Jean-François Derec, comédien, juif polonais. Cette dernière précision est d’importance.

    Ce dernier, parrain de SOS Racisme (sans S), vient d’être condamné à 2 000 euros avec sursis et un euro de dommage et intérêt pour racisme, après l’accusation d’un vigile dont il a forcé le passage il y a un an, alors que celui-ci tentait de lui barrer l’accès à une loge de théâtre.

    Le vigile n’a que peu apprécié l’affront et, sans doute vexé et un tantinet rancunier, a accusé JF Derec de l’avoir traité de « sale nègre », ce que le comédien nie avec véhémence, tout en reconnaissant cependant l’avoir traité de « con ou de connard borné et buté ».

    Désireux de montrer sa bonne foi, l’acteur en fait cependant des tonnes : « je n’ai jamais traité quelqu’un de… Je ne peux même pas le dire devant vous ».

    Selon son avocat, un témoin de la scène aurait fait un témoignage qui ne concordait pas avec les déclarations du vigile – d’ailleurs absent du tribunal -, ce qui, dans une période non troublée, aurait certainement suffi à accorder un non lieu à l’accusé.

    Seulement voilà, nous sommes dans une période troublée. Ajouté à cela que la « cultissime  » 17e Chambre se situe dans une sorte de quatrième dimension judiciaire, on ne s’étonnera pas de ce que lesdites contradictions aient un peu glissé de la balance de la justice, et échappé à la perspicacité de nos bien-aimés magistrats.

    Parrainer SOS Racisme n’aura donc pas été suffisant à Jean-François Derec pour prouver qu’il n’est pas raciste. C’est dire ce qui peut nous tomber dessus si on en n’est pas parrain et qu’on est accusé par un vigile vexé ! Car aujourd’hui nous vivons dans un climat délétère où tout un chacun, dès l’instant qu’il vient d’ailleurs, peut nous faire condamner  rien qu’avec l’accusation de racisme, peu importe qu’elle soit réelle, peu importe les incohérences. Gaulois, blancs, à tous les coups l’on perdra. Il nous faudra accepter tout ce qui passera par la tête de ceux que nous accueillons car ils auront toujours raison. Il faudra par exemple accepter de donner une cigarette à tous ceux qui nous en demanderont, et si l’on ne fume pas, on sera bien avisé d’en avoir tout de même un paquet sur soi, juste au cas où… L’enfer, c’est maintenant.

    Aujourd’hui donc, JF Derec, parrain de SOS Racisme (toujours sans S), vient de découvrir qu’il pouvait y avoir parmi ceux qu’il défend des individus pas forcément bien intentionnés et que les gentils et les méchants peuplent la terre sans distinction de couleur et de géographie. Dingue non ?

    J’expliquais au début l’importance de préciser le fait que le comédien soit juif polonais, ce qui dans l’absolu n’a strictement aucun intérêt, mais qui résonne étrangement dans cette affaire, car Jean-François Derec à un moment donné de son procès se défend d’être raciste parce qu’il est… « juif polonais ». Donc selon lui, le seul fait d’être juif polonais suffirait à le disculper de l’accusation de racisme. En somme, tous les Français peuvent légitimement se faire accuser de racisme (de préférence s’ils sont blancs), sauf ceux d’origine juive polonaise qui ne posséderaient donc pas naturellement ce gène nauséabond.

    Mince alors, moi qui pensais naïvement que le racisme n’avait pas de frontières…

    Il est tout de même hallucinant qu’au 21e siècle on en soit réduit à devoir rédiger des articles sur un racisme qui nous est odieux, sur cette maladie pourtant éradiquée depuis longtemps de notre sol (si tant est qu’elle y ait été autrefois répandue), tout cela parce que des associations assoiffées et gavées de subventions s’escriment avec force à l’installer avec le succès et les dommages que l’on sait.

    Caroline Alamachère                                                                              

    Jean-François Dérec est juif ashkénaze d'origine polonaise. Il débute avec des petits rôles au cinéma dans les années 1970, comme dans La Septième Compagnie au clair de lune[2], avant de décrocher quelques rôles plus importants par la suite, par exemple dans Marche à l'ombre, Le Grand Chemin, Génial, mes parents divorcent !.

