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    LETTRE  DU FRONT

    Chers
    amis,

    Avant de partir prendre des
    vacances méritées,

    il convient de revenir une
    dernière fois sur cette séquence

    électorale très longue, qui
    nous aura absorbés pendant

    toute la saison scolaire
    2011-2012.

    Cette séquence aura été très
    positive, tant du point de vue électoral que

    du point de vue militant. Nous
    avons recruté de très nombreux adhérents,

    souvent d’un bon niveau ; de
    nombreux militants ont fait leurs premières

    armes avec bonheur ; de nombreux
    futurs cadres se sont révélés.

    Cette nouvelle donne doit nous
    renforcer dans l’objectif fixé par notre

    présidente de
    professionnalisation, d’enracinement et d’efficacité
    politique accrue.

    Maintenant que la campagne est
    terminée, nous allons consacrer

    l’année 2012-2013 à
    l’approfondissement de notre percée. Avec un seul objectif

    en ligne de mire : faire du Front
    National une machine de guerre toujours

    plus performante au service de la
    France et des Français d’abord.

    Il ne s’agit pas de mots lancés
    en l’air dans l’euphorie de succès.

    La réussite des présidentielles
    et des législatives nous donne enfin les moyens

    de nos ambitions, ces moyens
    humains et financiers qui nous faisaient jusqu’ici

    cruellement défaut. C’est
    d’autant plus bienvenu que dans le contexte d’un paysage

    politique en pleine
    recomposition, le champ des possibles nous apparaît

    comme largement ouvert.

    A la rentrée scolaire, une grande
    réorganisation du mouvement et de son siège

    central sera annoncée. De
    profondes réformes internes seront entreprises.

    C’est une année exaltante qui
    s’annonce, que nous mettrons tout l’été à préparer.

    Préparez vous à du changement à
    la rentrée, changement auquel les adhérents

    seront bien entendus associés. Le
    Front National nouveau est en marche !

    Et bonnes vacances à tous !

    SAVEZ VOUS OU PASSENT VOS SOUS

    La Cour des comptes critique la politique d’aide au développement de la France

    Publié parlegaulois.info
    Le constat est sévère. L'aide publique au développement de la France est mal gérée, estime la Cour des comptes. Malgré les sommes investies par l'État français, 9,3 milliards d'euros, l'aide au développement affiche des objectifs peu réalistes, trop nombreux et peu hiérarchisés.
    La Cour des comptes, c'est un peu le gendarme des finances de l'État. Elle audite et vérifie si l'argent est bien dépensé. Pour la première fois la Cour a audité les comptes de l'APD, l'aide publique au développement.  L'APD est mal organisée, mal gérée et ressemble beaucoup à un gigantesque saupoudrage dont l'efficacité laisse à désirer.
    Premier point relevé par la Cour : les objectifs affichés sont peu clairs, trop nombreux et insuffisamment hiérarchisés. On veut à la fois lutter contre la pauvreté, promouvoir la création d'infrastructures, prévenir les conflits, promouvoir la démocratie et l'influence française.
    Les priorités géographiques sont floues et le nombre de pays bénéficiaires trop élevé. Résultat, on donne de moins en moins à l'Afrique sub-saharienne, et trop aux pays émergents comme la Chine dans l'espoir d'obtenir des retombées pour les entreprises françaises.
    Ce qui ne va pas c'est la structure, selon la Cour des comptes. L'aide est répartie entre deux ministères, les Affaires étrangères et le ministère de l'Économie avec un opérateur unique l'AFD mais sans réelle coordination ministérielle, relèvent les experts.
    Ceux-ci préconisent aux autorités de faire un choix clair entre l'aide bilatérale et celle qui transite par les organismes multilatéraux comme la Banque mondiale. Ce serait une façon de réorganiser le système, car en période vaches maigres budgétaires, il faut rationaliser donc choisir

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  • LA CONNERIE CHEZ LES JUIFS ET LES ARABES N'A AUCUNE LIMITE                                                                                             

    La décision, prise mardi en appel par un tribunal de grande instance de Cologne en Allemagne, provoque un tollé au sein des communautés musulmane et juive d’outre-Rhin. Saisie par le parquet de la ville qui poursuivait un médecin généraliste après une circoncision qui avait mal tourné pour un petit garçon musulman, la allemande estime que l’acte, pour des motifs religieux, est une « blessure corporelle » « modifiant durablement et de façon irréparable son corps ».                                   

    MON ACTIVITé

    Vos amis peuvent maintenant voir cette activité

    Supprimer X

                    Le tribunal va plus loin, jugeant la circoncision passible d’une condamnation car « contraire à l’intérêt de l’enfant qui doit décider plus tard par lui-même de son appartenance religieuse ».

    Après une relaxe du médecin en première instance, le jugement peut désormais faire office de jurisprudence en Allemagne, provoquant l’ire des communautés juive et musulmane du pays. Le Conseil central des juifs d’Allemagne a rapidement critiqué la décision perçue comme « une intervention gravissime et sans précédent dans les prérogatives des communautés religieuses ». L’organisation exige que les députés allemands légifèrent sur la question pour éviter des atteintes à la liberté religieuse.

    Dalil Boubakeur y voit une « stigmatisation »

    En , les réactions sont tout aussi vives. « C’est tellement scandaleux que je n’imagine pas un instant qu’un tel jugement puisse devenir loi, s’étrangle Richard Prasquier, du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) et médecin de profession. La circoncision est pratiquée depuis la nuit des temps par les juifs et les musulmans et, au-delà du simple aspect religieux, est un acte médicalement reconnu pour ses vertus préventives. Il permet de contenir l’épidémie de sida, notamment en Afrique, et réduit les risques de cancer de l’utérus chez les femmes. »

    Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris, y voit « une décision irrationnelle, un parti pris et une stigmatisation de la communauté musulmane, une volonté de toucher les êtres dans ce qu’ils ont de plus personnel. Elle m’inspire une ignorance totale des rites. La circoncision n’a jamais été dénoncée à cause de la souffrance et de la mutilation ». Chez les musulmans, la circoncision doit avoir lieu avant les 7 ans de l’enfant mais elle se pratique en général dans les premières semaines de la vie. « C’est un geste attendu car il signe leur entrée dans la vie communautaire », poursuit le recteur de la Grande Mosquée qui précise que « l’acte est pratiqué du reste la plupart du temps par un chirurgien avec un anesthésiste ». Dalil Boubakeur tient par ailleurs à « apporter son soutien à la communauté musulmane d’Allemagne pour lui dire son indignation


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  • réunification de la Bretagne                                                                                                            

     
      Monsieur le Président                                                                                                                                                                         

        de
    la République Française                                                                                                                                          

     Palais
    de l’Elysée                                                                                                                                                            

     55, rue du
    Faubourg St Honoré                                                                                                                                   

     75000
    PARIS

     

     

            Nantes,
    le 30 juin 2012

             OBJET : Réunification de la
    Bretagne

     

             Monsieur le Président,

     

             Le 30
    juin de chaque année, jour anniversaire du décret signé en 1941 par le Maréchal
    Pétain qui a séparé administrativement la Loire Atlantique de la Bretagne,
    notre association Bretagne Réunie appelle les Bretons à se présenter devant les
    Préfectures et Sous-préfectures des cinq départements bretons pour demander
    l’intégration de ce département dans la Région de Bretagne*.

     

    En effet, cela fait 71 ans que les gouvernements français refusent de
    satisfaire cette revendication maintenant soutenue par le Conseil Régional de
    Bretagne, le Conseil Général de la Loire Atlantique et, depuis décembre 2011,
    par  le Conseil Général du Morbihan ainsi
    que par des centaines de communes de Bretagne dont la liste s’allonge chaque
    mois. Ces décisions sont prises à l’unanimité ou par une grande majorité des
    élus (plus de 5000 se sont exprimés en faveur de la réunification).

     

    La Région des Pays de Loire profite de
    cette situation pour tenter de créer une identité ligérienne artificielle en occultant
    tout ce qui constitue et rappelle l’évidente identité bretonne de la Loire
    Atlantique.  Cette entreprise choquante
    d’aliénation culturelle est heureusement un échec puisque les nombreux sondages
    indiquent que les deux tiers de la population de Bretagne sont favorables à la
    réunification.

     

    Le refus, par les gouvernements de
    satisfaire une juste revendication qui obtient 
    un assentiment populaire aussi fort, est une marque de mépris à l’égard
    des élus et un déni de démocratie. Un Etat démocratique doit respecter le choix
    d’appartenance de ses citoyens à une région et non l’imposer.

     

    Bretagne Réunie vous demande donc de
    mettre un terme à une situation contraire à la volonté populaire exprimée avec
    force et constance notamment par de nombreuses manifestations qui réunissent
    des milliers de personnes, en engageant le processus de réunification de la
    Bretagne. Une telle décision, attendue avec impatience, montrerait votre souci
    de répondre à une demande légitime des Bretons et d’éliminer un déficit démocratique

     

    Veuillez agréer, Monsieur le Président,
    l’expression de notre détermination et de notre très haute considération.

     

                                                                           
                              Le
    Président

                                                                                           
    Jean François LE BIHAN

     

    *Initiative mise en place avec la participation de « 44=BZH »

    Copie à :

    -
    M. Jean-Marc AYRAULT, Premier Ministre

    -
    M. Manuel VALLS, Ministre de l’Intérieur

    -
    M. J. Y. LE DRIAN, Ministre de la Défense, Président du Conseil Régional de
    Bretagne
    Mme M LEBRANCHU, Ministre de la réforme de l’Etat 

    BRETAGNE  REUNIE – BREIZH UNVAN

    Membre de la
    plateforme de l’Agence des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne

    BP 49032 44090

    NAONED  NANTES

    Cedex 1 
                                                                                                                                                                                     


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  • Le rite halal accentue le risque E.coli

    L'islam, un danger de santé publique

    Un communiqué de la Fondation Brigitte Bardot du 16/06/2011 :

    Le 10 novembre 2010, sept organisations françaises de protection animale* alertaient les autorités, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée Nationale, sur les risques sanitaires graves dus à la présence de germes d’origine digestive, comme les E. coli, présents dans les steaks hachés.

    Cette infection des viandes est accentuée par la généralisation de l’égorgement rituel des bêtes car l’impossibilité matérielle de ligaturer l’œsophage des animaux entraîne un « épanchement de matières stercoraires en provenance de l’estomac qui s’écoulent à travers la section béante de l’œsophage ».

    La Fondation Brigitte Bardot a remis, fin 2010, aux ministres de l’Agriculture et de l’Intérieur, ainsi qu’au Chef de l’État, le dossier de presse « De la souffrance des animaux… à la tromperie des consommateurs » dans lequel l’alerte est donnée (pdf) :

    « Certains germes d’origine digestive pouvant être très pathogènes pour l’homme risquent ainsi d’être retrouvés dans des pièces de découpe (collier notamment) ou dans des steaks hachés préparés avec celles-ci. Avec l’abattage rituel, il y a donc un danger potentiel pour la santé humaine, tout particulièrement pour les enfants, les personnes âgées et les populations immunodéprimées ».

    Ces propos ont été confortés par la déclaration de Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d’abattage à la Direction Générale de l’Alimentation, dans le bulletin de l’Académie Vétérinaire de France : « Des pratiques liées à la mise en œuvre du rituel d’abattage peuvent avoir des conséquences en termes de salubrité et de sécurité des carcasses. Nous pouvons citer à ce titre le tranchage de la trachée et de l’œsophage qui peut provoquer le déversement du contenu gastrique (voire pulmonaire) sur les viandes de têtes, de gorge et de poitrine ».

    Face à ces mises en garde répétées et à l’attitude irresponsable des autorités devant ce grave problème de salubrité publique et de protection animale, la Fondation Brigitte Bardot demande au ministre de l’Agriculture de rendre publique les méthodes d’abattage des animaux en France et de ne plus s’opposer, comme il le fait actuellement, à la mise en place d’une traçabilité pour le consommateur via un étiquetage européen.

    * Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs, Fondation Brigitte Bardot, Confédération Nationale des SPA de France, Conseil National de la Protection Animale, Fondation Assistance aux Animaux, Protection Mondiale des Animaux de Ferme, Société Nationale pour la Défense des Animaux.                        

    BORDEAUX (NOVOpress via Riposte Laïque) – Cette affaire émerge dans la presse. « Les trois jeunes gens hospitalisés à Bordeaux — une fillette de 8 ans originaire des Pyrénées-Atlantiques, une enfant en bas âge de 2 ans et demi et un adolescent de14 ans, originaires de Gironde —, ont très probablement été infectés par la bactérie Escherichia coli. Leur maladie est sans doute liée à la consommation de steaks hachés de viande bovine française vendus dans les enseignes Intermarché et Netto. »

    [L'infection par la bactérie E.Coli vient d'être confirmée par des analyses pour un des enfants. Les autres analyses sont en cours.]

    On sait même maintenant avec certitude quel est le fournisseur de cette viande infectée : la Société des viandes élaborées (SAVIEL) d’Estillac dans le Lot-et-Garonne. Mais la SAVIEL n’est pas un abattoir, seulement une entreprise de découpe et de conditionnement de la viande.

    Il existe d’ailleurs plusieurs SAVIEL en France. Ce sont des filiales du groupe SVA Jean Rozé, qui compte également plusieurs abattoirs. On en compte 4 sur sa page web de présentation historique, mais il peut y en avoir davantage. C’est difficile de savoir combien, puisque sur la cartographie des établissements du groupe, les établisssements « SVA Jean Rozé » sont présentés comme « base logistique » et non comme « abattoir ».

    Combien de ces abattoirs seraient « traditionnels » ou « rituels » ? La liste de l’OABA des « abattoirs classiques » (donc ni halal ni casher) ne mentionne que deux abattoirs du groupe SVA Jean Rozé qui en compte au moins quatre.

