• LA BARBARIE CORANIQUE

    Dans un pays ou l'on est autorisé d'être  libre penseur,  certaines jeunes filles adopte le statut d'esclave , alors que dans des pays vivants sous dictature islamique beaucoup rêvent de s'en libèrer

    C'EST PEUT ÊTRE UN PEU LONG A LIRE, MAIS CE N'EST PAS FASTIDIEUX

    Femmes, manifestez-vous !
    de Taslima Nasreen
     
    voici une femme courageuse qui a oser dire la verité sur l'islam :
     

     
    Taslima Nasreen, symbole de la révolte en Asie :
    «A l'exception de la Turquie, les femmes sont généralement considérées comme des citoyens de seconde zone, voire des mineures dans les pays musulmans. Mais leur sort varie notablement d'une région à l'autre, selon l'application qui est faite de la loi islamique. (...) »
    « Au cours de toute ma vie, j'ai acquis la conviction que la religion constitue la barrière la plus redoutable à la libération de l'esprit, à la justesse du discernement et à la liberté d'expression»", écrivait Taslima Nasreen dans les colonnes du Monde, à l'occasion de la Journée internationale des femmes, le 8 mars 1996.
     
    Deux ans plus tôt, quand l'écrivain bangladaise vivait encore chez elle à Dacca, elle nous affirmait : "Je combats l'islam, car l'islam ne donne de liberté à aucune femme."
    De formation scientifique, médecin-gynécologue, Taslima Nasreen défend une position radicale face aux questions religieuses. Elle ne croit pas à la distinction entre une religion modérée, acceptable, et un intégrisme intolérable.
    Au Bangladesh, observe-t-elle, "beaucoup de féministes croient que la condition des femmes peut s'améliorer dans le cadre de la religion, à l'intérieur même de la loi islamique. Je ne suis pas d'accord avec cela : je lutte pour l'égalité, chose impossible si l'on admet la loi religieuse." Favorable à une laïcité moderne, elle affirme : "Avant tout, nous avons besoin d'humanisme. Nous devons combattre l'obscurantisme. La religion tente d'imposer une forme de cécité, une passivité, en interdisant de poser des questions. L'islam est né il y a mille quatre cents ans et nous, les sociétés modernes, qui avons vu évoluer beaucoup de choses par rapport à notre passé, nous ne pouvons continuer à nous conformer à ce Livre de cette manière." Taslima Nasreen estime que toutes les religions contiennent des ferments de discrimination.
     
    (...)
     
    "L'ISLAM N'EST PAS MODÉRÉ"
    Rafale de vent est la suite de son autobiographie. Dans ce livre, elle décrit son éducation au sein d'une famille musulmane, évoque son "inquiétude sur les souffrances des femmes"et s'interroge sur "certains versets du Coran qui sont honteusement discriminatoires contre les femmes. Je pose des questions et je fais des commentaires sur le mariage du prophète Mahomet avec une fille de 6 ans, Aïcha, et avec Zaynab, la fille de son fils adoptif. Mon intention n'est pas d'écrire contre l'islam, mais de dire la vérité. Ce ne sont pas seulement les fondamentalistes musulmans, c'est aussi le véritable islam qui est contre la démocratie, la liberté d'expression, les droits de l'homme et les droits des femmes. Nous avons à combattre l'islam pour créer une société dans laquelle les femmes obtiendront égalité et justice. Il peut y avoir des musulmans modérés, mais l'islam par lui-même n'est pas modéré." 

    La condition de la femme dans l'islam

    Mansour Fahmy

    Allia 1990





    Les éditions Allia ont eu l'excellente idée d'éditer la thèse de Mansour Fahmy soutenue à Paris à La Sorbonne en 1913. Dans ce travail sérieux et documenté comme l'exige toute étude universitaire, Mansour Fahmy examine le traitement de la femme dans l'islam, c'est-à-dire aussi bien ce qu'en dit Mahomet que le Coran ou les générations de croyants qui ont succédé. Et le verdict est implacable : l'islam a considérablement dégradé la condition de la femme en dépit des assertions entendues communément sur la pseudo amélioration de sa situation par rapport à l'ère antéislamique.