    Mais c'est à la télévision qu'il se fait remarquer en 1982, dans Le Petit Théâtre de Bouvard, puis dans La Classe (en duo avec Guy Lecluyse). En 2000, il devient chroniqueur dans l'émission de Laurent Ruquier, On a tout essayé. Après l'arrêt de l'émission en 2007, il a animé une chronique quotidienne décalée sur la chaîne française NT1, Dérec fait son intéressant.

    En 2002, il est l'auteur et interprète d'un one-man-show joué trois cents fois à Paris et en province. Son sketch le plus célèbre est alors Le Téléphone rose dans lequel il interprète Gérard Bouchard, un homme passant un coup de téléphone à une boîte vocale de téléphone rose. Il joue également le rôle du voleur de biscuits dans une publicité pour les biscuits « Petit Écolier » de LU.

    Il a publié plusieurs romans.

    Jean-François Dérec est ambassadeur de l'association fédérative La Voix de l'enfant.


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    C'est à Meaux, devant la mairie de M. Copé, que les Identitaires ont tenu à signaler que, dorénavant, le racisme anti-blanc est une composante du débat public qui ne pourra plus être éludée.

     

     

    Samedi 6 octobre dans la matinée, une dizaine de militants identitaires se sont rendus à Meaux pour saluer à leur manière les déclarations du maire de la ville, Jean-François Copé, qui a brisé un tabou politico-médiatique en abordant le sujet du racisme anti-blanc dans son dernier livre « Pour une droite décomplexée ».

    Sans pour autant être dupes quant aux visées électoralistes de ses déclarations, les Identitaires tiennent à signaler que M. Copé a ouvert une nouvelle ère : dorénavant, le racisme anti-blanc est une composante du débat public qui ne pourra plus être éludée.

    Et pour cause… plus un Français n’est aujourd’hui à l’abri : insultes, violences et lynchages dans la rue ou les transports, mais surtout à l’école, où tous les jours des petits « Gaulois » ou « Fromages » sont humiliés, préfigurant la France de demain.

    C’est pour ces derniers que les Identitaires se battent depuis leur création et ont fait de la dénonciation du racisme anti-blanc et de la haine anti-française un de leurs principaux axes de combat.

    Rassemblés derrière une banderole « Copé découvre le racisme anti-blanc, les Identitaires en parlent depuis 10 ans ! », ils ont distribué un millier de tracts sur la place du marché, où ils ont reçu un très bon accueil des habitants meldois.

    Les Identitaires appellent tous les responsables politiques, notamment ceux du Parti Socialiste aujourd’hui au pouvoir, à reconnaître la réalité du racisme anti-blanc et à prendre les mesures nécessaires pour que les Français n’aient plus à subir de violences pour la simple raison de vivre sur la terre de leurs ancêtres.

    Jean-François Copé, candidat à la présidence de l'UMP, a déclenché samedi une polémique sur internet pour avoir évoqué la veille au soir en meeting à Draguignan le cas d'un jeune qui se serait fait "arracher son pain au chocolat par des voyous" au motif "qu'on ne mange pas au ramadan".

    "On ne mange pas pendant le ramadan"

    "Il est des quartiers où je peux comprendre l'exaspération de certains de nos compatriotes, père ou mère de famille rentrant du travail le soir, apprenant que leur fils s'est fait arracher son pain au chocolat par des voyous qui lui expliquent qu'on ne mange pas pendant le ramadan", a déclaré le secrétaire général de l'UMP vendredi soir.

    "Il y a des familles de France qui vivent en silence leur souffrance et à qui personne ne parle jamais autrement qu'en les stigmatisant et en les traitant de tous les noms au point qu'ils sont obligés de baisser la tête et de partir s'il le peuvent le plus loin possible alors qu'ils sont citoyens de la République française", a-t-il ajouté

     

    Nous continuons la mission que nous nous sommes fixée :
    éveiller notre peuple, bien avant les autres et toujours en première ligne !

    Véronique Genest interpelle les musulmans de France sur Facebook : « Êtes-vous ou n’êtes-vous pas français ? »

    C’est terrifiant! Plus de 4000 commentaires et presque pas de réponses ni de compréhension du problème.
    Vous êtes hors sujet. Le sujet est: En tant que français donc logiquement fier de ce pays, de la liberté qu’il apporte, de l’aide aussi qu’il donne aux plus démunis, de son histoire et de ses lois, êtes vous POUR ou CONTRE l’entrée de la charria dans les droits de l’Homme, sachant que cela va à l’encontre de notre démocratie et de notre laïcité?

    Si vous êtes POUR, Qu’elle est votre but en vivant ici?

