• La crise mondiale

    Source: gagplus.net

    Vidéo trop drôle qui reflète l'effet de la crise mondiale sur les pays du monde...


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  • Vive       la France 
          
    Le       grand  gala des Enfoirés à faire circuler
       
      *Aux USA ,        l'exilé doit payer au fisc américain la
       différence entre l'impot qu'il paye à  l'étranger       et
     celui qui serait  le sien       dans son pays.*
                            *S'il ne s'exécute*pas, il ne peut plus
       entrer sur le territoire américain car recherché par le
       fisc!*
                            *super, non ?*
     
         
    /*Le cas       Emmanuelle Béart est  intéressant:
      elle manifeste en  France pour encourager les       Français à
      accueillir et       nourrir les "sans papiers",  puis retourne
       en Suisse,  tranquillement.*/*/
    /*Florent Pagny vit en  Argentine, refuse de
       payer ses  impôts en France, mais vient       donner des leçons
      de       générosité aux français avec le Concert  des Enfoirés. /
     //
                             /Bel enfoiré, en effet./
     /*Le cas Noah       est  passionnant, il vit aux
          USA,  vient en France faire la promotion de son dernier
      album, encaisse ses royalties grâce       aux  couillons qui
          l'élisent  régulièrement " Français le plus populaire de
      l'année ", et ne repart jamais sans vomir       sa  haine. 
    Et refuse de payer un       redressement  de plus de 600 000 euros
       
        /*A la veille  d'une grande       période d'austérité et un
          plan de rigueur pour la France, on peut  trouver utile de
       connaître la  liste, très incomplète,       fournie par le
      Nouvel       Observateur, (n° 2359 du 21 Janvier  2010), 
       des personnalités qui ont choisi de fuir fiscalement leur
      pays pour       s'installer soit en Suisse, soit  dans un autre
       paradis  fiscal.*/
         /*S'ils l'ont fait en toute        légalité: achat dune
            résidence  en Suisse, séjour inférieur à 6 mois sur le
      sol français, etc.,* *pourquoi       certains  d'entre eux
           continuent-ils à  s'immiscer dans la vie politique
       française, participant activement aux       campagnes
      électorales,       soutenant tel ou tel candidat,  pire encore,
       officiellement  investis par l'État pour représenter       la
       France à l'étranger,       comme c'est le cas  d'Alain Delon,
      parrain officiel  du pavillon français à       l'Exposition
       Universelle de       Shanghai*/*/
              *Parmi       les plus actifs dans ce domaine,
      citons : */
       * /*Alain Delon, à Genève       depuis  1999*/
       * /*Johnny       Hallyday à  Gstaad depuis 2006 : son concert du
     14  juillet 2009 à coûté 500 000¤ aux contribuables        français*/
      * /*Charles        Aznavour*/
      * /*Patricia        Kaas*/
       * /*Daniel        Auteuil*/
      * /*Emmanuelle        Béart*/
     * /*Marc Levy*/
      * /*Michel Houellebecq*/
       * /*Alain Prost*/
      * /*Jean Alesi*/
       * /*Richard Virenque*/
       * /*Guy Forget*/
       * /*Richard Gasquet*/
      * /*Henri Leconte*/
     * /*Amélie Mauresmo*/
      * /*Gaël Monfils*/
      * /*Cédric Pioline*/
      * /*Jo-Wilfried Tsonga*/

          /*Ils payent tous leurs impôts en       Suisse.*/*/
         /*Encore plus grave, des       personnalités
      connues qui       exercent actuellement, ou exercé  récemment,
      un pouvoir politique  économique ou financier en       France,
     parmi eux       :*/
        * /*Antoine       Zacharias (Vinci)*/
      *       /*Claude Berda (AB groupe,  TF1)*/
    * /*Daniel Hechter  (couturier)*/
      * /*Jean-Louis  David (salons de coiffure,       cosmétiques)*/
          /*Enfin, les rentiers et les       héritiers dont les
       fortunes       ont été créées en France, *//*avec  le soutien
       de centaines de  milliers d'ouvriers français       :*/
        * /*Eric       Peugeot*/
      *       /*Jean Taittinger, PDG de la  société du Louvre,
      ancien  ministre de la justice et député de la       Marne*/
        *       /*Philippe Hersant (patron de  presse du Groupe
        Hersant)*/
     * /*Corinne Bouygues  (héritière de la       fortune
      Bouygues)*/

         /*Les familles :*/
      * /*Defforey (Carrefour)*/
      * /*Mulliez (Auchan)*/
      * /*Halley (Promodès)*/
         /*Tous résident à Genève ou dans       ses environs.*/*/
                               //
             /*Que  tous ces gens qui n'aiment pas fiscalement
    la France, la quittent et l'oublient définitivement, qu'ils 
       n'en        profitent plus pour venir s'y faire soigner.*
        /*Nous les  Français       qui allons se serrer
      la        ceinture, nous proposons - de boycotter les concerts,
       les disques, les livres de tous ceux       qui  ne
      participeront pas à       l'effort  de solidarité nationale,
       - aux  médias, nous demandons de ne plus offrir de       tribunes
      pour la promotion       des films, des  disques, de cesser le
       sponsoring  aux sportifs exilés.*/
         /*_Aux députés nous  demandons       d'étudier un projet loi
      pour       qu'il ne soit plus possible à un évadé  fiscal, de
       venir se faire  soigner dans un hôpital public       français,_*/
          /*_ni représenter        officiellement la France à l'étranger._*/
          *//**/Si vous pensez que ce        message est légitime,
            faites-le  circuler, en espérant qu'il encouragera
      quelques uns de ces égarés fiscaux à       revoir  leur
       position, à       présent, reste  à trouver le député qui aura
      le  temps ou le courage de présenter ce       texte.../


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  • on est dirigés par des gens malhonnêtes


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  • Nicolas Sarkozy ne sera pas dans le besoin. Quelle que soit sa décision sur la suite de sa carrière politique, il va bénéficier des avantages octroyés par la République aux anciens chefs d'Etat. D’abord, il percevra une indemnité de 6.000 euros brut, accordée à tous les "ex", quelle que soit la durée de leur séjour à l’Elysée. Ensuite, il pourra siéger au Conseil constitutionnel, en tant qu’ancien Président et percevoir, à ce titre, une indemnité de 11.500 euros net par mois.

    François Hollande a certes promis de supprimer cette disposition qui permet aux anciens Présidents d’être nommés à vie dans cette institution, mais si elle est approuvée par le Parlement, cette remise en cause ne devrait pas avoir de caractère rétroactif. Par ailleurs, l’Etat accorde à ses anciens présidents des primes de "sujétion spéciale", pour "compenser les contraintes subies dans l'exercice des fonctions (sic)" dont on ne connaît pas le montant.

    Voyages gratuits et illimités en classe affaires sur Air France

    Surtout, il leur offre toute une série d’avantages matériels, détaillés dans une "décision" signée par Laurent Fabius, en 1985, lorsqu’il était Premier ministre de François Mitterrand. Un appartement de fonction "meublé et équipé", deux fonctionnaires de la police nationale pour assurer leur protection rapprochée, une voiture de fonction avec deux chauffeurs et pas moins de sept collaborateurs (un chef de cabinet, deux assistants, un fonctionnaire des archives nationales et trois secrétaires).

    En plus, Nicolas Sarkozy pourra voyager gratuitement, grâce à deux cartes de circulation illimitées, l'une sur Air France, en classe affaires, l'autre à la SNCF première classe. Enfin, lorsqu’ils se déplacent à l’étranger, les anciens chefs de l’Etat sont accueillis par l’ambassadeur de France, qui doit faciliter leur séjour et assurer "leur hébergement dans les résidences de l’ambassadeur ou des consuls".

