• on peu plus se marrer

    Un tract, rédigé par une section locale d’Unité SGP police FO (premier syndicat de gardiens de la paix) et affiché dans une caserne de CRS à Rouen début avril, dénonce en termes très virulents le fait que de la viande halal ait figuré au menu des policiers. Dans ce tract en date du 6 avril dont l’authenticité a été confirmée, le bureau local de ce syndicat écrit au commandant de la compagnie de CRS 31 basée à Rouen.

    Il lui signale que les CRS, de passage en région parisienne et cantonnés à Pondorly (Val-de-Marne), mangent de la viande halal au mess “et ceci à notre insu”. Il lui demande de mettre fin “à des approvisionnements au rituel étranger à nos coutumes”, selon une argumentation proche de celle de l’extrème droite et éloignée des écrits habituels de ce syndicat.

    “Il serait inutile de vous rappeler que tout musulman qui entre dans notre corporation se voit proposer un régime au regard des us et coutumes de sa religion”, écrit ainsi le bureau local. “Ce qui ne veut pas dire, ajoute-t-il, que les catholiques de notre unité doivent ‘avaler’ toutes les couleuvres qu’on leur propose et que les athées ou agnostiques ne revêtiront pas la ‘burka’ (sic) après avoir digéré, avec beaucoup de mal, les indigences de nos gérants” du mess des CRS.

    Le tract ajoute que “manger halal c’est payer l’impôt terroriste” et précise : “Nous ne voulons pas être complices de cette déviance, et nous ne voulons plus manger Halal à l’avenir

    DOUTIEZ VOUS DE L'EFFICACITE DE LA POLICE ?   ( il est vrai qu'un paisible retraité est plus facile a arrêter qu'un criminel de banlieue )

    Le 9 février dernier, Pierre, 65 ans, retraité hospitalier, est convoqué au commissariat de Nantes, à 9h30, selon Ouest-France.

    Il dit ne pas connaître les raisons de cette convocation.

    Au commissariat, il est reçu par un officier de police judiciaire de la brigade de mineurs.

    Un fonctionnaire qui lui annonce son placement en garde à vue.

    «Je suis soumis à une fouille à corps et j’intègre une cellule de 9 m2, insalubre, glaciale et puante, où sont déjà présentes cinq personnes» témoigne ce retraité dans Ouest France.

    Tout en précisant:

    «Après on prend mes empreintes, on me photographie».

    A 10h30, l’avocat commis d’office arrive.

    Comme le sexagénaire, il n’a pas connaissance des faits qui lui sont reprochés, rapporte également Ouest-France.

    C’est vers 11h, quand il est auditionné par l’officier de police, que le retraité va apprendre le motif de sa garde à vue.

    «Une fille de 15 ans serait venue, le 13 novembre, vers 18h30, sonner à ma porte pour vendre des billets de tombola. Elle m’aurait vu de l’extérieur, à travers le vitrage dépoli de la porte d’entrée, dans une tenue indécente. Elle serait partie en courant», résume alors le retraité.

    Un «suspect» qui ne se souvient plus de ce 13 novembre, toujours selon Ouest-France.

    «On me pose plein de questions. Avez-vous l'habitude de vous promener en tee-shirt chez vous? Êtes-vous souvent nu en sortant de votre salle de bain  Et même des questions sur ma vie sexuelle et intime».

    Puis Pierre est présenté, en début d’après-midi, par vidéo, à la mineure avec d’autres personnes, précise encore Ouest-France.

    Une mineure qui ne le reconnaît pas.

    La femme de Pierre est également convoquée au commissariat et interrogée pendant une heure.

    A 17h45, un policier vient le chercher et lui précise: « ’affaire est classée sans suite».

    Le retraité avoue dans Ouest France:

    «J'ai souffert toute la journée. Je me suis senti très humilié. La délation par un mineur ? On ne peut rien faire. La parole d'un enfant a plus de poids que celle d'un adulte».

    Interrogé par Europe 1, l'avocat de Pierre Poirier, Maître Benoît Poquet, réagit: "Des vérifications simples, comme une enquête de terrain au domicile de mon client, auraient permis d'éviter son placement en garde à vue."

    Racines européennes ...

