• l'Islam bientôt chez voux

    Archevêque catholique de Mosul aux occidentaux: « nos souffrances d’aujourd’hui sont le prélude des vôtres »

    L’islam se propage par le viol, la menace de décapitation et se construit sur le sang des martyrs non musulmans.

    « En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » Georges Orwell

    Le viol

    Dans le monde musulman, le viol est considéré comme une arme de domination sur les chrétiens. La spécificité de ces crimes est qu’ils sont légitimés par le sentiment de certains musulmans d’avoir le droit de disposer à leur gré des chrétiens. Ils éprouvent à la fois un sentiment d’impunité et de légitimité.

    Au Pakistan

    Les médias occidentaux ignorent – ou feignent d’ignorer – le sort des enfants chrétiens et hindous victimes de viols et de meurtres. C’est le triste constat que dresse dans Right Side News Raymond Ibrahim, chercheur associé au Forum du Moyen-Orient, dans un article intitulé « Le viol et le meurtre d’enfants chrétiens au Pakistan ». La spécificité de ces crimes est qu’ils sont légitimés par le sentiment de certains musulmans d’avoir le droit de disposer à leur gré des chrétiens.

    Au Pakistan, c’est à une multiplicité de cas de ce genre que sont confrontés les chrétiens :

    Muqadas Kainat, violée et étranglée à 12 ans

    Muqadas Kainat, violée et étranglée à 12 ans

    Muqadas Kainat a été violée par cinq hommes dans un champ près de chez elle selon le médecin légiste. Après avoir abusé d’elle, ses agresseurs musulmans ont étranglé la fillette de 12 ans. C’est le père, à l’hôpital au chevet de son épouse pendant le drame, qui a découvert le corps de sa malheureuse enfant. Si une enquête à été ouverte, les coupables n’ont pas été appréhendés. Dans la région de Sahiwal où le crime a été commis, et où les chrétiens ne représentent que 1% de la population, nombreuses sont les jeunes filles violées, voire forcées de changer de religion et épouser leurs agresseurs.

    Samuel Yaqoob, un garçon de 11 ans qui se rendait au marché de Faisalabad pour acheter de la nourriture a disparu. Son corps a été retrouvé torturé et criblé de 23 coups portés avec une lame acérée, et le médecin légiste a estimé que l’enfant avait été sodomisé. La famille avait eu du mal à reconnaître l’enfant, brûlé, dont le nez les lèvres et l’abdomen avaient été tranchés et découpés.

    D’autres cas de viols suivis du meurtre des petites victimes existent.

    La petite Nisha, âgée de 9 ans, a été enlevée et violée par plusieurs hommes et supprimée avant d’être jetée dans le canal.

    Shazia Bashir, une enfant de 12 ans, avait été réduite en esclavage, violée et assassinée par un riche avocat musulman contre qui le père n’avait rien pu faire en justice.

    « Au Pakistan, (comme ailleurs dans le monde musulman,) le viol est une arme de domination sur les jeunes filles non musulmanes, notamment les Chrétiennes. C’est une forme de violence qui vise à affirmer la soumission des infidèles aux musulmans. La société musulmane n’est pas indignée par ces actes atroces, car les victimes sont majoritairement issues des minorités religieuses. Les violeurs sont rarement punis. » Sardar Mushtaq Gill, avocat pakistanais.

    En outre, les victimes de viols qui survivent sont confrontées à de terribles difficultés, elles ne reçoivent ni traitement médical adéquat, ni d’aide psychologique.

    La décapitation des infidèles

    « Et ton Seigneur révéla aux Anges : “Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non-musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager.” » (Sourate 8,12-13)

    Il est donc légitime, pour le Coran, de décapiter tout non-musulman.

    « Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru [les non-musulmans], frappez-en les cous [décapitez-les]. » (Sourate 47,4)

    Après le viol, justifié par le coran, la décapitation des chrétiens par les musulmans est devenu un spectacle de plus en plus visible.