    Pour l'Etat, la facture de ces nombreux avantages est salée : La charge financière -que personne ne connaît compte tenu de la dispersion des financements- peut être estimée à 1,5 million par an et par ancien président, souligne le député René Dosière dans son livre "L’argent de l’Etat" (Seuil).


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  •  

    Présidentielles : des «
    jeunes en liesse » brûlent des voitures, caillassent les policiers, pour fêter
    leur victoire…

     par legaulois.info
    La « France du changement » a
    commencé à fêter la victoire du candidat Hollande,  une victoire particulière
    dans l’histoire de la cinquième République puisque acquise grâce au vote
    communautaire des musulmans répondant à l’appel de Tariq Ramadan et de 700 imams (mais quel journaliste osera parler du lobby
    islamiste ?).
    Cette « jeunesse en liesse » comme le
    titre certains médias fête à sa manière très particulière la victoire de leur
    candidat: ils brûlent des voitures à Clichy s/bois, brûlent des drapeaux
    français place du Capitol à Toulouse, ou caillassent les policiers dans le 20ème
    à Paris, dans le 77, dans le 93, dans le 91…
    La Place de la Bastille avait un petit air de Place Tahrir: des
    drapeaux palestiniens
    , tunisiens, algériens, etc… flottaient mais bien peu

    de drapeaux français.
    Plusieurs centaines de jeunes fêtaient
    dimanche l’élection de François Hollande dans les rues du Chêne-Pointu, quartier
    défavorisé de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), où deux voitures ont été
    brûlées, a constaté un journaliste de l’AFP. Puis, « la police est passée et
    comme les jeunes n’aiment pas la police, ils ont commencé à caillasser avec des
    bouteilles », a raconté un fonctionnaire de la mairie, également sous couvert
    d’anonymat.
    Ce soir, l’élection de François
    Hollande est fêtée comme il se doit. Côté pile, on vous montre des jeunes qui
    brandissent des pancartes « Pour une France apaisée ».
    Et côté face, on ne vous montre pas
    les drapeaux français brûlés place du Capitole, à Toulouse, où des violences
    ont éclaté.
    On ne vous dira pas que dans le 93, le
    77 et à Toulouse, dans le 91 et le 92, à Nanterre, ça caillasse et brule des
    poubelles, et que la police a ordre de pas intervenir.
    Vous ne saurez pas qu’à Marseille, un
    cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat du 3ème arrondissement. Ni que
    dans le 20ème à Paris, c’est la guerre urbaine contre les policiers : avec
    des tirs de mortier et plusieurs agressions contre les
    policiers.
    Sur l’ensemble des arrondissements
    parisiens, ce soir, les policiers en patrouille et en intervention se font
    insulter.
    Dans le 93 ça brûle, et les policiers
    se font caillasser. Des effectifs de police du 92 ont essuyé des jets de
    projectiles.
    Quelques villes du 93 brûlent, et à
    Saint Denis, la police se fait caillasser. Sur les Champs-Élysées, les boutiques
    ferment et les CRS chargent. Ça commence… Plusieurs « jeunes » s’attaquent
    verbalement aux policiers à Paris, lesquels ne peuvent intervenir. Il y a des
    rodéos sauvages un peu partout. Ordre a été donné aux policiers de quitter les
    secteurs sensibles.                                                                                                                                                                                                                   

     

    Avec 51 % des suffrages exprimés, le socialiste François Hollande a donc été élu Président de la République par les "Français".

    Guillemets nécessaires car avec 49 % ayant voté pour son adversaire, 7 % de vote blanc ou nul, 19% d'abstention, 15 % de non-inscrits... ce ne sont en réalité que 32 % des Français en âge de voter qui se sont portés sur sa candidature.

    Guillemets nécessaires aussi, car comme lors du 1er tour de cette élection, le vote ethnique s'est exprimé largement en faveur de François Hollande. Dans son programme, comme à travers son électorat, celui-ci était bien le candidat des immigrés. Ainsi, si le clivage droite-gauche apparaît largement obsolète sur le plan économique, il semble désormais réinvesti par la question identitaire.

    François Hollande a été élu uniquement grâce à la déception énorme causée par le Président sortant, dans une France qui n'est pourtant pas acquise à ses idées ou son projet. Hier soir, comme nous, de très nombreux Français ont toute légitimité pour dire clairement "Hollande n'est pas mon Président !". Ils seront bientôt rejoints par beaucoup d'autres, une fois la joie d'avoir chassé Sarkozy passée, en voyant le programme socialiste se concrétiser.

    François Hollande ne résoudra aucun problème sur le plan économique et social. Il n'a pas le début du commencement du courage politique que cela nécessiterait. Alors il tentera de contenter son électorat sur le plan sociétal, et nous savons déjà que la régularisation des clandestins, le droit de vote accordé aux étrangers extra-Européens, ou encore l'accès au mariage et à l'adoption par les couples homosexuels seront parmi les premières réformes que la nouvelle majorité mettra en route.

    Qui pourra les arrêter ? Aujourd'hui la gauche est hégémonique : à la tête de la majorité des grandes villes, des départements, des régions; majoritaire au Sénat et demain à l'Assemblée; toute-puissante dans les syndicats, la magistrature, les universités et les médias.

    Ils ont pris les urnes, nous allons devoir résister dans la rue.

    Parce que François Hollande et les socialistes doivent comprendre qu'ils n'ont pas reçu un blanc-seing pour leur politique folle mais ont juste profité du profond rejet de Nicolas Sarkozy, les Identitaires lancent dès aujourd'hui une grande opération "Hollande n'est pas mon président".

    Au-delà des clivages et des attaches partisanes, nous souhaitons rassembler pour défendre nos valeurs profondes : la famille comme cellule de base et pilier de notre société; le lien fondamental entre identité et nationalité, entre nationalité et citoyenneté, et donc le refus du droit de vote des étrangers.

    Ils sont déjà prêts à voter leurs lois, nous sommes prêts à défendre les nôtres, qui ne se fondent pas sur une précaire majorité électorale mais sur notre plus vieille mémoire et notre identité.

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    HOLLANDE N'EST PAS MON PRÉSIDENT !

                

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  • La France est-elle foutue ? Oui, sauf si…

    Dès l’annonce de la victoire de François Hollande, de nombreux patriotes ont pensé que cette fois, c’était le coup de grâce pour notre pays. Notre lecteur, Michel Tonarelli, a même annoncé la fin de la France à l’issue du quinquennat du nouveau président de la République, dans 260 semaines.

    « Les cinq prochaines années vont voir l’Utopie Bisounoursienne pour les nuls (et par des nuls) en action, elles vont dégouliner de bons sentiments de destruction massive et de chaude fraternité humaine, diverse, métissée et obligatoire ; les cinq prochaines années vont être merveilleusement fastes pour les étrangers électeurs, pour les immigrés clandestins sans-papiers régularisés, pour les islamistes haineux et leurs innombrables idiots utiles, pour les délinquants multi-récidivistes jamais punis, pour la multitude qui s’essuie les pieds sur un pays qu’elle déteste et se torche avec son drapeau, pour ceux qui réclament l’extension illimitée de leurs lubies nombrilistes en droits constitutionnels garantis ; les cinq prochaines années vont voir la France exposée en proie aux hordes de pillards de la racaille d’en-bas islamisée et de la racaille d’en-haut américanisée. »Les premières images vues hier, à la Bastille, vont plutôt dans le sens de cette analyse sombre. Nombreux drapeaux étrangers, peu de drapeaux français. Dans le pays, des témoignages similaires remontent. Sarkozy battu, les racailles se croient encore davantage tout permis et insultent les policiers. Les clandestins, convaincus d’être bientôt régularisés, narguent les forces de l’ordre. Premiers signes, des voitures furent incendiées dans la nuit, et des femmes en burqa narguaient les lois françaises sur les Champs-Elysées. Une partie de la population vivant en France a parfaitement intégré ce qui signifie « Le changement, c’est maintenant ». On apprend que 93 %des musulmans auraient voté François Hollande… Les socialistes parlent de « France apaisée ». Pour Hollande et les siens, cela veut dire qu’on ne parlera plus des problèmes liées à l’immigration, ni à l’insécurité, ni à l’islamisation, et encore moins d’identité nationale ! Place à la France des bisounours, livrée à la violence de ceux qui la haïssent, et qui rêvent d’y imposer leur loi.

