• l' UDMF , vous connaissez ?

    Surligner et aller a l'adresse ci-dessous

    https://fr.news.yahoo.com/video/tweetclash-udmf-le-parti-musulman-160000863.html

     
         
     

    UN PARTI COMMUNAUTARISTE MUSULMAN EN LICE POUR LES ÉLECTIONS DÉPARTEMENTALES : DU MULTICULTURALISME À L'ÉCLATEMENT DE LA NATION

     

    Dans son dernier roman, Soumission, Michel Houellebecq décrit l'arrivée au pouvoir d'une formation politico-religieuse baptisée « Fraternité musulmane ». Un sujet auquel l'actualité donne un étonnant écho à travers l'émergence d'un parti politique ouvertement communautaire, l'Union des Démocrates Musulmans de France (UDMF), qui veut présenter des candidats dans 8 cantons aux prochaines élections départementales. Si cette présence s’avère marginale pour le moment, elle n’en constitue pas moins un symbole fort d’une évolution inquiétante car ces candidatures témoignent d’une volonté de remise en cause de l'identité et de l’unité de la seule communauté devant être reconnue en France : la communauté nationale.

    Najib Azergui, fondateur de l’UDMF, va même plus loin : il affirme qu’il souhaiterait récolter les 500 signatures nécessaires pour présenter un candidat à l’élection présidentielle de 2017. Nous voici revenu au roman de Houellebecq... De telles ambitions doivent alerter tous nos compatriotes. Elles n’auraient pu voir le jour si l’UMP et le PS n’avaient mené conjointement une politique d’immigration massive et de faiblesse face aux revendications communautaristes rendant inopérante l’assimilation républicaine.

    Si nous sommes encore loin de la soumission du livre de Houellebecq, malgré des signaux préoccupants que l'on doit prendre au sérieux, nous voyons en revanche comment le multiculturalisme pourrait conduire peu à peu à l'éclatement de la Nation. Lors des élections départementales, face aux revendications portées par ce parti (autorisation du voile à l'école, instauration de la finance islamique, droit de vote des étrangers, développement de l'économie halal) et face aux élus UMPS qui ont permis son émergence, la réponse portée par les candidats du FN-RBM est claire, sereine mais forte : la fierté française et les valeurs républicaines !

       

    Nicolas Bay
    Secrétaire Général du Front Nation

    Plusieurs voix politiques critiquent les projets de ce nouveau parti qui espère s'implanter dans huit cantons aux élections départementales en mars.

    Nous sommes fier d'incarner aujourd'hui le renouveau et le dynamisme d'une France qui avait perdu tout espoir en l'avenir et en sa politique traditionnelle.» Ces mots figurent en introduction sur le site internet de l'UDMF (Union des démocrates musulmans de France). Le nouveau parti politique, fondé en novembre 2012 par Najib Azergui, a l'ambition de participer aux élections départementales en mars et espère avoir un jour les moyens de réunir 500 signatures pour participer à une élection présidentielle. Dans sa présentation, l'UDMF souligne notamment les difficultés économiques, la «crise des valeurs» et la «perte de confiance» d'une France jugée en «état d'urgence». Son projet est de permettre aux citoyens musulmans d'apporter une «alternative».

    Pour justifier l'existence de l'UDMF et de sa dimension religieuse, son président, Emir Megharbi compare son parti à ceux de la CDU (Union Démocratique Chrétienne) allemande d'Angela Merkel et du PCD français (Parti Chrétien Démocrate) de Christine Boutin. «Dans la diversité sociale et culturelle qui compose notre Nation, l'islam, deuxième religion du pays, en était jusqu'alors exclus à cause de toutes une série de clichés que nous comptons bien balayer» ajoute-t-il. Huit listes seront présentées aux départementales à Strasbourg, Avion, Bagneux, Nice, Lyon, Marseille, Bagneaux et aux Mureaux.

