• y a plus de justice

    QUAND VA T ON REVOQUER CES MAGISTRATS POUR INSUFFISANCE

    Dans un communiqué en date du 6 septembre dernier Marine Le Pen, vice-présidente exécutive du Front national a, avec justesse, dénoncé la libération de Monsif Ghabbour, un des deux braqueurs présumés du casino d’Uriage-les-Bains, qui est un délinquant récidiviste, mis en examen pour vol à main armée et tentative d’homicide volontaire contre des policiers.

    Elle a mis ce fait en regard avec le maintien en détention de René Galinier, un septuagénaire gravement malade, qui n’a fait que chercher à se défendre lors d’un cambriolage.

    Marine Le Pen relève que « cette forfaiture judiciaire illustre l’irresponsabilité de certains magistrats guidés par des motivations politiques et témoigne d’une justice partisane qui se montre impitoyable envers certains citoyens et indulgente avec les criminels. »

    On ne peut cerner plus clairement le problème et une bonne part de la criminalité que nous subissons est étroitement corrélée tant au sentiment d’impunité dont bénéficient les délinquants qu’à l’impression, qu’ils peuvent même avoir, que les juges sont de leur côté. C’est ce qu’a récemment résumé Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie, le second syndicat d’officiers de police, en déclarant que « La clé des problèmes de sécurité dans notre pays, c’est l’absence de réponse pénale », avant d’ajouter que « certains magistrats trahissent la mission dont ils sont investis et sabotent systématiquement le travail des policiers».

    J’ai eu un exemple de ce comportement des juges pas plus tard qu’hier, dans ma bonne ville de Nantes. Il s’est en effet trouvé un magistrat du tribunal de grande instance pour condamner notre municipalité à indemniser 29 romanichels qui avaient été expulsés en avril dernier d’un terrain communal. Pour quelle raison cette manne financière leur a-t-elle été accordée ? Parce que « le commandement d’avoir à quitter les lieux » qui leur avait été signifié portait la mention « immédiatement » et non pas une date définie précisément !

    A Nantes toujours, les quotidiens locaux ont révélé que près de 75 % des étrangers clandestins interpellés ne sont pas reconduits aux frontières mais libérés après une courte garde à vue. Pourquoi ? Parce qu’invoquant des défauts de procédure, qu’en temps habituel ils se gardent bien de relever, les juges nantais annulent, dans un premier temps, au moins 50 % des interpellations. Ensuite, c’est à la procédure de reconduite à la frontière qu’ils s’attaquent avec le même brio en en annulant encore environ 1/3 !

    Et encore n’est-on là que sur des faits sans réelle gravité. Mais quand les choses se corsent les juges agissent de même et font preuve d’un laxisme qu’on peut alors réellement qualifier de criminel.

    Quelques exemples relevés dans les médias ces dernières semaines montrent qu’il s’agit bien d’une tendance générale :

    - le 11 août, à Lomme, agression gratuite dans un bowling d’un père de famille, David X., par un certain Youssef H., 22 ans. Celui-ci, jugé en comparution immédiate n’est condamné qu’à six mois de prison avec sursis

    - 12 août, à Perpignan, trois jeunes, âgés d’une vingtaine d’années, qui avaient roué de coups un policier doivent répondre d’outrage, rébellion et violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Ils sont condamnés à … un mois de prison !

    - le 16 août, à Amiens, relaxe d’un voyou ayant caillassé des policiers de la BAC.

    - 27 août, deux « jeunes » de 19 ans et 23 ans sont condamnés à huit mois de prison avec sursis par le tribunal de Bobigny, pour violences volontaires aggravées en réunion. Ils avaient agressé un policier à Epinay-sur-Seine et l’avaient traîné sur plusieurs mètres avec leur voiture…

    - 29 août, un homme attaque les gendarmes d’Esbly avec une barre à mine. Il est neutralisé et incarcéré. Un juge le fait libérer et décide qu’il ne sera pas jugé mais fera l’objet d’une composition pénale (donc sa sanction sera soit une amende, soit des TIG).

