-
Silence radio sur l'Islande ?
Sans nouvelles d’Islande : Pourquoi ?
Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on
a tout su au sujet de ce qui se passe en Egypte, en Syrie ou en Libye et pourquoi les
journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande :
En Islande,
- le peuple a fait démissionner un gouvernement au complet,
- les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la
dette qu’elles avaient contractée auprès de banques de Grande Bretagne et de
Hollande, dette générée par leur mauvaise politique financière
- une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution.
Et tout cela, pacifiquement.
Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise.
Voilà pourquoi rien n’a été publié pendant deux ans.
Que se passerait-il si les citoyens européens en prenaient exemple ?
Brièvement, voici l’histoire des faits :
- 2008 : La principale banque du pays est nationalisée. La monnaie s’effondre, la
bourse suspend son activité. Le pays est en banqueroute.
- 2009 : Les protestations citoyennes contre le Parlement font que des élections
anticipées sont convoquées et qu’elles provoquent la démission du Premier Ministre
et, en bloc, de tout le gouvernement.
La situation économique désastreuse du pays persiste. Par le biais d’une loi, il est
proposé à la Grande Bretagne et à la Hollande le remboursement de la dette par le
paiement de 3.500 millions d’euros, montant que paieront mensuellement toutes les
familles islandaises pendant les 15 prochaines années à un taux d’intérêt de 5%.
- 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise
à référendum.
En janvier 2010, le Président refuse de ratifier cette loi et annonce qu’il y aura une
consultation populaire.
En mars, le référendum a lieu et le NON au paiement de la dette remporte 93% des
voix.
Pendant ce temps, le gouvernement a entamé une investigation pour régler
juridiquement les responsabilités de la crise.
Les détentions de plusieurs banquiers et cadres supérieurs commencent.
Interpol lance une enquête et tous les banquiers impliqués quittent le pays.
Dans ce contexte de crise, une assemblée est élue pour rédiger une nouvelle
Constitution qui reprend les leçons apprises de la crise et qui se substitue à l’actuelle
qui est une copie de la constitution danoise.
Pour ce faire, on a recours directement au peuple souverain.
On élit 25 citoyens sans filiation politique parmi les 522 qui se sont présentés aux
candidatures. Pour cela, il faut être majeur et recueillir le soutien de 30 personnes.
- L’assemblée constituante commence ses travaux en février 2011 afin de présenter,
en partant des avis collectés dans les diverses assemblées qui ont eu lieu dans tout
le pays, un projet de Grande Charte.
Elle doit être approuvée par l’actuel parlement ainsi que par celui qui sera constitué
après les prochaines élections législatives.
Voici, en bref, l’histoire de la Révolution Islandaise :
- Démission en bloc de tout un gouvernement
- Nationalisation de la banque
- Référendum pour que le peuple puisse se prononcer sur les décisions
économiques fondamentales
- emprisonnement des responsables de la crise et
- réécriture de la constitution par les citoyens
Nous a-t-on parlé de cela dans les médias européens ?
En a-t-on parlé dans les débats politiques radiophoniques ?
A-t-on vu des images de ces faits à la TV ?
Bien sûr que non !
Le peuple islandais a su donner une leçon à toute l’Europe en affrontant le système
et en donnant une leçon de démocratie au reste du monde.
Le premier ministre Geir Haarde a officiellement remis lundi la démission de l'ensemble de son gouvernement au Président. La population juge responsable ses dirigeants de l'effondrement de son économie, suite à la crise bancaire.
Le gouvernement islandais n'a pas résisté à la crise. Le premier ministre Geir Haarde a annoncé lundi sa démission immédiate, ainsi que celle de ses ministres, sous la pression de la population qui les exhortait au départ ces dernières semaines.
L'Islande, île de 320.000 habitants non membre de l'Union européenne, qui avait basé sa prospérité sur un secteur bancaire hypertrophié, a en effet vu son économie terrassée par la crise internationale à l'automne. En octobre, le gouvernement a été contraint de prendre le contrôle à la hâte des trois premières banques du pays, à court de liquidités, suscitant la colère des habitants dont nombre ont perdu leur emploi et vu leurs économies partir en fumée.
Et si Geir Haarde avait annoncé il y a quelques jours qu'il ne se représenterait pas en 2011 pour raisons de santé, cela n'avait pas suffi à calmer la population, habituellement très consensuelle. 5.000 personnes étaient encore descendues dans la rue samedi.
Le pays des geysers était l'un des Etats les plus prospères de l'OCDE ces dix dernières années. L'Islande, dont une partie majeure de l'économie reposait d'abord sur les services et la finance, était même devenue en 2007 le pays où le PIB par habitant était le plus élevé au monde. Mais du fait de la crise financière, le pays va connaître cette année une contraction de 9,6% de son économie. Le chômage, jusqu'alors anecdotique, devrait toucher 7,8% de la population active.
Le parti de l'Indépendance, formation de centre-droit du premier ministre, partageait le pouvoir avec le parti social-démocrate depuis mai 2007 pour un mandat de quatre ans. Présentant sa démission, Geir Haarde a précisé qu'il souhaitait une nouvelle coalition avec tous les partis et être reconduit comme chef du gouvernement. Les Islandais, de leur côté, sont appelés à des élections anticipées le 9 mai prochain
Le Premier ministre islandais a indiqué que ses concitoyens avaient le choix entre l'adoption d'une monnaie étrangère ou bien l'entrée dans l'euro. Un ultimatum très politique.L'Islande ne veut plus de sa propre monnaie. Dans un discours prononcé devant les délégués de son parti, l'Alliance sociale-démocrate, le Premier ministre de l'île nordique, Johanna Sigurdardottir, a indiqué que les jours de la couronne, la monnaie nationale, était comptée. "Le choix se situe entre "l'abandon de la souveraineté du pays en matière de politique monétaire en adoptant unilatéralement la monnaie d'un autre pays ou devenir un membre de l'Union européenne." Mais pour le chef du gouvernement islandais, "la situation ne peux pas rester en l'état".
Crise de 2008
Petite économie d'une dizaine de milliards d'euros de PIB pour quelques 380.000 habitants, l'Islande a été l'une des premières victimes de la crise de 2008. Ses banques démesurées au regard de la richesse nationale se sont effondrées dans la foulée de la crise financière internationale. Leurs engagements en devises les ont largement dépassées et elles ont dû faire appel au gouvernement qui a fait appel à la planche à billets. Le déficit public a atteint 12 % du PIB en 2009 et évolue encore aux alentours de 7 %. Consulté par référendum, les Islandais ont refusé de payer les créanciers d'Icesave, banque active aux Pays-Bas et au Royaume-Uni qui avait fait faillite en 2008.Difficile stabilité monétaire
Depuis, la Sedlabanki, la banque centrale islandaise, tente de sauvegarder la stabilité de la monnaie, souvent en vain. Vendredi, elle a acheté 12 millions d'euros pour soutenir la couronne. Pour une économie aussi ouverte et petite que l'Islande, les variations monétaires sont très néfastes. Plusieurs petites économies ont du reste adopté des monnaies étrangères dans le passé : le Luxembourg utilisait ainsi le franc belge, le Liechtenstein utilise le franc suisse, la couronne danoise est attachée de près à l'euro...Négociations avec l'UE
C'est du moins l'analyse de Johanna Sigurdardottir, arrivée au pouvoir le 1er février 2009, et qui s'est engagé à l'été 2010 dans une démarche d'adhésion à l'Union européenne (UE). Pour le moment, les négociations patinent autour de la question de la pêche qui reste un secteur vital pour l'île. Or, l'ouverture des eaux nationales et les restrictions posées par l'UE ne plaisent guère aux Islandais. Surtout, la crise de l'euro a rendu bien peu attrayante la monnaie unique européenne. Selon les sondages, 56,2 % des Islandais ne souhaitent pas entrer dans l'UE, contre 26,3 % qui le souhaitent.
Raisons politiques
Le Premier ministre entend donc montrer à ses concitoyens qu'ils n'ont guère le choix. Pour stabiliser son économie, l'Islande ne peut selon elle choisir qu'entre la dollarisation ou l'euro. Et d'avancer : l'avantage de ce dernier réside dans le fait que Reykjavik aura alors son mot à dire. Sinon, elle devra subir les choix étranger sans rien dire. Les déclarations de Johanna Sigurdardottir sont donc avant tout politiques, elles visent à faire pencher à nouveau la balance populaire en faveur de l'UE. Son but est toujours de faire entrer l'Islande dans la zone euro en 2015.
votre commentaire -
M. Mélenchon "nationalise" Hénin-Beaumont
LE MONDE | 19.05.2012 à 11h03 • Mis à jour le 19.05.2012 à 11h03
La stratégie de Jean-Luc Mélenchon est de faire de sa campagne "une bataille nationale", en s'appuyant sur le programme qu'il a défendu à la présidentielle. | AFP/JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN
le FN local "quatre alcooliques et dix dégénérés".
Oignies mardi 15 mai, Rouvroy et Méricourt vendredi 18, Carvin samedi 19 : Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, est entré cette semaine dans le vif du sujet. Et assume son statut de parachuté, même s'il n'aime pas le mot. "Oui, je le suis depuis que ma mère m'a mis au monde", s'est-il de nouveau justifié, vendredi, devant plusieurs centaines de personnes lors de son premier meeting à Méricourt, une des quatre villes communistes de la circonscription.
Comment faire autrement quand on a mis le pied à Hénin-Beaumont pour la première fois le jour de l'officialisation sa candidature ? L'ancien champion du Front de gauche pour la présidentielle sait bien qu'il serait vain à quelques semaines de l'élection de vouloir "faire ch'ti".
"SON SLOGAN C'EST : 'LES CAMÉRAS D'ABORD'"
La stratégie de Jean-Luc Mélenchon est de faire de sa campagne "une bataille nationale", en s'appuyant sur le programme qu'il a défendu à la présidentielle : partage des richesses, référendum sur le traité européen, smic à 1 700 euros... Des thématiques qui, estime-t-il, peuvent avoir une résonance particulière sur cette terre ouvrière, en pleine désindustrialisation. "Tous les enjeux nationaux sur lesquels je me construis ont une signification très locale", juge-t-il.
Le candidat en veut pour preuve la lutte des ex-ouvriers de l'usine Samsonite d'Hénin-Beaumont dont les anciens dirigeants étaient jugés en appel, mercredi à Paris, pour avoir provoqué la faillite de l'entreprise. Si son suppléant communiste, Hervé Poly, était au départ du car à Hénin-Beaumont, c'est M. Mélenchon qui attendait les anciens salariés au palais de justice de la capitale. "Qui a une réponse locale au problème des Samsonite ? Personne !" s'est-il exclamé vendredi à Méricourt, en défendant une loi sur l'interdiction des licenciements boursiers. Une stratégie à l'opposé de celle du candidat socialiste Philippe Kemel, maire de Carvin : "Il ne s'agit pas de jouer un autre tour de la présidentielle, mais de désigner des élus locaux qui ont une bonne connaissance du terrain", dit-il.
"Si M. Mélenchon se souciait du sort des habitants de la circonscription, il aurait pointé le bout de son nez avant, ajoute Steeve Briois, conseiller municipal d'opposition à Hénin-Beaumont et secrétaire général du parti de Marine Le Pen. Son slogan, ce n'est plus 'L'humain d'abord' mais 'Les caméras d'abord'." Porte-à-porte, distribution de tracts dans les boîtes à lettres, rencontre dans des cafés sont donc au programme de la campagne législative de M. Mélenchon... mais surtout pour les communistes. C'est le PCF local - environ 300 à 400 militants sur la circonscription - qui s'occupera du travail de terrain. Le candidat du Front de gauche "ne peut pas se mettre à 100 % sur la circonscription, c'est normal", répond M. Poly. Un meeting sera également organisé chaque semaine.
"À TOUS CEUX QUI SONT FÂCHÉS ET PAS FACHOS"
Le député européen assure que sa bataille contre Marine Le Pen n'est pas "personnelle" et qu'il ne souhaite pas "un combat de catch". Mais il ne peut s'empêcher de décrire à des journalistes le FN local comme "quatre alcooliques et dix dégénérés". "Au visage de la haine", il veut opposer celui de la "fraternité et du partage". Si M. Mélenchon a fait de la lutte contre l'extrême droite le moteur de sa candidature, il ne se privera pas d'instaurer un autre bras de fer, avec le PS local. Tout comme Mme Le Pen, il espère bien rassembler autour de sa candidature des socialistes qui pourraient être lassés des guerres intestines et des affaires qui minent la fédération du Pas-de-Calais.
"A tous ceux qui sont fâchés et pas fachos, je propose de venir se mettre en colère avec nous", a lancé M. Mélenchon au public de Méricourt. Sur le premier tract de campagne tiré à 55 000 exemplaires, il se présente, avec M. Poly, comme les représentants de "la gauche sans complexe et sans casserole". Sur cette terre de gauche, majoritairement socialiste, M. Mélenchon ne manque pas non plus de rappeler ses années au PS. "Pour beaucoup, je reste un socialiste et ce n'est pas pareil que de voter communiste", dit-il.
