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    Pour le 140e anniversaire de la troisième République, le 4 septembre 2010, rassemblons-nous à Paris, Bordeaux, Toulouse… pour un apéritif républicain et laïque qui témoigne de notre volonté que la loi républicaine élaborée par tous demeure au-dessus de toute autre loi, religieuse ou coutumière.


    L’ennemie de la République est la charia, l’ensemble des préceptes islamiques, car elle refuse la démocratie, l’égalité homme-femme, les libertés de penser, de croire ou de ne pas croire, le droit au blasphème… Bref, la charia, qui est l’application stricte pour tout musulman de la loi coranique, s’oppose totalement aux valeurs universelles que les Lumières et la révolution française ont apportées à la France et à de nombreuses nations du monde entier et qui ont abouti, entre autres, à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.


    On rappellera au passage que même la Cour européenne des droits de l’homme a par deux fois estimé que "la charia est incompatible avec les valeurs universelles des sociétés modernes" : une première fois dans un arrêt qui légitime l’interdiction du voile islamique, une deuxième fois par un arrêt qui légitime la dissolution d’un parti politique turc qui prônait l’instauration de la charia.


    Nous demandons donc la dissolution de tous les partis, associations et organismes qui promeuvent la charia et nous demandons au Conseil Français du Culte musulman de condamner la dite charia.


    Que chacun apporte son pique-nique, constitué de produits du terroir français, et son bonnet phrygien ; des moyens d’agir pour obtenir ce que nous voulons seront envisagés lors de cette rencontre festive et militante.


    Les lieux et horaires précis seront indiqués ultérieurement.


    Vous pouvez signaler que vous participerez à la manifestation en vous inscrivant sur le groupe facebook(1) créé à cet effet et sur la messagerie de Résistance républicaine (s’il y a suffisamment de demandes pour d’autres villes, il n’est pas exclu que des comités locaux de Résistance républicaine puissent proposer cet apéritif ailleurs qu’à Paris, Bordeaux et Toulouse, à chacun de s’inscrire en précisant la ville où il compte ou espère participer).


    Tous ceux qui veulent se joindre à Résistance républicaine sont les bienvenus, particuliers ou associations, à condition qu’il n’y ait d’autre drapeau que le drapeau français et aucun signe, objet, slogan, banderole… revendiquant une appartenance ou une idéologie politique. Nous nous rassemblerons au nom de la République avec un seul mot d’ordre "non à la charia".

    SOUVENT L'HISTOIRE SE REPETE

    Pour le 140e anniversaire de la troisième République, le 4 septembre 2010, rassemblons-nous à Paris, Bordeaux, Toulouse… pour un apéritif républicain et laïque qui témoigne de notre volonté que la loi républicaine élaborée par tous demeure au-dessus de toute autre loi, religieuse ou coutumière.
    L’ennemie de la République est la charia, l’ensemble des préceptes islamiques, car elle refuse la démocratie, l’égalité homme-femme, les libertés de penser, de croire ou de ne pas croire, le droit au blasphème… Bref, la charia, qui est l’application stricte pour tout musulman de la loi coranique, s’oppose totalement aux valeurs universelles que les Lumières et la révolution française ont apportées à la France et à de nombreuses nations du monde entier et qui ont abouti, entre autres, à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
    On rappellera au passage que même la Cour européenne des droits de l’homme a par deux fois estimé que « la charia est incompatible avec les valeurs universelles des sociétés modernes »: une première fois dans un arrêt qui légitime l’interdiction du voile islamique, une deuxième fois par un arrêt qui légitime la dissolution d’un parti politique turc qui prônait l’instauration de la charia.
    Nous demandons donc la dissolution de tous les partis, associations et organismes qui promeuvent la charia et nous demandons au Conseil Français du Culte musulman de condamner la dite charia.

    La galaxie SITA s’associe à cette manifestation et invite ses lecteurs réguliers ou occasionnels à participer en se renseignant pour connaitre la Ville la plus proche où un apéro républicain est prévu voire en devenant l’organisateur de l’évènement en contactant Christine Tasin: contact@resistance-republicaine.fr

    C’est l’occasion à ne pas rater par les patriotes de se retrouver par milliers dans les rues, ce qui aura un impact énorme pour mobiliser le peuple de France abandonné par ses parlementaires qui ont perverti la démocratie avec le bipartisme à perpète confectionné par leurs soins et à leur seul bénéfice


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  • Aussi, je propose que les français, au lieu de sortir les armes, sortent les jolies filles.


    Pourquoi ne pas couvrir les murs des rues que les mahométans envahissent chaque vendredi pour leurs prières, de posters de femmes légèrement dénudées*. Dessiner à la main des femmes nues sur les billets de banque. Coller des pages de magazines érotiques un peu partout dans les lieux publics, un peu à la façon de l’affichage sauvage pré électoral. Faire, pour les chrétiens, un signe de croix chaque fois qu’ils croisent une arabe à la tête couverte et à la tenue ostensible.

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ?"

    La résistance doit commencer !

    Charles de Foucauld

    ---------------------------------------------------------------------------

    Cette lettre, adressée par le Père Charles de Foucauld à René Bazin, de l'Académie française, est parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917.

    Elle a été publiée sur le site de la Fondation de service politique, à l’occasion de la béatification du Père de Foucauld par le pape Benoît XVI, le 13 novembre 2005, à Rome.

    ---------------------------------------------------------------------------

    JESUS CARITAS,

    Tamanrasset, par Insalah, via Biskra, Algérie, 29 juillet 1916.

    Monsieur,

    Je vous remercie infiniment d'avoir bien voulu répondre à ma lettre, au milieu de tant de travaux, et si fraternellement. Je pourrais, m'écrivez-vous, vous dire utilement la vie du missionnaire parmi les populations musulmanes, mon sentiment sur ce qu'on peut attendre d'une politique qui ne cherche pas à convertir les musulmans par l'exemple et par l'éducation et qui par conséquent maintient le mahométisme, enfin des conversations avec des personnages du désert sur les affaires d'Europe et sur la guerre.

    Vie du missionnaire parmi les populations musulmanes

    (...) Les missionnaires isolés comme moi sont fort rares. Leur rôle est de préparer la voie, en sorte que les missions qui les remplaceront trouvent une population amie et confiante, des âmes quelque peu préparées au christianisme, et, si faire se peut, quelques chrétiens. (...) Il faut nous faire accepter des musulmans, devenir pour eux l'ami sûr, à qui on va quand on est dans le doute ou la peine, sur l'affection, la sagesse et la justice duquel on compte absolument. Ce n'est que quand on est arrivé là qu'on peut arriver à faire du bien à leurs âmes. Inspirer une confiance absolue en notre véracité, en la droiture de notre caractère, et en notre instruction supérieure, donner une idée de notre religion par notre bonté et nos vertus, être en relations affectueuses avec autant d'âmes qu'on le peut, musulmanes ou chrétiennes, indigènes ou françaises, c'est notre premier devoir : ce n'est qu'après l'avoir bien rempli, assez longtemps, qu'on peut faire du bien. Ma vie consiste donc à être le plus possible en relation avec ce qui m'entoure et à rendre tous les services que je peux. À mesure que l'intimité s'établit, je parle, toujours ou presque toujours en tête à tête, du bon Dieu, brièvement, donnant à chacun ce qu'il peut porter, fuite du péché, acte d'amour parfait, acte de contrition parfaite, les deux grands commandements de l'amour de Dieu et du prochain, examen de conscience, méditation des fins dernières, à la vue de la créature penser à Dieu, etc., donnant à chacun selon ses forces et avançant lentement, prudemment. Il y a fort peu de missionnaires isolés faisant cet office de défricheur ; je voudrais qu'il y en eût beaucoup : tout curé d'Algérie, de Tunisie ou du Maroc, tout aumônier militaire, tout pieux catholique laïc (à l'exemple de Priscille et d'Aquila), pourrait l'être. Le gouvernement interdit au clergé séculier de faire de la propagande anti-musulmane ; mais il s'agit de propagande ouverte et plus ou moins bruyante : les relations amicales avec beaucoup d'indigènes, tendant à amener lentement, doucement, silencieusement, les musulmans à se rapprocher des chrétiens devenus leurs amis, ne peuvent être interdites par personne. Tout curé de nos colonies, pourrait s'efforcer de former beaucoup de ses paroissiens et paroissiennes à être des Priscille et des Aquila. Il y a toute une propagande tendre et discrète à faire auprès des indigènes infidèles, propagande qui veut avant tout de la bonté, de l'amour et de la prudence, comme quand nous voulons ramener à Dieu un parent qui a perdu la foi...

    Espérons qu'après la victoire nos colonies prendront un nouvel essor. Quelle belle mission pour nos cadets de France, d'aller coloniser dans les territoires africains de la mère patrie, non pour s'y enrichir, mais pour y faire aimer la France, y rendre les âmes françaises et surtout leur procurer le salut éternel, étant avant tout des Priscille et des Aquila !

    Comment franciser les peuples de notre empire africain

    Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d'elle. Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.

    L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.

    Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force, mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du Medhi, il n'y en a pas : tout musulman (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi) croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l'engage à subir avec calme son épreuve ; "l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération", disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles, mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France.

    De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du Medhi...

    Les Kabyles

    Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure. Pourtant je me réjouis de voir beaucoup de Kabyles travailler en France ; cela semble peu dangereux pour notre race, car la presque totalité des Kabyles, amoureux de leur pays, ne veulent que faire un pécule et regagner leurs montagnes.

    Si le contact de bons chrétiens établis en Kabylie est propre à convertir et à franciser les Kabyles, combien plus la vie prolongée au milieu des chrétiens de France est-elle capable de produire cet effet !

    (...) Si la race berbère nous a donné sainte Monique et en partie saint Augustin, voilà qui est bien rassurant. N'empêche que les Kabyles ne sont pas aujourd'hui ce qu'étaient leurs ancêtres du IVe siècle : leurs hommes ne sont pas ce que nous voulons pour nos filles ; leurs filles ne sont pas capables de faire les bonnes mères de famille que nous voulons.

    Pour que les Kabyles deviennent français, il faudra pourtant que des mariages deviennent possibles entre eux et nous : le christianisme seul, en donnant même éducation, mêmes principes, en cherchant à inspirer mêmes sentiments, arrivera, avec le temps, à combler en partie l'abîme qui existe maintenant.

    En me recommandant fraternellement à vos prières, ainsi que nos Touaregs, et en vous remerciant encore de votre lettre, je vous prie d'agréer l'expression de mon religieux et respectueux dévouement.

    Votre humble serviteur dans le Cœur de Jésus.


    Charles de Foucauld

                            PETITE VIDEO SUR LA CHARIA, A NE PAS MANQUER

    http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=francaisdefrance.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fvideo%2Fvideo.php%3Fv%3D103208729735198&sref=http%3A%2F%2Ffrancaisdefrance.wordpress.com%2F

        SI VOUS NE LE SAVIEZ PAS

    http://crossmuslims.blogspot.com/2010/07/perfect-man.html

    Bibi Sanubar a été retenue pendant trois jours par des talibans, a reçu deux cents coups de fouet, puis a été exécutée en public dans un bastion taliban de la province de Badghis, dans l'ouest de l'Afghanistan, selon Ghulam Mohammad Sayeedi, le numéro deux de la police provinciale. Les talibans accusaient la veuve d'adultère. Ces informations ont été confirmées par les forces de l'OTAN présentes sur place, qui indiquent que l'éxecution a eu lieu lundi. Lire la suite l'article

    'Elle a été exécutée de trois balles dans la tête en public, alors qu'elle était enceinte', a déclaré M. Sayeedi, qui ne précise pas depuis quand elle était veuve. Différentes informations circulent sur l'âge de la femme, qui aurait entre 35 et 48 ans. La victime a été tuée par un commandant taliban local. Son corps a ensuite été jeté dans un secteur contrôlé par les forces de sécurité afghanes. 'Personne ne s'est plaint mais le gouvernement va prendre des mesures à propos de cet incident', a réagi un membre du gouvernement local.