    Au mois d’août dernier, les militants de l’Etat islamique ont décapité un chrétien après l’avoir forcé à réciter la « chahada », la profession de foi islamique : « Il n’y a pas d’autre dieu hormis Allah et Mahomet est son messager. »Celui qui prononce cette phrase devant des témoins musulmans devient musulman, et théoriquement, il sauve sa vie et ses biens. Ce ne fut pas le cas pour ce pauvre homme, qui, après avoir renoncé à sa foi chrétienne pour l’islam, fut décapité devant une caméra.

    L’histoire de ce malheureux fut racontée dans le Christian Post. La décapitation fut filmée et la vidéo diffusée comme un avertissement à tous les « gens comme lui ». Dans la vidéo, on peut voir ce pauvre chrétien sans défense, entouré d’hommes armés, portant des masques, réciter la chahada. Un leader du groupe déclara ensuite :

    « Personne ne va l’abattre maintenant, vous entendez ? Il ne sera pas abattu par balles, car ce serait de la compassion. Il sera décapité, car c’est un kouffar, un non musulman, allié du gouvernement, et il n’a pas prié. Tous les gens comme lui subiront la même fin par décapitation.»

    Un militant armé d’une machette saisit alors le malheureux par les cheveux et commença à le décapiter, tandis que le groupe criait : « Allahu Akbar… il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah ». Allah, le dieu si miséricordieux, qui exige des sacrifices humains pour apaiser son courroux.

    Inspirée par la vague de décapitations, perpétrées par l’Etat islamique, une britannique, convertie à l’islam, se trouvant actuellement dans les territoires sous contrôle de l’ISIS, a récemment menacé de décapiter les chrétiens avec un couteau.

    Selon le Daily Mail, Umm Hussain al-Britani, anciennement Sally Jones, de Chatam, membre d’un groupe de rock féminin et mère célibataire de deux enfants, envoya un message aujourd’hui disparu des sites, déclarant :

    « Vous Chrétiens, méritez tous d’être décapités avec un beau couteau et vos corps sans tête étalés dans les rues de Raqqa… Venez ici, je le ferais pour vous. »

    Il est surprenant de constater comment la conversion à l’islam, cette belle, grande et noble « religion » d’amour, de tolérance, de paix, transforme souvent le nouvel adepte en un fou furieux sanguinaire.

    Par contre, un musulman, qui embrasse le christianisme, devient un homme nouveau, libéré de son carcan idéologique liberticide, suprémaciste, mortifère.

    Nigéria

    Au Nigéria, des membres du groupe islamiste Boko Haram, qui cherche à imposer la charia au Nigéria par l’horreur et le sang, ont décapité un enfant de 6 ans coupable d’être chrétien.

    Un dimanche du mois d’août, pendant l’office religieux, une horde d’une centaine d’assassins islamistes envahit le village, à majorité chrétienne, d’Attagara. Armés de machettes et de mitraillettes, ils massacrèrent hommes, femmes, enfants.

    Un villageois, Sawaltha Wandala, se rendait à l’église pour le deuxième office, quand il vit les corps des enfants massacrés jonchant le sol. Il aperçut un petit de six ans, grièvement blessé par une machette, gisant dans un fossé. Wandala prit l’enfant dans ses bras et se dirigea vers un hôpital du Cameroun. Hélas, il fut arrêté par cinq assassins de la secte de Boko Haram. Ils lui enlevèrent l’enfant des bras et le décapitèrent. Ensuite ils se mirent à frapper l’homme de 55 ans avec des branches, puis à la tête avec une pierre et quittèrent les lieux, le laissant pour mort. (Source : Christian Today)

    Les membres de Boko Haram demandèrent à un autre chrétien, John Yakuba, de se convertir à l’islam, s’il ne voulait pas mourir dans d’atroces souffrances.

    Yakuba refusa. Ils lui lièrent les bras et les jambes à un arbre et lui tranchèrent une main avec un couteau.

    « Tu vas te convertir à l’islam maintenant » lui enjoignirent ses tortionnaires ?

