• Valls est un apprenti dictateur qui n’aime pas les Français

    La preuve en images ! 

    LES PHRASES DE MANUEL VALLS

    Qu’on se le dise : le petit teigneux, mais néanmoins trouillard, qui loge Place Beauvau par la grâce d’un autre incompétent,  lui-même mis en place par un fumiste, ne supporte pas la moindre contradiction, contestation, manifestation …

    D’ailleurs bientôt ces mots n’auront plus cours, et pour ne pas risquer de les entendre ou les rencontrer au coin d’une rue, ils seront carrément retirés du dictionnaire…

    D’ailleurs bientôt les dictionnaires actuels seront eux-mêmes retirés de la circulation, et remplacés par un unique ouvrage, source d’enrichissement, de paix et d’amour partagé ; le coran !

    Ainsi plus de risque de soulèvements des esclaves que seront devenus les citoyens français (du moins ceux qui sont moins égaux que certains autres) envers leurs bienveillants dirigeants qui leur concoctent un avenir serein, débarrassé d’éventuels soucis de réflexions, méditations, cogitations …

    D’ailleurs bientôt ces mots n’auront plus cours et seront retirés de la circulation, comme beaucoup d’autres, sous peine de devoir s’expliquer avec l’apprenti dictateur de Beauvau qui n’est nullement en peine de nouvelles ignominies pour mater les citoyens français récalcitrants à ses préférence en matière de copinage.

    Mais en attendant cet heureux avènement (du moins pour Valls et ses amis barbus, imams haineux, eniquabées et autres enfourladées), nous les patriotes, devons bien garder en mémoire certains faits, certaines circonstances, pour lesquels cela pourrait barder pour notre matricule, si nous osions bouger une oreille !

    En voici un petit récapitulatif, non exhaustif, tant sont nombreux les événements, attitudes, postures… risquant d’ incommoder le sensible sinistre de l’Intérieur (vite des sels !)

     1/ Ne pas se regrouper à plus de une personne à la fois, même debout sans rien dire pendant plusieurs minutes… si vous avez ne serait-ce que l’air de penser (c’est défendu qu’on vous dit !) sous peine de vous voir apostrophé par ses sbires casqués, protégés par leurs boucliers, matraques et bombes lacrymo, puis emmené manu-military vers le poste le plus proche, où vous serez traité bien plus mal que de dangereux criminels récidivistes ; et pour cause, ceux-là sont les chouchous de tata Christiane, tonton Bertrand et tonton Manu, pourvu bien sûr qu’ils aient le bon teint et la bonne religion !

    2/ Ne pas se promener avec de hideux et provocateurs tee-shirts ou sweet-shirts totalement illégaux (sic !) puisque représentant un papa, une maman et deux enfants se tenant par la main, maintenant qu’il a été officiellement décidé, à l’unanimité des 5/10.000 ème environ des citoyens français, qu’une famille c’était dorénavant 2 papas ou 2 mamans avec enfants, éventuellement pour simplifier les choses 2 parents, et puis c’est tout !

    Alors si vous persistez à adopter des allures ringardes, vous allez au devant de graves ennuis : être apostrophé par des sbires casqués, protégés par leurs boucliers, matraques et bombes lacrymo, puis emmené manu-military vers le poste le plus proche, où vous serez traité bien plus mal que de dangereux criminels récidivistes ; et pour cause, ceux-là sont les chouchous de tata Christiane, tonton Bertrand et tonton Manu, pourvu bien sûr qu’ils aient le bon teint et la bonne religion !

    3/ Ne surtout pas riposter si un gentil antifa vous gratifie vigoureusement d’une tape dans le dos, oubliant qu’il tient un poignard… car imaginez un instant qu’en le repoussant vous le fassiez chuter et qu’il en meurt… vous allez vous retrouver vite fait apostrophé par des sbires casqués, protégés par leurs boucliers, matraques et bombes lacrymo, puis emmené manu-military vers le poste le plus proche, puisque vous serez devenu un dangereux et lâche criminelet à ce titre traité plus mal que l’ensemble des criminels récidivistes ; et pour cause, ceux-là sont les chouchous de tata Christiane, tonton Bertrand et tonton Manu, pourvu bien sûr qu’ils aient le bon teint et la bonne religion !

    4/ Ne pas vous réfugier dans une pizzeria (Pino) lorsqu’une bande de CRS se met à vous courser parce que vous revenez d’une manif, et que sous Hollandescu il est défendu de manifester autre chose que le plaisir de vivre en bonne entente avec les racailles qui pillent nos biens et piétinent nos lois… sinon vous risqueriez, en plus d’êtreapostrophé par ses sbires casqués, protégés par leurs boucliers, matraques et bombes lacrymo, puis emmené manu-military vers le poste le plus proche, assigné en justice immédiate (même si c’est injuste) et jeté illico en prison où vous serez plus mal traité que de dangereux criminels récidivistes ; et pour cause, ceux-là sont les chouchous de tata Christiane, tonton Bertrand et tonton Manu, pourvu bien sûr qu’ils aient le bon teint et la bonne religion… de devoir payer la casse occasionnée par votre résistance aux forces de l’ordre, même que le patron en profitera ignoblement pour bien saler la note en ajoutant aux coût des dégâts le manque à gagner d’avoir du fermer 1/4 d’heure (ordure !)

    Manifestement quelque chose a du nous échapper, car rien n’est normal dans tout ça ! Surtout sous le règne d’un président qui s’est autoproclamé « président normal » :

    - L’Etat, ou plus exactement ses indignes représentants actuels, font tout pour dénigrer le Peuple qu’il sont censés défendre, et donnent sans cesse des gages de leur servilité envers les puissants (qui d’autres que les grands argentiers ?) alors que Nimbus 1er avait chanté sur tous les tons qu’il détestait les riches (!!!) .

    - L’Etat, ou plus exactement ses indignes représentants actuels, se livrent à de véritables hold up sur les avoirs durement gagnés par les travailleurs français (ceux qui font vivre la Nation à la sueur de leur front, pendant que d’autres se prélassent d’un pince fesses à l’autre), pour mieux encourager trop d’immigrés sangsues et de fainéants nationaux à continuer leur carrière d’assistés chroniques… et comptent bien en importer d’autres cargaisons qui, croient-il, leur serviront de réserve de voix !

    - L’Etat, ou plus exactement ses indignes représentants actuels, tournent ostensiblement la tête lorsque des racailles sèment la terreur, caillassent, massacrent … d’innocents citoyens, ou alors concoctent un savant mensonge d’Etat (dont il devront un jour rendre des comptes, qu’ils le veuillent ou non), alors qu’ils sont aux aguets de la moindre tentative de bouger un cil de la part des patriotes qui osent se rebeller contre leur dictature d’une évidence aveuglante !

    Je ne suis pas loin de penser que Manu le gazeur a du faire une grave crise de delirium tremens… ou très gros (oui je sais, c’est facile, mais j’avais envie de le faire) qui lui a inversé toutes les… idées (j’allais écrire valeurs, alors que n’en possédant aucune, il ne risque pas de les inverser), car plus le temps passe, plus il fait l’exact opposé de ce qu’un Ministre de l’Intérieur sain d’esprit et surtout honnête et juste. doit réaliser.

    Il me semble donc indispensable de vous rappeler, et de faire en sorte de diffuser au plus grand nombre, un des éléments de notre Constitution qui trouve ici toute sa légitimité dans l’affolante actualité :

    Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793

    Article 35 

    Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

    Alors avec Riposte Laïque et Résistance Républicaine, venez rejoindre la Manifestation organisée par le Collectif  pour la Défense des Libertés Publiques, le 14 septembre prochain à Paris :

    MANIF 14 SEPTEMBRE - libertépouresteban

     


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  • Les salaires embarrassants de Harlem Désir. Avec un autre ex-responsable de SOS Racisme, il comparaissait hier devant le tribunal

    Par BEAUDOUIN HUGUES

    Lille, correspondance

    Harlem Désir et Hayette Boudjema, anciens responsables de SOS Racisme dans les années 80, s'expliquaient hier devant le tribunal correctionnel de Lille sur des rémunérations reçues entre 1988 et 1991 d'une association lilloise, l'Arfem (Association régionale de formation et d'éducation des migrants). Rémunérations dont la justice doute qu'elles aient jamais correspondu à une véritable activité. Pas toujours convaincant, Harlem Désir, mis en examen pour recel d'abus de confiance, a tenté de justifier la réalité de son emploi devant un président dubitatif. «Dans le contexte politique difficile pour SOS Racisme, je ne pouvais pas me permettre d'être salarié de mon association. J'ai donc fait savoir que j'étais à la recherche d'un emploi qui pouvait me permettre d'être autonome, avec une parfaite liberté d'expression civique et politique.» C'est ainsi que l'Arfem, qui dépendait largement des subsides du conseil régional socialiste, a proposé un emploi de conseiller à Harlem Désir pour un salaire mensuel de 8 900 F net. Patrick Declercq, directeur de l'association à l'époque, reconnaît n'avoir jamais rencontré Harlem Désir ni Hayette Boudjema: «J'ai été mis devant le fait accompli. Ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai découvert les deux contrats de travail qui avaient été dissimulés dans le bureau du comptable.» Au président qui lui demande s'il n'a jamais jugé utile de rencontrer les responsables de l'association, Harlem Désir répond sans sourciller: «Ma mission n'était que de conseiller le président de l'association, c'était à lui de répercuter mes avis comme bon lui semblait.» Arrière-boutique. Jean-Claude Provo, l'ancien président de l'Arfem, était également poursuivi. Elu régional au moment des faits, il admet n'avoir «pas voulu ébruiter l'embauche de Harlem Désir. Il ne fallait pas accréditer la thèse que l'Arfem était l'arrière- boutique du Parti socialiste». Il admet que c'est à la demande du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais qu'il a embauché Harlem Désir. Notes de frais. Sa coaccusée, Hayette Boudjema, adopte un profil bas. Aux questions insistantes du président sur ses notes de frais, elle déclare forfait, avant de reconnaître par ailleurs n'avoir jamais déclaré ses rémunérations alors qu'elle percevait simultanément des indemnités Assedic. «Mais j'ai tout remboursé depuis, monsieur le président.» Le procureur de la République a rappelé au tribunal qu'il ne jugeait«pas ici de la légitimité de l'action de SOS Racisme. L'essentiel aujourd'hui est la gestion de l'argent public et son contrôle. Je maintiens que les contrats des deux accusés ne correspondaient à aucune activité réelle». Et de requérir contre Harlem Désir et Jean-Claude Provo une peine de dix-huit mois de prison avec sursis, assortie d'une amende de 50 000 F chacun, contre Hayette Boudjema dix-huit mois avec sursis et 70 000 F d'amende, et la relaxe pour Patrick Declercq. Le jugement a été mis en délibéré.


