• dans le coran: tout est bon ( c'est comme dans le cochon )

      MAHOMET ET SON CORAN  ECRASE PAR DES ANGES ( sculture du XVIII siècle )

    Esclavage et islam, les inséparables

    Après la mort de Mahomet et la soumission de la péninsule arabe, les musulmans conquièrent les rives méridionales et orientales de la Méditerranée. Multipliant les prises de guerre, ils inaugurent aussi une longue et douloureuse traite négrière qui va saigner l’Afrique noire jusqu’à la fin du XIXe siècle.

    Le Coran entérine l’existence de l’esclavage : la loi islamique ou charia autorise la réduction en esclavage de quiconque provient d’un pays non musulman (si un esclave vient à se convertir, il n’est pas affranchi pour autant).

    L’esclavage devient rapidement l’un des piliers de l’islam. Pour s’en convaincre, il n’est que de lire Les Mille et Une Nuits, un recueil de contes arabes qui se déroulent sous le règne du calife Haroun al-Rachid, contemporain de Charlemagne. Les harems du calife et des notables de Bagdad se remplissent de Circassiennes : il s’agit de femmes originaires du Caucase et réputées pour leur beauté. Ces belles esclaves ont continué jusqu’au XXe siècle d’alimenter les harems orientaux en concurrence avec les beautés noires originaires d’Éthiopie.

    Pour les tâches domestiques et les travaux des ateliers et des champs, les sujets du calife recourent à d’innombrables esclaves en provenance des pays slaves, de l’Europe méditerranéenne et surtout d’Afrique noire. Ces esclaves sont maltraités et souvent mutilés et castrés.

    Dans les premiers temps de l’islam, les notables de Bagdad s’approvisionnent en esclaves blancs auprès des tribus guerrières du Caucase mais aussi auprès des marchands vénitiens qui leur vendent des prisonniers en provenance des pays slaves, encore païens.

    À la fin du Moyen Âge, comme le vivier slave s’épuise du fait de la christianisation de l’Europe orientale, les musulmans se tournent vers les pirates qui écument la Méditerranée. Ces derniers effectuent des razzias (*) sur les villages côtiers des rivages européens. Le souvenir des combats livrés par les habitants à ces pirates perdure dans… la tête de prisonnier maure qui sert d’emblème à la Corse.

    On évalue à plus d’un million le nombre d’habitants enlevés en Europe occidentale entre le XVIe et le XVIIIe siècle, au temps de François 1er, Louis XIV et Louis XV. Ces esclaves, surtout des hommes, sont exploités de la pire des façons dans les orangeraies, les carrières de pierres, les galères, les chantiers,… d’Afrique du nord (*). Des organisations chrétiennes déploient beaucoup d’énergie dans le rachat de ces malheureux, tel Miguel de Cervantès.

    En Europe orientale et dans les Balkans, pendant la même période, les Ottomans prélèvent environ trois millions d’esclaves. Mais l’expansion européenne, à partir de la fin du XVIIIe siècle, met fin à ces razzias.

    Si la traite des esclaves blancs a rapidement buté sur la résistance des Européens, il n’en a pas été de même du trafic d’esclaves noirs en provenance du continent africain.

    La traite arabe commence en 652, vingt ans après la mort de Mahomet, lorsque le général arabe Abdallah ben Sayd impose aux chrétiens de Nubie (les habitants de la vallée supérieure du Nil) la livraison de 360 esclaves par an. Elle ne va cesser dès lors de s’amplifier. Les spécialistes évaluent de douze à dix-huit millions d’individus le nombre d’Africains victimes de la traite arabe au cours du dernier millénaire, du VIIe au XXe siècle, soit à peu près autant que la traite européenne à travers l’océan Atlantique, du XVIe siècle au XIXe siècle.

    Le trafic suit d’abord les routes transsahariennes. Des caravanes vendent, à Tombouctou par exemple, des chevaux, du sel et des produits manufacturés. Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et… des esclaves pour gagner le Maroc, l’Algérie, l’Égypte et, au-delà, le Moyen-Orient. Au XIXe siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar (aujourd’hui en Tanzanie) et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique.

    Le sort de ces esclaves, razziés par les chefs noirs à la solde des marchands arabes, est dramatique. Après l’éprouvant voyage à travers le désert, les hommes et les garçons sont systématiquement castrés avant leur mise sur le marché, au prix d’une mortalité effrayante, ce qui fait dire à l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diyae : «Le douloureux chapitre de la déportation des Africains en terre d’Islam est comparable à un génocide. Cette déportation ne s’est pas seulement limitée à la privation de liberté et au travail forcé. Elle fut aussi – et dans une large mesure- une véritable entreprise programmée de ce que l’on pourrait qualifier d’ “extinction ethnique par castration”» (*).

    Les contes des Mille et Une Nuits, écrits au temps du calife Haroun al-Rachid (et de Charlemagne), témoignent des mauvais traitements infligés aux esclaves noirs et du mépris à leur égard (bien qu’ils fussent musulmans comme leurs maîtres). Ce mépris a perduré au fil des siècles. Ainsi peut-on lire sous la plume de l’historien arabe Ibn Khaldoun (1332-1406): «Les seuls peuples à accepter l’esclavage sont les nègres, en raison d’un degré inférieur d’humanité, leur place étant plus proche du stade animal». Ces propos, notons-le, précèdent de deux siècles la traite atlantique des Occidentaux.

