• Tiens Tiens ...Ne touche pas à mon Bled ............comme c'est rigolo!!!!!!!

    LA MEILLEURE !!!!!

    L'Algérie rit jaune ! --- Mais c'est parfait çà !

    C'est ce qu'on
    appelle l'effet boomerang :
    Immigration en Algérie
    -Tiens, quelle surprise !

    Çà vaut 10
    !

    A lire
    absolument, ça ne manque pas de sel !

    Ça
    mériterait d'être expliqué à nos habitants issus de l'immigration
    .....

    Vu dans
    des extraits de journaux ça tombe pile en plein débat sur l'identité
    nationale..... !

    Marrant
    non ? et où sont les donneurs de leçons ????

    Tu vas
    rire, elle est bien bonne ....!!!!!

      

    Les
    arroseurs arrosés.

    *Depuis
    plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l'écho de tensions entre la
    communauté chinoise installée en Algérie et la population
    locale.

    *Tensions
    qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l'encontre de ces immigrés
    asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à
    intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre
    fin à ces pugilats. .....

    * Les
    Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.

    * On
    les a accepté malgré leurs défauts, aujourd'hui ils nous agressent chez nous, a
    déclaré Mounir à l'A.F.P. ---

    « Ils
    boivent de l'alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et
    s'exhibent parfois en short dans le quartier.

    Ce sont
    des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé
    Abdellah, un autre habitant du quartier.

    Des
    critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie
    ».

    A Bab
    Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des
    Chinois.

    « Leurs
    produits sont vendus à des prix très compétitifs,ils sont ouverts tous les
    jours, donc ils gagnent de l'argent, ce qui déplaît aux Algériens »,
    observe-t-il.
     

       

    Étonnant,
    non ?

     

    Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des
    lustres mais n'ont que rarement attisé le ressentiment des
    Français,
    contrairement
    à d'autres communautés.

     

    Mais
    que les Algériens se rassurent,leurs immigrés
    Chinois

    *ne
    brûlent pas encore le drapeau national dans la
    rue.

    *n'imposent
    pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,

    *n'exigent
    pas la construction de temples,

    *ne
    réclament pas d'horaires de piscine aménagés,

    * ne
    contredisent pas l'enseignement des sciences,

    *se
    satisfont de médecins masculins pour leurs
    épouses,

     

    *ne profitent pas indûment des aides sociales. -
    etc.,
    etc....

     

    à
    diffuser sans modération

     

    L'Europe continue de capituler
    !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Des musulmans choqués par un papier WC, Carrefour le retire de la
    vente
    Un papier toilette marqué des signes du zodiaque et commercialisé
    par Carrefour a été retiré de la vente en Belgique.
    Les signes du zodiaque dessinés sur le papier toilette (notamment
    ceux
    de la Vierge et du Capricorne) rappellent en effet la graphie des
    noms
    dAllah et Mahomet, écrit La Capitale mercredi.
    Carrefour a fait retirer ce papier toilette de la vente pour
    «désamorcer le problème».
    Le produit avait déjà été retiré des rayons en France, pour les mêmes
    raisons.
    Plusieurs musulmans interrogés par le quotidien trouvent la
    ressemblance «tirée par les cheveux» et parlent de «polémique inutile ».
    Commentaire :
    Sils étaient vraiment MUSULMANS?ils sessuieraient le cul avec les
    mains
    «A LA MUSULMANE» et ne nous feraient pas chier avec notre
    papier-toilette !
    Retournez dans le désert vous essuyer le cul avec des cactus et
    surtout, surtout nenlevez pas les épines !!!

     

     



     

     

     

     


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  • OU COMMENT  SE DIFFERENCIER DE CEUX QUI SUIVENT


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  • lapidations par musulman_sioniste

    Est-il  possible, au 21e siècle, de tirer des leçons utiles du Moyen Âge? L’«Âge d’or» de la civilisation islamique, qui a eu lieu pendant le Moyen Âge, peut-elle nous inspirer? On pourrait plutôt poser la question suivante : Comment peut-on craindre un «choc de civilisations»  entre l’Orient musulman et l’Occident chrétien lorsque l’étude de l’Histoire nous révèle tout ce que ces civilisations ont en commun?

    Seul un euro-centrisme myope et pessimiste peut véhiculer l’idée que le Moyen Âge a été une période de noirceur : la lumière était très vive et elle venait de l’Est. Comme cette question est très vaste, l’activité du 9 janvier va se concentrer sur les points de rencontre entre civilisations que furent l’Andalousie, la Sicile et, en moindre mesure, la «Terre Sainte».

     

    Si nos origines se ressemblent, que faire des importantes différences qui pourraient nous séparer aujourd’hui? Là aussi, l’Âge d’or peut nous proposer des pistes de solution.  Pendant presque toute cette période, l’exhortation coranique à la tolérance a été respectée, et la tolérance a souvent engendré la collaboration. On n’est certainement pas moins capables de communiquer que nos ancêtres du Moyen Âge!

     L'age d'or Islamique du moyen age est resté inchangé : un monde de douceurs et de plaisirs rafinés

     

     


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  • Le secrétaire général du PS par intérim, Harlem Désir, a demandé, jeudi 28 juillet, à son homologue de l'UMP, Jean-François Copé, de dissoudre le collectif Droite populaire.

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ if ( undefined !== MIA.Pub.OAS.events ) { MIA.Pub.OAS.events["pubOAS_middle"] = "pubOAS_middle"; } // ]]></script>

    Selon M. Désir, ce collectif, composé d'une quarantaine de députés UMP incarnant la droite du parti majoritaire, "instaure une véritable passerelle, un pont permanent entre l'UMP et l'extrême droite". Pour lui, ce groupe "joue avec les thèmes les pires", comme "la peur de l'étranger, la peur de l'islam, en organisant jusqu'à cette opération saucisson vin rouge dans l'enceinte même de l'Assemblée nationale".

    "Je crois qu'il faut une clarification, je lui demande de mettre les choses au clair et donc de dissoudre ce groupe de la Droite populaire", a déclaré Harlem Désir, en marge d'un déplacement dans le Var.

    Harlem Désir a la prétention de faire la morale à ceux qui ne pensent pas comme lui. Un petit rappel des faits s’impose.

    Condamnation
    De novembre 1986 à octobre 1987, alors qu'il est président de SOS Racisme, il est également salarié par l'« Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » et il perçoit pour cet emploi fictif, un salaire mensuel brut de 10 500 francs.


    Cela lui vaut d'être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux.
    Harlem Désir aurait également bénéficié de la clémence de François Mitterrand : une amnistie concernant une dette de 80 000 francs au Trésor public, relative à des amendes de stationnement (décision de justice du 8 mai 1992) alors qu'il était président de SOS Racisme.
    Source : Wikipédia

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  • Les journalistes sont-ils co-responsables de la tuerie d'Oslo ? par Jean-Patrick GRUMBERG

    Publié par"le Gaulois"à05:15
    - Point de vue -
    À force de nier ce qui fait le quotidien des gens, des français, des norvégiens aussi apparemment ; de nier l'existence d'un islam hostile, de minimiser la violence des jeunes musulmans des banlieues, de ridiculiser ceux qui se plaignent du regard méprisant de bandes de jeunes arabes qui terrorisent, qui brulent des voitures, qui arrêtent les bus et font descendre les passagers, qui dressent des points de contrôle en plein Marseille encore le mois dernier. À force de nier ces réalités, les gens sont à bout, se sentent trahis, et l'un d'entre eux commet un crime atroce.
    La lâcheté des politiques en charge de la sécurité publique qui tolèrent, parce qu'ils n'y vivent pas eux-mêmes, ce qu'on appelle des zones de non-droits, et qui sont, en fait, des zones où règnent un autre droit, en France, en Belgique et aussi en Norvège ; où les docteurs, les infirmières, les pompiers et les policiers ne peuvent plus mettre les pieds, dresse les hommes les uns contre les autres, et l'un d'entre eux plus que les autres, au point de commettre un crime atroce.
    Les gens réels, les gens de tous les jours, n'ont plus confiance dans les grands médias, ni dans les hommes politique. Ce n'est pas nouveau, tous les instituts de sondage le constatent. Je pose la question : avez-vous vu les hommes politiques, les médias, entamer le moindre changement dans leur comportement et dans leur propos ? Ils ne font même pas semblant. Pourquoi ? Parce qu'ils pètent plus haut que leurs culs et dédaignent le peuple.
    Et les français subissent ce matraquage, au nom de cette logique infâme, la juste punition méritée par les ex-colonialistes qui devraient maintenant payer la note.
    Les gens réels, les gens de tous les jours n'ont rien à payer du tout. Que ceux qui se réclament du gaullisme payent. Et si les français doivent payer, alors que tout le monde paye : les musulmans de France, tous sans exception, qu'ils payent pour les massacres des chrétiens d'orient. Ou alors basta cosi.
    Les gens sont excédés de se voir imposer tolérance vis à vis d'une culture qui leur crache au visage.
    Ils sont excédés qu'on leur demande de faire de la place à une tradition qui brille par l'échec de tout ce qu'elle entreprend.
    Les gens sont humiliés d'entendre que des loosers sont transformés en chance pour la France et pour l'Europe dès qu'ils franchissent la frontière.
    Chez eux, dans le monde musulman, c'est la misère, la ruine, la dictature, la violence, la sous éducation, la police de la pensée - la liste est longue je reprends mon souffle - la faillite économique, sociale et culturelle, la discrimination religieuse, et l'emprisonnement des femmes dans un statut subalterne. Le monde arabe et musulman fabrique de la poussière, du rien, même avec son pétrole, et on veut nous faire gober que le multicuturalisme est une bonne chose ?
    Les gens sont excédés qu'on ne leur demande jamais s'ils sont d'accord. Avant, on appelait ça la démocratie. Vous vous souvenez ?
    Alors un psychopathe est né du refus des élites de voir l'exaspération des populations de souche. Et le psychopathe a frappé de son horrible folie meurtrière. D'autres psychopathes vont suivre et c'est affreux.
    Que font les élites ? Comme d'hab : elles continuent de plus belle d'exaspérer et d'accuser ceux qui souffrent et se plaignent. Elles les humilie. Elle les traite de xénophobes, de racistes, d'extrême droite et de populistes.
    Les élites, laissez-moi rire. Elles étaient mes voisins de banc à la fac de droit. Pauvres mecs. Savaient pas réfléchir. Z'ont pas changé. Anders Behring Breivik, dans sa folie meurtrière, déteste l'islam plus que tout, pourtant ce sont des norvégiens multiculturalistes qu'il a massacré. Il a trouvé en lui une haine encore plus forte que celle des musulmans, parce que, selon lui, l'invasion de l'Europe par l'islam n'aurait pu se faire sans la gauche. Les élites ont le cerveau à l'envers. ils n'ont pas compris ce qui se passe. Ils n'ont pas compris un fait aussi simple.
    Les flics de la pensée ne peuvent pas mettre en prison ceux qui résistent, alors ils les empêchent d'exprimer leurs plaintes.
    Et l'un d'entre eux commet l'atroce tuerie d'Oslo.
    Les dictateurs de la pensée dirigent l'Europe, les médias leurs prêtent la main, mais ils sont incapable d'assumer la moindre responsabilité des malheurs qu'ils engendrent. Ils ont raison, ce sont des élites. Ils savent mieux que le peuple ce qui est bon pour lui.
    Et envoyez encore 200.000 immigrants par an, les français ne savent pas à quel point c'est bon pour eux.

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  • 76 adhérents du parti travailliste Norvègien ( l'équivalent de notre parti socialiste )ont payé de leurs personnes le fait de soutenir le multiculturalisme et l'islamisme.

    Un patriote Norvègien a trouvé une solution radicale pour éliminer ceux qu'il considérait comme des traites à la Patrie.Il serait bien sur préfèrable d'éliminer ses adversaires politiques par la voix des Urnes .                                                                        Cependant ce Croisé des temps modernes a cru bon d'éliminer des adolescents qu'il considére comme des collabos des forces nuisibles à son pays .                       Nos dirigeant devraient s'interroger sur ce fait divers désastreux, sur le fait qu'il pourrait se reproduire si rien n'est fait pour arrêter cette invasion de gens possèdant une culture et un mode de vie différent . Leurs entretients et leurs méfaits coûtent cher aux contribuables Européens qui pourraient se lasser . A trop tirer sur la corde ,  elle finit par casser .     La vie Politique n'est pas une Partie de Poker,ni un long fleuve tranquille; elle finit desfois dans un Bain de sang .                                                                                                                             POUR INFO :  Cheikh Abdelbari Zamzami (photo), l'imam dont les idées et les fatwas sont bien controversées, vient de sortir de l'ordinaire, encore une fois, pour lancer une nouvelle fatwa qui montrerait la position de l'Islam concernant la nécrophilie.