     

    L’Europe, berceau de la culture chrétienne, change à un rythme impressionnant. L’Europe est chrétienne depuis 1200 ans, c’est-à-dire depuis l’époque carolingienne. Elle est chrétienne au sens religieux, mais surtout culturel du terme. Elle a commencé à perdre son caractère religieux à la fin des années 60 - début des années 70, soit bien avant le début de l’immigration de masse de personnes venant des pays extra-européens. Cette désaffection religieuse découle des grands chambardements sociaux culturels de mai 68.

    Cependant l’Europe gardait son caractère culturel chrétien. Personne ne le contestait. Il se manifestait dans la reconnaissance commune de certains principes et valeurs mais aussi à travers une multitude de monuments religieux, de fêtes et de symboles. Cette culture commune à tous les pays européens était un atout pour la constitution de l’Europe.

    Actuellement on assiste à une modification en profondeur de cette culture. Dans la conception égalitariste et multiculturelle qui prévaut de plus en plus, on tend non seulement à admettre que les cultures ou les religions différentes puissent s’exprimer et s’exposer, ce que l’on peut admettre bien entendu, mais également à une volonté de gommer toutes traces de notre culture millénaire.

    Si encore on mettait en avant le prétexte que toute culture ou religion se valent, on devrait demander d’afficher un crucifix à côté de symboles de l’Islam et de la religion juive. Mais non. Certains demandent de supprimer des signes chrétiens tels les crucifix des salles de classe, des sommets des montagnes ou de supprimer toutes allusions aux fêtes chrétiennes car cela offense leur vue ou leurs convictions. Il faut bien admettre que ces revendications n’existent que depuis qu’existe une immigration musulmane mêmes si certaines demandes viennent de milieux laïcs.

    Nos grands penseurs n’ont que le mot intégration à la bouche. Est-ce le signe d’une intégration que de demander des tribunaux d’exception pour juger les musulmans dans certains domaines, du moins pour l’instant selon leurs coutumes. Des coutumes, qui pour certains sont ignobles et vont à l’encontre des droit humains. Ce n’est pas encore de la lapidation ou de l’amputation des mains des voleurs qu’il s’agit. Mais ça viendra. Or des juges suisses n’y sont pas opposés. L’Archevêque de Canterburry y est même favorable. Cela rappelle furieusement l’époque des envahisseurs barbares qui avaient obtenu de l’Empire romain le droit de vivre selon leurs lois et coutumes sur son territoire. On a vu le résultat !

    Un autre exemple est la demande d’avoir des écoles en langue turque comme cela a été fait en Allemagne. Est-ce une bonne mesure d’intégration. Est-ce seulement un signe de volonté d’intégration ? Actuellement la réponse des autorités est négative. Jusqu’à quand ?

    Plus incroyable encore, lors de la rédaction de la Constitution européenne, nos chers dirigeants ont exclu toutes références culturelle chrétiennes du texte. C’est pourtant un fait avéré que c’est là notre culture, celle qui a marqué notre histoire et notre civilisation.

    Comment construire une Europe dont les peuples aient un sens d’appartenance commun alors qu’il n’y a pas d’idéal commun.

    Pourquoi veut-on ainsi effacer tout ce qui constitue nos racines et notre histoire ?

    A-t-on une histoire plus honteuse ou méprisable que d’autres, qu’il faille en faire disparaître toute référence ? Il n’est pas impossible qu’il y ait un peu de cela à une époque où tout le monde s’excuse envers tout le monde, pour tout et rien, ce qui en diminue la valeur. Quoiqu’il en soit on ne peut empêcher l’histoire d’évoluer. Il est inutile de réagir par des actions extrémistes en se focalisant sur des concepts idéalisés de temps révolus. Mais le risque est de voir surgir de nouveaux pouvoirs, de nouvelles forces, pas nécessairement démocratiques.

    Charles de Foucauld : Des

     musulmans peuvent-ils être

     vraiment français ?

    28 juillet 2009, 15:00  |  Auteur : bds  | | Bookmark and Share <script src="http://s7.addthis.com/js/250/addthis_widget.js?pub=onmyway" type="text/javascript"></script> |

    Extrait de la lettre du Père Charles de Foucauld à René Bazin, le 29 juillet 1916.