    Effectivement, la France est foutue si :

    - Le politique immigrationniste du gourou savant fou Attali, soutenu par le Medef, se met en place, avec 300.000 immigrés supplémentaires par an, durant trente ans.

    - Une politique de régularisation massive des clandestins se met en place, accélérant le changement de population. Le vote hégémonique des musulmans pour le candidat socialiste a forcément des retombées dans le 93 : François Hollande fait 77% à Bobigny (93), 75% à la Courneuve (93), 74% à Pierrefitte, 73% à Stains, 72% à Bagnolet, montrant l’intérêt électoral, pour le Parti socialiste, de procéder au plus vite à un véritable remplacement de notre peuple par les représentants d’une nouvelle civilisation, pour reprendre le thème de campagne de Martine Aubry.

    - La nouvelle crise grecque aidant, l’accélération de la mise en place de l’Union fédérale européenne, voulue par Hollande et les siens, rogne les derniers pans de souveraineté qui restaient à notre pays.

    - La dictature des anti-racistes, qui ont appelé à voter pour le nouveau président, se traduit par de nouveaux arsenaux juridiques transformant notre pays en une dictature de la pensée unique, interdisant le contre-pouvoir Internet, comme le rêvent les Sopo-Tubiana et leurs complices, et traînant tous les « déviants » devant les tribunaux.

    - Les milices fascistes qui se réclament de gauche continuent, en toute impunité, à multiplier agressions, insultes et intimidations contre les patriotes.

    - Le syndicat de la Magistrature continue à imposer une justice au service du coupable, criminalisant tout citoyen qui a le tort de ne pas se laisser dépouiller ou égorger passivement, ou tout policier qui ose répondre à des tirs à son encontre…

    - Les pédagogistes fous continuent de casser l’école de la République, d’y faire encore baisser le niveau, au nom de l’égalité, et de supprimer toute référence à notre pays, au nom d’une vision « citoyen du monde »…

    - Les classes moyennes supportent seules les conséquences inévitables de la politique socialiste, pour financer l’inévitable assistanat que l’immigrationnisme du nouveau gouvernement va mettre en place.

    - Les islamistes, qui tous ont appelé à voter Hollande, réclament de nouveaux accommodements raisonnables avec la laïcité, sous l’impulsion de Dounia Bouzar, intronisée nouvelle madame Laïcité par Glavany et ses complices, pour prix de leur participation décisive à la victoire du nouveau président de la République.

    - Sous la pression des illuminés Verts, Hollande accélère la destruction de la filière nucléaire, dont le savoir-faire est un atout essentiel pour notre pays.

    Si le scenario du Bobo Jocelyn se met en place, et que les patriotes ne réagissent pas, effectivement, pour reprendre une phrase d’Oskar Freysinger, qui expliquait par ailleurs que la France avait besoin d’un Charles Martel, la France est foutue.


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  • UMP de Jean-François Copé les a vus naître à l’été 2010. Aujourd’hui, les grognards de la Droite populaire sont presque devenus de vieux briscards de la politique, conscients de leur valeur et capables de se faire entendre. Il faut dire que certains, au sein du collectif, braillent plus fort que la moyenne. Christian Vanneste et Lionnel Luca ont cassé quelques oreilles à coup de propos assourdissants -sur l’homosexualité entre autres- ou de comparaisons fracassantes. Les tympans de Valérie Trierweiler, finement surnommée « Rottweiler » par Luca, en sifflent encore.

     
      Mais au-delà de ces dérapages stridents, le courant a su attirer l’attention du président et peser sur sa campagne. Immigration, sécurité, Mariani et ses copains se sont frotté les mains à chaque fois que ces thèmes ont surgi dans le discours sarkozyste. A chaque fois, c’est-à-dire souvent. Alors maintenant qu’ils ont fait le job, les voilà qui se prennent à rêver d’autonomie. Leur indépendance, ils la convoitent, la désirent depuis belle lurette. Depuis que Marine Le Pen attire les foules, depuis que la droite modérée s’en inquiète. Le score de Nicolas Sarkozy ? Un satisfecit pour la droite dure et une preuve de plus, selon eux, qu’il y a une « véritable attente » dans l’opinion.
     
      Si le ministre des Transports refuse d’évoquer la souveraineté du collectif, assurant qu’il « s’inscrit pleinement dans l’UMP », certains aspirent d’ores et déjà à davantage de liberté au lendemain des législatives. En suggérant le lancement des mouvements, Jean-François Copé espérait amadouer ces anars de droite. « JFC est très nerveux, il appelle Mariani tous les deux jours pour s’assurer de sa fidélité », confie un proche du fondateur de la Droite pop. « Il a été irréprochable vis-à-vis de nous », assure le ministre convoité, avant de préciser : « Les courants c’est bien, mais ça dépend des moyens qu’on leur donne pour exister. » Comprendre : leur représentation doit être proportionnelle au nombre d’adhérents qu’ils fédèrent. Et les membres du collectif en sont convaincus : les militants UMP se classent majoritairement à la Droite populaire. Pour se compter, le petit groupe envisagerait même d’envoyer son propre candidat briguer la présidence de l’UMP. Une chose est sûre, si Copé veut pouvoir compter sur le soutien des grincheux droitiers dans sa guerre contre Fillon, il devra les choyer, sinon... 
     
    « Sinon, on a les moyens de notre indépendance ! », s’enflamme un député. Depuis plusieurs semaines, une quinzaine d’universitaires planchent sur le corpus idéologique du mouvement et réfléchissent à des propositions économiques notamment. L’idée de barboter dans l’eau trouble d’une UMP « chapellisée » ne séduit que très modérément les membres du collectif. « Notre courant n’a pas vocation à rester un sympathique club de l’UMP, ça deviendra au moins un courant structuré comme le Parti radical », clarifie le député du Nord, Christian Vanneste. Et le FN dans tout ça ? « Pas d’alliance pas de diabolisation ! », jure Mariani, promettant de clouer au pilori ceux qui ne respecteraient pas la consigne. Les promesses n’engagent que ceux qui les croient…                                                                                  

    Dans 260 semaines,

    le mot « Fin » sera écrit

     au bas de l’Histoire de France

    L’oracle des urnes a donc parlé et a réalisé la prédiction de Pierre et Christine dans le « Bobo Jocelyn » : l’inconsistant chef de rayon rose et ci-devant apparatchik PS a été élu, ce sera donc le naufrage de la France par la jambe gauche, ainsi en a décidé le Peuple Souverain - et un peu crétin, quand même.

    Si elle gagne aussi les élections législatives de juin (et le quinquennat a été instauré pour, entre autres, permettre cela), la gauche aura alors tous les pouvoirs sans partage : Présidence de la République, Sénat, Assemblée Nationale, régions, départements, grandes villes, sans oublier sa poigne de fer idéologique sur l’éducation, la justice, les médias, les syndicats et les meutes malfaisantes des pitbulls de la pensée conforme. Allah akbar !