    En effet, et selon Zamzami, l'islam autoriserait l'acte sexuel sur un cadavre, à condition que ce cadavre soit celui de l'épouse.


    Zamzami ajoute qu'il n'y aurait aucun mal ni embarras que le mari fasse l'amour avec le cadavre de sa femme quelques heures après la mort de cette dernière. « Et il peut faire de son épouse ce qu'il veut », justifie-t-il.
    Zamzami déclare que le mariage est un contrat qui ne s'annule guère après la mort, en référence au Coran qui dit que le mari et sa femme peuvent le rester au paradis. La femme est donc, permise sexuellement, à son mari même après sa mort; selon Zamzami.
    Dans l'entretien accordé au quotidien Assabah, Zamzami assure par ailleurs que le mari a tout le droit de réaliser tous ses fantasmes sexuels avec sa femme, si cette dernière accepte, sans pour autant outrepasser les limites permises, à savoir les relations annales.
    Zamzami continue donc de faire parler de lui, surtout après ses dernières déclarations concernant l'attentat de Marrakech et la mort de Ben Laden.   (  décidément nous n'avons rien de commun avec ces gens là )                                                            Ou encore une nouvelle occasion d'avoir la nausé :Le mariage des enfants” – euphémisme pour pédophilie – fait à nouveau les grands titres, au moins dans les médias arabes : le Dr Salih bin Fawzan (photo) un dignitaire religieux membre du prestigieux Conseil islamique d’Arabie Saoudite, vient de publier une fatwa affirmant qu’il n’y a pas de minimum d’âge pour le mariage, et que les filles peuvent être mariées, même si elles sont dans le berceau.”
    Apparaissant dans des journaux saoudiens le 13 Juillet, la fatwa se plaint des interférences “avec la presse mal informée sur la charia, ce qui pose de graves conséquences pour la société, y compris leur interférence avec la question du mariage des petites filles qui n’ont pas atteint la maturité, et leur demande qu’un âge minimum soit fixé pour le mariage des filles.”


    Fawzan insiste sur le fait que la charia ne fixe aucune limite d’âge pour marier les filles : comme d’innombrables érudits musulmans avant lui, il s’appuie sur le Coran 65:4, qui traite du mariage des femmes qui n’ont pas encore eut leurs règles (par exemple, qui sont prépubères) et le fait que Mahomet, modèle de l’islam, s’est marié avec Aisha quand elle avait 6 ans, et «consomma» le mariage – ou, en langage moderne, commit un viol - quand elle avait 9 ans.

    Le point de la fatwa saoudienne, cependant, n’est pas que les filles aussi jeunes que neuf ans puissent avoir des relations sexuelles, basé sur l’exemple de Mahomet, mais plutôt qu’il n’y a aucune limite d’âge ; la seule question ouverte à l’examen est de savoir si la fille est physiquement capable de subir l’acte par le mari / violeur. Fawzan s’appuie sur des documents reconnus authentiques en citant l’exégèse d’Ibn Batal autorité de Sahih Bukhari:

    Les oulémas [interprètes de l'Islam] ont convenus qu’il est permis pour les pères de marier leurs petites filles, même si elles sont dans le berceau. Mais il n’est pas permis à leurs maris d’avoir des relations sexuelles avec elles, sauf si elles sont capables d’être placées sous l’homme et en tolérant son poids. Et leur possibilité à cet égard varie en fonction de leur nature et leur capacité. Aisha avait 6 ans quand elle a épousé le prophète, mais il a eu des relations sexuelles avec elle quand elle avait 9 ans [c'est à dire quand elle a été jugée apte].

    Fawzan conclut sa fatwa par un avertissement: «Il incombe à ceux qui appellent à fixer un âge minimum pour le mariage de craindre Allah et de ne pas contredire sa loi (charia), ou d’essayer de légiférer les choses qu’Allah n’a pas permis. Les lois sont la souveraineté d’Allah, et la législation est son droit exclusif, ne devant être partagé par aucun autre. Et parmi ces lois figurent les règles qui régissent le mariage.”

    Fawzan, bien sûr, n’est pas le premier à insister sur la légitimité de la pédophilie dans l’Islam. Même l’ancien grand mufti d’Arabie Saoudite, Bin Baz, a soutenu “le mariage des enfants», puisque «le Coran et la Sunna l’approuvent.” (Fawzan fut un élève de Bin Baz)

    Et ce n’est pas juste quelques points théoriques ou théologiques, les vies de nombreuses jeunes filles sont détruites à cause de cette décision. Rappelons, par exemple, la jeune fille de 13 ans qui est décédée alors que son mari beaucoup plus âgé copulait avec elle ou les filles de 12 ans décédées en donnant naissance à un mort-né; ou une fille de 10 ans qui a fait les manchettes des journaux pour avoir fugué de son mari de 80 ans.

    Puis il y a les filles innombrables anonymes qui ne font rien pour mériter toute l’attention des médias – comme mourir – et ont appris à vivre avec leurs maris âgés, comme, sans doute, la fille qui épousa le religieux le plus populaire de l’Islam, Yusuf Qaradawi, quand elle avait 14 ans. (note de l’Obs-i: Tariq Ramadan dit avoir un “profond respect” pour ce psychopathe dirigeant le Conseil européen de la fatwa dans lequel siège le nouveau président de l’UOIF, Ahmed Jaballah)                                                                                               Quand, certains, comprendront ils qu'il est impossible de nouer des relations familliales avec ces êtres venus d'un autre age, qui base leur mode de vie sur des conceps datant de la préhistoire . C'est à croire que toutes les civilisations mondiales  ont évoluées ormis les adorateurs mahométants .                                                                                                        

    COMMENT NE PAS PETER LES PLOMBS ?                                               

    Les imâms "norvégiens" justifient des viols en nette hausse

    Qu'en pensent les travaillistes qui les ont invité ?

    "Selon des études statistiques rendues publiques par la police norvégienne, 100% des viols commis à Oslo depuis 2005 l’ont bien été par des immigrés « non-occidentaux ». Les enquêtes, régulièrement publiées dans le quotidien « Dagbladet » (équivalent de notre « Parisien »), précisent que ces crimes ont tous été commis par des Kurdes, des Pakistanais ou des Africains, notamment des réfugiés somaliens, nombreux dans ce pays. [...] Le 23 juin dernier, après le viol de quatre Norvégiennes en une seule nuit, la chaîne de télévision a profondément remué l’opinion publique en faisant témoigner deux jeunes femmes. La première a raconté avoir été agressée alors qu’elle rentrait chez elle. Elle a été « frappée et violée pendant des heures » par un immigré qui la jugeait « provocante ». L’autre a été victime d’un Pakistanais bavard et porté sur l’exégèse coranique. Il a notamment pris le temps de lui expliquer que la religion musulmane l’autorisait à la violer [...]  Des imams, interrogés par les autorités, estiment que ces viols seraient dus «au comportement insouciant ou provoquant des jeunes filles norvégiennes »."


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  • L'A M E: à quoi ça sert?

    - L'AME permet ainsi de couvrir le
    tourisme médical aux frais du
    contribuable
    .  
    Laurent Lantieri, le grand
    spécialiste français de la greffe du visage, a confié son agacement :
     Soigner les étrangers en cas d'urgence ou
    pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager me paraît légitime et
    nécessaire. 

    En revanche,
    je vois arriver à ma consultation des patients qui
    abusent du système
    .» 
    Claudine
    Blanchet-Bardon
    , spécialiste des maladies génétiques de la peau, voit
    débarquer des patients AME venus du bout du monde :
     Ils arrivent clandestinement ici, restent tranquilles pendant
    trois mois et débarquent à ma consultation avec leur attestation AME,
    accompagnés d'un interprète.

       L'interprète, lui,
    ils le payent

    Un
    cancérologue
    raconte : 
    Nous avons des patients qui vivent en Algérie et qui ont l'AME. Ils viennent
    en France régulièrement pour leur traitement, puis repartent chez
    eux.
      
    Ils ne payent que
    l'avion...
       
             Un
    médecin
    raconte : 

    Des femmes sans-papiers peuvent faire valoir leurs droits à des traitements
    d'aide médicale à la procréation

     
    Chaque tentative
    de
    fécondation in vitro (FIV) coûte entre 8000 et 10.000€. »
    Les seules
    conditions requises pour obtenir l'AME sont 3 mois de résidence en France et des
    ressources inférieures à 634€ par mois.

     Les demandeurs étant
    hors-la-loi, le calcul des ressources relève de la fiction et malgré cela la
    CPAM délivre le sésame. 

     Depuis deux ans, la
    facture de la couverture médicale des sans-papiers s'envole. 

     Son rythme de
    progression est trois à quatre fois supérieur à celui des dépenses de santé de
    tout le pays
    : + 13% en 2009
    (530 millions d'euros
    pour 210.000 bénéficiaires
    )
    et+ 17% au début de cette
    année
    .

    De toute évidence, l'enveloppe de 535 millions d'euros prévue en
    2010 sera largement dépassée 
    Pour l'an prochain, ce sont 588 millions d'euros que Bercy a mis de côté pour
    l'AME soit, à peu de chose près, le montant des recettes
    fiscales que le gouvernement veut récupérer sur les mariés/pacsés/divorcés, ou
    encore le coût global du bouclier fiscal.
     L'Aide Médicale d'Etat finance
    des cures thermales et le trafic du Subutex

     Le député Thierry Mariani interrogé sur l'AME répond:
     L’Aide médicale d’Etat est nécessaire pour des
    motifs humanitaires : il est normal qu’un étranger en danger grave immédiat soit
    soigné dans notre pays.

    Mais ce
    que je veux, c’est en limiter les dérives. Ces deux dernières années,
    les dépenses de l’AME ont augmenté quatre fois plus vite que celles du régime
    général, soit 17% 

     
      et ces dix derniers mois, accrochez-vous, elles ont augmenté de
    66% en Île de France. 
     
    On ne peut pas expliquer aux bénéficiaires du régime général que
    l’on cesse de rembourser certains de leurs médicaments pour tenir les 3%
    d’augmentation tout en maintenant l’AME, qui coûte 100 millions d’euros, au
    profit d’étrangers en situation illégale !

     
      Par ailleurs, il
    n’est pas juste non plus qu’un Français paye un forfait hospitalier et pas un
    immigré illégal.

    F A I R E  S U I V R E les français
    doivent savoir et ceci n'est pas hoax!


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  • Principe           

    L'allocation temporaire d'attente (ATA) est une allocation versée par Pôle emploi aux demandeurs d'asile pendant la durée d'instruction de leur demande d'asile, à certaines catégories de ressortissants étrangers et à des personnes en attente de réinsertion.

                    Bénéficiaires           

    Les personnes pouvant bénéficier de l'ATA sont :

    • les étrangers, âgés de plus de 18 ans, qui ont sollicité l'asile en France et présenté une demande tendant à bénéficier du statut de réfugié, y compris les demandeurs d'asile originaires d'un "pays d'origine sûr",

                Si, après une décision définitive de rejet, l'étranger demande le          réexamen          de sa demande au vu de nouveaux éléments en sa possession, l'ATA ne lui sera pas versée (sauf si          l'Ofpra          signale à Pôle emploi qu'il s'agit d'un cas humanitaire),       

    •           les étrangers bénéficiaires de la          protection temporaire           ou de la          protection subsidiaire,                  

    •           les étrangers bénéficiaires d'une carte de séjour "vie privée et familiale" ayant déposé plainte ou témoigné dans une affaire de          proxénétisme ou de traite des êtres humains,                  

    • les apatrides,

    • les anciens détenus, lorsque la durée de leur détention a été supérieure à 2 mois,

    • les travailleurs salariés expatriés non couverts par le régime d'assurance chômage qui, lors de leur retour en France, justifient d'une durée de travail de 182 jours au cours des 12 mois précédant la fin de leur contrat de travail.

                    Conditions d'attribution           

                        Condition de ressources               

    Pour pouvoir bénéficier de l'ATA, le demandeur doit justifier de revenus inférieurs au montant forfaitaire servant de base au calcul du RSA.

                        Condition de recherche d'emploi               

    Les apatrides, les anciens détenus et les travailleurs salariés expatriés doivent être inscrits en tant que demandeurs d'emploi.