    De plus, dans une interview datant de février dernier, Dominique Langlois, président du groupe SVA Jean Rozé, déclare : « nous attendons l’agrément de la Malaisie. J’espère qu’on l’aura : ce pays de 50 millions d’habitants est la référence des États musulmans. »

    Par conséquent il est clair que SVA Jean Rozé vise le marché halal, voire commercialise du halal (officiel ou recyclé). On peut également raisonnablement penser que la SAVIEL d’Estillac se fournit chez sa maison-mère. La viande infectée proviendrait-elle de bêtes abattus rituellement et recyclées ? L’hypothèse est plausible, quand on sait que l’abattage halal augmente les risques de contamination par la bactérie Escherichia coli (1).

    Il appartient désormais aux autorités sanitaires et judiciaires de faire la lumière sur cette affaire. Et aussi aux journalistes d’investigation de faire leur travail jusqu’au bout.

    Roger Heurtebise

     

    (1) La bactérie Escherichia coli, habite l’intérieur des intestins des bovins.
    Dans un rapport transmis aux autorités en septembre 2010, l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA) alertait sur le risque de contamination par l’égorgement rituel (halal et kasher) des bêtes (image en Une) car l’impossibilité matérielle de ligaturer l’œsophage des animaux entraîne un « épanchement de matières stercoraires en provenance de l’estomac qui s’écoulent à travers la section béante de l’œsophage ».

    De même, par exemple, en février dernier le Dr Jean-Louis Thillier, auteur de nombreux rapports officiels sur la sécurité sanitaire, indiquait que “Le problème posé, le scandale même” est que “Au cours de ce type d’abattages rituels, le contenu de l’œsophage et des intestins des animaux risque de souiller la viande, particulièrement les quartiers avant qui finissent dans les steaks hachés. Voilà pourquoi l’étiquetage indiquant comment les animaux ont été abattus est si important. Le consommateur est en droit de savoir.”


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  • Identitaires Bretons, Pieds-Noirs, Harkis, vous êtes tous cordialement invités à ces manifestations

    Publié parlegaulois.info
    Que le 5 juillet 2012 les Algériens fêtent le 50ème anniversaire de l’indépendance offerte par la France à leur pays je n’y vois, pour ma part, aucun inconvénient.
    Après tout s’ils s’estiment pleinement satisfaits de l’indépendance et de la liberté qui sont les deux qualités premières de l’actuelle Algérie, grand bien leur fasse, et je vais même plus loin : ils ont bien raison de ne pas offrir leur vie et leur jeunesse pour se débarrasser des corrupteurs qui les dirigent car s’immoler, mourir ou verser son sang pour aboutir au même résultat qu’en Tunisie, Égypte ou Lybie et demain en Syrie, mieux vaut s’abstenir.
    En revanche je souhaiterais que M. Toufik Hedra, président de l’association « les amis de l’Algérie »… en Bretagne, à Rennes, m’explique les raisons qui le poussent à organiser une telle manifestation sur notre sol ? Selon lui, ce serait pour satisfaire les « nationaux » vivant en Bretagne. Qui sont ces « nationaux » ? Si ce sont des Algériens pourquoi vivent-ils en France et non pas dans leur Algérie libre et indépendante ? Si ces« nationaux » sont des Français pourquoi se réjouissent-ils de l’indépendance acquise par un pays qu’ils ont abandonné ?
    Enfin si cela leur fait plaisir !

    Cependant cette fête ne devrait pas se transformer en provocation, surtout si le désir exprimé est bien de « vouloir dépassionner la guerre de libération ».Pourquoi les invités de « marque » sollicités par  un certain Gérard Prémel qui se vante de son engagement pour le FLN et l’ALN, donc contre l’armée française, sont Olivier Fanon fils, dont le père, Frantz Fanon s’est mis au service d’une armée ennemie de sa patrie d’origine et dont le livre « Les damnés de la Terre » offrait la dédicace nauséabonde et méprisable de cet intellectuel dégénéré qui s’appelait Jean-Paul Sartre : « Tuer un européen (en Algérie) c’est faire d’une pierre deux coups : supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé, reste un homme mort et un homme libre. Le survivant pour la première fois sent un sol national sous la plante de ses pieds. »

    Et le second « invité » un certain René Vautier qui s’est distingué en prêtant ses talents de cinéaste à l’ALN et au FLN pour imprimer sur la pellicule les tortures, les assassinats et les massacres des fellaghas, donc de nos soldats, de nos enfants, de vos enfants… mères de France métropolitaine.
    Je suis persuadé qu’après cette manifestation « littéraire et culturelle » la guerre de libération de l’Algérie sera totalement dépassionnée.
    Comme les amis de M. Toufik Hedra se sont récemment invités à une manifestation organisée par des « identitaires » bretons, j’espère que ceux-ci se feront un plaisir de participer à leur tour aux réjouissances offertes à Rennes…en Bretagne… par les « nationaux » algériens et qu’ils seront accompagnés par les Pieds-Noirs et les Harkis, tous également« nationaux » vivants en Bretagne.

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  • Les assassinats d’Alicia, Audrey et Killian par Abdallah et Souleymane…

    Il serait sans doute injuste de n’attribuer qu’à François Hollande et son équipe la responsabilité des événements qui se déroulent en France, depuis l’élection du nouveau président de la République, que quelques persifleurs de Riposte Laïque appellent Normal 1er.Depuis trente ans, lui est les siens nous racontent une belle histoire : l’Union européenne va faire le bonheur des peuples, l’immigration, essentiellement arabo-musulmane, est une chance pour la France, et son pendant, l’islam, est une religion d’amour, de tolérance et de paix.

    Depuis trente ans, les faits démentent cette belle fable, malgré l’appui idéologique des cerbères du politiquement correct, qu’ils soient sociologues, chercheurs, anti-racistes, journalistes, socialistes, trotskistes, communistes.

    Depuis trente ans, les statisticiens de l’Insee ont beau mentir sur la réalité de l’ampleur de l’immigration, les journalistes ont beau taire le nom de l’assassin à chaque fois qu’il a une consonance étrangère et le donner les rares fois où c’est un Mathieu, les violences de l’islam sur notre territoire ont beau être soigneusement camouflées, le déni de réalité n’est plus possible, car, aujourd’hui, rares sont les citoyens de notre pays qui n’ont pas eu, au moins une fois dans leur vie, un problème, parfois grave, voire dramatique, avec ceux qu’on appelle pudiquement les nouveaux venus, voire des « chances pour la France », comme l’ânonnent Julien Dray et ses potes de Sos Racisme depuis 1984.

    Et que la majorité des immigrés et des musulmans vivent paisiblement sur notre sol en respectant nos lois  ne change pas le constat : 60 à 70% des détenus des prisons françaises seraient musulmans d’après une enquête américaine. Quoi d’étonnant à cela ? Quand deux cent cinquante mille immigrés arrivent chaque années sur notre sol, il est impossible de trier le bon grain de l’ivraie, il est impossible que des délinquants en tous genres ne fuient pas leur pays où ils risquent la prison à cause de leurs délits et ne viennent pas exporter sur notre sol leur mode de vie. On ajoutera les remarques textes de Christine Tasin sur la violence liée à l’islam et donc à l’éducation reçu par un certain nombre d’immigrés, qui, pour différentes raisons, sont incapables de se maîtriser et laissent parler leurs instincts.   

    Alors, quoi de neuf depuis la victoire de François Hollande, qui n’est que le fruit de ces trente années de mensonges honteux ? Des vérités encore plus aveuglantes. Des drapeaux étrangers, majoritairement de pays arabes, place de la Bastille. Un sondage, absolument pas démenti, confirmant que 93 % des musulmans ont voté Hollande. Une autre enquête, pas davantage démentie, nous apprenant que 74 % des journalistes, ceux qui ont tapé sur Sarkozy pendant cinq ans et lynché Marine Le Pen, ont voté Hollande au deuxième tour.

    Les socialistes doivent donc leur élection à la politique migratoire menée depuis trente ans, à l’implantation de l’islam, et à la démagogie dont ils ont fait preuve devant la montée des violences des « jeunes » tout au long de ces dernières années. Dès le 6 mai au soir, on entendait de sympathiques jeunes garçons se vanter d’avoir « dégagé » Sarkozy, et on les voyait agresser sans vergogne des policiers qui avaient comme consigne de ne pas gâcher la fête, donc de fuir.

    Deux drames, particulièrement révélateurs, ont marqué ces derniers jours. Le meurtre de deux femmes gendarmes, Audrey et Alicia, par un multi-récidiviste prénommé Abdallah, et l’assassinat, en pleine cour de récréation, du jeune Killian, âgé de 13 ans, par un autre jeune, qui s’appelle Souleymane, âgé de 16 ans. A chaque fois, le réflexe de la presse a été le même : essayer de taire le nom de l’assassin (Le Monde de ce jour ira jusqu’à appeler Souleymane Vladimir !), pour que les braves Français ne sachent pas qu’il portait un prénom musulman. Christine Tasin a écrit un premier article, qui circule beaucoup, au lendemain du meurtre des deux gendarmes, intitulé Meurtre des deux gendarmes, j’accuse ».

    Dire ces vérités lui vaudra-t-il les foudres des associations anti-racistes, et les joies de la 17e chambre correctionnelle de Paris, comme les ont déjà connues Eric Zemmour, Pierre Cassen, Pascal Hilout, et que les connaîtront prochainement Jacques Philarchein et Renaud Camus ? Malgré toutes les précautions prises, nous savons que cela est possible, au vu de la grotesque dictature de racketteurs professionnels qui sévissent en France depuis la loi Pleven et surtout la loi Gayssot, et de la bienveillance dont ils disposent de la part de magistrats qui instruisent systématiquement leurs plaintes souvent ridicules. Pour autant, nous avons décidé de ne pas céder à ce type d’auto-censure, et de continuer à dire les choses, en assumant les conséquences possibles de nos propos.

    Le journaliste du Nouvel Observateur Hervé Algallarondo parlait, au sujet de cette gauche qui est aujourd’hui au pouvoir, de la préférence immigrée. On pourrait également parler de la préférence racaille, quand on voit les premiers messages envoyés par quelques ministres.

    Comment qualifier autrement l’attitude d’un Manuel Valls, qui se déplace au chevet d’un « jeune » qui, sur un scooter volé, à Villiers-le-Bel, a chuté en voulant fuir devant une voiture de police qui ne le poursuivait même pas ! Ce même ministre de l’Intérieur n’aura pas un mot pour protéger ses hommes, déjà accusés par toute la bien-pensance d’avoir fait volontairement tomber les braves petits, il préférera faire allégeance aux racailles. Par contre, aucun ministre ne montrera, au chevet du jeune Killian agonisant, la solidarité de la Nation. Peillon se déplacera uniquement le lendemain, pour mieux noyer le poisson. Hasard ?                                                                                     

    Le même Manuel Valls, dès sa nomination, fera savoir aux forces de l’ordre son opposition à la présomption de légitime défense, que Sarkozy, à quinze jours du premier tour (de qui se moque-t-on ?) avait fini par faire sienne. Il ira même jusqu’à compliquer administrativement les futurs contrôles policiers. Le message de Valls est le suivant : plutôt pleurer des policiers morts que leur donner les moyens de rester vivants. Résultat : les racailles se croient encore davantage tout permis, et deux femmes gendarmes, sans doute tétanisées par la perspective d’ennuis judiciaires, se laissent désarmer et tuer par un multi-récidiviste qu’un juge – aura-t-il des comptes à rendre pour justifier sa décision ? – aura laissé, une fois de plus, en liberté. A Digne, le commissariat sera harcelé pendant des heures par des dizaines de jeunes voyous, d’origine non européenne, qui entendaient libérer trois des leurs que les policiers, se croyant encore sous Sarkozy, avaient osé arrêter. Un centre-ville détruit, et des forces de l’ordre à qui on interdit de faire la seule chose possible : tirer pour défendre leur vie, et leur commisssariat. Hasard ?

    Christiane Taubira, après avoir annoncé la fin des tribunaux correctionnels pour les mineurs délinquants, osera, quelques heures après les obsèques des deux gendarmes, annoncer la prochaine disparition des peines plancher. Cette femme, auteur d’un texte liberticide sur l’esclavage, à cause duquel un chercheur, Olivier Petré-Grenouilleau, s’est retrouvé au tribunal, n’a jamais caché, en militant et en soutenant des mouvements indépendantistes, sa haine de la France. Elle est capable de faire juger un chercheur, et en même temps d’envoyer un signal fort à toutes les racailles multi-récidivistes et à tous les voyous : avec moi, l’Etat français sera désarmé face au crime. Hasard ?

    François Hollande, qui n’a pas de mots assez durs contre le régime syrien, à qui il reproche de ne pas subir le sort des autres « printemps arabes », à savoir le remplacement de régimes nationalistes arabes par des dictatures islamistes, vient, sans vergogne, de féliciter le candidat des Frères musulmans égyptiens, vainqueur des élections. Hasard ?

    Le même Hollande, outre le fait d’avoir nommé des ministres bi-nationaux, comme Mesdames Belkacem ou Benguigui, ne verra aucun inconvénient à ce que la première devienne porte-parole du gouvernement, sans avoir à choisir entre ses deux nationalités, et la deuxième tienne des propos souhaitant que « à qualité égale, priorité au beur, puisqu’il a eu plus d’obstacles à franchir qu’un blanc de de souche>>  Hasard ?                                                                                                  Violence dans le foot:  



    Communiqué
    du Bloc Identitaire :


    Carton rouge pour Nasri et les
    racailles ?
    Dehors !


    Les
    Identitaires, qui organisent depuis plusieurs années un grand
    tournoi de football
    (1),
    se
    passionnent
    pour ce sport populaire.

    Comme tous les Français, nous
    sommes attristés de voir l'équipe de France prise en otage par
    des comportements de racailles, et gérée par des dirigeants
    incapables de prendre leurs responsabilités. Nous avons à de
    nombreuses
    reprises
    condamné des
    comportements indignes (irrespect, insultes, silence pendant
    l'hymne), symboles d'une "
    racaillisation"
    du football français et des centres de formation.