    Cette exécution rappelle les procès conduits sous le régime des talibans. Les scènes de lapidation de personnes coupables d'adultère aux yeux des talibans avaient émaillé les années 1996-2001. Ceux-ci, qui prônent une application rigoriste de la loi islamique, coupaient mains et pieds aux Afghans reconnus coupables de vol. A la fin de décembre 2009, six 'espions' afghans avaient été décapités dans l'Uruzgan, un fief des insurgés du sud de l'Afghanistan.

    Les talibans ont démenti être derrière cette exécution. 'Il s'agit d'une mauvaise chose et nous la rejetons. Quiconque a fait cela n'est pas un membre du mouvement taliban et il tente de nous calomnier', a affirmé un porte-parole.


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  •  

    C'est très très grave de se laisser insulter et de laisser piller notre
     argent alors que certains ont vu leur pension de retraite diminuer pendant
     qu'on nourrit, à pure perte, ces gens qui nous insultent à longueur d
     années. Somme-nous devenus fous ou aveugles. Peut-être les deux. Nos parents
     se sont battus en 14/18 et 39/45 et y ont laissé pour certains la vie; et
     voir notre pays dans ce triste état en révolte plus d'un. IGNOBLE le mot n
     est pas assez fort. On a autrefois censuré les chansons de certains artistes
     français et pour moins que ça.
     
    Arrêtons de nous regarder, égoïstement notre nombril. Le réveil va être
     très douloureux...............................pour nos enfants et les petits
     enfants.
     
    Enfin un Député dont personne ne parle dans la presse et qui rue dans les
     brancards........mais sera t-il suivi ?

     Il faut faire circuler une pétition pour contraindre le gouvernement à
     engager des poursuites....... contre ces groupuscules étrangers qui n'ont qu
     à aller vomir leur haine dans leur pays bien aimé
    ?? qui n'a même pas su leur
    donner les moyens de survivre ou de se loger dignement.
      
    Au fait, ce n'est pas de la discrimination cela ? Que fait le HALDE
     
    A OUI, j'oubliai, ça ne fonctionne que dans un sens, c'est comme le tiroir
     caisse: il y d'un côté ceux qu'on rackettent toute l'année au profit de ceux
     qui pillent notre économie de l'autre, et qui nous insultent sans mot dire.
     Il nous faut également défendre nos gendarmes et nos policiers qui sont
     tous les jours exposés à cette racaille..........déchainée et intoxiquée par
     ces tristes individus comme le font aussi la plupart des imams.
     MAM, il est tant que tu te bouges.......


     MAINTENANT, si vous êtes d'accord avec ces groupuscules, il vous suffit d
     arrêter la chaine.
     
    Si au contraire, vous êtes contre ce type de chansons avec ses propos

     orduriers contre notre nation et les français, si vous êtes d'accord sur la
     démarche de cet élu de la République, il vous suffit de faire suivre ce mail
     auprès du maximum de connaissance et contribuer peut-être à réveiller ceux
     qui se sont endormis.

     MERCI pour NOTRE BEAU PAYS.

    François-Michel Gonno
    Député UMP de l'Oise déclare:

    Je figure parmi les quelques 153 députés UMP qui ont demandé il y a
     plusieurs mois au Ministre de la Justice jusqu'ici sans succès - que des
     poursuites judiciaires soient ouvertes contre quelques groupes de rap qui,
     dans des chansons que fredonnent les banlieues et qui se vendent même à la
     FNAC, insultent gravement notre pays et menacent nos compatriotes de façon
     totalement inacceptable.
     
    Les membres de ces groupes sont étrangers ou d'origine étrangère. Ils
     ont été accueillis dans notre pays et y font aujourd'hui fortune en
     vendant leurs insanités. On ne peut accepter, et aucun gouvernement au
     monde n'accepterait, de tels faits. Jugez par vous-même, et attention c
     est souvent « hard »
      
     
     Le groupe 113


     Extrait de leurs chansons :
     j' crie tout haut : " J'baise votre nation " 
    L'uniforme bleu, depuis tout p' tit nous haïssons
    On remballe et on leur pète leur fion. 
    Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va péter, 
    Du commissaire au stagiaire: tous détestés !
     A la moindre occasion, dès qu' tu l' peux, faut les baiser. 
    Bats les couilles les porcs qui représentent l'ordre en France.


     Le groupe Sniper
    Extraits de leur chanson "J'aime pas" :
    J'aime pas ce pays la France et le latin, son système son baratin. 
    Extraits de leur chanson "La France" :
     Pour mission exterminer les ministres et les fachos
    La France est une garce et on s'est fait trahir 
    On nique la France sous une tendance de musique populaire 
    Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre
     Faudrait changer les lois et pouvoir voir Bientôt à l'Élysée des arabes
     et des noirs au pouvoir. Faut que ça pète !
     Frère, je lance un appel, on est là pour tous niquer
     La France aux français, tant qu' j 'y serai, ça serait impossible. Leur
     laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire
     baver v' la seule chose qu'ils ont méritée.
     T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre. Mon seul
     souhait désormais est de nous voir les envahir. Ils canalisent la révolte
     pour éviter la guerre civile.


     Salif 

    Extrait d'une de ses écrits
     Allez-y, lâchez les pitts, cassez les vitres, quoi
     Rien à foutre, d' façon en face c'est des flics
     C'est U.N.I.T.Y., renoi, rebeu, babtou, tway
     Mais si on veut contrôler Paris, tu sais que ça sera tous ensemble. Ca y 
    est les pitts sont lâchés, les villes sont à chier, les vitres sont
     cassées, Les keufs sont lynchés, enfin, ça soulage, Faut que Paris crame. 
    On redémarre la guillotine, pire qu'à Djibouti. La France pète, J
     espère que t'as capté le concept.
     
     
    Ministère Amer
     
    Extrait de la chanson "Flirt avec le meurtre" :
     j'aimerais voir brûler Panam au napalm sous les flammes façon Vietnam
     tandis que ceux de ton espèce galopent où 24 heures par jour et 7 jours
     par semaine J'ai envie de dégainer sur des f.a.c.e.s d.e c.r.a.i.e
     dommage (....) que ta mère ne t'ait rien dit sur ce putain de pays me
     retirer ma carte d'identité, avec laquelle je me suis plusieurs fois
     torché. 
    Smala 
     
    Extrait de la chanson "meurtre légal" : 
    Quand le macro prend le micro, c'est pour niquer la France guerre
     raciale, guerre fatale oil pour oil, dent pour dent organisation radicale,
     par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français) c
     est toi qui perd. Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race. On s'est
     installé ici c'est vous qu'on va mettre dehors
     
     
    Extrait de la chanson "Du miel les abeilles" :
     La France est un pays de pute 
    Mafia K'1 fry
    j' suis fier d'être rebeu. J'peux pas trahir mon couscous au lait
     caillé. 
    J'ai passé toute ma jeunesse à racaille (...)
    Comme le gros Nacine, le gros Nordine, mes potos
     Les Algériens, danger ils ont du mal à nous gérer
     Les Algériens, danger le passé on l'a mal digéré


     Lunatic  
    Extraits de leur chanson "Temps mort" :
     ALLAH à Toi seul l'homme doit toute son adoration, les vrais savent. On
     a pas oublié, l'or que le pape porte au cou est celui qui nous a été
     pillé. Allo c'est B2O encore en chien d' chiennes, les hyènes ressentent
     la tumeur et moi j' suis d'humeur palestinienne 
    Qui veut la paix, prépare la guerre, j' te l' rapelle.
     vote pour emmener les porcs à la morgue,
     Eh négro ! C'est l'heure d' manger, 
    Brûler leur sperme enéchantillons, souder leurs chattes
     J'suis pas le bienvenu, mais j' suis là,(...),
     j' suis venu manger et chier là.
     Quand j'vois la France les jambes écartées j' l' encule sans huile. Z
     ont dévalisé l'Afrique... J'vais piller la France Tu m' dis "la France un
     pays libre" (...) attends-toi à bouffer du calibre. J'rêve de loger dans
     la tête d'un flic une balle de G.L.O.C.K.
     
    Extraits de leur chanson "Mauvais Oeil" :
     Les colons nous l'ont mis profond. A l'envers on va leur faire,
    On est venu récupérer notre dû
     Dans vos rues on va faire couler votre pu
     Attends toi à plus d'un attentat
     Ici en France, loin des ambiances "pétard" 14 juillet
     Microphone ouvert et nos actions s'amorcent féroces
     A.L.I., Booba, Lunatic, Hauts de seine, on te saigne.
     Extraits de leur chanson "Guerre/Jihad" :
     on repartira avec leur argent, leur sang et
     leurs pes-sa (sapes=fringues)
     La France n'est pas territoire neutre.
     Mes troupes sont mobilisées
     Ils ont leurs paradis fiscaux
     faut on impose nos lieux de non-droits
    Et si c'est ça qu'ils veulent on va s'armer et s'entourer d'Khos

    Extraits de leur chanson "Islam" :
     Mains on reste pratiquants, délinquants
     Nos psaumes récitées
     Par nos mômes de cité à cité.
     Nique la justice
     Y'a qu' dieu qui peut me juger
     Rien qu' j' dors plus, sur cette terre de colons impurs
     L pour ma Loi suprême représentée par le Iislam.
     Extraits de leur chanson "Violence/délinquance" :
     J'aime voir des CRS morts
    J'aime les pin-pon, suivis d'explosions et des pompiers
     Un jour j' te souris, Un jour j' te crève
     J'perds mon temps à m' dire qu' j' finirais bien par leur tirer d' ssus
     Lunatic dans la violence incite.

    Extraits de leur chanson "Racisme" :
     Et si ma haine diminue
     C'est qu' les porcs sont morts et qui m' reste plus qu' dix minutes. On
     met leurs femmes sans dessous. Mais attention y'a tension quand j' vois un
     porc chez moi. A rien apprendre sauf que les porcs sont à pendre.
     Extraits de leur chanson "l'Effort de Paix" :
     J'suis venu en paix, pour faire la guerre aux bâtards....
     Chante pour que les porcs rampent ....
     J' leur veux la guerre, donc laisse-moi en paix frère...
     On vend du shit aux blancs...


     
    Comment peut-on accepter cela ?

     
    Comment peut-on laisser des maisons de disques et des organisateurs de
     concerts diffuser de tels propos sans réagir ?
     
    Comment peut-on laisser ces étrangers et/ou ces Français propager de
     tels appels aux meurtres, aux viols, aux attentats, à la violence sans
     réagir ? 
     
    La France est-elle devenue si faible ??????
     perdant sa culture, sa couleur, sa religion au profit de fanatiques
     sans scrupules sans loi et sans foi quoi qu ils prétendent.....Ils ne
     connaissent que la haine de l Européen blanc. La FRANCE meurt de peur
     devant eux. 
    Soyez sympa et patriote en diffusant le plus largement possible ce mail
     il en va de la vie de vos enfants et petits-enfants

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  • Nissan: un septuagénaire tire sur deux cambrioleuses issues des Gens du Voyage

    René G. terminait sa sieste quand il a été réveillé par des bruits suspects dans la maison. Le septuagénaire qui habite dans un pavillon de Nissan-lez-Ensérunes, dans l'Hérault à quelques kilomètres de Narbonne, s'est saisi de son fusil de chasse et s'en est allé inspecter les pièces de la maison. Il est tombé nez à nez avec deux femmes, jeunes adultes ou adolescentes, et a fait feu dans leur direction, à deux reprises, les touchant l'une et l'autre au niveau du thorax et des membres inférieurs. Selon nos sources, les coups auraient été tirés quasiment à bout portant. Le tireur a lui-même alerté les sapeurs pompiers, presque immédiatement. L'une des jeunes femmes a été hospitalisée à Béziers et a été opérée. Son état de santé serait stabilisé. Pour la seconde, le pronostic vital était engagé hier soir. Elle a été héliportée vers le CHR de Montpellier où elle a été plongée dans le coma.