Ce qui "manque" à la campagne de M. Mélenchon, c'est surtout du temps, selon ce dernier. D'autant qu'il a accepté de participer à des réunions publiques en dehors de la circonscription : lundi à Paris, avec son homologue grec de la gauche radicale, Alexis Tsipras, mardi à Strasbourg pour une session du Parlement européen. Il ne sera de retour dans la circonscription que jeudi, et la quittera de nouveau le 29 mai pour aller soutenir son ex-directeur de campagne, François Delapierre, dans l'Essonne. Il ne restera alors plus que quelques jours avant le scrutin. Ce 10 juin, il devra d'ailleurs voter à Paris, où il est inscrit sur les listes électorales
votre commentaire -
Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux, a été condamnée par la justice en octobre 2004
Le nouveau Garde des Sceaux est une reprise de justice ! Ayrault, puis Fabius et maintenant Taubira… Le candidat socialiste déclarait le 14 avril dans Le Journal du Dimanche : « Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées. » Un quinquennat hollandien qui commence donc par un bien gros mensonge…Le 15 mai, soit exactement un mois après cette déclaration médiatique, François Hollande, président de la République fraichement intronisé, nommait Jean-Marc Ayrault, son ami et compagnon de route au PS, Premier ministre. Le nouveau Premier ministre avait été, en 1997, condamné à six mois avec sursis et à l’équivalent de 4.500 euros d’amende pour favoritisme dans une affaire de marché public. N’ayant fait l’objet d’aucun appel, la peine est devenue effective en 1997 et a été considérée comme exécutée cinq ans plus tard. Et le député-maire de Nantes a été réhabilité en 2007.Même chose pour Laurent Fabius : le député de Seine-Maritime, ancien Premier ministre de François Mitterrand, avait été mis en examen pour homicide volontaire de l’affaire du sang contaminé. Il a comparu en février et mars 1999 devant la Cour de justice de la République qui l’a relaxé le 9 mars 1999. Il est devenu le ministre des Affaires étrangères de François Hollande.Et aussi pour Christiane Taubira, devenue Garde des Sceaux, qui, en septembre 2004, a été condamnée aux dépens pour le licenciement injustifié et la rupture abusive de son ancienne assistante parlementaire Sylvia Edom.À l’époque L’Express relatait l’évènement comme suit : « La rentrée parlementaire de Christiane Taubira a eu lieu en avance, dans une petite salle au quatrième étage du conseil des prud’hommes de Paris, où, le lundi 27 septembre, la députée de la Guyane a été condamnée. Son ancienne assistante parlementaire d’octobre 2002 à avril 2003, Sylvia Edom, a obtenu la requalification de ses deux CDD en CDI. Le conseil a également estimé son licenciement injustifié et la rupture du CDD « abusive ». Si elle échappe au paiement d’heures supplémentaires réclamé par la partie adverse, l’ex-candidate à l’élection présidentielle devra lui verser 5.300 euros. Se disant « sûre de son bon droit », elle ne s’interdit pas de faire appel et s’ « étonne du bruit soulevé par cette affaire ordinaire ».Celle-ci témoigne d’un malaise grandissant chez les assistants. Selon l’Union syndicale des collaborateurs parlementaires, il y a eu depuis le début de l’été environ 70 licenciements parmi les petites mains des députés. Le secrétaire général de l’organisation, Jean-François Cassant, évoque la multiplication de « mauvaises pratiques » à l’Assemblée depuis un an. Et passe à l’offensive : le 5 novembre, il présentera avec son homologue du Sénat un projet de convention collective des assistants parlementaires. Une démarche symbolique, car l’Assemblée ne peut pas signer un tel texte, n’étant pas considérée comme l’employeur des assistants, même si elle alloue chaque mois aux députés 7 500 euros pour rémunérer leurs collaborateurs. C’est ce qu’a confirmé le 18 février la Cour de cassation : « Les députés composant l’Assemblée nationale ne constituent pas une unité économique et sociale. » Chacun d’entre eux gère donc sa petite entreprise comme il l’entend. Au risque, tout de même, de se faire taper sur les doigts s’il ne respecte pas la loi. Un comble pour ceux qui l’élaborent. »Pas joli, joli, le sens social de Madame le Garde des sceaux !Le 10 mai 2001, le Sénat français adoptait en deuxième et dernière lecture la proposition de loi de la députée de Guyane Christiane Taubira reconnaissant la traite et l’esclavage comme crime contre l’humanité. Cinq ans plus tard, le 10 mai devenait par décret « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions ». On s'étonnera donc de la conduite de Mme Taubira, connaissant ses prises de positions sur l'esclavage ( faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais ) < tout est relatif >
votre commentaire -
-
Pour ceux qui n'auraient pas encore compris pourquoi on est de plus en plus dans la merde http://www.onnouscachetout.com/comprendre-lorigine-de-la-dette-en-quelques-minutes
samedi 19 mai 2012
Grèce : Les industriels prêts à imprimer de la Drachme
Publié parlegaulois.info Rubriques :Actualité,Economie,Europe,InternationalLe scénario d'une sortie de la Grèce de la zone euro est évoqué de plus en plus souvent. Du coup, les imprimeurs de billets de banque se préparent.Pour l'instant, Athènes n’a donné aucun signal officiel. Mais les professionnels de l’impression de billets anticipent une sortie de la Grèce de la zone euro. Parmi eux, De La Rue, le numéro un mondial du secteur, qui serait en train de préparer un plan d'urgence.Il aurait ressorti du placard ses vieilles machines pour fabriquer des Drachmes, selon la presse britannique. Il y a plus de 10 ans que De La Rue n'a pas fabriqué de monnaie grecque. Il faut donc anticiper le branle-bas de combat, car imprimer les billets d'une nouvelle monnaie est une opération longue et complexe, qui prend au moins 6 mois selon un analyste.Et si la Grèce devait effectivement sortir de la zone euro, la demande serait telle pour la monnaie grecque, que la Banque centrale grecque serait obligée de faire appel à des acteurs privés pour soutenir la production.C’est justement sur ça que compte De La Rue, qui communique à tout va sur sa capacité à anticiper et à se tenir prêt. Une stratégie gagnante : son titre a pris plus de 10 % en un mois à la Bourse de Londres.D'autres acteurs seront sûrement mis à contribution, selon un analyste. Notamment Oberthur Fiduciare, le Français, numéro 3 mondial du secteur. Aucun commentaire du côté d'Oberthur et de De La Rue.
votre commentaire -
mercredi 16 mai 2012
Les journalistes ont soutenu HOLLANDE pour accroître leurs privilèges sociaux et fiscaux
En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande anti-Sarkozy. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : l'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l’heure où les niches fiscales ont mauvaise presse.La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d’annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l’allocation pour frais d’emploi des journalistes, une niche fiscale qu’avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée.Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l’exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d’impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros.Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d’une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne.EnFrance, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n’en déclare en fait que 27.000.Ces 110 professions bénéficiaient d' un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse.Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d’une déduction supplémentaire de 30%.En 1996, au nom d’une vaste réforme sur l’impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification».Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris.Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche.On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d’un fonds budgétaire pour compenser la hausse d’impôts que subiront les journalistes.Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l’avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l’avantage pour les plus riches.Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication : la profession s'est mobilisée, les autres ne l’ont pas fait suffisamment.COMMENT JUSTIFIER CETTE DIFFÉRENCE DE TRAITEMENT FACE À L’IMPÔT ?«On considère que le travail du journaliste ne s’arrête jamais, répond Michel Diard.Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l’entreprise de presse».Les journalistes seront ravis d’apprendre que leur Macbook est financé par l'État. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins.Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar.À savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença.Donc un journaliste célibataire gagnant 2.500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9.000€ au lieu de 7.650€.Imaginez : Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 120.000€ par mois ils peuvent donc déduire 54.000€;Laurence Ferrari gagne 400.000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120.000€.Jean-Michel Apathie 400.000€ par mois soit une déduction de 144.000€. Alain Duhamel 560.000€ par mois déduction de 207.600€.De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement.HOLLANDE LEUR A PROMIS QU’IL LEUR RÉTABLIRAIT CE DROIT DÈS SEPTEMBRE 2012Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler. Comme quoi tous ces journalistes qui crachent sur les riches, et qui n’ont pas de mots assez forts pour dénoncer le Sarko bling bling se gardent bien de parler de leurs avantages fiscaux.À savoir que Valérie Trierweiler est petite-fille et arrière petite fille de Banquier ?Elle n’est pas issue d’un milieu modeste comme elle essaie de le faire croire. Elle a un gros patrimoine immobilier, comme François Hollande avec sa SCI « La Sapinière » et son agence à Londres.Ils veulent bien taxer les riches mais pas eux, car avec leur salaire de smicard ils ne pourraient plus vivre, on les comprend d’ailleurs fort bien. Une grande Injustice. 42.500 journalistes bénéficieront de cet avantage, mais on peut aussi se déclarer journaliste fiscalement sans carte de presse. Et des proches de journalistes, qui ne sont pas journalistes se déclarent journalistes sans carte de presse, sport très prisé chez les amis de l’Humanité et du Canard Enchainé.Il n'empêche que cette niche fiscale laisse un sale goût dans la bouche des journalistes. Tout le monde comprend bien l'injustice de la mesure et le souci éthique qui se pose. Dans ce débat, les journalistes sont juges et parties puisqu'ils ont le pouvoir de mobiliser ou non l'opinion publique. Mais ces derniers ne veulent aucunement que l’on touche à leurs avantages et désirent les accroître. Ce n'est pas plus glorieux que les parlementaires qui votent eux-mêmes leur rémunération.Une suppression de cet avantage fiscal serait néanmoins compliquée à mettre enœuvre. Les syndicats demanderaient immédiatement une augmentation de salaire correspondant à la perte subie, ce qui au vu de la situation financière des journaux s'annonce bien délicat (à moins que le gouvernement rende l'argent de l'autre côté par des aides à la presse).N’en doutons pas cette loi sera votée, et vous pouvez être sûr, que cela ne fera pas la une du journal de 20h00 ni la première page du journal l’Humanité, ni du Canard Enchaîné.AVANTAGES SUR LES CONGÉS MALADIESAu-delà de trois mois de présences les journalistes ont le droit à la totalité de sa rémunération mensuelle pendant 3 mois, ils ont demandé à François Hollande de porter la durée à 6 mois. Et au-delà au 2/3 de la rémunération mensuelle plus le supplément familial dans son intégralité. Les journalistes ont la prise en charge intégrale de leur cure thermale par la sécurité sociale et ouvrent droit aux mêmes conditions d'indemnisation que celles prévues pour la maladie simple et sont prises en compte dans la durée de celle-ci.Les journalistes en service, victimes d'accidents du travail ou de trajet, ou atteints de maladie professionnelle contractée à l'occasion de leur travail, conservent, pour tous les arrêts reconnus par la sécurité sociale comme directement liés à l'accident du travail ou à la maladie professionnelle, l'intégralité de leur rémunération dans la limite de deux ans, Ils ont demandé à François Hollande de passer cette durée à 4 ans.En cas d'incapacité permanente partielle telle qu'elle est reconnue par la sécurité sociale, le journaliste a droit à une priorité de reclassement dans une fonction compatible avec son état physique, avec maintien de tous ses droits (y compris la déduction fiscale), notamment en matière de salaire.À compter de la date de leur engagement, les journalistes atteints d'une affection de longue durée reconnue par la sécurité sociale entraînant momentanément une incapacité totale d'exercer leur fonction conservent pendant les trois premières années l'intégralité de leur salaire et les avantages fiscaux. Ils ont demandé à François Hollande que la durée soit portée à 5 ans. Ils ont eu la promesse que cela serait fait en Septembre.QUELS AVANTAGES POUR FRANÇOIS HOLLANDE?Pour François Hollande, il est important d’avoir la majorité des journalistes à ses côtés afin de nous faire avaler tous les mensonges de sa future politique. Pour un chef d’État il est très important d’avoir le pouvoir médiatique de son côté, même si cela doit passer par l’attribution de niche fiscale, afin d’avoir une emprise sur les médias. Ce qu’avait parfaitement compris François Mitterrand.De ce fait il pourra dire et faire croire aux français ce qu’il veut. Après le département le plus endetté de France, la Corrèze, nous aurons le pays le plus endetté d’Europe, la France.Les Français vont encore jouer les cigales, pendant qu’une minorité de fourmis va devoir travailler comme des dingues pour engraisser tout ce petit monde.Merci messieurs et mesdames les journalistes…
votre commentaire -
Jean-Marc AYRAULT a fait voter 200 000 euros de subvention aux islamistes de l'AIOF-UOIF à Nantes
Publié parlegaulois.info Rubriques :Islamisation,PolitiqueL'Association Islamique de l'Ouest de la France (AIOF), rattachée à la sulfureuse fédération de l'UOIF, a bénéficié pour sa mosquée du quartier de Malakoff à Nantes d'un généreux don destiné au "centre culturel" qui jouxte la mosquée. "L'AIOF finance la construction, estimée à 4,4 millions d'euros, en quasi-totalité, la Ville apportant 200 000 € pour le centre culturel. La souscription lancée par l'association a permis à ce jour de recueillir près de 1,5 million, juste de quoi payer le gros-oeuvre.« Mais maintenant que le chantier démarre, les dons vont affluer », pense Ahmed Loukili, responsable technique du projet.TARIK RAMADAN FAIT LE PLEINL'AIOF est rattachée à l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), réputée proche des Frères musulmans, et dont le président, Lhaj Thami Breze, était présent hier à Nantes. « Cette nouvelle mosquée sera un lieu ouvert. On y enseignera l'islam mais aussi les valeurs de citoyenneté, d'entraide, d'ouverture sur les autres ». La pose de la première pierre a eu lieu en marge de la première rencontre annuelle des musulmans de l'Ouest organisée par l'AIOF à la cité des congrès. Invité d'honneur : le très contreversé Tariq Ramadan dont la conférence sur le thème du« Vivre ensemble en société » a fait salle comble." (source)L'Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) a été médiatisée début avril pour s'être vu refuser l'entrée sur notre territoire de six de ses conférenciers vedettes (lire), connus pour enseigner l'extermination des Juifs (lire), le meurtre des apostats et des homosexuels, la violence envers les femmes désobéissantes, la conquête de l'Europe etc...L'adjoint au maire de Nantes et très proche conseiller de Jean-Marc Ayrault, Pascal Bolo, s'était déplacé en personne pour poser la première pierre de la mosquée (à droite sur la photo ci-contre).
votre commentaire -
FRANCE RÉVEILLE-TOI !Ma France a un hymne et c'est la Marseillaise.Ma France a une cuisine et c'est la bouillabaisse.S'il arrive à ma France de manger du couscous,Ma France ne veut porter ni burqa ni burnous.Et pour que ses vêtements n'envahissent pas nos régions ...FAITES DONNER LA LÉGION.Ma France c'est un bistrot où coule le gros rouge.Ma France n'a qu'un drapeau et il est bleu, blanc, rouge.Ma France mange du porc et du bon saucissonEt n'entend rien changer à ses belles traditions.Et s'il faut à ces cons faire entendre raisonFAITES DONNER LA LÉGION.Ma France c'est un village surmonté d'un clocherEt non pas un fondouk doté d'un minaret.Nul ne veut un imam à la place d'un curéOu voir une fatima jouer les députés.Et face à cette racaille qui pollue la nationFAITES DONNER LA LÉGION.Ma France se veut être fille aînée de l'église.Ma France est généreuse mais chrétienne avant tout,Et si toutes les autres sont largement admises,Vraiment aucune nouvelle s'imposera chez nous.Et face aux islamistes qui huent notre religionFAITES DONNER LA LÉGION.Ma France n'a rien de black et encore moins de beur,Ma France n'est pas plus jaune que grise, mais bien blanche,Et si nous accueillons tous les gens de couleurs,Ce n'est pas uniquement pour qu'ils fassent la manche.Et face aux immigrés qui bouffent tout notre pognonFAITES DONNER LA LÉGION.Ma France n'a que faire de tous les clandestinsEt autres sans-papiers qui gâchent notre quotidien.Il faut les renvoyer manu militarique cela plaise ou non à certains ahuriset, face aux envahisseurs qui occupent nos maisonsFAITES DONNER LA LÉGION.Les terrains de football ne sont plus que crachoirsoù des soi-disant français sifflent l'hymne national.Pour l'heure seul le rugby fait bien plaisir à voir,Les matchs ne finissant pas en bagarre générale.Aussi pour que les stades n'aient plus un seul morpionFAITES DONNER LA LÉGION.Les banlieues parisiennes sont des zones de non-droitoù certains trous du cul font régner leur seule loi.Policiers et pompiers ne peuvent intervenir sansse faire caillasser ou bien se faire pourrir.Si nos forces de l'ordre ont peur de la bastonFAITES DONNER LA LÉGION.Nous n'invitons personne à regagner la France,Mais que les étrangers qui y sont respectent bien nos lois.Nous entendons tous vivre en bonne intelligence,Mais avec des personnes qui aiment notre toit.Et si malgré cela ils n’entendent pas raisonFAITES DONNER LA LÉGION.
votre commentaire -
LYON - La Licra accusée de diffamation
Mis à jour le 15.05.12 à 05h13Le tribunal correctionnel de Lyon examinera mardi la plainte de l'association Regards de femme pour diffamation à l'encontre de la Licra, Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme. Dans son bulletin du mois de janvier, la Ligue, qui consacrait un dossier sur l'extrême droite à Lyon, avait qualifié Regards de femme de mouvement « raciste, xénophobe et révisionniste, cachant derrière un discours anti-musulman un renouveau du racisme anti-arabe ». L'audience est prévue à 14 h.C. G.