    Aujourd'hui,
    nous lançons une campagne "Samir Nasri", car ce joueur
    incarne avec d'autres cette génération de stars qui bafouent
    l'image de la France.
    Samir
    Nasri est l'archétype de ces joueurs parvenus et arrogants
    ,
    prenant de haut le public et les journalistes, ou encore ricanant
    lors de la minute de silence dédiée à Thierry Roland.

    A
    l'humiliation en Afrique du Sud succède la débandade
    ukrainienne. Le Bloc Identitaire demande aux dirigeants français
    de faire fi du politiquement correct et leur transmet ce message
    au nom de la majorité silencieuse des Français qui en a ras le
    bol d'être la risée du monde entier, en exigeant la mise à
    l'écart définitive de cette équipe de tous les joueurs aux
    comportements inadaptés.

    Alors,
    Samir Nasri, chance pour la France ?

                                                                                                                                                                                                  


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  • Vendredi 29 juin 2012

    Les
    planches à billets vont bientôt se remettre à ronfler

    Simone Wapler
    Méfiez-vous des
    bruits de couloir

    Eric
    Lewin

    Les planches à billets vont
    bientôt se remettre à ronfler

    Simone Wapler, rédactrice en chef
    de l'Investisseur Or et Matières et la Stratégie de Simone Wapler

    Que ce soit dans la
    zone euro, aux Etats-Unis ou au Japon, la création monétaire va s'intensifier.
    C'est la seule solution politique et l'euthanasie du rentier moderne – le
    retraité de l'Etat providence – sera vue comme un moindre mal. Gardez présent à
    l'esprit que la pensée économique dominante est keynésienne et que Keynes avait
    prévu l'euthanasie du rentier.

    3 cas de
    figure pour l'euro. L'or sera le seul gagnant
    A ce stade, plus grand
    monde n'est dupe. L'euro technocratique a déjà explosé dans les faits puisque
    les pays empruntent à des taux qui n'ont rien à voir. L'euro de M. Tout Le Monde
    – celui qu'on s'échange à la boulangerie vit encore mais pas pour
    longtemps.
    - Premier cas de figure : l'Allemagne excédée claque la porte. Une
    planche à billets pour ceux qui restent.
    - Deuxième cas de figure : chacun sa
    planche à billets dans son coin et vive le Flamby-Franc !
    - Troisième cas de
    figure : l'euro-glacis, une planche à billets pour tout le monde.

    Si vous m'avez
    suivie, le fil conducteur c'est la planche à billets. Les dommages collatéraux
    sont les suivants : une monnaie affaiblie, des importations notamment d'énergie
    en hausse.

    Et la
    compétitivité, me direz-vous ? Encore une fausse bonne idée. L'affaiblissement
    de la monnaie ne procure d'avantage compétitif que dans deux cas : soit le pays
    à monnaie faible vit du tourisme, soit il exporte des matières
    premières.

    L'euthanasie du
    rentier est donc bien en route. Evidemment, dans un premier temps les
    gouvernements faux-monnayeurs déclareront indexer les pensions des plus modestes
    sur l'inflation. Dans un deuxième temps, la situation s'aggravant et la retraite
    par répartition faisant peser le poids des inactifs sur des actifs de moins en
    moins nombreux, l'indexation décrochera.

    Pour les
    Etats-Unis, une seule question QUAND se produira une nouvelle impression de
    dollars
    C'est fini. Le mythe de la reprise s'évapore. C'était dans
    le Wall Street Journal du lundi 18 juin. Recovery Slows as Global
    Threats Loom
    ("La relance ralentit tandis que des craintes globales
    surgissent").

    L'article
    s'accompagne d'une succession de graphes que je vous reproduis. Rien que vous ne
    sachiez déjà, je vous ai abreuvé depuis trois ans d'avertissements quant au
    caractère factice de cette reprise par la dette dans l'Investisseur Or et Matières. Le nouveau, c'est que ce
    soit dans le Wall Street Journal.

    Graphes US

    1° graphe : les
    dépenses de consommation reculent. C'est le premier moteur de l'économie
    américaine.

    2° graphe : le
    nombre de demande d'allocations chômage augmente. Eh oui, il y a une logique
    dans tout ça : les chômeurs consomment moins.

    3° graphe :
    l'activité manufacturière ralentit. Donc pas besoin de main-d'oeuvre à
    l'horizon.

    4° graphe : les
    Yankees ont le moral dans les chaussettes. On les comprend.

    5° graphe : les
    économistes abaissent leurs prévisions de croissance. Ce sont les petits pois
    noirs et gris à droite. De toute façon, les prévisions des économistes sont
    fausses. Ce dernier graphe n'est donc pas important.

    En revanche, le
    Wall Street Journal aurait pu le remplacer par un graphe illustrant
    l'état du marché immobilier – deuxième moteur de l'économie américaine – et
    également en panne. Mais tout ceci n'est pas tout.

    La plus grosse
    supercherie est le mensonge sur l'inflation.

    Ce faisant, cela
    permet de gonfler les croissances annoncées et d'endormir M. Le Marché sur la
    question des dettes souveraines qui ne seront jamais remboursées sauf en monnaie
    de singe. Voici un graphe du PIB américain corrigé de l'inflation qui vous
    montre que la fameuse reprise n'est que de la planche à billets.

    Graphe inflation US

    Le procédé est
    lamentable. Il va conduire des deux côtés de l'Atlantique à déconsidérer les
    Etats providence et faux-monnayeurs.

    Vous pouvez
    cocher les cases catastrophes suivantes : "rechute de l'Europe" et "rechute des Etats-Unis". Il reste
    une case à cocher : "éclatement de la bulle immobilière en Chine". Tout le monde
    supplie et préconise un retour à la planche à billets. Ce sera pour bientôt.
    Nous sommes bien en route pour l'inflation – hyperinflation et le discrédit des
    autorités.

     

    ON EN PARLE TOUT LE TEMPS ?

    Le PIB de la première économie européenne pourrait se contracter de 10% et le chômage grimper en flèche, selon une étude du ministère allemand des Finances.
    Le ministère allemand des Finances craint que son pays soit confronté à une importante crise économique et une montée en flèche du chômage en cas d'éclatement de la zone euro, affirme dimanche l'hebdomadaire Spiegel.
    Selon une étude de ce ministère, la première année après un effondrement de la zone euro pourrait voir l'économie allemande se contracter jusqu'à 10%, indique le magazine allemand dans son édition à paraître lundi.
    Le chômage pourrait grimper pour affecter jusqu'à cinq millions d'habitants, d'après le même scénario. En mai, le nombre total de chômeurs s'élevait à 2,855 millions, à 6,7% des actifs, un recul par rapport au mois d'avril.
    "Par comparaison avec de tels scénarios, un sauvetage, aussi coûteux qu'il soit, semble un moindre mal", a expliqué un responsable non identifié du ministère des Finances allemand cité par le Spiegel

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  • Steaks hachés: 3 enfants hospitalisés  

    Trois enfants étaient hospitalisés aujourd'hui matin à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux, infectés pour au moins l'un d'entre eux par la bactérie pathogène E.coli, suite à une intoxication en lien avec la consommation de steaks hachés, a-t-on appris de sources concordantes.

    Trois enfants sont hospitalisés "dont une fillette de huit ans en service de réanimation pédiatrique, à l'état stable mais sévère, un enfant de 14 ans et une petite fille de deux ans et demi dont l'état s'améliore mais qui restent sous surveillance", a indiqué une porte-parole de l'Agence régionale de santé (ARS), précisant que ce bilan de santé avait été effectué dimanche.

    Les recherches effectuées ont confirmé "la présence de la bactérie E. Coli de type O157 dans le cas le plus sévère", a-t-on ajouté. Concernant le garçon de 14 ans et la fillette de deux ans et demi, "les résultats sont attendus demain".

    Les trois enfants hospitalisés entre le 15 et le 20 juin auraient tous trois consommé des steaks hachés achetés dans deux magasins différents, ce qui a entraîné le lancement dès samedi d'une alerte sanitaire notamment par les magasins Intermarché et Netto qui ont vendu la série de barquettes suspectes.

    Il s'agit de steaks hachés frais vendus sous les marques Jean Rozé, Netto et Top Budget produits par la Société des viandes élaborées d'Estillac (Saviel), basée dans le Lot-et-Garonne.

    Les deux enseignes ont appelé avant-hier les acheteurs de steaks hachés dans 16 départements du Sud-Ouest à la vigilance en raison d'un risque possible d'infection à la bactérie pathogène E.coli. La date limite de consommation de ces steaks est largement dépassée (jusqu'au 15 juin), mais il est demandé aux personnes qui les auraient congelés de les rapporter au point de vente.

    Les Escherichia coli peuvent entraîner des diarrhées parfois sanglantes, des douleurs abdominales et des vomissements, accompagnés ou non de fièvre. Ces symptômes peuvent être suivis de complications rénales sévères vers un syndrome hémolytique et urémique (SHU), principalement chez les enfants.

    En juillet 2011, une dizaine de cas d'intoxications alimentaires à la bactérie E.coli de type O157 avaient été recensés chez des enfants dans le Nord de la France. Plusieurs d'entre eux avaient consommé des steaks hachés surgelés commercialisés dans les magasins Lidl et fabriqués par l'entreprise Seb qui a depuis été liquidée.

     

    Halal:comment l’islam a bordélisé nos traditions alimentaires.

    Posté 8 mars 2012 de Alain Dubos

    Le débat sur le faux-filet ritualisé tourne au psychodrame. Ceux qui n’aiment pas trop que l’on soulève les couvercles des marmites où clapotent les brouets le déploreront encore longtemps. D’autres, dont je suis, trouvent là, d’ores et déjà, assez d’espace et de brise champêtre pour respirer la bonne goulée d’air frais qui les sauvent (provisoirement?) d’une lente et inexorable asphyxie.

    La tragi-comédie dont nous sommes les spectateurs tour-à-tour stupéfaits, scandalisés, amusés, choqués, j’en passe, a bien réparti les rôles. D’un côté, des gens simples et honnêtes comme par exemple Madame Demongeot sur LCP, posant des questions à leur image. De l’autre, une basse-cour soudain en panique à la vue du renard malencontreusement introduit dans son enclos jusque là bien gardé.

    Il faut les voir crapoter, ces jocrisses, caquetant et cancanant, piaillant et jouant des ergots pour foncer vers la sortie de ce qui tout-à-coup se met à ressembler bigrement à un piège. Duvets et plumes volent dans une cacophonie en comparaison de laquelle la musique déstructurée d’un Xénakis prend des accents mozartiens. Je dois avouer qu’à écouter cette étrangeté que nul chef d’orchestre ne semble en mesure de pouvoir mettre en ordre, c’est plutôt le fou-rire qui me vient d’abord. L’intrusion du poulet, du bouvillon, du tendre agneau et de la gazelle importée dans la campagne présidentielle française est un coup de génie des auteurs de cette farce.

    J’aime bien me référer à Feydeau. Comme dans ses folies théâtrales menées à cent à l’heure, nous voyons s’ouvrir les placards d’où sortent des gens en caleçon, d’autres sabre à la main et cocufiés autant qu’on peut l’être courant sus à des suborneurs pressés de déguerpir. Des barbons anxieux d’avoir à afficher leur compte en banque tentent de fourguer leur fille à des envoyés du Ministère lesquels, ayant compris l’intrigue et tremblant pour leur avancement, se planquent sous leur bureau en attendant la trente-cinquième heure et le départ en week-end vers ces belles campagnes où cloches de vaches et clochettes de chèvres rythment si aimablement le temps enfin arrêté.

    Ce foutoir mis en scène par un Jacques Tati serait purement divertissant s’il ne recouvrait une réalité moins branquignolesque. Il faut avoir l’incommensurable mauvaise foi d’un Mélenchon, d’un Todd ou d’un Attali pour refuser de voir que l’Islam, avec son entrisme, ses manœuvres, son art de la dissimulation et son goût pour la zizanie chez les autres, est au départ de ce qui peu à peu devient un cauchemar pimenté à l’acide.

    Car c’est bien de lui qu’il s’agit, dès lors qu’il a réussi à bordéliser le pan le plus traditionnel, le plus gaulois, le plus ancré dans la tradition alimentaire de notre pays : l’élevage et sa viande. Blonde d’Aquitaine et mouton du Causse, poularde de Bresse ou percheron, tous sont désormais suspects de nous balancer du colibacille dans le flot sanguin sous pression de la bête tournée vers La Mecque. Chapeau les Imams! Les Allemands nous barbotaient les charolaises par trains entiers. Vous êtes en passe de nous les rendre inconsommables sur place. Dans le genre effet collatéral de vos offensives, c’est du grand art, et les végétariens subitement alertés voteront des deux mains pour vos futurs députés.

    Dans un geste coutumier de soumission au politiquement correct, la classe médiatique, spécialiste du serrage des couvercles sur les cocottes-minutes, cherche désespérément dans ses tiroirs le texte que cette fois, on ne lui a pas donné à réciter par coeur. Panique aussi dans ce poulailler-là. C’est que l’affaire prend des proportions insoupçonnées et la pantalonnade débridée les allures d’un déballage familial  à la Strindberg. Le rire s’efface et la grimace paraît. Je considère qu’à force de considérer la désinformation comme le dernier avatar de la démocratie, elle mérite,  cette armée du conformisme le plus aplati, le malaise au fond duquel elle transpire en attendant SOS-Médecins.

    Restera heureusement le cochon, chez qui, de la narine au tortillon caudal, tout se mange hors des préceptes mahométans.  Petit salé, boudin aux deux pommes, lardons et rôtis. Les Bretons sont des petits veinards,  mais il faut bien, n’est-ce pas, que le malheur des uns fasse, même un peu, le bonheur des autres.

    Alain Dubos                                                                                                                                                                                                              

    Que s’est-il passé en un quart de siècle ? A la fois des changements dans l’économie française et le marché de la distribution et des crispations communautaires issues de la déréliction sociale.