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  • Message à toutes les voilées de France, consentantes ou non

    DU  CHADOR A LA BURKA

    OUI vous, Mesdames et Mesdemoiselles qui chaque jour que Dieu fait(peut-importe quel Dieu, ici en France, nous avons le droit d’adorer le Dieu qui nous convient, voire ne pas en adorer du tout… cela s’appelle la liberté de conscience, chèrement acquise par nos vaillants aïeux) devez, au mieux porter un voile sur la tête, au pire vous dérober aux regards (redoutés par vos hommes), en vous engloutissant dans d’inhumaines prisons de toiles …

    J’ai envie de discuter entre femmes, (pas plus impures qu’eux-mêmes, comme le prétendent vos mâles apparemment incapables de rester maîtres de leurs sens en croisant un regard féminin,  fut-il neutre et dépourvu de toute tentative de séduction) de ce qui vous concerne en premier lieu : votre liberté individuelle, qui en France, dès lors qu’elle ne bafoue pas ses lois civiques, est Non Négociable !

    Je ne comprends pas pourquoi tant de remue-ménage, tant de stress, voire de malaise, à propos d’une loi contre le voile (qu’il soit partiel ou intégral), alors qu’il s’agit seulement du respect le plus légitime, vis à vis d’une loi établie par les élus d’un Pays, où vous avez décidé de vivre (et à ma connaissance personne vous a obligées de venir vous installer chez nous).

    Que diriez-vous si, dans vos pays d’origine respectifs, j’osais aller quémander, revendiquer… puis exiger sous des menaces à peine voilées (sans jeu de mot) de déambuler comme bon me semble dans vos rues, dans une tenue plus que légère (rassurez-vous, je suis au moins aussi pudique que vous, c’est simplement une image) ?

    Que diriez-vous si, dans vos pays d’origine respectifs, je me permettais d’influencer vos enfants en les endoctrinant subrepticement et dès leur plus jeune âge, avec les préceptes de la religion catholique .. ou de toute autre ne vous convenant pas, à votre insu ?

    Vous seriez sans doute révoltées, et ce serait totalement légitime !

    Alors pourquoi ne pas comprendre et admettre notre réaction, ici, dans notre pays, que vous prétendez vôtre sous prétexte que vous en avez demandé et reçu la nationalité, alors que chaque jour vous ne pensez qu’à vous comporter comme dans vos pays, et prétendez nous contraindre à adopter vos propres mœurs ?

    Pourquoi vous engager dans un combat, épuisant parce que sans fin, puisque selon toute logique, un Peuple a le droit de promulguer les lois qui lui agréent, sur son sol, n’en déplaise à ceux qui s’y sont invités, et qui au détriment de toute logique, voudraient y supplanter les leurs, qui d’ailleurs en ce qui vous concerne, se résument en une seule : la charia ?

    CECI N'EST PAS TON PAYS

    D’ailleurs, même dans vos pays respectifs rien n’est très précis comme le démontre le lien ci-après :

    « En islam le voile est un vêtement qui est utilisé pour cacher certaines parties du corps de la femme. Il existe plusieurs sortes de voiles suivant les régions. C’est une des conséquences du flou qui règne concernant le statut du port du voile… « 

    « … Chaque pays musulman a sa propre position sur le voile. En Arabie Saoudite, le port du voile est obligatoire même pour les étrangères. En Tunisie, sous Ben Ali, le port du voile intégral était interdit. En Turquie la loi change beaucoup par exemple concernant le port du voile dans les universités. En Afghanistan sous les talibans le port de la burqa était obligatoire mais il ne l’est plus aujourd’hui bien qu’il reste porté de manière occasionnelle par 2 femmes sur 3″…

    http://www.portail-religion.com/islam/voile-islamique.php

    Alors puisque même « chez vous » rien n’est précis, cela signifie que rien ne s’opposerait à ce que vous vous comportiez comme l’exige la loi du pays qui vous reçoit (momentanément ou définitivement), et prouve bien à quel point vous êtes, volontairement, dans la revendication perpétuelle par pure provocation !

    Une question se pose d’emblée : pourquoi donc venir en grand nombre, « souffrir de « l’ignoble » attitude des français de souche , (vos ex-colonisateurs pour certains), racistes, islamophobes et dépravés »… alors qu’il était si simple pour vous de restez benoîtement chez vous, entre vous, hommes et femmes supérieurs au reste de l’humanité puisque élus par Allah, si l’on en croit les paroles de l’auto-proclamé prophète, dont le moins qu’on puisse dire est que la vie n’a pas été un long fleuve tranquille ?

    Aux yeux de votre Dieu nous sommes des mécréants ! Et alors ? Si cela nous plaît à nous ? Si nous sommes heureux ainsi ? Qu’est-ce que cela peut bien vous faire ? Occupez-vous de votre propre salut et laissez-nous donc à notre fange.

    Si encore vos réactions à nos propos étaient dictées par une véritable compassion et le désir de nous venir en aide ? Mais non ! Nous en savons suffisamment maintenant sur les préceptes de votre religion castratrice, et nous connaissons les injonctions de votre « Dieu d’amour » , entre autres, celle de TUER tous ceux qui n’adoptent pas vos conceptions de l’existence !

    Alors s’il est vraiment intenable de vivre en France en devant respecter ses lois qui vous révulsent (autant que votre comportement nous révolte), repartez donc chez vous, dans vos merveilleux pays que vous (ou vos parents) n’auriez jamais du quitter, ainsi chacun chez soi … et les lois respectives seront bien appliquées !

    Bien évidemment il n’a pas échappé aux patriotes éclairés, que le but ultime de l’islam est la conquête de la planète. Hormis certaines autruches, nous avons bien reçu le message 5 sur 5 ! Il n’empêche que, fort heureusement, nous n’en sommes pas encore là, même si la lâcheté d’une majorité d’élus européens a pu vous faire croire le contraire. Tout comme eux, vous avez négligé un élément essentiel : l’opinion et le poids de la majorité silencieuse, qui commence sérieusement à s’échauffer de vos éternelles provocations.

    Pour mémoire, différents études et sondages attestent de la profonde irritabilité des citoyens français envers l’étalage de votre religion en général, et de votre tenue vestimentaire, notamment le voile, en particulier :

    - 89% des Français sont opposés au port du voile ou du foulard dans les classes des écoles publiques pour les musulmanes qui le souhaitent. Ce n’est donc pas pour que des nounous fasse la promotion du hijab !

    - Et plus généralement : 63% des Français sont opposés au port du voile ou du foulard dans la rue pour les musulmanes qui le souhaitent. L’aversion pour le voile islamique est donc bien majoritairement partagée par la population. (1) – (2)

    Alors pour nous l’équation est fort simple :

    - ou vous portez vraiment volontairement un voile, niqab… ou autre couvre-chef, mais uniquement dans la sphère privée. Sinon, comme c’est incompatible avec notre laïcité et les lois établies, il est impératif que vous alliez vivre votre religion ailleurs que chez nous.

    - ou ce voile vous est imposé par ceux que votre Dieu prétend supérieurs à vous, et au lieu de nous combattre, vous devriez au contraire vous appuyer sur nos lois pour obtenir de vos compagnons qu’ils cessent de se comporter comme de ridicules machos, ou alors retournent au bled, vivre leur vie d’hommes soit-disant supérieurs.

    Notre amie Caroline Alamachère, est lamentablement traînée en justice, par Monsieur Mohamed B., au prétexte que dans un brillant et légitime article (3) elle s’est révoltée contre le prosélytisme de certaines nounous profitant de leur emploi pour attirer les jeunes enfants qui leurs sont confiés, dans les filets de leur religion, et ce bien sûr à l’insu des parents.

    J’aimerais dire à Madame Diane N’Gomsik, Procureur de la République, qu’elle ne fait montre dans cette histoire d’une grande déontologie professionnelle, en ayant accepté d’instruire cette plainte, injustifiée contribuant ainsi à aggraver l’encombrement déjà démentiel des tribunaux. Ceux-ci étant effectivement noyés par les jérémiades incessantes de populations promptes à accuser les non musulmans de tous les maux, et qui se sentent précisément forts parce que certains de ses collègues font preuve, comme elle, de compréhension exclusivement unilatérale.

    Quand à vous, Mesdames et Mesdemoiselles les voilées de France, réfléchissez bien et demandez-vous pourquoi tant de musulmans vivant en pays islamisés, se convertissent de plus en plus au christianisme, et ce malgré les menaces de mort qui les poursuivent pour apostasie ? (4)

    croyants_incroyant

    Vous devriez penser également à toutes les femmes courageuses qui se battent journellement, aux « quatre coins » de la planète pour échapper aux diktats indignes imposés par vos mâles arriérés, au lieu de vous tromper d’ennemi en vous rangeant au côté de vos bourreaux, car si par malheur ils parvenaient un jour à leur fin ignoble (sharia pour tous, partout dans le monde), vous seriez sans doute les premières à regretter le temps présent, et à vous mordre les doigts jusqu’au coude. (5)

    C’est un conseil d’amie, de la part d’une sexagénaire réfutant totalement la soit-disant supériorité masculine, d’ailleurs également controversée par les vrais mâles, ceux qui n’ont pas besoin d’emprisonner leurs femmes pour se prouver qu’ils sont des hommes.

    Josiane Filio


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  • « Une légende particulièrement tenace
    voudrait que la France
    soit une terre de mélange depuis des siècles.
    C’est totalement faux »

    Entretien avec Emil Darhel à propos de son livre D’une colonistation l’autre. Vers la guerre civile…

    (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

    Que nous apprend votre livre ?
    Que les Français sont dans une situation particulièrement pénible : ils baignent dans le formol depuis des décennies. C’est assez confortable a priori. Ils sont gentiment bercés par le complexe médiatico-politique. Mais ce formol est un peu particulier… Au lieu de les préserver en tant que peuple, il les fait disparaître au profit d’autres peuples. L’écrivain Renaud Camus parle de “grand remplacement”. L’expression est particulièrement bien trouvée. Mon livre veut faire sortir nos compatriotes de leur état comateux. Les informations réunies dans D’une colonisation l’autre concernant la démographie, la criminalité, les intentions plus ou moins assumées des partis politiques traditionnels, etc. sont jusqu’à présent et pour la plupart d’entre elles restées hors de portée du grand public. Pourtant, lorsqu’elles sont recoupées, on peut voir quel avenir se dessine pour notre pays, et il est loin d’être “désirable”, si je peux me permettre cette allusion au slogan ringard d’une candidate socialiste…

    L’actualité semble apporter de l’eau à votre moulin…
    Tout à fait : entre Houria Bouteldja, porte-parole du parti des Indigènes de la République qui nous dit que les Blancs ont tout intérêt à lécher les babouches des nouveaux arrivants car ces derniers ne se priveront pas, quand ils en auront le pouvoir, de faire payer les premiers pour toutes leurs exactions (lesquelles ? on se le demande encore !), et Rokhaya Diallo, chroniqueuse pour la télévision, qui n’y va plus par quatre chemins et qui affirme à la télévision (sur France Ô) que “lorsqu’un pays s’interroge autant sur ce qu’il a été, c’est qu’il sent qu’il est en train de changer et que le rapport de force est en train de s’infléchir”, nous ne sommes plus dans le délire paranoïaque de suprémaciste blanc…

