• le coup du racisme

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    Ils insultent un peuple qui ne veut plus d’eux

    Eric Zemmour, en trois minutes, a réussi à résumer des longues heures de matraquage politico-médiatique.

    http://www.youtube.com/watch?v=_xARABrTF2g

    Le coup du racisme, les socialistes nous le sortent, à chaque fois qu’ils sont en difficulté économique, c’est-à-dire à chaque fois qu’ils gouvernent.

    Et, bien évidemment, ils ne parlent pas du racisme arabo-musulman à l’encontre des juifs. Pourtant, même le président de la Licra, Jacubowicz, au lendemain des assassinats de Merah, admettait, la mort dans l’âme, que la totalité des agressions antisémites venaient des jeunes maghrébins, et pas des militants de Marine Le Pen.

    Ils ne parlent pas du racisme des rappeurs, et des racailles, qui insultent régulièrement nos compatriotes, les qualifiant de « Sales Français », « Sales blancs », « Sales cefrans ».

    Ils n’évoquent jamais, bien évidemment, le témoignage de l’enseignant Jean-François Chemain, qui, dans « Kiffe la France », raconte sa grande fatigue, en Seine-Saint-Denis, d’entendre du matin au soir certains élèves faire l’apologie de Hitler ou de Ben Laden.

    Ils ne rappellent pas davantage ces épisodes de 2006 où, au faciès, dans des manifestations lycéennes ou contre le CPE (Contrat Premier Emploi), les petits blancs étaient agressés et dépouillés par des jeunes noirs ou arabes.

    Ces faits ne seront jamais évoqués par les imposteurs qui se disent antiracistes. Le bon raciste est forcément blanc, et la victime forcément issue de la diversité, et de préférence musulmane. Comment mieux résumer l’état d’esprit de la clique politico-médiatique qui tente de nous diriger que ces quelques lignes, publiées sur le site LibertyVox, signées Ponocrates. Le titre est parlant : Est étiqueté raciste tous les peuples que les puissants ont décidé d’éliminer.

    http://libertyvox.com/article.php?id=497

    Ce barnum a commencé en 1983 lors du « tournant de la rigueur ». L’euphémisme est beau, mais c’est un euphémisme, puisque, de rigueur, il n’y a pas eu, l’Etat n’ayant pas cessé de s’endetter, et le tournant a été un demi-tour, arrière toute. Non pas un progrès, mais la pire des régressions. L’invention de l’accusation à la Sauce raciste a eu pour fonction de faire oublier les promesses et le reniement d’un siècle de lutte pour l’émancipation du peuple.

    Ceux que Sa Majesté Mitterrand et ses sbires ont cyniquement jetés dans les poubelles de l’histoire, à savoir les pauvres, les prolos, les ouvriers, le bon populo de France, les paysans, les petits (employés, artisans, commerçants), les chômeurs, les précaires, les crève-la-faim, ont été décrétés racistes. Il le fallait pour qu’ils rejoignent les décharges publiques. Ils étaient Français et pauvres ; ils étaient racistes ; donc à jeter ou à éliminer. Que crèvent les pauvres et que prospèrent les riches : voilà le slogan des bonobos de Terra Nova et autres bourgeois no bohèmes. Les maîtres à penser des socialauds (et autres cocos, écolos, maos, gauchos) n’ont plus été Jaurès ou Blum ou Clemenceau, mais le clientélisme des copains et coquins du showbiz, la finance vorace, l’affairisme du sexe, dont les avatars actuels forment le trio qui dirige le « grand » quotidien du soir… La bourgeoisie nationale, celle des entrepreneurs et des patrons attachés à leur pays, étant passée à la trappe, les prolos qu’elle employait l’ont suivie. Ont été épargnés les enseignants, les journaleux, les cultureux.