    La question sociale, qu’irritent nos banlieues pauvres, jeunes, peuplées, et frappées par le chômage, est l’oeil du cyclone électoral. Mais les candidats à l’élection présidentielle ne savent ni n’osent la formuler explicitement. D’un côté, les cris d’orfraie, qui font de l’immigration et de l’islam la cause principielle des maux du vieux pays ; de l’autre, la politique de l’autruche, qui se réfugie dans le déni des cultures et occulte ce que les replis communautaires traduisent de la désintégration de notre société. […]

    Au départ, il s’agit de modes de consommation qui s’inscrivent dans une revendication de pluralisme : on mange halal comme d’autres végétarien, bio ou cacher – et les entreprises de distribution ne s’y sont pas trompées, qui déclinent une gamme de produits halal dans les gondoles, friandes d’un marché estimé à 5 milliards d’euros. Mais celui-ci est rapidement investi par les acteurs politiques de l’islamisme, qui voient là une opportunité de contrôle communautaire et s’efforcent de radicaliser et d’exacerber le halal. Paradoxalement, alors que ces acteurs politiques islamistes sont très engagés dans l’antisionisme, c’est le rituel juif de l’abattage qui leur sert de modèle – dans une rivalité mimétique qui conduit à un alignement du halal le plus rigoriste sur le glatt cachère. […]


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  • IMG_1076.JPG

    _ Comment ne pas voir le souffle de Jeanne, vaillante et obstinée, dans Marion Maréchal-Le Pen, élue plus jeune députée de France, sur une terre lointaine, jointe en destrier-TGV, tant l'attente était grande..

    _ Marion-Jeanne venue laver l'affront d'une France vendue, bradée à tous les vents... L'affront d'une trahison, d'une manipulation digne de l'incendie du Reichtag ou de Timisoara... L'affaire de Carpentras... Pour qui a un peu de mémoire et sait les coups tordus de ceux qui veulent éliminer l'adversaire par l'infamie, incapables qu'ils sont de l'affronter loyalement.. Des trahisons de Ganelon au bûchers de Cauchon, il est encore fumant le fumier de l'histoire...

    _ Il n'échappera aux médièvistes et aux amateurs de symboles, que Marion est un prénom récurrent à l'époque Johannique...

    _ Il y a un jour, un âne à la télé qui est venu dire, qu'on pouvait mettre n'importe qui devant la famille Le Pen, même un cheval, qu'il gagnerait, et bien voilà une bien jeune députée, qui renvoie tous les vieux chevaux de retour à l'écurie, et leur donne en quelque sorte une "avoinée"...

    _ Et comment ne pas voir dans l'avocat Gilbert Collard, la réincarnation du truculent et talentueux tribun du peuple, Danton, en espérant que l'échéance lui sera plus douce... Même si rien ne sera épargné au diable d'homme... Qui heureusement est coriace et nous promet de belles passes d'armes, cinglant les petits marquis des médias et sabrant les vieux bretteurs de la politique...

    _ Le génie de la France est de produire dans les moments difficiles de son histoire, des hommes et des femmes d'exception capables de combattre pour son destin...


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  • JUSTICE - Accusés de piraterie, ils sont sortis de la prison dans laquelle ils ont passé les quatre dernières années et sont livrés à eux-mêmes...

    Mardi dernier, leur avocat leur a dispensé un «cours de métro parisien». Un peu plus tôt, Abdullahi, Abdulqader et Abdurahman s’étaient encore perdus dans les entrailles de la Gare de Lyon. Cela fait quatre ans que ces trois Somaliens sont à Paris. Mais cela ne fait qu’une semaine qu’ils découvrent la ville. Soupçonnés d’avoir participé à la prise d’otage de l’équipage du Ponant, en 2008 dans le golfe d’Aden, ils ont finalement été libérés à l’issue du procès. Deux acquittés. Le dernier, condamné à une peine couverte par les quatre ans qu’il avait déjà passés sous les verrous.

    «Nous n’avons pas encore entendu un coup de feu...»

    «Paris a l’air calme, lâche ce dernier. Nous n’avons pas encore entendu un seul coup de feu dans la rue...» De ces trois «pirates», Abdullahi, visage poupin, est le seul à paraître un poisson dans l’eau. Il parle presque français. Et surfe sur Facebook depuis son portable comme si de rien n’était. Pourtant, ce n’est encore qu’un «Somalien dans la ville». Une fois libéré, il s’est extasié en découvrant les propriétés d’un ascenseur et s’est interrogé sur les raisons qui poussent les Français à «enterrer leurs voitures sous les immeubles».

    Mais il panique encore à l’idée de prendre le métro. «Il y a tellement de choses inédites pour eux ici, lâche Yusuf, le traducteur. Il est un peu euphorique...» Pourtant, Abdullahi et ses deux comparses sont désormais dans une autre galère. Sans papier. Sans argent. A la sortie de prison, à peine leur a-t-on remis ce qu’on appelle le «kit pour indigent». Deux tickets de métro. Autant de chèques déjeuners. Et une carte de téléphone de sept euros.

    «Je ne sais pas me servir d’un stylo comme vous mais je sais pêcher les langoustes!»

    Leurs avocats leur ont donc payé l’hôtel avant de trouver un foyer. «On n’est plus avocat. On est citoyen, lâche Grégory Saint-Michel. Si on ne fait rien, Abdulqader va mourir sur un coin de trottoir.» Regard dans le vague, cet homme de 34 ans semble, lui, perdu. Au bistrot, c’est Abdullahi qui lui commande son thé. Et son avocat qui lui apprend qu’il faut glisser le sachet dans l’eau chaude avant de boire. Quand on lui a montré où se situe Paris sur une carte, il a demandé combien de jours de marche il fallait pour rejoindre son village en Somalie.

    Aujourd’hui, il veut pourtant rester dans l’Hexagone. «L’ironie, c’est que si le parquet ne fait pas appel de leur acquittement, ils se retrouveront en situation irrégulière (lire l'encadré)», poursuit l’avocat. Abdulqader ne semble pas comprendre. Il faut seulement lui demander ce qu’il pourrait faire ici pour qu’il retrouve le sourire. «Je ne sais pas me servir d’un stylo comme vous mais je sais pêcher les langoustes!» Avant de se retourner vers son avocat: «Elles sont où les langoustes, ici?»

    C'EST AUSSI A CAUSE DE LA PIRATERIE EFFECTUEE EN MEDITERRANNEE PAR LES BARBARESQUES QU A EU LIEU LA CONQUETE DE L ALGERIE ( et non une guerre de" conquêtes coloniales :                                 

    « Pour les pirates maures, au début, la piraterie est plus une forme de djihâd, une sorte de guerre sainte maritime contre les chrétiens qu’une source de profits »

    Entretien avec Roland Courtinat, auteur de « La piraterie barbaresque en Méditerranée XVIe-XIXe siècle » (éditions Dualpha)

    Propos recueillis par Fabrice Dutilleul

    Comment est apparue la piraterie barbaresque ?

    Après la chute de Grenade en 1492, la Reconquista est terminée. Je montre comment beaucoup de Maures refusent de vivre dans un monde chrétien et se réfugient en Afrique du Nord, base de départ de leurs ancêtres, le cœur rempli de haine contre la chrétienté. Ils n’ont qu’un seul désir : celui de se venger. Sur place, le peuple berbère souffre de la défaite de l’islam andalou. L’émotion berbère, attisée par les marabouts, explique la piraterie, car faute de pouvoir lever des armées à la reconquête de l’Andalousie, les navires maures vont semer la terreur et la désolation sur les côtes ibériques.

    Vous démontrez qu’initialement, leur objectif n’était donc pas le simple brigandage ?

    Pour les pirates maures, au début, la piraterie est plus une forme de djihâd, une sorte de guerre sainte maritime contre les chrétiens qu’une source de profits. J’en apporte les preuves. Ce n’est que plus tard, sous l’impulsion des Turcs, que la piraterie deviendra brigandage et les soldats de l’islam des pirates. L’essor pris par la piraterie étant devenu redoutable, les pirates s’associent entre eux, puis avec le souverain turc d’Alger. C’est l’ère de la piraterie barbaresque. Avec l’accord du souverain concerné, la piraterie devient alors une guerre maritime de prééminence religieuse entre l’islam et la chrétienté. Mais ce n’est pas la seule motivation, car apparaît aussi la notion de profit. La Régence d’Alger ne possède aucune économie publique et ne peut subsister que par la piraterie qui lui procure l’équilibre de son budget par la vente des marchandises capturées sur les navires arraisonnés, et, bien sûr, la vente des esclaves.

    Vous décrivez également ce qu’était la Régence d’Alger ?

    Au début du XVIe siècle, le Maghreb est une mosaïque de roitelets plus ou moins indépendants. Certains même payent tribut à l’Espagne. Après bien des péripéties, Kheir-ed-Din, l’un des frères Barberousse se rend maître d’Alger. Très habilement, il offre au sultan de Constantinople la souveraineté de son nouveau territoire. Le sultan accepte d’autant plus aisément que cette suzeraineté lui permet de mettre un pied dans le bassin méditerranéen occidental. C’est ainsi qu’Alger devient la Régence d’Alger, possession turque, qui le restera jusqu’en 1830, soit 312 ans plus tard.

    Vous parlez dans votre livre de la Taïffa des Raïs…

    La plupart de ces capitaines-pirates, les raïs, sont des renégats issus des provinces misérables du pourtour méditerranéen. D’origine chrétienne ayant renié leur foi, ils sont recrutés par leurs aînés, souvent leurs ravisseurs. Le frère bénédictin de Haëdo, lui-même captif à Alger, dénombre en 1612, parmi les 35 principaux raïs d’Alger, 24 d’origine chrétienne. Ils sont réunis dans une corporation, la Taïffa, qui, avec l’Odjak de la milice des janissaires, forment les deux institutions dominatrices dans la Régence turque d’Alger. C’est la Taïffa qui, par ses prises, entretient la prospérité de la ville et de ses finances. C’est la Taïffa qui élit ou exécute à sa guise les deys d’Alger.

    Dans votre livre vous présentez l’esclavage comme le corollaire de la piraterie…

    Il n’y a pas d’esclavage sans piraterie. Le pirate fait des prisonniers qu’il vend ensuite sur le marché des esclaves ou qu’il garde dans sa part de prise pour compléter les rameurs de sa chiourme. En 1580, de Haëdo estimait à 25 000 le nombre d’esclaves chrétiens détenus à Alger. Le père trinitaire Dan en dénombrait 30 000 en 1634. Qui le rappelle de nos jours ?

    Quand disparaît la piraterie barbaresque ?

    Le dernier acte de piraterie remonte à 1823. L’Europe ne pouvait plus supporter la piraterie et l’esclavage en Méditerranée, champ d’action propice aux rapines, à la traite des femmes, au trafic des esclaves que je n’hésite pas à rappeler dans mon livre. Presque toutes les interventions navales contre la Régence d’Alger s’étaient soldées par des échecs. Ce n’est qu’à la réunion des puissances européennes à Aix-la-Chapelle en 1819, que le congrès mandate les gouvernements anglais et français pour notifier au dey d’Alger la volonté de l’Europe de voir supprimée la piraterie. Le dey d’Alger se moque de cet ultimatum. Après le « coup de l’éventail » donné au consul de France à Alger en 1827, le gouvernement français décide d’une intervention militaire. Contrairement à l’imagerie d’Épinal qu’on veut bien lui donner, l’expédition française n’est donc pas un honteux prétexte pour coloniser une contrée paisible et sans défense.

    Reste-t-il encore des traces de ces pirates ?

    La présence française s’est faite en Algérie avec des généraux qui avaient servi dans les armées de la Révolution, puis de l’Empire. De Cadix à Moscou, ces soldats français libéraient les peuples opprimés d’Europe au nom de la Liberté et des Droits de l’Homme. Arrivés à Alger, leur premier acte a été de détruire les quartiers pénitentiaires tristement célèbres, se souciant peu de la conservation de vestiges qui symbolisaient à leurs yeux la société médiévale qu’ils avaient partout combattu.

    En revanche, les pirates se sont durablement installés en Provence pendant la totalité du Xe siècle. On leur doit le Cannet des Maures, le massif des Maures, la forêt des Maures. Leur néfaste influence est également palpable dans un pays comme l’Italie à vocation maritime avec un immense balcon, tant sur la Méditerranée que sur l’Adriatique, et qui a finalement renoncé à cause de la piraterie.


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  • La délinquance se fout de Normal 1er et

     des élections législatives

    La délinquance se fiche de l’élection de « Normal 1er » et de ses janissaires en peau de lapin. La délinquance n’a pas d’état d’âme socialiste, ni d’état et encore moins d’état de grâce.

    Elle se moque des discours lénifiants de la Taubira, de l’Aurélie sans auréole culturelle. Elle se moque de la Justice et cultive le bracage au lieu de se cultiver l’esprit. Elle se shoote au cannabis et shoote du flic en passant, sous les yeux étonnés des clowns socialistes et autres Frontistes de gauche qui pensaient qu’ils leurs suffiraient d’être au pouvoir pour que cette délinquance issue des « cités défavorisées », venue en partie des « minorités visibles », victime de la méchante société raciste, soit touchée par la grâce hollandaise et se calme et rende les armes, béate d’admiration devant cette mouvance politique.

    Ce n’est qu’un immense éclat de rire qui blesse au visage, un crachat, un pet à cette croyance politiquement correcte. Cette délinquance a encore gagné du temps. Elle a repris de plus belle, et que les bobos prennent garde, elle s’en fiche que vous soyez socialiste, communiste, écolo et j’en passe! Quand elle vous tombera dessus au hasard de ces méfaits, ces bobos si compréhensifs et si peu sains d’esprit, appeleront une police qui ne bougera pas plus demain qu’hier parce que ligotée. http://www.nordeclair.fr/Actualite/2012/06/19/metropole-lilloise-la-poste-match-kiabi.shtml

    Ces représentants boboistes appeleront la Justice qui les balaiera comme d’habitude d’un revers de main comme on balaie habituellement les justiciables et les victimes par un « classé sans suite »! Comprendront-ils alors que la délinquance ce n’est pas seulement Gavroche mais aussi son père Thénardier qui volait les blessés et les morts sur des champs de bataille!