FN : une "liste noire" de La LicraAFP Mis à jour le 15/05/2012 à 17:29 | publié le 15/05/2012 à 17:25Réactions (160)La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a annoncé aujourd'hui qu'elle dresserait la "liste noire" des candidats aux élections législatives "se réclamant des thèses haineuses et xénophobes du Front national".
"Des candidats du Front national (FN), remaquillé pour la circonstance en Rassemblement Bleu Marine, pourraient entrer à l'Assemblée nationale le 17 juin prochain", souligne dans un communiqué la Licra, qui a décidé "de mener campagne ces prochaines semaines pour faire battre le FN dans les urnes".
"La Licra demandera dans une charte présentée aux candidats, de droite comme de gauche, un engagement de désistement en faveur du candidat républicain le mieux placé s'il y a un risque d'élection d'un représentant de l'extrême droite", indique-t-elle dans son communiqué. "Cette charte républicaine ainsi que la liste noire de la Licra seront rendues publiques prochainement", précise le président de la Ligue, Alain Jakubowicz. "Il n'y a aucune compromission possible avec le FN : le seul 'ni ni' qui vaille est 'ni avec le Front National ni avec ses idées'", ajoute-t-il.
La Licra rencontrera des candidats aux législatives pour présenter ses "50 propositions pour une France plus fraternelle", déjà soumises aux principaux candidats à l'élection présidentielle (www.50propositions-licra.org). RETOUR SUR L'HISTOIRE :De nombreux chefs de la collaboration furent-ils membres de la LIC(R)A ? (rediff)
18/03/10
Eric Zemmour s’est exprimé cette semaine sans prendre de pincettes sur les liens troublants entre la LIC(R)A, la gauche dreyfusarde et la collaboration (cf vidéo à partir de 11 minutes). La LICRA n’a pas répondu…
« L’antisémitisme le plus puissant n’est pas en 40, contrairement à ce qu’on croit aujourd’hui, celui de l’extrême-droite et de l’Action Française : le plus virulent dans les années 40 sous l’occupation c’est l’antisémitisme de la gauche pacifiste, de Laval et de tous les autres. (…) L’historien israélien Simon Epstein** montre que la plupart des collabos viennent de la gauche pacifiste, socialiste, radicale, antiraciste : il note tous les discours qu’ils faisaient à la LICRA dans les années 20 contre l’antisémitisme et le racisme, et tous ceux-là sont passés à la collaboration ! »
Caricature tirée du journal collaborationniste Au Pilori, 1er octobre 1942**Spécialiste de l’antisémitisme, Simon Epstein a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des Juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.
Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA, l’ancêtre de la LICRA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d’une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux Juifs. C’est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s’appliquant aussi à démonter l’occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l’objet dans les mémoires françaises.
votre commentaire -
Origines, études et famille
Jean-Marc Ayrault est le fils de Joseph Ayrault[1] (né en 1921), de Maulévrier, ouvrier agricole, ouvrier dans une usine textile, puis cadre dans cette même usine, et de Georgette Uzenot (née en 1928), de Nantes, couturière puis femme au foyer.
Il est élève de l'école primaire catholique Saint-Joseph de Maulévrier et, de 1961 à 1968, du lycée public Colbert de Cholet[2]. Il fait ensuite des études supérieures d'allemand à l'université de Nantes. En 1969-1970, il passe une partie de l'année (un « semestre ») en Allemagne, à Wurtzbourg. Il est licencié en allemand en 1971, puis passe le CAPES en 1972. Il fait son année de stage au collège de la Trocardière (Salvador-Allende) à Rezé et est nommé professeur à Saint-Herblain au collège de l'Angevinière en 1973.
Jean-Marc Ayrault est exempté du service national en 1976. Devenu maire de Saint-Herblain, il n'occupe plus pendant quelques années qu'un poste de professeur à mi-temps.
Vie privée
En septembre 1971[3], il épouse Brigitte Terrien, de Maulévier, étudiante en Lettres modernes, professeur de français à partir de 1974. Elle devient ensuite conseillère générale du canton de Saint-Herblain-Ouest-Indre entre 1982 et 2001. Ils ont deux enfants.
Premier ministre
Il est nommé Premier ministre de François Hollande le mardi 15 mai 2012. Traditionnellement, sa première action sera de choisir puis de soumettre la constitution du gouvernement au Président de la République, le mercredi 16 mai 2012. Ce gouvernement sera le 35e gouvernement de la Ve République française.
Détail des mandats et fonctions
- 14 mars 1977 - 12 mars 1989 : maire de Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
- 1976-1982 : conseiller général de Loire-Atlantique
- 2 avril 1986 - 14 mai 1988 : député de Loire-Atlantique
- 1997-2007 : président du groupe Socialiste à l'Assemblée nationale française
- Depuis le 5 juin 1988 : député de la 3e circonscription de Loire-Atlantique
- Depuis le 18 mars 1989 : maire de Nantes (Loire-Atlantique)
- Depuis 2002 : président de Nantes Métropole
- Depuis 2007 : président du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche à l'Assemblée nationale française
- Depuis 2007 : président du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche à l'Assemblée nationale française
- Depuis le 15 mai 2012 : Premier Ministre de François Hollande
En 2009, selon un classement publié par le quotidien Le Monde, il est le deuxième homme politique français par le cumul des mandats (sa présidence du groupe des députés PS n'étant pas prise en compte dans le classement). Il a déclaré « assumer pleinement » tout en précisant que « la limitation du cumul va dans le sens de l'histoire »[20],[21]. Jean-Marc Ayrault gagne 8 100 € d'indemnités par mois[22].
Il occupe des postes honorifiques : en 1992, il est président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains ; de 1995 à 1997, il préside l'Association des maires de grandes villes de France. Le 19 décembre 1997, il est condamné à une peine de six mois de prison avec sursis et 30 000 F d'amende pour favoritisme, après l'octroi, de décembre 1991 à décembre 1993, sans mise en concurrence ni appels d'offres ni contrat, du marché d'impression du journal municipal nantais à Daniel Nedzela, homme d'affaires proche du PS, pour un budget d'impression évalué à six millions de francs par an[10]. Jean-Marc Ayrault se défend en affirmant qu'il n'imaginait pas que la loi de 1991, qu'il avait votée, pouvait s'appliquer pour un marché public de quelques millions de francs. Il défend le projet de construction du nouvel aéroport de Notre-Dame des Landes, surnommé par les opposants à ce projet l'Ayraultport Concernant l'éventualité d'un redécoupage des régions préconisé par le rapport du comité Balladur, Jean-Marc Ayrault est opposé, tout comme Jacques Auxiette, mais contrairement à Jean-Yves Le Drian, à Patrick Mareschal ou à son adjoint Jean-Louis Jossic, à ce que la Loire-Atlantique rejoigne la Région Bretagne[8]. Et pour cause , né en maine et loire d'une famille originaire des deux sèvres, ce Poitevin ne vois pas d'un bon oeil la Loire Atlantique retournée dans sa région d'origine avec toutes ses richesses, par contre rien ne l'indispose quand il s'agit de construire un nouvel aéroport sur les terres Bretonnes avec toutes les nuisances qui s'ensuivent( quand on sait que les Bretons ont voté majoritairement socialiste ) < c'est donner la corde pour se faire pendre > Attendons maintenant la nommination des autres Larrons
Nomination d'Ayrault - Le Pen : "La première grosse erreur"
Le Point.fr- Publié le 15/05/2012 à 18:03
La présidente du Front national a relevé mardi la condamnation du nouveau Premier ministre pour favoritisme en 1997.
La présidente du Front national, Marine Le Pen, a relevé mardi la condamnation de Jean-Marc Ayrault pour favoritisme en 1997 et a affirmé que sa nomination comme Premier ministre était la "première grosse erreur" de François Hollande. Réagissant au micro de BFM TV, Marine Le Pen a estimé qu'il s'agissait d'"une première rupture dans le contrat de confiance que François Hollande a voulu instaurer avec le peuple français". "Jean-Marc Ayrault, compte tenu de la condamnation qui a été la sienne il y a plusieurs années, ne correspond pas aux engagements qui avaient été pris par François Hollande", a-t-elle poursuivi.
Jean-Marc Ayrault avait été condamné en 1997 à six mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende (4 600 euros) pour favoritisme dans l'attribution d'un marché public, en l'occurrence le journal municipal de la ville de Nantes, dont il était maire. Dix ans plus tard, Jean-Marc Ayrault a bénéficié d'une réhabilitation pour cette condamnation, comme le prévoit le Code pénal. "Le problème n'est pas de savoir si cette condamnation est grave ou pas, c'est un problème de principe. On nous avait dit que le sarkozysme, c'était terminé. Or ça ressemble quand même grandement à une République irréprochable qui, dès les premiers jours, n'est plus si irréprochable que ça", a déclaré Marine Le Pen.
Qualifiant cette nomination de "première grosse erreur" de François Hollande, elle a ajouté qu'il s'agissait d'"un coup de canif assez sérieux dans une promesse de campagne que personne n'avait exigée". "C'est François Hollande qui, spontanément, pour mettre en oeuvre une République éthique, avait évoqué le fait qu'il ne s'entourerait pas de gens qui avaient été condamnés", a-t-elle ajouté. Mais qui est il vraiment :
mercredi 16 mai 2012
Un « islamo-collabo » à la tête de Matignon ? Ça promet… par Christine TASIN
Publié parlegaulois.info Rubriques :Immigration,Islamisation,Point de vue,PolitiqueAvec Jean-Marc Ayrault comme premier ministre, le scénario que Pierre Cassen et moi-même avions prévu dans « La Faute du Bobo Jocelyn » semble non seulement de plus en plus vraisemblable mais inéluctable…Nous avions déjà vu François Fillon, au mépris de sa fonction et de son devoir de neutralité, inaugurer une mosquée et, qui plus est, le faire à côté d’une fillette voilée sans que cela lui pose problème.On peut s’attendre à pire (qui l’eût cru ?) et voir Jean-Marc Ayrault –qui a bien sûr lui aussi inauguré une mosquée nantaise- détricoter à vitesse Grand V ce qui reste de notre loi de 1905 (dont Hollande veut supprimer l’article 2, celui qui interdit le financement public des cultes).En effet, le Maire de Nantes a à son passif quelques joyeusetés qui en disent long sur sa coupable indulgence pour l’islam et sa haine pathologique pour nos racines catholiques et nos légitimes questions sur islam et immigration.200000 euros pour le centre culturel de la mosquée du quartier Malakoff, dont le terrain a été « mis à disposition par la ville »…. 200000 euros payés par le contribuable nantais pour que des enfants soient endoctrinés, dans des salles de cours, et encouragés à refuser l’intégration, et à mettre les préceptes coraniques avant ceux de la République.Mieux encore, pourquoi 3 mosquées ? Surpopulation musulmane à Nantes, manque de place ? Que nenni, vous n’y êtes pas ! Un des adjoints de Jean-Marc Ayrault a benoîtement expliqué qu’il y avait des tensions entre communautés musulmanes et qu’il fallait donc veiller à les… séparer en leur octroyant 3 mosquées différentes ! Une pour les Turcs, une pour les sympathisants de l’UOIF et l’autre à je ne sais qui, des Salafistes, peut-être, ou bien une communauté algérienne, ou encore marocaine ?Puisque, selon Ayrault, il vaut mieux donner les moyens de vivre séparés plutôt que d’imposer le vivre ensemble, à nos enfants les menus séparés dans les cantines scolaires ? À nos enfants les salles de cantines séparées pour que le fumet du porc dans leurs assiettes ne dérange pas les enfants musulmans ? Eh bien dans ce cas de figure je ne crois pas me tromper en disant qu’alors, ce sera à nos enfants, non musulmans, qu’il sera demandé de se conformer à la règle musulmane et de ne pas manger de porc pour ne pas incommoder les autres.Jean-Marc Ayrault semble en effet capable de prendre en compte les différences de « chapelles », de « courants » dans l’islam mais ne semble pas prêt à accepter que les Français et immigrés non musulmans puissent refuser les rites musulmans et défendre leurs propres traditions.La preuve ? Jean-Marc Ayrault n’a pas voté la loi contre la burka mais a refusé à des prêtres en soutane le droit d’entrer dans la cour du Château des Ducs de Bretagne, à l’occasion du « pardon » qui s’y déroule tous les 7 ans, foulant aux pieds une tradition bretonne, liée au catholicisme.Enfin, on peut craindre le pire en termes d’immigration et de discrimination positive quand on voit le mépris de Jean-Marc Ayrault pour les Français qui s’inquiètent du remplacement de population que nous vivons. « J’en ai assez de cette France de la peur ».Les Français ont peur de voir leur identité bafouée disparaître ? Les Français devraient avoir honte d’avoir peur.Les Français ont peur de voir les salaires baisser à cause de la concurrence déloyale des immigrés, illégaux notamment ? Les Français devraient avoir honte d’avoir peur.Les Français ont peur de voir leurs quartiers se « hallaliser », peur d’entendre insulter leurs filles parce que en jupe, peur de ne plus entendre parler français dans certains quartiers ? Les Français devraient avoir honte d’avoir peur.Avec le couple islamo-collabo Hollande-Ayrault, les Français n’ont pas fini d’avoir des raisons d’avoir peur.Mais ils n’en ont pas honte. Ils n’ont pas honte d’avoir peur. Parce qu’ils sont fiers d’être français, fiers de vouloir l’égalité entre hommes et femmes, fiers de ne pas vouloir que leurs filles portent le voile, fiers de ne pas vouloir que leurs fils soient obligés de se convertir à l’islam s’ils aiment une musulmane, fiers d’aimer leur patrie, leur histoire et leur héritage.Comprendront-ils à quel point faire barrage à « la gauche » les 10 et 17 juin prochain est crucial ?
votre commentaire -
En ces temps de crise, le commerce de drogue est toujours florissant< demain en France
;
votre commentaire -
Une fatwa autorise l’époux à honorer son épouse jusqu’à six heures après son décès
Un imam marocain du nom de Zamzami qui est membre de l’association mondiale des oulémas que préside le grand savant Youcef Quaradaoui qu’Allah le préserve du mauvais œil et qu’il lui accorde une longue vie , a pondu un décret religieux autorisant la nécrophilie. En effet, cette fatwa permet à un mari éploré de copuler avec son épouse jusqu’à six heures après son décès, au-delà, l’acte sexuel devient illicite car le corps de la défunte est refroidi.