                    Dépôt de la demande           

    La demande d'ATA doit être déposée auprès de l'agence Pôle emploi dont dépend le domicile du demandeur.

    Le dossier du demandeur doit contenir :

    • le questionnaire fourni par Pôle emploi complété,

    • ses justificatifs de ressources,

    • ses coordonnées bancaires,

    • les pièces permettant de justifier du statut au titre duquel il demande l'Ata (demandeur d'asile, bénéficiaire de la protection temporaire ou subsidiaire, apatride, ancien détenu, etc.)

                    Montant           

    10,83 €par jour.   

    L'ATA est incessible et insaisissable.

                    Durée de versement           

    La durée de versement de l'ATA varie selon les catégories de bénéficiaires :

    • pour les demandeurs d'asile, l'ATA est renouvelée tous les mois jusqu'à la décision définitive d'acceptation ou de refus du statut de réfugié, sous réserve que les conditions de ressources soient toujours remplies,

    • pour les bénéficiaires de la protection temporaire, les bénéficiaires de la protection subsidiaire et les titulaires d'une carte de séjour "vie privée et familiale" ayant déposé plainte ou témoigné dans une affaire de proxénétisme ou de traite des êtres humains, l'ATA est versée tant que la protection temporaire ou subsidiaire est accordée ou durant toute la période de validité de leur carte de séjour,

    • pour les autres catégories de bénéficiaires (apatrides, anciens détenus et salariés expatriés) l'ATA est versée pendant 12 mois maximum, sous réserve que les conditions de ressources et de recherche d'emploi soient toujours remplies.

    Pour chacune des catégories concernées, le droit à l'ATA ne peut être ouvert qu'une fois.

                    Interruption du versement           

    Le versement de l'ATA est interrompu dans les cas suivants :

    • l'autorisation provisoire de séjour n'est pas reconduite,

    • le droit à la protection temporaire est interrompu,

    • l'allocataire, soumis à l'obligation de recherche d'emploi, n'a pas présenté son nouveau titre de séjour à Pôle emploi en temps voulu,

    • décès de l'allocataire,

    • l'Ofpra a rendu une décision définitive de rejet de la demande d'asile,

    • le demandeur d'asile s'est vu proposer un hébergement dans un centre d'accueil pour demandeurs d'asile (CADA), qu'il ait accepté ou non cette proposition.

    Dès que la décision définitive est prononcée, le versement est interrompu à la fin du mois suivant cette décision.

                    Reprise du versement           

    Lorsque le bénéficiaire de l'ATA avait repris une activité professionnelle et que celle-ci cesse, la reprise du versement de l'ATA est possible à condition que les droits au bénéfice de l'ATA ne soient pas épuisés.

    Dans ce cas, le reliquat des droits du bénéficiaire est versé :

    • dès la fin du contrat, s'il ne peut bénéficier des allocations de retour à l'emploi (ARE),

    • ou à l'issue de ses droits au bénéfice de l'ARE.

    La reprise des droits doit intervenir dans les 4 ans qui suivent la date d'admission à l'ATA.

                    Allocations indues           

    Les allocations perçues à tort sont récupérées par retenues sur le montant des allocations à venir ou par remboursement selon un échéancier arrêté avec Pôle emploi.

    Les sommes indûment perçues ne sont pas dues lorsque le montant est inférieur au montant journalier de l'ATA.

                    Cumul de l'ATA avec des revenus d'activité professionnelle           

    L'ATA peut être cumulée avec des revenus d'activité pendant 12 mois maximum, à condition que l'activité soit d'une durée inférieure à 78 heures / mois.

    Si cette condition est remplie :

    Revenus mensuels

    Montant de l'ATA du 1er au 6ème mois

    Montant de l'ATA du 7ème au 12ème mois

                Jusqu'à            760,50 €

    L'ATA est versée en intégralité

    Une somme équivalant à 40 % du revenu brut d'activité est déduite du montant des allocations

                Supérieurs à            760,50 €

    Le montant de l'ATA est réduit de 40 % de la part du revenu brut d'activité qui excède            760,50 €

    Une somme équivalant à 40 % du revenu brut d'activité est déduite du montant des allocations

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    Projet
    de loi concernant les conditions des hospitalisations en chambres
    particulières :


    Un
    forfait journalier de 45 euros sera facturé aux patients désirant
    obtenir une chambre individuelle.
    Pourquoi
    pas ? le confort a un prix, décision qui me parait logique.

    SAUF
    QUE : en seront exonérés les bénéficiaires de la CMU et de
    l'
    assistance médicale gratuite (AMG) dont bénéficient tous les
    étrangers qui viennent en France se faire soigner !!
    Je n'y
    croyais pas, mais il existe bien une médecine à 2 vitesses... les
    Français, laborieux, silencieux, honnêtes, imposables à souhait...
    devront se contenter de salles communes.
    Les
    fainéants, les chômeurs volontaires, les  étrangers, les immigrés,
    les menteurs (auteurs de fausses déclarations, et ils sont
    nombreux) pourront bénéficier de chambre individuelles, aux
    frais de ceux qui croulent sous les impôts, dont la CSG et le RDS.
     
    A faire circuler et à méditer !

     


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    • La généalogie, une passion française

       

      Les Français sont gagnés par la fièvre généalogique : six sur dix confessent avoir déjà effectué des recherches sur leur nom ou l'histoire de leur famille. Les plus mordus entreprennent de reconstituer leur arbre généalogique. Celui des Rapin (ci-dessus) remonte au XVIIe siècle : il mesure 22 mètres de long et comprend 2600 noms !
      Les Français sont gagnés par la fièvre généalogique : six sur dix confessent avoir déjà effectué des recherches sur leur nom ou l'histoire de leur famille. Les plus mordus entreprennent de reconstituer leur arbre généalogique. Celui des Rapin (ci-dessus) remonte au XVIIe siècle : il mesure 22 mètres de long et comprend 2600 noms !

      Repères identitaires brouillés, rythme de vie effréné, schémas familiaux bouleversés : l'envie de s'arrêter un instant et de regarder en arrière n'a jamais été aussi forte. Quête d'aïeux, cousinades et biographies familiales connaissent un succès fou. Tous à vos lignées !

      Le papier d'origine est un peu fané, l'encre défraîchie. Mais lorsqu'en 1994, il reçoit par la poste la reproduction de l'acte de naissance de son arrière-grand-père Jean-Louis Frugier, Stéphane Bazelaire reste subjugué. Les pleins et les déliés délicatement tracés à la plume cent ans plus tôt déploient sous ses yeux leur charme suranné. «Cette simple photocopie a immédiatement revêtu pour moi une valeur inestimable», se souvient-il. Stéphane a commencé à se frotter à la généalogie à l'âge de 17 ans. Un patronyme très rare dans sa région natale, des parents sans frère ni sœur... l'enfant unique avait envie d'en savoir davantage sur ses racines. «J'ai toujours posé des questions à mes grands-parents. J'avais fait quelques recherches, mais je manquais de méthode et je me suis découragé.» C'est l'arrivée du précieux document, quelques années plus tard, qui scelle définitivement son désir de plonger dans son passé familial. Stéphane découvre le plaisir «des heures passées à dépouiller les microfilms des archives; des informations disparues de la mémoire familiale, qui soudain surgissent du passé; de la découverte d'un mariage qui débloque une branche après des mois de stagnation». «La compilation de noms a peu d'intérêt, explique-t-il. Je préfère faire connaissance avec mes ancêtres, découvrir leurs métiers, leurs mœurs, la période historique qu'ils ont connue. J'ai de l'affection pour certains. C'est une passion sans fin: je ne passe pas une journée sans être en contact avec ma généalogie.»

      La généalogie n'est plus l'apanage des seniors

      Depuis, Stéphane n'a pas cessé ses investigations. Aujourd'hui membre du conseil d'administration de l'association Amitiés généalogiques du Limousin, le jeune homme a rejoint la grande cohorte toujours plus nombreuse de ces mordus du patrimoine familial.

      On aurait pu croire la généalogie réservée à quelques retraités qui, demi-lunes perchées au bout du nez, profitent de leur temps libre pour consulter les archives des sombres salles de lecture des préfectures. Mais, à 38 ans, Stéphane n'est pas une exception. L'activité n'est plus l'apanage des seniors en quête de loisirs. Généalogiste depuis de nombreuses années, journaliste à La Revue française de généalogie et écrivain, Pierre-Valéry Archassal a constaté la montée de cette fièvre généalogique. «La population de généalogistes a considérablement augmenté en trente ans. Là où il n'y avait qu'une poignée de chercheurs au début des années 1970, ils sont aujourd'hui des millions à se poser la question: d'où je viens?, assure l'auteur de Généalogie, une passion moderne (1). Même la fréquentation des salles d'archives, souvent bondées, s'en ressent!»

      Selon une enquête Ipsos réalisée en mars 2010 pour le site genealogie.com, cette pratique intéresse d'ailleurs potentiellement 79 % des Français. En témoignent ces 61 % de sondés qui ont déjà effectué des recherches sur leur nom ou sur l'histoire de leur famille. Démocratisée, la généalogie est aussi en voie de rajeunissement. Etonnamment, les moins de 35 ans n'ont ainsi rien à envier à leurs aînés, puisque 65 % d'entre eux ont déjà pratiqué une quête plus ou moins poussée de leurs ascendants. Pourquoi cet engouement croissant pour une science tournée vers le passé? C'est qu'à l'heure où tous les ancrages semblent se relâcher, laissant chacun voguer dans des flots d'incertitude, il est difficile de trouver ses marques. Questionnements autour de la religion, remises en cause du politique, les Français ne savent plus à quel saint se vouer. D'autant que notre société mouvante ne leur laisse guère le temps de s'interroger sur ses transformations. «Dans une période où les repères deviennent plus flous, où l'on perd du sens, revenir sur son arbre généalogique est une façon de retrouver de la fixité, confirme Serge Guérin, sociologue spécialiste des seniors et auteur de La Nouvelle Société des seniors (2). Dans une société où tout va trop vite, on reprend son souffle, on arrête le temps.»

      La famille père-mère-enfant n'est pas la seule référence

       

      (Françoise Bouillot/Marc Polo-Rue des Archives-Photomontage Le Figaro Magazine)
      (Françoise Bouillot/Marc Polo-Rue des Archives-Photomontage Le Figaro Magazine)

       

      Et la crise économique qui sévit encore n'a rien arrangé à l'affaire. Lorsqu'on est confronté à la sinistrose qui asphyxie l'Hexagone, à un avenir incertain, regarder dans le rétroviseur rassure. «Les Français se vivent dans un moment de recul relatif, voient leur pays comme une puissance en retrait, ajoute Serge Guérin. Ils se tournent vers des périodes plus exaltantes, plus chargées d'histoire.»

      Déjà, la seconde moitié des années 1970 avait vu apparaître ce besoin de retour aux sources. «En étudiant la première augmentation de généalogistes à cette période, je me suis rendu compte qu'elle correspondait à l'arrivée des crises pétrolières, traînant dans leur sillage la première récession économique de l'après-guerre», analyse Pierre-Valéry Archassal.

      Dans cet environnement insécurisant, ne reste qu'un refuge: la famille. Sauf que le modèle longtemps immuable de ce cocon connaît lui aussi des changements radicaux. «La famille PME (père-mère-enfant) n'est plus la référence unique», précise Serge Guérin. Puisque les familles se décomposent et se recomposent, autant se replier sur ces ancêtres immuables.

      Plus encore que ses voisins, la France a fait naître ce besoin chez ses concitoyens. Président de la Fédération française de généalogie, qui regroupe 152 associations de 62.000 membres, Michel Sementery a constaté cette exception historique française. «Notre pays a perdu sa ruralité bien avant ses voisins. Exilés de leurs campagnes pour s'établir en ville, les Français ont subi un déracinement familial plus précoce, qui leur a fait perdre la trace de leurs ancêtres plus fortement que les autres.» D'après l'enquête Ipsos, 48 % des personnes interrogées ne sont pas capables de fournir l'état civil d'au moins un de leurs arrière-grands-parents !

      Diffuseur de la généalogie à travers de multiples émissions de radio et une vingtaine d'ouvrages, Jean-Louis Beaucarnot a observé «cette mode du régionalisme typiquement française. L'hypercentralisation française accentue encore ce sentiment de déracinement. Davantage coupés de leurs racines dans l'anonymat de la capitale, les Français ont ressenti de façon accrue cette perte identitaire. Les urbains et suburbains sont d'ailleurs les premiers concernés».