    Reprochez-vous aux néo-français leur manque flagrant d’intégration ?
    C’est une question à double tranchant… On peut effectivement déplorer leur manque d’intégration. D’un bout à l’autre de l’échiquier politique, on ne parle que de cela en insistant sur le fait que le fameux “modèle d’intégration à la française” ne fonctionne plus. On notera d’ailleurs que, là encore, c’est la faute des Français de souche et non celle des immigrés si ces derniers ne s’intègrent pas… Mais on oublie systématiquement que ce modèle d’intégration ne peut fonctionner que si deux conditions sont remplies : il faut que les nouveaux arrivants aient la volonté de s’intégrer, mais il faut aussi et surtout que leur culture soit intégrable. Une légende particulièrement tenace voudrait que la France soit une terre de mélange depuis des siècles. C’est totalement faux. Mais les vagues récentes d’immigration de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, beaucoup plus réduites que le tsunami actuel, remplissaient ces deux conditions.
    Aujourd’hui, la grande majorité des nouveaux arrivants n’ont pas la volonté de s’intégrer, mais – et c’est beaucoup plus intéressant à mon sens – ils n’en ont pas les moyens. Leur culture est insoluble dans la nôtre. Et comme ils sont très nombreux, ils sont de plus en plus revendicatifs. Faut-il le déplorer ? Je ne crois pas. C’est plutôt une chance pour nous ; il ne pourra pas y avoir de cinquième colonne. Il y a déjà deux camps : celui de mesdemoiselles Bouteldja et Diallo, et le nôtre. Malheureusement pour les indécis, ils devront choisir.

    Vous parlez de culture. Pensez-vous à l’Islam ?
    Pas seulement, mais il est évident que l’Islam est particulièrement problématique. Le plus étonnant, c’est que l’Islam a été perçu comme une menace depuis le VIIe siècle en Europe et dès 721 en France, avec la première grande bataille de notre histoire contre les musulmans à Toulouse. Aujourd’hui, nous devrions considérer cette religion comme une chance pour nous, mais elle n’est pas comme les deux autres grandes religions monothéistes. Tout est dans Le Coran. L’Islam est un projet de société. Les progressistes ne pouvant occulter les revendications toujours plus grandes des musulmans pour modifier en profondeur notre société, ils ont inventé le concept d’Islamisme. Seulement l’Islamisme n’existe pas, il n’y a que des musulmans. Le caractère ochlocratique [du grec “Okhlos”, foule, multitude, et “kratos”, pouvoir, autorité] des populations musulmanes fait qu’elles ne peuvent absolument pas s’intégrer à une population non musulmane et qu’il ne peut y avoir que deux solutions : soit la population indigène non-musulmane résiste et combat, politiquement d’abord, puis physiquement si cela ne suffit pas, et sa terre restera le Dar Al Kufr, “domaine des incroyants”, soit elle cède et sombre dans le Dar Al Islam, “la maison de la soumission”. Pour le moment, nous sommes dans le Dar al Harb, “domaine de la guerre”. C’est pour le moment un conflit de basse intensité, mais cela reste une guerre…

    Justement, la probabilité d’une guerre civile, que vous semblez anticiper, est-elle vraiment envisageable ?
    J’aimerais préciser que ce que je crains n’est pas ce que je souhaite. Mais effectivement, je pense que le contexte économique actuel ne fait qu’augmenter ce risque. Il n’y a qu’à voir la situation des immigrés en Grèce aujourd’hui… La plupart des Occidentaux n’ont pas vraiment de conscience nationale : “Peu importe ce qui se passe dans mon pays tant que ma vie personnelle n’en est pas affectée”. Quand ils ne manquent de rien, ils balaient les discours qui risqueraient de gâcher leur plaisir. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui les Français s’accrochent encore aux programmes à la fois lénifiants et grotesques des candidats socialistes qui promettent de mettre au pas les marchés financiers, de créer des millions d’emplois aidés et d’abaisser l’âge légal de départ à la retraite… Les électeurs veulent y croire et sont prêts à ne pas accorder d’importance au reste du programme du Parti socialiste, c’est-à-dire le droit de vote des étrangers, les régularisations massives et le “changement de civilisation” cher à Madame Aubry… Quand le réel aura frappé, tout cela sera oublié. Certains en feront forcément les frais. Mais il n’est pas trop tard, et il suffit que certaines décisions soient prises pour que la disparition de notre civilisation soit évitée, et sans aucune violence.
     

    D’une colonisation l’autre, Emil Darhel


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  • Le feuilleton Daniel Cohn-Bendit continue de dévoiler les affaires sur la pédophilie parmi les fondateurs historiques du parti allemand des Verts. Un nouveau témoignage issu des rangs des fondateurs des Verts vient accabler encore Daniel Cohn-Bendit directement.

    Des victimes aussi parlent. L’Allemagne est secouée par ce déballage de délits sexuels sur des enfants et voulu politiquement par les responsables politiques des Verts pour assouvir des désirs privés. Le 22 septembre, les électeurs allemands, qui sont devenus hésitants sur leur choix politique et qui avaient l’habitude de considérer le mouvement écologiste comme un parti novateur dans le domaine de la nature, de l’écologie et des droits fondamentaux, vont voter. Cette fois, le parti des Verts risque de prendre un revers historique au point de s’y briser le cou.L’opposition exige des explications claires et précises ainsi que le témoignage des victimes avant les élections.

    Fin mars 2013 – rappel des faits. Le Président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, Andreas Voßkuhle, 50 ans, avait refusé de lire le discours de remise du prix prestigieux Theodor Heuss à Daniel Cohn-Bendit et déclencha le début de la chute médiatique du ténor des plateaux de télévision, Dany le Rouge, qui fut la figure de la Révolution de 68. Le service de presse d’Andreas Voßkuhle expliquait alors : « Le Président ne pouvait pas associer la Cour avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants ». En l’espace de cinq mois, l’image de Daniel Cohn-Bendit a été si ébranlée que l’ancien réfractaire politique, modèle pour toute une génération en France comme en Allemagne, est aujourd’hui assimilé à un pédophile reconnu et dénoncé par une vaste palette d’élus politiques d’outre-Rhin. La plainte au pénal déposé par le réalisateur polonais, Grzegors Braun, contre Daniel Cohn-Bendit, pour pédophilie et les attaques en public faites en Allemagne par des activistes allemands, ont resserré à jamais la corde autour du cou de cette tête historique des Verts et des Grünen. Comme si le sort ne cessait de s’acharner contre Daniel Cohn-Bendit, une autre figure historique des Grünen, qui est aussi avocat, avait déclaré publiquement en avril 2012 qu’il fallait rendre légal les rapports sexuels entre des frères et sœurs, confortant ainsi le malaise au sein du parti des Verts. Dans ces différentes révélations, les lecteurs ont aussi découvert que Volker Beck, autre personnalité politique de la vie Berlinoise des Grünen, avait publié un texte réclamant la dépénalisation des actes sexuels avec des mineurs pour autoriser la pédophilie.

    Volker Beck et Daniel Cohn-Bendit s’efforcent par l’emploi de diverses contorsions rhétoriques de se dédouaner et d’expliquer à qui veut les entendre qu’il ne s’agissait que de littérature ou de provocations correspondant à l’air du temps. Seulement, un autre témoin de ces époques chaudes des nuits allemandes vient de prendre la parole dans les médias et de confirmer toutes ces accusations.

    Des nouveaux témoins …

    la suite de l’article Mediapart

    [l'article ayant subitement disparu, en voici la suite]

    Des nouveaux témoins. Eckhard Stratmann-Mertens, également fondateur du parti des Grünen, qui fut député des Grünen au Bundestag de 1983 à 1985 et de 1987 à 1990 et qui quitta le parti pour des raisons d’éthique sur l’engagement militaire au Kosovo, vient de faire une déclaration à la presse, expliquant qu’il ne croit pas un mot de Daniel Cohn-Bendit. « J’étais aussi étudiant à Francfort-sur-le-Main quand Cohn-Bendit et Joschka Fischer étaient là. J’ai participé aux mêmes manifestations. Et je peux vous dire que je ne crois pas un mot des explications de Cohn-Bendit quand il dit qu’il a fait ses révélations sexuelles avec des enfants dans un seul but de provocation ». Eckhard Stratmann-Mertens explique que durant les réunions du parti des élus Verts, il voyait des adultes avec des adolescents en train de s’embrasser et dit que c’était répugnant. « On aurait dû les jeter du parti bien plus tôt », dit avec regret Eckhard Stratmann-Mertens. D’autres témoins sont d’anciens enfants qui ont vécu dans une commune des écologistes dans le lieu dit de Dachsberg, une ferme en campagne. Un des enfants devenu adulte, aujourd’hui âgé de 46 ans, a parlé des viols sur sa personne pratiqués par les membres de la commune et par un des fondateurs des Grünen, Herrmann Meer, maintenant décédé. « Nous étions plusieurs enfants au Dachsberg. Contre des bonbons, de l’argent, des magazines pornos, des cigarettes, j’ai accepté d’être touché. Je me souviens d’une fille alors âgée de 10 ans qui a des rapports sexuels avec de nombreuses personnes. Elle vit maintenant avec la peur et ne peut plus quitter son appartement ». 


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  • petit poème...

     
    Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
    Nous dire qu’il était nul, qu’on s’était fait avoir
    Que si le blé manquait, c’était pas de sa faute
    Que tout son poulailler dansait d’une patte sur l’autre,
    Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
    Plaçait tous les copains inutiles et avides
    De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
    Que si l’on voulait bien, il n’était pas trop tard
    Pour mettre notre pays au niveau de la Grèce
    Et que de toute façon nous l’aurions dans… les fesses.
    Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
    Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
    Nous dire: bande d’imbéciles, ne perdez pas espoir
    J’ai coulé la Corrèze, je n’en tire nulle gloire.
    Patientez, patientez car je suis-là maintenant
    Pour couler la France aux bons emplacements.
    J’ai pas beaucoup à faire, on m’aide constamment
    Les quarante inutiles s’appliquent à tous moments.
    Et pendant ce temps là, je m’occupe des poules
    Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !
    Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
    Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
    Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
    L’empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
    Le jabot de travers toujours évidemment
    Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
    Bien d’accord sur ce mot, en le coupant en deux
    Sachant depuis longtemps qu’il nous restait les yeux
    Pour pleurer sur la France, vidée, exsangue et nue
    Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
    Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
    Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
    Si l’important pour lui, ce n’est pas le chômage
    Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
    En s’occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés
    Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
    Ceux qui ont voté pour lui, c’est bien pour leur malheur
    Il en a rien à foutre de tous les électeurs
    Maintenant qu’il a la place, il y met tout son cœur
    Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur.
    Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
    Il dit qu’il nous en…fume, qu’on est de bonnes poires
    Qu’ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
    C’est bien fait pour not’ gueule puisqu’on est assez cons
    Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
    Il n’y avait pas de crise, il l’a pas vue venir….
    Le p’tit coq nain de Tulle est un triste vautour
    Il s’est bien déguisé sous de jolis atours.
    Il voudrait nous faire croire qu’il était socialiste,
    Quand lui et ses copains sont tous capitalistes.
    Alors, n’attendez rien de ces tristes fumistes
    Que des impôts nouveaux ajoutés à la liste.
    Un conseil pourtant : gardez quelques écus,
    Achetez de la vaseline et planquez votre cul !