    L'identité, comme l'âge, des deux filles sont inconnus des services de gendarmerie. Elles pourraient appartenir à la communauté des gens du voyage ou des Roms. Mais, précise un gendarme, « ce n'est encore qu'une hypothèse ». Le fait est qu'elles ne résident pas dans un campement de 300 personnes installé au village. Et que personne n'a signalé leur disparition dans le département.

    L'auteur présumé des coups de feu a été placé en garde à vue. Les gendarmes ont mis en place un dispositif de sécurité autour de sa maison, mais aussi autour du village, par crainte de représailles contre les proches et les biens de ce retraité, sans histoire jusqu'alors (lire ci-contre). Ces dernières semaines, le département de l'Hérault subit une recrudescence de vols dans les domiciles, commis par des femmes ou de jeunes femmes, indiquait hier soir la gendarmerie. Quelques minutes avant les faits, une voisine de René G. avait constaté qu'un volet de sa maison avait été forcé et un autre avait aperçu le duo qui sonnait aux portes. En outre, le climat à Nissan-lez-Ensérunes était tendu depuis une série de cambriolages au village.

    Restent à déterminer les circonstances dans lesquelles le suspect a fait feu. Cherchait-il à se protéger d'une agression ou l'a-t-il fait spontanément ? Selon nos sources, aucune arme détenue par les victimes n'a été découverte sur les lieux.

    Quand on connait le sort réservé aux personnes agés saucissonnés ,on ne peut qu'approuver ce geste desespéré d'une personne ne voulant pas mourir.

    C'est lui la Victime et c'est encore lui qu'on va emmerdé. Monsieur René possédait il un permis de chasse ?

    ENCORE EUX

    Condamnés hier pour tentative de cambriolage, les Roms avaient été pris en chasse mercredi après-midi dans la Dombes par un agriculteur et son fils, puis livrés aux gendarmes

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    Il ne faut pas venir chatouiller l'agriculteur dombiste sur ses terres. Venu se constituer partie civile hier après-midi, au tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, au lendemain de la rocambolesque interpellation de sept ressortissants roumains, Jean-François Thomasson n'a pas craint de se retrouver une nouvelle fois face à eux.

    La veille, mercredi après-midi, le premier adjoint de la commune du Plantay avait fait échec, avec toute sa famille, à une grossière tentative de cambriolage dans sa ferme située au lieu-dit Le Moulin du Bois, au bout d'un chemin, au cœur de la Dombes.

    L'épilogue ? Deux mois de prison ferme, prononcés hier soir par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, pour cinq des sept Roms arrêtés, deux hommes âgés de 37 et 41 ans, trois femmes âgées de 40, 57 et 58 ans. Deux autres femmes et un bébé de huit mois remis en liberté, les cinq Tziganes condamnés, en situation irrégulière, ont fait l'objet d'un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière, qui sera mis à exécution dès leur sortie de prison. Autant dire que les passagers de ce curieux attelage -sept personnes et un bébé dans une Ford Mondeo - se souviendront un moment de leur détour dans l'Ain. S'ils s'étaient arrêtés près de cette exploitation, c'était pour « regarder les pintades » et rien d'autre, ont-ils soutenu à l'audience, niant avoir voulu dérober quoi que ce soit. Des affirmations en totale contradiction avec la synthèse des faits, l'épouse de l'agriculteur et sa fille ayant clairement vu trois femmes sortir de la bâtisse, au moment où elles rentraient des courses, en milieu d'après-midi. Au milieu du chemin, le véhicule capot ouvert, simulant une panne, n'allait pas tarder à redémarrer ! Deux pièces totalement retournées dans la maison, ça sentait le cambriolage. Alertés au téléphone, alors qu'ils se trouvaient 150 mètres plus loin sur un chantier, Jean-François Thomasson et son fils de 24 ans ont tout de suite rappliqué. La suite, c'est le père de famille qui la raconte : « Je suis arrivé sur eux, sur la départementale, ils repartaient en direction de La Mitaine. Je me suis mis face à eux, pare-chocs contre pare-chocs, et mon fils s'est positionné derrière eux avec son quad. Sur le coup, ils n'ont pas compris, puis ils ont enclenché la marche arrière, ce qui a fait basculer le quad, qui s'est renversé. Là, ils sont partis à fond, sur 500 mètres en marche arrière. Les pneus de la Ford fumaient, c'était de la folie ».

    Au bout de la course-poursuite, il faudra l'intervention d'un transporteur, fermant la route sous les yeux d'automobilistes ébahis, pour bloquer définitivement le véhicule des fuyards, interpellés par les gendarmes. Une scène un rien surréaliste, mais l'épisode n'a « pas empêché de dormir » l'homme à la robuste carrure : « Tout s'est passé si rapidement qu'on n'a pas eu le temps d'avoir peur. Après coup, on pense qu'ils auraient pu être armés, que c'était dangereux, mais dans le feu de l'action, on s'est dit qu'on était en face d'eux, il ne fallait pas qu'ils s'échappent ». Il fallait quand même le faire

    TOUJOURS EUX

    Laon / Bagarre à couteaux tirés à la fête foraine Coup de couteau à la cité : l'auteur est retrouvé

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    C'EST une enquête rapide, rondement menée que viennent de boucler les policiers du commissariat de Laon. Quatre jours après la rixe, l'auteur principal a donc été identifié, confondu et le parquet s'est prononcé sur les suites judiciaires.
    Une réponse ferme des policiers du commissariat de Laon bien décidés à ne pas céder, même d'un pouce, face aux violences de plus en plus exacerbées de certaines communautés implantées sur Laon.
    Pour comprendre le déroulement précis des faits, il faut remonter à vendredi. Ce soir-là, la fête est à son comble. Les manèges tournent à plein régime.
    Des membres de la communauté des gens du voyage, installés à proximité du chemin d'Aulnois, sont passablement éméchés. Ils cherchent des noises aux autres fêtards. Les forains, conscients de ce qui est en train de se tramer, tentent de calmer les troubles fêtes. Ils leur expliquent qu'ils ont besoin que tout se passe calmement pour rentrer dans leurs frais et gagner de l'argent. Au final, les gens du voyage sont amenés doucement mais fermement loin de la fête foraine.
    Le lendemain, ils reviennent. L'alcool coule à flot et l'ambiance devient chaude, électrique. Au début des attractions, en face d'une baraque à confiserie, un petit groupe de gens du voyage bouscule les passants. À chaque femme qui passe, ils leur mettent une petite tape sur les fesses.
    50 nomades en renfort
    Un petit ami d'une victime ne va pas apprécier le geste familier. C'est un membre de la communauté turque. Il n'est pas seul, il a plusieurs amis à ses côtés. Il sort un couteau et le plante dans l'épaule gauche d'un des gens du voyage. Apeurés, se rendant compte qu'ils sont en infériorité numérique, les gens du voyage battent en retraite. Ils appellent leurs amis. Des fourgonnettes arrivent en nombre à l'autre bout de la fête.
    Une cinquantaine de gens du voyage sont maintenant prêts à en découdre avec « le moindre Turc » qu'ils vont rencontrer. Il est alors 23 heures, ce samedi. Déchaînés, ils ne chercheront pas longtemps, une cible potentielle. Trois jeunes de la communauté turque sont en train de s'essayer à un manège à sensation. Les gens du voyage leur tombent dessus. Les policiers appelés arrivent. Ils sont quatre face à une bande d'enragés.
    Des renforts sont appelés : des membres des brigades anticriminalité et canines des commissariats de Soissons et Saint-Quentin sont dépêchés de toute urgence. Les policiers laonnois tentent de calmer les esprits, de ramener l'ordre. En plus du blessé par arme blanche, une femme souffre d'une plaie au cuir chevelu et deux autres jeunes hommes sont bien amochés. « Ils étaient fous. Ils essayaient de sortir les blessés turcs des ambulances pour leur faire la peau, qu'ils disaient », poursuit un témoin.
    Les gens du voyage ont d'ailleurs tenté de s'introduire ensuite aux urgences pour frapper encore les membres de la communauté turque. Dimanche, au lendemain de la violente altercation, il y avait du bleu sur la fête foraine ainsi que lundi pour le dernier jour. Une quinzaine de policiers, au bas mot, venu de Laon, Soissons, Saint-Quentin et de l'unité départementale d'intervention. Des policiers qui ont arpenté les allées pour veiller au bon maintien de l'ordre.
    Il a rasé sa barbe
    Grâce à une enquête de voisinage minutieuse, les policiers ont pu mettre un nom rapidement sur l'auteur du coup de couteau. Un inconnu de la justice. Les policiers sont allés le chercher à son domicile, le 3 juillet. Les témoins parlaient d'un Turc avec un collier de barbe. Le suspect, placé alors en garde à vue, est rasé de très près. Les policiers ont un petit doute qui se dissipera très vite. Le suspect présente des traces de coupures au menton. Les enquêteurs ne mettront pas longtemps à le faire craquer. Le Turc, âgé de 23 ans craignant d'être reconnu, à cause de ce signe très distinctif, a avoué s'être rasé en rentrant de la fête foraine. Il est convoqué devant le tribunal correctionnel en date du 1er octobre pour violences aggravées.

    COMME QUOI ILVAUT MIEUX TIRER AVANT ( avec ou sans permis de chasse )


    Un homme enlevé et torturé dans le Var

    Un homme de 64 ans a été enlevé lundi devant sa maison de Seillans (Var) avant d'être torturé par trois malfaiteurs qui lui ont dérobé de l'argent, a-t-on appris mercredi de source proche de l'enquête.

    L'homme, qui a eu une phalange amputée et le visage tailladé, a été hospitalisé dans un état sérieux mais ses jours ne sont pas en danger.

    Le kidnapping de ce maçon à la retraite a eu lieu en début de matinée alors qu'il sortait de chez lui. Il a été agressé par trois hommes qui l'ont fait monter de force dans un véhicule. Il a ensuite été passé à tabac dans un lieu isolé par le trio qui l'a forcé à avouer où il cachait ses économies dont le montant atteindrait quelques milliers d'euros.

    La victime a ensuite été abandonnée dans une décharge de Villeneuve-Loubet, tandis que ses agresseurs revenaient chez elle pour lui voler son argent. Le sexagénaire a réussi à contacter les secours grâce à son téléphone mobile.


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    Dernières nouvelles


      PAIX  AMOUR  ET PROXENETISME

    Neuf hommes reconnus coupables d'exploitation sexuelle d' une adolescente


    Neuf hommes ont été condamnés pour leur rôle dans l'exploitation sexuelle d'une jeune fille de 14 ans .

    L' enfant a disparu de la maison de Rochdale , à deux reprises , d'abord , le 16 Février et de nouveau le 22 Février 2008. La seconde fois, elle avait disparu pendant 11 jours - tournant dans Rusholme , Manchester. Lorsque les agents lui parlait , elle leur a dit qu'elle avait été sexuellement exploités par un certain nombre d'hommes alors qu'elle était absente.

    Au cours des semaines qui ont suivi la jeune fille a été parlée par une équipe de spécialistes du Bureau. Elle a été en mesure d'identifier les endroits où elle a été prise et les hommes qui avaient abusé de son .

    Elle avait été abusée par un certain nombre d' hommes différents , comme elle allait d'une situation de vulnérabilité à l'autre. Dans de nombreux cas , les hommes qu'elle s'associait à n'étaient pas liés , mais ils ont fait tout d'identifier la vulnérabilité de l'enfant et de profiter d'elle.