    Accepter le principe de laïcité c’est accepter qu’on caricature la religion qu’on s’en moque, comme toutes les autres religions l’acceptent. On ne voit pas de Juifs, de chrétiens, de bouddhistes crier à mort quand on caricature jésus ou les curés ou Dieu ou des Rabbins ou des prophètes ou Bouddha. Quelques extrémistes parfois manifestent leur mécontentement et c’est leur droit mais pas de menaces, pas d’assassinats pas d’ordre de mise à mort par une instance religieuse. C’est ce qui nous fait peur et ce n’est pas en continuant à nous répéter que votre religion est une religion de paix et d’amour ou en vous en prenant aux juifs que vous allez régler le problème; Nous ils ne nous demandent rien, ne nous menacent pas et ne nous font pas peur et surtout il ne menacent pas notre démocratie et notre république en voulant changer nos lois.

    C’est ça être français, respecter son pays et ses lois. Alors l’êtes vous ou ne l’êtes vous pas et si vous l’êtes, pourquoi ne vous battez vous pas à nos côtés pour la liberté?!

    Facebook de Véronique Genest


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  •  Déclaration de la Ministre.
     Quand je pense qu' on en a enfermé pour moins que ça !!!!

     Elle c' est le pompon... C' est plutôt l' asile qui serait à prescrire.
     Il est grand temps que notre président ouvre les yeux ou change ses lunettes !
     
                      
     
     Cette vidéo va sérieusement doucher ceux qui se berceraient                   
    encore de douces illusions sur la nature
     de notre nouvelle Ministre de la Culture Aurélie Filippetti.
     Elle ne dure qu 'une minute, mais tout y est, dans un rare concentré d' imbécillité et de violence.
     
     Vous y trouverez l'indécrottable angélisme bobo, ponctué de tous les poncifs habituels, mais aussi l' expression d' une haine violente contre ceux qui osent ne pas penser comme elle                  
     (sans doute la majorité des Français).
     Faites un petit test amusant. Regardez la une 2ème fois, mais sans le son...                  
     C' est, si on peut dire, encore plus parlant...
     Voila ce que la France à élu, mes chers amis.
     Voila le niveau de la pensée politique de notre Gouvernement  normal.
     
    Voila, la Femme qui succède, rue de Valois à André Malraux et à Jacques Duhamel.
     
     On est tombé bien  bas...


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  • Moins qu'un chameau                                             

    Violer une femme dans l’Islam c’est la purifier du démon qui est en elle

    Rien ne permet de dire explicitement que le viol, « eghtissab » en arabe, est absolument prohibé par le Coran. Autant il condamne sans réserve l’adultère autant il reste muet en ce qui concerne le viol que certains assimilent à l’adultère, « zina » en arabe. Ce qui est un comble. L’adultère est un rapport consenti hors mariage, appelé fornication, entre les 2 partenaires, autant le viol est un rapport sexuel violent, contraint et forcé imposé de force à la femme. De même que les hadiths restent quelque peu flous en ce qui concerne le viol, assimilé selon Ibn Kathir dans son exégèse de la fameuse sourate [2 : 223] qui confère à la femme un statut de champ de labour en référence à l’abondance et à la fécondité, que son mari peut labourer quand et comme bon lui semble, il s’agit plutôt de position que l’homme doit adopter avec sa femme, c’est-à-dire la position désirée pour l’acte sexuel proprement dit, excluant la position verso, en l’occurrence la sodomie parce qu’elle n’a pas pour finalité la procréation.

    Ainsi, et en toute évidence, quand bien même l’Islam condamne les rapports sexuels hors mariage, il reste très ambigu en ce qui concerne la notion du viol qu’il confond soit avec la fornication dans le Coran soit avec la sodomie dans les hadiths. Cette double confusion dans les sources de la foi musulmane entre le viol et la fornication d’une part et le viol et la sodomie d’autre part, à défaut d’être un signal d’encouragement à la toute puissance masculine maîtresse consacrée du corps de la femme, laisse la porte ouverte au viol, conférant une sorte d’impunité dogmatique aux violeurs potentiels.