    L'existence de l'UDMF dans le paysage politique français suscite cependant des réactions contrastées et souvent hostiles. Pour Jean-Frédéric Poisson, président du PCD, il existe une grande différence entre ce projet musulman et son parti. «Nous ne sommes pas du tout dans le même état d'esprit, explique-t-il, car l'inspiration de l'UDMF semble tout droit issue d'une application stricte d'un certain nombre de principes du Coran dans l'espace public. Ce n'est pas l'aspiration du Parti chrétien démocrate.» Selon lui, le PCD n'est pas comparable parce qu'il ne repose pas sur la défense de «particularismes» mais sur les «racines de la culture occidentale», la «pensée sociale des églises», les «valeurs universelles» ou encore la «dignité de la personne humaine». Jean-Frédéric Poisson constate que l'irruption de l'UDMF sur la scène politique surgit au moment du «rallumage des tensions» entre les religions, «alimenté à droite et à gauche». Inquiet, il prévient: «Si nous entrons dans une ère de conflit ouvert entre la République et le fait religieux, je pense que la France ne s'en remettra pas.»

    «Suite logique»

    Au Front national, tout en jugeant que cette apparition «très emblématique» s'inscrit comme «la suite logique de tout ce que nous vivons», Louis Aliot souligne que le projet de ce parti musulman concernant le voile se réfère à des interdits. Il y voit aussi une «base communautariste contraire, selon lui, à l'unité et l'indivisibilité de la république». Le vice-président du FN estime que la décision «appartient désormais au ministre de l'Intérieur». Il estime aussi que ce parti, dans beaucoup de villes, handicapera l'UMP et le PS appuyés, à ses yeux, sur des «minorités clientéliste très ciblées». Invitant les autorités à vérifier la légalité et les statuts de l'UDMF, Louis Aliot croit que les Français musulmans doivent trouver leur place dans les partis traditionnels. Il critique une «dérive très claire» et une «américanisation de notre vie politique.»

    Pour Steeve Briois, maire FN d'Hénin-Beaumont, la présence de huit listes UDMF aux cantonales, dont une dans le Pas-de-Calais, est une «attaque aux fondements même d'une république laïque» car il croit que cette république «doit combattre toute forme de replis communautaristes». Il se dit encore «profondément choqué» et «abasourdi» en accusant la classe politique de ne pas prendre «ses responsabilités». Dans sa région, il pense que l'UDM n'attirera que très peu de voix et que les musulmans du Pas-de-Calais «tourneront le dos» à cette initiative.

    La prophétie Houellebecq?

    Karim Ouchikh, le président du SIEL (parti proche du Front national), se dit pour sa part «hostile, par principe, à tout parti politique à vocation confessionnelle.» L'UDMF est selon lui «frappé du sceau du communautarisme» et il estime que ses revendications en faveur du halal ou du voile à l'école «n'ont pas lieu d'être» dans la République. «Le dernier roman-fiction de Michel Houellebecq, évoquant la possibilité pour un président de confession musulmane d'accéder à l'Elysée, est prophétique» ajoute-t-il.

    Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France (DLF) se montre lui très opposé. S'il ne conteste pas le droit pour ce parti d'exister, en revanche il considère cela comme un risque de «libanisation» du pays. «Une catastrophe, ajoute le député de l'Essonne, pour les Français musulmans qui, pour moi, sont Français avant d'être musulmans». Il espère aussi que les Français musulmans ne tomberont pas dans ce «piège monstrueux» qu'il entend combattre par les convictions. Selon lui, l'éventuelle légalité de ce parti n'empêche pas le fait qu'il puisse être critiqué. Dupont-Aignan poursuit: «S'ils réussissent, cela donnera raison à tous ceux qui pensent que l'assimilation est impossible et s'ils échouent, cela prouvera que celle-ci l'est encore. Ce que je souhaite et propose.»