    - 2 septembre, le tribunal correctionnel de Pontoise condamne cinq hommes, tous d’origine étrangère, accusés d’enlèvement, de séquestration, de violences volontaires et de vol en réunion, à des peines allant de six mois à deux ans de prison, dont une partie assortie du sursis.

    Par contre, est c’est là que l’on perçoit encore mieux l’idéologie anti-nationale qui meut ces juges, les militants nationaux sont dans le même temps, quand ils ont affaire à la justice, lourdement condamnés. Ainsi, durant la même période deux membres du FN qui n’ont fait que se défendre lors d’un collage d’affiche se voient infliger 12 mois de prison ferme assortis d’un sursis de 6 mois pour l’un et 8 mois de prison ferme assortis d’un sursis de 4 mois pour l’autre, tandis qu’un adolescent Vitry-en-Artois qui tenait un blog est condamné à trois mois de prison ferme pour avoir, sur celui-ci exprimé en des termes trop vifs son hostilité à l’invasion de son pays…

    J’allais conclure quand j’apprends qu’Alexandre Simonnot, un dynamique militant d’Île-de-France du Front national vient d’être condamné à 10.000€ d amende pour avoir percé avec sa clef de voiture un préservatif géant, qui défigurait la ville où il réside. Le même jour, et cela justifie tout ce que je viens d’écrire ci-dessus deux jeunes n’ont été condamnés quant à eux qu’à 1€ d amende pour avoir brûlé le drapeau français et accroché un drapeau algérien a la place, au fronton d'une mairie d'une des plus importantes villes de France !

         Chacun sait bien que le trouble à l’ordre public vient d’abord des retraités qui ont eu une vie de travail honnête que de jeunes voyous armés qui n’ont rencontré le travail que par hasard… chez les autres

    A Bessan, dans l’Hérault, le 21 juillet 2005, Gaston Malafosse, un retraité de 61 ans, sort de chez lui, pistolet au poing. Il blesse cinq personnes dont une mère de famille et quatre jeunes d’origine marocaine. Il est alors arrêté et placé en détention provisoire à Béziers. Deux jours plus tard, en prison, il se suicide dans sa cellule. Le samedi 30 juillet 2005, 3000 personnes défilent dans Bessan afin de rendre un dernier hommage à « Gaston. »

    Une équipe de tournage est retournée sur les lieux du drame. Loin d’être un hommage, ni au mort ni aux rescapés, le film retrace le fil des événements à travers les témoignages des différents acteurs : villageois, mairie, amis, parents, « jeunes »… Mais plus encore, c’est un portrait de la France d’aujourd’hui qui s’esquisse, au fil des témoignages courageux des habitants qui racontent la peur quotidienne qui s’est instaurée dans ce paisible village de 4000 habitants. Le film laisse la parole à tous, « jeunes » et anciens. On y voit ce qu’aucune chaîne de télévision ne pourrait diffuser à une heure de grande écoute, c’est-à-dire le fossé béant entre les « de souche » et les enfants d’immigrés, l’échec flagrant de l’intégration à la française, la faillite de la République, la désintégration de la société française…

    Affaire GALINIER:

    MIDI LIBRE du 15/09: confirme son maintien en détention! Quant aux deux jeunes cambrioleuses Rom, elles sont devenues « deux intruses entrées par effraction dans son domicile ». « Gravement blessées » par les coups de fusil du septuagénaire (cambriolé pour la quatrième fois) d’aprés la télévision, elles sont, en fait, depuis longtemps sorties de l’hôpital.

    Monsif Ghabbour quant à lui,  l’un des deux responsables des émeutes de Grenoble, est libre comme l’air, libre notamment de récidiver. Brice Hortefeux avait pourtant déclaré à Grenoble (Le Dauphiné Libéré du 18 juillet) que « les voyous et les délinquants n’ont pas d’avenir car la puissance publique finit toujours par l’emporter »! En effet: René Galinier croupit en prison, Monsif Ghabbour est libre!!!


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