      Autre spécificité nationale, la facilité d'accès aux sources documentaires. La France dispose d'outils incomparables pour effectuer son enquête. Pour consulter les registres, pas besoin, comme en Espagne ou en Italie, d'aller sonner à la porte d'un prêtre de campagne parfois peu disposé à aider les chasseurs d'ancêtres. «A la Révolution, toutes les archives ont été confisquées aux châteaux et églises, pour être classées, regroupées et soigneusement conservées dans chaque département. Et les lois successives ont offert le libre accès à tous les documents de plus de 75 ans», explique Michel Sementery. Résultat, le système d'archives français est un modèle du genre. Sans compter que le tissu associatif, particulièrement dense, a mâché le travail des Sherlock Holmes en herbe. «Les bénévoles ont fait un travail remarquable de dépouillement systématique, estime Jean-Louis Beaucarnot. Dès les années 1980, les associations ont travaillé en réseau, édité des bulletins regroupant leurs résultats.»

      Le contexte historique n'est pas le seul moteur de cette démocratisation. Depuis quelques années, les nouvelles technologies y ont joué un rôle prépondérant, proposant sur la toile une véritable mine d'informations. Environ 70 % des départements ont désormais numérisé leurs archives pour les disposer sur le web. «Chaque généalogiste peut consulter ces sources officielles sans craindre pour leur fiabilité, se réjouit Pierre-Valéry Archassal. Les chercheurs ont aussi mis en ligne leurs arbres, créant de formidables bases de données.» Plus souple et plus accessible, la consultation en ligne a offert aux actifs la possibilité de partir en quête de leur lignée d'un simple clic, sans avoir à attendre les vacances pour sillonner la France.

      L'initiative a largement servi à populariser un passe-temps déjà très bon marché. En témoigne l'enthousiasme provoqué par la diffusion des archives de Paris fin 2009. Depuis, les quelque cinq millions de fichiers disponibles ont été largement consultés, puisque 150.000 pages sont visitées en moyenne chaque jour.

      Internet a aussi fortement dépoussiéré l'image jusque-là désuète de la généalogie, lui offrant une seconde jeunesse. «Les accros d'internet sont venus rejoindre les rangs des généalogistes traditionnels, observe Pierre-Valéry Archassal. Ce média a amené de plus en plus de jeunes à s'intéresser à leurs ascendants. Beaucoup ont saisi leur patronyme dans un moteur de recherche et se sont retrouvés pris au jeu.»

      Mais la toile a ses limites. «Les nouveaux généalogistes, souvent jeunes, font preuve de moins de patience. Ils se contentent parfois de recopier des données, sans prendre le temps de vérifier leurs sources», regrette le rédacteur de La Revue française de généalogie.

      L'engouement a en outre favorisé le développement d'un secteur marchand plus ou moins fiable. Créé par deux passionnés en 1996, Geneanet, site de partage de généalogies déposées par des chercheurs, met gratuitement à disposition plus de 436 millions de données. Le site est passé de 330.000 visiteurs uniques en 2006 à plus d'un million depuis le début de l'année. Regrettant les dérives de certains concurrents, l'entreprise exhorte ses abonnés à la vigilance. «Parfois recopiée par des collectionneurs d'ancêtres peu scrupuleux, une erreur peut se répandre comme une traînée de poudre, insiste Christophe Becker, son PDG. Nous incitons à associer chaque information à un acte authentifié.»

      Ce désir de s'ancrer dans son terreau familial ne s'arrête pas à la reconstitution d'arbres généalogiques. D'autres pratiques ont aussi le vent en poupe. Ainsi, des cousinades d'un nouveau genre apparaissent, illustration de cette soif d'accroître sa lignée en multipliant ses cousins. Madeleine Arnold Tétard est l'une des organisatrices de la première heure de ces rassemblements familiaux étendus. «La généalogie m'a aidée à me réconcilier avec mes ancêtres, à commencer par mes parents. En découvrant leur jeunesse, j'ai pris conscience de nos traits communs, mieux compris leurs comportements. Mais une fois qu'on a exploré son ascendance, essayé de faire revivre ses aïeux, on a logiquement envie de revenir vers le présent pour ceux avec qui on partage ces ancêtres», raconte-t-elle.

      On voit par ailleurs fleurir des sociétés spécialisées dans le recueil et la transmission des souvenirs familiaux. Pour contenter ces 59 % de personnes (3) qui veulent «transmettre une trace à leurs proches», photos, enregistrements, informations sur l'histoire ou les valeurs familiales, ces entreprises fleurissent. Comme Porte Plume Editions, qui propose aux familles de les aider à rédiger leurs biographies familiales.

       


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    cambriolages


    En Haute-Garonne, selon le préfet et par rapport à 2010, la hausse est de 39 % depuis le début de l'année./
     

    Depuis quelques mois, on assiste à une forte augmentation du nombre de cambriolages en France. Le Grand Sud n'échappe pas à cette tendance. Une véritable flambée qui met forces de police et de gendarmerie sur les dents.

    La hausse du cours de l'or, celle du cuivre, la situation économique difficile, le laxisme supposé de la justice… Quand il s'agit d'expliquer la flambée générale des cambriolages, les raisons ne manquent pas. La réalité fait mal aux statistiques de la délinquance : 167 500 cambriolages en France sur les six premiers mois de 2011 (estimation) soit 918 par jour ! La hausse se calcule à plus 3,2 % par rapport à 2011 où il avait été constaté 323 954 cambriolages et vols par ruse (1). Chez les particuliers ; la hausse dépasserait les 10 % !

    Son voisin, sa sœur, un ami, tout le monde y passe. Ville ou campagne, les voleurs cassent une fenêtre, forcent une porte, soulèvent un volet roulant et raflent tout ce qu'ils peuvent. Quelques minutes, jamais plus de 20, pour tout retourner et faire son choix. Les bijoux, bien sûr, de préférence en or, l'informatique portable, les télévisions HD, ce qui traîne… « La revente est devenue trop facile. Autrefois, c'était chez un fourgue un peu glauque et pas généreux. Aujourd'hui c'est sur la toile, via une petite annonce anonyme », constate un enquêteur. Les sites internet d'occasion sont truffés d'objets volés.

    Une Toulousaine cambriolée mi-juillet a découvert effarée que le coffre à bijoux de sa grand-mère était proposé à la vente seulement quelques jours après la visite des voleurs. Et combien de chaînes de grand-mère sont devenues des lingots dans ces officines qui achètent l'or à tour de bras sur internet ou dans des boutiques où seule la bonne foi du vendeur est réclamée…

    Le gouvernement s'inquiète, les préfets décrètent la mobilisation générale, policiers et gendarmes se multiplient et s'épuisent dans des surveillances jour et nuit où il ne faut rien négliger. « Nos zones sont presque sans limite. Comment bien contrôler l'agglomération toulousaine et ses milliers d'habitations », admet un officier de gendarmerie. Patrouille, opération coup-de-poing, surveillance nocturne… Mais que faire face à un gamin de 18 ans qui s'enfuie avec un sac à main piqué dans une maison fermée ?

    Sous la pression des chiffres et des autorités, les voleurs dont beaucoup de mineurs défilent devant la justice. Ils savent qu'ils risquent beaucoup moins en cassant une maison qu'en attaquant une banque ou des particuliers pour s'emparer de la dernière berline de luxe. Et les enquêteurs ont beau jouer les experts, systématiser constatations, recherches d'empreintes et d'ADN, que pèse un cambriolage devant un tribunal correctionnel ? Trois ans selon le code pénal, cinq, sept voir dix en cas de circonstances aggravantes. En réalité beaucoup moins. Sursis, puis mise à l'épreuve, et enfin la prison… Mais les peines de moins de deux ans ne sont plus exécutées. « Souvent on s'épuise pour rien », glisse un gendarme. Et pourtant il faut rassurer, stopper les voleurs et l'insécurité. Pas simple.

    (1) Source Institut national des Hautes Études de la Sécurité et de la Justice


    Le chiffre : 918

    cambriolages > Par jour. En moyenne, sur toute la France, c'est ce qui est constaté. En 2010, 323 954 cambriolages ont été constatés en France soit une hausse globale supérieure à 1 % mais plus de 5% ches les particuliers.

    « La revente est devenue trop facile. Autrefois, c'était chez un fourgue un peu glauque et pas généreux.  Aujourd'hui c'est sur la toile via une petite annonce  anonyme. »

    Un enquêteur de  Haute-Garonne


    Un fléau en hausse dans tout le Grand Sud

    Le Grand Sud et la région Midi-Pyrénées n'échappent pas à la flambée de cambriolages. En Haute-Garonne, selon le préfet et par rapport à 2010, la hausse est de 39 % depuis le début de l'année. Soit près de 4 150 cambriolages de résidences principales ou secondaires, de commerces et d'entreprises. Les gendarmes et les policiers ne restent pas, bien évidement, inactifs face à ce fléau. Sur 638 méfaits constatés sur leur zone de compétence, les gendarmes en ont résolu 115 et seraient en passe d'en solutionner d'autres grâce, notamment, aux examens scientifiques.

    Dans les Hautes-Pyrénées, en zone gendarmerie, la hausse est là aussi sensible. Au 1er juin, on comptabilise 207 cambriolages en 2011, contre 150 pour la même période en 2010. Ici, comme dans la plupart des départements, il y a un transfert des cambriolages des locaux industriels, commerciaux et financiers, vers les résidences principales et secondaires. Ainsi, les vols dans les résidences principales et secondaires grimpent de 60 en 2010 à 130 en 2011 ! Soit une hausse de plus de 100 % ! En ville, la tendance est sensiblement la même.

    Dans le Tarn, si une baisse est enregistrée en campagne, une poussée de l'ordre de 18 % s'est produite en ville. Ainsi, du 1er janvier au 31 mai 2011, la police a constaté 224 cambriolages de lieux d'habitation contre 152 en 2010, soit une hausse de 47,37 %. En passant de 80 à 63, les cambriolages de locaux industriels et commerciaux sont en baisse. Dans le Lot-et-Garonne, en zone gendarmerie, 240 faits contre 252 en 2010, ont été constatés. Soit une baisse de 4,76 % même si les voleurs jettent davantage leur dévolu sur l'or et les bijoux. En agglomération (Agen et Villeneuve) la hausse est de 26,7 % avec 237 faits contre 187 en 2010.

    Dans le Tarn-et-Garonne , l'Ariège ( 49 faits contre 43) et l'Aveyron la situation serait « stable » avec une légère percée dans les villes. Dans certains départements comme l'Aude et le Gers une flambée serait constatée mais les autorités n'ont pas souhaité communiquer leurs chiffres.


    « J'ai été cambriolé 3 fois en 8 mois »

    David, un Toulousain de 38 ans, domicilié dans le quartier de Lardenne, a été cambriolé pas moins de 3 fois en huit mois. Ce jeune père de famille confie que « cela est très traumatisant ».

    La première fois, les monte-en-l'air se sont introduits dans sa maison en plein hiver. « Ils sont entrés de nuit par la chambre de ma fille de 3 ans qui dormait. Ils ont forcé la fenêtre avec un pied-de-biche. ça fait vraiment peur ». Une fois dans les lieux, ils ont passé au peigne fin plusieurs pièces de l'habitation et fouillé dans les placards et armoires. « Ils ont tout vidé par terre, poursuit David. Ils sont repartis avec près de 2000€ de petit matériel informatique et bijoux ».

    à peine remis de ses émotions, David et sa famille ont « reçu » de nouveau la visite de cambrioleurs.

    Radié par son assureur

    « Cette fois c'était au printemps, ne se souvient que trop bien David. Ils sont revenus pour prendre le gros matériel informatique. Mais, la chance a tourné pour eux. Ils ont été rattrapés par la police ». Comme ils étaient mineurs, ils ont aussitôt été remis en liberté.

    David croyait en avoir fini avec les monte-en-l'air. Et bien non ! Quelques semaines plus tard, d'autres se sont encore introduits chez lui. « Là, durant mon absence, ils ont fait main basse sur mes bouteilles de vin, une centaine que je collectionnais.»

    Désormais, comme la plupart de victimes de cambriolages, David ne vit plus aussi sereinement que par le passé. « Je ne me sentais pas de rester dans cette maison. Alors j'ai déménagé. Malgré ça, aujourd'hui, dès que j'entends un bruit inattendu je me demande si ce ne sont pas encore des cambrioleurs qui arrivent. Après ces trois cambriolages, mon assurance n'a plus voulu me couvrir et m'a radié ».


    expert : Colonel Frantz Tavart, commandant du groupement de gendarmerie de Haute-Garonne

    « Une hausse liée à celle de l'or »

    Depuis quelques mois on assiste à une flambée des cambriolages qu'en est-il exactement ?

