• Caroline Sinz, violée en Egypte, témoigne : "La foule applaudissait"

    PATRICIA GUIPPONI
    25/11/2012, 13 h 19 | Mis à jour le 25/11/2012, 16 h 31
    Caroline Sinz continue à travailler pour France Télévisions.
    Caroline Sinz continue à travailler pour France Télévisions. (WILLIAM TRUFFY)                       

    Le 24 novembre 2011, alors qu’elle exerce son métier, envoyée spéciale pour France 3 en Egypte, Caroline Sinz a été violée. La journaliste a témoigné, jeudi à Nîmes, lors d’un colloque sur la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

    L’histoire est sordide. Douloureuse. Ne peut laisser de marbre ceux qui l’entendent. Encore moins celle qui la raconte. Caroline Sinz était toujours sous l’emprise de l’émotion quand elle a pris la parole, à Nîmes, jeudi, lors d’un colloque sur la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Certes, les mots fusent. Dénotent d’une certaine assurance. Seulement en apparence. Ils s’articulent le plus souvent avec peine. Les faits qui amènent cette journaliste devant un auditorium archicomble se sont déroulés il y a un an. Quasiment jour pour jour

    En plein jour, place Tahrir

    Le 24 novembre 2011, alors qu’elle exerce son métier, envoyée spéciale pour France 3 en Egypte, elle est violée. Pas dans une rue dérobée, loin des regards. Non. Sur la place Tahrir au Caire, l’équivalent de la place de l’Etoile à Paris. Un lieu bondé. Englué dans les émeutes, secoué par la foule révoltée. A onze heures du matin. En plein jour.

    Sous les applaudissements d'Egyptiens

    La reporter, aguerrie aux conflits et à la culture orientale, et son caméraman sont encerclés par des jeunes gens. Séparés. Le calvaire de Caroline commence. Durant presque une heure. Un interminable enfer. Une cinquantaine d’hommes la maîtrisent, déchirent ses vêtements. La pénètrent avec leurs doigts. Sans que personne autour d’elle ne lui prête secours. La foule applaudit. Les journalistes autour sont sans réaction. On essaie même de l’étrangler à deux reprises. Jusqu’à ce qu’elle soit enfin extirpée des mains de ses bourreaux par des confrères égyptiens, qui ont assisté au loin à l’horreur.

    Son témoignage coupé au montage

    Une ambulance la prend en charge. Elle contacte sa rédaction à Paris, l’informe de ce qu’elle vient de subir. "J’ai envoyé le reportage que je devais transmettre, puis j’ai témoigné de l’agression." Ces images seront coupées. "Le viol, c’est honteux, tabou. Si on m’avait tiré dessus, cela aurait paru plus glorieux !"

    "On a mis ma parole en doute"

    Des épreuves l’attendent encore à son retour. Le manque de compréhension, de soutien et de solidarité de certains de ses collègues est manifeste. Violent. "On a mis ma parole en doute." Ne pas faire de vague, ne pas se plaindre. Surtout quand on est une femme dans un milieu d’hommes. "Déjà, quand on est reporter de guerre, on vous fait sentir que c’est un métier masculin." Il faut convaincre deux fois plus. Faire ses preuves. La situation est telle que Caroline Sinz, dont le professionnalisme n’est plus à prouver, demande à être transférée dans un autre service de France Télévisions. Mais elle le reconnaît. Le terrain lui manque. Là où tout se passe. Tout vibre.

    D'autres journalistes ont témoigné

    Elle sait pertinemment qu’il faut se reconstruire. Sortir la tête de l’eau. Dire, parler. Depuis qu’elle a témoigné, elle a ouvert la voie à d’autres. "Des journalistes ont dévoilé les mêmes faits." Des femmes aussi. Moins exposées. Tout aussi meurtries.


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    Sujet:Courrier envoyé à Monsieur François Hollande !   d’un retraité qui ose s’exprimer !

                   (vous pouvez l’imprimer, et l’adresser à l’intéressé !)

     

                                    Monsieur le Président,

                                    J'espère que votre secrétariat va être submergé par le courrier des retraités !!

    Ceux qui sont en retraite de nos jours n'ont pas travaillé 35 h.par semaine !
       n'ont pas eu 5 semaines de congés payés, 20 jours de RTT, n'ont
       pas commencé à travailler entre 22 et 25 ans, et pour beaucoup ont
       travaillé après 60 ans, en ayant commencé à 16 ans voire moins !
       Et, aujourd"hui ils devraient être pénalisés, quelle honte. Ils ont
     largement cotiser  Les retraités aident leurs enfants, petits enfants, le chômage touche
      tout le monde, les études sont de plus en plus chères, et les
      grand-parents sont continuellement sollicités, alors STOP                               .
       
       Il y a des économies à faire dans ce pays, mais les Enarques, les
      élus, sont tellement loin des réalités quotidiennes, ils faudrait
      qu'ils essayent de vivre à 4 personnes, avec un SMIG et l'APL, au delà                             

      de 8 jours ils seraient « raides morts »   !!
      
       j'ai élévé mes enfants pendant 8 ans et ne le regrette pas, même si ma
       retraite n'est pas complète ; avec 1100 euros de retraite par mois il
      faudrait que je sauve le pays ??
       des amies à moi, ouvrières en couture, touchent aujourd'hui 900 EUR / mois et les cas comme celui-là ne manquent pas..
      ces femmes dont il est question, vont sauver la sécurité sociale ?

     

    - Honte à vous, gens de gauche, près du peuple soit disant.   
      je n'ai pas fait de grandes études, mais je peux vous donner quelques
         solutions pour faire des économies :
      
      - supprimer le SENAT qui ne sert à rien, et que vous avez tant décrié
       quand vous n'étiez pas en poste ! 80% de ces gens ont largement depassé
       l'âge de la retraite, et continuent de percevoir des revenus indécents
       pour dormir dans des sièges confortables !

       - supprimer les budgets alloués par l'Etat aux organisations
       politiques ( des millions d'euros !) la presse quotidienne, les
       journaux télévisés, débats télévisés, les radios ) ça suffirait
       largement à se faire connaître et à dévoiler des programmes, et faire
       des promesses jamais tenues !
      
       -supprimer les "enveloppes plaisir" des députés, ce qui n'existe pas  dans les                             

      pays nordiques bien mieux gérés que le nôtre, et de toutes
      façons ne rembourser les frais que sur justificatifs comme cela se
       fait dans les entreprises.
        ces enveloppes sont NOS impôts, alors STOP !
          - stop aux voitures de fonction, aux pleins d'essence, y compris les
          week end pour se rendre dans leur résidence secondaire.
                                     