    Surintendant Paul Savill de GMP , a déclaré: «Cet enfant a été à travers une épreuve épouvantable absolument entre les mains de ces hommes .

    " Le niveau de violence qu'elle a subi est presque incroyable . Elle a été traitée comme une marchandise ; battus, menacés et sexuellement exploités
    .



    «Ces hommes ont profité de sa vulnérabilité , sans égard pour son bien-être.

    «Je félicite cette jeune fille pour son courage à soutenir ce cas . Même après son supplice , elle a été en mesure de revisiter les sites où elle a été abusée et de témoigner contre ses agresseurs en justice . Ce n'est pas facile et peut souvent être le principal obstacle que nous devons relever en essayant d'engager des poursuites dans les cas de l'exploitation sexuelle .

    " A Manchester, nous avons une équipe spécialement formée appelé l'équipe de Protégez qui se spécialisent dans le traitement des enfants victimes d' exploitation sexuelle . Ils aident ces jeunes à poursuivre des poursuites tout en venir à bout ce qui s'est passé pour eux et passer à autre de leur vie. "

    L'équipe de protéger implique BPF et des Services Manchester Children's collabore avec les organismes de bienfaisance pour enfants pour lutter contre le problème de l'exploitation sexuelle .

    Leur travail consiste à perturber , instruire et poursuivre les contrevenants , tout en offrant le soutien aux victimes et à leurs familles d'une équipe spécialement formée de professionnels .


    La victime elle-même a publié une déclaration au sujet de son épreuve : «Ces gens exploitent les jeunes filles , les initient à la prostitution , nourrissez-les drogues et l'alcool et leur dire qu'ils les aiment . Je sais cela parce que cela s'est passé pour moi et elle a changé ma vie énormément. J'espère juste que les gens seront plus conscients de cela maintenant et sera en mesure d'empêcher que cela arrive à d'autres jeunes filles vulnérables .

    Les parents de la victime ont publié la déclaration suivante : " Nous sommes très fiers de notre fille pour son courage en aidant la police de Manchester à la poursuite de ces agresseurs qui lui a causé un tel préjudice terrible. Aucune famille ne devrait avoir à endurer une expérience cauchemar comme celui nous avons traversé . Malheureusement , nous savons maintenant que beaucoup de jeunes et adolescentes vulnérables sont ciblées, préparées et abusé de cette façon par ces délinquants , nous soutenons notre fille en espérant que ces poursuites couronnées de succès enverra un message qui aidera à protéger d'autres enfants ».

    Rachel Loise , un agent de soutien aux parents de la Coalition pour l'enlèvement de proxénétisme (CROP ) a dit: « Cette exploitation sexuelle violente pas que des ruines de la vie des enfants et des jeunes , les effets sur toute la famille sont dévastateurs - sur les deux parents et frères et sœurs . Et cela peut arriver à tout enfant de toute la famille .

    « CROP a soutenu plus de 300 familles touchées à travers le Royaume-Uni et ils viennent de tout l'éventail social. Les méthodes de manipulation des hommes sont très sophistiquées , ils ont tous l'expérience - les filles et les familles n'en ont pas. "

    Un porte-parole de Barnardo's dans le Nord-Ouest , a déclaré: « Barnardo's continuera à travailler pour s'assurer que la sécurité des enfants et des jeunes est primordiale.

    " L'exploitation de ce type peut ruiner la vie des jeunes et de notre travail avec l'équipe de Protégez va un long chemin à assurer un soutien et des conseils pour les victimes de ce genre. "

    Détails des délinquants

    Aftab Khan ( 26/01/79 ) de Tarporley Avenue, Fallowfield a plaidé coupable à une accusation de contrôler un enfant prostitué et un chef d' une activité sexuelle avec un enfant . Il a été condamné à neuf ans de prison. Elle a été ensuite réduite à sept ans en appel .

    Abid Khaliq ( 15/12/79 ) de Shrewsbury , rue Stretford a été condamné à huit mois de prison après avoir admis d'entrave à la justice.

    Ahmed Noorzai ( 01/01/81 ) de la Cour dans Royce Hulme a été condamné à quatre ans de prison après avoir été reconnu coupable de payer pour les services sexuels d'un enfant .

    Mohammed Anwar Safi ( 01/01/79 ) sans domicile fixe a été condamné à 31 mois de prison après avoir admis payer pour les services sexuels d'un enfant .

    Mohammed Khan ( 26/06/84 ) de la Cour Royce , Hulme a été condamné à quatre ans de prison après avoir été reconnu coupable de faciliter la prostitution des enfants .

    Najibullah Safi ( 12/08/77 ) de Reabrook Avenue, West Gorton a été condamné à deux ans de prison après avoir admis à une activité sexuelle avec un enfant.

    Asad Yousaf Hassan ( 14/10/81 ) de Rivington Street, Rochdale a été condamné à deux ans de prison après avoir reconnu deux chefs de l'activité sexuelle avec un enfant.

    Mohammed Basharat ( 26/12/81 ) de la rue Prospect , Rochdale a été condamné à deux ans de prison après avoir plaidé coupable à une activité sexuelle avec un enfant de moins de 16 .

    Mohammed Atif ( 19/06/81 ) de Rivington Street, Rochdale a été condamné à deux ans de prison après avoir admis à une activité sexuelle avec un enfant.

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    Quelles sont les relations contractuelles entre un marin et son armateur ? Qui contrôle ? L’affaire des matelots de Sète illustre une relation juridique complexe, avec la loi d’un côté et les pratiques de l’autre.

    La Règlementation est la même pour tous le monde, mais ne pas vouloir l'appliquer réserve des surprises .

    A Sète, Armateurs, Patrons de pêche et Matelots ont bien souvent d'un commun accord transgresser la loi.Quand leurs campagne de pêche leurs rapportaient des salaires de ministres, on allait pas contrôler aux Affaires Maritimes si on était bien embarqué sur le rôle d'équipage( de même les mouvements de situation du marin dont le fascicule < propriété de ce dernier prouvant ces embarquements et débarquements > n'était pas mis a jour,  et l'on se moquait de ne pas avoir de bulletins de salaires qu'ils auraient fallut déclarés au Percepteur. CES GENS EMBARQUES SANS VISITE MEDICALE DU TRAVAIL, SANS VERIFICATION DE LEUR STATUT DE MARINS ONT BENEFICIE DU REGIME FREELANCE( salaires élevés sans paiement d'aucunes charge et impôts ) PENDANT LES TROIS QUART DE LEUR CARRIERE ET VOUDRAIENT MAINTENANT ( sans avoir cotisé à la moindre caisse ) TOUCHER LEUR RETRAITE COMPLETE ; pourquoi pas les assedics pendant qu'on y est !      ILS VOUDRAIENT LE BEURRE ET L'ARGENT DU BEUR

    Maintenant à l'heure des vaches maigres on aimerait régulariser . mais ( tel est pris qui croyait prendre ) un fort pourcentage de ces matelots d'origine Marocaine,Malienne et Sénégalaise, dont les embarquements et débarquements s'effectuaient, comme une partie des thons pêchés au large des côtes magrebines et espagnoles et évitant ainsi tout contrôle, n'ont ainsi bien souvent aucun documents prouvant leur présence à bord des navires  ( c'est ce qu'on appelle du travail disimulé ) ; quand à ceux résidant en France,et ayant gagné entre 40000 € et 70000  €  ils n'avaient aucun complexe pour obtenir la C M U ( leur salaire de la catégorie matelot  de 19293 € annuel servant de base à leur déclaration d'impôts et leurs nombreuses progénitures, leur ouvrant droits)

    "La pêche au thon nourrit depuis plusieurs années l’évolution du droit social des gens de mer, dans des conditions douloureuses pour les marins."
    Patrick Chaumette, professeur de droit à l’université de Nantes et spécialiste des questions sociales des gens de mer, suit les affaires sétoises, dans leur volet juridique depuis les années 1980.
    Première constatation, cette affaire n’est pas la première du genre, puisqu’en 1984, un conflit avait éclaté entre cinq armements sétois et une trentaine de matelots marocains, dont les armements avaient décidé de se passer. Les matelots, aidés par l’Union maritime CFDT, avaient tenté d’obtenir des congés payés et des compléments de salaire. L’examen des livrets avait alors montré "des enrôlements paraissant parfois fantaisistes".
    La situation s’est envenimée et a fini devant le tribunal, dont l’expert n’avait pu trouver " de comptabilité fiable dans les armements, lui permettant d’évaluer les pratiques de rémunération à la part".
     S’en est suivie une longue procédure, qui a fini par aboutir devant la cour de cassation. Et celle-ci a jugé, dans un arrêt du 1er avril 1992, que "les marins rémunérés à la part sont contrats d’engagement écrit, à des bulletins de salaire, à des congés payés et au Smic".
    Coup de tonnerre dans la pêche artisanale, où les embarquements étaient loin d’être tous formalisés par écrit. Des lois, celle de 1997 sur la modernisation de la pêche et de 2002 sur le calcul du temps de travail à la mer, ont consacré ces principes "Pour autant, les us et les coutumes, les pratiques semblent avoir peu changé en 20 ans", déplore le professeur.

    Le contrat écrit est obligatoire

    Il n’en reste pas moins, que le code du travail maritime prévoit la signature obligatoire d’un contrat d’engagement écrit. Celui-ci doit indiquer "en termes clairs et de nature à ne laisser aucun doute aux parties, leurs droits et obligations respectives" et "si l’engagement déterminée, pour une durée déterminée ou pour un voyage"
    Le contrat doit également mentionner le service pour lequel le marin s’engage, la fonction, le montant des salaires et des accessoires. Et pour les marins rémunérés à la part, le montant des frais communs et la clé de répartition des parts.
    "Le contrat écrit est obligatoire depuis Colbert. Régler le détail de la répartition des parts et des coûts à l’avance et par écrit est censé éviter les incidents à bord ou au retour".
    Mais les habitudes et les pratiques portuaires ont la vie dure. Même si les bulletins de paie sont rentrés dans les habitudes, les contrats écrits ne sont pas encore systématiques. Et les contrôles ne sont pas pléthore. "Avant 2006, les contrats d’engagement maritime étaient visés, c’est-à-dire soumis à un contrôle de légalité. Ils ne sont plus qu’annexés au rôle. En pratique, ils sont simplement déposés aux Affaires maritimes."
    Et même sur le rôle d’équipage, document fourni par l’armateur qui constate le service à la mer des marins et donc le versement de leur cotisation sociale, l’administration des Affaires maritimes n’effectue pas de contrôle a priori. La simplification et l’informatisation des procédures l’enregistrement des rôles par les Affaires maritimes sont, avant tout, des procédures déclaratoires.
    Les contrôles se font désormais a posteriori, quand un contentieux intervient à bord ou au retour. Et depuis 2008, ce sont les inspecteurs du travail qui ont cette responsabilité.
    Et en l’absence d’un contrat prévoyant les conditions de travail, et notamment les périodes de travail à terre et des rôles réduits à des conditions de travail est compliquée, même si la loi prévoit qu’elle peut être apportée "par tous les moyens".
    "L’administration maritime doit s’interroger sur ses fonctions et son positionnement, quand elle n’est plus que le guichet préalable de l’Enim et qu’elle n’intervient qu’en cas de désaccord entre le marin est son employeur."

    Les Affaires Maritimes ( dont le nom est encore en sursit ) ne sont plus qu'un tout petit département du ministere de l'équipement, le maritime est en train de disparaître au profit de pôles plus importants tels l'environnement et les territoires. L'administration des gens de mer jadis tenue par d'anciens marins et de gens venant du milieu de la mer est désormais entre les mains de cantonniers ignorants tout du monde maritime .