    La thèse remarquable de Fahmy ne montre aucune timidité à faire apparaître le vrai visage de Mahomet, celui d'un homme qui a constamment su adapter aux situations personnelles ses propos présentés comme divins et qui n'a jamais hésité à profiter de son statut de prophète, en particulier en ce qui concerne les relations avec ses nombreuses femmes. Dès le premier chapitre Mansour Fahmy annonce le ton de l'ouvrage : "Mahomet légifère pour tous et fait exception pour lui-même". La suite est à l'image de ce début : le voile et ses multiples variantes, la réclusion imposée aux femmes qui en fera des êtres dépendants et asservis, l'attrait des musulmans pour les relations hors mariage (concubines et esclaves), la législation du mariage et du divorce, la dot, etc. Et tout au long de son travail, l'auteur n'aura de cesse de désigner les siècles d'islam postérieurs à Mahomet comme responsables de la relégation des femmes à un statut de mineures à vie.

    Mansour Fahmy sera voué à un rejet complet à son retour en Egypte, accusé d'avoir rédigé une thèse contraire à l'islam. Penseur détruit, il n'existera alors quasiment plus.


    Juillet 2003 

    Introduction - Avant l'Islam

    Rendons à César ce qui est à César : « A l'égard des femmes, Mahomet avait manifesté une grande bienveillance en comparaison des coutumes en vigueur chez les Bédouins de son époque : femmes réduites à l'état d'animal domestique, infanticide des fillettes enterrées dans le sable (1) juste après la naissance, etc.» (Encyclopédie Hérodote du savoir)

    Est-ce à dire que l'Islam a apporté la liberté à la femme ? Que nenni ! Cette bienveillance est toute relative : la région du Golfe persique, à cette époque, était sans doute l'une des parties du monde aux moeurs parmi les plus cruelles, les plus épouvantables, et en particulier envers les femmes. Cette cruauté est constatée chez toutes les cultures ayant dû survivre dans des climats particulièrement rudes ; et il suffit d'examiner de près ce qu'est devenu le statut des femmes après "la bienveillance" de Mahomet pour se faire une idée de ce que devait être la vie de celles-ci avant Mahomet...

    Musulman 682
    Le Prophète a dit : "Ne lapidez pas l'adultère qui est enceinte jusqu'à ce qu'elle ait accouché de son enfant." ...
    Après la naissance, elle a été poussée dans un fossé, enterrée jusqu'à la hauteur de sa poitrine, et le prophète a commandé qu'ils la lapident. Khalid est venu avec un caillou qu'il a jeté à sa tête, et le sang a jailli, puis il l'a maudite. Le prophète doux a prié sur elle et elle a été enterrée.
    (...) "Les cailloux ne doivent pas être trop petits ou la mort ne peut pas s'en suivre. Ni les cailloux ne doivent être trop grands ou la mort peut venir trop rapidement"

    Pour les mêmes délits le sort des hommes est le même et, bien que beaucoup d'autres civilisations contemporaines à cette époque ne faisaient guère mieux, le fait est qu'actuellement, aucune religion ne se revendique d'une loi aussi cruelle et répressive envers la gente féminine. Aucun pays, autres que la plupart des pays à majorité islamique, n'ont autant intégré des lois révélées dans leur législation du 20me et 21me siècles. Seule la Turquie et éventuellement la Tunisie pourraient être citées comme exceptions : la loi coranique est en vigueur dans tous les autres pays, ou du moins influencie-t-elle fortement leur législation. Et bien que la plupart d'entre eux, heureusement, n'appliquent plus toutes les peines prévues par la Charia, le fondamentalisme gagne en puissance et le retour vers la barbarie coranique est inéluctable.

    (1) Nous avons cherché, mais sans succès, des sources fiables confirmant cette pratique d'infanticides en Arabie. Elle nous paraît plus proche d'un mythe musulman pour glorifier le prophète que d'un fait historique avéré...

    La première science islamique est le droit et la jurisprudence. Mais un droit et des obligations décrétées par Allah, donc immuables, hors du temps, par-delà des sensibilités ou de l'évolution des sociétés... La bête de l'Islam se tapit dans les pages du Coran, elle s'appelle Allah. Examinons tout cela en détail.