    Le «droit» et la «démocratie»

    Au Parti socialiste, Malek Boutih, député de l'Essonne, voit d'abord l'UDMF comme une expression démocratique. «Cela n'appelle aucun commentaire car ce n'est pas gênant», confie-t-il. Il estime qu'en France, «tout le monde a le droit de prendre l'initiative qu'il souhaite sur le terrain politique et citoyen» et que cela est «toujours mieux que se replier dans la violence». Il pense également que ceux qui sont à l'initiative de ce parti «ont absolument le droit» de promouvoir le halal ou le voile et que de tels projets peuvent être combattus sur le terrain démocratique. Par ailleurs, Malek Boutih ne croit pas réaliste, sur le plan électoral, l'idée d'un parti musulman en France et qui, selon lui, n'aura «aucune conséquence sur le paysage politique». «Tant qu'on est dans les lois républicaines, on a le droit de faire ce que l'on veut», conclut l'élu socialiste.

    L’islam est un marchand d’illusions, un mystificateur et un usurpateur. Avec lui, la France n’est pas au bout de ses surprises après les attentats meurtriers qui l’ont ébranlée qui portaient sa signature  sans qu’il soit nommément mis en cause, le voilà qu’il vient polluer de son intrusion son paysage politique avec le lancement du parti de l’islam dans l’arène politique. Ledit parti présente au nom de la démocratie musulmane -ce n’est pas une farce c’est certifié 100% halal- ses candidats aux prochaines élections départementales ex-cantonales.

    Ce parti prétend avoir 900 adhérents mais au vu de son vivier électoral et grâce aux relais des mosquées et des réseaux sociaux il ne va pas tarder à devenir le premier parti de France et faire ainsi un pied de nez à tous les idiots utiles de l’islam qui nient l’existence du vote communautaire.

    Un musulman qu’Allah a élevé au-dessus de tous les êtres humains  ne peut et ne doit voter que pour un candidat musulman et non pas pour un égaré dans la voie d’Allah. Il commettrait un sacrilège si jamais il investit sa confiance et apporte sa voix  à des non-musulmans même s’ils sont des islamo-compatibles : C’est illicite car cela veut dire qu’il leur fait confiance et allégeance alors qu’Allah dit: « Ô les Croyants! N’adoptez par pour alliés ceux qui prennent en raillerie et jeu votre religion, parmi ceux à qui le livre fut donné avant vous et parmi les mécréants. Et craignez Allah si vous êtes croyants. » (sourate 5/verset 57).

    Les électeurs musulmans ce qui est déjà en soi une hérésie doivent choisir parmi les candidats musulmans ceux qui leur paraissent les plus dignes, aptes, qualifiés et qui ont le sens des intérêts de leur communauté.  Un élu musulman ne doit pas oeuvrer pour le bien de la collectivité plurielle, seules priment dans le cadre de son action politique qui doit être fidèle aux prescrits coraniques les aspirations de ses coreligionnaires. Un nazi ne pouvait pas voter pour un juif de même qu’un musulman  – malgré son incapacité et sa faiblesse – est jugé meilleur que l’insoumis à Allah au coeur rempli de rancune et de mépris à leurs égards : « Et certes, un esclave croyant vaut mieux qu’un associateur même s’il vous enchante. » (sourate 2/verset 221)

    Il faut savoir aussi que l’élection du non-musulman – et lui donner primauté – est considérée comme accorder une voie aux mécréants contre les croyants, ce qui est interdit ! Allah dit: « Et jamais Allah ne donnera une voie aux mécréants contre les croyants. » (sourate 4/verset 141)

    Il n’y a pas plus clair pour convaincre ceux qui drapent les musulmans dans la vertu de la démocratie électorale et balayer d’un revers de la main le leitmotiv des musulmans aussi menteurs et fourbes qu’un arracheur de dents sur la démocratie chrétienne : « Si les chrétiens sont démocrates nous le sommes aussi. » Or, les chrétiens ne sont pas en contradiction avec le message originel de leur religion qui sépare le profane du sacré. Le Christ n’était ni un chef de guerre, ni un chef d’Etat, ni un assassin, ni un malfrat,  et n’a prêché ni la violence, ni le racisme, ni le suprématisme, ni la haine entre les hommes contrairement à Mahomet.