    Jean-Marie Avallone : " Je ne conprends pas"

    Il n’a pas été possible de recueillir le point de vue du syndicat des thoniers senneurs méditerranéens, principale organisation professionnelle des armateurs français au thon rouge, qui représente les deux tiers de la flottille française. Contacté, son président, Mourad Kahoul, a refusé de répondre aux questions du marin, qualifié de " ramassis de connerie".

    Contacté, Jean-Marie Avallone, lui, accepte volontiers de s’exprimer , même s’il rappelle qu’il est aujourd’hui officiellement "retraité". Il reste l’un des piliers historiques de la pêche française au thon rouge. Et il s’étonne des reproches qui sont faits aux armateur. Il assure "ne pas comprendre du tout" ce dont les marins se plaignent : "Il faudrait savoir plus précisément qui sont les patrons concernés, ce qu’on leur reproche."
    La contestation lui semble "floue" et menée par un syndicat FO qu’il "ne connaît pas", "au contraire de la CGT". Pour Jean-Marie Avalone, qui a été prud’homme major de Sète et donc, en quelque sorte, pater familia de la flottille, en cas de désaccord, "plusieurs solutions se présentent au matelot : essayer de régler le problème à la prud’homie et, en cas d’échec, essayer une conciliation aux Affaires maritimes. Puis, si rien de cela n’a abouti, aller au tribunal".
    L’absence de contrat d’engagement - qui a d’ailleurs valu à Jean-Marie Avallone une condamnation par la cour d’appel de Montpellier en 1989 - relève, selon lui, de la responsabilité des Affaires maritime, qui doivent alors "convoquer les patrons concernés".
    Il récuse totalement les pressions qui pourraient être faites à l’encontre des matelots. "Peur, mais de quoi auraient-ils peur ?" Jean-Marie Avallone ne le cache pas, estime que "la situation devient dramatique" avec "cet amalgame" fait par les médias et les ONG écologistes autour de la surpêche. Il se demande "comment les navires peuvent s’en sortir", avec une campagne de pêche et des quotas réduits au minimum. "Cela devient dramatique".

    La campagne 2010 démarre plutôt mal

    Partis en mer le 15 mai pour un mois, les thoniers-senneurs français n’avaient quasiment rien pêché à la date du 4 juin. En cause, des conditions météo épouvantables pour eux (NDRL : les navires ne peuvent pas travailler au-delà de force 4) et une température de l’eau anormale. "Sur quinze jours, les thoniers ne sont sortis qu’à trois reprises et ils ont fait des calées blanches", explique un représentant de l’armement Avallone.
    Dans le secteur de Malte, les navires n’ont capturé aucun thon et, aux Baléares, ils n’auraient pris que quelques dizaines de tonnes de poisson de petite taille (15-20 kg), destinée au marché du frais. "Ces éléments sont facilement vérifiables puisqu’il y a des observateurs de l’Iccat à bord de chaque navire et que les déclarations s’effectuent quotidiennement", indique Bertrand Wendling, le directeur de l’OP Sathoan et porte-parole des thoniers.
    A une dizaine de jours de la fin de la campagne, on est donc loin des 2 000 tonnes de quotas. "Le scénario qui se profile est une catastrophe pour l’économie régionale, les armements et les emplois", poursuit Bertrand Wendling.
    Le Syndicat des thoniers méditerranéens a adressé un courrier à l’Iccat lui demandant "une prolongation de la période de pêche". Une requête qui a toutefois peu de chance d’aboutir. 


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  • Francaisdefrance blog

    Pakistan: UNE  jeune catholique torturée , violée et laissée pour morte par des islamistes  !

    ( transcrit d'un article d'un journal Espagnol )

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    Magdelane Asraf , est une infirmière Pakistan catholique, qui a été torturé , violé et jeté par une fenêtre du quatrième étage , le 13 Juillet .

    L'incident s'est produit au Centre Jinnah Postgraduate Medical , et le viol et tentative assassiner impliquant plusieurs musulmans , dont le Dr Abdul Jabbar Meanmon , et un compagnon de la victime a appelé Sajjad Fatima .

    Magdelane , 56 heures est restée inconsciente , est toujours dans un état critique .

    Père Khadin Bhutto , a eu l'occasion de rencontrer le Dr Meammon , qui était une version ironique de ce qui s'est passé . Selon le prêtre , le médecin a été heureux pour les crimes qu'ils avaient commis .

    Comme indiqué par le blog Dazibao -N-, Comme la vie d'un chrétien au Pakistan est sans valeur , une fillette de 12 ans peut être violée et battue à mort par le doyen de l'Association du Barreau de Lahore , mais l'infraction est portée pénale . Vous pouvez aussi mourir en chrétien qui appelle battus thé dans un contexte où seulement soutenu les musulmans . Les chrétiens peuvent être brûlés vifs comme dans Gorj , ou pendu si certains fils d'Allah a dit avoir blasphémé contre le douteux "prophète" Mahomet.

    Au Pakistan , les filles chrétiennes sont kidnappées, violées et forcées à se convertir à l'islam . Et ces crimes sont perpétrés , comme en Egypte , avec la collaboration de la police .

    La liste des crimes commis contre les chrétiens au Pakistan est effrayant et sans fin , comme ce fut le cas de la femme qui a été violée par des policiers en dehors d'un poste de police dans les yeux de son mari et ses enfants . Plus tard , le mari et la femme ont été brûlés vifs (Affaire Arshed Masih )

    Autres cinq chrétiens ont été tués au Pakistan

    Le 15 Juillet , une douzaine d' hommes masqués ont ouvert le feu sur les chrétiens les musulmans qui sortent d'une église , ont fait cinq morts.

    La police et les ambulances ont pris 45 minutes pour Voyage , démontrant l'importance des institutions dans le pays céder à la préservation de la vie , la liberté et la sécurité de la minorité religieux pakistanais .

    L'attaque meurtrière survient deux mois après une association musulmane a lancé un menaces peu subtile contre les chrétiens dans la région : «Abandonnez ce lieu . Les chrétiens ne sont pas les bienvenus, car ils polluent notre terre . "

    Environ 51 familles chrétiennes dans la région, qui vivent harcelés et humiliés , ils doivent quitter leur foyer . Et en Espagne , le harcèlement des chrétiens réclament leur droit à la mosquée et de subvention .

    Au Pakistan , sont massacrés chaque jour à la communauté chrétienne et de détruire leurs lieux de culte , mais peine à trouver dans les médias des nouvelles sur ce génocide silencieux. Et demain , un autre chrétien est tué , et encore crie dans le désert .

     PETITE BLAGUE ENTRE-AMIS

    Hier soir, alors que je promenais mon chien au parc près des grands étangs, j'ai soudainement entendu un grand plouf et différents bruits de mouvement d'eau.
     
     
    C'est alors que j'ai vu un gars en djellaba, vraisemblablement d'origine maghrébine tombé à l'eau et qui semblait se noyer.

    Ne sachant pas nager, j'ai préféré prévenir la police.

       
    J'espère seulement qu'ils sont arrivés à temps,

    Sinon, j'aurais dépensé un timbre et une enveloppe pour rien... !



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  • La mairie de Nantes préfère l'UOIF au Tro-Breiz

    La conception socialiste de la laïcité : plutôt financer l'UOIF, paravent des Frères musulmans (logo ci-dessous) en France, plutôt que de voir des pèlerins dans le château des Ducs !

    ON LAISSE LES MUSULMANS OCCUPER DES RUES DANS TOUTE LA fRANCE , LES INDERDISANT A LA CIRCULATION, POUR QU'ILS PUISSENT PRIER ( ce que tout bon catholique fait chez lui à la maison ) ET ON INTERDIT UNE PROCESSION SECULAIRE . ( Veut on en Bretagne supprimer l'identité Bretonne et Catholique, Veut on faire des Bretons des bons Musulmans ? ) < quand on voit de quoi sont capables les Musulmans dans l'Article précédant >

    Tro Breiz. Les bannières bannies au château de Nantes Ni bannières, ni prêtres en aube! Les pèlerins du Tro Breiz ne seront admis que comme simples randonneurs au château des Ducs à Nantes, samedi.

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    Partis de Sainte-Anne-d'Auray, dimanche, les participants au Tro Breiz pensaient boucler leur périple, samedi, par une procession entre la cour du château des Ducs et la cathédrale de Nantes. Mais la direction du château a interdit aux organisateurs tout signe religieux: point de bannières ni de prêtres en soutane donc. Du coup, les prêtres attendront les pèlerins-randonneurs à l'entrée de la cathédrale.

    «Obscurantisme laïciste»

    «C'est aberrant. On se croirait revenu à l'obscurantisme laïciste du début du XXesiècle. C'est complètement incompréhensible. On a changé d'époque, quand même!», s'insurge PhilippeAbjean. «Cette interdiction de la procession pourrait faire sourire, ajoute l'organisateur du Tro Breiz, si ce n'est que l'on sent, sous-jacente, la volonté plus large de gommer les identités. Le Tro Breiz est un témoin, à sa façon, du patrimoine et de l'identité bretonne. Et le comble, c'est que Nantes, capitale historique de la Bretagne, ne respecte ni la culture ni la tradition bretonne. C'est paradoxal». Question de neutralité religieuse? «Attention, ce qu'on appelle neutralité religieuse cache une idéologie qui consiste à ériger en valeur l'absence de valeur religieuse ou autre. Cette soi-disant neutralité témoigne du refus d'accepter des cultures et identités différentes. Cette interdiction révèle aussi une christianophobie qui annonce un mouvement de fond dont on parle peu mais qui commence à se faire sentir: la destruction d'églises, par milliers, en France, au prétexte que leur entretien coûterait trop cher, dans les cinq à dix ans...».

    «Neutralité du site»


    «La dimension religieuse est à l'origine du refus d'autoriser une procession dans la cour du château», explique, pour sa part, Jean-François Parodi, directeur adjoint de Nantes Culture et Patrimoine, gestionnaire du château des Ducs. Et de mettre en avant la neutralité du lieu: «Cet équipement municipal n'a pas vocation à accueillir des manifestations religieuses. Cela a été très clairement prévu, dès l'origine, dans le règlement intérieur. C'est un équipement historique, certes, mais aussi culturel. Nous comprenons très bien la démarche des marcheurs d'un point de vue historique. Nous les accueillerons volontiers à ce titre, de la même façon que nous avons accueilli, la semaine dernière, un concert de musique bretonne». Il n'y aura donc pas de procession dans la cour des Ducs. Mais, à l'extérieur, peut-être les pèlerins seront-ils encore plus nombreux qu'au départ? «Ce serait, en tout cas, le seul mérite de cette polémique», estime PhilippeAbjean
    .

    Tro-Breizh 2010 : une parenthèse nantaise sous le signe d’Anne de Bretagne , UNE TRADITION QUI DATE DU MOYEN AGE

    09/04/2010 – 09h00 SAINTE-ANNE-D’AURAY (NOVOpress Breizh) – Achevé l’an dernier à Saint-Pol-de-Léon, le Tro-Breizh  partira cette année de Sainte-Anne-d’Auray pour une marche de sept jours jusqu’à Nantes. Une parenthèse dans l’itinéraire habituel, qui répond à de très nombreuses demandes de pèlerins. 

    Pour les organisateurs cette marche pèlerinage se veut un hommage à Anne de Bretagne qui, en juin 1505, entreprit un pèlerinage aux Sept Saints de Bretagne destiné à obtenir la guérison de son époux le roi Louis XII. Et aussi une reconnaissance de la Loire Atlantique comme partie intégrante de la Bretagne. 

    Les pèlerins marcheront de Sainte-Anne-d’Auray à Saint-Avé le dimanche 1 er août ;le lundi 2, de Saint-Avé à Questembert ; le mardi 3 de Questembert à Béganne ; le mercredi 4 de Béganne à Saint-Gildas-des-Bois ; le jeudi 5 de Saint-Gildas-des-Bois à Fay-de-Bretagne ; le vendredi 6 de Fay-de-Bretagne à Saint-Étienne-de-Montluc ; et enfin le samedi 7 de Saint-Étienne-de-Montluc à Nantes. 