    Oui c'est vrai. Les cambriolages flambent mais cela n'est pas spécifique à la Haute-Garonne ou à Midi-Pyrénées. On constate aussi cela dans le reste de la France.

    à quoi cette hausse est-elle due selon vous ?

    Elle est liée à la hausse du cours de l'or. D'ailleurs, les cambrioleurs jettent de plus en plus leur dévolu sur les bijoux. Ces biens sont facilement revendables, notamment sur Internet où des sociétés, parfois établies à l'étranger, achètent l'or par correspondance. Cette flambée est également la conséquence de la reconversion de pas mal de délinquants. Nous constatons, en effet, une diminution du nombre de braquages et des vols à la roulotte. Cette reconversion est, là encore, motivée par le prix de l'or.

    Comment comptez-vous enrayer tous ces cambriolages ?

    Nous n'avons de cesse, aussi bien nous la gendarmerie que la police avec qui nous mutualisons nos moyens, de lutter contre les cambriolages. Nous intervenons immédiatement lorsqu'on nous en signale un ou lorsque qu'un témoin nous informe de la présence suspecte de personnes aux abords ou dans une habitation ou une entreprise. En plus des hommes au sol, appuyés par des chiens, nous pouvons également engager un hélicoptère. De plus, sur chaque cambriolage nous effectuons des relevés de traces et d'indices qui débouchent régulièrement sur l'identification des auteurs. Nous nous intéressons aussi de très près aux receleurs et tout particulièrement à ceux qui rachètent l'or. Sur réquisition du procureur de la République nous contrôlons tout autant, de manière spontanée, les coffres de nombreuses voitures. En Haute-Garonne, comme dans d'autres départements, la gendarmerie a une cellule anticambriolages dans laquelle 26 hommes travaillent en permanence. Nous informons également la population de la nécessité de mettre en pratique quelques règles visant à se protéger.


    Course-poursuite et arrestation

    Hier matin, les gendarmes de Haute-Garonne ont été informés par un témoin que trois hommes embarqués dans une Peugeot 206 grise venaient de cambrioler une maison de Saint-Orens. Aussitôt, plusieurs patrouilles venues des compagnies de Villefranche-de-Lauragais et Toulouse Saint-Michel ont convergé, appuyées par un hélicoptère, vers le lieu où avait été vu le véhicule. Au bout de quelques minutes, ils ont réussi à le repérer et l'ont pris en chasse. Au terme d'une course-poursuite de quelques kilomètres, les cambrioleurs ont perdu le contrôle de leur véhicule qui a fini sur le bas-côté de la route, à proximité du périphérique toulousain. Loin de vouloir capituler, les trois occupants ont aussitôt pris la fuite à pied. Mais l'un d'eux a été très rapidement rattrapé.

    Les gendarmes décidaient alors de boucler le périmètre dans lequel ses deux complices étaient susceptibles de se cacher. Un chien spécialisé dans la recherche de personne est à son tour intervenu.

    Malgré ce gros déploiement, les deux hommes ont réussi à passer entre les mailles du filet.

    Les enquêteurs ont établi que la Peugeot avait été volée quelques jours plus tôt à Villenouvelle, en Haute-Garonne. Les bijoux, les téléviseurs, les téléphones portables qu'ils ont retrouvés à l'intérieur proviendraient de quatre cambriolages.

    Le jeune homme interpellé, un mineur, se trouvait déjà sous contrôle judiciaire pour plusieurs autres cambriolages.                             VOUS AVEZ DIT DISFONCTIONNEMENT !                   Arrêtées à Plan de Cuques, elles ont été relâchées faute de policiers pour les récupérer.

    L'histoire semble ubuesque. Deux mineures, interpellées en flagrant délit par la police municipale alors qu'elles venaient de cambrioler une villa à Plan de Cuques (Bouches-du-Rhône), ont été relâchées quelques heures plus tard faute de policiers pour les emmener au commissariat de Marseille. Les deux filles sont même reparties avec une partie de leur butin en poche.                                                   
     

    La sénatrice qui se trouvait pauvre...

    CONFIDENTIEL ATLANTICO Avec des revenus supérieurs à 10 000 euros par mois, la sénatrice Europe-Écologie Les Verts, Alima Boumediene-Thiery voudrait convaincre les services de l'Etat que sa situation financière est précaire et contourner les critères sociaux d'admission dans un internat public afin que son fils y soit accepté...

    Si, pour François Hollande, on doit être considéré comme riche à 4000 euros par mois, pour la sénatrice Europe-Écologie, Alima Boumediene-Thiery, 10 000 euros par mois ce n'est pas encore assez  !

    Cette dame a, en effet, écrit le 26 mai 2011 au ministre de l’Education, Luc Chatel, pour lui demander d’intervenir en faveur de son fils dont la demande de placement en internat dans un collège public sur Paris a été rejetée selon des

    « critères sociaux ».

    « Avis négatif de l’assistante sociale » regrette Alima Boumediene-Thiery dans son courrier où elle s’emploie à expliquer qu’une sénatrice, dans sa situation, a besoin de l’aide de l’Etat pour s’en sortir. « Je reverse chaque mois 1200 euros au parti politique auquel j’appartiens, je paie également un crédit immobilier à hauteur de 1500 euros (…) In fine, je dois vivre avec près de 2000 euros ».

    En réalité, le salaire net d’un sénateur s’élève à 5400 euros par mois et surtout, Mme Thiery oublie de rappeler qu’elle bénéficie de 6240 euros de frais de mandat non imposables, hors dépenses de taxis prises en charge par le Sénat. Ne reculant devant aucun argument pour convaincre le ministre, elle confie plus loin ne pas être certaine d’être reconduite dans son mandat au mois de septembre et donc de se « retrouver sans revenus ».

    Pour mémoire, le salaire moyen en France est légèrement supérieur à 2000 euros nets selon l'INSEE. Quant au salaire median, il est de 1500 euros nets (50% des Français gagnent moins, 50 autres % gagnent plus).

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  • et pourquoi pas la France !


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  • ou va t on

     

    Après la bachelot, la Boyer ...
      

    IL N'Y A VRAIMENT PAS DE LIMITE A LA CONNERIE

    DANS CE GOUVERNEMENT

    Dans la connerie, il n'y a, nous le savons tous
     pas de limite.
     Comme disait Audiard dans "les Tontons flingueurs" :
     " Les Cons, ça ose tout. D'ailleurs, c'est à cela qu'on les reconnait "
     C'est la bonne idée de Madame Valérie BOYER,
    députée UMP secrétaire nationale chargée de la santé
    qui a certainement entendu parler du trou ..... de la sécurité sociale :
     faire prendre en charge par la Sécurité Sociale
     le coût de la circoncision des musulmans.
     Comme elle ne le trouve pas,ce trou, assez grand à son goût,
    elle souhaite l'agrandir encore un peu avec le zizi des musulmans.
      Lors d'une question à l'Assemblée Nationale, elle a expliqué
    que la circoncision rituelle coûte entre 500 et 1000 euros aux familles.
     Faites un rapide calcul, 800.000 naissances par an, dont 250.000
    musulmans,cela fait entre 125 et 250 millions d'euros de dépenses
     supplémentaires.
     La sécurité sociale s'en passerait bien de ce petit trou !!!
     Mais qu'on se rassure, Madame BOYER promet que la prise en
     charge des zizis se fera strictement dans le respect de la laïcité !
     Ce sont les imams qui vont être heureux. Ils vont découvrir que
     par la circoncision républicaine, leurs bons musulmans vont
    devenir de vrais laïcs.
     
                      
    Et à coté de ça on rembourse au
    lance-pierre les soins dentaires et les lunettes.
    On marche vraiment sur la tête

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  • lecon de vie

    Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle . En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’ idéologie, idéologie avec un grand « I » , l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République .»

    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie.»

    (Président Boumediene, mars 1974.)

    Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : " Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée."

    (1) Ndlr. Tout le monde la connait et y pense à cette seconde hypothèse : c'est l'insurrection qui foutra dehors aussi bien les personnels politiques qui ont trahi notre Patrie que cette diversité qui retournera enrichir ses contrées d'origine !
    Aux Armes Citoyens !
     


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  • sacrée Nolwenn

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    Référencement

     

     

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    Le succès de l'album "Bretonne" de Nolwenn Leroy (près de 400 000 exemplaires écoulés) est-il lié à la poussée du Front National  dans les sondages ? C'est ce que sous-entendait Le Nouvel Observateur la semaine dernière dans un article intitulé : « Nolwenn Leroy, la Breizh Attitude ».

    « (Son album) n'est-il pas très comme il faut et propre à incarner "l'image de la France rurale, l'image de la France des terroirs et des territoires" comme dirait dans son style maurrassien le député UMP Christian Jacob ? écrit le journaliste. Avec son prénom de sainte décapitée, Nolwenn affiche un pedigree de la vieille roche. Née à Saint-Renan, son père, Jean-Luc Le Magueresse, est un ancien footballeur professionnel de Brest et de Guingamp. D'aucuns blâmeront son adolescence auvergnate, mais personne n'est parfait ».

    Le parallèle avec le régionalisme est insidieux tout au long du papier, le FN jamais cité. Florilège : « Le fichu de Nolwenn se porte mieux dans l'opinion que celui de Diam's ; Nolwenn Leroy, droite dans ses sabots, s'enivre de cadastre, d'ancrage et de toponymie ; Une preuve génétique de sa bretonne traçabilité ; Avec son accent breton digne de Shakira, elle s'inscrit dans le quota de chansons d'expression française ».

    "Un procès d'intention indigne"

    Nolwenn Leroy accepte la critique - « ce que tout journaliste est en droit de faire » - mais s'indigne de l'angle choisi par Fabrice Pliskin du Nouvel Observateur. Elle lui répond dans un long droit de réponse publié cette semaine dans l'hebdomadaire. « Il m'est imputé d'avoir opportunément pris le parti du régionalisme au moment où la majorité des Français redoutent la mondialisation (...) Je suis extrêmement choquée par ce procès d'intention que je trouve indigne » écrit-elle.

    « Avec son prénom de sainte décapitée, Nolwenn affiche un pedigree de la vieille roche ; Nolwenn Leroy ou le premier robot de fabrication 100% bretonne » écrivait le Nouvel Observateur. Ce à quoi Nolwenn Leroy répond : « Mon projet n'a jamais été de mettre en avant mes origines et de m'inscrire dans une mouvance protectionniste où seuls sont encensés ceux qui peuvent se targuer d'un droit du sol. Affirmer qu'il en serait ainsi relève de la malveillance ». Nolwenn Leroy qui, il est vrai, s'exprime rarement sur des sujets politiques conclut : « Cet article m'a choquée et mise en colère. Je ne m'attendais pas à trouver pareille déloyauté intellectuelle et perfidie gratuite dans Le Nouvel Observateur ».                                                                                                                      Aujord'hui chez les Identitaires avec qui l'on chante l'hymne National Breton, demain à un concert des touche toi mon pote; on appelle çà: jouer sur les deux tableaux . Sacrée Nolwenn ... personne ne t'en voudra: ta voix est si belle !!!


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  • nous avons oublié le mode d'emploi

    Il a raison ce monsieur, certains comportements déviants de ces populations sont traité radicalement dans leurs Pays d'origines. Quand nous les importons nous devons nous aussi traiter ces comportements de la même manière , de facon énergique et sans attendrissement Européen . Ces voyous attendent de nous les châtiments inscrits dans leurs gènes : répondons à leurs attentes . Chaque société a ses valeurs comportementales, quand nous les importons elle nous sont livrées sans mode d'emploi et sans garanties .

     

    Ces incivilités, crimes et délits ne sont plus le fait d'associables isolés, mais de bandes organisées inintégrables au type de société Européenne, dont nous devrons débarrasser le sol de France .
     Celle-ci connait depuis de nombreuses années des troubles intérieurs dont la fréquence, l’intensité et la gravité n’ont fait qu’augmenter dans le temps. Certains y voient les prémices d’une guerre civile. Cette hypothèse m’a toujours semblé outrancière. Jusqu’ici je considérais ce discours comme inutilement anxiogène et reprochais à ceux qui le tenaient de faire dans la surenchère.