       - un peu plus de contrôles pour éviter les arrêts maladie de

        complaisance, qui combleraient un peu le trou de la CPAM.
                                     
      - STOP aux primes allouées aux médecins qui ne prescrivent pas trop de
        médicaments ! ils font tout simplement le travail conscensieusement,
       en évitant d'engraisser les grands laboratoires pharmaceutiques, si
      bien défendus par Me Bachelot, HONTE à elle, prête à tout pour exister. 
      
      - passer des accords avec les dirigeants des pays du MAGREB, pour que
       les Voyous étrangers, soient emprisonnés dans leur pays pour la durée
     de leur peine, et ne soient pas à la charge de notre Pays. Il y aurait moins de
       récidivistes c'est sur ; les prisons chez eux sont de vraies prisons
     et non des centre de loisirs qui nous coûtent très cher.
       
       - STOP à l'AME véritable pompe aspirante !!
       
       - STOP au secrétariat de la première Dame qui n'est pas élue et qui nous
        coute très cher ! mais il faut suivre la « ligne » Mitterrand !! et là, la presse partisane se tait !

                                          
    - STOP aux voyages à l'étranger avec autant de ministres, quand 2 ou 3
      suffiraient ; ces déplacements sont simplement des remerciements" des
       vacances offertes gracieusement...
       
       - supprimer le 8 mai, ne faire qu'une seule fête pour nos  Anciens
         combattants le 11 novembre. Cette journée travaillée comblerait un peu
      le trou de la sécurité sociale,ou aiderait les maisons de retraite !

    En France plus personne ne travaille en Mai et Aout, il faudrait sans
     doute remettre les valeurs travail à la mode ! Les retraités peuvent se
     permettre de dire ça, car le travail ils le connaissent ! ils ont pratiqué !
                                 
    - les Retraités ont le temps d'aller en vacances, en week end, au
      cinéma, au restaurant, au club de sport (pour certains) et alors ? ce
      n'est pas gratuit pour eux, et ils contribuent à l'économie du Pays !
      et c'est encore sur cette population que l'on veut frapper ?
     - on peut aussi récupérer sur les abattements d'impôts  octroyés aux
      journalistes! C’est vrai qu'ils ont largement contribué à l'arrivée   de la                              

     gauche, et qu'il faut les ménager et les récompenser ... mais : motus !
      
      - les retraités propriétaires montrés du doigt !! mais ils se sont
      privés toute leur vie pour ne plus avoir de loyer à payer avec leur
      retraite ;  il faut donc pénaliser les gens prévoyants pour aider ceux
     qui ont profité de la société toute leur vie ??

            - et maintenant ils vont être imposés sur  un « loyer fictif » de leur maison payée !

      Vous n'ignorez pas les tarifs d’hébergement des maisons de retraite...

    2200 euros et plus/mois, Qui peut financer cela ? Celles et ceux qui n'en n’ont pas les moyens

    se retrouvent dans des mouroirs, alors que les prisons sont de plus en
     plus luxueuses et gratuites !!
     

    Je vais arrêter là !  car mon bloc à lettres n'y suffirait pas, et je
     pense que vous n'irez pas au bout de ce courrier !

    Le jugement des petites gens dérange et ne vous semble pas digne d'intérêt.

      La crise a bon dos, vous étiez au courant et vous saviez bien que vous
     ne pourriez tenir les promesses faites en campagne (mariages des
     homos, vote des étrangers, aide aux Roms ..la fameuse « relance » dont vous aviez le secret !)

     

    c'est ça le discours de la Gauche !
     et des donneurs de leçon  que vous êtes !!

     

     Ne méprisez pas ce message et agréez, Monsieur le Président, mes salutations.

     

    (Cette lettre exprime ce qu’un très grand nombre de personnes découvrent, pensent, veulent dire haut et fort !

     

    Hélas … je suis sûr que son destinataire, principal intéressé, s’en moquera,enfermé dans sa « normalitude»,

              et imbu de sa haute fonction de … Président élu !  à capacités réduites !!                                                                                                              

     

    Faîtes suivre , nous avons un droit de citoyens,  celui de dénoncer   un Etat catastrophe  !!


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  •  

     BRAVO L'ANORMAL !!!...
                         

    A la suite de son intervention lors du sommet Europe/Asie qui a eu lieu le 5 novembre à Vientiane au Laos, François Hollande à déclaré, dans une conférence de presse, qu'il incitait les entreprises françaises à venir s'installer dans ce pays pour des raisons fiscales allégées et des coûts de productions nettement inférieurs à ceux de la France.  (? ? ? )
     Il a donné comme exemple la société "Essilor", dont le pdg était présent, qui a délocalisé au Laos depuis 5 mois soit disant pour être plus présent sur le marché asiatique.
     Résultat, il y a chez nous 1200 ouvriers de plus sur la paille ...
                          
                        
    Il faut préciser que cette déclaration a été faite à l'ambassade de France, après un repas traditionnel bien arrosé d'alcool de riz puisque son entourage à eu du mal à le faire grimper dans l'avion présidentiel qui devait le ramener en France.
     
    (Témoignage rapporté par un  journaliste de l'AFP de Bangkok) 
      

             "Bonne nuit le débile" !!!..


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  • Un bon vieux Ch’timi se promène dans sa campagne natale et remarque un jeune s'abreuvant de l'eau d'un ruisseau, il dit au jeune, dans son patois
     

    " Bôé pa steaulà, m’ garchon , lé cohons , y on kié dans ! ».
      

    (traduction : Ne bois pas cette eau, mon garçon, les cochons ont chié dedans !)