    Les contingents très importants de main-d’oeuvre servile ont contribué à la stagnation économique et sociale du monde musulman. Ils ont causé aussi de nombreux troubles. C’est ainsi qu’à la fin du IXe siècle, la terrible révolte des Zendj (ou Zenj, d’un mot arabe qui désigne les esclaves noirs), dans les marais du sud de l’Irak, a entraîné l’empire de Bagdad sur la voie de la ruine et de la décadence.

    «Comparé à la traite des Noirs organisée par les Européens, le trafic d’esclaves du monde musulman a démarré plus tôt, a duré plus longtemps et, ce qui est plus important, a touché un plus grand nombre d’esclaves»,et surtout est toujours d'actualité,même déguisé; écrit en résumé l’économiste Paul Bairoch (*). Cet auteur, ainsi que Tidiane N’Diaye, rappelle qu’il ne reste pratiquement plus trace des esclaves noirs en terre d’islam en raison de la généralisation de la castration, des mauvais traitements et d’une très forte mortalité, alors que leurs descendants sont au nombre d’environ 70 millions sur le continent américain.

    Notons le parallèle avec les États arabes du Golfe Persique qui recourent massivement à des travailleurs étrangers tout en empêchant ceux-ci de faire souche sur place… à la différence des pays occidentaux. [source] &rel=1"> &rel=1" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="350" height="300">   Les musulmans ne respectent que ceux qu'ils craignent , et ce depuis la nuit des temps. Ceux sont des êtres serviles qui ne craignent que la chicotte , le fouet , et le cimetère si apte à trancher les mains du voleur ou le cou de l'adultère . Ils ne sont aucunement sensible à la discusion et aux rapports humains, toutes marques de gentillesse, voir même de politesse est considéré comme un état de faiblesse dont ils vont profiter. Le RESPECT dont ils parlent tant est l'acte de soumission q'une personne plus faible doit à un caïd de la cité . Tout ce que l'état et certaines associations délinquantes leurs donnent ( nourriture , logement , papiers , argent ect... est considéré comme un dû ) < un arabe te demande l'heure, il te vole ta montre > Dans leurs pays d'origine ( y compris ceux de troisème génération nés sur le sol de notre patrie ) ils se plient aux directives , lois et  coutumes et ne manifestent en aucunes manières, obéissent à la police, car ils craignent les représailles , chez nous, tous les jours que dieu fait ce n'est qu'actes de délinquance quand ce n'est de crimes; ils sont rarement punis, ce qu'ils considèrent comme la faiblesse de l'état français et se disent qu'un pays comme la France qui ne sait pas se faire respecté devra se soumettre à leur volonté,.Si nous ne réagissont pas,dans peu de temps,sous prétexte d'intégration, nous vivrons sous les lois musulmanes avec tout ce que çà comporte d'inconvéniants pour les non-musulmans:   BON COURAGE   çà viens de sortir     ( une équipe de joueurs de foot musulmans refuse de jouer contre une équipe gay ) < imaginez qu'ils se soient fait battre a plate couture >

    C’est par un email que les joueurs du Paris Foot Gay ont appris le 3 octobre dernier que leurs adversaires du jour refusaient de les affronter dans le cadre d’un match de championnat de foot loisir.

    «Désolé mais par rapport au nom de votre équipe et conformément aux principes de notre équipe, qui est une équipe de musulmans pratiquants, nous ne pouvons jouer contre vous, nos convictions sont de loin plus importantes qu’un simple match de foot, encore une fois excusez-nous de vous avoir prévenu si tard», justifie le Créteil Bébel.

    Le Paris Foot Gay – qui est aussi composé d’hétérosexuels – envisage de porter plainte pour homophobie. La Commission de Football Loisirs (CFL) a décidé de convoquer les responsables de Créteil Bébel pour s’expliquer sur leur attitude.( Il  est vrai qu'en pays musulmans, les gays on les pends ) que deviennent les petits garçons dont ils abusent quand ils grandissent ? Chez les musulmans on tolère la pédophilie, mais on condamne l'homosexualité. Quand est il de la zoologie? ; QUOIQUE : AVEC UN ANIMAL MAJEUR ET CONSENTANT !   Des individus intolérants et sauvages, qui avilisent leurs épouses et les contraignent a se couvrir intégralement de noir sous un soleil de plomb, qui lapident la femme adultère, pendent les homosexuels, coupent les mains d'un voleur de pain, coupent le coup des maris volages, mais prennent du plaisir à se faire pèter le cul avec un suppositoire , n'ont rien à faire dans un pays comme le notre . &rel=1"> &rel=1" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="350" height="300">

    Ces individus sont tous aptes à retourner sur la terre de leurs ancêtres, ils parlent tous l'arabe, et ce depuis la petite enfance,ils le parlent dans la rue, même à l'école, ce qui était rigoureusement interdit à tout provincial, s'entends de ne parler d'autre langue que le francais.

    Mille coups de fouet et cinq ans de prison pour avoir parlé de sa vie sexuelle à la télévision

    Mille coups de fouet et cinq ans de prison pour avoir parlé de sa vie sexuelle à la télévision

    Mazen Abdoul Jawad, ce Saoudien qui avait fait étalage de sa vie sexuelle extra-conjugale sur la chaîne de télévision LBC, basée au Liban ( lire ici ), a finalement été condamné mercredi à cinq ans de prison assortis de mille coups de fouet, a indiqué son avocat, Maître Souleiman al-Jimaie.


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