    Mais je dois avouer que les évènements récents ont grandement entamé mes certitudes :

    - Quand des individus munis de mortiers, de barres de fer, et de divers projectiles attaquent à plusieurs reprises un commissariat.
    - Quand des racailles en cagoule organisent des contrôles d’identité sur des citoyens.
    - Quand des maffieux mettent en place des barrages à l’entrée d’une cité afin de pouvoir fouiller les véhicules qui y pénètrent.
    - Quand une trentaine de personnes prennent d’assaut et saccagent les bureaux de la protection judiciaire.
    - Quand des compagnies entières de CRS ne passent pas une nuit sans affronter des bandes armées dans plusieurs endroits de France.
    - Quand un maire de gauche en vient à demander l’intervention de l’armée et que les quartiers de sa commune ne peuvent être surveillés que par hélicoptère afin d’éviter des affrontements au sol.
    - Quand des trains de marchandises qui passent aux abords d’une ville de France sont attaqués depuis 3 ans par des délinquants.
    - Quand des pompiers se font agresser dans leur caserne etc…

    N’est-il pas légitime de se demander si ce pays n’est pas entré dans une phase de guerre civile ?


    D’autant que l’on voit mal comment les choses pourraient aller autrement. Entre le « blabla » incantatoire d’un président qui ne pense qu’aux effets d’annonces, et les fadaises chichiteuses d’un Parti Socialiste aux pratiques parfois aussi maffieuses que celles des racailles citées ci-dessus (9)… toutes les conditions sont réunies pour que ces troubles se généralisent et entrainent la France dans une véritable guerre civile.

    Après avoir abandonné sa souveraineté économique et financière à la banque centrale européenne, l’État français est en train de perdre l’un de ses pouvoirs régaliens le plus important : la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public.
    Combien de temps l’État français, va-t-il supporter de voir ses représentants, assurant un service public, attaqués par des barbares, sans réagir ?

    Car, bien davantage que des fait divers qui feraient diversion comme le prêchait Bourdieu à ses ouailles gauchistes, les évènements qui se déroulent tous les jours sur le territoire national sont des faits de sociétés dont les conséquences politiques risquent de s’avérer désastreuses pour la sauvegarde de notre pays.
    N’en déplaise au tandem Joffrin-Fourest, républicains autoproclamés et fantassins à la solde de l’oligarchie, Marine Le Pen a raison quand elle dit que l’État a peur et qu’il serait temps que cette peur change de camp.

    Mais elle souligne qu’il y a des préalables idéologiques et psychologiques à une remise à l’endroit du système sécuritaire : en finir avec le relativisme bon enfant qui veut qu’un délinquant vaut un policier et accepter que les délinquants endossent tous les risques de leurs actes.
    En clair : sortir de la peur de la bavure et du syndrome Malik Oussékine.
    Sans cela, avec 5 millions de chômeurs, une immigration de peuplement de plus en plus forte, un pouvoir politique amputé de ses pouvoirs au profit d’une bureaucratie européenne totalitaire et une situation économique qui ressemble de plus en plus à la banqueroute…. notre pays court tout droit à sa perte


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  • le sosie de Danton

     

    Une clôture de la propriété de Gérard Larcher dégradée par un incendie

    Une clôture en paille entourant la propriété de chasse
    du président du Sénat Gérard Larcher située à Orcemont (Yvelines) a été
    endommagée jeudi en fin d'après-midi par un incendie, a-t-on appris vendredi
    auprès de la gendarmerie, confirmant une information de RTL

    "Une dizaine de mètres d'une clôture d'une trentaine de mètres ont été
    incendiés", a indiqué cette même source.

    Des enquêteurs de la section de recherches de Versailles étaient sur les
    lieux vendredi en fin d'après-midi, Orcemont étant située à quelques kilomètres
    au sud de Rambouillet (Yvelines).

    Selon la gendarmerie, mobilisée dans le cadre d'une enquête de flagrance, des
    faits similaires se sont déroulés au début du mois de juillet.

    "C'est pour cette raison que nous prenons cette affaire au sérieux. L'enquête
    démarre, il est encore trop tôt pour donner d'autres éléments", a ajouté cette
    source

    Le président du Sénat Gérard Larcher (d) dans les tribunes pour assister au défilé du 14 juillet 2011 à Paris

     VOUS MONTREREZ MA TETE AU PEUPLE CAR ELLE EN VAUT LA PEINE

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  • pourquoi sortir de l'euro

    http://www.lepost.fr/article/2011/06/27/2535011_sortie-de-l-euro-marine-le-pen-met-les-points-sur-les-i-apres-les-mensonges-de-sarkozy.html

    Institut Turgot

    Pourquoi la crise de l'euro était inévitable : l'analyse de Martin Feldstein

      Depuis la naissance de la zone euro, nous avons toujours partagé l'opinion des économistes - en particulier anglo-saxons - qui considéraient que le système n'était pas soutenable.

    Le magazine américain The Weekly Standard a récemment publié un remarquable article de Martin Feldstein qui résume l'ensemble des facteurs qui expliquent pourquoi. En voici la traduction .

    La crise actuelle de la monnaie unique européenne était un accident qui ne demandait qu’à se produire.

    Au début,  les conséquences nocives du fait d'imposer une monnaie unique à un groupe de pays disparates  avaient été occultées par les avantages à court terme qu'en avaient tirés les pays les plus faibles  lorsqu'ils ont adopté l'euro en 1999,  ainsi que par la conjoncture économique mondiale favorable qui a dominé jusqu'en 2008.

    Mais nous observons désormais des problèmes très graves,  qui affectent aussi bien des pays particuliers de la zone euro que le système de la monnaie unique dans son ensemble.

    Nombre d'économistes avaient mis en garde contre ces dangers,  même avant que l'euro n'eût été adopté.  Les partisans politiques de l'euro ne comprenaient pas les effets économiques indésirables que son adoption devrait entraîner, ou ne voulaient même pas en entendre parler.

    Ils voulaient la monnaie unique comme moyen de parvenir à une plus forte cohésion politique de l'Europe,  dépassant l'accord de libre-échange de la CEE  pour une union politique complète.

    Un pays qui conserve sa propre monnaie ne se voit  certainement pas garantir une croissance sans problème ni une faible inflation. Il n'y a pas de substitut à la discipline monétaire et budgétaire,  ni à une réglementation et une surveillance solides de la finance.  Même avec la politique la mieux adapté à un pays,  des problèmes apparaissent.  Cependant, accepter d'adhérer à un système de monnaie unique expose un pays à quatre problèmes fondamentaux qu'il s'épargnerait en ne le faisant pas.

    L’appartenance à l'union monétaire  encourage les pays à faire d'importants déficits budgétaires

    Tout d'abord,  qui dit monnaie unique dit politique monétaire unique,  ce qui prive chacun des pays du moyen principal  d'atténuer les crises économiques et de réduire le chômage causé par des baisse de la dépense locale. Une politique monétaire qui est la mieux adaptée à la zone euro dans son ensemble se révèlera trop laxiste pour certains pays,  provoquant des bulles dans le prix des logements  qui finissent par s'effondrer,  avec à la clé des pertes importantes pour la richesse individuelle  et pour l'emploi global.

    Deuxièmement,  monnaie commune veut dire que tous les pays la zone euro ont le même taux de change,  ce qui empêche les ajustements naturels de taux qui maintiendraient la compétitivité nationale face à des tendances divergentes de la productivité et de la demande. Ainsi,  l'Allemagne a aujourd'hui un énorme excédent commercial en raison de sa forte croissance de la productivité du travail  ainsi que de l'accroissement rapide de la demande pour les équipements allemands  dans des pays comme la Chine. Si l'Allemagne avait encore le mark, cette monnaie se serait appréciée à la suite de ces changements-là. La hausse du mark aurait limité l'excédent commercial et,  en abaissant le coût des produits importés,  aurait fait monter le revenu réel des travailleurs allemands. De même,  la baisse de la productivité grecque par rapport à celle d'autres pays aurait poussé la drachme grecque à la baisse,  empêchant d'apparaître l'énorme déficit commercial de la Grèce. Avant même que l'euro ne soit adopté,  il était évident  qu'il apparaîtrait des problèmes chroniques de ce genre dans le commerce extérieur.

    Troisièmement,  l’appartenance à l'union monétaire  encourage les pays à faire d'importants déficits budgétaires. Quand un pays qui a sa propre monnaie émet de la dette publique en grandes quantités,  les marchés financiers  augmentent progressivement le taux d'intérêt sur cette dette  et peuvent également pousser à la baisse  la valeur de la monnaie. Ces réactions du marché  sont une indication du fait que le déficit est en train de passer les bornes. Cependant,  parce que c'est en euros qu'empruntent les membres de la zone euro, le déficit exagéré d'un seul pays n'affecte que très peu l'offre totale d'obligations en euro,  et donc le taux d'intérêt global et le taux de change en euro. Tant que le risque de défaut de la Grèce (et d'autres) n'était pas devenue criant, les marchés considéraient tous les emprunts d'Etat libellés en euros comme essentiellement équivalent,  ce qui impliquait des différences minimes de taux d'intérêt entre les pays de la zone euro. C'est pourquoi la Grèce a pu emprunter de grandes quantités en toute impunité.

    Quatrièmement, l'absence d'un taux de change spécifique à un pays rend très douloureuse la réduction de déficits budgétaires excessifs,  alors que c'est aujourd'hui ce que doivent faire un grand nombre de pays de la zone euro. Les fortes réductions de dépenses étatiques  et les fortes augmentations d'impôt qui sont nécessaires  vont réduire le PIB de ces pays  et provoquer un chômage important. Si ces pays-là n'étaient pas membres de la zone euro,  ils pourraient en même temps permettre à la valeur de leur devise de baisser. L'augmentation des exportations et la réduction des importations qui en résulteraient accroîtraient le PIB,  atténuant la baisse de l'activité économique causée par la contraction budgétaire  et contribuant à maintenir l'emploi.

    Chaque État américain est doté d'une règle constitutionnelle qui empêche les déficits permanents

    Pendant  les années qui précédaient  l'introduction de l'euro, la réaction commune à cette critique-là était la suivante : pourquoi  faudrait-il que l'Europe ne puisse pas fonctionner avec une monnaie unique alors que les États-Unis, zone aussi grande et aussi diverse,  y parviennent pour leur part ?

    Il y a quatre différences fondamentales qui permettent aux États-Unis de surmonter les problèmes liés à une monnaie unique, alors que l'Europe ne le peut pas.

    La première est la mobilité du travail.

    La hausse du taux de chômage dans un État ou une région des États-Unis en réponse à une baisse de la demande pour les produits locaux se trouve limitée parce que les gens sont prompts à déménager vers d'autres régions du pays où il y a davantage d'emplois disponibles. Or,  en Europe,  des forces puissantes s'opposent  au développement de la mobilité du travail. La plus évidente d'entre elles est la langue. Cependant,  même au sein d'un seul pays comme l'Allemagne, de fortes allégeances régionales limitent l'afflux de travailleurs d'une partie du pays à l'autre. L’appartenance à un syndicat,  les systèmes de retraite, et les différences religieuses entravent également la mobilité à travers les frontières.

    La deuxième différence est que les salaires sont beaucoup plus souples aux États-Unis qu'en Europe.

    Aux Etats-Unis,  une baisse de la demande pour les produits d'une région provoque une baisse des salaires locaux. Cela réduit les coûts de production dans la région en question ce qui,  à son tour,  amortit la baisse des ventes des produits en cause  et entraîne une augmentation plus générale de la demande de main-d'œuvre dans la région.  Cette flexibilité des salaires réduit la nécessité d'une politique monétaire expansionniste. La flexibilité est renforcée parce qu'aux États-Unis  les salaires sont établis par des employeurs individuels  sans rien de ces négociations salariales par branche ou par pays  que l'on voit en Europe,  et parce que moins de 10 % de la population active du secteur privé est syndiquée.

    La troisième différence importante entre les États-Unis et l'Europe est que les impôts sur le revenu sont principalement collectés par l'état central de Washington, tandis qu'en Europe les impôts correspondants vont à des gouvernements nationaux individuels.

    Chaque dollar de baisse dans le PIB d'un état particulier des États-Unis  provoque une chute d'environ 30 cents des impôts payés à Washington par cet état, politique budgétaire automatique qui permet de stabiliser la production et l'emploi locaux.

    La dernière différence est que chaque État américain est doté d'une règle constitutionnelle qui empêche les déficits permanents.