      
    Le jeune lui répond: " Monsieur, en français s'il vous plait, je suis Musulman, et je ne comprends pas les dialectes "

     
    Et le vieux répond : " Bois doucement elle est froide ! " 

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  • cliquer pour aller sur l'adresse de la vidéo ( clic droit à droite de la croix et cliquer sur adresse vidéo )                                                                                                                                                                                                                       Une vidéo qui date et qui est toujours d'actualité                                                                                                                                                     


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  •            

    DEUX TÊTES D'AFFICHE VONT S'ENCANAILLER DANS LES DICTATURES SEXUELLES

    Quand Mélenchon passait ses vacances à Cuba avec Laurent Ruquier (vidéo)

    Lors de son énième passage dans l’émission « On n’est pas couché », Jean-Luc Mélenchon a révélé avoir croisé l’animateur Laurent Ruquier à Cuba et il a rajouté que ce dernier l’aurait tutoyé. L’animateur, dont la rigueur morale lui interdit de recevoir Marine Le Pen sauf si la loi le lui oblige, l’a aussitôt démenti.
    Cet échange s’est évidemment déroulé sur l’air badin de la caste culturo-mondaine. Deux grands professeurs de la morale droits de l’Hommiste se retrouvent en excursion sur l’île du dictateur communiste Fidel Castro… et tout ce petit monde se tape dans le dos !
    Pourtant, il n’y a pas de quoi rire aux éclats, ni même sourire.
    Non seulement parce que c’est avec nos impôts que nos Bouvard et Pécuchet se pâment de bonheur à la Havane, mais surtout parce que le communisme et le socialisme sont les deux idéologies qui ont causées le plus grand nombre de morts au siècle dernier.

    Des morts qui ne semblent émouvoir personne. Il n’y a en effet qu’en France que l’on trouve le socialisme et le communisme sympas et sans conséquences néfastes. Un tartuffe comme Mélenchon peut donc faire son cinéma de révolutionnaire en peau de lapin sans craindre la contradiction. Engraissé sous les ors de la république, le leader Maximo de la gauche radicale a été samedi soir adoubé Roi de la contestation, par une élite petite bourgeoise parisienne qui ne se serait pas bousculée pour dénoncer les crimes du stalinisme et du socialisme en général. L’intercesseur de la parole mahométane aurait même pu déclarer qu’une fois installé sur son trône il réserverait un traitement de choc à ses opposants, que cela n’aurait provoqué aucune stupeur dans le petit landerneau de la gauche médiatique.

    Pendant que Ruquier et Mélenchon dépensent l’argent du contribuable au profit des oligarques castristes, des dissidents politiques croupissent dans les prisons de l’île                    


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  • À l'attention de Tous

    Le 25 septembre 2012, la SPA a publié un communiqué de presse s’opposant à l’absence de sanctions envers la zoophilie en Allemagne. La Société Protectrice des Animaux demande la création d’une législation interdisant les abus sexuels sur les animaux chez nos voisins teutons. Je soutiens cet appel, et vous invite à le soutenir vous aussi, en signant la présente pétition.

    Nous sommes actuellement en train de nous rapprocher d'associations allemandes et européennes de protection animale afin de voir comment lutter efficacement contre ce vide juridique (la loi interdisant les abus sexuels sur les animaux en Allemagne a été abrogée le 1er septembre 1969 et n'a pas été remplacée depuis).


    Nos premières investigations nous ont permis de découvrir des faits particulièrement dérangeants : outre-Rhin, ouvrent de plus en plus de « bordels animaliers ». La vente, la location ou le prêt d'un animal à des fins sexuelles est autorisée. De plus, il est permis en Allemagne de dresser et de conditionner les bébés animaux (chiots, chatons, etc.) pour leur faire accepter que de tels attouchements soient pratiqués sur eux. De là, il devient plus facile pour leurs tortionnaires d'affirmer qu'ils sont consentants...


    L'hypocrisie va encore plus loin : alors que la loi allemande réprime les actes de cruauté commis envers les animaux, la zoophilie n’est pas entendue comme tel au motif qu’il n’est pas possible de prouver la cruauté d’un tel acte. Comment est-il possible de ne pas reconnaître les souffrances, psychologiques et physiques, d'un animal ainsi malmené, souffrances attestées par les vétérinaires allemands dans certaines de leurs études ? La France considère ces mêmes actions comme des délits réprimés par l’article 521-1 du Code Pénal qui prévoit des peines maximales de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.


    Les seules condamnations qui ont été prononcées en Allemagne l’ont été au motif que l’acte a été filmé, car la zoopornographie est, elle, interdite dans les Länder (régions).


    Dans le pays de Goethe, on trouve même une association de zoophiles qui s'assument, la Zeta, qui s'exprime publiquement en faveur des rapports sexuels entre humains et animaux « tant qu'ils sont sans violence », et qui défend ces actes comme un « droit »...


    Les associations de protection des animaux allemandes n’ont cessé de se battre, condamnant la cruauté de tels agissements. Notre Association, qui n’est pas compétente pour intervenir juridiquement en Allemagne, va toutefois se rapprocher d’associations locales afin de leur apporter son soutien et d’étudier avec elles nos possibilités d’actions.


    Il est bon de signaler que le problème a été inscrit à l’ordre du jour du conseil des ministres à Berlin, mercredi dernier, suite à une initiative de la chambre des régions (Bundesrat). Il faut espérer que les discussions qui en découleront mèneront à la création d'une législation interdisant de tels sévices.


    Enfin, il est scandaleux que des pays européens, signataires de la Convention Européenne pour la protection des animaux de compagnie -entrée en vigueur le 1er Mai 1992-, puissent encore tolérer ces actes barbares sans être sanctionnés, alors qu’un article de ladite convention, ratifiée par l’Allemagne, précise clairement que « nul ne doit causer inutilement des douleurs, des souffrances ou de l’angoisse à un animal de compagnie ».

    Je me joins à la SPA pour leur faire part de ma pétition, ainsi que de tout vos signatures et commentaires pour stopper cette horreur.


    Il est en conséquence, plus que judicieux de faire le nécessaire afin de faire respecter cette Convention via le Gouvernement français. L’étude d’une uniformisation de la réglementation de l’Union Européenne  est également primordiale.                                                      Oui, mais que deviendront les chiens et anes qui officiaient dans divers boites branchées de pays décomplexés du sexe                         

                                                                                                                                                 l'Ane était assuré de ne pas finir à la boucherie < tant qu'il assurait >                                                                                                              La chèvre quand à elle < déjà première épouse dans les pays du magreb >vivra un grand chagrin d'amour sans son légionnaire.                le chien quand à lui ne sera plus une vedette des films pornos . Et je ne parle pas des canards de cholons qui eux de toute façon finiront laqués ou en magrets.                                                                                                                                                                                             Enfin si celà peut éviter les tremblements de terre ( comme le certifient les imams ) signer la pétition :                                                      

    Stoppons la zoophilie en Allemagne

    Pétition : Stoppons la zoophilie en Allemagne

    Auteur : Olivier Dumont

    Créé le 02/10/2012 - Fin le 26/01/2013

    20592 Signatures


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  • Tri sélectif aux Restos du Coeur : le porc y est désormais banni                         

    Les Restos du Coeur refusent désormais les aliments à base de porc. La raison officielle est la praticité puisqu'ils n'ont plus besoin d'effectuer un tri sélectif pour les populations musulmanes. La réalité des faits c'est que les principaux demandeurs de nourriture sont les immigrés musulmans. Les clochards et autres SDF non musulmans sont refoulés par les vigiles musulmans à l'entrée de certains Restos. Ca se passe comme ça en France.