    Nul doute qu’il existe un véritable vide juridique de droit Canon qui ne peut que les immuniser contre toute forme de condamnation. Pourquoi, les sources du droit musulman se plaisent-elles à évoquer les rapports hors mariage, comme si tous les hommes étaient censés être père et époux, et pas tout simplement de l’homme non-marié, le célibataire ? A supposer que l’Islam prohibe le viol, pourquoi la femme n’a pas le statut de victime comme il transparaît à travers les innombrables cas de viol dans les pays musulmans où de victime est jugée coupable condamnée soit à la prison soit contrainte à épouser son violeur ? N’est-elle pas non plus considérée comme un butin, « ghanima » en arabe, au même titre que le bétail et les biens razziés à l’époque du prophète même, dotée du statut d’esclavage sexuel ? Ne dit-on pas qu’il était permis de dévoiler dans le sens violer les captives que le Coran est loin de désapprouver ? Il semble que l’on doit s’assurer du plein consentement de la captive pour entretenir une relation sexuelle avec elle, une espèce de viol par consentement.

    Que vaut la parole d’une femme victime de rapports non-consentis alors que sa parole compte pour la moitié de celle de l’homme selon le droit musulman qui lui fait obligation de l’étayer par le témoignage de 4 hommes musulmans, et par extrapolation de 8 femmes ? L’Islam n’encourage pas le viol, mais ne l’interdit pas non plus ne serait-ce au regard de les « Sirats » du Prophète et de ses Compagnons que les nostalgiques pathétiques de la pureté originelle de l’Islam qui considérait la femme comme un être funeste et impure veulent en faire un nouveau mode de vie pour tous les musulmans. Ils oublient qu’en sacralisant et légitimant le viol au nom des valeurs sacrées de l’Islam, ils commettent un crime contre l’humanité.

    Tant que la femme est considérée comme l’incarnation de l’esprit Malin, les violeurs continueront toujours à jouir d’un blanc seing canonique pour accomplir leurs forfaits de mise à mort de la dignité et de l’intégrité physique et psychique de la femme. Juger une femme victime de viol, en bande organisée bien souvent, ce qu’on appelle une tournante en Occident, qui n’est pas sans rappeler étrangement les tournantes dans les cités françaises, revient tout simplement à lui infliger un nouveau viol public avec la bénédiction de l’autorité politique et judiciaire du pays.

    En conclusion, seul l’Etat de droit est garant du respect du corps de la femme contre les velléités sexuelles des prédateurs qui rôdent autour de leurs proies féminines. Un Etat régi par les lois de l’Islam, à savoir la Charia de la barbarie humaine, est une vraie aubaine pour les violeurs du monde entier à la recherche de cieux plus cléments pour labourer à leur guise et en toute impunité le corps des femmes que Dieu a offerts aux hommes pour assouvir leurs pulsions bestiales et incontrôlées. Quant au viol conjugal, il est dans l’ordre coranique des choses. Le dénoncer est assimilé à une apostasie. La femme qui doit une absolue soumission à l’homme dont il est le dépositaire devant dieu se doit d’accéder aux désirs sexuels de son mâle dominant en tout lieu et en toute circonstance même quand elle se trouve sur la selle d’un chameau.

    Salem Benammar


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    Béziers Guillaume Vouzellaud (FN) agressé, vendredi soir, en centre-ville



    Guillaume Vouzellaud au sein de sa permanence biterroise durant les législatives.
    Guillaume Vouzellaud au sein de sa permanence biterroise durant les législatives. (Photo archive OLIVIER GOT)                       

    Agressé, vendredi soir, aux alentours de 19 h, à la sortie de sa permanence en plein centre-ville de Béziers, Guillaume Vouzellaud (FN) se repose actuellement chez sa compagne France Jamet, dans le Montpelliérain.

    Il était aux environs de 19 h, vendredi soir, quand le secrétaire départemental du Front National, Guillaume Vouzellaud, candidat aux dernières élections législatives sur la circonscription de Béziers, a été agressé par deux individus qui l’attendaient à la sortie de sa permanence, au 11 avenue Jean-Moulin. Frappé à la tête, peut-être à l'aide d'un objet contondant, il souffre également d’une fracture de l'humérus et de multiples contusions.

    Il se repose chez lui

    Après son admission aux urgences de Montpellier, il a réintégré son domicile montpelliérain qu'il partage avec sa compagne France Jamet. Jointe au téléphone, celle-ci confirme les faits : "Actuellement, il se repose. Il est sonné par ce qui lui est arrivé. On m'a conseillée de le laisser se remettre. Je pense que demain nous irons déposer plainte. Pour l'instant mon souci, c'est son état de santé, il est vraiment très mal."


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