    Les constitutions des États interdisent également d'affecter le produit des emprunts  à des dépenses courantes.  Le financement par l'emprunt y est confiné aux dépenses d'infrastructure.  Certains états accumulent des excédents pour s'en servir pendant  les années de baisse des recettes ;  d'autres permettent aux budgets de fonctionnement de s'équilibrer sur une période de deux plutôt que sur une seule année. Mais l'impact net de ces dispositions constitutionnelles est de prévenir le type de déficits et d'endettement énormes au niveau des états  qui se pratiquent  dans les différents états européens. Même le déficit budgétaire de la Californie ne représente encore qu’1 % de son PIB.

    Malgré ces problèmes de fond, la première décennie de l'euro a tout à fait bien marché. La transition opérationnelle des monnaies nationales à l'euro s'est faite en douceur. La Banque centrale européenne (BCE) a résisté aux pressions politiques  et atteint un objectif très faible taux d'inflation  --moins de 2 %. La nouvelle monnaie a été largement acceptée par les investisseurs internationaux, ce qui a fait monter  la valeur de l'euro par rapport au dollar  et autres devises.

    Ce succès était dû non seulement à un environnement économique mondial très favorable, mais aussi aux avantages immédiats dont bénéficiaient les pays  qui avaient auparavant une forte inflation,  ainsi qu'au caractère progressif  des effets néfastes cumulés d'une politique monétaire unique  et d'un taux de change fixe. Pour la Grèce, l'Italie,  et d'autres pays qui avaient eu des taux d'intérêt élevés vu leur tradition de forte inflation,  avoir rejoint la zone euro s'est traduit par une forte baisse des taux d'intérêt. Cela a entraîné  de forts accroissements  de l'endettement public et privé,  qui ont entretenu la dépense et stimulé l'activité économique. Cependant,  l'effet cumulé de ces emprunts se traduit aujourd'hui par l'ampleur des déficits et des dettes auxquels doivent maintenant faire face la Grèce,  l'Italie,  l'Irlande,  le Portugal et autres pays de la  zone euro.

    La gestion de la politique monétaire par la BCE  pour la zone euro dans son ensemble a créé  dans certains pays des conditions monétaire trop relâchées. Plus précisément, lors des premières années de l'euro,  lorsque les économies de l'Allemagne et de la France étaient relativement faibles,  la BCE a maintenu de bas taux d'intérêt afin de stimuler la demande dans ces pays.  En Irlande,  en Espagne et dans d'autres pays,  cette facilité des conditions monétaires  a conduit à des bulles dans l'immobilier,  bulles du prix des logements qui finissent par éclater.  L'effondrement de la construction de logements dans ces pays a contribué à une forte hausse des taux de chômage.

    Les différents pays ont rejoint la zone euro à des taux de change  que l'on jugeait alors appropriés pour équilibrer leurs importations avec leurs exportations. Cependant, la productivité en Allemagne a augmenté plus rapidement que celle des autres pays de la zone euro,  ses hausses  de salaires ont été contenues  par des politiques draconiennes,  privées comme publiques,  et la demande pour ses produits de haute technologie a été stimulée par la très rapide croissance de la Chine et autres pays asiatiques. La conséquence en est que l'Allemagne a désormais un excédent de son compte courant qui représente 5 % de son PIB. À l'autre extrême, on trouve des pays comme la Grèce où les salaires ont augmenté assez rapidement malgré le ralentissement de la croissance de la productivité et de la demande d'exportation,  entraînant un déficit du compte courant grec de 7 % du PIB. Ces pays-là  seront désormais forcés d'accepter d'importantes réductions des salaires et des revenus afin de réduire leurs déficits commerciaux,  manière beaucoup plus douloureuse d'obtenir  des dévaluations de fait  qu'on ne le pourrait avec un taux de change ajustable. Les différences entre tendances de la productivité,  de même qu'entre les tendances globales à l'exportation signalent  que le problème sera récurrent.

    Bon nombre des problèmes qui apparaissent maintenant... avaient été prévu par les économistes, mais les politiciens n'ont rien voulu entendre

    Il se peut que réduire ces importants déficits budgétaires et commerciaux soit trop douloureux pour être acceptable. Il n'est pas évident  que des gouvernements démocratiques puissent supporter  des années de déclin du PIB et du revenu réel des particuliers.  En fin de compte,  ces gouvernements pourront choisir de faire défaut sur leurs dettes grâce à une restructuration formelle  ou en remplaçant les obligations existantes par de nouvelles dettes moins onéreuses. Si les sacrifices nécessaires sont trop grands  pour recouvrer  et maintenir un taux de change réel compétitif,  ils choisiront éventuellement  de quitter la zone euro afin de pouvoir dévaluer.

    La création de la monnaie unique dans la zone euro  était une expérience ambitieuse, entreprise pour des raisons politiques. Bon nombre des problèmes qui apparaissent maintenant du fait de l'abandon par les pays des politiques monétaires et de change individuelles avaient été prévu par les économistes, mais les politiciens n'ont rien voulu entendre. Il reste à voir si la pression politique pour construire une Europe fédérale encore plus centralisée  suffira pour que les pays de la zone euro continuent d’accepter  ces funestes conséquences économiques.

    Pour alimenter ce nécessaire débat sur la sortie de l’euro, voici cinq raisons de sortir de l’euro, cinq raisons à diffuser au maximum autour de vous    :

     

    • Les performances comparées de la zone euro et de la zone non-euro révèlent un très net avantage à cette      dernière. D’un côté une croissance anémiée, le chômage de masse, des déficits structurels, de      l’autre (Royaume-Uni, Suède, Danemark), des taux de chômage beaucoup plus faibles, une croissance forte et des déficits limités. Voilà pourquoi les trois pays hors euro rappellent régulièrement      qu’il n’adopteront pas la monnaie unique !  

     

    • Raison la plus technique, mais finalement très simple à comprendre : la zone euro n’est pas ce qu’on appelle une «      Zone Monétaire optimale » (ZMO), c’est à dire un groupe de pays ou régions dont les économies sont fortement imbriquées. Les Etats-Unis sont une ZMO alors que les économistes s’accordent pour      dire que la zone euro est loin d’en être une. Les échanges en son sein ne représentent que 15% du PIB de la zone, ce qui est très faible comparé aux Etats-Unis. De plus, peu de travailleurs      d’un pays européen acceptent d’aller exercer leur emploi dans un autre, ce qui ne permet pas à l’Europe d’être une ZMO. Enfin, le budget européen est extrêmement faible, ce qui n’autorise aucun      transfert budgétaire au sein de la zone euro, contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis. Pour résumer, la zone euro n’est pas une zone optimale d’un point de vue monétaire.      L’existence d’une monnaie unique dans cette zone n’est donc pas une bonne solution et représente un frein terrible à la croissance.

    L’or, une valeur refuge en temps de crise

    • L’euro impose aux Etats européens une politique unique en matière de taux d’intérêt et ne permet pas les      dévaluations parfois nécessaires. Ainsi, alors que les taux de croissance et d’inflation sont souvent très divergents au sein de la zone euro, par exemple entre l’Allemagne et      l’Espagne, les solutions sont obligatoirement les mêmes avec une monnaie unique. D’autant que les Etats ne peuvent pas corriger les désagréments d’un tel système grâce à leur budget      puisque celui-ci est très fortement contraint par le pacte de stabilité (les fameux critères de Maastricht). Même intuitivement, on comprend très bien l’absurdité de cette situation.      C’est comme si tous les malades d’un hôpital devaient recevoir le même traitement ! Sortir de l’euro pour retrouver des marges de manœuvre et une politique plus finement      adaptée à nos besoins spécifiques, tout en collaborant avec nos partenaires, voilà la solution !  
    • La quatrième raison est historique. En effet, l’histoire nous a montré que les monnaies plurinationales      ont toujours échoué, que ce soit en URSS, en Tchécoslovaquie, en Yougoslavie ou au XIXème siècle      entre la France, l’Italie, la Suisse et la Belgique (« l’Union latine »). La création de l’euro a été voulue par des apprentis sorciers gavés d’idéologie. Voilà qui n’est pas      sain.  

     

    • Enfin, l’euro facilite structurellement l’inflation. Chacun l’a constaté, et les associations de consommateurs l’ont confirmé, les prix ne cessent d’augmenter depuis le passage à      l’euro. C’est vrai en France mais également en Allemagne ou en Italie. Cette inflation est due à la perte de repères dont certains ont su profiter, mais aussi à une raison toute simple qui ne      disparaîtra pas : l’unité minimale de l’euro vaut 6,55957 fois plus que l’unité minimale du franc ! Dès lors, même une petite hausse de prix est beaucoup plus importante qu’une petite hausse du      temps du franc. Quand un objet coûtait 1 franc plus cher autrefois, il coûte désormais 50 centimes ou même 1 euro plus cher, soit une augmentation 3 à 6 fois supérieure ! Cela s’explique par      l’importance des prix « ronds », des prix « psychologiques » qui imposent des augmentations tout aussi « rondes », et donc plus fortes qu’avant. Le marketing a ses règles, et quoi qu’on puisse      vous dire, elles ne changeront pas !

       

        Cinq raisons pour sortir de l’euro, juste cinq raisons. Les économistes les plus au fait de la question pourront vous en donner beaucoup d’autres, plus techniques. Mais ces cinq raisons sont déjà    suffisamment imposantes en soi pour nous faire sérieusement réfléchir. A nous maintenant d’animer le débat, comme dans les autres pays européens. Parce que la question de l’euro est trop grave    pour être laissée aux idéologues, exigeons l’organisation d’un référendum sur la sortie de l’euro au lendemain des présidentielles de 2007           Depuis , nous ne sommes toujours pas sorti de la zone euro et nous vivons une crise qui ne fera que s'amplifier .                   Nous somme maintenant en 2011:                               


    Acte 1: Promesses de politiques

    En 1997, médias, politiques et dirigeants des grandes banques françaises ont crié haut et fort que l'euro était la meilleure manière pour la France de s'affirmer comme une puissance économique au sein de l'Europe et de montrer aux dirigeants américains et chinois qu'ils étaient capable de s'unir pour créer une monnaie concurrentielle. Oubliant les monnaies nationales aux valeurs différentes, 16 pays créaient la zone euro. En clair, l'auteur rappelle que l'euro a été évalué sur les bases de la monnaie allemande : le mark. Déjà, le déséquilibre entre les pays à monnaie forte (pays nordiques) et les pays latins dont la monnaie était moins puissante faisait bondir certaines voix que l'on a préféré marginaliser à l'époque. Alain Cotta faisait déjà partie de ceux-là.
    Extrait: « La force de cette conviction communautaire emporta toutes les adhésions, à commencer par celles qui lui préexistaient. La finance était habituée à composer avec les politiques. Suivre leurs professions de foi après avoir écrit quelques-uns de ses versets était vraiment pain bénit (...) L'Europe ne se prêtait sûrement pas à la création d'une monnaie unique. Aucune des conditions nécessaires - et non suffisantes - à l'existence d'une zone monétaire entre la majorité de ses membres d'alors (1997) n'était remplie »

    Acte 2: La réalité sous-jacente

    Dans son ouvrage, l'économiste tire le bilan, qu'il juge calamiteux, de la monnaie européenne. Plus de dix ans d'euros qui n'ont guère rassuré les Français. Pouvoir d'achat en baisse, hausse du chômage, stagnation ou faibles augmentations des salaires. Un pays allait lui, y trouver son compte: l'Allemagne. Les Allemands ont su s'adapter à la mondialisation en mettant au point des « stabilisateurs automatiques » : « excédent de la balance des échanges extérieurs et équilibre des finances publiques ». Mais voilà, l'Allemagne est l'un des rares pays a s'être appliqué une telle discipline. Le bon élève européen se voyait obligé de rattraper les mauvaises notes des pays plus dépensiers et de là sont nés les premiers problèmes. Concrètement, l'Allemagne devait payer pour les autres : « Avec 200 milliards d'excédent extérieur, l'Allemagne finance aujourd'hui les déficits de 12 pays dont la France qui y «abonde» pour plus de 45 milliards , plus de 3% de son produit national, niveau jamais atteint depuis 1950 ».
    La crise financière de 2007 et celle que subit actuellement l'Europe n'est donc pas nouvelle et résulte de l'échec de la politique monétaire européenne. Pour que l'Europe et la France évitent de retomber dans de tels travers , Alain Cotta met en avant trois hypothèses pour régler le problème de l'euro.

