Une seringue et une cuillère remplie de poudre blanche, à Paris le 11 août 2003

"Nous sommes favorables à l'ouverture, à titre expérimental et sous le contrôle d'un comité de suivi rendant régulièrement compte, d'une salle de consommation à moindre risque en France", qui "viendrait s'intégrer au dispositif déjà existant de réduction des risques", dit l'appel, signé par une quarantaine d'élus.

Parmi eux, 11 parlementaires - 4 du PS, 1 du Modem, 1 de l'UMP, 2 du PCF, 3 d'Europe écologie -, le porte-parole du PS Benoît Hamon, la secrétaire nationale des Verts Cécile Duflot, le porte-parole du PCF Patrice Bessac, la 1ère adjointe au maire de Paris Anne Hidalgo, des conseillers régionaux, adjoints au maire ou conseillers municipaux.

Déjà l'association Elus, Santé Publique et Territoires (ESPT), qui rassemble des élus UMP, MoDem, Nouveau Centre, Verts, PS et PCF en charge de la santé dans quelque 60 villes regroupant 8 millions d'habitants, a demandé que l'Etat adopte les mesures juridiques permettant l'ouverture, "au moins à titre expérimental", de salles de consommation de drogue en France.

Début août, le Premier ministre François Fillon avait jugé ces dispositifs "ni utiles, ni souhaitables". 77 députés et sénateurs UMP viennent de publier une "Charte des élus contre les drogues", estimant que "les débats sur la dépénalisation et la mise en place de centres d'injection nuisent à la lisibilité du message de prévention".

Nos élus sont tombés sur la tête, alors qu'il conviendrait de pénaliser plus fortement tout ces détraqués qui vont nous coûter une fortune en frais de Sécurité Sociale, certaines personnes entretenues avec nos propres deniers légalise les drogues dures et impures .

Et au regard  de la publication vous remarquerez  quels parti ils représentent . Tous anciens soixantehuitards qui ont commencé aux pétards ...