    Victor Hugo serait dans la juste outrance et dirait sûrement en alexandrin bien mieux que moi, toute sa colère face à la bêtise de la gauche bien pensante.

    Ce monde nous appartient puisqu’ils nous le laissent!

    La terre est à nous et ses hommes sont en laisse!

    Nous somme la force, nous sommes la puissance.

    Nous sommes des loups et  ils sont « moisis et rances ».

    Violents nous avons la justice comme complice,

    Destructeurs, nous abattrons toute les Polices                                                                                                                                 

    Il n'y aura pas de changement

    Par Joachim Véliocas. Directeur de la rédaction.

    Beaucoup pensent que l’accès au pouvoir de F.Hollande va fondamentalement changer la donne. Droit de vote des étrangers? Il était donné de facto par le gouvernement précédent, qui en naturalisant entre 120 000 et 150 000 étrangers chaque année, fabriquait déjà des électeurs de gauche. Régularisation des clandestins? Depuis 10 ans, Nicolas Sarkozy à l’Intérieur et après 2007  ses proches ont régularisé en moyenne 25 000 clandestins chaque année, jusqu’à signer des accords avec la CGT afin de régulariser les travailleurs clandestins de la restauration…

    Les avancées territoriales du Maroc, de l’Algérie et de la Turquie via le financement et le contrôle de Grandes mosquées destinées à devenir des centres de vie sociale pour les colons musulmans, se poursuivra à un rythme régulier, les écoles secondaires musulmanes reconnues par l’état continueront à s’ouvrir. Doucement mais sûrement, le grignotage se poursuivra.

    Pour ceux qui s’illusionnent sur une intégration tranquille de peuples entiers dans la civilisation française, nous ne pouvons rien contre leur croyance folle de l’avènement d’un multiculturalisme qui n’a jamais émergé dans l’Histoire, Juge froide et dépassionnée qui ne relate que des juxtapositions de populations. Comme l’écrit le professeur de littérature arabe et historien de Al-Andalus Serafin Fanjul, qui vient d’entrer le 22 avril dernier à l’Académie d’histoire espagnole pour son expertise sur l’époque de la colonisation islamique dans la Péninsule ibérique :

     

    « L’observation des sociétés antiques et modernes induit des conclusions pessimistes sur le résultat d’une mise de groupes humains aux différences marquées sur une même terre, spécifiquement dues au facteur religieux –mais aussi ethnique et culturel– se faisant un élément désagrégateur majeur qui génère des conflits. […] l’incongruité paradoxale d’un côté, de chanter les merveilles de la coexistence de communautés très distinctes, alors que celles-ci, dès qu’elles disposent de la force nécessaire, essayent de s’imposer et d’effacer les minoritaires, ou– en se donnant une cohésion géographique et démographique– constituent des entités politiques nouvelles et différenciées de l’agglomérat antérieur »

    Et Fanjul exhortant à porter la réflexion sur  les précédents Yougoslaves, Turcs, Libanais, Phillippins, Indonésiens, Irlandais, Indiens, en ironisant sur les « rencontres, forums, symposiums et colloques » inter-religieux…                                                                                          Justice de merde :

    Une erreur  judiciaire enfin réparée ! TOUT VA BIEN  ! 

     Fraude: Lies Hebbadj innocenté! 
                                   

                                    

     Le juge d'instruction de Nantes Jacky Coulon a prononcé un non-lieu dans le dossier de fraudes aux prestations socialesimpliquant Lies Hebbadj, son épouse, et trois de ses compagnes, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.  Le parquet a fait appel de cette décision. "L'examen du dossier n'a débouché sur aucune preuve sérieuse à charge par rapport à Lies Hebbadj. L'essentiel des charges qui pesaient sur lui se dégonflent. La montagne a accouché d'une souris", s'est félicitée son avocate Cécile de Oliveira. 
         Lies Hebbadj était poursuivi pour "complicité de fraude pour obtention de prestation ou allocation familiale indue (allocation dite parent isolé et revenu de solidarité active majoré) par dissimulation d'une vie maritale de fait avec Sandrine Mouleres et Sonia Yaker pour un préjudice d'un montant estimé de 90.000 euros", selon le parquet. 
    Sur une période allant d'avril 2007 à mai 2010, Sandrine Mouleres - verbalisée puis relaxée en 2010 pour                                 port du niqab au volant -, et Son épouse poursuivie fin novembre dernier pour infraction à la loi sur la dissimulation du visage - on notamment touché l'une ou l'autre de ces  allocations. L'épouse légitime de Lies Hebbadj,  Miriana, était poursuivie pour fraude par fausse déclaration de présence sur le territoire national ainsi que de celle de ses enfants légitimes pendant plus de trois mois, pour un préjudice d'un montant de 3426 euros. 
      Lies Hebbadj a été médiatisé en défendant en avril  2010 Sandrine Mouleres, qui contestait un PV de 22 euros pour port du niqab au volant et qui a obtenu gain de cause en décembre 2010.

                                   
                                    

     

     

       Une bonne nouvelle !   Nous allons continuer à lui verser ses rentes !   Un juge courageux a "blanchi" ce bon Liès, qui va donc pouvoir continuer à s'engraisser grâce à nos impôts ! Ses"conjointes" vont pouvoir doubler l'épaisseur de leurs niqabs et même passer à la burka ! Quant à ce juge efficace, le dénommé  Coulon (le bien-nommé  !)  il                                 peut postuler pour une mutation dans l'enclave :Sa place est dans le 93, avec ses collègues que les "chances pour la France', là-bas, appellent"les Pères Noël" ! Dans le même temps, le maire gifleur a été condamné, lui ! Normal, il se croyait encore chez lui.Pauvre France, tu coules vraiment à pic                            
                                    

                  

     


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  • Au cas où vous n'auriez pas lu l'information de ces derniers jours la firme  Jet Aviation basée à l’Air port Bâle/Mulhouse veut dégraisser plus de 200 personnes alors que son carnet de commande est plein,  je viens d'apprendre une bien bonne .
     Une information plus que sûre ( par une source même de la direction de cette entreprise ) que les 2 avions Falcons de la présidence française   vont être modifiés à Mulhouse  pour la raison suivante :
    Tenez vous bien et attachez vos ceintures de sécurité !
     Le logement des bouteilles de champagne (le diamètre)  placé sur les accoudoirs du siège de Monsieur le président et de sa dame ne correspond pas  au diamètre  de la marque  de champagne que Monsieur notre président et sa dame boivent , en effet   le président Hollande ( sobre)  ne boit pas du jus d'orange comme notre ancien président bling bling,  donc il faut impérativement changer ces accoudoirs  accueillir et  loger les grosses bouteilles de champagne  et bien sûr encore bien d'autres petits gadgets , ( un emplacement réfrigéré aussi dans l'accoudoir pour loger le caviar à la place du cendrier  ) Cette petite  modification  revient à plus de 450 000 € aux frais du contribuable français) voila ce qu'on appelle un président normal.
     Cordialement un grand admirateur de notre grand François II le nouveau monarque qui vient d'être con sacré ( pas un sacré con ) par des français encore plus con que notre François I

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  • Rennes : Killian, 13 ans, violemment tabassé par Souleymane, est décédé (màj)

    Publié le 24 juin 2012 par
    Addendum 24/06/12 :

    « Ni l’un ni l’autre » des deux garçons « n’étaient connus » des services de police, même si l’agresseur présumé avait déjà fait l’objet « d’une mesure bénigne » de rappel à l’ordre, a déclaré le procureur qui n’a pas voulu préciser le fait en cause. Le procureur a par ailleurs confirmé qu’il « semble » que le garçon mis en cause fasse de la boxe. – TF1 News

    ___________________________

    Pendant ce temps là à Brest, des parents d’élèves, des associations, des syndicats et même Reza Salami, le suppléant de Patricia Adam, députée PS font tout pour empêcher l’expulsion d’une famille Tchéchène (le Télégramme)

    ___________________________

    Le collégien, d’origine Tchéchène, serait arrivé en France récemment. Il n’était scolarisé au collège de Cleunay que depuis quelques mois.[...]La dispute a continué l’extérieur du bâtiment. Killian a été étranglé « pendant une minute, une minute et demie », relate le père du témoin, qui ajoute que le meurtrier présumé pratiquerait des sports de combat. [...] Selon le père du camarade de la victime, un lâcher de ballons devrait être organisé pour célébrer la mémoire de Killian. – Le Mensuel de Rennes

    ___________________________

    Selon un syndicaliste policier breton contacté par Le Figaro, l’agresseur serait d’origine Tchétchène. «La communauté tchétchène est importante à Rennes et Vannes», dit-il. Killian, «de constitution frêle» selon les policiers sur place, «a été frappée par son agresseur qui lui a mis deux coups de poing puis s’est acharné sur lui en l’étranglant, le mettant en détresse respiratoire».

    Le Figaro

    ___________________________

    Le parquet de Rennes a annoncé ce samedi matin que le jeune garçon de 13 ans, blessé hier lors d’une bagarre dans la cour de son collège, venait de succomber à ses blessures. [...] Nouvelle victime de l’immigration à Rennes : Killian, un petit Breton tabassé à mort… mais le « ministre » ne se déplace que pour la racaille !

    Publié parlegaulois.info
    Le gamin avait 13 ans et toute sa vie devant lui… sauf que sa vie à lui s’est arrêtée à 13 ans… c’est court pour une vie. Pourquoi est-il mort si brutalement ? Il aurait, selon certains journaux, osé regarder Souleymane dans les yeux au lieu de baisser la tête… Et le « présumé » responsable, fort de son bon droit de caïd de 16 ans en troisième dans un collège de Rennes, aurait à priori explosé la tête de ce petit gamin sur le sol à coups de pieds, lui bloquant la carotide du bout du pied…
    Killian est mort. À 13 ans. Normal ? Non. Abject, oui ! Devons-nous nous souvenir de ce voleur de scooter qui dès l’accident avec les forces de police a eu droit à la visite d’Emmanuel Valls ? Killian a-t-il eu droit sur son lit d’agonisant à la visite des plus hautes sphères de l’État ?
    La réponse est tristement, horriblement, non !
     

    Imaginons l’inverse… Killian, 13 ans tabasse à mort Souleymane, 16 ans… Le MRAP, SOS-Racisme, la LICRA, et tout le toutim seraient intervenus en parlant des «heures les plus sombres de notre histoire ». Mais Killian avait 13 ans, il était Breton… et au fond, cela va suffire à trouver des circonstances atténuantes à la présumée violence meurtrière de Souleymane… Évidemment !
    Pourquoi Valls n’  est-il pas venu de suite ? Pourquoi ces communiqués larmoyants de la part de ce gouvernement qui ne s’est pas donné la peine de se déplacer avant la mort de ce gamin ? Terrible affaire à suivre… Mais gardez en mémoire les événements. Bienvenue dans le monde socialiste.
    Nationpresse.info (posté par Marino)                                                                                                                                                                 

    Eh oui, le Souleymane était très fier de son coup, pensez donc, mettre k.o un petit de 13 ans frêle comme une crevette, quelle gloire ! Ca a bien dû les faire marrer lui et ses copains.

    Le Ministre de l’Education est venu parader comme il se doit dans le collège, et laissant s’exprimer une grandiloquence obscène s’est dit « impressionné par la force d’âme » du personnel éducatif.

    Il n’a pas précisé si des dispositions seraient prises pour que la surveillance soit plus drastique dans les collèges où habituellement les surveillants sont plus habitués à deviser entre eux qu’à surveiller les enfants, il n’a pas évoqué l’idée de renforcer les mesures de rétorsion pour les délinquants mineurs quelques jours après que Mme Taubira ait réclamé la suppression des tribunaux correctionnels pour les mineurs multirécidivistes alors que le meurtrier de Killian avait par ailleurs déjà fait l’objet « d’une mesure bénigne » de rappel à l’ordre selon le procureur, il n’a pas davantage exprimé le souhait d’une peine exemplaire pour punir l’acte de Souleymane, le réfugié tchétchène à qui ses parents n’ont évidemment pas appris qu’en France on ne tue pas ses camarades d’école, même s’ils sont mécréants.

    Je terminerai par ces quelques mots dérisoires et poignants à la fois laissés par les amis de Killian qui résument à eux seuls la peine et le deuil que nous portons tous aujourd’hui.

    « On t’aime Kyllian (sic) »

    « On pense fort à toi et à ta famille »,

    La ministre de la Justice, Madame Christiane Taubira, est-elle saine d’esprit ?

    La question mérite d’être posée, à défaut de pouvoir y répondre.

    Pour Christiane Taubira, « le tout-carcéral ne marche pas » et « il faut développer les alternatives à la prison ». Dans le même ordre d’idée, elle estime que la sanction des mineurs délinquants « doit avoir un objectif éducatif ».

    Le fait est que le « tout-carcéral » n’a simplement JAMAIS été expérimenté dans ce pays pour les mineurs délinquants qui sont, entres autres, responsables de 44% des incendies criminels et de 41% des viols alors qu’ils ne représentent que 5% de la population.

    On est donc en droit de se demander en vertu de quoi Madame Taubira prétend que le tout carcéral ne marche pas.

    L’expérience de d’autres pays peut-être ?

    Mais Madame Taubira a raison en fin de compte: le tout carcéral ne marche pas. Je vais d’ailleurs vous en donner la preuve irréfutable: Abdallah Boumezaar qui, après avoir purgé une peine ferme de 6 ans, n’a rien trouvé de mieux à faire que d’assassiner deux gendarmes suite à un ridicule vol de sac à main.

    Le constat est indéniable : son séjour derrière les barreaux l’a préparé à tout sauf à une « réinsertion » réussie.