    Une pensée pour Coluche dont je doute fort qu'il aurait apprécié qu'on ait fait de son bébé une machine infernale, sélective et de fait xénophobe.

    Quelques témoignages relevés ça et là sur des forums :

    « Quand je croise un clochard français qui fait la manche, je prend généralement quelques minutes pour causer en même temps que je lui file un peu de thune, deux choses qu’ils m’ont raconté (entre autres) : Au restos du cœur de Montauban, alors qu’il était arrivé à l’aube, l’un d’eux a dû attendre toute la matinée de distribution assis sur un banc à l’écart, pendant qu’on remplissait généreusement les coffres des voitures des “familles”, qui sont prioritaires. Chaque fois qu’il essayait d’expliquer qu’il voulait juste un casse-croûte, les bénévoles lui rappelaient, fermement épaulés par quelques gros bras arabes, qu’il fallait d’abord penser aux enfants. A midi, a l’heure de fermeture on lui a donné une boîte de pâté sans pain.

    Un autre m’a raconté qu’ayant été quelques temps accueilli dans la communauté Émmaüs d’Arles, il avait été affecté au tri du linge. Toute ses collègues ”bénévoles” n’étaient que des femmes arabes qui faisaient deux tas dans ce qui était récupérable; un pour la vente et un pour la maison. C’est ainsi que tous les jours, des donateurs apportaient des vêtements de marque en très bon état et on ne trouvait dans le magasin que des vieilleries démodées ».

     


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  •            

    Les merguez étaient requinquées à l’acide

     

     

    Cinq boucheries « halal » accusées de régénérer leur viande périmée avec les additifs corrosifs d’un chimiste.
    Cinq boucheries « halal » accusées de régénérer leur viande périmée avec les additifs corrosifs d’un chimiste.
    Cinq boucheries « halal » accusées de régénérer leur viande périmée avec les additifs corrosifs d’un chimiste.

    Cinq bouchers et deux employés comparaissent aujourd'hui et demain en correctionnelle aux côtés d’un chimiste pour « falsification de denrées alimentaires », « mise à la vente de denrées nuisibles à la santé » et « tromperie aggravée sur la marchandise ».
    En perquisitionnant en 2009 un appartement de la rue des Hugolins dans le 2e à Marseille, les enquêteurs ne pensaient pas trouvé un laboratoire clandestin de cette ampleur : 25 kilos de bisulfite de soude, 25 kilos de métabisulfite de soude, 5 fûts de 30 litres de bisulfite de soude et de nombreux bidons plastique vides de 5 litres. Pas d’alambic fumant sur la paillasse mais des entonnoirs, des verres gradués, des fûts, toute une chaîne de production d’additifs alimentaires qu’un ancien chimiste d’origine libanaise revendait depuis des années par bidons entiers à un réseau de bouchers indélicats de Marseille et de sa région. Les commerçants donnaient une seconde vie à leur viande hachée avariée au mépris de la réglementation.

    Plus de 6 500 bidons de 5 litres écoulés en 5 ans
    Les doses de sulfite retrouvées dans les viandes étaient « particulièrement élevées » et « dangereuses » pour la santé. Ces additifs artisanaux parfaitement prohibés par la réglementation étaient élaborés de surcroît dans des conditions graves d’insécurité : ces produits nocifs libèrent des vapeurs d’acide sulfurique très suffocantes, pouvant même être mortelles à forte concentration.
    Figure centrale de ce scandale alimentaire traité par le Pôle santé publique du parquet de Marseille, Pierre Azzi, un chimiste d’origine libanaise. Agé de 57 ans, l’homme comparait libre pour « complicité par aide ou assistance ». Il répond accessoirement de travail dissimulé et de fraude au Rmi. Il a été placé sous mandat de dépôt pendant deux mois puis remis en liberté sous contrôle judiciaire.
    C’est son épouse avec qui il était en instance de divorce, qui a révélé en mai 2006 qu’il vendait à des boucheries et des snacks du marché aux puces et de la rue Longue des Capucins, des compositions chimiques destinées à raviver l’aspect des viandes rouges. Des boucheries de Marseille, Martigues et Port-de-Bouc se fournissaient ainsi en produits chimiques par bidons de 5 litres. Pierre Azzi a reconnu en garde-à-vue se livrer depuis six ans à cette activité clandestine qui lui aurait rapporté entre 300 et 400 euros par mois.

    Le « gaval » mieux que les épices
    Il s’approvisionnait en produits de base auprès de deux grossistes basés à Aubagne et Marseille. Pour ne pas éveiller l’attention, il  présentait comme un industriel spécialisé dans la fabrication de parfums et de produits de toilette.
    Depuis 2004, il leur avait acheté 1 290 litres de bisulfite de soude, 400 kilos de métabisulfite de soude, 220 litres d’hypochlorite de soude en fûts qu’il mélangeait à de l’eau. En cinq ans, il avait acheté 6 534 bidons vides de 5 litres, ce qui situe le niveau du trafic.
    Abdelali B., gérant de la « Boucherie Atlas » a reconnu avoir acheté deux bidons à 22 euros qu’il diluait avec de l’eau pour  pouvoir conserver une semaine de plus ses merguez. Mokhtar, du « Bon coin des viandes » dit avoir acheté cette substance à forte odeur pour éviter le noircissement de la viande qu’il utilisait pour ses saucisses épicées. Le patron de « Chez Brahim » a nié mais des écoutes téléphoniques le confonde avec Pierre en train de négocier ce qu’il appelle du « gaval ».
    « Cela avait pratiquement pris un niveau industriel »
    L’association UFC Que Choisir s’est constituée partie civile dans la procédure. « Ce n’est pas heureusement une pratique courante mais dans cette affaire cela avait pratiquement pris un niveau industriel », explique Roger Cervenra, son administrateur. Selon lui, « il y avait un système établi avec certains commerçants qui se sont dit un coup d’acide par dessus et ça passera ».
    Le bisulfite de soude est à la fois un conservateur contre les micro-organismes et les dégradations qu’ils engendrent. Il a aussi un pouvoir anti-oxydant qui atténue le brunissement des aliments au contact de l’air. L’acide sulfurique opère lui comme correcteur d’acidité. La dangerosité de ces additifs est parfaitement établie, en ce qu’ils provoquent des lésions de l’appareil digestif, des maux de tête, des effets sur le fœtus et des réactions allergiques. Ils sont proscrits depuis 1997 dans la viande de boucherie.
    Deux clients réguliers des boucheries poursuivies se sont constitués partie civile. L’un d’eux souffre d’un cancer. Le lien de causalité ne semble toutefois pas établi avec la dégradation de leur état de santé. Les prévenus encourent jusqu’à 4 ans de prison et 75 000 euros d’amende.