    Liliane de Limoges

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  •  Rigoule pas, ci toi ki kask !...
      J'ai un petit boulot peinard,
     Je dors bien, je me lève tard,
     Pas de rendement, pas d'horaire,
     Pas de patron, pas d'actionnaires,
     Je prêche à tort et à travers
     Des couplets plus ou moins pervers,
     Sans risque de me faire saquer,
     Je suis l'Imam de la mosquée !
     Pas besoin d'aller au turbin,
     J'ai une douzaine de bambin
     Et tous les mois grâce aux fistons
    J'encaisse les allocation
     J'suis un seigneur, j'suis un Imam,
     J'ai le droit d'être polygame,
     Et tous les soirs à la casbah
     Je hisse les voiles sur le grand mat.
     On me laisse faire mon p'tit biz'ness
     Une femme et deux ou trois maîtresses
     Ici c'est cool, c'est le bonheur,
     J’ai le beurre et l'argent du beur !
     J'suis un barbu, j’suis un notable,

     Un protégé, un intouchable,

     Et j'appelle mon avocat,
     Dès qu'on pince mes femmes en Burqa.
     Pendant que les Français turbinent
     Pour nourrir toutes mes concubines,
     Moi je me promène en djellaba
     La France c'est beau comme là-bas !!!!

     

     
      Faire circuler ! L'auteur mériterait d'être connu ....

     


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  • Deux Poids,= Deux Mesures

    Garde à vue, condamnation à des amendes : les 19 Identitaires qui ont osé déployer une banderole « Hollande démission » au siège du PS, le 26 mai dernier, ont déjà payé un max leur action potache. L’ordre socialiste et ses fidèles juges ne pouvaient guère aller au-delà, dans un pays où il est de grande tradition politique d’afficher slogans et autres dessins.

    Dire qu’aux temps « glorieux » du SCALP (Section carrément anti-Le Pen) ou de SOS Racisme, les militants d’extrême gauche allaient souvent beaucoup plus loin que ça… mais ça n’émouvait pas grand monde. Les antifascistes de bac à sable peuvent, on le sait, tout se permettre depuis que de Gaulle n’est plus de ce monde. Avant, c’était clairement plus risqué de faire le mariole dans les rues.

    Certains rétorqueront avec raison que les Identitaires n’ont pas pris dix ans de goulag, mais on ne peut qu’être surpris par la raideur d’une justice par ailleurs plutôt coulante avec les centaines de crapules, celles qui se sont fait violemment plaisir ces derniers mois, du Trocadéro à Trappes, en passant par les wagons de RER. Jetez un coup d’œil sur les suites des faits divers qui s’accumulent : on est bien généreux dans ce pays avec la« diversité ».

    Détail croustillant : la plupart des jeunes condamnés du 26 mai ont confié à la police qu’ils « s’étaient trompés de chemin et qu’ils étaient montés à la terrasse de la rue de Solférino par hasard ». Humour potache, je vous disais ! Rien de bien méchant. Et puis, on voit que ces petits malins ont appris à user des mêmes dénégations absurdes que celles utilisées traditionnellement par la racaille.

    Demandez aux flics. « Jean-Paul » (prenons ce prénom pour ne pas stigmatiser) a beau être pris en flagrant délit de vente de drogue, il maintiendra coûte que coûte qu’il « ne savait pas d’où ça venait ni pourquoi il en avait dans les poches »

    Néanmoins, attention jeunes gens, le pouvoir est tendu en ce moment. N’oubliez jamais que la République garde en son sein l’enfant monstrueux qui s’est réveillé en 1793-94. N’oubliez jamais que la gauche politique est intrinsèquement totalitaire ; Robespierre, Mussolini, Laval, Staline, Mao et autres Pol Pot l’ont abondamment démontré. Si les Identitaires veulent vraiment défier la République, qu’ils gardent en mémoire les Vendéens, finalement martyrisés pour avoir voulu sauvegarder leur liberté. Cette République est capable de tout. En 2013, il n’y aura pas de noyades à Nantes ou de tannerie de peau humaine, mais que les opposants prennent garde. Au début, ce ne sont que des amendes. Ensuite, on détruira votre vie familiale et professionnelle. Un autre jour, ce sera peut-être pire. Mais faut-il renoncer au risque de perdre son âme ?

    Sans doute qu’une grande Vendée spirituelle s’est levée dans les manifs de 2013 et dans les confins du Web. Elle n’est plus à l’Ouest géographique. Elle est au centre du jeu politique. Elle jaillit dans nos veines !

     

     


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  • Durant cet été, Boulevard Voltaire veut mettre à l’honneur des livres qui, nous semble-t-il, sont remarquables pour le constat qu’ils dressent ou les questions qu’ils posent. Des livres dont nous vous avons déjà parlé, pour la plupart.

    Nous vous proposerons donc, chaque semaine, du lundi au vendredi, cinq extraits d’un de ces ouvrages. Et pour poursuivre ce voyage dans les meilleurs des essais de ces derniers mois, des morceaux choisis du livre de Dominique Jamet,Le Mal du Pays (Editions de La Différence)

    L’immigration, en 2013, est-elle une chance pour la France ? La France de 2013 est-elle une chance pour les immigrés ? À ces deux questions, il faut répondre franchement : non.

    Un pays prospère, dynamique, attractif, sûr de lui, peut sans danger et même doit ouvrir en grand ses portes. Et il le fait, bien entendu : la France des Trente Glorieuses, les Etats-Unis hier et demain, l’Allemagne, le Canada, l’Australie aujourd’hui. Mais comment un pays qui se paupérise, qui se fragilise, qui se désindustrialise et qui se radicalise, un pays qui ne parvient ni à employer ni à loger ni à éduquer ni à soigner ni à entretenir ses habitants serait-il en état d’accueillir et de traiter dignement de nouveaux immigrants au moment où notre capacité d’intégration culturelle et notre offre économique, sociale, éducative, locative sont également en cause ? La France n’a présentement à offrir à la masse de travailleurs non qualifiés qui se presse aux portes de l’espace Schengen que de venir grossir le nombre des bouches inutiles ou, dans le meilleur cas, celui des concurrents déloyaux prêts à accepter n’importe quel emploi pour une bouchée de pain.

    La précarité, la prostitution, la mendicité, l’assistance publique, les trafics en tout genre, la délinquance, les centres de rétention, l’asile de nuit, les ponts, les bouches de chaleur, le talus du boulevard périphérique, certes la gamme est étendue, mais la musique est toujours la même, celle de la déception, de l’aigreur, de la déchéance, et elle a pour corollaire l’exaspération de ceux qu’angoisse, qu’irrite ou qu’indigne le spectacle du malheur d’autrui. Peut-on être accueillant quand on ne peut déjà pas fermer les deux bouts, généreux quand on est endetté, charitable quand on est dans la mouise, hospitalier quand on est SDF ?
    (…)

    La tâche qui nous incombe à domicile est immense : rétablir nos finances, apurer notre dette, réindustrialiser la France, loger les sans-logis, employer les sans-emploi, intégrer tous ceux qui, en 2013 comme en 1958, peuvent douter d’avoir une patrie, ou que cette patrie soit la France, reconquérir les cités tombées en déshérence, rétablir l’ordre public, réinventer l’école. Dans les circonstances présentes, il faut avoir le triste courage de fermer le robinet de l’immigration subie, de l’immigration indésirable. On ne charge pas une barque qui fait eau de toutes parts. J’ai lu bien des récits du naufrage du Titanic. Je ne me souviens pas que, dans aucun d’entre eux, après avoir heurté l’iceberg fatal, le paquebot ait embarqué de nouveaux passagers.


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  • Le halalgoogle est né…

    Même Mahomet ne l’aurait imaginé et pour cause ! Qu’en pensent nos adorateurs du « vivre ensemble »? La volonté des islamistes de couper leur société de la nôtre, de nos cultures, de l’Occident, de Europe, de notre société française, républicaine et laïque est patente. Ainsi donc, il y aura des populations entières qui se verront interdites d’accès à des sites, des forums, des magasins, des blogs… déclarés haram (illicites d’un point de vue religieux).

    Quel est le Manuel Valls qui ne pourrait pas être choqué par cette volonté de séparation des français en fonction de leurs croyances?

    Quelle est la Christiane Taubira qui ne se sentirait pas offensée qu’elle soit supprimée des moteurs de recherche parce que non voilée, trop masculine, trop autoritaire, bref trop mec de pouvoir alors que la femme doit-être soumise à son mari et « trouver le paradis sous ses pieds« .

    L’islamisation de nos sociétés est bien réelle et c’est la lâcheté de nos dirigeants qui l’encourage. Si ce n’est pire car être lâche fait partie de la condition humaine, mais n’est-ce pas aussi de la cupidité ? La traîtrise est la pire des choses…

    En attendant nous voyons sous nos yeux les tentacules d’une société totalitaire qui s’avance sous le masque de la religion. Ils s’avancent vers vous  en habits de bergers. Mais sous les habits, ce sont des loups féroces disait saint Mathieu

    *****

     Il est enfin là! Le Google musulman !

      La version bêta de Halalgoogling sortie le 7 juillet. Le nec plus ultra de la censure Google pour les  croyants coraniques. Surfer en sécurité avec le moins  d’influence du monde des infidèles impurs. La tâche pour tous les utilisateurs musulmans est : Trouver le Haram et le signaler à la Schariafilter peut être encore plus efficace. Après le  Facebook halal, appelé salamworld.com et le MFB – Muslim – Islamic -Facebook,  vient donc désormais le moteur de recherche haram google : Halalgoogling. Il se décrit ainsi : Notre vision est d’être le seul moteur de recherche numéro un dans la communauté musulmane. Tout le monde a le droit de profiter des possibilités offertes par l’Internet pour profiter,  apprendre ou travailler. Les fruits de réalisations scientifiques, références diverses pour récupérer des informations techniques aux échanges dans divers produits ou offrir des services, etc…. Toutefois, nous devons respecter le droit à nos opinions, nos mœurs et les intérêts de nos frères et sœurs du monde entier. Nous sommes ici pour s’assurer que le contenu ne viole pas les principes de la religion islamique.

    Halalgoogling utilise un système de filtre spécial, les sites Web Haram (interdit) exclu le  contenu des résultats de recherche tels que la pornographie, la nudité, gay, lesbienne, bisexuel, le jeu, le contenu anti-islamique, et tout ce qui est haram selon la loi islamique ne peut  pas être affiché. Les utilisateurs sont même priés de signaler les contenus qui sont interdits par la Charia, de sorte que ceux-ci peuvent ensuite être bloqués immédiatement. Par exemple si quelqu’un  recherche   »sex toy », l’utilisateur reçoit le message  : »Aucun résultat trouvé ou vous avez cherché du contenu Haram (interdit) » .