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent. (…)

    Le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui ou ses descendants. S’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère. Sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti. (…)

    Ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux. Ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger. Ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.

    De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d’un peuple étranger qu’on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même

     SEREZ VOUS LES BON PASTEURS QUI CONVERTIRONT LES CITEES ( nombreuses offres dans le 93 )

    Si les Salaires des fonctionnaires oecuméniques ne vous conviennent pas essayer la Fonction publique Européenne

    D'accord, rien de comparable avec les retraites en or des pdg, mais les 129 - très - hauts fonctionnaires de l'Union européenne (commissaires, juges, greffiers...) n'ont vraiment pas à se plaindre. Aucun régime de retraite de la fonction publique dans les 27 États membres n'est aussi favorable. Et pour cause, un commissaire européen, un juge, un avocat général de la Cour de justice... n'acquittent aucune cotisation, contrairement au fonctionnaire européen lambda qui, lui, verse 10,90 % de son traitement de base.

    Mais pour ce tarif zéro, les hauts fonctionnaires de l'Union bénéficient de prestations luxueuses détaillées dans un rapport que s'apprête à publier Sauvegarde Retraites, association connue pour son obstination à traquer les abus. Ainsi, quand ils abandonnent leurs fonctions, les maîtres de l'Union peuvent toucher jusqu'à 70 % d'un dernier traitement très confortable. Les émoluments de ces "superfonctionnaires" s'élèvent, en moyenne, à 21.260 euros mensuels. Au bas de l'échelle, le greffier du Tribunal de la fonction publique touche 16.327 euros. En haut, le président de la Cour des comptes perçoit 23.405 euros et celui de la Cour de justice 26.651 euros, et cela, sans indemnités et autres suppléments familiaux (par exemple, plus de 2.000 euros par mois pour 3 enfants à charge !).

    Pour obtenir les 70 % de leur dernier salaire pour leurs retraites, les hauts fonctionnaires de l'Union n'ont pas besoin de trimer 40,5 ans, comme dans le privé, en France. Il suffit de "tenir" 16 ans. La vérité oblige à dire qu'il est assez rare de parvenir à ce seuil fatidique compte tenu de la durée des mandats, mais même un court passage reste avantageux. Ainsi, Jacques Barrot, vice-président de la commission chargée des transports, au terme de seulement 5 ans de mandat, aura droit, en octobre, à une pension de 4.728,20 euros.

    Les partants peuvent espérer toucher entre 300.000 et 500.000 euros

    La vérité oblige à dire là aussi que ces retraites sont cumulables avec celles obtenues dans les pays d'origine. Et qu'en cas de départ avant l'âge - 65 ans -, les 129 privilégiés de l'Union touchent de confortables parachutes. Sous forme d'une "indemnité de déménagement", sachant que tous les coûts (transports, assurances...) sont, en plus, pris en charge par l'Union. S'ajoute une "indemnité de transition" servie mensuellement pendant 3 ans en proportion du salaire de base et de la durée du mandat effectué (40 % pour moins de 2 ans, jusqu'à 65 % au-delà de 15 ans). Une restriction toutefois : une fois le mandat achevé, si le haut fonctionnaire européen exerce une nouvelle activité, sa rémunération ne doit pas dépasser, y compris l'indemnité de transition, ce qu'il percevait à Bruxelles ou à Luxembourg.

    Au total, en cumulant les deux indemnités, les partants peuvent espérer toucher entre 300.000 et 500.000 euros, ce qui n'altère en rien les prestations de retraite à venir. Pas mal pour des responsables mieux que bien payés (le président de la Commission européenne José Manuel Barroso, avec 29.504 euros, touche plus que le président des États-Unis) et qui, le plus souvent, réintègrent leur administration d'origine, reviennent à la politique ou pantouflent dans le privé. Conclusion de Sauvegarde Retraites : "C'est un comble, l'administration européenne, garante de l'orthodoxie budgétaire et si prompte à jouer les gendarmes vis-à-vis des États membres qui ne respectent pas les principes de bonne gestion et de rigueur économique, mène, pour elle-même, aux frais des contribuables, une politique laxiste totalement coupée des réalités."


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