    « Vous pouvez tuer mon corps, mais non mon âme » s’écria Yakuba.

    Les monstres islamiques continuèrent leur sale besogne et lui coupèrent un pied, puis frappèrent son dos avec une machette.

    « Nous allons te montrer » lui dirent-ils.

    La tête de Yakuba fut frappée avec une machette et un coup de hache fendit son genou jusqu’à l’os.

    Il perdit conscience et resta trois jours attaché à l’arbre, avant d’être trouvé et conduit à l’hôpital dans le coma. Quand l’état de santé de Yakuba s’améliora, il offrit un message de paix à ses assaillants. « J’ai pardonné aux militants islamiques, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Source : Christian to-day)

    Lors d’une autre attaque, perpétrée par Boko haram dans une région à majorité chrétienne, cent personnes furent massacrées. Un survivant déclara : « Je remercie Dieu d’avoir épargné ma vie, mais trois de mes voisins et membres de notre églises furent tués au cours de l’attaque. Les Chrétiens de notre village ont eu la gorge tranchée, leurs mains et pieds liés derrière leur dos. Des maisons furent détruites à la bombe, tandis que les militants de Boko Haram chantaient » : Allah est grand » en arabe ». L’ode habituelle à leur divinité assoiffée de sang humain.

    Kenya

    Au Kenya, des militants du groupe somalien Al Shabaab enlevèrent un groupe d’hommes d’affaires près de Lamu et les conduisirent dans la forêt. Ils relâchèrent trois d’entre eux, mais décapitèrent le quatrième, car Chrétien. Les femmes chrétiennes, y compris les enfants, furent violés et emmenés comme esclaves.

    Irak

    En Irak, près de 1500 chrétiennes et membres d’autres minorités, n’ayant pas réussi à fuir l’avancée de l’EI, furent violées par des gangs, puis vendues comme esclaves sexuelles pour 25 dollars. Une déclaration conjointe de deux responsables de l’ONU fit état d’atrocités commises contre les femmes, fillettes et petits garçons Yézidis, Chrétiens, Turkmènes et Shabak.

    Une jeune fille qui réussit à dissimuler un portable en prison, décrivit les terribles expériences vécues par les prisonnières, violées par des douzaines d’hommes en l’espace de quelques heures. Des bébés, nés de viols, étaient enlevés des bras de leurs mères et disparaissaient.

    Les décapitations et les viols dans le monde islamique ne semblent pas trop concerner les occidentaux. Cela se passe si loin de chez eux… Gravissime erreur. Ces « coutumes » d’un autre âge commencent à se répandre dans nos pays sans que cela n’inquiète nos responsables, bien à l’abri dans leurs tours d’ivoire.

     

    Nos souffrances d’aujourd’hui sont le prélude des vôtres

     

     

    Et comme le déclarait récemment l’Archevêque Amel Shimoun, archevêque catholique chaldéen de Mosul en exil :

    « Nos souffrances d’aujourd’hui sont le prélude des vôtres. Les Européens et les Chrétiens occidentaux souffriront dans un futur proche. Le siège de mon diocèse a été occupé par les islamistes, qui veulent que nous voir convertis ou morts. Mais ma communauté est toujours vivante.

    S’il vous plait, essayez de nous comprendre. Vos principes libéraux et démocratiques ne valent rien ici. Vous devez considérer notre réalité au Moyen Orient. Vous accueillez dans vos pays un nombre sans celle croissant de Musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions courageuses et fortes, même si elles doivent être en contradiction avec vos principes. Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais ce n’est pas vrai. L’islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela à temps, vous deviendrez les victimes de ceux que vous avez accueillis chez vous. »

    Ce poignant appel à l’Occident a déjà été publié sur divers sites de vigilance, mais il n’est pas inutile de le répéter encore et encore, car le déni de la réalité, de la menace islamique, qui pèse sur nos têtes, sur celles de nos enfants dans un avenir de plus en plus proche, persiste dans l’esprit de ces irresponsables au pouvoir, adeptes du multiculturalisme à tout prix, au point de favoriser un totalitarisme pseudo-religieux, qui imposera une société monoculturelle, soumise à la loi de la charia, à coup de viols et de décapitations.

