• nous avons oublié le mode d'emploi

    Il a raison ce monsieur, certains comportements déviants de ces populations sont traité radicalement dans leurs Pays d'origines. Quand nous les importons nous devons nous aussi traiter ces comportements de la même manière , de facon énergique et sans attendrissement Européen . Ces voyous attendent de nous les châtiments inscrits dans leurs gènes : répondons à leurs attentes . Chaque société a ses valeurs comportementales, quand nous les importons elle nous sont livrées sans mode d'emploi et sans garanties .

     

    Ces incivilités, crimes et délits ne sont plus le fait d'associables isolés, mais de bandes organisées inintégrables au type de société Européenne, dont nous devrons débarrasser le sol de France .
     Celle-ci connait depuis de nombreuses années des troubles intérieurs dont la fréquence, l’intensité et la gravité n’ont fait qu’augmenter dans le temps. Certains y voient les prémices d’une guerre civile. Cette hypothèse m’a toujours semblé outrancière. Jusqu’ici je considérais ce discours comme inutilement anxiogène et reprochais à ceux qui le tenaient de faire dans la surenchère.


    Mais je dois avouer que les évènements récents ont grandement entamé mes certitudes :

    - Quand des individus munis de mortiers, de barres de fer, et de divers projectiles attaquent à plusieurs reprises un commissariat.
    - Quand des racailles en cagoule organisent des contrôles d’identité sur des citoyens.
    - Quand des maffieux mettent en place des barrages à l’entrée d’une cité afin de pouvoir fouiller les véhicules qui y pénètrent.
    - Quand une trentaine de personnes prennent d’assaut et saccagent les bureaux de la protection judiciaire.
    - Quand des compagnies entières de CRS ne passent pas une nuit sans affronter des bandes armées dans plusieurs endroits de France.
    - Quand un maire de gauche en vient à demander l’intervention de l’armée et que les quartiers de sa commune ne peuvent être surveillés que par hélicoptère afin d’éviter des affrontements au sol.
    - Quand des trains de marchandises qui passent aux abords d’une ville de France sont attaqués depuis 3 ans par des délinquants.
    - Quand des pompiers se font agresser dans leur caserne etc…

    N’est-il pas légitime de se demander si ce pays n’est pas entré dans une phase de guerre civile ?


    D’autant que l’on voit mal comment les choses pourraient aller autrement. Entre le « blabla » incantatoire d’un président qui ne pense qu’aux effets d’annonces, et les fadaises chichiteuses d’un Parti Socialiste aux pratiques parfois aussi maffieuses que celles des racailles citées ci-dessus (9)… toutes les conditions sont réunies pour que ces troubles se généralisent et entrainent la France dans une véritable guerre civile.

    Après avoir abandonné sa souveraineté économique et financière à la banque centrale européenne, l’État français est en train de perdre l’un de ses pouvoirs régaliens le plus important : la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public.
    Combien de temps l’État français, va-t-il supporter de voir ses représentants, assurant un service public, attaqués par des barbares, sans réagir ?

    Car, bien davantage que des fait divers qui feraient diversion comme le prêchait Bourdieu à ses ouailles gauchistes, les évènements qui se déroulent tous les jours sur le territoire national sont des faits de sociétés dont les conséquences politiques risquent de s’avérer désastreuses pour la sauvegarde de notre pays.
    N’en déplaise au tandem Joffrin-Fourest, républicains autoproclamés et fantassins à la solde de l’oligarchie, Marine Le Pen a raison quand elle dit que l’État a peur et qu’il serait temps que cette peur change de camp.

    Mais elle souligne qu’il y a des préalables idéologiques et psychologiques à une remise à l’endroit du système sécuritaire : en finir avec le relativisme bon enfant qui veut qu’un délinquant vaut un policier et accepter que les délinquants endossent tous les risques de leurs actes.
    En clair : sortir de la peur de la bavure et du syndrome Malik Oussékine.
    Sans cela, avec 5 millions de chômeurs, une immigration de peuplement de plus en plus forte, un pouvoir politique amputé de ses pouvoirs au profit d’une bureaucratie européenne totalitaire et une situation économique qui ressemble de plus en plus à la banqueroute…. notre pays court tout droit à sa perte


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