    Il faut donc trouver des alternatives à la prison. Concernant Abdallah Boumezaar, j’ai une solution qui aurait vraisemblablement pu fonctionner dans son cas.

    Il aurait fallu lui verser un revenu de 15 000 € nets par mois, sans aucune obligation de travailler bien entendu. En plus il aurait été convenable de lui fournir un logement de fonction (disons un 300 mètres carré avec terrasse et piscine intérieure) et une limousine avec chauffeur.

    Pour les mineurs délinquants, je suggère des vacances tout compris en Polynésie à chaque été, durant 2 mois, dans des hôtels 5 étoiles, avec en prime des allocations de 1000 € par semaine pour leurs petites dépenses personnelles. On leur donnera des cours de surf ou de ski nautique. Il faut bien leur apprendre quelque chose, non ?

    L’hiver, on organisera des vacances à Courchevel. On leur donnera des cours de ski, ou de snowboard.

    Educatif ? Certainement. Aussi je suggère également que trois ou quatre professeurs privés soient embauchés pour instruire nos mineurs délinquants, à leur domicile. Ils n’auront même plus besoin de se déplacer pour aller à l’école.

    Madame Christiane Taubira s’est visiblement arrogée le droit de gaspiller l’argent des contribuales et de mettre les honnêtes citoyens en danger pour nous prouver que son utopie du « tout-rééducatif » peut fonctionner.

    Vous vous en doutez certainement, ça ne marcheras pas. Tout simplement parce que la France n’a JAMAIS été dans le tout-répressif avec les mineurs délinquants. La France se situe depuis longtemps dans le laxisme et la culture de l’excuse la plus totale pour ces adorables chérubins.

    Mais cela ne suffit visiblement pas à Madame Christiane Taubira. Nous sommes encore trop durs envers ces pauvres petits, voyez-vous…  Je suis certain que les interrogatoires de la Gestapo étaient moins pénibles que ce qu’on fait subir à ces pauvres « jeunes ».

    De mon côté, j’ai fini par être dégoûté de payer pour de la racaille irrécupérable. Ras-le-bol de me faire siphonner également par la LICRA, SOS Racisme, MRAP et la LDH. Et ainsi de suite… Vous comprenez ? Je ne veux plus payer ne serait-ce qu’un seul centime pour mettre en œuvre les utopies de ceux et celles qui dirigent ce pays.

    J’ai donc décidé de m’organiser pour ne plus payer d’impôts : j’ai arrêté de travailler.

    J’ai rejoint depuis un certain temps les rangs des assistés et des parasites sociaux en tout genre. Cette société ne me laisse pas d’autre alternative.

    Et je vous suggère d’en faire autant.

    Jean Descarte                                                                                                                                                                                                           

    Les journalistes ont raison, surtout pas de prison pour le pauvre Souleymane, il y croiserait des assassins !

    Je réagis à des propos proférés à la radio au sujet de « l’altercation » qui a mal tournée entre Souleymane et Killian.

    « Les ados ils se battent pour rien , les garçons jouent leur virilité sur un regard »

    « Des bagarres il y en a des milliers et depuis toujours, c’est pas dû à la mauvaise éducation »

    « De temps en temps ça se finit mal, les petits gamins ils sont pas connus, ça s’est passé à Rennes, on va pas en faire un fait de société, on va en faire un regrettable accident… »

    « Qu’est-ce qu’on fait de cet enfant ? J’ai pas envie qu’on le mette en prison »

     

    Vous savez ce qui me dégoûte ?  C’est le fait que depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7 650 € de leur salaire imposable.

    Manifestement, dans ce pays, être un connard de première division, ça rapporte des €€€. Beaucoup d’€€€€. S’il y a une niche fiscale qu’il faudrait supprimer en premier, c’est bien celle-là.

    Ainsi donc Souleymane, âgé de 16 ans, largement plus baraqué et plus fort que le petit Killian âgé seulement de 13 ans, aurait voulu lui montrer sa « virilité ».

    Je dirais plutôt qu’il a montré à la France entière sa lâcheté, à l’exception faite d’un certain nombre de crétins pathologiques qui en feront au mieux une victime, au pire un héros.

    Souleymane n’était pas violent, nous a-t-on également seriné à la télé-bidon. Il pratiquait apparemment la boxe, un sport très doux, tout en finesses. Un brave gros nounours ce petit Souleymane.

    Parents d’enfants, je vous le dis, méfiez-vous des adolescents qui jouent aux échecs : ce sont les plus violents et les plus vicieux qui soient.

    Une bagarre donc… Etrange bagarre pour un boxeur cependant. Normalement, Souleymane aurait dû passer le K.O. à Killian, comme tout boxeur qui se respecte.

    Mais l’enfant est mort de strangulation. Fort heureusement, les médecins légistes ne font pas encore partie de cette catégorie de dhimmis méprisables qui véhiculent des informations mensongères. On peut donc croire à  leur autopsie.

    Strangulation donc… Souleymane ne pratiquait-il pas plutôt le free fight, les combats extrêmes ? Car la strangulation à la boxe, jamais vu ça de ma vie…

    Bref, un bagarre où l’agresseur a carrément étranglé, et pendant longtemps, sa victime, ce qui aura finalement provoqué sa mort.

    On nous affirme que des bagarres il y en a toujours eu.  C’est vrai. Mais se faire battre à l’école au point d’y laisser la vie,  de mon temps, je n’ai jamais vu cela. JAMAIS.

    Il est vrai que j’ai fait mes classes à une époque où nous n’avions pas encore la chance de jouir des bienfaits que nous apporte l’immigration et la diversité.  Le « vivre ensemble » était un concept qui n’avait pas encore été inventé.

    La question mérite d’être posée, même si on connaît déjà la réponse : quelle aurait été la réaction de nos élus si c’était un de leurs enfants qui avait succombé à cette agression sauvage ?

    Se serait-on contenté de discours et de ballons gonflés à l’hélium ? J’en doute…

    Il s’agit évidemment d’une hypothèse surréaliste : nous savons tous qu’en France, les enfants des élites ont des établissements scolaires bien à eux. On ne mélange pas les Seigneurs avec les serfs, ni les Patriciens avec la plèbe.

    Vous avez raison, Messieurs les Journalistes, inutile d’en faire un fait de société, il ne s’agit que de la mort d’un enfant lambda. Une banale altercation qui a mal tourné. Un coup de malchance, la poisse qui s’est acharnée sur ce pauvre Souleymane.

    Quant à Souleymane, vous avez encore raison : il ne faut surtout pas le mettre en prison ! Il y croiserait des meurtriers, ce qu’il n’est manifestement pas. Il a droit à un « avenir », à une « seconde chance », n’est-ce pas ?

    Killian, lui, n’aura pas droit à une seconde chance. Il a quitté ce pays pourri à la moelle de façon définitive. C’est peut-être là en fin de compte sa seule véritable chance.

    Jean Descarte

                                                                                                                                                    


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  • PARIS - Le ministre français des Affaires européennes Bernard Cazeneuve presse les dirigeants européens de "démontrer aux peuples d'Europe qu'il existe un projet fédérateur qui redonne du sens, qui fasse naître un nouvel espoir", dans un entretien au Journal du Dimanche.

    M. Cazeneuve, interrogé à propos d'un sondage européen sur les chances de la Grèce de sortir de la crise et sur l'avenir de la zone euro, se dit préoccupé par "l'incapacité dans laquelle l'Union européenne s'est trouvée jusqu'à présent de répondre dans l'urgence aux défis auxquels l'Europe est confrontée. Cela se trouve à l'origine de la défiance des peuples", a-t-il estimé.

    "Face à ces crises, nous avons besoin de réponses urgentes, de plus de solidarité, et à terme, de plus d'unité pour rendre l'Europe plus efficiente", souligne le ministre qui estime par ailleurs qu'il "s'agit d'éviter que les peuples d'Europe soient condamnés à l'austérité à perpétuité".

    Le sondage, réalisé simultanément en France, Allemagne, Espagne et Italie, montre un très fort scepticisme des citoyens de ces pays sur la capacité de la Grèce à combler sa dette et son déficit et à rester dans l'euro. Mais il indique également l'attachement des Européens à leur monnaie commune.

    "Ce qui me surprend, c'est la contradiction des réponses apportées", déclare le ministre. "Or, on ne peut pas à la fois croire en l'euro et récuser les mécanismes de solidarité qui garantissent la stabilité finencière et monétaire".

    M. Cazeneuve estime que dans la recherche d'un compromis entre dirigeants européens, "on a beaucoup progressé cette semaine. La croissance est désormais considérée comme une priorité absolue. On travaille tous ensemble pour donner à cette ambition un contenu concret".

    "Mais dans le même temps, nous avons tous besoin d'une feuille de route, d'un calendrier précis, si l'on veut que les mesures de redressement financier et monétaire aillent de pair avec davantage d'intégration politique", insiste M. Cazeneuve

    Les 28 et 29 juin, se réunit à Bruxelles un sommet européen crucial des chefs d'Etat et de gouvernement pour tenter de trouver des moyens de lutter contre la crise de la zone euro. Il sera précédé mercredi soir à Paris par une rencontre entre la chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande.

    Vendredi à Rome a eu lieu un mini-sommet Italie-France-Allemagne-Espagne, destiné à préparer le sommet de Bruxelles.


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  • Spécial

     

    Six mesures d'urgence
    à prendre
    avant l'éclatement
    de la Zone euro !

    Faut-il retirer au plus vite
    l'argent de votre compte ?

    Faut-il avoir du liquide
    sur soi ? Si oui, combien ?

    Faut-il ouvrir un compte en Allemagne,
    au Canada ?

    Faut-il acheter de l'or ? Si oui, en quelle
    quantité ?

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    ces questions
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    Cher
    Lecteur,

    Un nouveau jour se
    lève et les premiers rayons de soleil s'immiscent dans votre maison – vous êtes
    d'humeur radieuse et décidez d'offrir à votre épouse un petit-déjeuner de
    reine.

    Vous quittez votre
    domicile et vous dirigez vers le distributeur le plus proche – arrivé sur place,
    vous découvrez quatre personnes en train de faire la queue.

    On dirait que vous
    n'êtes pas le seul à vouloir faire plaisir à votre femme ce matin ! Ce n'est pas
    grave, vous vous dirigez vers un autre distributeur, un peu plus
    loin...

    Mais là
    surprise... à nouveau, un petit groupe de personnes patiente pour retirer de
    l'argent ! Ce n'est pas normal... vous sentez les nuages s'amonceler au-dessus
    de votre tête.

    Vous voulez en
    avoir le coeur net et demandez des explications à un quidam – il vous répond
    sans ménagement : "Mais vous étiez où depuis hier soir ? Les négociations avec
    la BCE ont été rompues – il faut se préparer à la fin de l'euro."

    Un peu hébété,
    vous faites...comme tout le monde, et patientez jusqu'à pouvoir retirer le
    maximum de liquide que vous le pourrez – au cas où...

    Finalement, c'est
    votre tour...vous composez votre code à l'abri des regardes indiscrets... et
    découvrez que les retraits sont plafonnés : vous n'avez droit qu'à
    100 euros de liquide maximum...

    Vous pensez que ce
    scénario est impossible ? C'est pourtant ce qui nous attend si la Zone euro
    venait à éclater : les organismes bancaires les plus fragiles pourraient faire
    faillite... certains comptes pourraient être plafonnés voire momentanément
    bloqués – et ce n'est pas tout...

    L'euro serait
    abandonné au profit du franc, avec une dévaluation de plusieurs dizaines de
    pourcents... ce qui signifie une perte de la valeur de votre épargne, de votre
    pouvoir d'achat... et une réduction conséquente de salaire de 20 à
    30%.

    Au niveau
    européen, les frontières pourraient être fermées pour parer aux risques de fuite
    des capitaux mais aussi aux migrations de "populations à risque". Ce serait la
    fin du rêve européen – personne ne peut dire à ce jour si nous pourrons échapper
    à ce scénario.

    Quoi qu'il arrive,
    vous devez prendre conscience qu'il faut agir maintenant


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  •  EN AVEZ VOUS ENTENDU PARLE : NON ( et pourtant l'Islande à résolu la crise et ses problèmes de dettes et a mis les responsables en prison )  La France : c'est pour quand ?                                                                                                                                                                                                                                                                                   


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  •    

    Chers amis,

    Un gendarme vient de nous  écrire. Il réagit au meurtre de deux de ses collègues par un multirécidiviste à  Collobrières.

    Il faut lire son texte  jusqu’au bout, c’est un témoignage exceptionnel, en intégralité ci-dessous. Car  le meurtrier n’aurait jamais dû être en liberté : si la peine plancher  avait été prononcée, deux femmes, deux gendarmes seraient encore en vie  aujourd’hui.

    Laurence Havel

                                                                ******                   

    Bonsoir à  tous les membres de l’association ainsi qu’à ceux qui font qu’elle existe.

    Je  souhaitais évacuer l’immense peine qui m’envahit depuis l’annonce du décès de  mes deux collègues féminins gendarmes.

    Je ne peux  m’empêcher d’être en colère et d’avoir le goût du sang dans la bouche. Il n’y a  plus aucune limite chez cette partie de la population qui semble avoir acquis  ses valeurs dans un univers virtuel ; mais tellement réel pour les  familles de leurs victimes !

    J’apprends  que Abdallah Boumezaar pourrait être mis en examen avec sa compagne. Il  était incarcéré jusqu’au mois de septembre dernier ! Il s’agit d’un  multirécidiviste incontrôlable qui bénéficie de l’abandon d’une justice étouffée  par un pouvoir politique bien-pensant ! Quel est l’intérêt d’une  information judiciaire face à de tels actes ? Demander à  des gendarmes d’auditionner des membres de sa famille afin de pouvoir  dire que c’est un adulte qui a connu une enfance difficile ? Lui trouver  des circonstances atténuantes ou un début d’explication à son acte  barbare ? Dépenser une fois de plus l’argent du contribuable pour influer  sur la décision de la cour d’assises ? Connaître, à travers des expertises  et contre-expertises, les angles de pénétration des balles avec lesquelles il a  tué les gendarmes ? Avec un peu de chance les délais des expertises  lui permettront de ressortir avant son jugement et de pouvoir fuir ; voire  faire de nouvelles victimes pour devenir une star du petit écran !