    Attaques des musulmans contre les convertis au christianisme

    Nul contrainte en religion … Ils citent tous la sourate 2,256 sans préciser qu’elle fut abrogée par les sourates 8.39 – 9.5 – 9.11 – 9.38.

    Selon la jurisprudence islamique et la charia, avec un consensus de tous les savants dans le monde islamique, « nulle contrainte en religion » signifie que tous les arabes, juifs, chrétiens, incroyants et païens ont la liberté de se convertir à l’islam, mais non l’inverse. C’est une liberté à sens unique … tout comme le prétendu dialogue islamo-chrétien, à tolérance unique.

    Iran

    Pays du « modéré » Rouhani, où les pendaisons d’apostats, de dissidents politiques, de membres de minorités non musulmanes sont organisées de façon industrielle.

    La femme du Pasteur irano-américain Saeed Abedini, emprisonné en Iran depuis près de deux ans, a déclaré que son mari a reçu des menaces de mort de la part de militants sunnites de l’Etat islamique, enfermés dans le même centre de détention.

    « Non seulement il risque d’être condamné à mort, car converti au christianisme, mais il est aussi devenu la cible des membres de l’Etat islamique. Mon mari se trouve dans le même bloc que les militants sunnites, mais dans une section séparée. Il craint de quitter sa cellule pour la promenade. J’ai peur pour lui. » Elle ajouta que ses enfants ont envoyé une vidéo au président Obama, le suppliant de ramener leur papa sain et sauf à la maison.

    La réaction d’Obama est inconnue à ce jour…

    Le Pasteur et sa petite famille à une époque heureuse

    Le Pasteur et sa petite famille à une époque heureuse

    Le pasteur Matthias Haghnejad, ex-musulman, est accusé d’être hostile envers Allah, un crime punissable de mort.

    Le sort de deux autres chrétiens arrêtés avec lui demeure incertain. Le pasteur et ses amis furent arrêtés par les services secrets à leur domicile. Interrogé pendant deux heures, il fut accusé de mener la guerre contre Allah (moharebeh), un délit passible de la peine capitale. Les trois convertis avaient déjà été ciblés par les autorités pour « crime d’évangélisation » et atteintes à la sécurité nationale.

    Prêcher l’amour du prochain constitue un danger pour la sécurité du pays, ben voyons.

    Kenya

    En avril dernier, Hussein Hassan Mohammed, âgé de 30 ans, un musulman converti au christianisme, fit part en pleurant aux fidèles de l’église Mogotion Kingés Outreach Chruch de ce que les musulmans lui firent subir, après sa conversion.

    Il fut battu, abandonné inconscient dans une mosquée, sa tête fut mise à prix par les leaders islamiques et son propre père essaya de l’empoisonner. (une expérience similaire a été endurée par un autre musulman converti en Ouganda, que la tante essaya aussi de tuer). Il fut arrêté et torturé, car les autorités refusèrent de croire en sa conversion, prétextant qu’il était en fait un terroriste se faisant passer pour chrétien. (ce qui arrive fréquemment). Conduit à l’hôpital, il demanda à son père de lui rendre visite. Ce dernier lui dit : « Est-ce vrai que tu as embrassé la foi chrétienne ?» Il répondit « oui ».

    « Mon père m’avait apporté de la nourriture, mais mon instinct me prévint de la rejeter. Les médecins notèrent que j’étais agité et me conseillèrent de manger, ce que je refusais. Un médecin donna la nourriture à un chat, mais lui aussi refusa de la manger. Elle fut analysée dans un labo et l’on découvrit qu’elle était empoisonnée. »

    La police arrêta le père. Interrogé sur ses motifs à vouloir tuer son fils, il répondit : « Mon fils a abandonné l’islam et a sali notre communauté en devenant chrétien. »

    Hussein déclara : « je pensais que mon père était venu pour m’aider, mais il voulait juste me tuer ». Quand il quitta l’hôpital, Hussein plaida pour la relaxe de son père, car il lui avait pardonné. La police libéra le père.