     

    Femmes et Islam
    Ali Hajjouji

    Les illustres Foqahas contemporains (Docteurs de L'islam) ou "créateurs d'ignorance", influencés par la culture occidentale, essayent, coûte que coûte, de nous persuader que l'Islam respecte l'égalité des sexes. Or une étude minutieuse de quelques versets du Coran et quelques Hadith (propos de Mohammed), ou encore quelques éléments de la biographie du prophète, nous montrent qu'en Islam la femme est un être humain de deuxième catégorie.

    Islam et égalité des sexes - A propos du voile

    Examinons d'abord quelques propos du prophète (Hadiths).

    Hadith 4921 dans le Sahîh de Muslim
    « Le Prophète a dit: "Par rapport aux élus du Paradis, les femmes sont en minorité"

    Hadith 4923 dans le Sahîh de Muslim
    « Le Prophète a dit: "Je n'ai laissé après moi une cause de tentation plus funeste aux hommes que les femmes"»

    Donc selon Mohammed la femme est une cause désastreuse de l'attrait (principalement sexuel) de l'homme vers le défendu. C'est pourquoi la femme doit être voilée. Et selon le Hadith suivant la femme dans l'Islam a à peine le droit de sortir dans le désert pour faire ses besoins naturels.

    Hadith 4034 dans le Sahîh de Muslim
    « Sawda sortit, après la prescription du voile, pour satisfaire un besoin naturel. Or, elle était une femme corpulente, d'une taille dépassant celle de toutes les autres femmes, et donc personne ne pouvait la voir sans en découvrir l'identité. Omar ibn Al-Khattâb l'ayant vue, s'écria : "O Sawda, par Dieu, on te reconnaît (malgré le voile). Fais donc attention quand tu sors !". Elle revint donc sur ses pas, retrouvant l'Envoyé d'Allah qui était chez moi, en train de dîner, un morceau de gigot entre les mains. Elle entra et dit: "O Envoyé d'Allah! Je suis sortie et Omar m'a dit telle et telle chose". Elle (Aïcha) ajouta: "Aussitôt, il reçut la révélation (de la sourate Al -'Ahzâb, verset 59), puis revint à son calme – pendant tout ce temps le morceau de gigot était encore dans ses mains - et dit: Allah vous a autorisé à sortir pour satisfaire votre besoin naturel". »

    Le verset 59 de sourate Al-Ahzab (citée dans ce Hadith) confirme des versets " révélés " précédemment et décrétant le voile.

    Il faut ici rappeler que le problème du voile (Hédjab) et les versets que l'on trouve à ce propos ont trait aux propos d'Omar et concernent directement les épouses du Prophète. En effet, Mohammed avait plusieurs femmes, et Omar, qui était le père d'une des épouses du prophète de l'Islam, lui proposa que ses femmes se voilent ; ce fait s'est ensuite généralisé pour toutes les Musulmanes... Avant cela, le Prophète lui-même asseyait Aïcha sur ses épaules, avec ses beaux cheveux longs. Et plus tard, lorsque le problème des rapports d'Aïcha avec un arabe se posa, ce phénomène du voilement s'affirma plus sérieusement. (Aïcha fut accusée d'adultère à l'âge de treize ans). Le scandale ne se calma qu'avec des "révélations" coraniques innocentant l'épouse de l'homme "saint".
    Le voile de l'Islam ne concerne que les femmes libres ; les esclaves ne sont pas autorisées à se voiler.

    Islam et égalité des sexes - Un homme = deux femmes

    Un autre exemple de la pseudo égalité des sexes concerne l'héritage : 

    Sourate des Femmes - Verset 11
    «Voici ce qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants: au fils, une part équivalente à celle de deux filles »

    Un autre Hadith nous dit que les femmes sont moins intelligentes que les hommes ; ce qui justifie que lorsque les femmes sont appelées à témoigner devant un juge dans une affaire donnée, le témoignage d'un homme équivaut celui de deux femmes. Si par exemple dans une affaire vous avez besoin de deux témoins, vous pouvez demander soit le service de deux hommes, soit un homme et deux femmes. Voici le Hadith :

    Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim
    « L'Envoyé d'Allah a dit: "O femmes! Faites l'aumône et sollicitez plus fréquemment le pardon d'Allah, car je vous ai vu former la majorité des réprouvés de l'Enfer". Une femme - parmi celles ayant l'esprit judicieux - s'exclama: "Et pourquoi cela, ô Envoyé d'Allah?". - "C'est, répondit-il, que vous multipliez vos malédictions et vous êtes ingrates envers vos époux. Je n'ai vu parmi les êtres faibles en intelligence et en religion personne qui, mieux que l'une de vous, fasse perdre l'esprit à un homme sensé". - "En quoi, reprit-elle, ô Envoyé d'Allah, consiste le défaut de notre intelligence et de notre religion?". - "Le témoignage de deux femmes équivaut à celui d'un homme... Voilà pour le défaut de l'intelligence, répliqua le Prophète, et quand elles ont leurs menstrues, les femmes ne cessent-elles pas de prier et de jeûner des nuits durant?... Eh bien! Voilà pour celui de la religion. »

    Les rapports de Mohammed avec ses épouses - Aïcha, 9 ans

    Examinons le Hadith suivant, mais est-il besoin de rappeler qu'il s'agit d'un homme de cinquante-trois ans (53 ans) qui épouse une " femme " de neuf ans (9 ans). :

    Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim
    « Aïcha a dit : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "Nous nous rendîmes à Médine. J'avais eu la fièvre pendant un mois, et avais perdu mes cheveux; mais ils repoussèrent abondamment et m'arrivèrent jusqu'aux épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. Elle m'appela et je me rendis à son appel sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester sur la porte de la maison, jusqu'à ce que ma respiration haletante se fût calmée. Elle me fit ensuite entrer dans la maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent: "A toi le bonheur, la bénédiction et la meilleure fortune!" Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent le visage et la tête; et se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains. »

    Comme l'écrit Tabari : "Malgré le fait qu'Aïcha fut la fiancée de quelqu'un d'autre, et que son père Abou Bakr s'opposait à son alliance avec le Prophète, celui-ci convainquit tout le monde et fit son alliance avec Aïcha. Elle fut donc fiancée à 7 ans et mariée à 9 ans."

    Le prophète de l'Islam aimait beaucoup les arts et la nature. Il disait lui-même qu'il avait choisi en ce monde trois choses : Femme, Parfum, Prière.
    Le prophète de l'Islam n'avait jamais caché son amour pour les femmes et en prit autant qu'il pouvait pour épouses après le décès de Khadija. Comme il l'avait dit lui-même, la femme était l'un de ses trois amants mondains.

    Les deux versets suivants de sourate al Ahzab (Coran) lui donne le droit de prendre des femmes, comme il lui plaît :

    Sourate al Ahzab, Verset 50
    « Ô Prophète! Nous t'avons rendue licites tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu'Allah t'a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, - celles qui avaient émigré en ta compagnie, - ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle: c'est là un privilège pour toi, à l'exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu'ils possèdent, afin qu'il n'eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »

    Sourate al Ahzab, Verset 51
    « Tu fais attendre qui tu veux d'entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t'est fait aucun grief si tu invites chez toi l'une de celles que tu avais écartées. Voilà ce qui est le plus propre à les réjouir, à leur éviter tout chagrin et à leur faire accepter de bon cœur ce que tu leur as donné à toutes. Allah sait, cependant, ce qui est en vos cœurs. Et Allah est Omniscient et Indulgent.. »

    Et oui ! Qui pourrait arrêter ce mastodonte sexuel que fut Mohammed ? Rien ni personne. Il fit même pression sur son fils adoptif, Zayd, pour que ce dernier divorce de sa femme Zainab qui par la suite fut mariée au prophète :
    En effet, un jour que le prophète de l'Islam se rendit chez son fils adoptif Zayd, ce dernier n'était pas à la maison. Zainab, la femme de Zayd était présente, et le prophète de l'Islam, voyant Zainab (sans voile à la maison), s'en réjouit et dit :
    "Que Dieu félicite cette meilleure créature".
    Lorsque Zainab raconta cela à son mari, celui-ci comprit que sa femme avait plu au Prophète, alors il l'envoya chez son père. Or en principe on n'a pas le droit de se marier à la femme de son fils, même après son divorce. Pour atteindre son objectif, le prophète inventa des " révélations " qui abrogent l'adoption. Et ainsi, Zayd n'étant pas son fils biologique, il eut le droit d'épouser sa femme après le divorce. Voici ce que dit le Coran de cette Histoire :