    Ce sera du jamais vu sous la Ve République. Et la gauche de droit divin ayant aussi la prétention d’être l’unique propriétaire du Bien, de la Vérité et de la Vertu, ce sera même sans tarder du vrai totalitarisme crypto-religieux, ce qui démontrera à tous ses électeurs ravis que le fascisme post-moderne de la gauche rouge et verte peut être bien plus festif que le fascisme périmé de la droite brune et des-heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire (un jumelage avec la Corée du Nord est envisageable).

    Les cinq prochaines années vont voir l’Utopie Bisounoursienne pour les nuls (et par des nuls) en action, elles vont dégouliner de bons sentiments de destruction massive et de chaude fraternité humaine, diverse, métissée et obligatoire ; les cinq prochaines années vont être merveilleusement fastes pour les étrangers électeurs, pour les immigrés clandestins sans-papiers régularisés, pour les islamistes haineux et leurs innombrables idiots utiles, pour les délinquants multi-récidivistes jamais punis, pour la multitude qui s’essuie les pieds sur un pays qu’elle déteste et se torche avec son drapeau, pour ceux qui réclament l’extension illimitée de leurs lubies nombrilistes en droits constitutionnels garantis ; les cinq prochaines années vont voir la France exposée en proie aux hordes de pillards de la racaille d’en-bas islamisée et de la racaille d’en-haut américanisée.

    Les Français ordinaires qui se lèvent tôt pour gagner de moins en moins mais payer de plus en plus les ravages des précédents, ces gros cons de beaufs ringards, racistes, xénophobes, islamophobes, homophobes et bas du front peuvent commencer à serrer les fesses, à marcher droit et à raser les murs. Quant aux gars de la Marine et aux mal-pensants-récalcitrants-aux-idées-nauséabondes qui grouillent autour de Riposte Laïque et d’autres lieux de puanteur, ces populistes fachos néo-nazis qui croient à la liberté de parole (beurk !) et dérapent et stigmatisent à qui mieux mieux, le temps va vilainement se couvrir pour eux car la censure, les plaintes, les interdictions et les amendes vont leur tomber dessus en rafales, ils vont être pourchassés, traqués, rééduqués et épurés sans répit par la Sainte Inquisition Terra-Novesque armée de son fanatisme délirant de parts de marché et de sa bonne conscience éradicatrice. Tout ceci procurera naturellement la plus grande satisfaction digestive au troupeau des moutons de Panurge abrutis par le pain et les jeux et qui veulent surtout ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire, ne rien penser mais qui s’indignent sur commande et votent là où on leur dit de voter.

    Le mot « FIN » sera écrit au bas de l’histoire de la France dans moins de 260 semaines. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut assister, en direct et aux premières loges, à l’auto-destruction forcenée de sa patrie. Profitons du spectacle car on vit vraiment une époque formidable !

    Michel Tonarelli                                                                                                                                                                                                        

    L’équipe Hollande face

     à l’islam et l’immigration :

     un tournant de notre histoire

    La France vient de passer à gauche, et nombreux sont ceux qui s’en réjouissent, à commencer – et c’est bien normal – par les inconditionnels des partis de gauche. Mais d’autres aussi s’en réjouissent, qui pourtant ne sont pas de gauche, car on ne peut être de gauche en revendiquant un ordre religieux en lieu et place de l’ordre républicain. Ces Français-là sont les Français musulmans qui se définissent comme musulmans d’abord. Combien sont-ils en France ? Suffisamment pour faire parler d’eux en nous inondant de revendications communautaristes.

    «Et alors – diront certains –, qu’est-ce que ça peut faire qu’il y ait des revendications communautaristes ? Notre pays n’est-il pas le pays de la liberté ? Les communautés n’ont-elles pas le droit de vivre selon leurs propres règles ? Si d’aucuns veulent porter le voile ou manger halal, n’en ont-ils pas le droit ? L’islam n’appartient-il pas désormais à la France ?».

    C’est à ce genre de réalités que va être confrontée la nouvelle équipe dirigeante, car notre avenir s’inscrit désormais dans une vague islamisante qui grandit par la grâce d’une politique immigrationniste généreuse. En l’absence de statistiques officielles (qui seraient considérées comme discriminantes !), des intellectuels tels que Jean-Paul Gourévitch ou Michèle Tribalat estiment qu’il y aurait en France entre 7 et 8 millions de musulmans (1). Or, la gauche veut donner le droit de vote aux étrangers, et par conséquent aux étrangers musulmans. Ces derniers seront d’autant plus nombreux que la délivrance des visas au titre du regroupement familial leur sera facilitée, ce qui augmentera l’immigration et… l’islamophobie ! La gauche sanctionnera donc l’islamophobie au profit de  l’islamophilie, ce qui permettra à des Etats islamiques (2) de prospérer financièrement tout en étendant leur mainmise stratégique sur l’Europe ! Et voilà le nouvel islam d’Europe ! Et voilà le nouvel islam de France !

    Au fait, «islam de France » ou «islam en France» ? Est-ce l’islam qui appartient à la France, ou la France qui est en passe d’appartenir à l’islam ? La nouvelle équipe dirigeante a-t-elle conscience des énormes problèmes qui l’attendent en ce domaine ? Car enfin, l’islamisation de l’Europe est en marche, et ce ne sont pas des «ouvertures» qui l’arrêteront.

    Nous sommes à un tournant de notre Histoire. Ce tournant est infiniment plus dangereux que la crise économique dans laquelle nous nous trouvons. Qui peut penser, en effet, que la crise ne pourra jamais recevoir de solution satisfaisante pour l’ensemble des pays européens ? Mais  quelle solution (3)  pour mettre un terme à l’islamisation de la France et de l’Europe ? Quel peuple peut accepter de disparaître sans mot dire ? Le peuple de gauche serait-il celui-là ?

    François Hollande auraient eu 60 % des voix s’il avait dénoncé le péril islamique. Mais il est vrai que s’il l’avait dénoncé, il n’aurait plus été perçu comme un homme de gauche ! Le piège de la nouvelle équipe dirigeante n’est pas ailleurs, et tous les Français sont dedans !

    Maurice Vidal


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  • PLUS DE DEUX MILLIONS DE BULLETINS BLANCS :
    Si les consignes de MARINE avait été suivies , on aurait fait mieux et SARKOZY aurait eu sa déculotté .

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  • Moi,       Président de la République, je ruinerai la       France
         

    Voici ce que       n'a pas dit François Hollande hier. Tout est vrai. Vous pouvez lire les       liens pour vérifier les informations données. 
          

    Diffusez ce       texte à vos amis avant le 6 mai. 
         

     

    ·               Moi,       président de la République, je ruinerai la France, comme       je l’ai déjà fait avec la Corrèze , dont la       dette a explosé au cours de mon mandat.

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, comme       je l’ai fait pendant 10 ans à la tête du PS , je       protégerai tous mes amis mis en examen et condamnés par la justice.      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je donnerai le droit de vote aux étrangers       pour compenser la perte de l’électorat populaire. (Signez       la pétition contre le droit de vote des étrangers )      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je fermerai les yeux sur les turpitudes       sexuelles de DSK, comme je l’ai déjà fait dans le passé (affaire       Tristane Banon ).      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je serai obligé de faires des cadeaux aux       700       imams  et à       Tariq       Ramadan  qui       ont appelé à voter pour moi. Il faut savoir remercier ses amis.      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je régulariserai les clandestins, comme me le       demande mes alliés Mélenchon       et Joly . Cela fera       toujours quelques électeurs socialistes en plus.