    Vous avez dit vivre ensemble ?

    Gérard Brazon


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  • Souvent présenté comme le meilleur modèle pour nos sociétés, le multiculturalisme est en train d'échouer. Car pour pouvoir cohabiter paisiblement avec l’Autre, il faut d’abord être en accord avec soi-même, ce que l'Europe peine à faire, explique le philosophe polonais Marcin Król.

    Depuis les années 70, le multiculturalisme était non seulement une réalité dans des pays comme les Etats-Unis, mais également une norme. Il fallait le soutenir par la promotion de la diversité, qui ne manquait pas de charme. Il fallait aussi le respecter, car il était l’expression des “identités” variées de divers groupes sociaux, en particulier nationales et tribales, mais aussi sexuelles et générationnelles.

    A un certain moment, le nombre de publications et de conférences sur le “Multikulti” a dépassé toutes les limites du raisonnable, et de nombreuses personnes (moi y compris) ont commencé à ironiser sur cette nouvelle mode, voire sur cette obsession.

    Cela dit, on s'aperçoit maintenant qu'un multiculturalisme modérément dosé était finalement mieux que les deux phénomènes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui. La première tendance consiste à remplacer le multiculturalisme par une acceptation inconditionnelle de tous les phénomènes culturels, quels que soient leur origine et leur contexte politique, religieux, social, ou spirituel. En d'autres termes, les romans scandinaves, les films iraniens, la musique indienne et la médecine orientale sont tous aussi bons. “Tous aussi bons” signifie aussi que nous manquons d’une échelle de notation relative à notre culture (européenne), mais que tout ce qui est bon est bon, même si ne savons pas pourquoi.

    La seconde menace pour le multiculturalisme, c’est le monoculturalisme étroitement associé aux idées nationalistes, intellectuellement maladroites, mais étonnamment porteuses. Dans une certaine mesure, le multiculturalisme a émergé justement par opposition au monoculturalisme. Mais le nationalisme n'est pas l’unique adversaire du multiculturalisme. L’hostilité envers les autres cultures et civilisations est de plus en plus visible à travers les enquêtes menées au sein de communautés d’immigrés dans différents pays européens. De même que dans les discours, parfois officiels, des dirigeants de certains pays musulmans.

    Une question de proximité

    La plus grande vertu de l'idée de multiculturalisme, largement sous-estimée pendant ses heures de gloire, était certainement la conscience d’une multitude des cultures et de leur différence. Certains poussaient l’analyse un peu loin en prétendant que ces multiples cultures étaient non seulement différentes, mais aussi complètement équivalentes, ou tout aussi précieuses.

    Chacune des cultures représente ou promeut des valeurs spécifiques

    Sans vouloir défendre une quelconque idée européocentriste, reconnaissons toutefois que l'existence de nombreuses cultures et l'acceptation de cette existence, n’empêche pas que notre culture nous est naturellement plus proche, ou du moins devrait l’être. Chacune des cultures représente ou promeut des valeurs spécifiques, auxquelles, pour certaines d’entre elles, nous ne pouvons tout simplement pas adhérer, en tant qu’Occidentaux. Par exemple, la législation à l’égard des femmes dans certains pays musulmans, ou des pratiques culinaires consistant à manger, dans certains pays d'Extrême-Orient, nos chers animaux de compagnie.

    De manière intéressante, le post-multiculturalisme se développe de plus en plus dans les sociétés qui font face à des problèmes très difficiles, et parfois encore non résolus, liés à la diversité culturelle.

    Il s’agit d’abord des immigrés qui, bien que travailleurs et indispensables, n’ont aucune intention de participer à la culture ou à la politique du pays où ils résident. Cela crée un vrai problème, non seulement parce qu'on leur doit les mêmes prestations qu'au reste de la société (éducation, santé), mais également parce que personne ne dispose des outils de leur intégration dans la communauté, de façon à ce qu'ils aient les mêmes droits et devoirs que les autres citoyens.

    Ce phénomène est particulièrement visible aux Pays-Bas, mais aussi en Allemagne, et en France. L’expérimentation faite par certains pays de diverses formes de contrainte souple (par exemple l’apprentissage de l’histoire du pays), ne séduit ni par le fond, ni par son efficacité.

    Après tout, certains immigrés, en particulier les musulmans, viennent de pays qui encouragent ouvertement une position anti-occidentale. Pourquoi deviendraient-ils subitement des hommes et des femmes d'Occident ? Pourquoi devraient-il soudainement devenir des Occidentaux ? Pouvons-nous nous permettre cette présence par millions ? Personne en Europe n’ose donner de réponse claire à de telles questions, el les rares qui le font son immédiatement – et justement – rejetés comme radicaux, condamnés et parfois même accusés de racisme ou de fascisme.

    Gravité de la situation actuelle

    Si, comme le prétend Samuel Huntington avec son “choc des civilisations”, les différences culturelles sont un fait et peuvent se transformer en complète hostilité, quel est donc le sens du multiculturalisme, et même de la tolérance ? Devrons-nous considérer nos ennemis potentiels comme des concitoyens, sinon comme des frères ? Ne vaut-il pas mieux revenir à nos racines, à nos mythes, nos symboles, nos traditions non plus européennes, mais bien nationales ?

    Mais rapidement, on s'aperçoit qu'en réalité on ne peut s’accrocher à rien. Même si les œuvres culturelles des territoires européens jusque-là peu connus émergent, tels les thrillers suédois, ce retour à la tradition ne sert qu'à explorer la collaboration des Suédois avec l’Allemagne nazie. La vérité est que les mots plein de fierté sur les racines européennes sont généralement aussi fiers que vides.

    Une observation psychologique au quotidien montre que l'on est plus à même de trouver un consensus avec les autres si nous sommes à l’aise avec nous-mêmes. Le phénomène du post-multiculturalisme résulte du fait qu’en Europe nous ne sommes pas à l’aise avec nous-mêmes et que nous ne savons pas comme traiter cet inconfort.

    Aucune des méthodes antérieures ne semble être applicable : ni la division du monde entre "nous" et "les autres barbares", ni la fascination des Lumières pour les "rouges et noirs", en tant que merveilles de la nature, ni le fardeau impérialiste de "l'homme blanc".

    Le multiculturalisme était bien la dernière tentative raisonnable, certes parfois exagérée, pour tenter de résoudre ce malaise. Aujourd'hui, la situation est bien plus grave: soit nous décidons que les autres n'existent pas, soit qu'il faut leur barrer le chemin physiquement et spirituellement, ce qui ne peut conduire qu’au désastre.  

    Traduction : Lucyna Haaso-Bastin

    Prenez le temps de lire ci-dessous

    multiculturalisme_en_question.pdf


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  •  

     

                          
            
    NOUVEAUX BILLETS DE BANQUE 
    On se souvient que le billet de 100 francs sur lequel figurait le tableau de Delacroix"La liberté guidant le peuple"  avait été interdit d'entrée sur le territoire de la République Islamique d'Iran à cause de l'exhibition de seins nus. Il était même vivement "déconseillé" aux bons musulmans de toucher ces billets impurs. 
      
    Ainsi donc les musulmans ne doivent pas voir des femmes nues.
      On dit même que les vrais musulmans devraient se suicider s'ils voyaient une femme étrangère nue !
     Pour cela les Canadiens ont, dans leur combat antiterrorisme musulman, mis en circulation de nouveaux billets de banque. 
    Quand notre euro suivra-t-il cet exemple ?? 

                    Voici un prototype pour l’euro ... 
      
    Vous voyez ... la solution est simple !Et ... au moins ils ne toucheront plus à notre argent !Il y en a un autre qui devrait faire fureur  
     
      

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  • Ou l'on reparle de la possibilité d'un attentat

    Retour en Ile-de-France en plein ramadan : comment ne pas être haineux ?

    Me voici revenu de mes vacances morvandaises, là où en – 52 avant J.-C., Vercingétorix fédéra les tribus gauloises pour combattre l’envahisseur romain. On connaît la suite : la Gaule conquise devint gallo-romaine et prospéra.

    Là-bas donc, entre deux grandes collines verdoyantes, sous un ciel clair dominé par quelques rapaces (utiles à la nature ceux-là !), sans internet ni la télévision, avec juste la presse comme source d’information, j’ai pu à loisir constater l’abomination parfaire sa conquête. Et si je remercie Rome pour son inestimable apport à mon pays, je maudis le Croissant qui n’offre aux miens qu’une traînée de sang et de ruines.

    Suis-je haineux ? Oui. Pourquoi ? Parce que même en vacances, dans l’une des rares parcelles du territoire où je ne suis pas obligé de supporter physiquement le poids de l’islam, il ne s’en impose pas moins violemment à moi.

    Le 13 juillet, lendemain de la catastrophe, j’apprends qu’un train en direction de Limoges déraille. C’est déjà choquant, surtout chez nous dont le réseau ferroviaire est l’un des plus sûrs du monde. Mais le pire est à venir. Je n’arrive pas à croire ce que je lis : des bandes ont pillé des cadavres, à la manière du père Thénardier sur le champ de bataille de Waterloo. Les morts, même ça ils ne le respectent pas !

    Oh, j’avais bien vu les tombes chrétiennes et juives détruites par les libyens après la chute du régime de Kadhafi. Je croyais donc savoir à quoi m’en tenir. Je me trompais : les familles des victimes n’étaient pas encore informées du deuil qui les attendait qu’on profanait déjà leurs dépouilles. Evidemment, cette atrocité a été ramenée à la portion congrue de « bêtise de jeunesse » par des ministres de plus en plus odieux à la vraie France ! Et quand ils ne pillaient pas, certains filmaient la scène sans porter secours.

    Samedi 20 juillet, sur la route du retour, je n’ai pas encore digéré Brétigny que c’est autour de Trappes d’exciter ses hordes. On a donc « osé » faire appliquer la loi française (que Taubira et Valls ne sont pas capables de respecter avec leurs menaces répétées contre les enfants de France) en tentant d’appréhender une fanatique intégralement voilée ! Là encore, son mari, après avoir exercé des violences sur les forces de l’ordre, sort libre, « sous contrôle judiciaire », autant dire sans aucune contrainte. Cela n’empêche pas le feu de brûler, comme autant de blessures infligées à notre terre.

    Aujourd’hui, 21 juillet, j’apprends que les chances qu’une éclisse (barre de métal d’environ dix kilos servant à relier les rails entre eux) perde tous ses boulons et soit ensuite « malencontreusement » projetée entre deux rails sont très minces. L’expert de la SNCF en personne ne comprend pas, affirmant au passage que les boulons mis sous scellés ne sont pas les bons. Je n’irai pas plus loin dans les conjectures, mais je crains de plus abominables révélations…

    C’est ainsi que je suis retourné en Ile-de-France, en plein ramadan, c’est-à-dire l’époque où les musulmans sont les plus incontrôlables, écrivait jadis Maupassant. C’est dire à notre époque !