    Pour remplacer les prolos, il a été fait appel à ces nouveaux venus qui ne connaissent en français que les mots racisme et raciste. La guerre des races, ethnies, communautés, religions s’est substituée à la lutte des classes et le racisme a servi à clouer le bec à ceux qui n’avaient ni race, ni ethnie, ni communauté, ni religion, et qui ont été condamnés au silence – tout cela pour que socialos, cocos, gauchos, maos, continuent à banqueter, la (bonne) conscience replète et les comptes en banque rassasiés. 

    Tout est dit. Deux France se font face.

    Celle de La Manif pour Tous, et celle de la LGBT. Le peuple contre Pierre Bergé, ses obligés son fric et sa théorie du genre.

    Celle des Bonnet Rouges, et celle des écolos-socialos. Les travailleurs contre les racketteurs.

    Celle qu’on accuse de fascisme, et les vrais totalitaires qui veulent tuer notre pays.

    Les patriotes, et les mondialistes.

    Les travailleurs, retraités, chômeurs, victimes de la crise, et les assistés, parasites, nuisibles et nouveaux venus qui, encouragés par l’Union européenne et ses larbins, sucent le sang d’un peuple à bout de souffle.

    Ceux qui osent encore être fiers de la France, et ceux qui crachent dessus.

    Ceux qui se reconnaissant en Gaston Monnerville, Alain Mimoun, Malika Sorel, et les Taubira, Roselmack et Rokhaya Diallo, qui doivent tout à la France, et osent qualifier notre pays de raciste.

    Celle du regretté historien Daniel Lefeuvre, et celle de la repentance incarnée par l’ancien trotskiste Benjamin Stora.

    Celle de la réinformation, incarnée par Fdesouche, Boulevard Voltaire, Riposte Laïque et bien d’autres sites résistants, et la presse officielle, la collabosphère, gavée de subventions pour mieux enfumer les Français.

    Celle qui refuse le Grand Remplacement, et l’islamisation de notre pays, et les islamocollabos qui construisent une mosquée tous les cinq jours, en France.

    Celle qui défend la liberté d’expression, et celle des petits vopos de Sos Racisme qui empêchent, à Grenoble, un libraire d’inviter Laurent Obertone, avec menaces à l’appui.

    Celle qui ne demande aucune subvention, ne fait aucun procès, et celle des maitre-censeurs qui passent leur vie au tribunal, et vivent du racket institutionnalisé contre les esprits libres.

    Nous avons le nombre, ils ont le pouvoir et l’argent. Nous sommes des militants prêts à mourir pour nos idées, ils sont des mercenaires qui basculeront dès que nos idées seront majoritaires.

    Nous avons toujours écrit, dès les premiers numéros qui ont suivi le 6 mai 2012, que Hollande ne finirait pas son mandat.

    Nous l’avons théorisé dans deux ouvrages : La Faute du Bobo Jocelyn, et Opération Pédalo.

    Ce régime, à bout de souffle, sort la Grosse Bertha, sur l’antiracisme, et insulte son peuple.

    Ce sont ses dernières cartouches. Peu importe quand, et sous quelle forme, mais celui que Robert Albarèdes appelle le squatteur de l’Elysée, et toute sa clique d’incapables, ministre de l’Intérieur compris, devront partir, car ils ne sont plus capables d’exercer la moindre autorité, trop discrédités qu’ils sont..

    Ils ont ridiculisé la France dans l’affaire Léonarda. Ils ne peuvent continuer à diriger le pays.

    La France est en situation pré-révolutionnaire et seules de nouvelles élections peuvent éviter un embrasement généralisé.

    En attendant, un seul mot d’ordre : dehors les traîtres qui osent insulter leur peuple. Dehors Hollande-Ayrault-Taubira-Valls-Fabius-Belkacem-Moscovici-Touraine. Dehors leurs complices journaleux. Dehors les parasites nuisibles francophobes.

    Il faut d’ores et déjà envisager une montée nationale à Paris de tous ceux qui ne veulent plus de ce régime.

    Union des Patriotes, pour un gouvernement au service de la France et des Français.



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