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je créerai 60 000 postes de fonctionnaires en       plus dans l’éducation nationale, même       si je n’ai jamais su calculer combien cela coûtait !      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je ferai du cynisme  une       vertu politique, comme mon maître François Mitterrand l’a fait avant moi       en roulant tous les Français dans la farine, y compris les électeurs de       gauche.

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, j’irai dire aux dirigeants chinois tout ce que       j’ai sur le cœur, mais comme ils ne me recevront pas, comme ils l’ont déjà       fait avec mon       émissaire Laurent Fabius , je       rentrerai bredouille, mais cela m’aura permis de faire une belle balade       aux frais des contribuables.

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je laisserai mes conseillers en sécurité       confortablement installés dans leur gros fauteuil, critiquer       les policiers du RAID  qui       risquent leur vie sur le terrain.

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je me présenterai comme le candidat du       rassemblement, ce qui ne m’empêchera pas de dire que je       n’aime pas les riches , et de       laisser mon porte-parole traiter les électeurs       du FN de xénophobes .      

    ·                

    ·                

    ·               Moi,       président de la République, je me lancerai dans une       grande chasse aux sorcières pour mettre au placard tous les       hauts-fonctionnaires  qui       ont

     

     

    travaillé avec la droite, je demanderai également la tête des       journalistes de droite, comme Etienne Mougeotte, a qui j'ai refusé une       interview.   travaillé avec la droite, je demanderai également la tête des       journalistes de droite, comme Etienne Mougeotte, a qui j'ai refusé une  interview  

     

              


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  •                                                         
     
     
    Cher Père Noël

     
     Je suis une jeune roumaine de 19 ans. J'ai deux enfants, un troisième est en route. Je vais t'expliquer
     pourquoi je peux croire encore aux comptes de fées.
    J'ai trouvé un pays merveilleux.
     Ça s'appelle la FRANCE. C'est absolument génial.
     Ça fait plusieurs années que j'y habite alors que je
     n'en ai pas le droit.
     Je suis en situation irrégulière, mais la FRANCE
     
     Trop génial. Attends, ce n'est pas tout.
     C'est vrai, je ne suis pas toujours gentille.
    Je vole un peu les gens ou je demande de l'argent
     pour une fausse association. Ça, ça marche bien.
     Les Français, ils n'ont pas beaucoup d'argent
    mais ils donnent quand même (ceux qui ne veulent pas,
    on les traite de racistes et souvent après ils donnent).
     
     Hier, c'était la 30ème fois que j'étais arrêtée. La police faisait semblant d'être méchante avec moi, mais c'était pour de faux. Eux aussi ils savent bien que je ne risque
     rien car les juges sont indépendants. Trop drôle la
     tête des policiers quand ils ont appris que j'avais 20 fausses identités. Ils n'avaient jamais vu ça.
    D'ailleurs, à un moment ils ont même pensé
    que la Justice allait me punir. Mais comme
     toujours, les Juges m'ont juste dit de ne pas
     recommencer.
     Elle est bien la Justice en France.
     (je crois les Juges ils aiment bien les Roumains)
     
     Père Noël, voilà ma demande.
     Figure toi que la Roumanie doit bientôt faire
    partie de Schengen. Je suis impatiente, comme
     tous les roumains d'ailleurs. Car après,
     je ne serai plus clandestine, et la FRANCE
     me donnera la CAF (mère isolée et trois enfants).
     Mes parents viendront, les pauvres ils sont malades.
     Ils toucheront le RSA et auront droit à la CMU.
     Mais il y a le méchant SARKOZY. Lui c'est un raciste.
     Il ne veut pas que la Roumanie soit Schengen.
    Mais nous les roumains on veut tous les avantages de la France.
     Alors s'il te plait, Père Noël, en 2012, remplace
    le méchant SARKOZY par un gentil Président.
     Tout le monde attend un nouveau Président
     pour la FRANCE, les Européens Roumains, Serbes,
     Croates, Monténégrins, Kossovars, Géorgiens,
    Arméniens, mais aussi tous les pays du continent
     Africain.
    Tu vois Père Noël, si tu remplaces le méchant SARKOZY
     par un gentil Président, tu feras le bonheur
    des plusieurs centaines de millions d'hommes et
    de femmes qui veulent aussi vivre dans ce pays
    merveilleux, la FRANCE.
    Je t'embrasse Père Noël

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  •    

    Le Conseil constitutionnel censure la loi sur le harcèlement sexuel

    Jugeant sa formulation trop floue, les Sages ont abrogé la loi sur le harcèlement sexuel. Ils renvoient au législateur la responsabilité de définir plus clairement les contours de ce délit.

    Le harcèlement sexuel... retoqué  !  Le Conseil constitutionnel a décidé vendredi l'abrogation immédiate de la loi sur le harcèlement sexuel, dont il a jugé la formulation trop floue, renvoyant au législateur la responsabilité de définir plus clairement les contours de ce délit. L'article concerné (222-33) du code pénal stipulait depuis 2002: « Le fait de harceler autrui dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende », rappelle le Conseil (voir la décision intégrale). Cette abrogation s'applique « à toutes les affaires non jugées définitivement », c'est-à-dire en cassation, précise-t-il.

    Le Conseil avait été saisi du problème par le biais d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) soulevée en cassation par Gérard Ducray, ancien député du Rhône condamné en appel en 2011 pour harcèlement sexuel à trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende. Ce dernier  considérait que le Code pénal, laissant au juge une trop grande marge d'appréciation des éléments constitutifs du délit qui lui était reproché, permettait « tous les débordements, toutes les interprétations », avait plaidé son avocate à l'audience devant les Sages, le 17 avril.

    De fait, le Conseil constitutionnel a considéré que les dispositions de l'article incriminé méconnaissaient « le principe de légalité des délits et des peines » et les a donc déclarées contraires à la Constitution.

    Message d'impunité

    Leur décision pourrait influer sur l'affaire del'ex-ministre Georges Tron, mis en cause pour harcèlement sexuel par d'anciennes salariées de la mairie de Draveil. Une information judiciaire a été ouverte le 22 juin pour viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité, visant Georges Tron, 53 ans, qui a été mis en examen et laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

    « Aujourd'hui, toutes les procédures en cours pour harcèlement sexuel sont annulées, c'est un message d'impunité d'une extrême gravité à l'égard des harceleurs », a déclaré à l'AFP Marilyn Baldeck, déléguée générale de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT). L'association  était « intervenante » dans la procédure initiée devant le Conseil constitutionnel par M.Ducray. L'AVFT souhaitait elle aussi que ce texte, qu'elle critique depuis son adoption en 2002, soit abrogé, mais de manière différée, afin qu'il n'y ait pas de vide juridique jusqu'à l'adoption d'un nouveau texte. Mais le Conseil constitutionnel a décidé l'abrogation immédiate, au nom du principe de non rétroactivité de la loi pénale. « C'est la décision qu'on redoutait le plus, qu'on avait essayé d'éviter en intervenant dans la procédure, le Conseil a donné intégralement raison à un homme condamné pour harcèlement sexuel. C'est absolument catastrophique pour toutes les victimes qui ont des procédures en cours, c'est terminé pour elles, les personnes qu'elles ont mises en cause peuvent aller sabrer le champagne », a-t-elle regretté.

    LES ECHOS (SOURCE AFP) ( voilà bien une décision allant dans le sens de notre prochaine présidence islamosocialiste )                               < Mesdames vous ne savez pas profiter de votre droit de vote >  D S K doit être ravi . beaucoup de mâles en rut ayant autorités vont pouvoir profiter de ce moment de carence pour abuser des plus fragiles  .

    2 commentaires
  • LA PROFESSION DE FOI DU PROCHAIN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE                                                                                          

    « Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l’Élysée.