    David COQUILLE

     


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  • Le chien et les chacals

     

    Du coquin que l’on choie, il  faut craindre les tours
    Et ne point espérer de caresse en retour.
    Pour l’avoir ignoré, maints nigauds en pâtirent.
    C’est ce dont je désire, lecteur, t’entretenir.
    Après dix ans et plus d’homériques batailles,
    De méchants pugilats, d’incessantes chamailles,
    Un chien estoit bien aise d’avoir signé la paix
    Avecque son voisin, chacal fort éclopé
    A l’allure fuyante, que l’on montroit du doigt,
    Qui n’avoit plus qu’un oeil, chassieux de surcroît,
    Et dont l’odeur, partout, de loin le précédoit.
    Voulant sceller l’événement
    Et le célébrer dignement,
    Le chien se donna grande peine
    Pour se montrer doux et amène.
    Il pria le galeux chez lui,
    Le fit entrer, referma l’huis,
    L’assit dans un moelleux velours
    Et lui tint ce pieux discours :
    « Or donc, Seigneur Chacal, vous êtes ici chez vous !
    Profitez, dégustez, sachez combien je voue
    D’amour à la concorde nouvelle entre nous !
    Hélas, que j’ai de torts envers vous et les vôtres,
    Et comme je voudrois que le passé fût autre !
    Reprenez de ce rôt, goûtez à tous les mets,
    Ne laissez un iota de ce que vous aimez ! »
    L’interpellé eut très à cour
    D’obéir à tant de candeur.
    La gueule entière à son affaire,
    Il fit de chaque plat désert
    Cependant que son hôte affable
    Se bornoit à garnir la table.
    Puis, tout d’humilité et la mine contrite,
    En parfait comédien, en fieffée chattemite,
    Il dit : « Mais, j’y songe, mon cher,
    Nous voici faisant bonne chère
    Quand je sais là, dehors, ma pauvrette famille :
    Mes épouses, mes fils, mes neveux et mes filles,
    Mes oncles et mes tantes que ronge la disette,
    Toute ma parentèle tant nue que maigrelette.
    Allons-nous les laisser jeûner jusqu’au matin ? »

     

    « Certes non ! » répliqua, prodigue, le mâtin,
    Qui se leva, ouvrit, et devant qui passèrent
    Quarante et un chacals parmi les moins sincères.
    Sans tarder cliquetèrent les prestes mandibules
    Des grands et des menus, même des minuscules.
    Ils avoient tant de crocs, de rage et d’appétit,
    Ils mangèrent si bien que petit à petit
    Les vivres s’étrécirent comme peau de chagrin
    Jusqu’à ce qu’à la fin il n’en restât plus rien.

    Ce que voyant, l’ingrat bondit :
    « Ah ça, compère, je vous prédis
    Que si point ne nous nourrissez
    Et tout affamés nous laissez
    Tandis que vous allez repu,
    La trêve entre nous est rompue ! »

    Ayant alors, quoi qu’il eût dit,
    Retrouvé forces et furie,
    Il se jeta sur son mécène,
    Et en une attaque soudaine il lui récura la toison,
    Aidé de toute sa maison.
    Puis, le voyant à demi mort,
    De chez lui il le bouta hors.
    Et l’infortuné crie encore
    «La peste soit de mon cœur d’or ! »

    Retenez la leçon, peuples trop accueillants :
    À la gent famélique, point ne devez promettre.
    Ces êtres arriérés, assassins et pillards
    Marchent en rangs serrés sous le vert étendard.
    Vous en invitez un, l’emplissez d’ortolans,
    Et c’est jusqu’à vos clefs qu’il vous faut lui remettre.

                                                        Jean de La Fontaine                                                                                                                                       


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  • Ne jamais oublier que la Presse est achetée par le pouvoir                                                                                                        D'ou l'intérêt de s'informer sur le net                                                                                                                                              les informations qui y circulent sont beaucoup moins contrôlés et censurés                                                                              


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  •  

    Seniors et saignés !
    L'enquête a été longue et difficile.Mais on a enfin réussi à identifier les odieux profiteurs suspectés de maintenir à peu près leur niveau de vie en période de crise. On  les appelle des retraités. En fait, ce sont des paresseux qui, après 42 années d'activité, donnent un mauvais exemple aux jeunes sans emploi en jouant aux boules ou en réchauffant leurs rhumatismes au soleil. Il était donc grand temps d'imposer davantage leurs pensions . Ce rabotage de niche fiscale est d'autant plus urgent que, grâce au progrès de la médecine et de la chirurgie, ces  séniors prétendent vivre de plus en plus longtemps sans se préoccuper de la santé de leurs caisses de retraites.Et puis, au moins est-on certain que, contrairement à d'autres contribuables plus valides et plus fortunés,
     ils ne battront pas en retraite pour fuir un pays où les technocrates de Bercy seront un jour les derniers actifs. !!!!!!


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  •  

    Viols collectifs : l'affaire de Rochdale et son équation raciale

    LE MONDE |               19.11.2012 à 16h58• Mis à jour le             

      22.11.2012 à 18h56Par Benoît Vitkine, Rochdale (Royaume-Uni)  envoyé spécial

     

    Rochdale, le 16 mai.

     

    Elle était aussi seule que peut l'être une adolescente de 15 ans. Peu d'amis, pas de petit copain, des liens distendus avec une famille décrite comme "fragile". Craintive et seule dans le morne décor de briques rouges du quartier d'Heywood, celui des "petits Blancs" pauvres de Rochdale, ancienne ville ouvrière à une vingtaine de kilomètres de Manchester, dans le nord-ouest de l'Angleterre.