    Sourate al Ahzab, Verset 4
    « Il (Allah) n'a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants. Ce sont des propos [qui sortent] de votre bouche. Mais Allah dit la vérité et c'est Lui qui met [l'homme] dans la bonne direction. »

    Sourate al Ahzab, Verset 5
    « Appelez-les du nom de leurs pères: c' est plus équitable devant Allah. Mais si vous ne connaissez pas leurs pères, alors considérez-les comme vos frères en religion ou vos alliés. Nul blâme sur vous pour ce que vous faites par erreur, mais (vous serez blâmés pour) ce que vos cœurs font délibérément. Allah, cependant, est Pardonneur et Miséricordieux. »

    Sourate al Ahzab, Verset 37
    « Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé: ‹Garde pour toi ton épouse et crains Allah›, et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté. »

    On a surligné en rouge un passage très intéressant de ce verset: " et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public ". Mohammed cachait le désir d'épouser une femme mariée. Le célèbre exégète Ibn Katir explique à propos de ce verset que Aïcha dit : " Si l'envoyé d'Allah devait cacher quelque chose de ce qui lui est révélé, il aurai caché ceci ". Et bien sûr, le scénario est fait intelligemment ! Mohammed s'auto-critique par le Coran pour prouver qu'il émane de Dieu.

    Pour légitimer le mariage avec Zaynab, Muhammad abrogea l'adoption :

    Sourate al Ahzab, Verset 40
    « Muhammad n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais le messager d'Allah et le dernier des prophètes. Allah est Omniscient. »

    Lorsqu'il commença à exagérer dans ces épousailles avec toutes ces femmes, il fut blâmé par le Coran sur tous ses prochains mariages, et le mariage lui fut défendu. (sourate al Ahzab)

    Sourate al Ahzab, Verset 52
    « Il ne t'est plus permis désormais de prendre [d'autres] femmes. ni de changer d'épouses, même si leur beauté te plaît; - à l'exception des esclaves que tu possèdes. Et Allah observe toute chose. »

    Nous savons que le prophète de l'Islam avait entre quinze et vingt épouses officielles et des dizaines de servantes dont la majorité étaient des prisonnières de guerre. Le Prophète avait accepté le rite militaire des Arabes primitifs, à savoir s'emparer des femmes des vaincus lors des guerres et les prendre comme esclaves. Si l'Islam limite le nombre des femmes légales à quatre, cela concerne uniquement les femmes libres. Le nombre d'esclaves qu'on peut prendre comme concubine est illimité. Voici ce que dit le Coran :

    Sourate des femmes, Verset 3
    « Et si vous craignez de n'être pas justes envers les orphelins, Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d'injustice. »

    Lorsqu'ils discutent le sujet de la polygamie, nos Foqaha contemporains nous disent que si on désire épouser quatre femmes il faut être juste et équitable avec elles, comme par exemple coucher chaque nuit avec l'une d'elles, et à tour de rôle. Voyons maintenant si Mohammed lui-même fut équitable avec ses femmes. La sourate Atthrim nous raconte une autre histoire de Mohammed avec ses femmes.