    Moi, président de la République, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur.

    Moi, président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fond pour mon propre parti dans un hôtel parisien.

    Moi, président de la République, je ferai fonctionner la justice de manière indépendante [...]

    Moi, président de la République, je n’aurai pas la prétention de nommer les présidents des chaînes publiques [...]

    Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire.

    Moi, président de la République, j’aurai aussi à cœur de ne pas avoir de statut pénal du chef de l’Etat, je le ferai réformer. [...]

    Moi, président de la République, je constituerai un gouvernement qui sera paritaire. [...]

    Moi, président de la République, il y aura un code de déontologie pour les ministres [...]

    Moi, président de la République, les ministres ne pourraient pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local. [...]

    Moi, président de la République, je ferai un acte de décentralisation. [...]

    Moi, président de la République, je ferai en sorte que les partenaires sociaux puissent être considérés. [...]

    Moi, président de la République, j’engagerai de grands débats, on a évoqué celui de l’énergie. [...]

    Moi, président de la République, j’introduirai la représentation proportionnelle pour les élections législatives. [...]

    Moi, président de la République, j’essaierai d’avoir de la hauteur de vue                                                                                                            

     


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  • Eh bien non , lors de ce débat d'hier soir on a pas parlé des questions qui préoccupent les Français telles le devenir de la crise et les risques encourus , Toutes les insécurités, euro, émigration,chômage,agressions,défaillance de la justice ect......

    Ce débat s'est limité à une joute verbale de comptables en mal de voix électorale, les deux intervenants s'insultant courtoisement , avec retenu< on aura remarqué que François Hollande déteste être comparé à un flan et qu'on le surnomme FLAMBY >. débat ennuyeux au possible et soporifique ( je me suis endormi dans les dix premières minutes )

    Quand à Sarkozy, il a brulé là ses dernières cartouches, la seule issue qu'il ne connait pas encore c'est le nombres de voix qu'il obtiendra lors de cette déculotté magistrale .

     

     

     u  

      Voilà pourquoi Hollande va gagner


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  •  

    Le 6 mai, le spectacle présidentiel prendra fin. Enfin ! Après six mois de simulacre démocratique, de tyrannie médiatique et de scénarisation théâtrale.
    Avec son vrai-faux duel annoncé à l’avance, en forme de prophétie auto-réalisatrice, par les vrais maîtres : les médias et les agences de communication.
    Avec la promotion d’un histrion révolutionnaire de carton-pâte et son vrai-faux suspense autour du « troisième homme ». Un vrai-faux suspense permettant de protéger les deux grands duellistes du Système. Et surtout d’empêcher une femme de devenir le deuxième homme !


    Avec des médias accordant les deux tiers de leur temps de parole, jusque fin mars, à deux candidats et à deux seuls, au nom de… « l’équité » ; avant de réduire à presque rien les émissions politiques, pendant la campagne officielle, pour contourner la règle d’égalité.
    Avec des « petits candidats » volés de leur campagne et scandaleusement traités par les grands seigneurs des médias au mépris aussi extravagant que leurs salaires.
    Avec les deux favoris trahissant leurs promesses électorales… avant même l’élection : avec François Hollande annonçant une accélération du retrait des troupes françaises d’Afghanistan et envoyant immédiatement un émissaire à Obama pour apaiser ses inquiétudes ; ou le même Hollande dénonçant la finance à Paris avant d’aller rassurer la City à Londres ; avec Nicolas Sarkozy fustigeant urbi et orbi le halal avant d’expliquer en catimini aux autorités musulmanes et juives qu’il s’opposerait à tout étiquetage de l’abattage rituel !
    De qui se moque-t-on ? De l’électeur pardi !
    L’électeur n’est pas là pour choisir le président de la République. Il a simplement pour rôle d’apporter une légitimité démocratique à un candidat jugé acceptable par la superclasse mondiale pour représenter ses intérêts en France.
    Il y avait de vrais choix au premier tour. Il n’y en a plus au second tour.
    Nicolas Sarkozy et François Hollande sont d’accord sur l’essentiel : sur les règles bureaucratiques de l’Europe de Bruxelles, sur la soumission des lois françaises aux juges des Cours européennes de Strasbourg et de Luxembourg, sur l’intégration militaire à l’OTAN, sur l’acceptation des règles du libre-échangisme mondial voulu par l’OMC, sur l’abandon de la souveraineté monétaire à la Banque centrale européenne. Sur tout cela, Hollande ou Sarkozy, quelle marge de manœuvre ? À part les coups de gueule de l’un et les postures de l’autre, quelle différence ?
    En politique intérieure, Sarkozy et Hollande sont aussi interchangeables aux yeux des grands lobbies financiers ou communautaires : lors de son dîner annuel, tenu en présence des 1000 plus grands oligarques français, le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) a fait de Sarkozy son invité d’honneur… tout en se préparant à accueillir Hollande l’année prochaine. Où serait le changement ? La présidente du MEDEF a, elle, fait un pas de deux : au final, Hollande lui paraît aussi patrono-compatible que Sarkozy. Et le lobby homosexualiste s’est vu promettre le mariage gay par Hollande dès 2013, pendant que Sarkozy lui demandait simplement d’être un peu plus patient… bref, d’attendre 2014. Quant à l’enseignement de la théorie du genre à l’école, rien à craindre de Hollande : Sarkozy l’a déjà mis en œuvre !
    On me dit aussi que Hollande voudrait donner le droit de vote (aux élections locales) aux étrangers. Mais, sans l’intervention du Raid, le tueur islamiste Mohamed Merah aurait déjà pu voter à l’élection présidentielle puisqu’il était « français » : non par la culture, non par la civilisation, non par le sentiment, mais par les lois acceptées ou votées par Sarkozy !
    Des docteurs de la foi et des adeptes du « vote utile » nous disent qu’il faudrait choisir le « mal » pour éviter le « pire » ! Cela, la « majorité silencieuse »le fait docilement depuis trente ans, avec le succès que l’on sait ! Et le mal devient le pire. Car si le mieux est l’ennemi du bien, le mal est l’ami du pire.
    Le 6 mai prochain, « faire son devoir électoral » reviendrait donc pour moi à cautionner une tromperie.
    En m’abstenant, je refuse d’apporter la légitimité de mon vote à des candidats dont les priorités réelles sont nuisibles aux intérêts du peuple français, à sa substance, à son identité et à sa dignité.
    C’est pourquoi, dimanche 6 mai, je prendrai de l’altitude et j’irai méditer sur les cimes                                                                                     

    Cher lecteur,

    La semaine
    dernière, j'ai eu largement matière à réfléchir aux ravages provoqués par la
    bétonisation à l'extrême. La promenade des Anglais à Nice en est un parfait
    exemple. Jusqu'il y a quelques jours, j'en avais une vision idyllique, nourrie
    par la lecture d'Henry James, d'Edith Wharton ou de Fitzgerald. Dans les faits,
    les maisons du tournant du siècle, lieux de villégiature des riches Anglais dès
    le XIXe siècle, ont presque complètement disparu de la côte niçoise, remplacées
    par de grands ensembles des années 50, 60, 70, etc. Adieu le charme suranné de
    la Riviera.

    Si vous continuez à
    longer la côte en direction de l'Italie, au milieu de côtes plus moins ou
    préservées, vous découvrirez aussi Monaco, hérissé d'immeubles. A quelques
    minutes de lieux célébrés par Cocteau, Matisse, Chagall ou Picasso, Monaco est
    un Manhattan en miniature, véritable démonstration de force du nombre de
    logements et de bureaux que l'esprit humain peut caser au m2.