    Acte 3: le dénouement

    Pour lui, « trois grandes voies sont ouvertes au remaniement de l'euro. »

    Voie 1 :
    « La première est la voie officielle, politique : l'euro doit demeurer la monnaie - unique - d'un ensemble de nations qui devront observer, pour atteindre cet objectif, plusieurs conditions dont le «bouquet» ressemblerait à l'adoption de la fleur allemande par chacune ». Une voie que soutiennent les entreprises (surtout les grandes), les politiques de tous les pays , l'électorat vieillissant rentier qui protègent leur patrimoine et des institutions financières mondiales (FMI, Banques centrales des Etats-Unis et de la Chine). L'euro est cerné et surveillé, d'où le fait que rien ne devrait changer.
    Voie 2 : Le retour à la monnaie commune
    L'écu, référence de toutes les monnaies nationales avant l'arrivée de l'euro est le système que privilégie Alain Cotta. Pourquoi? Pour l'économiste, ce système a deux avantages : « il conserve l'indépendance monétaire des nations tout en soumettant les monnaies a une même référence disciplinaire ». Chaque pays est ainsi libre de dévaluer sa monnaie ou jouer sur l'inflation.
    Voie 3: La mort de l'euro
    « L'éclatement de l'euro, à terme plus ou moins éloigné, du trimestre à deux ans , se présente comme l'évolution la plus probable, dont les modalités dépendent essentiellement de la tenue du fameux ciment franco-allemand », en clair si l'un des deux Etats décide de quitter l'euro , l'autre le suivra et entraînera tous les autres pays de la zone euro dans son sillage. Les politiques d'austérité des principaux gouvernements européens ne vont rien arranger aux affaires d'un euro de moins en moins consensuel.
    L'Allemagne qui en a marre d'être la vache à lait de l'euro pourrait s'en aller. Pour cela, elle devra revoir sa stratégie commerciale. Le géant européen dont les exportations vont pour 46% vers les principaux pays de la zone euro sera dans l'obligation de regarder ailleurs, pourquoi pas vers son voisin russe? Et même d'augmenter ses exportations vers le Royaume-Uni et les USA                       L’inquiétude continue de régner en Europe sur les risques de contagion de la crise de la dette grecque à d'autres pays de la zone euro. Comment en est-on arrivé là ?
    L’origine de la crise de la dette
    Les prémices de la crise de la dette souveraine viennent de la Grèce. Fin 2009, à la faveur d’un changement de gouvernement, Athènes annonce que ses finances publiques sont bien plus dégradées que prévu. Les marchés financiers s’inquiètent d’une éventuelle faillite de la Grèce. Les agences de notation abaissent la note du pays et font monter les taux d’intérêt. La spéculation par le biais des instruments financiers, appelés CDS, étrangle bientôt le pays. La crainte d’un effet domino sème le doute parmi les autres pays européens en difficultés budgétaires. En mai 2010, un prêt de 110 milliards d’euros est accordé à la Grèce par la zone euro et le FMI.
    Un premier plan de sauvetage pas suffisant
    Un an après son appel à l’aide, la Grèce est loin d’être sortie d’affaire. Son déficit pour 2010 s’élève toujours à 10,5% du produit intérieur brut (PIB). Mais c’est surtout sa dette de 327 milliards d’euros qui inquiète : elle pèse plus de 150% du PIB. Résultat, de plus en plus d’experts jugent inévitable une restructuration de sa dette, sans compter que la Grèce n’est pas un cas isolé dans la zone euro. Pour éviter un défaut de paiement d’Athènes, les Européens et le FMI décident en juin 2011 de lui accorder une nouvelle aide de 110 milliards d’euros. Mais les dirigeants européens sont divisés sur les modalités de ce second plan.
    Les Européens incapables de s’entendre sur un deuxième plan
    Le principal point de divergences entre les Européens concerne la participation du secteur privé. Certains pays, au premier rang desquels l'Allemagne, veulent ainsi obliger les investisseurs privés (banques, assureurs et fonds d’investissement) détenant des obligations souveraines grecques à allonger de sept ans leur durée. Immédiatement, les investisseurs qui se croyaient à l’abri jusqu’en 2013 ont paniqué sur les marchés à l’idée d’un « rééchelonnement » de la dette. L’autre option proposée par la Banque centrale européenne est d’obliger les banques à racheter les obligations souveraines grecques qu’elles détiennent, quand elles arrivent à échéance. Reste que ce « roll-over » de la dette envisagée par la BCE est mal perçu par les agences de notations qui estiment que c’est une forme de défaut de paiement. Faute d’accord entre les Européens, c’est le sauvetage de la Grèce qui est en suspens avec pour effet une contagion à toute la zone euro.
    Le risque de contagion
    Après la Grèce, l’Irlande et le Portugal confrontés à des déficits budgétaires importants, ont également demandé une aide à l’Europe et au FMI. Aujourd’hui, c’est au tour de l’Espagne et de l’Italie d’être dans le collimateur des investisseurs. Si la troisième économie de la zone euro est aujourd’hui attaquée, c’est pour des raisons économiques, la dette italienne est l’une des plus élevées au monde en valeur absolue, elle atteint 120% du PIB, soit 1 800 milliards d'euros. Mais c’est aussi pour des raisons politiques. Le plan d’austérité, validé par le gouvernement, voté actuellement par le Parlement et déjà qualifié d’insuffisant par les agences de notation. Le chef du gouvernement Silvio Berlusconi est en difficulté et son ministre des Finances Giulio Tremonti est affaibli par une affaire de corruption.
    L’assaut des spéculateurs et des fonds d’investissement
    La contagion tant redoutée est en train d’arriver et les spéculateurs tirent profit de cette situation. A l’heure actuelle, certains fonds d’investissements américains, britanniques mais aussi européens ont un intérêt financier à mettre des pays européens en faillite. Ils le font en achetant des CDS sur les dettes européennes, en vendant des titres à découvert et en alimentant les marchés de rumeurs, notamment sur les CDS dont la valorisation explose à chaque mauvaise nouvelle. La défiance sur les marchés génère des primes de risque pour les investisseurs avec pour conséquences un renchérissement du coût de la dette et une augmentation des bénéfices pour les prêteurs.
    Petit lexique pour les néophytes
    Les notes des agences
    Pour un État comme pour une entreprise, la note « AAA » est la meilleure. Elle signifie que l’emprunteur n’a aucun mal à rembourser sa dette. Les deux économies de la zone euro, la France et l’Allemagne, font partie de ce club très fermé du triple A. Ensuite les notes allant de « AA+ à A-» qualifient les pays où les investissements sont jugés de « bonne qualité » ou de « qualité moyenne ». A l’inverse, la note « D » est la pire, elle signifie que le pays est en défaut de paiement.
    CDS pour « credit default swaps »
    Le terme est anglais, en français on parle de « couverture de défaillances ». Il s’agit en fait d’un dispositif relativement simple. Lorsqu'une banque ou un investisseur veut prêter de l'argent à un État souverain, en achetant par exemple des obligations, il paie en même temps une sorte d'assurance, qui lui permettra de récupérer une partie de sa mise, en cas de défaillance de l'État concerné. Ces dernières années les CDS sont devenus des produits de pure spéculation, achetés et revendus sans aucune régulation. À titre d’exemple, la Grèce est un marché estimé à 80 milliards d’euros.
    Défaut de paiement
    C’est le terme technique utilisé par les agences de notation pour désigner le fait qu’une partie de la dette d’un État ne sera pas remboursée.                                                                        Ils etaient si beau nos billets :http://www.baudelet.net/monnaies/franc-france-1950.htm                                                                                                                                       Pourquoi croyez vous que tant d'officines rachètent un bon prix l'Or des Pauvres ; c'est parce-que les riches investissent leurs avoirs dans des lingots d'Or ( refuge étalon des monnaies ) .    Faites comme eux transformer vos R S A en lingots .    Et si après toutes ces explications vous n'avez toujours pas compris, c'est sans doute que vous méritez le sort qui vous attends .

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  • a l'hopital

     

    Après les stages  de culture arabe pour la gendarmerie  nationale
       Les infirmiers suivent  une formation
     à la mosquée pour
    apprendre à “soigner les  croyants” !
     
       
    Il  fut un temps où le personnel médical devait
    apprendre à  soigner les patients. 
       Nous  entrons
    dans une ère où il doit apprendre à soigner les  croyants. 
     
       Bienvenue  dans le petit monde ubuesque du
    multiculturalisme.  
     
       
    Les  élèves infirmiers de Limeil ont des cours pour
    réussir à  concilier la pratique religieuse des patients et les
    soins.  


     
      Ils  ont  découvert les rites musulmans à la mosquée de
    Créteil.
     

    Comment  concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur  blanc
    dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé,  avec  une bonne gestion
    des soins  ? Une trentaine d’étudiants de  l’Institut de formation en soins
    infirmiers (Ifsi)  de  l’hôpital Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes,
    cherchaient  des réponses à cette question hier à la mosquée de
    Créteil.

     
      Pour  les uns, pas question d’être examiné par un
    médecin de sexe  masculin.
      
    Dans  un hôpital, il n’est pas
    rare en effet que le personnel  soignant soit confronté à des refus pour des
    raisons  religieuses.… 
     
       « Ce module
    est un  enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième  année ont
    fait entendre leurs réticences au motif qu’ils  étaient profondément athées.
    Certes, le personnel soignant  doit rester dans une position neutre,  les
    établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces  futurs
    infirmiers auront à prendre en charge des patients qui  viennent avec leur
    histoire
    »,  explique Anna Giacomini, formatrice à l’Ifsi. Avant d’engager
    les discussions, Ibrahim, de l’UAMC, remercie les  étudiants.

     
      L’infirmier  non-musulman doit ramasser le Coran du
    patient en se servant  d’une couverture.

       Les  étudiants
    ont multiplié les questions. « Il paraît qu’un  non-musulman ne peut pas
    toucher un Coran écrit en arabe.  Comment fait-on si un patient hospitalisé le
    laisse tomber du  lit?
    » demande une étudiante.  Réponse : « Vous
    pouvez le  ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse
    barrière
    . » 
       « Si un
    patient ne  peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons  médicales,
    comment peut-il faire ses ablutions avant la prière  ?
    » interroge un autre
    étudiant.  « Ne soyez pas étonné  si vous voyez une pierre dans sa chambre,
    il peut en effet  passer cette pierre pour se purifier s’il ne peut pas utiliser
    l’eau
    », indique  l’intervenant. 
     
       Don  du sang et
    don d’organes, jeûne du ramadan et grossesse,  crémation… tout est passé en
    revue par les futures blouses  blanches. Dans ce cadre, la mosquée accueille
    également les  élèves de l’Ifsi de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil.
    Des discussions sont également en cours avec l’hôpital  Paul-Brousse (AP-HP) de
    Villejuif. 
      

    NO
    COMMENT………………………..

     

     

     

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  • delanoé vous invite

    Sortir a Paris- France


    Une grande fête pour tous !

    A l’occasion du Ramadan, Bertrand Delanoë convie les habitants et visiteurs de Paris de toutes les cultures et croyances à une soirée musicale d'échanges et de convivialité dans les salons de l’Hôtel de Ville !

    Après le buffet qui marquera la rupture du jeûne, la chanteuse Abir Nasraoui et son ensemble se produiront sur scène pour le premier concert de la soirée. Musicologue tunisienne, Abir Nasraoui exprime l'immense richesse vocale de la tradition classique arabe.

    La seconde partie sera consacrée à Djerba International, groupe formé de musiciens venant d'horizons différents. Remarquablement bien servie par la voix de Mounir Troudi, Djerba International mêle les univers funk, jazz, rock, groove et zouk pour créer de nouvelles sonorités.

    Une soirée de fête et de partage en perspective !


    Avec :
    Abir Nasraoui
    Djerba International

    Métro Hôtel-de-Ville
    Les invitations peuvent être retirées du 15 juillet au 19 août, du lundi au vendredi à l’accueil de l’Hôtel de Ville de 10h à 19h
    Ci-après la vidéo présentant le futur institut des cultures de l’islam incluant une méga mosquée et construit    dans le 18eme arrondissement de Paris par Delanoé et ouvert en 2012. Nos enfants pourront dire merci à ce collabo socialiste quand cet autre bunker deviendra un des centres politiques et    militaires de commandement  si le totalitarisme islamique prend le contrôle de notre pays dans les prochaines décennies. Mais il y aura longtemps que le traitre sera    mort.   pour en savoir plus : 

    http://revolteseneurope.over-blog.com/

     


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