    Au Moyen Age le pèlerin qui effectuait le Tro-Breizh allait s’incliner sur les tombeaux des évêques fondateurs de la Bretagne : Brieuc et Malo dans leur ville, Samson à Dol-de-Bretagne, Patern à Vannes, Corentin à Quimper, Pol Aurélien à Saint-Pol-de-Léon et Tugdual à Tréguier. 

    S’inscrivant dans la tradition celtique, le Tro-Breizh se singularise par son tracé circulaire en sept étapes. Le pèlerin n’a pas un lieu à gagner, mais une boucle à boucler. En reliant les sept villes fondées par les saints qu’il est venu honorer, il encercle un territoire pour le sacraliser. Par ce geste pérégrine, il remonte le fil de l’histoire, tout en orientant de manière décisive sa propre aventure, démarche de réappropriation d’une terre sous le signe de la foi. Une approche que l’on retrouve aussi dans la grande Troménie qui a lieu tous les six ans à Locronan. 

    Tombé dans l’oubli, le pèlerinage a été relancé en 1994 par l’association « Les Chemins du Tro Breiz » qui oeuvre pour la renaissance du pèlerinage médiéval des Sept Saints Fondateurs de Bretagne. Avec un succès grandissant. Pour les organisateurs «  un morceau de Tro-Breiz, pour peu qu’il soit suffisamment long et qu’on ne passe pas son temps à courir, se transforme nécessairement en aventure spirituelle. » Le Tro-Breizh n’est décidément pas une marche comme les autres. 

    http://www.bretagnenet.com/strobinet/pub/trobzh/tro.htm


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  • a cette époque on respectait les articles de la déclaration  des droits de l'homme et du citoyen

    Article 10 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.

    A cette époque il existait encore une race Française Belle et vigoureuse ( ce n'est pas moi qui le dit: c'est le gouvernement )

    c'est vrai que la Race était belle:

    rétablir la vérité

    La déchéance de la nationalité n'implique pas l’expulsion

    Extrait d'une interview de Bruno Gollnisch dans Minute à paraître demain:

    Gollnisch "J’entends la gauche s’indigner, clamer que Nicolas Sarkozy veut appliquer le programme du Front national, or, et je pèse mes mots, les mesures qu’il propose sont absolument dérisoires.

    Premièrement, Nicolas Sarkozy veut instaurer la déchéance de la nationalité française pour les assassins, fraîchement naturalisés, de policiers. Pourquoi seulement les assassins de policiers ? Pourquoi les assassins de vieilles dames pourraient-ils conserver notre nationalité ? Pourquoi les assassins d’enfants échapperaient-ils à la déchéance de la nationalité ? Pourquoi ce lui qui aura poignardé, assassiné peut-être, un chauffeur de bus, un commerçant ou, comme on l’a vu récemment à plusieurs reprises, un simple passant ayant eu le tort de lui refuser une cigarette ou de ne pas baisser les yeux à son approche bénéficierait-il d’une mansuétude ? Il est évident, sauf pour Nicolas Sarkozy apparemment, que tout auteur de crime ou de délit grave doit être déchu de la nationalité française s’il a acquis celle-ci de fraîche date.

    Deuxièmement, la déchéance de la nationalité, ça ne veut pas dire l’expulsion ! Or le seul intérêt de la déchéance de la nationalité – hormis la satisfaction de savoir que le salaud n’est pas, ou plus, un ressortissant français – est que le « binational » qu’il était est ramené à sa nationalité étrangère et que l’on peut donc le contraindre à déguerpir ! Or de cela, il n’a pas été question dans le discours de Nicolas Sarkozy et pour cause : c’est lui qui a abrogé ce que l’on appelait la « double peine » et a supprimé la possibilité d’expulser les délinquants et les criminels étrangers ! Cette « double peine » était pourtant parfaitement justifiée puisqu’elle sanctionnait une double faute : d’une part le délit lui-même, d’autre part la violation du plus élémentaire respect de l’hospitalité française."


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  •  

    PEUT ÊTRE FAUDRAIT IL RAPPELER LES DROITS ET LES DEVOIRS DE CHACUN SUR LE SOL DE FRANCE

    Article premier - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.

    Article 2 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.

    Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.

    Article 4 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

    Article 5 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

    Article 6 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ces yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

    Article 7 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance.

    Article 8 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

    Article 9 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

    Article 10 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.

    Article 11 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

    Article 12 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.

    Article 13 - Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.

    Article 14 - Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

    Article 15 - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

    Article 16 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.

    Article 17 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

    Inversion des valeurs - lettre d'une mère à une autre mère, après le journal télévisé de RTP1 (Portugal). HISTOIRE VRAIE.   Chère madame, J'ai vu votre protestation énergique devant les caméras de télévision contre le transfert de votre fils de la prison de Arlon à la prison de Leuven. Je vous ai entendue vous plaindre de la distance qui vous sépare désormais de votre fils et des difficultés que vous avez à vous déplacer pour lui rendre visite. J'ai aussi vu toute la couverture médiatique faite par les journalistes et reporters sur les autres mères dans le même cas que vous et qui sont défendues par divers organismes pour la défense des droits de l'homme, etc.Moi aussi je suis une mère et je peux comprendre vos protestations et votre mécontentement. Je veux me joindre à votre combat car, comme vous le verrez, il y a aussi une grande distance qui me sépare de mon fils. Je travaille mais gagne peu et j'ai les même difficultés financières pour le visiter. Avec beaucoup de sacrifices, je ne peux lui rendre visite que le dimanche car je travaille tous les jours de la semaine et aussi le samedi et j'ai également d'autres obligations familiales avec mes autres enfants. Au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis la mère du jeune que votre fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille. J'irai lui rendre visite dimanche prochain. Pendant que vous prendrez votre fils dans vos bras et que vous l'embrasserez, moi je déposerai quelques fleurs sur sa modeste tombe dans le cimetière de la ville. Ah, j'oubliais. vous pouvez être rassurée, l'état se charge de me retirer une partie de mon maigre salaire pour payer le nouveau matelas de votre fils puisqu'il a brûlé les 2 précédents dans la prison où il purge sa peine pour le crime odieux qu'il a commis.

    Et maintenant une petite blague si près de la vérité, pour démontrer le peu de cas que font nos dirigeants de la vie de leurs policiers .

    Quelle est la différence entre un policier Français, un policier Australien> et un policier Américain ?>  > Question posée aux policiers...>  > Mise en situation :> vous marchez dans une rue déserte avec votre femme et vos deux enfants.> Soudainement, un "jeune" arrive devant vous avec un énorme couteau et vous> regarde droit dans les yeux en éructant injures et obscénités. Il lève le> couteau et charge sur vous. Vous avez votre arme de service 9 mm sur vous.> Vous n'avez que quelques dixième secondes pour réagir avant qu'il ne vous> atteigne.>  > Que faites-vous?>  > *LE POLICIER FRANCAIS*>  > (Analyse de la situation : si je tire...)...> - Est-ce que je suis en état de légitime défense ?> - Est-ce que son couteau est malgré tout autorisé ?> - Est-ce que cela va avoir un impact sur mes chances d'une promotion ?> - Est-ce que les médias vont faire un profil de sa vie pour dire qu'il> était aimé de tout le monde ?> - Est-il un "jeune" de quartier incompris par la société ?> - Est-il un nouvel individu en probation qui a mal été réinséré dans la> société ?> - Est-ce que cela va être vu comme du racisme s'il fait partie de la> "diversité"> - Est-ce que la ville va être ensuite mise à feu et à sang par les "jeunes"> des quartiers ?> - Est-ce que je vais être poursuivi par la Halde, le MRAP, SOS Racisme,> etc.... ?> - Est-ce qu'on va parler de "bavure" dans les médias et me condamner> lourdement ?> - Est-ce que je vais perdre mon emploi ?> - Est-il une victime du syndrome alcolo-foetal et il ne comprend pas ce> qu'il fait à cause de cela ?> Donc je vais le prévenir gentiment de déposer son arme alors qu'il> m'approche ....>  > *LE POLICIER AUSTRALIEN :>  > - BANG>  > *LE POLICIER AMÉRICAIN :>  > - BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG  click...> reload...> BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG


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  • VOUS AVEZ VU LA GUEULE DES MEDIATEURS ( peut être ont ils déjas participé aux tournantes )

    NE SERAIT ON EN SECURITE QUE SUR LES PLAGES NATURISTES ( ou Allah défends d'aller à un bon musulman )

    Viol sur la plage des Catalans à Marseille, la banalisation de l’ignoble !

    Communiqué de Presse de Stéphane RAVIER, Conseiller du 7ème secteur municipal de Marseille, Conseiller régional de P.A.C.A. (Vice-président du Groupe FN), Secrétaire départemental adjoint FN13 – Marseille, membre du Comité Central du Front National :

    Le viol en pleine journée d’une adolescente de 17ans par deux « jeunes » sur la plage des Catalans met une fois de plus Marseille sous les feux de l’actualité de l’ignoble et du dégoût.

    Du maire socialiste du 1er secteur Patrick Menucci qui « n’imaginait pas que deux jeunes de cet âge – 14 et 16 ans – aient déjà le profil de délinquants sexuels » à Jean-Claude Gaudin, pour qui Marseille est un havre de paix, les responsables politiques de l’UMPS font preuve dans le domaine de l’insécurité, comme dans beaucoup d’autres, d’une ignorance qui n’a d’égale que leur incompétence.

    Laxisme moral, abandon des valeurs, sexualité devenue simple produit de consommation courante … un cocktail explosif qui entraine certains jeunes à commettre l’irréparable.

    Pendant ce temps le Marseille de Gaudin, c’est « Poubelle la vie » au quotidien, et ce n’est malheureusement pas une fiction …

    Déclarations de Grenoble : si

     l’immigration est cause

     d’insécurité, Sarkozy doit en tirer

     toutes les conséquences

    Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-présidente exécutive du Front National :

    Sarkozy : un amnésique qui fait de la gonflette
    Pris de vertige devant la dégradation d’une situation sécuritaire qu’il ne maîtrise plus, le chef de l’Etat n’est plus à une déclaration contradiction près. Nous promettant une nouvelle « nouvelle loi » pour durcir le dispositif, celui qui a supprimé le renvoi dans leur pays d’origine des délinquants, nous propose d’envisager maintenant d’étendre les déchéances de nationalité. De qui se moque-t-on ?

    Les propos du Président de la République qui procède d’une nouvelle gesticulation estivale, n’ont qu’un mérite, celui de confirmer officiellement le caractère criminogène de certaines immigrations, vérité pour laquelle le Front national est persécuté depuis trois décennies.

    De l’action pas de la communication législative
    Si la déchéance de nationalité s’impose depuis dès années pour ceux qui ont abusé de notre hospitalité, et à supposer qu’elle soit réellement appliquées les professionnels de la communication législative qui paradent au gouvernement, encore faudrait-il cesser de distribuer des cartes d’identité française comme c’est le cas aujourd’hui dans toutes les préfectures devenues de véritables usines à Français de papier.

    Stopper l’importation en France de délinquants
    Marine Le Pen, Vice présidente du Front national, somme M. Sarkozy de tirer toutes les conséquences de ses déclarations en rétablissant l’expulsion systématique, effective et définitive des délinquants étrangers, en décrétant un moratoire immédiat sur l’immigration et en réformant profondément notre code de la nationalité.