    Charles Demassieux

    Le gouvernement interdit l'existance de certains groupuscules d'extrème droite, mais est impuissant quand il se doit de supprimer sur le territoire Français, des sectes fanatiques , telles les Antifas et les Musulmans .


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  • Horreur, la rue n’appartient plus à la gauche !

    boulevard-voltaire-manif-pour-tous 

     

    Le 28 juillet 2013 

    Jean
    Aubanel
    Agrégé de l'Université.

    Passé presque inaperçu, le choix musical de l’armée ce 14 juillet. Devant l’aréopage des personnalités, l’orchestre de la Garde républicaine et le ténor Florian Laconi ont interprété « Paris en colère ». Choix délibéré ou coïncidence extraordinaire ? Je n’en sais rien. Toujours est-il que l’été promettait d’être chaud ; il est brûlant.

    Alors que les Khmers roses, tout confits dans leurs roideurs idéologiques, espéraient fébrilement que la contestation allait s’évanouir dans la torpeur de l’été, ils s’aperçoivent avec effroi qu’il n’en est rien. Pire : le mouvement gronde et grandit. Surtout, il se radicalise.

    Le pouvoir socialiste a commis l’exploit de réveiller une flamme que tous, à gauche comme à droite, croyaient éteinte. Après tant d’années de compromissions, de renonciations, d’accommodements, de honte de soi, d’affadissement interne ! Tant d’années à encaisser la domination morale des fossoyeurs de la nation et autres indignés sur commande ! Ils auront tout essayé, et pourtant ils n’ont pas réussi. Et pour la première fois depuis longtemps, de nombreux Français se mettent à éprouver une étrange espérance et une curieuse fierté.

    Un mouvement est lancé, précis comme un mécanisme d’horlogerie et aussi implacable qu’un raz-de-marée : Manif pour tous, Printemps français, Hommen, Veilleurs debout, Tour pour tous… Les initiatives se multiplient.

    Le pouvoir ne comprend pas. Il n’est pas capable de comprendre. Depuis 1945, la rue appartient à la gauche. L’intelligence appartient à la gauche. La morale appartient à la gauche. Le bien, c’est la gauche, et la gauche, c’est le bien. Comment peuvent-ils concevoir, ces héritiers des Jacobins et bolcheviks, que quelque autre pensée ait voix au chapitre ? Quelle perplexité doit les saisir quand ils voient l’entêtement d’une France bien élevée qui ose relever la tête ! Oui, Paris est en colère !


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  • La Défense-Trappes, symboles infâmes de la trahison des Français convertis à l’islam

    Si aujourd’houi l’islam est au dessus des lois en France, c’est parce que la République est elle-même en deçà de ses propres loi et ne fait rien pour se prémunir contre la montée inquiétante du péril musulman.

    Plutôt que de sévir contre les conversions de ses enfants mineurs à l’islam, ce qui doit être assimilé à un détournement d’enfants mineurs et mise en danger de leur état de santé mentale, elle laisse faire faire l’islam dans son entreprise de propagation de son sel antirépublicain en inoculant le virus de la haine de la France dans le coeur des français censés être nourris au biberon de l’amour de la France.

    N’est-il pas curieux que ceux qui donnent en fin de compte du fil à retordre à la république e qui lui témoignent le plus d’aversion ce sont les français convertis à l’islam par les gourous qui prolifèrent dans les enclaves islamiques de France ?

    La question de fond que la république doit plus que jamais se poser : pourquoi mes propres enfants devenus musulmans voient en moi l’ennemie à abattre ?

    Ignorant ou feint de l’ignorer que ces néo musulmans sont avant tout un cépage républicain, quand bien même le terroir où il a été cultivé n’est pas propice à une culture de vin de caractère, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’une piquette républicaine et l’expression majeure de l’échec de la V e république dans la formation à la citoyenneté et au patriotisme.

    Aucune république ne peut se bâtir sur un socle antipatriotique et anticivique, c’est pourquoi ces néo-convertis sont le témoignage vivant que c’est la république elle-même qui engendre sa propre lie, ses cellules cancéreuses qui ne vont pas tarder d’évoluer en cancer à l’état de métastase.
    Véritables symboles de son état de déliquescence, elle doit soit traiter le mal à ses racines, se débarrasser de cette gangrène évolutive, soit disparaître.
    Elle doit pour commencer revoir de fond en comble son système éducatif qui prend de plus en plus les allures d’une Madrassah afghane.

    Ce n’est pas en bannissant la viande de porc des cantines scolaires par exemple que l’on éduque les enfants à la citoyenneté et aux valeurs de la république.

    Elle se doit aussi de réformer son code de nationalité, en prenant en compte la faible adhésion de beaucoup de musulmans aux lois de la république qu’ils jugent comme imparfaites et qui rêvent de leur substituer les lois de l’islam considérées comme parfaites.

    De même qu’il y a une nécessité d’urgence absolue de lier les conversions de ses propres enfants à l’islam à leur rejet de la patrie et la haine farouche qu’ils lui vouent.

    La République doit mener un véritable travail d’investigations et de questionnements sur la nature politique et idéologique desdites conversions synonymes aujourd’hui de détestation de la France et de haute trahison, annonciateurs d’un climat pogromesque qui se profile dans son horizon.

    Pourquoi ce sont ses propres enfants devenus sectateurs d’un islam belliqueux et envahisseur qui la frappent dans sa chair comme lors de l’assassinat raté du militaire à la Défense, le gang de Roubaix, ou la tentative de molestation de la police républicaine à Trappes par un français d’origine converti à l’islam, qui s’était opposé violemment au contrôle d’identité de son épouse française voilée intégralement tombée elle aussi dans les mailles de filet du sectarisme musulman ?

    Toute politique de compromis à l’égard de l’islam ne peut mener qu’au suicide programmé de la France.

    En effet, à vouloir trop lâcher du leste et ménager la susceptibilité de l’islam pour mieux s’adapter à ses exigences antirépublicaines plutôt que de lui imposer l’inviolabilité de ses lois et le respect total et absolu de l’idéal républicain pour lequel le sang de France a coulé, elle est la première à les transgresser.

    Elle doit savoir que l’islam ne peut respecter une république qui ne se respecte pas elle-même et que le seul langage que cette pseudo religion comprenne est celui de la fermeté et de l’intransigeance.

    Salem Benammar


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  • En Espagne, lorsqu’un train déraille, on ne caillasse pas les secouristes, on ne dépouille pas les victimes

    En Espagne, lorsque un train déraille, les autorités déclenchent immédiatement une enquête, affirmant que la cause de la catastrophe, même si elle parait claire, n’est encore qu’une supposition.

    En France, lorsque un train déraille, les autorités déclarent d’emblée qu’elles ont des certitudes sur l’origine du drame, que l’enquête viendra en son temps et que, partant, les curieux sont invités à se disperser et le peuple à retourner à ses besognes coutumières.

    En Espagne, lorsque un train déraille, les journalistes font dans l’instant qui suit le travail qui leur est propre : décrire les faits et interroger les gens.

    En France, lorsque un train déraille, la presse semble n’avoir pour premier objectif que le relais fidèle de la parole officielle, jusqu’à la négation de ce qu’elle est censée représenter pour la simple information du public.

    En Espagne, lorsque un train déraille, les citoyens se précipitent vers les camions de don du sang pour offrir à leurs semblables la survie immédiate.

    En France, lorsque un train déraille, des témoins ricanants observent les agonies en pensant à la chaleur qui va les pousser vers les terrasses où l’on se gave de coca halal et autres saletés à faire des obèses.

    En Espagne, lorsque un train déraille, les valides se précipitent vers les victimes pour leur porter assistance, prodiguer les premiers soins, tenir sur un fil des vies qui s’en vont entre leurs mains, sous leurs lèvres.

    En France, lorsque un train déraille, des bêtes sauvages surgies d’improbables jungles se ruent sur les mourants pour les débarrasser de ce qui peut éventuellement se monnayer au marché aux voleurs.

    En Espagne, lorsque un train déraille, les sauveteurs accourus sont immédiatement épaulés par une armée de bénévoles.

    En France, lorsque un train déraille, les mêmes sauveteurs sont accueillis à coups de pierre pendant que meurent ceux qu’ils tentent d’approcher pour les sauver.

    En Espagne, lorsque un train déraille, la compassion réunit autour du carnage ceux qui veulent en faire plus, aider par la prière, le don, la parole, la présence ; le roi à la hauteur du manant, le prêtre à celui de l’athée.

    En France, lorsque un train déraille, des pantins déplorables maquillés pour le 20h, mâchoires serrées, verbe haut, viennent affirmer des choses que l’on est sommé d’avaler comme on le fait d’une purge.

    En Espagne, lorsque un train déraille,le deuil national est décrété.

    En France, lorsque un train déraille, on s’inquiète pour les premières sorties du PSG.

    En Espagne, lorsque un train a déraillé, on saura bientôt le comment, le pourquoi, enfin, tout.

    En France, lorsque un train a déraillé, il faudra des semaines, des mois, pour que paraisse, frêle floraison que le moindre souffle pourra briser, la vérité, et encore, parcellaire, malaxée de l’état de boule à celui de crèpe étale, comme une pâte à pizza.

    En Espagne, lorsqu’un train a déraillé, l’honneur des gens est dans la fraternité avant toute chose.

    En France, lorsque un train a déraillé, il est dans la boue du secret, de la dissimulation, de la manoeuvre politique et du mensonge.

    En Espagne, lorsque un train déraille, l’unité du peuple se fait d’instinct autour du charnier et l’on nomme cela civilisation.

    En France, lorsque un train déraille, les failles se creusent au fond desquelles s’écrasent les sentiments humains les plus basiques et l’on nomme cela barbarie.


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  • Qu’est-ce que la Charia? Quelles sont ses origines ? Et pourquoi la question est d’importance ?

    La Charia islamique est un système de lois. C’est un ensemble d’interdits, d’admonestations et d’ordres dont l’objet est le comportement de l’homme. La Charia n’est pas une donnée interne qui intéresse uniquement l’islam et les musulmans. La Charia inclut  un grand nombre de dispositions concernant les non-musulmans. Celles-ci   sont généralement des interdictions assorties de pénalités sévères si elles sont violées. Ces dispositions de la Charia rendent la vie précaire et incertaine pour le non-musulman vivant sous la loi de la Charia.

    Sous la loi de la Charia le non-musulman ne possède aucun droit inaliénable. Si je me trompe sur ce point, je serais soulagé et heureux qu’on me le dise, et vos e-mails me signalant que j’ai tort, seront les bienvenus. Mais si j’ai raison, un prisonnier de  Guantanamo possède plus de droits qu’un juif ou un chrétien vivant sous la Charia.