    Mais
    qu'appartements, maisons et grands ensembles ont à voir avec l'économie ? Eh
    bien, l'immobilier est aujourd'hui le point faible de l'Espagne... et donc de
    l'Europe tout entière.

    L'immobilier, le talon
    d'Achille de l'Espagne
    Car si l'Espagne vient de se faire dégrader
    de deux crans par l'agence de notation Standard & Poor's, à BBB+, soit à
    peine trois rangs au-dessus de la catégorie "junk bonds", c'est à cause
    (essentiellement) de ses banques. Et si les banques espagnoles inquiètent, c'est
    que la crise de l'immobilier ibérique fait des ravages.

    Si vous avez déjà
    fait un tour sur la Costa del Sol, vous aurez pu constater que l'urbanisation de
    la Côte d'Azur n'a rien à voir avec celle de sa concurrente ibérique. Un exemple
    parmi d'autres de la folie immobilière qui s'est emparée de l'Espagne depuis
    plus de 60 ans.

    La croissance
    économique espagnole a été tirée par l'immobilier et les BTP. Or ce n'est jamais
    très bon pour un pays d'être ainsi dépendant d'un seul secteur économique.
    Surtout quand explose une bulle.

    Le dynamisme du
    secteur immobilier espagnol a été encouragé par les crédits accordés par les
    banques espagnoles. Contrairement à ce qui se pratique en général en France
    (mais de même qu'en Italie), la très grande partie des crédits accordés ces 20
    dernières années sont des crédits à taux variable. Quand tout va bien, vous
    pouvez donc emprunter à un taux très attractif. Mais dès que la situation
    s'envenime – et c'est ce qui se passe depuis 2008 –, les crédits montent en
    flèche. Etouffant ainsi les emprunteurs sous leurs dettes.

    Certains avanceront
    que les banques espagnoles ont été plus prudentes que leurs consoeurs
    américaines dans l'accord de prêt. Pour résumer, pas ou peu de prêts
    subprime (à haut risque) en Espagne. Ce n'est pas faux. Mais il y a un
    élément qu'il ne faut pas perdre de vue : le taux de chômage.

    Car les prêts à
    taux variables ne sont que le premier rouage de l'engrenage infernal. A cela il
    faut ajouter un effondrement du niveau de vie des Espagnols. Peu étonnant quand
    on sait que le taux de chômage atteint maintenant 25% de la population active –
    et qu'il dépasse les 52% pour les jeunes de moins de 24 ans. C'est pire qu'aux
    Etats-Unis. A vrai dire c'est pire qu'un peu partout en Europe.

    En parallèle, la
    valeur de l'immobilier a chuté dramatiquement. De nouveau un cercle vicieux : le
    niveau de vie baisse, les taux d'intérêts explosent, donc de plus en plus de
    ménages essaient de vendre leur bien pour ne pas se laisser entraîner vers le
    fond par l'explosion de la bulle immobilière. Le nombre de biens mis en vente
    explose alors que celui des acheteurs potentiels se réduit comme peau de
    chagrin. Qui veut acheter quand le chômage menace et que les taux
    explosent ?

    Plus de biens à
    vendre, moins d'acheteurs : le prix du m2 s'effondre... aggravant ainsi la
    situation financière des propriétaires.

    Le pourcentage de
    défaut de paiement des crédits (plus de 8%) flambe, entraînant dans son sillage
    les banques qui ont accordé ces prêts. Un mécanisme qui nous avons déjà vu à
    l'oeuvre aux Etats-Unis lors de la crise des subprime et depuis en
    Europe (en Angleterre, en Irlande, en Italie et en Espagne).

    Selon les
    estimations de la Banque d'Espagne, 60% des actifs détenus par les banques
    ibériques seraient des actifs immobiliers "problématiques". Ce qui représente
    tout de même 184 milliards d'euros.

    L'Etat
    espagnol à la rescousse de ses banques
    Que va-t-il se passer ? Les
    banques espagnoles vont devoir faire appel à l'Etat pour se sortir d'affaire.
    C'est d'ailleurs ce qu'elles ont déjà fait plusieurs fois par le passé – et
    c'est ce qui inquiète les agences de notation. Le gouvernement espagnol est déjà
    intervenu à trois reprises pour "nettoyer" les bilans des banques espagnoles. 50
    milliards d'euros ont ainsi disparu du bilan des banques.

    Le gouvernement
    espagnol a-t-il encore les moyens financiers ? Non. Certes la dette publique ne
    représente que 68% du PIB (contre 165% pour la Grèce et 86% pour la France) mais
    non seulement le volume des créances douteuses détenues par les banques, en
    particulier régionales, est largement sous-estimé mais surtout l'économie
    espagnole traverse sa seconde récession depuis 2008.

    Or sans croissance,
    l'Espagne ne risque pas de pouvoir sauver seule ses banques.

    Le mauvais
    pari de la BCE
    Ironie de la situation, la dernière action d'ampleur
    de la BCE a ajouté de l'huile sur le feu. Oui, je parle bien des deux opérations
    de LTRO d'un milliard d'euros qui ont permis aux banques européennes de se
    financer à bon compte. Qu'ont-elles fait de cet argent ? Elles ont acheté de la
    dette souveraine – ce qui était le but de l'opération. Mais quelle dette
    souveraine ? Celle de l'Allemagne ? Que nenni : celles de l'Espagne et de
    l'Italie.

    Les banques
    espagnoles ont acheté de la dette espagnole, et les banques italiennes de la
    dette... italienne. Alors certes, les rendements ont baissé... mais pour
    repartir à la hausse dès la fin du LTRO. Les rendements espagnols ont ainsi de
    nouveau franchi la barre des 6% et il y a fort à parier qu'ils passeront de
    nouveau rapidement au-dessus des 7%.

    Mais surtout, les
    banques se sont tiré une balle dans le pied en achetant ces obligations
    souveraines à risque. La sanction des agences de notation ne s'est pas fait
    attendre puisque, dans la foulée de la dégradation de la note souveraine de
    l'Espagne, Standard & Poor's a baissé la note de 9 banques ibériques.
    Normal, leur bilan s'est encore alourdi de créances douteuses... faisant peser
    des risques supplémentaires sur leur survie.

    Dans
    l'attente...
    Trois éléments à prendre en compte pour essayer
    d'anticiper ce qui nous attend :

    1. L'Espagne va
    avoir besoin de l'aide de l'UE et de la BCE. Sous quelle forme ? Aucune idée.
    Cette aide peut prendre la forme d'achats de créances par la BCE, de prêts aux
    banques espagnoles (toujours par la BCE) ou encore de plan de renflouement tel
    que celui qui a été accordé à la Grèce.

    2. Les élections.
    Il ne vous aura pas échappé que les élections présidentielles françaises – et la
    politique que choisira de suivre le futur président – font peser de quelques
    doutes sur l'évolution de la crise européenne.
    [Elections
    présidentielles : il y a peu de chances pour que le nouveau Président
    de la République ne vous donne des conseils pour vous protéger de la
    faillite de la France.

    Simone
    Wapler, par contre, si. Découvrez sa vidéo exclusive sur un phénomène
    qui est en train de se dérouler en ce moment même -- et qui menace
    votre épargne. Pour tout savoir, il suffit de cliquer ici.]

    Et dans
    Protection & Rendements, Claire Diaz fait quant à elle le point sur
    les conséquences possibles des élections législatives anticipées en Grèce. A lire ici...

    3. L'inaction.
    Jusqu'à présent, la zone euro a surtout démontré sa grande capacité à
    l'inaction... La crise grecque a traîné en longueur jusqu'à frôler la
    catastrophe (le défaut incontrôlé). Reste à savoir si les dirigeants européens
    sauront agir avec plus de fermeté face à la crise espagnole. N'oubliez pas que
    l'Espagne est la quatrième économie de la zone euro... et surtout que l'Italie
    n'est pas loin d'être dans une situation aussi précaire que la péninsule
    ibérique.

