• les petits blancs

    http://fr.news.yahoo.com/video/la-france-des-petits-blancs-102840591.html

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    Face au Grand remplacement et au racisme antiblanc, quelles perspectives pour les "Français de souche" ?

    Antonin Campana répond à cette question avec pertinence, en proposant une émancipation du peuple autochtone français de la société communautarisée qui se fractionne.

    « La perversion de la Cité commence par la fraude des mots »écrivait Platon.

    En 1789, le républicanisme définit frauduleusement le peuple français comme un « corps d’associés » (Sieyès). Pure rhétorique, semble-t-il, puisque le soi-disant « corps d’associés » est alors un ethnos de lignée européenne, de culture européenne et de religion chrétienne. Et pourtant...

    Et pourtant en 2013, grâce à cette « fraude des mots » légitimant l’intégration de communautés non européennes, le « corps d’associés » s’est transformé en une créature hybride (la « nation Frankenstein ») dont l’ethnos autochtone n’est qu’une partie de plus en plus minoritaire.  

    Se pose alors la question du droit du peuple autochtone à disposer de lui-même. Car le peuple autochtone de France n’a pas été dissous ou anéanti en 1789. Autrement dit, ce peuple autochtone existe toujours au sein de ce « corps d’associés » qui le masque, l’emprisonne dans sa gangue et décide de lui. Doit-il reprendre son destin en main, comme un peuple libre, ou laisser son avenir dépendre de tiers de plus en plus nombreux qui n’ont ni ses valeurs, ni sa culture, ni ses intérêts ?

    Face à une République contrainte de nier l’existence du peuple autochtone de France, l’auteur propose en modèle la décolonisation, la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones ou l’émancipation du peuple kanak.



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