    La réunion consacrée aux nomades à l’Elysée est l’occasion pour un Président de la République en grande difficulté de gonfler les biceps devant les caméras, espérant faire croire aux Français qu’il agit. En réalité, comme d’habitude depuis huit années que Nicolas Sarkozy est en charge de la sécurité, il n’y aura que discours, vagues déclarations d’intention et détermination feinte. Comme sur tous les sujets, aucune action concrète ne suivra et la situation continuera de se dégrader, dans nos villes et nos villages où des centaines de camps illicites perturbent gravement la vie de nos concitoyens. La technique de communication sarkozyste est maintenant bien connue et elle trouve dans la gauche et les associations bobos des complices bien commodes. Les cris d’orfraie de ces « idiots utiles » permettent au gouvernement de faire croire à l’opinion qu’il est sur une ligne dure. Que ces professionnels de l’indignation se rassurent : le gouvernement ne fera strictement rien.

    Le problème mérite pourtant mieux que de l’affichage et de l’embobinage. Les Français sont à juste titre exaspérés par la multiplication des camps de nomades et les comportements inadmissibles d’une partie de ces populations : dégradation de l’environnement, vols, détournements de biens publics, agressions et meurtres parfois. Les Roms posent tout particulièrement un problème,venus massivement chez nous depuis l’élargissement de l’Union Européenne à la Roumanie et la Bulgarie, voulue et mise en place par le gouvernement actuel et ses prédécesseurs de gauche et de droite. Les camps de Roms ne se sont pas faits en un jour : face à ces populations, le laxisme prévaut. Les autorités sont comme paralysées et laissent la situation chaque jour empirer, avec la complicité de nombreuses communes PS et UMP. Dans ce contexte, les événements dramatiques de Saint-Aignan ont vocation à se multiplier.

    Marine Le Pen, Vice-Présidente du Front National, demande à Nicolas Sarkozy de cesser l’esbroufe médiatique et d’engager enfin une action de restauration de l’ordre public sur l’ensemble du territoire national. Les camps illicites doivent être démontés, les populations nomades en situation illégale renvoyées chez elles, sans pécule et avec l’assurance qu’elles ne reviendront pas, contrairement à ce qui se passe aujourd’hui. Partout, il faut s’assurer que l’ordre est respecté, et le moindre écart doit être puni.

    Pour cela, il est nécessaire de cesser de réduire nos forces de police et de gendarmerie de 3000 effectifs chaque année.

    Ou alors il faudra assurer soi-même sa défence


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  • Bangladesh : grève dans le textile pour le salaire minimum
    LEMONDE.FR | 02.08.10
    © Le Monde.fr

    Vendredi, des milliers d'ouvriers avaient déjà violemment manifesté à Dacca et dimanche, de nouveaux heurts les ont opposés à la police.
    La violence s'est propagée lundi dans des zones manufacturières situées autour de Dacca, y compris dans la zone dédiée à l'exportation pour des chaînes occidentales comme Wal-Mart, H&M, Zara, Marks et Spencer et Carrefour.

    UNE DEMANDE "IRRÉALISTE" POUR LES AUTORITÉS

    Les ouvriers protestent contre la révision à la hausse de leur salaire minimum mensuel fixé à 3 000 takas (33 euros) alors qu'ils demandaient 5 000 takas. Leur salaire minimum actuel est de 1 662 takas. Le gouvernement avait annoncé mardi 27 juillet une hausse de 80 % des salaires après des mois de violentes manifestations portant sur les conditions de travail et les salaires. Mais, si certains gros syndicats l'ont acceptée, de plus petites formations ont rejeté l'accord devant entrer en application au 1er novembre.

    "Demander un salaire minimum mensuel de 5 000 takas est irréaliste", a déclaré lundi le secrétaire au travail du Bangladesh. Le secteur textile, qui emploie trois millions et demi de personnes dans le pays représente 80 % des exportations annuelles du pays. En juin, les exportations ont battu un record en atteignant 1,72 milliard de dollars, soit la meilleure performance réalisée en quarante ans.

    QUAND ALLONS NOUS ENFIN COMPRENDRE QUE NOUS NE SOMMES PLUS COMPETITIF ( et ce pour un bon bout de temps ) ET QU'IL NOUS FAUT RETABLIR DES FRONTIERES EUROPEENNES ET DES DROITS DE DOUANES .


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  •  

    Afin de commémorer le souvenir de la victoire remportée par le Comte Olivier, lieutenant de Charlemagne, contre les Maures au IXème siècle, les militants de la Nouvelles Droite Populaire de l’Aude invitent leurs amis à venir nombreux le dimanche 5 septembre sur le lieu de cette bataille  (Notre Dame de l’Olive, entre Embres et St Jean de Barrou), pour un pique-nique amical.

    Comme l’indique le titre de cet événement, « viens griller ta saucisse« , il sera possible de faire griller des saucisses (ou toutes autres victuailles…) sur place à partir de 12 h 00. Le repas sera tiré du sac, chacun apportera son pique-nique.  Après manger et avant les interventions politiques, un olivier sera planté en hommage au Comte Olivier.

    Afin de simplifier les choses, le rendez-vous est fixé à 10 h 30, à la sortie de Sigean sur l’autoroute A9 (entre Narbonne et Perpignan). Les participants seront ainsi guidés vers le lieu où se déroulera la fête.

    Précisions historiques : La Chapelle Notre Dame de l’Olive est née d’un vœu exaucé d’un chef de l’armée chrétienne, le Comte Olivier, lieutenant de Charlemagne, de triompher des Maures. Originellement, elle abritait en son sein une statue de la vierge portant sur son bras gauche l’enfant-Dieu et de sa main droite un rameau d’olivier déposé par le Conte afin d’honorer la paix mais également son nom. La madone ayant été dérobée, on lui a substitué une vierge du XVème siècle, qui a également disparu. La Chapelle est accessible par Embres ainsi que par St Jean de Barrou.


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  • PEUT ÊTRE UN PEU DE NOSTALGIE D'UNE EPOQUE OU LES JEUNES FAISAIENT PLUS DE BRUITS QUE DE MAL, UNE EPOQUE OU LES MAGREBINS RASAIENT LES MURS ET ESSAYAIENT DE PASSER INAPERCUS .UNE EPOQUE OU L'APPEL SOUS LES DRAPEAUX DONNAIT UN SENS A NOS COULEURS ET LE SERVICE MILITAIRE CREUSOT DE L'APPARTENANCE A UNE NATION, NOUS INDIQUAIT LA FIN DE L'ADOLESCENCE ET LA PRISE EN MAIN DE NOTRE DESTIN PROFESSIONEL ET FAMILLIAL < UNE EPOQUE BENIE > Les temps ont beaucoup changé, les blousons noir sont maintenant retraités, ( MAIS ILS VOTENT )

     « Ces adolescents effondrés contre les murs, à la manière des cow-boys des westerns le long des cloisons des saloons, sont capables brusquement de lever le cran d'arrêt de leur énergie. Une poussée irrésistible les portes à imiter le Marlo Brando de l'Equipée Sauvage ou le James Dean de la Fureur de vivre"
    Henri Joubrel, Jeunesse en danger, Fayard,1960