    Le ministre  de l’intérieur nous explique que la nation va rendre hommage à nos deux  collègues décédées alors que dans le même temps M. HOLLANDE souhaite abolir les  peines plancher qui « sont contraires au principe de l'individualisation  des peines». La justice publique est venue brider la justice privée en lui  promettant d’être dissuasive et de protéger l’individu. Où en sommes-nous  aujourd’hui ? 90€ pour un dépassement de 6 km/H en agglomération  avec un système de recouvrement plus onéreux que la créance et une violence  galopante épargnée par un pouvoir condescendant...

    Je suis chef de groupe enquêteur en unité de recherches au  sein de la gendarmerie nationale (l’Institut pourra relayer vos  messages car je me suis clairement identifié auprès de lui et il a pu vérifier mon appartenance à l’institution). Je sors de mon  devoir de réserve et de mon anonymat pour crier ma colère. Je suis âgé de 40  ans et cela fait maintenant 18 ans que j’accompagne les victimes. Je me suis  investi corps et âme durant plusieurs années de mon existence pour mon métier  et au détriment de ma famille. Je ne regrette aucun de ces moments offerts aux  victimes et à leur famille. Aujourd’hui je ne me reconnais plus dans ce système  régenté par les statistiques et qui permet aux délinquants de faire partie du  paysage audiovisuel entre deux sujets d’information au journal télévisé ;  quand ce n’est pas entre deux publicités !

    Nos  représentants ont le devoir de nous protéger des prédateurs qui menacent la  cité. Je me tourne vers chacun d’entre vous messieurs et mesdames nouvellement  élus. Rappelez-vous que vous avez promis de défendre les intérêts et de  garantir les droits de chacun de vos concitoyens. Comment pouvez-vous tolérer  et permettre de telles choses qui durent maintenant depuis de si nombreuses  années ! Les policiers et les gendarmes sont-ils en  guerre ? Doivent-ils mener le combat de la paix publique seuls ? Ne  serions-nous pas en droit de brûler des voitures ou des containers à poubelles  pour être entendus à notre tour ? Est-ce ainsi que vous apportez votre  soutien aux garants des libertés individuelles ?

    Je croise  les doigts régulièrement pour que l’un de mes proches ne soit pas victime d’un  tel individu car je sais que cela aura pour conséquence de m’anéantir. Dois-je  prendre les armes pour protéger ceux qui me sont chers ?

    Je crains  malheureusement que notre justice ne soit de plus en plus défaillante dans les  années à venir. J’invite donc toute personne, qui aura pris connaissance de ce  mail, à rejoindre l’Institut pour la justice et à inviter les membres de son  entourage à faire de même.

    Ma colère  et mon inquiétude ne sont malheureusement pas apaisées à l’issue de ce message  mais mes pensées vont aux proches de mes deux collègues décédées.

    Je laisse  ce texte à la pertinence de l’Institut qui pourra en faire l’usage le plus  opportun à ses yeux.

    Un citoyen qui veut croire

    ***

    Vous aussi, vous pouvez agir  en transmettant ce message à tous vos contacts et en signant nos pétitions  adressées aux pouvoirs publics.

    Si vous n'avez pas encore participé à notre grand référendum sur la Justice, faites-le dès maintenant en cliquant ici. Nous avons créé une vidéo spéciale sur les dysfonctionnements les plus révoltants de la Justice (ici).

    Il y a quelques jours, nous  avons rassemblé plus de 260 000 signatures contre le laxisme de la justice  des mineurs. Si vous n’avez pas encore signé la pétition, vous pouvez le faire en   cliquant ici.

    Et pour ceux qui souhaiteraient  adhérer ou faire un don à l’association, merci de cliquer ici.

                        Avec tous mes remerciements pour votre action. Ensemble, nous pouvons faire la  différence.

    Pour les victimes. Pour nos  enfants et nos petits-enfants.

                          Laurence Havel
                          Secrétaire nationale de  l’Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.fr

    Si vous ne désirez plus recevoir  notre lettre d'information, cliquez-ici                                                                                                                                                    

    Communiqué du Bloc Identitaire : es deux gendarmes tuées dans le Var sont victimes du laxisme judiciair

    Les deux gendarmes de Pierrefeu-du-Var ont sacrifié
    leur vie pour honorer leur devise.

    Oui, mais ces deux vies auraient pu être épargnées !

     

     

    Communiqué du Bloc Identitaire :

    Les deux gendarmes tuées dans le Var sont victimes du laxisme judiciaire

     

    Les deux gendarmes tuées dimanche soir dans le Var pourraient encore être auprès des leurs si les juges de notre pays en finissaient avec leur complaisance envers les délinquants et criminels.

    L'adjudant de gendarmerie Alicia Champlon (29 ans) et la maréchale des logis chef Audrey Berthaut (35 ans, mère de deux enfants) ont été abattues par Abdallah Boumezaar, connu pour des faits de violence et déjà incarcéré en 2002 pour trafic de drogues.

    Or, Abdallah Boumezaar comparaissait mercredi dernier devant le Tribunal Correctionnel de Toulon pour des coups portés sur sa propre mère. Alors qu'une peine plancher (au vu de ses condamnations précédentes) de deux ans d'emprisonnement aurait dû être appliquée, les juges ne lui ont infligé qu'une peine de sursis.

    Malgré son lourd passé et sa dangerosité attestée, des juges ont donc décidé de laisser Abdallah Boumezaar libre. Libre de tuer deux gendarmes seulement quatre jours à peine après son procès. Ces juges et l'incurie totale de nos institutions judiciaires portent une lourde responsabilité dans ce drame, comme dans tant d'autres malheureusement.

    Si notre justice fonctionnait correctement, Abdallah Boumezaar aurait été derrière les barreaux. Si notre justice fonctionnait correctement, deux petites filles de 5 et 13 ans ne pleureraient pas leur maman.

     .

     


    Vous pouvez adresser vos messages de soutien à la brigade de gendarmerie de Pierrefeu-du-Var ici :
    : cob.pierrefeu-du-var@gendarmerie.interieur.gouv.fr

     


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  • Vendredi 22 juin
    2012

    Les marchés
    obligataires misent sur la fin de l'euro

    Eberhardt
    Unger

    Les marchés obligataires
    misent sur la fin de l'euro

    Eberhardt Unger

    En fixant son
    attention uniquement sur les rendements des

    obligations allemandes, un
    investisseur pourrait se dire que nous vivons

     dans le meilleur des mondes. En
    effet, des rendements d'obligations à 10 ans à

    environ 1,5% signifient
    normalement : pas de risque d'inflation, solides fondamentaux de l'économie, des
    taux de rémunération de l'épargne élevés, aucun

    nouveau déficit budgétaire, un
    service de la dette en baisse, une politique monétaire

    de la Banque Centrale qui
    promeut la stabilité etc. Quelle illusion !

    La vérité est tout
    autre. Le développement des marchés obligataires européens porte en lui les
    germes d'une bulle financière. En fort contraste

     avec les 1,5% à 10 ans des
    obligations allemandes, on trouve l'Espagne avec

    7% et l'Italie avec 6,3%.
    Depuis les élections présidentielles, les OAT

    françaises sont restées au même
    niveau de taux, mais l'écart avec ceux des Bunds

     n'a cessé de croître.

    Chaque jour, les
    marchés financiers soulignent d'un côté le succès

    de la consolidation budgétaire
    en Allemagne et, de l'autre, l'incapacité des pays

    du Sud à couper dans leurs
    dépenses et de réduire leurs déficits. De ce fait,

     les agences de notation
    dégradent les notes dans cette région et les pays concernés voient les
    rendements de leurs obligations monter...

    cela sent la tragédie
    grecque !

    Rendements des obligations européennes

    Sans aide
    extérieure, la récession s'approfondit de plus

     en plus. Le FMI, la BCE et la
    Commission européenne conditionnent

     strictement leur aide et la population n'est
    pas disposée à accepter de nouveaux plans

    d'austérité. Les politiciens et une
    partie de la population ont déjà développé une

     "allergie" à la notion
    d'austérité. Ceci est confirmé par les manifestations

     et les résultats
    des élections toujours plus favorables aux partis extrémistes de droite ou de
    gauche.

    Dans ces pays, les
    taux obligataires vont continuer de monter et

     les prêts vont devenir plus chers.
    Le résultat ne pourra être qu'une nouvelle

    dégradation de la notation
    souveraine. L'assainissement des finances

    publiques gangrénées sera de plus en
    plus difficile et le "défaut" n'est plus très loin. Les investisseurs évitent
    ces marchés obligataires et cherchent d'autres

     "refuges sûrs" acceptant, au
    moins temporairement, des rendements

    extrêmement faibles.

    trait

    Cet
    ancien commissaire-priseur vous révèle ses secrets

     de
    collectionneur !
    Profitez vous aussi d'un secteur
    qui peut encore se targuer d'être un refuge :
    l'art.

    • Pourquoi
      investir dans une collection d'oeuvres d'art ?
    • Quel est VOTRE
      profil de collectionneur ?
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      commencer une collection dans les meilleures conditions ?

    Découvrez vite toutes les réponses de notre
    spécialiste !

    trait

    Pour l'instant,
    c'est l'Allemagne qui est perçue comme "refuge sûr",

     et qui voit ses taux
    obligataires baisser, indépendamment de toute

     analyse fondamentale.

    De plus, les
    investisseurs qui anticipent une fin de l'euro et

     un retour aux anciennes
    monnaies, spéculent déjà sur une forte

    réévaluation du Deutschemark, alors que,
    d'un point de vue juridique, cela est

    pratiquement impossible et économiquement
    parlant, un non sens ! Quand ces spéculations irrationnelles vont cesser, les
    rendements des Bunds monteront et

     causeront de fortes pertes aux spéculateurs.
    De toute façon les taux monteront dés

     l'apparition de l'inflation.

    Conclusion :
    investir dans les obligations souveraines

    européennes est déconseillé                                           L’économie mondiale en perte de vitesse – par Yves-Marie LAULAN