Le cheikh Zamzami s’est appuyé sur un verset coranique pour accoucher de cette fatwa de la dernière copulation avant le départ sans retour. Ce verset affirme selon le ‘saint cheikh’ que le musulman croyant sera au Paradis avec ses épouses, avec ses concubines et les soixante douze houris qui sont les présents qu’Allah lui accorde pour sa conduite exemplaire dans la vie d’ici-bas, en suivant la voie de Dieu et de son Envoyé. Mais le vénéré imam a oublié de mentionner les éphèbes dans sa fatwa ( sourate 52 verset 24, sourate 56 verset 17, sourate 76 verset 19)… Que Dieu lui pardonne cette omission!
Selon cette fatwa, l’époux est autorisé à laver le corps de sa femme et l’inverse est aussi vrai.
Mais le vénérable cheikh ne dit pas si l’épouse peut faire l’amour de l’adieu avec le cadavre de son mari…
Le vénéré Cheikh Youcef El Quaradaoui a fait le mort, il n’a pas osé dire ce qu’il pense de cette fatwa. Face à son silence, on peut déduire qu’il est d’accord avec son collègue Zamzami l’inventeur de la fatwa du XXI siècle, la fatwa de la copulation de l’adieu. Et pourquoi cette attitude de consentement du grand penseur islamique sur la chaine de télévision El Djazira? C’est que le rédacteur en chef de la fatwa, dans un prêche télévisé, a défié tous les oulémas du monde islamique de lui apporter les preuves tirées du coran et des hadiths qui sont en contradiction avec son décret religieux.
En conclusion, la nécrophilie est licite en islam. D’ailleurs selon le journal égyptien Al-Ahram, les députés safalistes se sont emparés de cette fatwa et comptent soumettre au parlement deux projets de loi autorisant la copulation de l’adieu et le mariage des filles dès l’âge de douze ans.
Ces lois permettraient aux maris éplorés de rendre un dernier hommage à leurs regréttées femmes avant d’aller chercher de nouvelles esclaves sexuelles ou peut-être des épouses légales qui auront l’âge de leurs petites-filles. Ou bien encore conclure un mariage hourfi ( caché)!
Ainsi va la vie aux pays de la charia…
Et M Taraq Ramadan, l’intellectuel sans peur et sans reproche, que pense-t-il de cette révolutionnaire fatwa, lui qui est un intime du grand penseur islamique Youcef El Quaradaoui?Les oulémas ne sont pas à une fatwa près. Ils excellent, chaque jour qu’Allah dessine, dans la fabrication du licite et de l’illicite pour soumettre les musulmans crédules à leur autorité.
Les exemples du grand allaitement et de l’excision de la femme sont des preuves irréfutables de leur génie en la matière.
La démonstration est donné par le texte ci-dessous, qui est tiré du livre de l’imam Mâlik intitulé: Al-Muwatta. L’imam Mâlik est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme.
« l’imam Mâlik a rapporté; lorsqu’on a interrogé Ibn Chihâb au sujet de l’allaitement de l’adulte, il répondit: »Ourwa Ibn Al-Zubayr m’a raconté que Abû Huzayfa Ibn Outba Ibn Rabî’ah, qui était l’un des compagnons de l’Envoyé de Dieu(SAS)avec qui, il avait assisté à la bataille de Badr, avait adopté Salem connu sous le nom de Salem l’affranchi de Abû Huzayfa, tenant compte comme l’Envoyé de Dieu (SAS) l’avait fait pour Zaid Ibn Harita. Abû Huzayfa, tenant Salem pour fils, le marie avec la fille de sa sœur Fatima bent Al-Walid Ibn Outba Ibn Rabî’ah, qui à cette époque là, était l’une des premières femmes qui avait fait l’hégire, et était l’une des belles esclaves de Qurach. Aussitôt, Dieu révéla dans son livre le verset suivant: » Appelez ces enfants adoptifs du nom de leurs pères; ce sera juste auprès de Dieu, mais si vous ne connaissez pas leurs pères, ils sont vos frères en religion; ils sont des vôtres. » ( sourate 33 verset5). Chacun de ces enfants adoptés fut appelé du nom du vrai père, et au cas où ce dernier était inconnu, l’enfant allait être connu par le nom de son père adoptif. Ainsi Sahla bent Suhayl, la femme de Abû Huayfa qui était de Banû Âmer Ibn Lu’ay, vint auprès de l’Envoyé de Dieu(SAS) et lui dit : » Ô Envoyé de Dieu! Nous avons tenu Salem pour enfant et étant tel, il entrait chez moi alors que j’étais sans voile n’ayant qu’une seule maison d’une pièce, que penses-tu à son sujet? » L’envoyé de Dieu (SAS) répondit: » Allaite-le pour cinq repas de ton sein et tu lui seras interdite. » Elle le prit dès lors pour son fils de lait. Aïcha, la mère des croyants, étant au courant de ce fait, elle suivait avec tous ceux qu’elle voulait faire entrer chez elle sans qu’ils aient sa permission. Ainsi, elle demandait que cela soit suivi par sa sœur Oum Kalthom bent Abû Bakr Al-Cddiq et par les filles de son frère, pour ceux qu’elle aimait faire entrer chez sans qu’elle le leur permît. »Il est prouvé que l’allaitement de l’adulte fut inventé par Mahomet pour se libérer de la paternité qui le liait à Zaid, qui était son fils adoptif, et dont il avait épousé la femme Zaynab après son divorce ( verset coranique). Et par la même occasion, il mit fin à l’adoption qui était une pratique sociétale très répandue en l’Arabie avant l’avènement de l’islam.
Et quand la grande mosquée d’El Azzhar en Égypte, en 2006, émit la fatwa du grand allaitement, elle ne faisait que suivre le hadith de Mahomet. Il faut savoir que la mosquée d’El Azzahar est la référence pour les sciences islamiques dans le monde musulman sunnite. Cette fatwa autorise une femme à travailler au milieu des hommes, à condition qu’elle leur donne le sein , ils deviennent ainsi ses fils de lait et par cette action, elle leur est interdite, au cas où… C’est la fatwa de la mixité halalisée…
Lorsque les oulémas salafistes soulèvent l’excision des femmes, ils s’inscrivent dans le droit religieux musulman conformément aux textes de la charia, car cette pratique est inscrite dans la sunnah. Des hadiths confirment son existence dans le figh.
Mahomet avait dit: » Effleure et n’abuse pas, cela rend le visage plus rayonnant et plus agréable pour le mari. »
» la circoncision est une tradition louable ( sunnah) pour les hommes et un honneur ( mukaramat) pour les femmes. »
» Si les deux khitam ( parties circonsises) entrent en contact, le bain rituel s’impose. »
Ces hadiths sont rapportés par l’imam Boukhari
Quant à moi, je serai curieux de savoir les avis des grands penseurs de l’islam moderne tels que Malek Chebel, Abdennour Bidar, Abdelwahab Meddeb concernant les versets coraniques et les hadiths qui autorisent la nécrophilie, le grand allaitement, l’excision des femmes…*En terminant cet article, je viens d’apprendre que le parlement koweitien à majorité islamiste vient d’adopter une loi qui condamne à mort toute personne qui met en cause le prophète Mahomet ainsi que sa femme bien-aimée Aïcha, la mère des croyants.
Les apostats sont avertis de ne pas se rendre à Koweït City, car ils savent maintenant ce qui les attend une fois sur place. Pour info, se tapper des cadavres c'est la nécrophilie. Si en plus tu les bouffe c'est de la nécrophagie ! Si ces cadavres sont des vieux, c'est de la gérontonécrophilie. Et si ce sont des cadavres de vieux animaux c'est de la zoogérontonécrophilie !!!!Le nécrophilisme ou la nécrophilie constitue un degré extrême et l’une des plus remarquables déviations de l’appétit vénérien, et dénote chez les auteurs la plus étrange aberration mentale coïncidant parfois, en apparence, avec la plus saine raison. Le vieil Hérodote nous raconte comment Périandre, tyran de Corinthe, après avoir fait mourir sa femme Mélissa, eut des rapports sexuels avec le cadavre [1]. Ce nécrophile historique a eu des émules à toutes les époques.
Connus dans l’Antiquité et au Moyen âge sous le nom de lycanthropes, vampires, démoniaques nommés nécrophiles par Guislain, etc., ces malheureux furent la terreur des populations et l’objet des mesures les plus sévères. On a vu, paraît-il, des prêtres violer les cadavres auprès desquels ils étaient chargés de réciter les dernières prières. Il y a plusieurs années, M. Baillarger a donné lecture à l’Académie de Médecine d’un rapport sur un cas de nécrophilisme fort intéressant [2].
Il s’agissait d’un sieur X…, âgé de vingt-sept ans, d’un tempérament lymphatique, mais doué néanmoins, d’une très grande force musculaire. Il a présenté dés ses premières années des signes non douteux d’idiotie. À mesure qu’il avançait en âge, l’absence d’intelligence devenait de plus en plus manifeste. X… ne put jamais apprendre à lire ; il était d’ailleurs violent, indocile, plein de bizarreries. Élevé par les soins de l’administration de l’hospice de Troyes, il fut successivement placé chez plusieurs paysans, mais aucun d’eux ne put le garder. On le ramenait à l’hospice, déclarant ne rien pouvoir obtenir de lui.
Plus tard, X… devient sujet à des accès de manie périodique. Presque tous les mois, il était pendant plusieurs jours d’une violence extrême, injuriant les personnes qui l’entouraient, proférant des menaces de mort et d’incendie. Il fallait alors quelquefois le renfermer dans une cellule et même dans quelques cas le maintenir fixé par la camisole de force. De temps en temps, il quittait furtivement l’hospice, et après avoir erré plusieurs jours dans la campagne, il revenait exténué de fatigue, les vêtements en lambeaux et couvert de boue. Cependant dans les intervalles de ses accès, X… pouvait se livrer aux plus rudes travaux ; il était infatigable et faisait à lui seul l’ouvrage de plusieurs personnes. Aussi, malgré son état d’imbécillité, trouvait-on de temps en temps des cultivateurs qui consentaient à le prendre. Cependant, un fait d’une extrême gravité vint mettre fin à ces essais de liberté.
X... se trouvait alors chez un cultivateur du bourg d’Eslissac, lorsqu’en présence de cinq ou six personnes il commit une tentative de viol sur une paysanne. On fut forcé de le réintégrer à l’hospice de Troyes, où bientôt se passèrent les actes monstrueux qu’il nous reste à raconter :
X… trompant la surveillance des gardiens s’introduisait dans la salle des morts, quand il savait que le corps d’une femme venait d’y être déposé, et il se livrait aux plus indignes profanations.
Il se vanta publiquement de ces faits, dont il ne paraissait pas comprendre la gravité. D’abord on ne put y croire ; mais, appelé devant le directeur, X… raconta ce qui se passait manière à lever tous les doutes. On prit, dès ce moment des mesures pour mettre cet homme dans l’impossibilité de renouveler les profanations qu’on venait de découvrir. Mais cet idiot si privé d’intelligence pour toutes choses déploya, dans ce cas, un instinct de ruse qui le fit triompher de tous les obstacles. Il avait dérobé une clef qui ouvrait la salle des morts et les profanations de cadavres purent ainsi continuer pendant longtemps. Il fallut enfin reconnaître l’inutilité des mesures employées jusque-là pour prévenir le retour d’actes si odieux et X… fut envoyé à l’asile des aliénés de Saint-Dizier. Mais il faut franchir un pas de plus, arriver à ceux qui, pour satisfaire leurs passions, vont jusqu’à déterrer les morts et briser leurs cercueils.
En 1848 on constata, à plusieurs reprises au cimetière Montparnasse que tes tombes récemment creusées avaient été profanées. Malgré les précautions qui furent immédiatement prises, ces attentats se renouvelèrent plusieurs fois de suite. Ce ne fut qu’après un temps assez long qu’on parvint à surprendre le coupable. C’était un sergent, nommé Bertrand, en garnison à Paris, dont la conduite paraissait irréprochable et qui avait d’excellentes notes au régiment.
Cet homme, dont la généalogie démontrait nettement qu’il était un héréditaire, avait tous les quinze jours environ des maux de tête extrêmement violents qui précédaient les crises dans lesquelles se manifestaient ces désirs morbides. Il escaladait alors avec une grande agilité les murs du cimetière et déterrait les femmes récemment ensevelies, pour satisfaire sa passion. Traduit en conseil de guerre, il fut condamné à un an de prison.
On voulait ainsi donner une satisfaction à l’opinion publique en évitant de prononcer l’acquittement, et rendre hommage à l’expertise faite par les aliénistes, qui avaient reconnu que Bertrand était atteint de folie. On peut rapprocher de ce fait les profanations récemment accomplies au cimetière de Saint-Ouen par un des gardiens, Brau, qui allait jusqu’à déterrer des femmes mortes de la variole pour violer leurs cadavres. Cet homme était marié, et sa femme a pu témoigner de la brutalité de ses habitudes.
Une perversion aussi monstrueuse de l’appétit sexuel ne peut exister que chez des fous, et les nécrophiles sont certainement des aliénés. Ce sont presque toujours ou des dégénérés ou des congénitaux. Mais certainement ils ont toujours une tare : le malade dont l’observation est rapportée par M. Baillarger en est un type complet, Bertrand n’échappe pas plus à l’hérédité que Brau.
Mais nous abordons maintenant un sujet différent, et nous allons nous occuper d’une perversion sexuelle qui peut coïncider avec un état parfaitement normal de l’intelligence et même avec les facultés les plus brillantes de l’esprit. Notes
- [1]Dans son « Introduction à la Psychanalyse », Freud rappelle cette anecdote, et en profite pour donner la symbolique inconsciente du four et de la boulange :« Que four soit le symbole de la femme et de la matrice, c’est ce qui nous est confirmé par la légende grecque relative à Périandre de Corinthe et à sa femme Melissa. Lorsque, d’après le récit d’Hérodote, le tyran, après avoir par jalousie tué sa femme bien-aimée, adjura son ombre de lui donner de ses nouvelles, la morte révéla sa présence en rappelant à Périandre qu’il avait mis son pain dans un four froid, expression voilée, destinée à désigner un acte qu’aucune autre personne ne pouvait connaître. Dans l’Anthropophyteia, publiée par F.-S. Kraus et qui constitue une mine de renseignements incomparables pour tout ce qui concerne la vie sexuelle des peuples, nous lisons que dans certaines régions de l’Allemagne on dit d’une femme qui vient d’accoucher : son four s’est effondré. La préparation du feu, avec tout ce qui s’y rattache, est pénétrée profondément de symbolisme sexuel. La flamme symbolise toujours l’organe génital de l’homme, et le foyer le giron féminin » (S. Freud, Introduction à la Psychanalyse, Deuxième partie, Le rêve, Chapitre X, Le symbolisme dans le rêve) [Abréactions Associations].