    Les blousons noirs sont un phénomène essentiellement urbain. A Paris chaque porte, chaque quartier prolo possède sa bande. Un article de presse daté de l'été 1959 fait état de six bandes principales à Paris et de 70 autres cliques de moindre importance. (76) Selon la préfecture de police 10000 jeunes fréquentent des bandes dans la capitale. (77)
    A l'époque la bande la plus importante de la capitale était celle du Talus capable de regrouper 250 à 300 jeunes le samedi soir. Ceux de la porte de St -Ouen se distinguent par la parfaite maîtrise des diverses langues des voyous. La bande du square des Batignolles et leur chef Pilule sont le sujet d'un reportage de l'émission télé Cinq colonnes à la une en 1960. Tout aussi médiatisée, la bande de la Bastille, forte d'une centaine de membres qui parlait un argot forcé. Une enquête est publiée sur eux l'été 1961 par Christian Magret dans le magazine des têtes couronnées Point de Vue. Le chanteur Moustique membre de ce groupe déclare quelques années plus tard dans un entretien:
    " A la fin des années 50, on attaquait un car de flics, on cassait les vitres et on piquait le car pour une virée " (78)
    La bande du Sactos (Sacré Cœur) tournait aussi autour de la centaine et était protégée par leur curé. Elle était très crainte par les autres bandes. Johnny Hallyday qui faisait partie de la bande du square de la Trinité raconte :
    «On jouait les durs. On se battait, mais nous fermions notre gueule lorsque la bande du Sacré-Cœur descendait" (79)
    La plupart des bandes se singularisaient en arborant le même signe distinctif, qui allait de la manière de se coiffer, aux différents accessoires ; médailles, voir une tête de mort ou un minuscule couteau retenu au cou par une chaîne, bagues, bracelets ou ceinturons incrustés de pièces de monnaie. Cette singularité se retrouve sur leurs engins à deux roues; mobylettes ou scooters : fanions à tête de mort, hélices en plastique de la même couleur gagnées à la fête foraine. La même décalcomanie collée sur le réservoir ou le garde boue ; photos de Tarzan ou de James Dean, vamp, tête d'indien, trèfle à 4 feuilles. L'accessoire peut donner son nom à la bande, ainsi la bande du Damier d'un port breton arborait un damier sur leurs véhicules.
    En 1960, 53 % des jeunes qui fréquentaient les bandes sortaient de familles ouvrières, les fils d'employée représentaient 12%.
    A noter que 18 % des effectifs des bandes seraient originaires des milieux sociaux supérieurs.
    " La majorité de ces jeunes étaient issue des classes sociales défavorisées bien que la bourgeoisie eut ses blousons dorés. Les bandes constituent une configuration culturelle originale, articulée sur une culture de classe. La culture ouvrière en est le soubassement " (80)
    Les adolescents de 15 à 17 ans en constituent le noyau le plus important (53%), les plus jeunes de 13 à 14 ans représentent 14,8% des membres et ceux de 18 à 20 ans 18,1 % (81) Les blousons noirs des années 1959-1961 appartiennent à la génération des enfants de la guerre, ceux nées pendant la seconde guerre mondiale entre 1939 et 1945 et dans l'immédiate après guerre.
    Les bandes tournent généralement autour de trois noyaux. Le noyau central composé de ceux qui étaient le plus en vue, quatre à cinq personnes souvent confrontées à la délinquance. Puis vient la bande proprement dite formée en moyenne d'une quinzaine à une vingtaine de membres qui cherchaient surtout à se faire remarquer. Le troisième noyau qui pouvait être plus important jusqu'à une centaine de jeunes était composé des sympathisants et des postulants qui formaient le halo de la bande présent lors des grandes occasions comme une bagarre entre bandes rivales. La bande forme un milieu homogène, l'embryon en est la "cour " où les enfants d'un même immeuble vivent et grandissent ensemble. Vers l'âge de 12 ans les enfants de plusieurs cours se groupent dans des lieux de rencontre plus vaste : places ou squares où ils se forment en bande. Dans la bande, les adolescents se retrouvent et ne s'expriment qu'en symbiose avec les autres.
    Le dynamisme du groupe est contenu dans ses motivations qui portent le jeune à avoir en face de lui des interlocuteurs qui le comprennent, qui ont les même besoins et les mêmes soucis que lui et ne par conséquent être des adultes qu'ils haïssent.
    " Les vieux ont s 'en fout, ils peuvent tous crever” répond spontanément un jeune blouson noir au juge d'instruction qui lui parlait de ses parents (82).
    Pour son reportage dans l'Express, Jean Cau demande à Jojo de la bande de la Porte de Vanves. " Pourquoi "les vieux" à ton avis ne vous comprennent pas ? " réponse de Jojo : " Parce que qu'on voit la vie autrement ! " " Qu'est ce que tu veux dire ? " lui demande alors l'écrivain. Le blond répond à sa place : " Ils voudraient qu'on porte des gilets, qu'on ait des pantalons comme ça, qu'on soit comme eux ! " (83)
    Ensemble, ils reconnaissent être différents des autres, mais cette différence, paradoxalement se manifeste par le maximum de conformité avec ceux du groupe. C'est pour cela que le vêtement, la coupe de cheveux, le langage ont une telle importance, ils manifestent une singularité collective. Mais si la panoplie marque la rupture avec le monde adulte, elle ne devait pas être usurpée. Il faut être reconnu par ses pairs, il y a des modèles, l'orgueil, l'honneur et l'exploit ont une grande place dans la vie des bandes. L'intégration dans une bande n'est pas une chose facile. La bande est une société tellement fermée qu'y pénétrer est incontestablement une victoire. Elle passe par deux étapes, celle de la reconnaissance puis celle de l'acceptation. Pour être accepté, il y a des rites d'admissions. Le postulant doit faire ses preuves en réalisant divers exploits qui pouvaient aller du combat au cran d'arrêt à la course de mobylettes dans les sens uniques ou sur les " fortifs " (Certains tronçons des fortifications de 1870 subsistaient encore dans la capitale à la fin des années 50 (84). Parmi les autres exploits couramment pratiqués ; se battre avec le chef ou piquer une nana dans une bande ennemie. Ces pratiques sont souvent associées avec le rituel du " frère de sang " Le chef du gang entaille avec son couteau l'avant bras du postulant, puis fait la même estafilade en forme de croix sur celui du dernier rentré dans le groupe. Il maintient leur deux bras ensemble, unis par le mélange de leur sang, les deux "frères" jurent que jamais ils ne trahiront leurs camarades. Une autre caractéristique de la bande est le vif sentiment de propriété vis à vis de son territoire. Elle a ses lieux de réunion, ses cafés et ses cinémas et n'en change pas et ne tolère pas qu'une autre bande vienne empiéter sa zone, sinon c'est la guerre. Le square, mini espace de verdure apparaît l'endroit idéal pour leurs rassemblements. Là, les garçons discutent ensemble, se racontent des histoires de filles ou de taules souvent exagérées. Ils s'échangent des idées, blaguent, s'amusent, se chamaillent entre eux tout en écoutant de la musique sur un transistor. Dans ce lieu, où ils traînent souvent tard le soir les adolescents éprouvent un sentiment de liberté.
    La fête foraine est un autre coin qui les attire, et ils aiment se regrouper autour des auto-tamponneuses. Il y règne une certaine ambiance, adossés à la balustrade, ils prennent plaisir à regarder tourner les voitures en écoutant les derniers disques à la mode ou draguer les filles. L'hiver on se met au chaud dans les salles de jeux avec une prédilection pour le flipper. Au Café, ils ne consomment pratiquement pas d'alcool, préférant le diabolo ou le café crème. Paris, connaît l'hiver 1959 la grande vogue du patin à glace. Les patinoires de Saint Didier ou de la " fédé " de Boulogne sont prises d'assaut par des hordes de gamins.
    " La fédérale c'est la roue tournante de tous les blousons noirs, on retrouve les copains de tous les quartiers. Il y a des filles, ce n’est pas cher et on s'amuse bien " raconte Pilule chef de la bande des Batignolles (85). Quant au bal, ils y vont très rarement la plupart de ces garçons ne savent pas danser, mais sur place ils aiment bien provoquer des bagarres.
    " Le soir d'une fête patronale une quarantaine de jeunes venus de Rouen à scooter, à cyclomoteur ou en taxi, avaient plusieurs fois tenté de pénétrer dans la salle de bal en refusant de payer. L'expulsion par les gendarmes de deux ivrognes leur fournit le prétexte recherché pour passer aux actes de violence. Toute la bande se rua alors sur les représentants de l'ordre et l'un des gendarmes fut roué de coups. Son collègue tira quelques coups en l'air. Ce geste décontenança un temps les agresseurs mais les gendarmes partis, les jeunes gens pénétrèrent en force dans la salle où il brutalisèrent plusieurs danseurs et plusieurs femmes "(86)
    Les bandes importantes comportent parfois un tiers de filles. On y trouve souvent des filles garçons qui rêvent d'être des garçons et se conduisent comme tels. Elles revendiquent leur égalité dans les comportements antisociaux et le manifestent notamment par des attitudes de bravades vis à vis de la police lorsque celle-ci intervient. Le journal le Progrès de Lyon raconte le comportement de deux filles membres d'une bande du quartier de Perrache après leur arrestation :
    "On reste confondu lorsque l'on sait que ce sont les deux filles qui tinrent tête avec le plus d'aplomb au commissaire et firent preuve d'une inconcevable impolitesse. L'une se contenta de dire : "Je me fous de la police, je me fous de la famille" L'autre, encore plus effronté, n'alla-t-elle pas jusqu'à déclarer : " Parlez moins fort. Vous me faites mal aux oreilles…" (87)
    Mais la majorité des adolescentes qui fréquentent les bandes peuvent être classées dans la catégorie des "filles-objets" guère respectée qui servent à l'initiation sexuelle des garçons. Elles vont d'un garçon à l'autre, et prennent une sorte de valeur marchande en se faisant échanger pour trois fois rien! Il y aussi les filles attitrées que possèdent les principaux membres de la bande, qui souvent par prudence sont rarement vues par les autres gars. Les filles participent rarement aux délits, mais en sont les complices indirectes en bénéficiant souvent en forme de cadeaux des produits dérobés. Elles aiment se faire conduire dans des véhicules volés, ce qui donne un certain prestige à l'auteur de l'acte délictueux. La délinquance est souvent un moyen de se poser en homme devant la femme pour obtenir ses faveurs. Si quelques séries B américaines de la fin des années cinquante ont fait des gangs de filles l'un de leurs thèmes favoris. L'existence de quelques bandes féminines en France a été confirmée par certains enquêteurs. Lorsque le journal La Montagne évoque une agression commise par une bande de jeunes filles à Caen, on emploie symboliquement le terme de "jupons noirs" : "Les jupons noirs de Caen rouent de coup un Nord-Africain" (88) On note surtout une délinquance féminine opérée en petit groupe dans les grands magasins. Une fille achète un produit pour occuper la vendeuse, une autre fait le guet, tandis que la troisième vole des vêtements ou des aliments. Comme dans l'histoire du film de Marcel Carné " Terrain Vague " on signale des gangs de garçons dirigés par une fille. Exemple, le gang des As une bande délinquante de la région bordelaise qui avait à sa tête Berthe une gamine de 16 ans. (89)Terrain Vague
    Le rapport au travail du blouson noir est complexe. Le gars qui à l'habitude de vivre en bande n'a pas envie de la quitter pour aller bosser, tandis que celui qui travaille de voir ses copains traîner toute la journée lui donne des mauvaises idées et il s'arrête de travailler. Le marché de l'emploi de l'époque le permettant, on travaille selon l'envie ou la nécessité.
    " Si le gars travaille, un moment, pendant une semaine ou un ou deux mois, c'est qu'il a besoin d'argent pour s'habiller, pour manger, pour s'acheter une mobylette. Ou bien c'est qu'il s'est produit un renversement moral: son instinct est devenu faible et sa volonté lui a permis de travailler pendant ce temps là " (90)
    " Je travaille quand j'ai besoin de fric. S'il me faut une paire de " groles ", je fais la plonge. Si c'est une nécessité plus grave, je me fais embaucher un mois ou deux dans mon métier" . Raconte Guy 18 ans (91)
    Les contrats d'apprentissages sont la plupart du temps des contrats pour la forme. Les patrons en profitent pour mal payer les jeunes, mais ils les font travailler comme des ouvriers adultes. En plus, les jeunes apprentis supportent mal les ordres des chefs d'équipes, de ce fait, ils changent régulièrement de métier. Le plus souvent les jeunes des bandes qui travaillent exercent des métiers sans grande qualification comme: télégraphiste, plombier, graisseur. Des métiers où la main d'œuvre est variable qui leur permet de changer de patron, de lieu de travail à leur guise. Lorsqu'on demande à Moustique le benjamin de la bande de la Bastille qui ambitionne de trouver un boulot " pépère " quel genre de travail il aimerait faire, il répond: " Ben : aide routier, livreur en triporteur ou alors être le fils de taulier, avoir une carte de figurant de cinéma ".(92)


     

    « C’était mieux avant ». Combien de fois a-t-on pu entendre cette phrase ? Que ce soit nos aïeux dépassés par le consumérisme de la jeunesse, que ce soit les professeurs écœurés de la violence scolaire, ou que ce soit ces employés récemment embauchés, et qui regrettent déjà les avantages de leur ancien poste. Cette expression est symptomatique et représente un double échec: échec par rapport au passé mais aussi échec en vue d’un futur qui, de toute évidence, sera morose.
    Mais on peut penser que de tout temps, les anciens ont toujours cru qu’ils avaient fait mieux, du temps de leur jeunesse, à l’époque où ils avaient toutes les clefs en main pour maitriser leur vie. Parce que tout restait encore à créer. Or aujourd’hui, combien de jeunes raisonnent en ces termes: c’était mieux avant ? Elle est là la grande nouveauté, l’effarante nouveauté: la Jeunesse n’a plus d’idéal. Elle ne croit plus en rien. Elle n’invente plus rien. La création de la jeunesse est au plus bas. Les dernières tendances vestimentaires ne font que ressortir des placards les vêtements Woodstock. L’activisme des jeunes est en chute libre dans les associations. L’intérêt porté au bien commun se résume à une coupe du monde tous les quatre ans.
    Il fût un temps où la Jeunesse rêvait, rêvait d’un monde meilleur. Des barricades de 1871 au printemps de Mai 68, des années de plombs aux concerts d’un soir dans les champs, la Jeunesse espérait. Oh, certes, souvent emportée par sa naïveté et son angélisme, la Jeunesse a pu se tromper. Elle a pu détruire, diviser, annihiler, uniformiser, terroriser et tuer. Mais elle espérait. Elle se battait. Elle vivait. On appelle cela l’idéal. Il est frappant de voir ô combien les jeunes de nos jours manquent d’idéal. Surement, le discours anti-mondialisme du samedi soir avec quatre verres dans le sang s’entend souvent. Mais à quoi sert-il si le lendemain, vous allez noyer votre médiocrité dans un fast food ?
    Une jeunesse qui se drogue, une jeunesse qui n’a pas d’autres grands soirs que la veille des soldes, une jeunesse dépressive et suicidaire n’a de jeune que son nom. Et d’idéal que son ventre. Pourtant, tout n’est pas perdu. Surtout ne pas tomber dans un cynisme noir, c’est déjà faire preuve d’idéal. Il existe encore une jeunesse parisienne qui se refuse à ne faire que survivre. Une jeunesse parisienne qui veut vivre. Les deux pieds sur terre, et la tête dans les nuages. Nous refusons et nous continuerons à refuser l’abandon de l’être spirituel que nous sommes toutes et tous. Nous refusons d’abandonner aux matérialistes et aux dépressifs ce monde qui nous appartient aussi.
    Ils ont l’argent; nous avons l’amitié. Ils ont des psychotropes; nous avons le sport et la culture. Ils ont la production; nous avons le don de soi. Ils ont le sexe; nous avons l’amour. De nos femmes, de nos proches, de Paris, de nous mêmes.
    Notre idéal est simple et ne se vante de rien. Élévation, Générosité, Abandon.
    Elévation, car nous ne voulons être l’esclave de personne. Ni de nos instincts, ni des diktats des puissants de l’époque.
    Générosité, parce que la force de l’avenir se construit dans le présent. Abandon, parce que c’est souvent avec rien dans les poches qu’on a tout dans le cœur. Notre idéal pour la Jeunesse est simple: les jeunes doivent dès maintenant décider et diriger la société dans laquelle ils vivent et vivront demain. Nous ne paierons pas les choix de dirigeants, ces jeunes « vieux cons ». Notre idéal pour la Jeunesse est simple: une jeunesse idéale.

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