    Publié parlegaulois.info
    Un économiste célèbre qualifiait naguère la science économique de « dismal science », la discipline lugubre. Et c’est vrai que les économistes (comme d’ailleurs les démographes) ont rarement de bonnes nouvelles à annoncer au public.
    C’est bien le cas aujourd’hui. Car absorbés dans les délices de leurs consultations électorales en cascade, les Français n’ont pas remarqué que le monde tournait sans eux. Or l’économie mondiale se porte mal. Plusieurs faits remarquables devraient pourtant retenir l’attention.
    UN RALENTISSEMENT GÉNÉRAL DANS LE MONDE.
    À tout seigneur, tout honneur, c’est aux États-Unis que le malaise est le plus perceptible. Après un début d’année qui laissait entrevoir enfin la sortie de la crise interminable dans laquelle se pays se débat depuis près de 5 ans maintenant, les dernières statistiques, notamment celle de l’emploi, critère essentiel dans la période actuelle, laissent craindre que l’économie américaine pourrait retomber lourdement en récession (double dip récession dans le jargon savant des économistes) et cela en dépit des plans de relance divers et variés mis en place par l’Administration américaine et de l’action incitative vigoureuse du Federal Reserve.
    Du coup, la réélection  du président Obama, quasi acquise voici encore quelques mois, pourrait être singulièrement compromise. Si bien que Paul Krugman, le conjoncturiste attitré du Herald Tribune, prix Nobel d’Économie s’il vous plait, mais surtout keynésianiste  convaincu, ne cesse de hurler à la lune à la une de ce quotidien en réclamant toujours plus de relance, c’est-à-dire plus de dépenses publiques,  de déficits fédéral  et plus d’endettement, bien entendu. Et de citer en exemple le plan de relance de la Chine. Le problème est que les investisseurs internationaux commencent subrepticement à se détourner de la monnaie américaine. Ce qui pourrait sérieusement  compliquer à l’avenir le placement des bons du Trésor américains sur les marchés internationaux.
    Malheureusement, le ralentissement économique des États-Unis se reflète un peu partout dans le monde. Ainsi les 4 pays du  fameux Bric (Brésil, Chine, Russie, Inde, qui forment 20 % de l’économie mondiale), voici peu, ruban bleu de la croissance dans le monde, donnent aussi des signes de faiblesse. Le Brésil, en particulier, retombe à un taux de croissance de 3 % seulement, cependant que l’Inde, empêtrée dans d’inextricables problèmes politiques, enregistre sa plus  mauvaise performance depuis des années. Oh certes, ce n’est pas encore la Bérézina de style européen mais quand même. Leur taux de croissance cumulé qui flirtait avec  10 % en 2010 est retombé à 8 %. Ce n’est pas catastrophique mais c’est nettement moins bien. Les États-Unis de leur côté, (22% de la production du monde), ont rétrogradé de 3 à 2% de croissance. Quant à la zone euro (18 % de l’économie mondiale), devenue la lanterne rouge du monde, son taux de croissance, déjà médiocre à 2 % voici 2 ans, risque fort de passer en dessous  de la barre avec  -0,3 % cette année, une croissance négative. Décidément, l’Europe n’a pas fini de payer au prix fort la monstrueuse erreur de la création de l’euro.
    LE MODÈLE CHINOIS TIRE-T-IL  À SA FIN ?
    Le cas de la Chine mérite qu’on s’y attarde quelque peu . Les commentateurs américains, avec une certaine « joie mauvaise » (la schadenfreude de nos amis allemands), s’en donnent à cœur joie et se délectent à décliner les difficultés innombrables dans lesquelles, selon eux, la Chine se débat. Et de citer le sort funeste du malheureux  Bo Xilai, naguère « petit empereur » de la région de Chongqing, promptement débarqué de son poste de gouverneur  pour s’engloutir dans l’abime sans fond du shuanggui [1]mais non sans avoir révélé au grand jour l’étendue de la corruption en Chine. A cela s’ajoute les méfaits d’une économie entièrement tenue par l’appareil d’État avec un secteur industriel gorgé de subventions et de prêts bancaires commandités par l’État qui investit à tire-larigot dans des secteurs peu rentables ; des taux d’intérêts » et des taux de change étroitement  contrôlés ; un marché financier hermétique ; une technologie rustique qui commence à dater et une compétitivité qui s’épuise avec la hausse des salaires. Tout cela résulte dans un énorme gaspillage de ressources (les investissements absorbent presque la moitié du PNB chinois) qui commencent à devenir rares, sans compter les méfaits d’une pollution oppressante (et croissante : le charbon !).
    À cela s’ajoute  l’impatience grandissante la partie déshéritée de la population (il n’y a pas que des milliardaires en Chine)  manifestement excédée par les exactions  des potentats  locaux du Parti communiste chinois bénéficiant d’une quasi totale impunité, jusqu’à l’affaire Bo. Bref, la Chine ralentit et ressent un certain malaise existentiel. Les observateurs américains estiment que le modèle de développement chinois, d'une remarquable efficacité depuis 30 ans  donne désormais des signes d’essoufflement. Robert Zoellick, qui va quitter son poste de président de la Banque mondiale, estime pour sa part  que ce modèle est « unsustainable », c.a.d. non durable et que la Chine doit envisager d’adopter un nouveau modèle de croissance plus ouvert et guidé par le marché[2].
    Le« miracle chinois va-t-il tirer à sa fin ? Pour ceux qui ont de la mémoire, tout ceci rappelle singulièrement les caractéristiques du modèle soviétique à bout de souffle des  années 80, du temps du président Bréjnev, qui ont abouti à l’implosion de l’URSS dans les années 90. La Chine connaitra-t-elle le même sort ? Cela parait peu probable ( à vrai dire, on en disait autant de l’URSS en 1980). Mais le rapprochement est quand  même significatif. Ce que préconisent, non sans  une certaine dose de naïveté, les Américains est ni plus ni moins une révolution non seulement économique, mais aussi politique et sociale. Chine y est-elle prête ?  Peut-elle  s’engager dans cette voie sans s’exposer à l’effondrement du Parti communiste chinois, base inébranlable du régime (avec l’Armée Rouge) ? Il nous manque un nouvel Alain Peyrefitte  pour le prédire[3].
    Restent les contradictions inextricables de l’économie mondiale.
    Il faut se demander si ce ralentissement constaté plus haut ne reflète pas en partie les contradictions dans lesquelles se débat l’économie mondiale. Qu’on en juge.
    Tous les pays au monde, à des titres divers, aspirent désespérément à une reprise forte de la croissance mondiale accompagnée d’une vigoureuse création d’emplois.[4]. Fort bien. Mais l’on sait bien aussi que la croissance dépend étroitement  d’une énergie disponible à des coûts abordables et en grande quantité. C’est le cas du charbon dont d’immenses gisements se trouvent en Inde, en  Chine, aux Etats-Unis aussi. Le hic est que l’exploitation du charbon coûte deux fois plus cher que l’énergie dite conventionnelle, à savoir le pétrole et qu’elle libère aussi d’énormes et intolérables  quantités de pollution dans l’atmosphère. On en dirait autant  des gisements de pétrole désormais accessibles, soit dans  l’océan  à des profondeurs inouïes (5 kms et plus), ou de la technique du « fracking » qui rend exploitable les schistes bitumineux (sans parler des sables asphaltiques).
    En conséquence, la croissance mondiale ne risque guère désormais d’être étranglée faute d’énergie. Mais le revers de la médaille est que l’exploitation  de ces ressources provoque une invraisemblable augmentation de la pollution atmosphérique qui ne peut qu’aggraver considérablement  le réchauffement climatique. On en peut désormais mesure l’incidence sur le dérèglement des saisons, sans parler des problèmes d’insalubrité publique provoqués par la pollution, lesquels rendent  certaines régions de Chine  quasi invivables.
    Alors que faire ? Renoncer à la croissance économique pour préserver un environnement salubre ou relancer la croissance au prix de désastres écologiques inévitables ? En fait, il semblerait bien que opinions publiques, et les responsables politiques qui leur ont emboité le pas, ont déjà fait leur choix . Plutôt survivre avec des tornades, et des inondations et la sécheresse que vivre dans un chômage permanent. La contradiction est résolue si bien que l’écologie n’est plus à la mode[5].
    LA CRISE EXISTENTIELLE DE L’EUROPE
    Un humoriste américain disait tantôt que l’Europe rassemble des pays qui ne sont plus tout à fait sûrs de vouloir se marier  entre eux mais qui décident néanmoins d’ouvrir un compte bancaire commun. Et d’ajouter que la sage Allemagne se désole de voir son amant méditerranéen vider allègrement ledit compte alors que ce dernier déclare hautement être prêt à tous les sacrifices mais à condition que cela ne lui coûte rien.  C’est à peine exagéré.
    C’est l’occasion, il ne faut pas la rater, de tordre le cou à ce nouveau« buzz word » , ce nouveau cliché  de la croissance à tout prix qu’il suffit de réclamer pour qu’elle vous tombe dessus comme une manne céleste. Mais de quelle croissance s’agit-il et quel prix faut-il y mettre ?
    C’est là que le bât blesse. Car l’Allemagne se déclare prête à porter encore davantage l’énorme poids de l’endettement des pays du Sud (Grèce, Espagne, mais Italie probablement, mais la France aussi, ne l’oublions pas), mais à condition de mettre en place un contrôle rigoureux de la dépense publique dans la zone euro[6].  Sans cela le mécanisme pervers qui a créé l’endettement massif des pays du Sud serait automatiquement relancé. Mais les dits pays endettés se refusent catégoriquement (jusqu’à aujourd’hui tout au moins) à aliéner leur souveraineté budgétaire. Et cela se comprend bien.
    Car si, à l’instigation de l’Allemagne, Bruxelles ou tout organisme ad hoc européen, fermaient autoritairement le robinet budgétaire, comment les partis politiques grecs, italiens (ou même français) pourraient-ils  revenir paisiblement à leurs chers déficits publics qui alimentent leurs clientèles électorales respectives? C’est à un véritable suicide politique qu’ils sont aimablement conviés. C’est également le sort promis à notre nouveau président de la République fraichement élu. On comprend qu’il renâcle. L’Europe réclamée dans le passé avec tant d’énergie par les socialistes, c’était bien joli tant qu’il s’agissait d’une lointaine vision parée de tous les charmes oniriques  aux heureux  temps de la prospérité. Mais aujourd’hui, c’est tout autre chose. Il s’agit de compromettre à coup sûr toutes les futures consultations électorales pour cause de rigueur budgétaire. Perspective intolérable. Comment s’en sortir ? Comment retrouver la formule magique du déficit sans pleurs ? La solution est simple pourtant, à portée de la main, concoctée par les cerveaux fertiles de l’entourage présidentiel.
    Il s’agit de permettre à la Banque Centrale Européenne, la BCE, de financer généreusement les budgets des pays délinquants par la création monétaire (la fameuse planche à billets), puisqu’ils ne peuvent plus, ou difficilement, se refinancer sur les marchés financiers (sauf à des taux prohibitifs : plus de 7%). Mais ses statuts le lui interdisent formellement.  Qu’à cela ne tienne. On va créer un nouvel organisme bancaire européen, un de plus, ou doter le Fond Européen de Stabilisation Financière (FESF) d’un statut bancaire qui lui permettra d’emprunter massivement à la BCE puis de prêter, par le biais des fameux euros bons, aux pays endettés jusqu’au cou[7]. C’est évidemment la fuite en avant dans l’inflation monétaire. La France, et d‘autres encore,  y tiennent car c’est une solution  de facilité à court terme qui ne coûte rien, politiquement, à court terme. L’Allemagne d’Angela Merkel ne veut pas en entendre  parler. Pourquoi ?
    A cet égard la presse française, et américaine, font un mauvais procès à la Chancelière allemande. Car elle a d’excellentes  raisons de s’opposer fermement à la mise en place de ce mécanisme infernal. Le Allemands n’oublient pas que c’est l’inflation galopante de la République de Weimar qui a amené Hitler aux portes du pouvoir. Mais, en dehors de ces considérations historiques propres à l’Allemagne, il faut bien voir qu’il y a deux sortes de croissance, la fausse et la vraie.
    La fausse est celle qui consiste à inonder les marchés de liquidités (par le biais du déficit budgétaire et de l’endettement) et de relancer la croissance par l’inflation. Les prix montent, le public est satisfait, pour un temps. Mais, rongé sournoisement par l’inflation, le niveau de vie ne tarde pas à stagner ou décliner car la production de biens et de services n’augmente  pas ou peu .C’est l’illusion monétaire de la croissance, celle que François Hollande veut à toute force mettre en place. Car  elle lui permettrait de sortir de l’impasse dans laquelle il est engagé et qu’il n’a rien d’autre à offrir, sauf d’insupportables sacrifices financiers.
    Le vraie croissance, la croissance réelle, est celle qui permet d’obtenir une amélioration de la production nationale, le PNB, grâce à de profondes réformes structurelle destinée à rétablir la productivité et la compétitivité. Ce processus vertueux a deux gros défauts aux yeux des pays délinquants : il est lent  (plusieurs années) et il est douloureux (comme toute réforme digne de ce nom). Or nos socialistes veulent de l’immédiat et sans douleur : d’où  les euro bonds salvateurs. Le conflit avec l’Allemagne est inévitable. Ira-t-on jusqu’à compromettre l’amitié franco-allemande sur l’autel de la vraie/fausse croissance ?
    En fait, l’histoire nous apprend que l’inflation exerce immanquablement des effets ravageurs sur la  croissance réelle au prix de graves perturbations sociales. Est-cela que le nouveau Président veut offrir aux Français au lendemain de son élection ?


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  • Justice : la peine de mort pour Abdallah BOUMEZAAR ! par Michel SALANON

    Publié parlegaulois.info
    Nous avons appris avec effroi, l’exécution de deux femmes gendarmes, dont une mère de deux enfants, dimanche 16 juin, à Collobrières (Var).
    Il s’agit de Mesdames Audrey BERTHAUT, 35 ans, mère de deux enfants, et Alicia CHAMPLON, 29 ans, froidement abattues, loin des sièges feutrés de l’Assemblée Nationale, refuge des abolitionnistes (lire plus bas). Car, vous en conviendrez, je pense : il ne s’agit pas de deux meurtres mais de deux exécutions !
     

    Les faits : âgé de 30 ans, le vaurien précité a déjà passé plusieurs années en prison, pour des peines occasionnées par des affaires de drogue, de vol et de violence gratuite, dont la récente agression de sa mère, qui lui a valu 6 années de prison avec sursis et 3 ans de mise à l’épreuve….nous ne rêvons pas !
    Vous l’avez compris : les Juges ont voulu lui donner une chance de se réinsérerdans la société, qui s’est transformée en… tuerie préméditée ! Après quoi ces Juges-à-la-conscience-tranquille sont rentrés chez eux, pour se restaurer et regarder la télé. Quant aux journalistes, même après l’aveu du meurtrier, ils continuent à l’appeler le meurtrier présumé !
    C’est fou ce que l’on aime présumer dans notre pays.
    Et c’est reparti pour une décision de Justice guidée par le laxisme d’un Tribunal dont les Juges, à n’en pas douter, n’ont jamais eu un membre de leur famille froidement exécuté de la sorte ! Les Juges sont au-dessus de « ça », très loin des mares de sang qui n’éclaboussent jamais leurs robes.
    Et puis il y aura de nouveau des déclarations officielles qui sonnent creux, des fleurs déposées sur le lieu des crimes, un hommage national légitime, l’octroi d’une médaille à titre posthume par le Ministre de l’Intérieur, et, n’en doutons pas, le commentaire d’un psychiatre qui osera déclarer devant une caméra de télévision, la voix grave et le regard absent, que cet assassin n’est pas responsable car il n’était pas conscient de ses actes.
    Vous l’avez compris : ce vaurien a sauté sur l’une des deux femmes gendarmes qu’il a frappé, s’est emparé de son arme, lui a tiré une balle dans la tête à bout portant,  a couru derrière la seconde sur laquelle il a tiré aussi jusqu’à ce qu’il la  tue….ettout ça sans se rendre compte de ce qu’il faisait !
    Après un agissement aussi barbare, l’idée que ce vaurien coule des jours tranquilles, en prison, à nos frais, est simplement intolérable !
    Concernant l’abolition de la peine de mort, entre autres mesures officielles nationales et internationales (énumération non exhaustive), la France a entériné les décisions suivantes :
    - en 1981, vote à l’Assemblée Nationale de la Loi d’abolition de la peine de
       mort en France, présentée par Robert BADINTER, Ministre de la Justice de
       François MITTERRAND,
    - en 2000, ratification du statut de la Cour Pénale Internationale (qui interdit la
       peine de mort),
    - le 19 août 2007, sous la présidence de Nicolas SARKOZY, l’abolition de la
       peine de mort a été inscrite dans la Constitution française, par le
       Parlement réuni en congrès à Versailles, par 828 voix contre 26, 
    - le 18 décembre 2008, vote en faveur de la Résolution des Nations Unies, pour
       un moratoire mondial sur les exécutions, adopté par 160 Etats, 
    - par ailleurs, la France refuse l’extradition des détenus dans des pays où ils
       risquent une condamnation à mort.
    Deux certitudes :les Etats veulent abolir la peine de mort mais pas les assassins, la France aime ses assassins et veut les garder en vie !
    Quitte à bousculer vos convictions : je suis partisan du rétablissement de la peine de mort pour les assassins d’enfants, de personnes âgées, et de militaires dans l’exercice de leur fonction.
      
         
                                                                              Michel SALANON
                                                                              largo131@orange.fr

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