    Nouvelle Zélande

    Les amis de Khalid Muidh Alzahrani, un Saoudien converti au christianisme, qui s’appelait désormais Daniel, s’inquiétaient de la disparition de ce dernier de son appartement à Christchurch. Ils craignaient que Daniel eut été enlevé et reconduit à La Mecque, la ville sainte de l’islam. En Arabie saoudite, le code pénal prescrit la peine de mort pour l’Apostat. « En islam, nulle contrainte en religion », nous répètent les spécialistes de la taquyia. Ah bon, alors pourquoi celui qui quitte l’islam est condamné à mort ?

    Daniel arriva à Christchurch il y a 5 ans pour y étudier l’anglais. Il se convertit au christianisme et demanda le statut de réfugié, qu’il obtint sans problème, vu qu’il risquait d’être persécuté pour sa foi dans son pays d’origine où la liberté de religion n’existe pas et où la liberté d’expression est considérée comme un blasphème, passible de la peine de mort.

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    Ah, l’islam, religion parfaite, modèle à suivre, religion supposée apporter bonheur, justice et félicité à l’humanité…

    Daniel était terrifié à l’idée qu’il pouvait être enlevé et obligé de retourner dans son pays de « liberté selon la charia ». Contacté par les autorités, l’ambassadeur saoudien déclara que Daniel avait personnellement insisté pour rentrer afin de rendre visite à sa mère et que le consulat avait payé son billet d’avion.

    Mais ses amis ne le croient pas.

    La dernière fois qu’ils avaient vu Daniel, il était accompagné par deux étrangers arabes, sans doute des agents du gouvernement saoudien ou envoyés par la famille, pour l’emmener hors du pays d’accueil sous la contrainte.

    Il y a eu de nombreux autres cas de Saoudiens extradés de force des pays où ils avaient trouvé refuge. En 2012, Hamza Kashgari, un chroniqueur, accusé d’avoir insulté le prophète sur twitter, essaya de rejoindre la Nouvelle Zélande, mais il fut intercepté à Kuala Lumpur en Malaisie et renvoyé en Arabie saoudite, où il fut emprisonné sans jugement.

    En mai dernier, un jeune chrétien saoudien, arrivé à Auckland deux mois auparavant, fut enlevé en pleine rue par trois hommes, juste avant son interview pour obtenir le statut de réfugié, et renvoyé en Arabie saoudite, où il fut arrêté, emprisonné et torturé. Son avocat, Roger Chambers déclara que le jeune homme parvint à contacter secrètement ses amis à Auckland et leur fit part du cauchemar qu’il était en train de vivre. S’il ne renonçait pas à sa foi chrétienne, il pouvait s’attendre à être décapité.

    Yémen

    Les membres musulmans de la famille d’une femme convertie au christianisme, remplacèrent l’huile végétale d’une bouteille par de l’essence. Quand la malheureuse versa ce qu’elle croyait être de l’huile dans la poêle chaude pour préparer le déjeuner, le liquide s’enflamma et la bouteille explosa. Les flammes l’enveloppèrent sous les regards et les cris affolés de ses quatre enfants (Morning Star News). Le mari, entendant les cris, accouru dans la cuisine et s’acharna à éteindre les flammes, tandis que l’un de ses fils s’approcha de sa mère pour la réconforter, mais il fut lui-même brûlé. Transportée à l’hôpital, la malheureuse, âgée de 33 ans, succomba à ses blessures après deux semaines de terribles souffrances. Quand le mari retourna à la maison, un parent lui raconta l’impensable : certains membres des deux familles avaient décidé de remplacer l’huile végétale par de l’essence afin de les punir. Le couple s’était converti au christianisme et refusait de revenir à l’islam.


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