- [2]Baillarger, cas remarquable de maladie mentale, observation recueillie au dépôt provisoire des aliénés de l’Hôtel-Dieu de Troyes, par le Docteur Bédor. (Bulletin de l’Académie de Médecine, C'est à vous dégouter de devenir Boulanger, l'Islam : un repère d'aliènés mentaux, nécrophiles et libidineux .Après la légitimité de la Pédophilie, la Pendaison des Homosexuels, l'Excision des petites filles, l'enfermement des femmes derrière un voile intégral, la légalisation du meutre d'un non musulman,ect ... ces obsédés du trou du cul propre avant chaque prière autorise la Nécrophilie . Ces gens sont des grands malades. On reproche aux Cathos des temps anciens d'avoir brûlé quelques sorcières : ceux sont < des enfants de choeur > à côté de ces débiles criminels
votre commentaire -
Les Femmes Françaises en Niqab interpellent l’ensemble des candidats aux législatives
بسم الله الرحمان الرحيم
Au Nom d’Allah Le Clément, Le Miséricordieux,
Le CAFFEN (Collectif des Associations des Femmes Françaises en Niqab) a toujours eu une attitude claire pour l’élection présidentielle :
- Au premier tour, soutien à Jean-Luc Mélenchon qui a toujours montré son attachement et son amour pour la communauté musulmane, en particulier dans son émouvant discours à Marseille sur l’apport de notre civilisation islamique à l’obscurantisme judéo-christiano-laïciste qui est indéniable.
- Au second tour, soutien à François Hollande pour virer la clique islamophobe UMP et FN.Nous ne sommes tout de même pas dupes. Jean-Luc Mélenchon le franc-maçon avait soutenu la loi votée par le Sénat contre les « nounous voilées », alors que Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste, a dit que cette loi serait évidemment abandonnée par une majorité de gauche à l’Assemblée nationale.
François Hollande, au soir de sa victoire, a dit qu’il ne ferait aucune concession à tout manquement à la « laïcité » (qui rappelons-le est un concept foncièrement islamophobe et nullement évoqué dans la Révélation divine), mais d’un autre côté il n’a jamais critiqué les horaires de piscines pour nos sœurs en burkini à Lille, le financement public de nos mosquées proposé par Manuel Valls (sans doute futur ministre de l’Intérieur et donc des cultes).
Bref, chez Mélenchon comme chez Hollande, on a soufflé le chaud et le froid pour obtenir un maximum de suffrages. Mais les Musulmans de France ne s’y sont pas trompés : à 93% au second tour, ils ont voté pour le candidat François Hollande afin de nous débarrasser des relents nauséabonds du sarkozysme et de son alliée Marine Le Pen qui nous rappellent les heures les plus sombres de l’histoire des musulmans de France .
Quelle est la position du CAFFEN pour les législatives ?Nous en avons longuement discutés entre sœurs et avec nos maris ou tuteurs. Il en résulte qu’on ne peut donner une consigne qu’au cas par cas selon la configuration locale :
- Il faut voter pour le candidat qui aura des chances d’être au second tour et d’être élu à ce second tour.
- Mais il faut également voter pour celui qui apportera le plus d’avantages à la communauté des Croyants, soit en jugeant de ses actions passées, soit par ses promesses.Pour cela, nous laissons chaque association locale du CAFFEN décider en toute conscience en posant le pour et le contre. Et sur le second critère de choix, interpeller les candidats sur leurs véritables intentions de lutte contre l’islamophobie :
C’est à l’aune de tous ces critères, des réponses ou des non-réponses des candidats que les associations locales du CAFFEN prendront leurs décisions propres avec l’aide de Notre Seigneur et de leurs référents religieux, puis les feront connaître au travers de nos imams, de nos mosquées et de nos associations.
- Accepteront-ils ou refuseront-ils la construction de mosquées et leur financement public par les biais qu’autorise la loi française ?
- Accepteront-ils ou refuseront-ils que nos enfants dans les écoles de la République puissent manger halal, porter le voile (avec remise en cause de la loi islamophobe sur l’interdiction des signes religieux ?)
- Interdiront-ils l’alcool et le porc dans toute manifestation publique pour ne pas provoquer les Croyants, et leur proposeront-ils des nourritures halal adaptés à leurs besoins ?
- Abrogeront-ils ou non la loi inique de Copé-Sarkozy qui condamne le voile facial dans l’espace public ?
- Organiseront-ils ou non des horaires séparés pour nos sœurs dans les piscines ou les gymnases ?
- Interdiront-ils ou non un affichage public de la mécréance lors des fêtes polythéistes comme Noël et Pâques, au détriment de la neutralité religieuse ?
- Permettront-ils ou non aux fidèles musulmans de pratiquer leur culte, avec des aménagements d’horaires et des salles de prières dans les administrations et les entreprises ?
- Combattrons-ils ou non l’islamophobie nauséabonde en traînant en justice quiconque s’attaque à nos valeurs sacrées comme le Saint Coran ou notre Prophète (que la paix et la bénédiction soit sur Son nom) ?
- Etc.Que la Paix et la Bénédiction d’Allah le Très-Haut soient sur tous ces candidats qui donneront leur juste place aux Musulman-e-s en France, leur permettant de pratiquer l’ensemble des prescriptions reçues d’Allah le Bon et le Miséricordieux, sur tous nos frères et nos sœurs qui se battent au quotidien pour le droit des Croyants, pour la conversion des infidèles à la Juste Religion afin de leur éviter la damnation éternelle, et sur tous ceux et celles qui suivent la voie juste jusqu’au Jour du Jugement Dernier.
Leïla ADJAOUD, Présidente du Directoire du Collectif des Associations de Femmes Françaises En Niqab (CAFFEN) et Secrétaire générale du Collectif de Soutien Arabo-Musulman de Coordination des Actions Islamiques pour les Législatives. (CSAMCAIL).
votre commentaire -
MAGNIFIQUE
POEMEMémoire et Poésie
Jadis j’ai dû
m’enfuir de mon paysQuand la
France décida de lâcher l’AlgérieEt si avec le
temps les plaies se sont ferméesLeurs
cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.Aussi pour
mes enfants, je demande au MessieQue jamais ils ne vivent une pareille tragédie.
Pourtant,
lorsque je vois ces hordes de MagrébinsEnvahir notre
sol par n’importe quel moyenPour venir y
chercher toute cette assistanceQui n’existe
plus chez eux depuis l’indépendance,Quand je vois
qu’ils acquièrent cette nationalitéQu’ils ont
pourtant reniée il y a quelques annéesJe me pose
une question qui me met mal à l’aise,Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils occupent
tour à tour l’ensemble des quartiersOù la police
alors n’a plus le droit d’entrer,Bien vite ils
les transforment en ces fameux ghettosOù ils
pillent les commerces et brulent les autos.Marseille est
devenu une base d’Al-QuaïdaEt notre
canebière le souk d’une casbah.La banlieue
parisienne n’est pas plus épargnéePartout règne
le racket et l’insécurité.Les seuls
européens qui s’obstinent à resterDoivent se
barricader sitôt la nuit tombée.Des cités
toutes entières leurs sont abandonnéesDans
l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.Lorsque notre
président, en quête de bulletinsVa leur
rendre visite, la veille des scrutinsIls
bousculent sa voiture et crachent sur son costumeEt l’obligent
à partir plus vite que de coutume.Ils sifflent
la Marseillaise au match de l’amitiéEt
brandissent les drapeaux du pays invité.Puisqu’ils
peuvent posséder deux nationalitésIls en
changent à leur guise, suivant leurs intérêtsPour les
allocations, ce sont de vrais français,Pour les
obligations ils restent des étrangers.Ils respectent
qu’une seule loi celle des islamistesEt suivent
assidument la mode des intégristes,Elles se
coiffent du foulard, ils portent la barbouzeEt pavoisent
leur logis aux couleurs des fellouzesDepuis
quelques années ils sembleraient vouloirQue la France
se décide à réécrire l’histoire.On enseigne
pour se faire à notre descendanceQue les
pieds-noirs étaient des colons de la FranceQu’ils
n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdinPour payer
les salaires de chaque Magrébin.Aujourd’hui
les médias demandent à nos élusQu’une
enquête soit faite sur ces moments vécusPour voir si
notre armée a commis des bavuresEt condamner
ceux qui pratiquaient la torturePour que ces
terroristes veuillent leur divulguerLa liste des
attentats qu’ils devaient perpétrer.Vouloir faire
des victimes de nos ex-assassinsC’est en
sorte approuver les crimes et les larcinsQu’ils ont
commis jadis sur ces gens innocentsQui voulaient
conserver la terre de leurs parents.Somme-nous
tous amnésiques pour avoir oubliéCombien les
F.L.N. ont fait d’atrocités ?Serions-nous
insensibles à tous ces attentats ?Qui ont été
commis par ces vils fellaghasEt
devons-nous ce jour, pour des raisons d’étatPardonner les
tueries de leur chef Ben Bella !La bombe de la
Corniche, ou celle du Milk BarEt ces
assassinats empreints d’actes barbaresCes femmes
étripées aux ventres empierrésTout près de
leur fœtus qui était empalé.Ces milliers
de Harkis qui furent assassinésSur la place
publique sans le moindre procèsTrahis et
délaissés par le chef de la France.Ils ont subi
la mort dans d’atroces souffrances.Ils furent
même désarmés avant l’indépendanceAfin qu’ils
n’opposent pas la moindre résistanceAux couteaux
des tueurs qui étaient impatientsDe pouvoir
leur donner le suprême châtiment.Aurions-nous
oublié la date du 5 Juillet 1962Et les
massacres commis après le cessez le feu ?Ces centaines
d’Oranais qui furent exécutésDevant
l’armée française restée les bras croisés !En France,
dans nos écoles, aucun livre d’histoireRelate ces
évènements vécus par les pieds noirsOn transforme
le passé à la gloire des vainqueursQui
deviennent des martyrs à la place des tueursOublier notre
passé ou même le transformerSerait une
grave erreur qu’on pourrait regretterNe baissons
pas la garde, redoublons de méfianceSi nous ne
voulons pas connaitre un jour en FranceUne prochaine
débâcle vers d’autres horizonsOu vouloir
accepter de changer de religion.Ben Bella
l’avait dit, après la prise d’Alger« Nous devons
remonter en France jusqu’à Poitiers ».Hélas cette
latitude est maintenant dépasséePuisqu’aucun
coin d’Europe ne se trouve épargné !A moins d’un
revirement rapide et énergiqueLa France
deviendra vite république islamiquePar le nombre
des naissances ils auront l’avantageQui leur fera
gagner l’ensemble des suffragesAinsi sera
mis fin à notre démocratiesEt la France
à son tour deviendra colonie.Alors sera
troqué l’angélus des clochersPar l’appel
des imams en haut des minaretsDès lors,
pour survivre, de même que nos aïeuls,Nous aurons à
choisir = la valise ou l’cercueilLes exemples
sont nombreux et faciles à citerSur toute la
planète, nombreux sont les foyersOù des
familles entières furent exterminéesPour le simple
prétexte qu’elles avaient refuséD’accepter
les contraintes de ces jeunes républiquesQui
instaurent par la force la charia islamique.Aussi la
prochaine fois, lorsque vous serez appelésPour vous
rendre aux urnes afin d’aller voterDevenez
l’électeur d’un second Charles MartelQui renverra
chez eux, au fond de leur djébelCeux qui
viennent chez nous pour y défier la FranceEn réclamant
sans cesse encore plus d’assistanceAfin que vos
enfants ne subissent jamaisLa débâcle
vécue par les pieds noirs FrançaisLe livre a
peut-être été refermé, mais son histoireEst restée
gravée dans ma mémoire.Un Français déraciné
votre commentaire -
Les candidats à l'Élysée dévoilent leur patrimoine
Mots clés : Présidentielle, Patrimoine
Par lefigaro.fr Mis à jour le 22/02/2012 à 19:44 | publié le 22/02/2012 à 16:22Réactions (585)
François Bayrou devant sa maison de Bordères le 22 avril 2007Selon L'Express, qui avait conduit une enquête similaire en 2007, le patrimoine du chef de l'État a légèrement augmenté passant de 2,1 à 2,3 millions d'euros. François Hollande est lui à la tête d'1,1 million en biens immobiliers.
Des candidats à l'abri du besoin ayant investi dans la pierre. C'est ce qui ressort de l'enquête de L'Express sur le patrimoine des prétendants à l'Elysée. Comme en 2007, l'hebdomadaire a enquêté sur les biens et les impôts des politiques qui demanderont les suffrages des Français en avril et mai.
Nicolas Sarkozy: patrimoine global de 2,3 millions d'euros
Nicolas Sarkozy• Le patrimoine global du président de la République est passé de 2,1 en 2007 à 2,3 millions en 2012, selon l'Express, qui ne chiffre pas l'origine de cette légère progression. Le président, qui détaillera au printemps la composition de ce patrimoine, est soumis à l'ISF.
• L'impact du divorce avec Cécilia. L'ancien couple a revendu en 2006 pour 1 933 130 euros, soit le double de son prix d'achat, son duplex de 212m² sur l'île de la Jatte à Neuilly. Cette somme avait été placée sur des contrats d'assurances vie et sur des comptes en banque. Ces placements auraient été divisés entre ex-époux au moment du divorce, affirme L'Express. Nicolas Sarkozy loge pour le moment chez son épouse, Carla Bruni, dans une maison louée du XVI arrondissement. Le couple ne dispose pas d'un patrimoine commun.
• Un traitement mensuel de 18.700 euros bruts (hors indemnités). En 2010, un rapport du député socialiste Jean Launay avait établi qu'en 2009,le montant mensuel brut (donc soumis à cotisation) du président était de 21.133,37 euros (y compris une indemnité de fonction de 4.226,22 euros) soit un montant net mensuel de 19.508,21 euros. À son arrivée au pouvoir en 2007, Nicolas Sarkozy a aligné son salaire sur celui du premier ministre. Avocat de profession, le président de la République est toujours actionnaire -136 parts sur 400- du cabinet spécialisé dans l'immobilier, créé avec son ami Arnaud Claude en 1987. La structure affichait 2,89 millions de chiffres d'affaires en 2010.
François Hollande: patrimoine immobilier d' 1,1 million d'euros
• Un patrimoine immobilier rééquilibré après la séparation avec Ségolène Royal. Le candidat socialiste, non assujetti à l'ISF, a conservé la villa de 130 m² du couple à Mougins (Alpes-Maritimes), estimée à 800.000 euros. Ségolène Royal aurait, elle, obtenu l'appartement de Boulogne Billancourt. François Hollande détient aussi des parts dans la société civile immobilière gérant les appartements cannois de son père et de son frère. Avec sa nouvelle compagne, Valérie Trierweiler, le socialiste loue un appartement d'une centaine de m² dans le 15e arro
nd
François Holandeissement de Paris
• 8 300 euros bruts d'indemnités mensuelles . Le député et président du conseil général de Corrèze, qui a renoncé à ses droits d'auteurs, paye 5 217 euros d'impôts par an.
François Bayrou: patrimoine global de 836.000 euros
François Bayrou• Des biens immobiliers répartis entre le Béarn et Paris. La ferme de Bordères - plusieurs bâtiments, une grange, une écurie, neuf hectares de pâturages- vaudrait aujourd'hui 450.000 euros contre 65.357 euros il y a 30 ans. François Bayrou continue de rembourser les prêts et emprunts contractés lors de cet achat. Les activités agricoles de la ferme, dont l'élevage de juments, sont déficitaires. Son appartement parisien de 50m² a aussi vu sa valeur grimper en 15 ans de 180.000 euros à 410.000 euros.