    Cette nuit d'août 2008, "Girl A", comme elle sera désignée plus tard lors d'un procès dont l'écho continue de faire trembler les fondements du multiculturalisme britannique, avait bu pour se donner du courage. Au Balti House, un petit kebab-épicerie de la grand-rue d'Heywood, le ton monte entre l'adolescente et deux des hommes qui la violent régulièrement depuis plusieurs semaines, Kabeer Hassan, 25 ans, et Shabir Ahmed, 59 ans. Les deux sont des employés du Balti House, et quand Girl A brise la vitre du comptoir de la petite boutique, ils ne craignent pas d'appeler la police.

    En garde à vue, Girl A peut enfin parler. Pendant six heures, elle raconte son calvaire. Un mois auparavant, elle a commencé à fréquenter un groupe d'hommes qu'elle retrouve au Balti House ou au Saleem's Kebab House. Ils sont bien plus âgés qu'elle, souvent pères de famille, chauffeurs de taxi ou employés de fast-foods : des hommes installés. Ils la traitent avec considération, lui offrent des cigarettes, de la nourriture, de l'alcool, piochés dans les réserves du magasin. La nuit venue, ils la raccompagnent en taxi, gratuitement.

    Rapidement, vient le moment de "payer". Shabir Ahmed, le chef du groupe, emmène Girl A, saoûle, dans un appartement abandonné au-dessus du magasin. "Je t'ai payé de la vodka, tu dois me donner quelque chose." La jeune fille résiste, elle est violée par Shabir Ahmed. Les agressions se poursuivent jusqu'à l'épisode du Balti House, trois semaines plus tard.

     CALVAIRE

    Cette nuit-là, la jeune fille présente aux policiers ses sous-vêtements, sur lesquels des traces de l'ADN de Shabir Ahmed seront retrouvées. Malgré la précision de son récit, aucune enquête sérieuse n'est menée. Les services du procureur de la Couronne de la région Nord-Ouest ne donnent pas suite. Adolescente perturbée, ayant des penchants pour l'alcool et sexuellement active, Girl A ne saurait être considérée comme "un témoin crédible devant une cour". Son calvaire reprend alors de plus belle. Elle est violée jusqu'à quatre ou cinq fois par semaine, parfois par cinq hommes différents la même nuit.

    Le dossier n'est rouvert qu'à l'été 2009. Lors du procès, qui se tient en mai 2012 à Liverpool, cinq victimes témoignent, sur les 47 identifiées par la police. L'une raconte avoir été violée par vingt hommes la même nuit. Une autre décrit une soirée passée à vomir sur un canapé pendant que deux hommes abusent d'elle.

    Une autre encore, 13 ans au moment des faits, que les viols ne cessèrent que lorsqu'elle tomba enceinte d'Adil Khan, 42 ans. Neuf hommes sont condamnés, pour les faits de viol, agressions sexuelles ou conspiration commis entre 2007 et 2009, à des peines allant de quatre à dix-neuf ans de prison pour Shabir Ahmed, considéré comme le chef du groupe, celui-là même qui intimait à ses victimes : "Call me Daddy !"

    A l'exception d'un demandeur d'asile afghan, tous sont d'origine pakistanaise. Toutes les filles sont blanches. L'équation est aussi froide et simple qu'explosive, dans un Royaume-Uni en proie au doute sur son modèle multiculturel. Et c'est le procureur grâce auquel le dossier a été rouvert, Nazir Afzal, plus haut magistrat d'origine pakistanaise du royaume, qui s'est fait un nom en luttant contre les mariages forcés dans la communauté pakistanaise, qui donne le ton : "Il s'agit avant tout d'une question de genre, d'hommes qui croient qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent de femmes vulnérables. Mais vous ne pouvez pas non plus faire l'impasse sur le facteur racial. C'est l'éléphant au milieu de la pièce."

    "FACTEUR RACIAL"

    Dans les semaines suivant le procès, les médias égrènent les noms de villes où des gangs similaires à celui de Rochdale sont démantelés : Nelson, Oxford, Telford, High Wycombe... Et, fin octobre, c'est à nouveau à Rochdale qu'un groupe de neuf hommes est appréhendé. Chaque fois, les violeurs sont en grande majorité d'origine pakistanaise.

    Les micros se tendent vers les associations ou les chercheurs spécialisés dans la lutte contre les abus sexuels. Selon leurs conclusions, entre 46 % et 83 % des hommes impliqués dans ce type précis d'affaires - des viols commis en bande par des hommes qui amadouent leurs jeunes victimes en "milieu ouvert" - sont d'origine pakistanaise (les statistiques ethniques sont autorisées en Grande-Bretagne). Pour une population d'origine pakistanaise évaluée à 7 %.

    Chercheurs et associations rappellent que les agressions sexuelles en général restent le fait d'hommes blancs à 95 %, et mettent en garde contre la faiblesse des échantillons étudiés. Mais les chiffres sont lancés. Et repris en boucle.

    En septembre, un rapport gouvernemental conclura à un raté sans précédent des services sociaux et de la police, qui renforce encore l'opinion dans l'idée qu'un "facteur racial" a joué dans l'affaire elle-même, mais aussi dans son traitement par les autorités : entre 2004 et 2010, 127 alertes ont été émises sur des cas d'abus sexuels sur mineurs, bon nombre concernant le groupe de Shabir Ahmed, sans qu'aucune mesure soit prise. A plusieurs reprises, les deux institutions ont estimé que des jeunes filles âgées de 12 à 17 ans "faisaient leurs propres choix de vie".

    Pour Ann Cryer, ancienne députée de Keighley, une circonscription voisine, aucun doute n'est permis : police et services sociaux étaient "pétrifiés à l'idée d'être accusés de racisme". Le ministre de la famille de l'époque, Tim Loughton, reconnaît que "le politiquement correct et les susceptibilités raciales ont constitué un problème".

    "ELLES SONT PARFAITEMENT ENTRAÎNÉES"

    L'air est d'autant plus vicié que, à l'audience, Shabir Ahmed en rajoute dans la provocation. Il traite le juge de "salope raciste" et affirme : "Mon seul crime est d'être musulman." Un autre accusé lance : "Vous, les Blancs, vous entraînez vos filles à boire et à faire du sexe. Quand elles nous arrivent, elles sont parfaitement entraînées."

    Chaque jour, des militants d'extrême droite se réunissent devant le tribunal, brandissant des affichettes : "Nos enfants ne sont pas de la viande halal." Et quand les médias parlent prudemment de "gang asiatique", les commentaires des internautes trahissent un climat délétère. A Rochdale, le 23 février, 150 émeutiers s'en prennent à la police, à des chauffeurs de taxi pakistanais et aux kebabs d'Heywood.