    A l’inverse des systèmes légaux de la plupart des nations et états modernes, la Charia n’est pas assujettie à l’approbation démocratique.
    Au même titre que la loi internationale et la loi rabbinique, la Charia est une affaire académique : des experts discutent et débattent de réglementations jusqu’à ce qu’ils parviennent à un accord. La Charia ne connaît ni parlement,  ni gouvernement qui tienne  le rôle de législateur, mais les lois de la Charia existent parce qu’elles sont approuvées  par des experts, c’est-à-dire des chefs religieux islamiques, des professionnels de l’islam, les Oulemas, les Ayatollahs, ou n’importe quelle autre appellation pour ces dignitaires.

     

     

    Comme moi, vous êtes en majorité très peu au courant des lois internationales.  Les exigences  des règlementations internationales ne sont jamais soumises au vote libre et démocratique. Il fut intéressant, c’est le moins que l’on puisse dire, de constater  qu’ à maintes reprises, les accusateurs de Geert Wilders en 2010 et 2011 eurent recours à ce qu’ils considéraient comme généralement accepté en matière de lois internationales pour faire taire Geert Wilders. Comme le démontre la loi internationale, les communautés de spécialistes académiques, dans leur tour d’ivoire, ont une tendance à développer un niveau de pédanterie  qu’un législateur élu ne pourrait avoir. D’une certaine manière, c’est exactement ce qui se passe avec la Charia.

    Les religions ne sont pas démocratiques même si elles peuvent parfois prêcher ou tolérer la démocratie.  De ce fait, la manière dont les règlementations de la Charia en viennent à exister  est antidémocratique. Ceci implique que permettre à la Charia ou une partie de la Charia d’être la loi dans une nation occidentale, revient à affaiblir le caractère démocratique de la nation. Cela signifie perdre le pouvoir législatif et le remettre à des individus non élus et auto-proclamés, qui sont inconnus et anonymes, qui opèrent depuis de lointaines mosquées au Pakistan ou en   Afghanistan. Ce n’est pas l’organisation idéale pour une démocratie.  On peut avoir des raisons religieuses légitimes de préférer néanmoins cette organisation mais elle entraîne quelque chose de pire que la taxation sans la représentation ; elle entraîne la législation sans la représentation.

    Les politiciens occidentaux ne prennent pas les lois de la Charia trop au sérieux, parce que c’est un domaine académique et religieux, un système de lois qui n’émerge pas de la puissance de l’état mais de l’esprit de savants religieux. Dans le monde musulman, au contraire, l’autorité de la Charia est accablante.  Le prestige colossal de la Charia dans le monde musulman est facile à expliquer : la  théologie islamique identifie les lois de la Charia à celles de Dieu ; et les spécialistes de la Charia sont les dirigeants religieux de la communauté musulmane. Aucun gouvernement dans le monde musulman ne peut se permettre de s’aliéner ces spécialistes  des doctrines religieuses s’il veut conserver le pouvoir.

    Chaque  pays islamique nourrit son propre équilibre entre son gouvernement et ses experts religieux. Cet équilibre stable est la source de dissertations de doctorants en thèses d’état.  Si la plupart des pays islamiques possèdent un système législatif influencé par la Charia, il n’est néanmoins pas identique  en tous points  aux lois traditionnelles de la Charia. Pour les dirigeants des mouvements islamistes radicaux cette non-conformité de la législation avec la Charia est une source permanente de ressentiment.  Le plus petit écart entre la Charia et la législation du pays alimente sans cesse leur machine à propagande étant donné que cette différence fournit la preuve qu’un législateur humain a voulu prendre la place de Dieu et tente d’améliorer l’œuvre divine, ce qui constitue un blasphème car Dieu doit rester le seul donneur d’ordre.

    La Charia n’est pas un système de jurisprudence développé dans les cours de justice. C’est le produit des délibérations qui ont lieu entre savants et  non pas le résultat des  questions pratiques débattues par les juges, les avocats, les avoués, les procureurs ou les défenseurs.En conséquence, la Charia est pauvre dans ses attendus. C’est un modèle théorique, un système  abstrait de lois sorti tout droit des académies. Tout ceci explique la plupart de ses faiblesses.

    Il n’en reste pas moins que la théologie musulmane prétend que la Charia est d’essence divine. Si des nouvelles questions inédites surgissent et pour lesquelles la Charia doit fournir une réponse, les spécialistes de la Charia, du moins en théorie, doivent émettre une solution qui est fondée sur quatre principes, ou « racines » de la Charia. Ces quatre principes reviendront sur la table sans fin dans toutes les discussions concernant la Charia.  Ce sont le Coran, les Hadiths, les analogies et le consensus.

    Le quatrième fondement, agrément ou consensus est pour ce qui concerne toutes les questions pratiques le critère le plus important. Une fois  le consensus acquis, il devient inutile de consulter d’autres sources. Théorie et théologie, cependant  attachent la plus grande valeur à l’autorité du premier des fondements, le Coran, mais en pratique l’énoncé du Coran peut nécessiter un ajout ou être interprété par les autres sources ou par un autre passage du Coran lui-même.

    Ici nous sommes en face d’un principe important provenant à la fois de la loi de la Charia et de l’interprétation du Coran. C’est le principe d’ ‘abrogation’ –  ‘naskh’ en arabe -  qui est souvent mal compris. ‘Abrogation’ signifie qu’un verset du Coran qui fut révélé plus tôt, peut être rejeté ou ‘abrogé’ par un verset écrit plus tard. Parfois même un élément de l’une ou l’autre des trois autres sources  peut abroger le contenu d’un verset du Coran. Les savants musulmans analysent tous les cas possibles en profondeur.

     

    L’exemple le plus célèbre d’abrogation est un sujet d’inquiétude pour le nom musulman : l’abrogation de la sourate 109, une sourate de  la période mecquoise qui prêche la tolérance religieuse.  Cette sourate est abrogée par les versets plus tardifs de la période de Médine qui ordonnent aux musulmans de combattre et de tuer les incroyants où qu’ils se trouvent.

    Quels que soient les problèmes rencontrés par les penseurs de la Charia, dans quelques générations, ceux-ci mettront au point un agrément; suivant en cela  la directive de Mohammed  selon laquelle  ‘Dieu ne peut permettre que son peuple s’entende sur une erreur’ : ‘ lan tagtami? ummatii ?alaa dalaal’.

    Cette  importante directive joue un rôle central dans le système de la Charia. Son application donne un nombre imprévu de conséquences.  Abolir une règle de la Charia pour  laquelle un consensus a été acquis, implique que la Oumma de Mohammed est dans son tort. Mais selon le prophète de l’islam, cela ne se peut pas. En conséquence, il est hors de question de revenir sur des règles dès lors qu’elles sont admises par consensus. Les cas sont nombreux où cette disposition crée des difficultés et des désordres. On peut en juger par les punitions de la Charia pour apostasie, adultère ou vol.

    Un exemple célèbre d’abrogation est l’interdiction de consommer du vin. Dans ses premiers versets le Coran parle du vin en bons termes ; plus tard il interdit le vin. Mais comment savoir quels versets  sont venus  en premier ? Nous ne pouvons  l’apprendre que de la bouche des experts de la Charia. Comment le savent-ils ? Et bien, puisque le vin est interdit, le verset qui interdit le vin doit être postérieur à celui qui en fait l’éloge. Un œil critique démontrera la circularité du raisonnement, mais aux yeux des musulmans traditionnels,  l’interdiction bénéficie du soutien du Très Haut  ce qui confirme bien  qu’ils seraient désorientés sans la science et le savoir de ces experts  qui représentent l’autorité de l’islam.

    Les amis de l’islam voient dans la prétendue flexibilité de l’islam un indicateur de son caractère libéral et humain. Mais ceci est une erreur. Les lois flexibles ne sont pas humaines mais dangereuses, étant donné que les citoyens ne savent pas  pour quelles raisons ils peuvent être arrêtés et exécutés. La loi islamique pour autant qu’elle est flexible, est rigide sur un grand nombre de points. Agrément, consensus, voilà sur quoi le système est construit. Aucun désaccord de taille n’existe sur les points de loi qui incombent au non- musulman, quels que soient les arguments des amis de l’islam. Ne pas respecter sa majesté Mohammed, le prophète de l’islam est généralement considéré comme un crime capital.  Si les cours de justice ou les gouvernements n’exécutent pas l’offenseur,  des volontaires spontanés et informels peuvent considérer parfaitement justifié de prendre cette tâche à leur compte quel que soit le prix qu’il puisse leur en coûter personnellement.

    Les savants modernes occidentaux ont mis en doute les origines de la Charia. Ils pensent que la Charia est la continuation de la loi romaine provinciale comme elle était appliquée dans l’empire romain au Moyen-Orient à la veille des conquêtes arabes. Beaucoup de savants du 20ème siècle ont écrit à propos de la relation entre la loi romaine et la loi islamique. Il est facile de voir que le personnage du mufti est la continuation  du savant de la jurisprudence bien connu de la loi romaine  et d’autres exemples abondent.

    La forte influence de la loi talmudique rabbinique sur la Charia est indéniable et ce n’est pas un miracle puisque le Talmud et la Charia sont apparus l’un et l’autre à peu près à la même époque en Irak entre le 7ème et le 9ème siècle de notre ère.  Les Fatwa sont bien sûr l’exact équivalent fonctionnel du ‘Teshuvot’ rabbinique et de la ‘Responsa’ de la loi romaine.

    Les musulmans croient que leurs spécialistes religieux ont tiré les règles de la Charia de ces quatre sources : le Coran, les Hadiths, l’Analogie et le Consensus. Cependant les savants modernes occidentaux en sont venus à croire que les règles de la Charia ne sont pas tirées de ces quatre “racines” mais que ces règles et leurs attendus  furent rattachées  à ces quatre “racines” à postériori. Ceci est matière à des sujets de recherches pour les étudiants en doctorat.  Ces questions académiques, cependant,  ne devraient pas retenir notre attention ici, nous avons un devoir bien plus important : expliquer pourquoi nous devrions nous concentrer sur la Charia et pas sur le Coran, ni sur Mohammed quand il s’agit de nous défendre  contre les ravages de l’islam.

    La communauté  savante moderne occidentale a fait de grands progrès depuis un siècle sur ses connaissances du  Coran et de la vie de Mohammed.  En conséquence les positions traditionnelles concernant Mohammed et le Coran se sont révélées intenables.

    Que Mohammed ait réellement existé, est plus incertain que jamais. Deux siècles de patientes recherches ont crée de sérieux doutes sur la réalité historique du  prophète de l’islam. Ces doutes ne seront pas évacués  même si le nombre des académies qui travaillent sur ce sujet est faible voire insignifiant.

    L’image générale que le  Coran et la tradition islamique offrent du contexte dans lequel Mohammed travaillait – d’abord comme prophète, ensuite à la fois comme prophète et  homme d’état – l’image  générale de La Mecque et de Médine au début du 7ème siècle de notre ère n’est pas confirmée par les résultats des recherches archéologiques et les inscriptions, du moins celles dont on dispose.
    Ceci bien sûr peut changer si les recherches progressent mais ce n’est pas un bon signe, en particulier si on considère que ce qui a été trouvé, à première vue semble contredire les points de vue traditionnels.