    Les chrétiens ne sont pas nourris au biberon de l’abhorration des valeurs de la république et de la laïcité à la différence notoire des musulmans.  Etre chrétien est aussi être maître de ses choix politiques et acteur de plein droit dans la vie sociale, c’est le refus du fatalisme, de la misère et de la pauvreté.  Comparer le christianisme à l’islam c’est faire fi des nombreuses réformes et innovations sociales réalisées par le Vatican dont la fameuse encyclique Rerum Novarum publiée le 15 mai 1991 sous Léon XIII qui marque l’ouverture de l’Eglise sur les questions sociales, ouvrières et syndicales.  L’islam n’a jamais connu l’ombre d’une réforme, comment peut-on envisager une démocratisation de ses institutions alors que c’est la main invisible d’Allah qui gouverne la vie des hommes dans les moindres petits détails ? L’homme n’a pas à briser les chaînes dont il est entravé car cela consisterait à commettre une Fitna, une révolte ? Il est condamné à la résignation et à l’immobilisme, il ne doit pas changer les cours de l’évolution de sa vie.

    Etre musulman est accepter son sort quel que soit le degré de son amertume qu’Allah lui a dévolu. Etre musulman c’est aussi le refus de la démocratie et la laïcité.

    C’est l’islam qui fait les amalgames entre les différentes sphères des pouvoirs et non pas ceux qui doutent de l’innocence de l’islam et de sa neutralité politique. L’islam a fait de ses fidèles des bombes à neutrons pour asservir l’humanité et détruire tous les modes de pensée qui ne sont pas de son bord. Comment peut-on imaginer que la démocratie ferait la paire avec l’islam alors que la première veut mettre l’homme au coeur de la vie de la cité et le second fait d’Allah le seul et unique maître de la vie des hommes. Ils ne peuvent ni se juxtaposer, ni se superposer, ils ont tous les deux des propriétés antinomiques. Autant la démocratie n’est pas mortelle pour l’islam où il y a de place chez elle pour tous les hommes qui aspirent à vivre ensemble, autant ce dernier est un poison mortel non pas seulement pour la démocratie mais pour toute l’humanité qui ne croit pas en lui. L’islam ne reconnaît qu’une seule logique de la cohabitation harmonieuse entre les hommes, celle qui consiste à nier les droits à la différence et à la liberté de pensée et de convictions
    Des islamo-compatibles, des naïfs et tous ceux qui draguent les voix des musulmans ne manqueront de se faire les avocats de ce parti de l’islam appelé l’Union des musulmans démocrates en plaidant la cause de ce nouveau-né en insistant sur son caractère républicain et inoffensif avec un certain scepticisme dissimulé en espérant qu’il sera un mort-né. La chute de Byzance s’est faite par la ruse et un musulman ne s’avoue jamais vaincu tant qu’il n’a pas piégé sa proie. Ce parti à caractère religieux n’aurait jamais dû bénéficier de l’autorisation préfectorale.

    Au point où nous en sommes pourquoi pas un parti des Témoins de Jéhovah démocrates, des Juifs démocrates, des Bouddhistes démocrates, des Animistes démocrates, des Athées démocrates et pourtant leurs systèmes de pensée ou de croyance sont compatibles avec les valeurs de la République contrairement à l’islam qui est un danger mortel pour les fondements de la République ?

    L’islam se veut religion, Etat et monde, où l’homme n’a pas voix au chapitre, il doit suivre au long de sa vie la voie qu’Allah lui a tracée, il n’a pas à être ni une force de proposition, ni à discuter du choix du modèle de société qui lui convient. L’islam est lui-même un mode de gouvernance politique qui exige de ses fidèles une allégeance totale et absolue. Prôner la démocratie c’est s’éloigner de la voie de l’islam et par conséquent commettre une hérésie punissable de la peine de mort.

    En revanche, il est permis aux musulmans de tromper son auditoire en arborant tous les masques de circonstances selon les besoins de la cause de l’islam. Ce parti qui est une insulte à la démocratie est moins guidé par les intérêts de la France que par les intérêts de l’islam.

    La démocratie française est en train de signer son propre arrêt de mort en laissant proliférer en son sein la cancer de l’islam.

    Fini le rêve français et bienvenue au cauchemar de l’islam.
    Salem Ben Ammar



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