    J'espère, cher
    lecteur, ne vous avoir pas trop déprimé. Nous allons affronter une nouvelle
    crise de l'euro. Accrochez-vous à votre or.       HOLLANDE ET LA JUSTICE

    Cher ami,

    Vous connaissez sans doute des personnes qui sont encore indécises pour le second tour des élections, dimanche prochain.

    Peut-être même avez-vous des doutes, vous aussi.

    Si c'est le cas, alors je vous demande de regarder cette vidéo de toute urgence, et de la diffuser le plus largement possible à vos amis, votre famille, vos contacts sur Internet.

    Certains voudraient faire croire à la population que l'avenir pour vous sera à peu près le même, que ce soit l'un ou l'autre des candidats qui gagne.

    Mais c'est un énorme mensonge.

    En réalité, notre pays s'engagera dimanche prochain dans des voies diamétralement opposées, selon celui qui l'emportera.

    En quelques minutes, vous comprendrez. Pour voir la vidéo, cliquez ici : www.rassemblementjustice2012.fr/bilan/

    Bien cordialement,

    Laurence Havel
    Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.fr


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  • FREREDELACOTEDAF VOTERA BLANC /  ( enfin rouge :   CARTON ROUGE )                                                                                                                                                                

    Marine LE PEN : « Dimanche, je voterai blanc et en juin, bleu marine. » (vidéo)

    Publié parlegaulois.infoRubriques :,,,
    - POLITIQUE -
    Marine Le Pen n'a pas donné de consigne de vote à ses électeurs pour le second tour de l'élection présidentielle, mardi 1er mai.
    "Votez selon votre conscience, librement. Chacun d'entre vous fera son choix, selon sa sensibilité", a-t-elle lancé lors de son discours clôturant le traditionnel défilé en l'honneur de Jeanne d'Arc, place de l'Opéra, à Paris.
    "Je n'accorderai donc ni confiance, ni mandat à ces deux candidats, qui pour l'un cherche à faire gagner la droite, l'autre à faire gagner la gauche, mais qui s'ingénie depuis 30 ans à faire perdre la France", a-t-elle lancé pour expliquer pourquoi elle n'appelait pas à voter pour François Hollande ou Nicolas Sarkozy.
    "Dimanche, je voterai blanc et en juin, bleu marine"
    La présidente du FN, qui a recueilli près de 17,9 % des voix au premier tour, a indiqué ce qu'elle fera, à titre personnel, le 6 mai, à savoir voter blanc. "Dimanche, je voterai blanc et en juin, Bleu Marine", a-t-elle déclaré, en référence aux élections législatives des 10 et 17 juin.
    Le "rassemblement Bleu Marine" est le nom de l'alliance constituée entre le FN et des souverainistes pour ce scrutin législatif, sur lequel mise le parti frontiste pour obtenir des députés à l'Assemblée nationale.
    Le FN aborde les élections législatives en confiance : leur score du premier tour leur donne la possibilité d'espérer être présents dans plus de 350 circonscriptions au second                                                                                                                                                                   

    Marine Le Pen a choisi de ne pas choisir: «Dimanche, je voterai blanc», a lancé ce mardi 1er mai la candidate du Front national, qui avait réuni quelques milliers de personnes devant l'Opéra Garnier, à Paris.

    Mettant François Hollande et Nicolas Sarkozy dans le même sac de l'«UMPS» Marine Le Pen a lancé:

    «J'ai fait mon choix. Chacun d'entre vous, chacun d'entre nous, fera le sien. Je ne me bats pas tous les jours pour que vous soyez respectés, pour vous considérer à mon tour comme des enfants. (...) Vous êtes des citoyens libres et vous voterez selon votre conscience, librement. A titre personnel, je me détournerai de ces mirages.»

    En 2007, Jean-Marie Le Pen avait de son côté invité à l'abstention. Mais sa fille a ce 1er mai insisté sur l'importance du vote pour lutter contre «le système UMPS». Blanc donc, plutôt que l'abstention.

    Passer du «rôle d'idiots» à celui d'«arbitres»

    «Nous avons mené une très belle campagne, intelligente et populaire, s'est félicitée Marine Le Pen. Nous avons touché l'âme et l'intelligence des Français.»

    La candidate qui a réuni un peu plus de 18% des voix au premier tour a fustigé les mensonges et compromissions, les promesses électorales, évoquant la volonté de Nicolas Sarkozy de récupérer les voix du Front national. La présidente du Front national a cité Rousseau:

    «Jamais on ne corrompt le peuple mais souvent on le trompe.»

    «J'ai foi en la capacité des Français à déjouer les manipulations, a jugé Marine Le Pen. Soyez sûrs que notre rôle fut et sera immense, essentiel, historique. Car notre mission passe d'abord par le décryptage du mensonge, la dénonciation des trahisons, (...) les révélations des compromissions. Nous sommes devenus le centre de gravité de la politique française. Le débat aujourd'hui se concentre autour de nos propositions. L'élection à la présidence de la République n'est pas pour cette fois, mais nous avons posé les fondations de notre proche arrivée au pouvoir (...). Je vous l'annonce, ce mouvement qui s'est enclenché ne pourra plus être arrêté. Notre victoire est inéluctable», soulignant que le nombre d'années avant la victoire du FN se comptait sur les doigts d'une main, suggérant qu'à l'issue de ce mandat de 5 ans, elle pourrait prendre le pouvoir.

    L'élection s'est «terminée le 22 avril». Le 6 mai, «ce ne sera pas un président de la République qui sera élu», mais un esclave des institutions européennes, a clamé Marine Le Pen, ne faisant aucune distinction entre Nicolas Sarkozy et François Hollande.

    «Aucune des réformes qu'ils proposent, ne sera réalisée. (...) Ils ont menti avec aplomb, tous les deux, avec cet immense talent de se regarder sans rire quand ils s'opposent

    Marine Le Pen a ensuite listé une série de points repris par l'UMP, qui sont depuis longtemps au programme du Front national: immigration, présomption de légitime défense pour la police...

    «Tout cela trouverait aujourd'hui grâce à leurs yeux? Brutalement? (...) Faut-il en sourire ou s'en effarer? Que cela vous fait-il, mes chers amis, de passer du rôle d'idiots qui votent pour Marine Le Pen à celui d'arbitres de l'élection présidentielle?»

    Préparer l'avenir

    Préparant sans doute le changement de nom du Front national, Marine Le Pen a déclaré:  

    «Nous sommes le grand parti du Rassemblement national. Il n'y a plus ni droite ni gauche: ces deux faces du même système sont en train de se disqualifier. Nous sommes le rassemblement national, le parti de la réconciliation de tous les Français.»

    Louis Aliot, le numéro 2 du parti (et compagnon de Marine Le Pen) a déposé à l’INPI en janvier dernier le nom «Alliance pour un rassemblement national». Fin mars, le Front national avait annoncé que dès les législatives, il se rebaptisera temporairement «Rassemblement Bleu Marine», en vue d'une alliance avec des souverainistes.

    Au sujet des législatives justement, Marine Le Pen a précisé que si vraiment l'UMP était contre le mariage homosexuel, pour la régulation de l'immigration, contre le vote des immigrés, etc, dans un cas d'opposition PS - Front national, l'UMP ferait mieux de faire une alliance avec le Front national.

    La candidate a rappelé le vote crucial aux législatives avant de conclure son discours sous les applaudissements de quelques milliers de personnes réunies. Et de féliciter ses sympathisants: «Bravo à tous!»


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