    La tradition littéraire concernant la biographie de Mohammed ressemble surtout à une accumulation disparate de sermons qui se contredisent mutuellement mais qui néanmoins cherchent tous à persuader  l’audience qu’un certain Mohammed a été le messager de Dieu. Les écrits qui ont été conservés ne sont pas conformes à du matériel  historique. Ceci n’est pas nécessairement néfaste, mais ce n’est pas un bon signe. La numismatique ne confirme pas la version officielle de l’islam de la première période de son histoire. Ceci en soi n’est pas décisif, mais ce n’est pas un bon signe. Il y a des décalages entre ce que nous savons du calendrier ancien arabe et les histoires rapportées sur Mahomet. Ceci n’est pas nécessairement  sans appel, mais s’en approche.

    Les vrais musulmans, cependant, ne partagent pas ces doutes à propos de leur prophète bien aimé. La corporation des chefs religieux musulmans, franchira le cap de ces doutes; elle va se montrer furieuse quand les savants occidentaux modernes  vont démasquer la version musulmane des premières heures de l’islam, narratif créé pour des raisons théologiques sous forme de sermons travestis en faits historiques. Il va sans dire que beaucoup de musulmans sont prêts à enfiler leur lourde armure pour défendre leur religion contre de telles attaques.

    Il  y a cependant, une faille dans l’armure islamique sur un point qui est considéré comme parfaitement pieux et  islamique. Cela pourrait même être plus efficace. Le Coran de manière univoque établit qu’il est écrit en langue arabe claire,’ lisaan ?arabii mubiin’. “Très bien.”, on peut alors se poser justement la question : « Pourquoi, si cela est vrai, avons-nous besoin des commentaires du Coran qui prennent des milliers de pages? »

    Cette question pose une difficulté, mais nous devons nous poser une question encore plus embarrassante concernant l’autorité des anciens pères fondateurs de la Charia : Les quatre géants al-Shaafii, Abu Haniifa, Malik and Ahmad ibn Hanbal, tous aux alentours de 800 de notre ère; tous sauf, Malik, géographiquement  connecté à l’Irak. : ‘Pourquoi avons-nous besoin de ces quatre savants de la Charia  pour nous informer des actes que l’islam interdit ou prescrit ?. « Si le Coran est clair, pourquoi avons-nous besoin de ces lumières? Pourquoi savaient-ils plus de choses que le prophète Mohammed? Comment avaient-ils connaissance de ce qui n’est pas dans les versets clairs du Coran? »

    Ces questions ne rendent pas forcément fou de rage le musulman profane moyen Néanmoins elles rendent fous de rage les savants musulmans de la Charia.

    Etant donné que ces hommes jouent le rôle que le clergé jouait dans le christianisme, ils représentent une force avec laquelle on doit inévitablement compter. Sans aucun doute ils sont une force spirituelle, mais certains de leurs jeunes fidèles ne font pas bien la différence entre l’esprit et le corps et n’hésitent pas à prendre les mesures nécessaires pour  imposer un alignement conforme aux souhaits du clergé.

    Les musulmans profanes, en règle générale, approuvent tout ce que les  professionnels de l’islam enseignent et prêchent. La puissance que cette corporation d’experts en charia islamique exerce sur son troupeau  est étonnante et n’a pas d’équivalent dans l’histoire.

    Elle est fondée sur la pression sociale. Elle opère de la manière la plus simple qu’on puisse imaginer : le fait de divulguer les prescriptions de sa religion crée une sorte de prestige parmi les coreligionnaires. C’est le cas de tous les systèmes religieux.  En conséquence, dans le cas de l’islam, les musulmans vont admirer quiconque agit d’une manière conforme à l’islam. Qui définit le fonctionnement de cette conformité ? C’est le clergé islamique qui exerce l’autorité finale  et définit quelle attitude constitue une attitude islamique.

    Tout ceci serait sans importance pour nous si l’islam ne se vantait pas  de vouloir et de pouvoir anéantir l’occident.

    Pour défendre l’occident contre l’islam c’est cette chaîne de prestige et d’autorité consentis que nous devons  attaquer et cette attaque doit se concentrer sur son point le plus faible: sur le fondement de l’autorité que représente le clergé. Cette autorité cléricale est fondée sur la Charia. Cependant l’autorité de la Charia implique que Mohammed, le prophète de l’islam, était plus ou moins un  nigaud et que le Coran est un ensemble vague et simpliste de morceaux de prose pieuse  qui ne détient pas l’information dont un homme a besoin pour être sauvé du feu de l’enfer  — seul le clergé sait comment un homme peut être sauvé et il le sait par sa connaissance de la Charia, non par sa connaissance du Coran.

    La position suprême de la Charia dans le monde de l’islam, nous semble-t-il,  peut seulement se comprendre comme une dépréciation du Coran de Mohammed.

    Une fois que les intéressés, le musulman et  son opposé le dhimmi auront saisi cela, on les aura influencés. La question que nous devrions nous poser dès qu’on a recours aux lois de la Charia : “Tous ces scribes et savants musulmans, tous des êtres humains, que savaient-ils de plus que Mohammed et Ses compagnons” ?  

    Considérons un exemple pour voir comment la Charia et le clergé opèrent. En 2006/ 2007, un comédien hollandais a connu des problèmes avec un activiste islamique au sujet de l’assassinat de Theo van Gogh. Le comédien sur sa propre initiative a consulté un imam local à Amsterdam  et le directoire de sa mosquée leur demandant directement s’ils voulaient le tuer. L’imam prit l’air concentré et ne dit rien, faisant comme s’il ne comprenait pas le hollandais — ce qui était peut-être le cas. Cependant, un membre très aimable du directoire rassura le comédien  qu’ils n’avaient nullement l’intention de le tuer parce que  “pour de telles choses, nous avons les radicaux”. Ceci illustre parfaitement la situation. La majorité est silencieuse, l’imam limite son action à la préservation de la dignité de sa charge, ses affidés directes lui apportent les mauvaises nouvelles, et l’élite des soldats, les vrais commandos, les vrais moujahidin font le sale boulot 

    Les gouvernements hésitent à résister à ces commandos; ceux qui subissent des attaques habituellement doivent se défendre. Il vaut mieux répliquer à une attaque de manière indirecte et tâcher d’influencer les musulmans pour leur faire prendre conscience qu’au cours des siècles un fossé de plus en plus grand s’est creusé entre ce que sincèrement et parfois naïvement ils considèrent comme islam et l’accumulation de prescriptions et de restrictions que le clergé veut faire appliquer.  Nous devrions sans relâche demander au “musulman laïque” ce que les scribes humains des livres de la Charia savaient de plus que l’archange Gabriel quand il a révélé le Coran à Mohammed.

    Le Coran ne promet pas la joie  à celui qui refuse de se soumettre à l’islam, mais il n’est pas aussi explicite que la Charia.

    Nous pouvons en outre librement critiquer les livres récemment annotés et révisés de la Charia, rien dans nos lois et nos coutumes ne nous interdit de le faire.  Cependant, critiquer un texte sacré ancien peut être considéré comme barbare.  Les nombreux livres contemporains sur la Charia au contraire s’y prêtent. Leurs auteurs  sont des hommes comme vous et moi. Mais les auteurs de ces ouvrages sur la Charia certainement prétendent connaître plus que tous les prophètes et les archanges réunis.

    C’est là que les amis de l’islam avec habilité tentent de miner notre loyauté. Quand nous faisons référence aux livres classiques de l’ancienne Charia et mettons l’accent sur  sa soif de sang et que nous en explicitons le contenu, ils diront: “Oui, bien, c’est un livre ancien qui n’est plus d’actualité de nos jours, aucun musulman moyen normal ne connait ce livre“. Quand nous citons des sources modernes et contemporaines de même nature, ils diront: “Oui, c’est une innovation récente qui ne dépeint pas l’Islam dans son aspect général”. Si nous citons les deux les sources anciennes et les nouvelles, ils diront que nous les agaçons en répétant des multiples incohérences. Il faut être bien accroché pour aborder ce genre de débats.

    L’un de nos problèmes avec l’islam est la question de la liberté religieuse telle qu’elle est comprise par les occidentaux.

    La plupart des occidentaux ne se rendent pas compte que les religions ne sont pas semblables.  Chaque acte possible et imaginable est soit interdit soit rendu obligatoire par au moins l’une des cent trente six religions dont bénéficie notre planète.

    En conséquence, la liberté religieuse, si elle signifie que chaque religion peut avoir sa place n’est pas possible. Quand mon professeur au cours de  ma première année universitaire m’expliquait cela, je ne le croyais pas et lui demandais si quelque chose d’aussi innocent que boire de l’eau au robinet pouvait être sujet à un interdit religieux. Il répondait qu’il ne pouvait citer d’exemple mais du même coup il m’assurait que si je cherchais bien, j’en trouverai un. Et il avait raison : Dans l’Hindouisme il existe une caste qui est autorisée à  boire uniquement l’eau tirée d’un puits avec une jarre en argile ; boire de l’eau du robinet est considéré comme haram  – impur.

    En Europe et en Amérique, cependant, l’expansion des religions, relativement similaire est essentiellement en relation avec la Bible. Par conséquent les Européens et les américains ont tendance à croire qu’il n’y a pas de mal à laisser une religion faire son chemin car « fondamentalement toutes les religions sont les mêmes ». C’est là que réside le malentendu. Il n’y a rien de commun entre toutes les religions.

    La liberté religieuse, si elle signifie donner libre cours à n’importe quelle forme de religion est une recette pour la guerre civile. Le message de nos sages grands-parents qui défendaient la liberté religieuse devrait être  reformulé.  Ce qu’ils voulaient dire ne pouvaient être que la liberté d’opinion  et la liberté d’exercer son culte. Comme ils n’étaient pas coutumiers des religions fondamentalement différentes et comme ils en avaient assez de partir en guerre  à propos de croyances et de formes de célébration de culte et comme ils ne connaissaient pas bien le spectre complet et varié des religions du monde, ils formulaient leurs convictions quel qu’en soit le bien fondé, d’une manière qui aujourd’hui prête à confusion et crée de graves problèmes de liberté, de science, de justice, de santé  et de politique.

    Rien ne va sans mal, mais nombre de musulmans ont suffisamment de qualités humaines pour refuser d’exécuter tous les commandements imposés par la Charia.

     Aidons- les en leur faisant remarquer qu’il se peut que le Coran soit  la parole de Dieu   – ceci après tout est invérifiable –  mais que  la Charia est l’œuvre des hommes, même selon les enseignements de l’islam. Pour rester libres et à l’écart des lois de la Charia, il se pourrait que nous ayons à livrer une bataille finale, mais la liberté est à ce prix.

    Le professeur Dr. Hans Jansen est un érudit hollandais en Arabe et sur les études Moyen-Orientales. Il fut témoin pour la défense de Geert Wilders.

    For Prof. Dr. Jansen’s CV, please see www.arabistjansen.nl/.



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