    Rochdale se croyait prémunie contre un tel climat. La ville de 100 000 habitants, sinistrée depuis la fin des industries textiles, cumule des indicateurs sociaux et économiques inquiétants et une population immigrée importante (près de 20 % d'habitants d'origine pakistanaise), mais elle n'a jamais été le théâtre d'émeutes raciales. Rochdale a même élu, dès 2003, un maire d'origine pakistanaise.

    Devant le bâtiment de style gothique-victorien de la mairie, réminiscence des années de gloire de Rochdale, un employé de la mairie s'interroge. Anonymement. "Où est la limite du racisme ? Les agresseurs voyaient ces filles comme du "déchet blanc", c'est indéniablement raciste. Mais les services sociaux, des gens bien blancs, ne les ont pas mieux considérées."

    A quelques rues de là, dans sa permanence, Simon Danczuk, député travailliste de Rochdale qui a été l'un des premiers à parler publiquement d'un "facteur racial", juge tout aussi déterminant ce qu'il appelle le "facteur social" : "Les responsables des services sociaux ont pu imaginer que ces filles de même pas 15 ans se prostituaient, alors qu'ils en auraient été incapables à propos de leurs propres enfants."

    VULNÉRABLES

    Race contre classe ? Les violeurs étaient tous pakistanais d'origine, les adolescentes toutes blanches. Mais les agresseurs étaient aussi tous des hommes installés habitant Rochdale même, alors que les victimes venaient toutes de familles pauvres d'Heywood, quartier déshérité. Pour autant, la thèse du "facteur racial" va s'imposer.

    L'ancien ministre de l'intérieur Jack Straw s'interroge sur les raisons qui poussent des hommes "d'héritage pakistanais" à considérer les jeunes Blanches comme "de la viande fraîche". Ann Cryer évoque les mariages arrangés, qui feraient arriver sur le sol britannique de jeunes hommes peu éduqués, arrachés à leurs campagnes du Pakistan. Tous enjoignent aux responsables de la communauté pakistanaise d'agir.

    Mohammed Shafiq, 33 ans, est l'un d'eux. Natif de Rochdale, il dirige la Fondation Ramadhan, promouvant le dialogue entre les religions. Dès 2007, il a commencé à parler des abus commis sur des adolescentes par des membres de la communauté pakistanaise, ne récoltant qu'un silence gêné et des menaces de mort. Il a réalisé un documentaire sur le sujet pour la BBC.

    Mohammed Shafiq estime qu'"une petite minorité d'hommes pakistanais voient les femmes comme des citoyens de seconde catégorie et les femmes blanches comme des citoyens de troisième catégorie".

    Mais, pour lui, les jeunes filles agressées étaient surtout vulnérables. "Le fait qu'elles traînent dehors en pleine nuit, qu'elles soient habillées de façon légère, renforçait les agresseurs dans leur idée qu'elles ne valaient rien, qu'elles étaient inférieures. Mais cela faisait surtout d'elles des proies faciles, alors que les filles de la communauté pakistanaise sont mieux protégées par leur famille, et qu'un abus sexuel y est plus difficilement dissimulable."

    Au Regal Moon, le pub le plus fameux de Rochdale, "Sam", retraité du textile, résume la teneur du débat : "Les premiers mois, on n'entendait que des remarques racistes sur les Pakistanais, et puis ça s'est calmé. On sait tous, ici, qu'une fois l'agitation retombée, on sera bien obligés de vivre ensemble comme on l'a toujours fait."

    Benoît Vitkine, Rochdale (Royaume-Uni)  envoyé spécial

    Un rapport gouvernemental accusé de minimiser le facteur racial des agressions

    Publié mercredi 21 novembre, le rapport du Commissariat aux enfants sur l'exploitation sexuelle a encore un peu plus alimenté la polémique sur le caractère racial d'un certain nombre d'agressions commises en Angleterre. L'enquête menée par la vice-commissaire Sue Berelowitz montre que 2 409 enfants ont été victimes entre 2010 et 2011 (sur une période de quatorze mois) de crimes sexuels commis par des agresseurs agissant en bandes. Le rapport identifie par ailleurs 16 500 autres enfants susceptibles d'avoir été abusés.

    Les statistiques contenues dans le rapport indiquent que les agresseurs, quand leur origine ethnique a été déterminée, sont à 43 % blancs et à 33 % d'origine asiatique. Mais le document estime que la "publicité" donnée à des affaires comme celle de Rochdale a pour conséquence que "les données sont collectées de façon plus assidue lorsque les agresseurs sont identifiés comme 'asiatiques', 'pakistanais' ou 'kurdes'". Mme Berelowitz a été immédiatement accusée par plusieurs personnalités, y compris le ministre de l'éducation, Michael Gove, d'avoir cherché à minimiser cet aspect de la question


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  • Les animaux font le jeu du FN!

    Ni halal, ni casher, ni facho, c’est possible !

