Jeudi 4 décembre 2014
La France n’a plus le choix : soit éradiquer l’islam de son territoire,
soit disparaître.
Par Salem Ben Ammar
HYDRE
La France doit plus que jamais combattre l’ogre musulman si elle ne veut
pas lui servir un jour de festin
Les Français ont besoin de mesures concrètes, radicales et immédiates pour
éradiquer le fléau
djihado-terroriste qui n’est rien d’autre en réalité que l’islam en état de
guerre qui met en péril la pérennité
de la France en tant qu’Etat-nation.
On ne combat pas l’ennemi avec des lois, on doit adopter une riposte
appropriée afin de l’arrêter
dans son élan velléitaire et agressif. La raison d’Etat a des raisons que la loi
ignore, la Maison France vit sous
des menaces terroristes de plus en plus récurrentes, on ne peut les contenir
par la seule force de la loi.
En tant qu’Etat souverain confronté à l’un des plus graves périls de son histoire
la France ne doit pas
s’embarrasser de scrupules pour prendre les mesures appropriées afin
d’assurer sa propre survie.
Elle se doit d’agir dans le sens de son devoir de protecteur de ses citoyens
et de gardienne de son unité nationale.
L’islam ambitionne de la coloniser, elle ne doit pas rester les bras croisés
sous prétexte que ses lois ne l’autorisent pas de le faire car elle n’est pas en état
de guerre pour décréter des mesures d’urgence semblant oublier que tout pays
non-conquis par l’islam doit un jour être soumis aux lois de l’islam par la force de l’épée.
Elle est aux yeux de l’islam une aire de guerre, dar al harb, et par conséquent
elle doit traiter l’islam de
la même manière qu’il la traite.
C’est pourquoi elle doit d’ores et déjà se prémunir contre l’hostilité destructrice
de cette idéologie mortifère
et hégémonique en créant un véritable cordon sanitaire sous forme d’une digue
reposant sur des piquets
solides et tranchants qui ne laissent subsister aucun doute sur sa réelle volonté
d’en finir avec l’hydre musulmane.
On ne combat pas le feu qui couve et qui embrase tout sur son passage avec
des pistolets à eau de peur de provoquer la colère des islamo-compatibles issus
de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompte
à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.
L’ogre musulman est un ennemi féroce et ne peut être vaincu les mains nues
et la main sur le coeur.
Soit on dépose les armes à ses pieds et on lui sert de victuailles pour assouvir
son appétit insatiable
et gargantuesque soit on dégaine son épée pour l’achever.
La France doit plus que jamais mener une guerre frontale à l’ogre musulman,
Hercule n’a pas vaincu
l’Hydre de Lerne en la caressant dans le sens du poil, la France n’a plus
aujourd’hui le choix
des armes si elle veut sortir vainqueur de l’épreuve de force imposée par
l’ogre musulman.
Ce n’est pas en multipliant des gestes de bonne volonté à son égard
ou en lui accordant
des concessions énormes au nom de la liberté de culte qu’elle va pouvoir
le contenir.
Bien au contraire, chaque concession qu’elle lui fait c’est une nouvelle
brèche ouverte dans laquelle
s’y engouffre l’ogre musulman qu’il ne manque pas d’agrandir à chaque fois
à sa taille jusqu’au jour
où toute l’Hexagone sera entièrement englouti.
L’ogre musulman n’aura de cesse tant qu’il n’aura pas dévoré sa proie
française qui n’a pas d’autre
alternative que de stopper ses avancées expansionnistes et hégémoniques
en décrétant des mesures
urgentes et radicales se déclinant comme suit :
-mettre sous surveillance les sites de propagande djihadiste,
-interdire les conversions des jeunes mineurs à l’islam,
-appliquer la loi anti-sectes à l’slam,
-appliquer rigoureusement la loi antiterroriste de 2006 en
aggravant les peines de prison,
-faire pression sur les pays pourvoyeurs de djihadistes en leur
coupant les aides au développement,
-suppression des visas,
-inscription sur la liste noire des pays terroristes,
-geler les avoirs financiers des pays bailleurs de fonds des djihado-terroristes –
mais je doute qu’elle ait assez de cran pour le faire,
-nettoyer les cités de la pègre islamiste,
-fermeture de toutes les mosquées radicales,
-interdire la vente des ouvrages religieux de caractère prosélyte et violent,
-interdire le port du voile aux filles mineures en suspendant
les allocations familiales
à leurs parents si besoin est,
-encadrer et mettre sous surveillance l’enseignement
de l’arabe dispensé par les
associations qui servent de véritables couvertures pour la
propagande salafiste,
– suspendre l’accès à la nationalité française aux musulmans
qui doivent témoigner
plus que quiconque de leur engagement républicain,
car un musulman est d’abord un fidèle
à sa religion avant d’être citoyen de tel ou tel pays,
-réformer le droit du sol en supprimant l’automaticité
des liens entre nationalité
et lieu de naissance,
-organiser des véritables stages citoyens afin d’évaluer
le degré de l’attachement
des musulmans à la République française
-exiger des théologiens musulmans d’expurger le Coran
de ses versets sexistes,
violents, racistes, antisémites, totalitaires, liberticides,
-supprimer la double nationalité,
-expulser les ressortissants étrangers qui mènent des campagnes
hostiles à la république
sur le sol national,
-rétablir la laïcité dans toutes les écoles pour en finir
avec l’halalisation galopante,
-imposer aux musulmans un pacte républicain,
-interdiction formelle des prières de rues avec des sanctions pénales
et pécuniaires aux contrevenants,
-interdire le port du voile et des kamiss dans les universités,
- tout signe ostentatoire marquant son
appartenance religieuse est synonyme de rejet des valeurs de la république,
-arrêt des constructions de mosquées tant que les musulmans
continuent à bafouer les règles
du bien-vivre ensemble et ne font rien pour manifester de
leur réelle volonté de se démarquer
de la barbarie des leurs (avec l’affaire de la décapitation
de Gourdel ils ont clairement choisi leur camp
– celui de l’islam qui concourt à la destruction de la République,)
-revoir de fond en comble la politique carcérale en reprenant en main
le recrutement des aumôniers
et le contrôle des livres religieux en circulation dans les prisons,
-établir un fichier de tous les convertis à l’islam avec examen éventuel
de leur état de santé psycho-médicale,
-contrôler les prêches de vendredi dans les mosquées et expulsion
des imams qui propagent des discours de haine,
-créer de véritables centres de formation des imams sous le contrôle
conjoint du ministère de l’intérieur
et celui de l’enseignement supérieur,
-retour de l’Etat dans les zones de non-droit islamiques
On n’éradique pas le mal en le laissant prospérer impunément chez soi.
NOVEMBRE 25, 2014 SALEM BEN AMMAR
vu sur : http://www.eurabia.org/la-france-na-plus-le-choix-
soit-eradiquer-lislam-de-son-territoire-soit-disparaitre/