    Selon le célèbre exégète du Coran Ibn Katir : Mohammed était dans la chambre de son épouse Hafsa, fille d'Omar, quand Hafsa sortit rendre visite à ses parents. Mohammed amena peu après Marya dans la chambre de Hafsa et coucha avec elle. Lorsque Hafsa rentra chez elle et apprit la nouvelle, elle se disputa avec le Prophète en lui reprochant d'avoir couché, dans sa chambre, et durant sa nuit, avec une servante, noire, et qui sent mauvais... Le Prophète s'excusa et supplia Hafsa de n'en point parler aux autres épouses. En revanche, il s'interdit Marya et l'offrit à Abou Bakr.
    Pour faire plaisir à Hafsa, le prophète d'Islam jurade ne plus toucher Marya. Pourtant, Hafsa raconta la nouvelle à toutes les épouses du prophète qui se révoltèrent contre lui et le blâmèrent. Voici les cinq premiers versets de sourate Attahrim qui racontent cette histoire :

    Sourate Attahrim, Versets 1 à 5
    «
    Ô Prophète! Pourquoi, en recherchant l'agrément de tes femmes, t'interdis-tu ce qu'Allah t'a rendu licite? Et Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux.

    Allah vous a prescrit certes, de vous libérer de vos serments. Allah est votre Maître; et c'est Lui l'Omniscient, le Sage.

    Lorsque le Prophète confia un secret à l'une de ses épouses et qu'elle l'eut divulgué et qu'Allah l'en eut informé, celui-ci en fit connaître une partie et passa sur une partie. Puis, quand il l'en eut informée elle dit: ‹Qui t'en a donné nouvelle?› Il dit: ‹C'est l'Omniscient, le Parfaitement Connaisseur qui m'en a avisé›.

    Si vous vous repentez à Allah c'est que vos cœurs ont fléchi. Mais si vous vous soutenez l'une l'autre contre le Prophète, alors ses alliés seront Allah, Gabriel et les vertueux d'entre les croyants, et les Anges sont par surcroît [son] soutien.

    S'Il vous répudie, il se peut que Seigneur lui donne en échange des épouses meilleures que vous, musulmanes, croyantes, obéissantes, repentantes, adoratrices, jeûneuses, déjà mariées ou vierges. »

    Le Coran a ainsi blâmé les épouses du prophète pour s'être révoltées contre lui, et les a menacées de répudiation. N'est-ce pas pratique courante encore de nos jours, dans la culture arabo-musulmane, de menacer sa femme de divorce lorsque l'homme a un désaccord avec celle-ci ?!!!.

    La Pédophilie dans le Coran

    Selon la législation du Coran (la chari'a) la femme divorcée n'a le droit de se remarier qu'après l'achèvement d'une période d'attente.

    Sourate attalaq (le divorce), Verset 1
    « Ô Prophète! Quand vous répudier les femmes, répudiez-les conformément à leur période d'attente prescrite; et comptez la période; et craignez Allah votre Seigneur. »

    Jusqu'ici, pas de problème... Mais examinons maintenant ce que dit le verset 4 de la même sourate :

    Sourate attalaq (le divorce), Verset 4
    « Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses. »

    Arrêtons-nous sur ce passage :  "De même pour celles qui n'ont pas encore de règles ":
    Cela signifie clairement qu'il est envisageable, en Islam, qu'une femme se marie et se divorce avant même d'avoir ces règles !!
    Si ce n'est de la pédophilie, c'est donc le respect du droit de l'enfance par excellence !!

    Selon le Coran, l'Homme a le droit de frapper sa femme !!

    Les versets suivants sont tous extraits de la Sourate Les femmes :

    Sourate Les femmes, Verset 34
    « Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! »

    Si la femme est désobéissante, parmi les solutions proposées pour régler se problème, on peut frapper sa femme.

    Sourate Les Femmes, Verset 35
    « Si vous craignez le désaccord entre les deux [époux], envoyez alors un arbitre de sa famille à lui, et un arbitre de sa famille à elle. Si les deux veulent la réconciliation, Allah rétablira l'entente entre eux. Allah est certes, Omniscient et Parfaitement Connaisseur »

    Mais voyons ce que propose le Coran si c'est l'Homme qui est fautif :

    Sourate des Femmes, Verset 128
    « Et si une femme craint de son mari abandon ou indifférence, alors ce n'est pas un péché pour les deux s'ils se réconcilient par un compromis quelconque, et la réconciliation est meilleure, puisque les âmes sont portées à la ladrerie. Mais si vous agissez en bien et vous êtes pieux... Allah est, certes, Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites »

    Si c'est l'homme qui est fautif, une seule solution est proposée : la réconciliation. Vive l'égalité !!!

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