• Des indemnités brutes de 7 100 euros. Le centriste, qui possède 141 000 euros à la banque, paye 5 383 euros d'impôts annuels.
Jean-Luc Mélenchon: patrimoine global estimé à 760.000 euros
• Un patrimoine immobilier de 720 000 euros. Le candidat du Front de gauche possède un appartement près de la gare de l'Est, à Paris, qu'il finit de rembourser, et une maison dans le Loiret. Les deux demeures ont gagné en valeur depuis leurs achats.
• 6 200 euros de revenus mensuels. L'eurodéputé, qui a 16 000 euros sur des livrets, n'a pas communiqué à L'Express le montant de ses impôts. Suite à l'héritage de son père et à la vente de sa permanence de Massy, il a pu dégager 150 000 euros pour sa campagne.
Marine Le Pen: patrimoine global non évalué par L'Express
Marine Le Pen.• «Son patrimoine est difficile à évaluer car il est partagé entre les membres de la famille Le Pen, souvent dans des sociétés civiles immobilières (SCI)», note le magazine qui souligne que la présidente du FN, qui a trois enfants à charge, ne «vit pas dans le luxe». L'Express recense des parts dans la maison de Jean-Marie Le Pen à la Trinité-sur-mer, dans une maison près de Saint Cloud - Marine Le Pen réside dans une des dépendances-, dans une villa près de Perpignan avec son compagnon Louis Alliot, et dans la SCI qui gérait l'ex siège du FN à Saint-Cloud.
• 6 200 euros nets de revenu mensuel et 1 746 d'impôts mensuels prélévés à la source en tant que députée européenne.
Dominique de Villepin
L'ancien premier ministre n'a pas répondu aux questions de L'Express. L'hebdomadaire estime le patrimoine hors biens professionnels de l'ancien premier ministre à 4 millions d'euros. Dominique de Villepin, qui est soumis à l'ISF, a notamment acheté en février 2010 un hôtel particulier dans le XVIIe arrondissement pour 3 millions d'euros et y a installé son cabinet d'avocat. Ce dernier a généré 1,8 millions de résultats nets
Votre Patrimoine : Protection et Rendements
Une journée pour vous aider à rendre votre épargne plus sûre...
et surtout encore plus prospère !Cher Lecteur,
Elections présidentielles... menaces de contagion de la crise des dettes souveraines... incertitudes sur la Zone euro... crise économique profonde... marchés actions hésitants... Tout cela se répercute sur votre gestion financière, et nous aimerions vous aider à y voir plus clair.
Nous organisons donc une journée entière spécialement dédiée à votre épargne -- aux moyens qui vous aideront à la faire fructifier, mais aussi à la mettre à l'abri des attaques qui arrivent de toutes parts.
Immobilier, assurance-vie, art, investissements agricoles et forestiers... mais aussi fiscalité, business angels, ISF, et de nombreux autres... Nous aborderons des thèmes très variés.
S'ils peuvent vous aider à gagner de l'argent ou à protéger votre argent, nous vous en parlerons.
Nous avons intitulé cette journée Votre patrimoine : Protection et Rendements.
14 intervenants, 12 heures de conférences et interventions...
.. Pas une minute à perdre pour votre patrimoine !Nous sommes désormais à quelques semaines de cet événement, et le programme définitif est presque fixé. Même si quelques détails peuvent encore changer, je peux d'ores et déjà vous dire que nous accueillerons plus de 14 intervenants et partenaires... sur douze heures de conférences !
Et comme vous allez pouvoir le constater, nous avons fait tout notre possible pour aborder tous les thèmes qui nous semblent les plus prometteurs dans le domaine de l'épargne et de la gestion de patrimoine.
Voilà un récapitulatif -- très sommaire -- de ce que vous découvrirez...
- Nous parlerons actions, notamment dans le cadre de l'allocation d'actifs. Nous verrons les perspectives macro-économiques actuelles... et nous nous pencherons sur l'opportunité d'investir sur les valeurs à fort dividende.
- L'immobilier figurera bien entendu au programme : de la rentabilité à la vente en viager en passant par la récupération des loyers impayés ou encore une stratégie qui pourrait vous assurer des rendements réguliers grâce aux SCPI... et j'en passe, nos spécialistes vous donneront des pistes pour optimiser vos investissements dans la pierre.
- La fiscalité sera elle aussi abordée : ISF, nouvelles perspectives suite à l'élection présidentielle, exil fiscal... un spécialiste indépendant vous donnera son point de vue pour vous aider à prendre les bonnes décisions au bon moment, et en toute légalité.
- Impossible également de passer à côté de l'assurance-vie : là encore, des changements profonds sont en train de se dérouler. Nous vous expliquerons lesquels, et nous vous révélerons aussi des recommandations concrètes et efficaces pour adapter votre stratégie à ces nouvelles conditions.
- Nous ne négligerons pas non plus les placements alternatifs : pièces de collection et oeuvres d'art, mais aussi investissement forestier ou PME non-cotées... Ces secteurs mal connus peuvent présenter des perspectives intéressantes en termes de rendement... et d'imposition. De quoi apporter de nouvelles perspectives à votre patrimoine !
Et ce n'est pas tout, bien entendu : certains de nos partenaires interviendront sur les thèmes de l'or, de l'assurance-vie, du vin...
Sans compter que nos intervenants se tiendront à votre disposition durant les pauses -- notamment durant le déjeuner et le cocktail qui terminera cette journée. Vous pourrez donc les rencontrer en direct pour leur poser toutes vos questions.
Parmi eux, vous retrouverez des noms connus, à commencer par Simone Wapler, rédactrice en chef de La Stratégie de Simone Wapler et de L'Investisseur Or & Matières. Il y aura également Frédéric Laurent, rédacteur en chef de Vos Finances, mais aussi Yannick Colleu et Alain Baillon, eux aussi intervenants dans Vos Finances.
Nous avons également fait appel à de nombreux intervenants extérieurs : huissier de justice, numismate, spécialistes de la fiscalité, de l'investissement forestier, de l'immobilier, de l'art, de l'assurance-vie...
... Jamais encore nous n'avions réuni un tel panel -- et il se tiendra, pendant 12 heures, entièrement au service de votre patrimoine !
Un conseil : n'attendez pas la dernière minute pour vous inscrire !
Au sortir de cette journée exceptionnelle, vous aurez en main de nouveaux atouts pour faire passer votre patrimoine à la vitesse supérieure.
votre commentaire -
VIDÉO - Surveillante dans un collège de Juan-les-Pins, elle a été licenciée pour «faute grave»...
Un clip de 4min25 met fin à 20 ans de carrière. Véronique, 50 ans, surveillante au collège de Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes), vient d'être licenciée de l'établissement catholique où elle travaillait, rapporte Le Parisien ce vendredi.
C'est que sa direction n'a pas du tout apprécié son rôle dans le clip du rappeur niçois Novia, qui totalise actuellement 85.000 vues. «Cette vidéo est incompatible avec la raison morale de notre établissement», explique en effet dans Nice Matin Jean-Marie Bonnet, le président de l'organisme de gestion, qui administre Notre-Dame de la Tramontane.
«La brune c’est ma pionne»
Sur les images, on voit en effet la comédienne occasionnelle jouer le rôle d'une cougar et prendre des poses lascives en tenue légère, arrosée de champagne dans un jacuzzi.
Si la vidéo n'a pas plu à la direction du collège, elle a eu son petit succès auprès des élèves. Mise en ligne en février sur Internet, elle a été repérée début avril par une collégienne de Notre-Dame de la Tramontane. «PTDRRRR! Les gens, la brune du clip c'est ma pionne au collège!» commente Claraa06 sur le site YouTube. Elle, est donc «MDR» [mort de rire]. Sauf que trois jours plus tard, les parents qui découvrent à leur tour la vidéo sont moins MDR. A tel point que le dossier arrive sur le bureau du directeur, qui tranche.
Elle a décidé de saisir les Prud’hommes
La lettre de licenciement arrivera ensuite par voie postale chez Véronique, pendant les vacances de Pâques. Une décision qu'elle n'envisageait bien évidement pas une seule seconde en tournant ce clip. Elle a donc décidé de saisir les Prud'hommes, qui devront se prononcer en juin.
En attendant, son avocat Me Pierre Chami, cité par Nice Matin, conteste ce licenciement. «Ce n'est pas en la licenciant - de manière brutale et bien peu christique au passage - qu'on peut évacuer un fait de société.»
votre commentaire -
Racisme anti-Blanc : « Ils ont été tués par des noirs et des arabes » - par Hervé RYSSEN
Rubriques :Crimes et délits,Immigration,LivresLes agressions commises par des immigrés du tiers-monde contre des Blancs sont innombrables. Chaque semaine, des milliers de Blancs sont agressés d’une manière ou d’une autre par des allogènes, et il serait fastidieux de citer tous les articles de presse à ce sujet. Nous n’avons donc retenu que les affaires les plus graves – les homicides involontaires, les meurtres (homicides volontaires), les assassinats (meurtres prémédités).Les informations qui suivent sont tirées d’un chapitre de notre livre intitulé le Racisme antiblanc, paru en novembre 2011. Le livre présente en détails chacune de ces affaires, en insistant sur la personnalité du tueur, qui apparaît lors des procès en cours d’assises. On note alors quelques étranges similitudes dans les profils psychologiques de toutes ces “Chances pour la France”.Le recensement ci-dessous n’est évidemment pas exhaustif, puisque toutes les affaires relevant des cours d’assises ne sont pas traitées dans les journaux. Mais nous avons déjà là un petit aperçu de cette merveilleuse société multiculturelle en gestation concoctée par les esprits cosmopolites.
Je dédie cette recension à deux personnes : en premier lieu, à Bertrand Delanoë, maire de Paris juif et homosexuel, qui met un point d’honneur, tous les premier mai, à aller déposer une gerbe de fleurs sur le pont du Carrousel, où, en 1995, un jeune Marocain nommé Brahim Bouarram avait été jeté à la Seine par des skinheads en marge du défilé du Front national.Je dédie aussi cet article au militant de l’association “Égalité et Réconciliation”qui anime le blog “oligarchiqueblogspot.com”, et qui nous insulte en raillant notre « rêve de France blanche ».Voici donc tous les Brahim Bouarram européens, tués par des Noirs et des Arabes. Il n’y a ici ni égalité, ni réconciliation qui tiennent.Hervé RyssenJuillet 2011, à Bar-sur Aube : Roger Correia, 57 ans, est mort, roué de coups, par trois Arabes qui passent en voiture devant chez lui. L’instruction est en cours.Juin 2011, à Frouzins, près de Toulouse : Élodie Despons, 23 ans, est frappée étranglée par son amant, Tarik Barrahoui, qu’elle voulait quitter. Il lui tranchera ensuite les poignets pour tenter de maquiller son crime.Mai 2011, à Bollène, dans le Vaucluse : Thierry Simon, 39 ans, a eu le malheur de sortir de sa voiture pour répondre à des insultes. Il est mort sous les coups que lui ont portés trois Chances pour la France (CPF) : Kader Chadli, 24 ans, Selim Benkhedidja, 23 ans, et Mohamed Amallou, 19 ans, tous trois déjà mis en cause pour de multiples cambriolages.Avril 2011, à Champagne-sur-Seine, en Seine-et-Marne : Maurice Tomasoni, 66 ans, est tabassé et torturé par Habib, qui lui assène de nombreux coups de couteau au thorax. Une large entaille au nez et à une oreille ont défiguré le retraité français. La victime a eu également les joues transpercées et la peau entre les doigts d’une main découpée.Avril 2011, à Mulhouse : Jean Meyer, un contrôleur aérien de 35 ans, est tué d’une dizaine de coups de couteau, dont trois mortels, puisqu’il a eu les deux poumons perforés et la carotide ouverte. Le meurtrier se nomme Karim Ouali.Février 2011, à Toulouse : Jérémy Roze, 27 ans, est agressé par deux CPF alors qu’il rentre chez lui, vers trois heures du matin. Le jeune homme a succombé à un coup de couteau porté au thorax.Février 2011, à Lyon : Christofer, 27 ans, est tué d’un coup de couteau, dans le métro, par Karim Bounab, un toxicomane.Février 2011, à Nanterre : Christian, 17 ans et son beau-père, Michel, sont agressés à leur domicile et tués à coups de couteau par Abdoulaye D. Le procès n’a pas encore eu lieu.Janvier 2011, à Monéteau, dans l’Yonne : Angélique Grossier, 28 ans, est tuée à coups de couteau par son ami Mohamed Es Salmy, qui ne pouvait supporter la séparation.Janvier 2011, à Montpellier : un étudiant en histoire de 24 ans, descendu sur le parking après y avoir repéré un homme en train de voler dans des voitures, est tué de onze coups de couteau. L’agresseur s’est réfugié en Algérie, qui n’extrade pas ses nationaux. Affaire en cours.Août 2010, à Gap : René Gumiel, qui s’était plaint du bruit, est poignardé de plusieurs coups de couteau, en pleine nuit, par sa voisine nommée Priscillia Moufouma, une Africaine de 27 ans.Août 2010, à Versailles : Olivier Bossuat, un militaire de 51 ans, est poignardé à mort par“Christian M.”, un jeune Africain sans domicile de 21 ans.Avril 2010, à Narbonne : Guy Trilles, un paisible retraité de 67ans, est roué de coups par des CPF alors qu’il promène son chien. Il décède quelques jours plus tard à l’hôpital, d’un arrêt cardiaque.Février 2010, à Saint-Brieuc : Carlos de Araujo, un père de famille portugais qui a refusé une cigarette à “Karim”, 22 ans, reçoit un coup de couteau et décède quelques minutes plus tard.Janvier 2010, Pont-Sainte-Maxence, dans le sud de l’Oise : les corps de Jacques et Thérèse Prévost, un couple de retraités âgés de 76 ans, sont retrouvés dans leur pavillon, gisant dans une mare de sang. Jacques a été frappé de 27 coups de couteau ; Thérèse a été frappée à soixante reprises. Le meurtrier est un métis déséquilibré nommé Halan Florisse, « un mec sympa ».Décembre 2009, à Bordeaux : Nadya, une prostituée bulgare, est retrouvée au petit matin gisant dans un recoin d’un parking du quartier de la gare Saint-Jean. Son