    Mélenchon a raison quand il réplique à Marine Le Pen que l’islam ne s’attrape pas «par le manger». On peut manger halal ou casher sans devenir musulman ou juif. Aucun carnivore ne devrait n’en avoir rien à foutre de bouffer, de saucer et de chier halal ou casher.
    S’il faut étiqueter la viande qui a été abattue selon le rite musulman ou juif, c’est d’abord pour indiquer au consommateur préoccupé par la souffrance des animaux que la bestiole qu’il s’apprête à mitonner a été égorgée sans avoir été étourdie au préalable. On fera remarquer à la personne réellement préoccupée par le sort des animaux qu’elle ne peut pas se contenter de s’indigner de la méthode d’abattage. La souffrance des animaux d’élevage commence dès la naissance. Mais, bon, disons que si une vie atroce se termine d’une manière un peu moins atroce, c’est un progrès. En attendant de vraies avancées dans le domaine de la défense animale, un bêtophile conséquent ne devrait pas manger de viande…
    Sur les étiquettes des viandes devrait figurer cette mention obligatoire: «L’abattoir qui a tué cette bête ne respecte pas la législation sur la souffrance animale.» À charge pour les escrocs des organismes de certification d’ajouter ou non la mention halal ou casher. Évidemment, il reste à répondre à cette question: dans une république laïque, est-il normal que des croyants puissent déroger à la loi commune pour préserver un rite religieux? Si le droit de pratiquer librement son culte est garanti pas la Constitution, l’obligation de respecter les lois s’applique à tous. Quel autre exemple avons-nous d’adaptation d’une loi aux pratiques religieuses? Là, comme ça, je ne vois pas… En gros, toute la société convient qu’il faut améliorer la condition animale, sauf les pratiquants de deux religions. Au nom de la liberté de pratiquer un culte et pour préserver la paix sociale, doit-on renoncer aux lois qui protègent les animaux? Au moins, ce serait cohérent.
    En attendant, les religieux voient d’un mauvais œil la mise en place d’un étiquetage obligatoire. Le fait que les morceaux de viande qui ne sont pas absorbés par le marché du halal et du casher ne soient pas étiquetés et écoulés dans le circuit traditionnel arrange les religieux. En effet, que vont faire les abattoirs des pièces de viande que traditionnellement les juifs ou les musulmans ne consomment pas s’il est désormais impossible de les fourguer aux consommateurs lambda? S’ils finissent à la poubelle, ça va faire augmenter le prix de la viande sacrifiée rituellement… L’étiquetage va faire exploser le prix de la bidoche halal et casher. Ça veut dire que jusqu’à présent le bouffeur de bidoche non juif et non musulman subventionne la production de viandes halal et casher. Et on suppose, du coup, que les frais des organismes religieux chargés de dire si telle viande est halal ou casher sont répartis entre tous les consommateurs. Bref, l’athée qui mange de la viande finance des cultes à son insu. L’étiquetage devrait régler aussi ce problème-là. Que les religieux rackettent les fidèles, et les fidèles uniquement! Ce sera peut-être un moyen de faire disparaître à plus ou moins long terme l’abattage rituel…
    On peut dire, à juste titre, que cette histoire de bouffe halal et casher n’est pas un sujet majeur de l’élection présidentielle. Je comprends qu’on dise que, puisque c’est Marine Le Pen qui a lancé ce débat dans l’unique dessein de stigmatiser une catégorie de la population, il ne faut pas l’aborder. Mais, on peut dire aussi: si Charlie Hebdo, journal engagé dans la lutte antiraciste, traite régulièrement des problèmes de la protection animale et de la défense de la laïcité, c’est qu’il y a un moyen d’aborder ces thèmes sans passer pour des nazis…


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  • J'ai presque honte de faire suivre, presque !

                 

    L’implant d’une micro puce qui permet aux islamistes

     de parler directement à  Allah.

    Cet implant est spécialement conçu pour être placé sous le front.
    Lorsqu’il est correctement introduit il permet aux islamistes de
    parler directement à leur Dieu.
                 

    Disponible en plusieurs tailles, généralement de 5,5 à 12,7 mm.
     
                  

                 
     
     
    La taille exacte de l'implant est choisie par un technicien compétent, par exemple, un élément de la BRI.
    Il saura effectuer très facilement la mise en place.
    Aucune anesthésie préalable n'est vraiment nécessaire.
    L’implant est introduit sans douleur car il est
    certifié halal. (Mais non, pas annal)
    Les effets secondaires tels que migraines ou nausées ne sont que de très courte durée.
    Un léger saignement est possible lors de la mise en place.             
    Les détenteurs de la CMU - AME et des autres aides de l'Etat réservés aux immigrés sont toujours prioritaires comme d'habitude,
                 

    Merci d’apprécier à sa juste valeur toute la sécurité que nous vous apportons !


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  •      

    bande annonce: http://info.france2.fr/complement-denquete/

     

    Madame, Monsieur,

    L'homme qui est accusé d'avoir enlevé, séquestré dans un coffre de voiture et violé la jeune Chloé Rodriguez était loin d'être inconnu des autorités.

    Kamel Bousselat a en effet déjà été condamné à 13 reprises par différents tribunaux pour :

      • vol aggravé,
      • port d'armes,
      • violence avec préméditation,
      • menace de mort,
      • exhibition sexuelle,
      • agressions sexuelles

    En 2007, il est arrêté à la suite d'une dizaine d'agressions sexuelles qui sèment une véritable psychose dans le Gard et le Vaucluse.

    L'une des victimes a raconté comment Kamel Bousselat l'a agressée au cours d'une promenade à vélo. Il l'a jetée à terre, l'a poursuivie, l'a obligée à entrer de force dans son véhicule et tenté de la violer. Son mari a d'ailleurs déclaré : « Chloé comme ma femme sont encore vivantes par miracle ».

    Mais savez-vous quelle peine cet individu a reçue pour cette horrible agression et pour toutes les autres qu'il avait commises à cette époque ?

    3 ans de prison... en tout et pour tout alors que le Code pénal prévoit 15 ans de prison pour une seule tentative de viol.

    Mais ce n'est pas le plus grave.

    A sa sortie de prison, en septembre dernier, croyez-vous que la Justice a pris toutes les précautions qui s'imposent pour surveiller ce multirécidiviste ?

    Pas du tout. Comme souvent dans ce genre de cas, la Justice ne s'en est absolument pas préoccupée :

      • Les services d'insertion et de probation ont « oublié » de signaler la sortie de prison de Kamel Bousselat sur le fichier des auteurs des infractions sexuelles (FIJAIS) ce qui a empêché les gendarmes de détecter cette « fuite ».
      • Kamel Bousselat n'a pas respecté son suivi judiciaire. Il a indiqué vivre dans un foyer, à Avignon, où il n'aurait pourtant jamais mis les pieds.
      • Dix jours après sa libération, il ne s'est pas rendu à son rendez-vous de contrôle judiciaire.
      • Aucune demande de recherche n'a suivi. La cause ? L'information se serait perdue entre les services...

    Aujourd'hui, Christiane Taubira envisagerait une circulaire pour "faciliter la communication entre les services".

    Alors je me permets de vous poser la question : est-ce que vous trouvez cela sérieux ? Croyez-vous qu'une mesurette de ce type suffira pour vraiment protéger les femmes et les enfants des prédateurs ?

    Ou pensez-vous au contraire qu'il faut un véritable bouleversement de notre système judiciaire, afin que la protection des innocents soit sa priorité absolue ?

    Si c'est le cas, merci de regarder la vidéo et de participer à notre grand référendum en cliquant ici.

    C'est indispensable si nous voulons protéger des jeunes filles comme Chloé qui ne demandent qu'à grandir en paix et en sécurité.

    N'hésitez pas à partager ce message auprès de tous vos contacts car c'est uniquement grâce à une mobilisation massive que nous réussirons à faire changer les lois.

    Je compte sur vous. Ensemble, nous ferons la différence.

                          Laurence  Havel
      Institut pour la Justice                     

    Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.fr


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