crâne a été fracassé par une grosse pierre. Le coupable est un Angolais de 22 ans.Novembre 2009, à Pau : Jonathan Laurent, 25 ans, est tué de trois coups de couteau par Fatih Acar, 31 ans.Juillet 2009, à Colomiers, près de Toulouse : Pascal Orvain, 50 ans, originaire de Normandie, est tué de six coups de couteau par des cambrioleurs. Le meurtrier est un métis nommé Jérémy Bagassien, originaire de Seine-Saint-Denis.Juillet 2009, à Vénissieux : Yves Lerebourg, 32 ans, est tué d’une trentaine de coups de couteau.Juin 2009, à Antigone, près de Montpellier : Hamid El-Fenniri, qui roule à plus de 100 à l’heure en pleine ville, percute un scooter et ne s’arrête pas. Un jeune Français y laisse la vie. « Je sortais de prison depuis deux mois…Je ne voulais pas “re-rentrer” en prison et ma voiture n’était pas assurée, c’est pour ça que j’ai échappé à la justice. »Juin 2009, à Montataire, dans l’Oise : Laetitia, 24 ans, est tuée de deux coups de couteau par son compagnon, El Miloud Latrach, avec qui elle se disputait.Mai 2009, à Annezin, dans le Nord : Johnny Salmont est tué d’un coup de couteau par un inconnu.Avril 2009, à Douchy-les-Mines, dans le Nord : un couple de jeune Français, Xavier Dubray, 24 ans, et Audrey Verpoorte, 18 ans, qui étaient venus rendre visite à leur famille, sont abattus par un voisin nommé Ahmed Assous, qui ne voulait pas qu’on se gare devant chez lui.Février 2009, à Dammarie-les-Lys, un petit coin bien pourri de Seine-et-Marne : Mohamed Jelassi, 37 ans, frappe et étrangle sa compagne Priscilla, 23 ans, qui voulait le quitter, et tue leurs deux fillettes. « C’est vrai, reconnut le Maghrébin, j’ai tué ma femme et j’ai tué mes enfants parce que je ne voulais pas qu’ils soient élevés par la belle-famille à la française. » « Priscilla, c’était ma petite princesse », déclara-t-il finalement. Mais avec l’accent, c’est encore mieux.Janvier 2009, à Cergy-Saint-Christophe, dans le Val-d’Oise : Caroline F., 50 ans, succombe aux 25 coups de couteau que lui a portés son compagnon Rashid M., un Pakistanais. « Je ne comprends pas ce qui s’est passé. »Janvier 2009, à Mérignac : Jean-Claude Eymery, un peintre en bâtiment de 56 ans, est tué par un jeune Angolais de 21 ans nommé Adilson Manuel, qu’il avait pris sous son aile, comme apprenti.Décembre 2008, à Chelles, en Seine-et-Marne : Mickaël Isker, 22 ans, est tué de deux balles dans la tête par un dealer nommé Ibrahim, 25 ans.Décembre 2008, à Marseille : Cécilia, une métisse de 21 ans, est violée et soûlée à mort par quatre “Chances” :Mounir Tinouiline, Fahem Djermoune, Emmanuel Denis et Anis Nafti.Septembre 2008, à Toulouse : Frédéric Daigneau, qui roule en moto, est frappé de deux coups de couteau par deux individus en scooter, toujours en fuite. Il décèdera neuf jours plus tard.Août 2008, à Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne : Marine Truden, une étudiante de 22 ans, est poignardée et égorgée dans son appartement par son copain Kamel Mouzaoui, qui n’accepte pas la rupture. 22 coups de couteau.Juin 2008, à Lyon : Les policiers découvrent le corps démembré d’une femme dans un appartement. Le tronc est dans la baignoire, les bras et les jambes sont dans le réfrigérateur. La tête de Martine Bord, 55 ans, est dans le couloir, dans un sac plastique. L’assassin est un Marocain de 40 ans nommé Halim Larbès.Mai 2008, à Arras : Maxime Bouvet est tué d’un coup de couteau à l’abdomen par Soufyane Mammou.Mai 2008, à Chambéry : Jonathan Vioud, un jeune charpentier de 22 ans, est tué dans une bagarre à la sortie d’une discothèque. Un certain Cem Ceylak est entendu pour s’expliquer sur des pressions sur le principal témoin.Avril 2008, à Saint-Denis : Pascal Ceccaldi, 87 ans, est mort, projeté à terre par Mamadou Camara et Cédric Mayamona, 22 et 24 ans.Mars 2008, à Conques : Antony Bustos, 23 ans, est tué d’un coup de carabine par Ali Bellabiod pour une histoire de cannabis. Son corps est brûlé dans un fossé.Février 2008, à Toulouse : Sylvie Garrigues, 32 ans, est violemment percutée par un véhicule, alors qu’elle marche normalement sur le trottoir. Le conducteur est un Maghrébin au chômage de 24 ans, nommé Hadj Saïdi, qui s’est révélé positif aux stupéfiants.Janvier 2008, à Pamiers, près de Toulouse : Julien Fernandez, le fils du gérant d’une discothèque, qui transporte la recette de la nuit, est tué d’une quarantaine de coups de couteau par Mekki Boughouas.Janvier 2008, à Vitry, dans le Val-de-Marne : Jean-Pierre Sauvonnet, 48 ans, est tué de onze coups de couteau par un Maghrébin fortement alcoolisé nommé Hassan el-Aouni.Novembre 2007, dans le RER D, en direction de Creil : Anne-Lorraine Schmitt, une jeune Française de 23 ans, est tuée de 34 coups de couteau, dont 16 dans la poitrine, par un Turc nommé Thierry Devé-Oglou.Septembre 2007, à Annemasse, en Savoie : Freddy Liot, un jeune Normand de 25 ans, est tué chez lui à coups de marteau par Kamel Benderradji, un de ses collègues de travail.Août 2007, à Beauvais : Gérard Varlet, 56 ans, un sans-abri, divorcé et père de trois enfants, est mort brûlé vif, aspergé d’essence par Riade Djedai.Août 2007, à Stuttgart, en Allemagne : Yvan Schneider, un Alsacien de 19 ans, est frappé à coups de pied et de batte de base-ball. Son corps a ensuite été découpé en quatorze morceaux. Puis, ses bras, ses jambes et sa tête sont coulés dans du ciment et jetés dans la rivière Neckar. Le torse est abandonné dans une forêt. Deniz Eroglu, un Turc, âgé de 18 ans, avait agi par jalousie.Août 2007, à Saint-Ouen, dans le 93 : le corps de Jeanne Rolland, 96 ans, est découvert lardés de 62 coups de couteau. « Elle a probablement été torturée avant d’être tuée ». Le meurtre était crapuleux, commis pour de l’argent et quelques bijoux. Le meurtrier se nomme Aziz Fathi.Juillet 2007, à Lecci-de-Porto-Vecchio, en Corse : Yohan Kriegel, 29 ans, l’épicier du village, est tué par Mohamed Douzi, qui lui tire une balle de 7.65 en pleine poitrine.Juillet 2007, à Rombas, en Moselle : un hôtelier de 71 ans, Vincenzo Serravalle, meurt poignardé par Yousif Boussak.Juin 2007, à Marcoussis, dans l’Essonne : Bernard Olmedo, un conducteur de rame de métro âgé de 45 ans, est tué à coups de couteau par Ali Ben Omrane, qui découpe le corps et le brûle dans son jardin.Juin 2007, à Berrwiller, à côté de Colmar : pendant la fête de village, un homme fonce dans la foule au volant de son véhicule, arrive à 50-60 km/h, tue Benoît Prost, 22 ans, et blesse quinze autres personnes. Abdelkader Gridda, saoul et drogué au cannabis, était furieux d’avoir été expulsé de la fête à plusieurs reprises. Rien de raciste là-dedans, selon les médiats cosmopolites.Mai 2007, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis : Marc Simoes, artisan menuisier, est tué de deux coups de couteau par son employé algérien, Rachid Amrouch.Avril 2007, dans la région de Saintes, en Charente-Maritime : le corps de Jennifer Charron, une jolie serveuse de 21 ans, est retrouvé dans les bois, partiellement calciné. Ses mains étaient attachées dans le dos. Son ex-petit ami se nomme Abdelaziz Seridi.Avril 2007, à Toulouse : Mélanie Rodrigue, 26 ans, est tuée de 51 coups de couteau par son compagnon, Mehdi Fekir, qui ne supportait pas la rupture.Avril 2007, à Saint-Herblain, près de Nantes : le corps de Sophie Gravaud, une jeune vendeuse de 23 ans, est retrouvé sur le bord d’une route. Le meurtrier violeur se nomme Ramiz Iseni.Février 2007, à Salses, près de Perpignan : Fabien Formiès, 19 ans, a la gorge tranchée sur la place du village par un jeune de 17 ans, qui sera jugé à huis clos, et dont les journaux n’ont jamais divulgué le nom.Janvier 2007 à Verneuil-en-Halatte, dans l’Oise : Marcel et Colette Flinoy, 77 ans et 74 ans, propriétaires d’une Audi V6 toute neuve, sont assaillis à leur domicile par trois CPF (Harouna Sarr, 25 ans, Amadou Sow, 24 ans, et Ercan Uyanic, 28 ans). Colette Flinoy est morte, écrasée par la voiture.Janvier 2007, à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne : dans une boîte de nuit, Anthony est tué à coups de pieds par Mustapha.Janvier 2007, à Condé-Sainte-Libiaire, en Seine-et-Marne : Albert Kohn Bisseck, un Camerounais de 43 ans, tue à coups de marteau Alain Savouret, 60 ans, son ex-beau-père.Janvier 2007, dans l’Oise : Mireille Calais, 65 ans, est tuée à coups de marteau sur le crâne par son compagnon nommé Naushad Maqbool, 59 ans.RACISME ANTIBLANCDécembre 2006, à Toulouse : Laurent Francazal, 34 ans, employé municipal est retrouvé égorgé dans son appartement du centre-ville. Le meurtrier se nomme Hakim Edir, 21 ans.Novembre 2006, à Paris : Julien Quemener, un jeune supporteur du PSG de 25 ans, est tué d’une balle en plein cœur par un policier martiniquais nommé Antoine Granomort. En mars 2010, un autre supporteur du PSG, Yann Lorence, 37 ans, avait été tué. Habitué du kop Boulogne, “Nounours”, qui n’était pas une brute, était lynché par les racailles de la tribune Auteuil, devant le Parc des Princes.Septembre 2006, en Seine Saint-Denis : Muriel Gosse est tué d’une balle dans la tête, au volant de sa voiture, par son ex-compagnon, Djamal Boukhetala, 38 ans, qui ne supportait pas la rupture.Août 2006, à Montpellier : le corps de Guy Labarrière, 47 ans, est retrouvé à son domicile, lardé d’une centaine de coups de couteau, pratiquement décapité. Cinq ans plus tard, au mois de mai 2011, Hasan D., 32 ans, était arrêté à Anvers, en Belgique, où il avait pris la fuite.Juin 2006, en Dordogne : un tronc humain lardé d’une trentaine de coups de couteau est retrouvé dans l’estuaire de la Gironde. Il s’agit de Raoul Jean, le cantonnier de Minzac, avec qui Aziz Hamri avait effectué plusieurs voyages au Maroc.Mai 2006, à Saint-Quentin-en-Yvelines : Katja Slokan, une étudiante slovène de 25 ans, est poignardée à seize reprises par son ex-petit ami, Majid al Majid, qui ne supportait pas la rupture.Mai 2006, à Rupt-sur-Moselle : une vieille dame âgée de 82 ans, est tuée à son domicile par Mohamed Khoubza, 27 ans. Le Maghrébin l’avait bâillonnée, dénudée et l’avait attachée sur son lit. Il avait alors fouillé la maison, à la recherche d’argent. L’autopsie, toutefois, conclut que Mohamed Khoubza avait« étranglé manuellement » la mamie.Avril 2006, à Torcy, en Seine-et-Marne : Benjamin Pirottin, 18 ans, est tué d’un coup de couteau dans le dos dans la salle des fêtes, assaillie par des CPF. Le coupable se nomme Nouha Bathily.Février 2006, dans les Yvelines : Hubert Garcia-Bardidia, un buraliste de 30 ans installé à Magny-les-Hameaux, est retrouvé en forêt, attaché à un arbre et égorgé. Le coupable est un Marocain nommé Saïd Msyehi.Janvier 2006, au Mans : Élisabeth Debeury, 31ans, est tuée chez elle, frappée à neuf reprises avec un couteau à viande. Djamel Haddou ne supportait pas la rupture.Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents africains mouraient électrocutés dans un transformateur EDF en fuyant un contrôle de police. Ce fait divers mit le feu aux poudres, et bientôt, toutes les racailles afro-maghrébines des banlieues françaises pillèrent les magasins, brûlèrent les voitures, les entrepôts et les bâtiments publics, sous les yeux d’une police impuissante. Pendant trois semaines, les images de ce soulèvement généralisé firent le tour du monde. Le premier jour de ces événements, Jean-Claude Irvoas, qui prenait des photos de lampadaires à Épinay-sur-Seine (en Seine-Saint-Denis) pour un catalogue de mobilier urbain, fut pris à partie par quatre individus qui craignaient d’avoir été pris en photo. Ce Français de 56 ans fut battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans, qui l’attendaient dans sa voiture. Il s’agissait de Icheme Brighet, un Algérien ; Sébastien Béliny, qui était originaire des Antilles ; Samba Diallo, un Sénégalais, et Benoît Kusonika, un métis de père congolais, qui fut aussi le seul à reconnaître les faits, s’accusant d’un coup de poing violent.Ce 5 novembre 2005, les émeutes dans les banlieues duraient depuis huit jours. Le soir, Jean-Jacques Le Chenadec descendit en bas de chez lui, boulevard Maxime-Gorki, à Stains (93), pour éteindre un feu de conteneur à poubelles allumé par un petit groupe de jeunes immigrés. Resté dehors pour discuter avec son voisin Jean-Pierre Moreau, le sexagénaire reçut plusieurs coups de poing, dont l’un, assez violent, qui provoqua sa chute. Sa tête heurta le bitume. Plongé dans le coma, Jean-Jacques Le Chenadec décéda deux jours plus tard sans reprendre connaissance. Le meurtrier se nommait Salaheddine Alloul.Septembre 2005, à l’intérieur de la prison de Liancourt, dans l’Oise : dans la cellule C005, Kamal Bentayebi, 21 ans, tabasse à mort son codétenu, Thomas Duval.Juin 2005, à Montrouge (92) : un vieux Français de 83 ans, Marc, est tué chez lui par deux ressortissants kazakhs.Juin 2005, à Champigny, dans le Val-de-Marne : le corps de Mélodie Chouquet, une étudiante de 20 ans, est découvert sur les bords de la Marne. Le meurtrier est un fumeur de joint nommé Mangesh Raggoo, originaire de l’île Maurice, et qui ne supportait pas la rupture.Mai 2005, à Paris : David Almeida est tué d’un coup de couteau sur le trottoir de la rue Chaptal, sous les fenêtres de l’immeuble où sa mère est la gardienne. Les meurtriers se nomment Ouahid Ben Salah, 22 ans, et Anouar Boukria, 25 ans, déjà condamnés à plusieurs reprises pour vol avec violence.Avril 2005, à Marines, dans le Val-d’Oise : un Français de 22 ans,Benjamin Combelles, est tué avec un couteau de chasse. Son meurtrier est un Africain de 24 ans nommé Steve Diome, venant de la cité de Cormeilles-en-Vexin.Avril 2005, à Évry : Éric Wesse, 27 ans, est aspergé d’essence et brûlé vif par Jean Tukumbane.Janvier 2005, à Mareuil-lès-Meaux en Seine-et-Marne : Driss Sajdi assassine et découpe en morceaux Maryse Louvet, 51 ans, la mère de sa compagne.Janvier 2005, dans le train Pontoise-Paris-Saint-Lazare : Jean-Marie, un SDF de 51 ans, est tabassé à mort par un CPF de 20 ans nommé Saïd.Décembre 2004, à Aubignan, dans le Vaucluse : René Girard, 80 ans, qui dort paisiblement, est réveillé par du bruit. Il est tué par Mohamed El Aissoui, 22 ans, et Sofiane Saïdi, 18 ans.Octobre 2004, dans le Gard : David Estournel, originaire d’Avignon, est tué de 56 coups de couteau par Djelloul Maroc.Septembre 2004 à Montereau, en Seine-et-Marne : Virginie, 32 ans, tombe du quatrième étage de son immeuble. Elle a été poussée par son compagnon, Abdelkrim, 45 ans, qui était fortement alcoolisé.Mai 2004, à Saint-Cloud : Patrick Barbosa, 24 ans, est tabassé à mort par son dealer de cannabis, un Algérien de 21 ans nommé Gaya Messad.Mai 2004, à Évry : Lors d’un violent contentieux opposant Mahfoued Boujardine et Abdelmoumen au sujet d’un scooter volé, Laura, une passante, est atteinte d’une balle perdue. En février 2006, le Maghrébin est condamné à seulement cinq ans de prison dont deux avec sursis. (La lecture du livre sur le Racisme antiblanc est assez éclairante sur la légèreté des peines infligées).Avril 2004, à Saint-Étienne : un supporteur de football, Olivier Baraldini, âgé de 20 ans, est abattu d’une balle de fusil dans la tête par Karim Aouragh.Avril 2004, à Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne : Patrice Cambron, 38 ans et père de deux enfants, qui constate le vol de deux vélos dans son garage et qui tente de les récupérer, est tabassé à mort par des CPF :« traumatisme cérébral crânien avec fracture temporale gauche ». Le procès eut lieu à huis clos, étant donné que les coupables étaient mineurs.Avril 2004, à Pontoise : Martine, 42 ans, est tué par son compagnon Samir M., avec un couteau à steak. Elles est poignardée au cou, à la poitrine et au sternum.Avril 2004, à Sartrouville : Nadine Cuissard, 41 ans, est tuée par l’ami d’une de ses copines, Abdelkrim Bachiri, 46 ans.« Le lendemain, j’ai mis le corps de Nadine dans le coffre de sa voiture avant d’aller le brûler en forêt de Saint-Germain-en-Laye. » C’est là qu’il fut retrouvé et identifié deux mois plus tard.Mars 2004 à Versailles : Dominique Rissel, un gérant de supérette, est abattu en pleine rue par Éric Youssef et ses complices : Younès Outsellamt et Amine Benaaza.Mars 2004, au Teil, dans l’Ardèche : Cédric Juge, 15 ans, est tué de 14 coups de couteau par “Christophe et Jean” (ce sont des “noms d’emprunt”, souligne le journaliste). Appelons-les plutôt Kamel et Jamal. Comme ils sont mineurs, le procès a eu lieu à huis clos et leurs patronymes n’ont pas été dévoilés.Janvier 2004, à Aubervilliers : Maria de Jesus Lopes une septuagénaire, est retrouvée morte dans son appartement. Elle a été tuée par Mounir Aït-Menguellet, 32 ans, qu’elle aimait beaucoup.Novembre 2003, à Lorient : le corps de Lydie Lefèvre est découvert dans un parc, enroulé dans une couverture. Le meurtrier est son voisin, Ali Oulahcene, 68 ans, qui avait déjà été condamné par deux fois par les assises des Pyrénées-Orientales. D’abord pour viol, en 1974, puis pour meurtre, en 1982.Mai 2003, à Champs-sur-Marne : Jérémy Fornarelli, 22 ans, est abattu d’une balle dans le cœur par Abdelkrim Ziani, 20 ans, pour une histoire de stupéfiants.Avril 2003, à Stains, en Seine-Saint-Denis : Anne Jugon, une octogénaire de 83 ans est étranglée dans son appartement par Hamid Hadjar, un toxicomane, spécialiste des agressions violentes.24 décembre 2002, à Asnières-sur-Seine : Pascale Rolet, une infirmière de 37 ans, est aspergée d’essence et enflammée dans le hall de son immeuble par un déséquilibré maghrébin de 39 ans nommé Samir Zaoui, qui fêtait Noël à sa manière. Rien dans les journaux, ou presque, pour ne pas troubler “l’égalité et la réconciliation”.Octobre 2002, à Valenciennes : Sophie Berkmans, une rhumatologue de 41 ans, est découverte morte dans son cabinet. Sa gorge est tranchée de part en part, son visage tuméfié et sa jupe relevée. Il fallut attendre cinq ans, soit novembre 2007, pour mettre enfin la main sur l’assassin : Mohamed Medjahed. Cette “chance pour la France” avait déjà été condamnée en 1981 par la cour d’assises du Nord à huit années de réclusion pour agression sexuelle et tentative de meurtre sur une jeune femme.Octobre 2002, à Valenciennes : deux semaines après le meurtre de Sophie Berkmans, Marianne Listoir, une étudiante arrageoise de 18 ans, est découverte morte dans un fossé, au bord de l’autoroute. Le meurtrier est un (Franco)-Algérien de 28 ans, nommé Tahar Bourahla.Juin 2002, à Beauvais : Jacquy Haddouche se rend coupable du meurtre de Léo Capon, 73 ans, qui a été égorgée à son domicile. En juillet 2002, Haddouche avait déjà tué Sylvain Rome, à Saint-Étienne. En 1992, cette Chance pour la France avait aussi tué Gilles Canette, un professeur de français de Beauvais. Son parcours est ici très abrégé ! (Cf. Le Racisme antiblanc, Hervé Ryssen).Mai 2002, à Vitry-sur-Seine : huit personnes sont fauchées à un abribus par un chauffard. Une mère de famille et ses deux fillettes sont tuées sur le coup. Le conducteur de 26 ans s’appelle Samir Cheney. Les deux passagers, Rhadil Azzedine et Benyounes Zaouch, âgés de 25 et de 26 ans, ont alors courageusement pris la fuite à pied avec le conducteur, sans porter assistance aux victimes, dont deux enfants, coincés sous le véhicule.Octobre 2001, à Lyon : Yvette Bouillet, une retraitée de 76 ans, est trouvée morte chez elle, dans une mare de sang. « En trente ans de carrière, j’ai rarement vu une telle violence », affirma le professeur Malicier, directeur de l’institut médico-légal de Lyon. Un grand nombre de fractures faciales avaient entraîné une hémorragie mortelle, précédée d’une agonie de plusieurs minutes. Le coupable se nomme Rachid Zenasni, dont il faut connaître tous les exploits.Août 2001, à Cergy-Pontoise : Habib Mezaoui, un employé de banque licencié, se venge de son patron. Il prend en otage une dizaine de clients ainsi que les employés de l’agence. Le directeur Patrick Prieur, 49 ans, est abattu de cinq balles dans la tête, et son adjoint, Gilles Dessertenne, 45 ans, est tué tout de suite après.Voici donc tous les meurtres commis en dix ans par des Noirs et des Arabes sur le sol français (été 2001- été 2011). Notre livre sur le Racisme antiblanc (paru en novembre 2011) remonte encore dans le temps, et la liste des cadavres s’allonge considérablement. Notons au passage que les affaires les plus lourdes datent toutes de la fin des années 90.Nous n’avons pas cité ici les affaires de viols, les viols “avec tortures et actes de barbarie”, et autres agressions ultraviolentes. Nous n’avons pas non plus évoqué la vingtaine d’affaires d’autodéfense – beaucoup plus réjouissantes –que nous avons répertoriées à la fin de notre livre, et dans lesquelles la victime française tue l’agresseur arabe.Voilà. Tout cela pour dire à Bertrand Delanoë qu’il peut aller se faire foutre, lui et son Brahim Bouarram adoré.Le 1er mai 2011, avec ses “mignons” de la mairie de Paris, il avait encore déposé une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative en mémoire de Brahim Bouaram, en déclarant, devant les caméras :« Quand on s’en prend à un jeune homme parce qu’il est arabe, qu’on le jette à la Seine et qu’il en meurt, ça veut dire qu’on tue quelque chose aussi, de la grandeur de la beauté de la France ». Il fallait, expliqua Bertrand Delanoë,« maintenir les barrières contre l’infâme ».Mais l’infâme, c’est lui, Bertrand Delanoë, et ses semblables, qui ignorent délibérément toutes les victimes blanches, infiniment plus nombreuses, rackettées, violées, tuées, assassinées par tous les petits Brahim Bouarram qui courent partout sur le territoire
votre commentaire -
Les français sont de braves gens, avec un grand cœur. C’est bien, c’est très bien. Malheureusement cette qualité est à double tranchant. Moultes gens sans scrupules en profitent pour les manipuler. Il suffit qu’on leur donne l’impression d’être les seuls au monde à avoir du cœur, une belle âme, des sentiments nobles, bref d’être au-dessus du commun des mortels, au-dessus de tels ou tels qu’on leur présente comme des monstres exterminateurs sanguinaires, impitoyables, féroces, sans cœur, des brutes épaisses dépourvues de la moindre intelligence, la moindre humanité et la moindre sensibilité, et les voilà prêts à voter pour n’importe qui.On leur dit qu’ils sont des Zorro, des Don Quichotte, des héros au grand cœur, à l’armure étincelante et ils y croient. Aveuglés par l’éclat de leur soudaine noblesse, ils regardent fièrement au loin, mais ne voient rien.
Ils ne voient pas que :Si l’on pouvait faire travailler les chimpanzés dans les usines et sur les chantiers, la droite n’hésiterait pas à en faire venir des millions sous couvert de philanthropie.Si l’on pouvait faire voter les chimpanzés, la gauche n’hésiterait pas à en faire venir des dizaines et des dizaines de millions sous couvert de philanthropie.Demain la grande machine gauchiste, déguisée en philanthrope va se mettre à fabriquer à tour de bras d’innombrables taxes et surtout, SURTOUT d’innombrables futurs électeurs : Roms, fonctionnaires-bidons, bantous, zoulous, papous, pygmées et bédouins régularisés en masse.Demain la gauche prend le relais de la droite.Demain la gauche va s’occuper PRIORITAIREMENT des guinéens, des ghanéens, des burkinabés, des gabonais, des nigériens, des maliens, des camerounais, des ivoiriens, des sénégalais, des mauritaniens, des marocains, des algériens, des tunisiens, des libyens, des égyptiens, des turcs, des kosovars, des tchétchènes, des albanais, des réunionnais, des guadeloupéens, des guyanais, des canaques, des comoriens, des colombiens, des boliviens, des péruviens, des vénézuéliens, des équatoriens, des chiliens, des brésiliens, des tibétains, des gitans, des Roms, des fonctionnaires-régionaux bidons, des sénateurs-bidons, des professeurs-bidons du secondaire, des professeurs-bidons d’université, des chercheurs-bidons, des députés-bidons, des ministres-bidons, et d’un Chef d’État-bidon.Demain l’aristocratie de gauche, qui ne comprend toujours pas pourquoi le monde entier ne peut pas avoir, comme elle, son assiette pleine tous les jours, ne peut pas avoir, comme elle, sa maison, son appartement ou sa voiture… demain la superbe, généreuse, ineffable et magnanime aristocratie de gauche va dans un geste d’une noblesse infinie et touchant au divin faire profiter le monde entier de ces mêmes privilèges… elle va ouvrir grandes les portes de la France.Malheureusement, la France n’est rien d’autre que notre bon peuple.Pauvres paysans, pauvres marins-pêcheurs, pauvres ouvriers, pauvres chefs d’entreprises, pauvres inventeurs, bâtisseurs, constructeurs, pauvres ingénieurs, pauvres vrais fonctionnaires, pauvres vrais professeurs, pauvres vrais chercheurs, pauvres vrais hommes politiques, pauvre, pauvre, pauvre, pauvre vrai peuple de France qui croule déjà sous le fardeau.Il ne s’en remettra jamais.Aujourd’hui, abandonner ses propres enfants pour s’occuper des enfants des autres ne se dit plus« ÊTRE UN PARENT INDIGNE » mais « ÊTRE DE GAUCHE »… ça fait tellement, mais tellement, tellement, tellement « CLASSE ».
votre commentaire -
Un élu PS condamné à de la prison
Philippe Bonneau, ancien vice-président socialiste de la Basse-Normandie a écopé de trois ans de prison dont un an ferme.
Le tribunal correctionnel de Caen s'est prononcé hier sur Philippe Bonneau. L'élu socialiste est coupable d'avoir détourné de l'argent. Pas que en tant qu'élu mais surtout en tant qu'avocat, fonction qu'occupait Philippe Bonneau en parallèle à son mandat.
L'ex-élu du conseil régional chargé des affaires économiques était l'avocat du Crédit Mutuel de Normandie aux Prud'hommes. A ce titre il doit payer 27.400 euros à la banque mutualiste. Mais ce n'est pas tout. Philippe Bonneau va également devoir verser en plus 12500 euros à une dizaine de victimes parties civiles du procès. Il devra, en outre, dédommager et régler les frais de justice des victimes à hauteur d’environ 40 000 €.
Le barreau de Caen a obtenu l'euro de dédommagement moral qu'il demandait.
110 000 euros de détournés
Philippe Bonneau était poursuivi pour abus de confiance, contrefaçon ou falsification de chèques, faux et usage de faux en écriture, escroquerie. La totalité des sommes détournées atteint plus de 110 000 €, entre janvier 2008 et juillet 2011.
Le tribunal le condamne également à verser 4.200 euros environ à JEM 2014, groupement d'intérêt public qui organise les Jeux équestres mondiaux en Basse-Normandie en 2014. Ce GIE a succédé à l'association fondée par l'Etat, les collectivités et des fédérations de sport, qui était chargée de promouvoir la candidature pour l'organisation des JEM 2014. M. Bonneau a reconnu avoir détourné 3.256 euros au détriment de cette association dont il était le trésorier.
Environ 10.100 euros ont aussi été détournés au détriment du PS de Bayeux (Calvados). Mais 9.3OO ont déjà été remboursés.
Manque de ressources
Pour se justifier Philippe Bonneau a expliqué que ses activités "exaltantes" d'élu à la région lui prenaient énormément de temps. En contrepartie de cela ses revenus officiels d'avocats diminuaient.
Un vice-président d'une région de 1 à 2 millions d'habitants telle que la Basse-Normandie gagne par mois 2661 euros brut par mois.
Suite à la condamnation, Philippe Bonneau se retrouve privé de ses droits civiques, civils et de famille pendant 5 ans. Le tribunal a également interdit à M. Bonneau d'exercer le métier d'avocat ainsi que toute fonction publique, toute activité sociale ou une profession commerciale ou industrielle.
Interrogé par l'AFP, le président PS du conseil régional Laurent Beauvais n'a pas souhaité faire de commentaire
votre commentaire